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  • Algérie : Un pouvoir politique diffus et une situation socio-économique délétère..?

                                                     

                                                                                      Maroc
                          Ailleurs en Algérie :  La planche à billets
     
                                                                                                                                                                   
    Quoi de neuf..? La rédaction du blog cherche toujours  à irriter davantage la mentalité haineuse des gouvernants algériens. Elle ne rate aucune occasion présentée pour dénicher les sujets pro-Marocains qui généralement font mal à l'esprit arrogant algérien.

    Je ne trouve pas mieux que de remuer les plaies et prouver aux algériens que leur pays, "la force régionale et la puissance imbattable" est déjà au pied du mur à cause de la frivolité du pouvoir Bouteflika et la mauvaise gouvernance qui l'accompagnait depuis plus de 17 ans.

    Chez nous, Dieu merci,le Royaume du Maroc grimpe les échelles, échelon par échelon, quelle qu'ils soient, politiques, économiques, ou en aspect milito-spatial et encore plus, il gagne des points, de bonne conduite, de bonne vie et mœurs, passant, au niveau mondial, aux rangs des Etats crédibles et leadership, et ce de la récolte de la clairvoyance de SIDNA et à la diplomatie silencieuse qu'il mène sans bla-bla.

    De façon à ce que le Maroc,ne fait pas de pub à son rayonnement, ne commande pas d'articles pour faire briller son image à l'instar de ce que font les gouvernants algériens, preuve à l'appui, dernière en date, la pub aux frais de l'Etat Algérien de Said Bouteflika et le quotidien Français "le Point".

    Au contraire, certain courant de la presse Française s’intéresse, unilatéralement, du Maroc et se mêle dans ses affaire. Je donne un petit exemple. Le magazine Français," Marianne"  se pose la question, «Comment le Maroc infiltre la France?». Quant à moi, comme beaucoup d'autres Marocains, je me demande : Que cherche Marianne?  qu'apporte-t-il du nouveau ou des révélations dans la relation Maroc-France?

    Oui «Sur fond d’intérêts économiques et stratégiques, de droits de l’homme et de guerre contre le terrorisme, le Maroc n’a cessé d’étendre ses réseaux d’influence en France ou ailleurs. La venue de Mr.Macron n’a pas changé et n'en changera en rien de la donne et de nouvelles figures incarnent désormais une diplomatie parallèle en faveur du Maroc. Et -ça tout le monde le sait-, si on me permet de reprendre les fameux termes de Messahal.

    L’auteur de l’article, commence par avancer que les rapports très forts entre le Maroc et la France, entretenus depuis bien longtemps, sont inquiétants. Mais aucun argument n’explique réellement en quoi cela est inquiétant et l’auteur semble oublier que les relations Maroc-France, notamment économiques, sont positives pour les deux pays.

    Cela qui agace ses ennemis algériens, et c’est que Marianne, vient certes de recevoir ses pots de vins algériens et sa ration des bons de commande Drsistes qu'on distribue, avec générosité, ces jours-ci aux médias d'hexagone. Pas pour les beaux yeux de la première dame de France Mme Brigitte Macron, mais pour qu'on dresse, au lendemain de la visite de Macron à Alger, plutôt un tableau noir sur les relations Maroc-France, évitant de mentionner l’aspect positif des rapports entre les deux pays.

    Oui c'est naturelle, si l’article cite les «nombreux amis du Maroc» qui sont en France et sur lesquels peut compter le Maroc, comme Elisabeth Guigou, Dominique de Villepin, Jack Lang, Dominique Strauss-Kahn, Brice Hortefeux, et sur ses bi-nationaux Rachid Benzine, Najat Belkacem, Audrey Azoulay, Meriam Lkhomri et la sénatrice Européenne Rachida Dati ou encore Gad Elmaleh et  Jamal Debbouze.

    C'est un acquit normal, sans pression aucune sur la France. Nous ne cherchons pas midi à 14h. On a pas pas besoin d’excuses ou de pardons pour le protectorat Français, comme se fait le cas des algériens qui, à la venue de chaque nouveau président à l'Elysée, ils insistent, persistent et signent pour que la France reconnait, ce qu'ils appellent des "crimes" et regrette son colonialisme qui a duré en Algérie 132 années.

    Toutefois, rassurez-vous Mr. de la Marianne, je n’y parle pas de repentance. Je ne vous demande pas d’excuses. La revanche des «humiliés» ne fait pas partie de notre philosophie Marocaine. Nos générations, encore plus que les précédentes, ont un double devoir : briser des murs et ériger, par-dessus la Méditerranée, des passerelles. On ne refait jamais l’histoire et on ne construit pas des lendemains tranquilles avec les haines d’hier. Que cela soit écrit une fois pour toutes : il n’y pas de colonialisme propre et toute guerre livrée à un peuple qui ne l’a pas cherchée est sale, autrement dit, synonyme de barbarie. C’est aux historiens algériens, cependant, de recenser leurs cortèges de morts, de mesurer le sang versé chez eux et d’écrire, avec rigueur, le récit de leurs 132 années de tragédie.

    En fait, des sociologues Français considèrent que les 13 décennies d'existence Française en Algérie étaient que des missions d'ouverture sur la civilisation Européenne et d'éducation du peuple algérien qui souffrait de l'analphabétisme politique et de la moindre condition de vie humaine.Au contraire, les algériens sont appelés à faire des éloges aux Français et rendre hommage à Mme "Faffa" qui leur avait fait que du bien en chassant d'ex-Numédia les "Darawich" de l'empire Ottoman qui n'avaient de leçons, à apprendre aux algériens, que de tourner en rond sur place.

