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  • Algérie : Que peut-il enfanter le hirak-dz..! Est-ce un Etat civil stable ou une nouvelle Syrie Taflikienne?

    Pour connaitre la vraie Algérie,cliquer sur ce lien : (les algériens parlent d'eux-même..les Français  témoignent) https://www.youtube.com/watch?v=mrMzMqUuvcg                                               

                                                                                      

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                                              Un peuple opprimé se déchaîne en expressions vulgaires

    Une mise au point ferme..(18/3/19). Mr.Nacer Boughita, le ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale réaffirme la position de non-ingérence du Maroc dans les événements en Algérie.

    La sortie du chef de la diplomatie Marocaine intervient suite aux allégations diffusées par certains médias algériens, polisario et des pré-payés Français, accusant le Maroc d’ingérence dans les affaires intérieures du voisin de l’Est.

    Dans une énième sale guerre médiatique, ces médias de la presse jaune, veulent impliquer le Maroc dans les guéguerres internes de l'Algérie, satisfaisant ainsi les bons de commande établis à cette fin, en leur faveur par les services secrets algériens du général Tartak.

    Consciente de la liberté d'expression qui prévaut au Maroc, la rédaction du blog  qui d'ailleurs ne peut lâcher la leste ou baisser les mains, décide en l'absence de quelqu'un qui oserait remuer la plaie algérienne, de se tenir à une attitude d'ingérence, du moins en virtuel, et ne s'abstiendrait pas, le cas échéant, de tout commentaire à ce sujet, tant que cet espace est ouvert à tout débat crédible et constructif. On peut, se moquer quelque fois de certaines personnes, mais on ne pourra pas se moquer, tout le temps, de tout le monde .

    On comprend la position de nos officiels dans ce sens. Neutralité diplomatique oblige. Ce que personne n'oserait comprendre, c'est le silence absolu de notre classe politique traditionnelle, artistes et intellectuels qui ont choisi de rester muets, comme si ce qui se passe à leur frontière-Est ne les intéresse point. Tandis que leurs pairs similaires algériens - persistent et signent criant, à chaque fois quand il s'agit de leur polisario, car eux ont du "nif" (le nez) , plus que nous autres Marocains!. Un nez de carton qui ne sentait, parait-il, que de la pourriture, tourné vers le ciel, en symbole de fierté, si on croit Karim Boukhari dans une de ses chroniques.

    Cela s’appelle chez nous : «rester en dehors de l’histoire, prendre ses distances avec le cours des choses et ne se mêler de rien». Au Maroc un dicton résume cet effacement volontaire: «ma'ddir kheir..ma'th'ra bass»…Si la nature a horreur du vide, la liberté aussi a du silence de ceux qui ont la voix, la capacité pour parler localement, de futilités de leurs adversaires politiques .

    Les Algériens du Maroc sont nombreux. Beaucoup d’ailleurs ont fui le pays au cours de la décennie noire des années 90.  Un traumatisme collectif qui a valu aux algériens de l'Algérie profonde de réfléchir plusieurs fois avant de lever la tête et de crier la colère qui remplit leurs poumons.

    Ça y est, depuis le 22/02, ils ont eu du courage ayant brisé le mur imaginaire de la peur. Un épouvantail  que le pouvoir hissait à chaque instant, quand il se sentait surtout menacé d'éventuelle désobéissance.Une situation d'instabilité qui avait contraint le pouvoir d'ouvrir les vannes d'offrandes et de corruptions enveloppées sous forme de "paix sociale" (Casher + argent + logements pour les thuriféraires-chanceux).Opération renforcée durant toute l'ère Bouteflika.

    Le Peuple algérien est majeur, conscient et responsable.Il décide seul de son destin et de son