    Chez nous, loin de ça, les roues de nos infrastructures fonctionnent, à pas surs, sans pétrole ni gaz, mais avec une volonté culturale d'autosuffisance. Un petit juif demandait à son père, «Pourquoi les musulmans comptent beaucoup de mendiants? Pour l'inciter à ne pas faire de même,il lui répond gentiment: "Parce qu’ils laissent, à la légère, le travail d'aujourd'hui, pour demain..!"».

    C'est le dicton qu'on peut appliquer à l’Algérie d'aujourd’hui. Elle récolte le fruit de l’abondance et la gratuité du pétrogazo-dollars et compte le plus grand nombre de faignants dans toute l'Afrique du nord. Le parti FLN au pouvoir arrive le premier, suivi du RND du premier thuriféraire Ahmed Ouyahya.

    Tous les membres et sympathisants de ces deux groupements d'opportunistes bénéficient périodiquement de forts privilèges dans le cadre  de la mobilisation indirecte au profit du palais d'Al Moradia, de ce qu'on appelle "la paix sociale", instaurée par Bouteflika, malgré sa négativité et sa polémique. Un grand bloc d'électorat prêt à répondre présents à chaque échéance soutenant le pouvoir en place, contrariant les autres masses populaires à chercher dans les décharges pour subvenir à leurs besoins. C'est ça l'Algérie de " fièreté et de dignité et de R'faâ rassak abba".

    Et aussi, pour faire taire leur opinion publique locale, les gouvernants algériens innovent et inventent l'issue la plus facile. pas pour sortir le pays de sa crise évidemment,mais pour faire perdurer le cauchemar socio-économique et pousser les algériens à avaler ses risques jusqu'au printemps 2019, le prochain rendez-vous des présidentielles.

    Ils font ainsi recours à la planche à billets,En tout, l’Algérie imprimera 1800 milliards de dinars et certainement  ultérieurement plus, en papier-chiffon. C'est le ministre algérien des finances qui le dit.. et c'est le financement non conventionnel, puisque l'Algérie ne dispose pas de de fonds de réserve suffisant? laissant la porte ouverte à toutes les dérives.

    Sachant l'opinion publique algérienne est convaincue que le fond de réserves d'Etat sur lequel se basait l’Algérie dans ses transactions monétaires s'est épuisé par rétrécie des revenus pétroliers d'une part, et de l'autre, par l'acquisition, via l'opération nationale "vole qui peut", des somptueuses villas, immeubles,habitations et propriétés privées d'Algériens à l'étranger, en France, en Suisse et en Espagne en hommage aux néo-Moujahidine,  hauts responsables Algériens qui se sont accaparé du pouvoir durant les cinq décennies d'existence de l'Algérie depuis 1962!?  et ça tout le monde le sait!, 

    Le Gouvernement avait  expliqué que l'objectif du recours à la planche à billets  avait pour but d'autoriser la Banque d'Algérie, à titre exceptionnel à faire préoccuper les algériens par la procédure du rachat direct de leurs titres émis par le trésor et faire , en sorte, compenser, par pas moins de la moitié  de ce premier lot de la planche à billet pour la prise en charge des dettes de la Sonatrach, la vache laitière de l'Algérie, bafouillée rappelons-le, par Chekib Khalil, le doyen de la corruption en Algérie, le convoyeur de fonds, de fortune et de trésor de la famille Bouteflika.

    Séismes et corruption..Si la wilaya algérienne de Béjaia (ex-Bougie) enregistre géo-physiquement des secousses telluriques de façon presque constante, la voila par mauvaise chance, elle est désormais contrainte  d'enregistrer d'autres séismes? Si le gouvernement algérien, rappelons-le, bat en profondeur tous ses tambours pour faire avaler aux algériens les risques du financement non conventionnel lié à la planche  à billet.

    Les gouvernants, les valets du cercle de décisions et les hommes d'Etat eux, en profitent librement, en contre partie, des facilités réservées aux valises diplomatiques, aux "passeports marrons" et aux personnes-vip et créent toutes les circonstances possibles pour transférer illicitement leurs fortunes en devises vers l'étranger.Car ils ne sont pas sûrs de leur avenir ni de celui de leurs enfants.

    Une pratique officieuse devenue normale en Algérie, tant que l'anarchie plane partout paralysant le pays, le Dinar-dz, de son coté, continue sa chute libre, la planche à billet est conçue pour inonder le pays en papier-chiffon. La loi régissant la douane officiellement, n'est faite en Algérie, que pour tromper, elle n'est  applicable que pour dissuader le simple citoyen Algérien faisant de la contrebande sa matière première pour survivre et qui n'a d'ailleurs pas de devise à l'instar des galonnés militaires, des politiques, des thuriféraires et opportunistes du pouvoir et les camarades d'Ali Haddad.

    Ce Ali Haddad, faut-il le rappeler, est l'équivalent de notre Meyam Ben Salah, la patronne des hommes d'affaires du CGEM au Maroc. Le monde algérien des affaires milite via l’intermédiaire d'Ali Haddad, le sponsor de la famille Bouteflika, pour que l'Algérie ne dépasse pas le stade minime d'un paradis fiscal, où la fiscalité reste très réduite en faveur du patronat algérien ou carrément nulle, en comparaison avec les niveaux d'imposition existant ailleurs. Et c'est vraiment, l'âme de la corruption étatique.

    Ainsi,La police algérienne des frontières aurait procédé, au fin novembre dernier, à l'arrestation d'une femme "Kabyle" à l'aéroport de Béjaia (ex-Bougie) à 220 kms à l'est d'Alger, s’apprêtant, dit-on, à quitter le territoire algérien, pour tentative de transfert de devises vers la France, elle en avait 50.000 Euros en sa possession, si on croit la presse algérienne.Un chef d'accusation facile à coller aux Kabyles surtout.

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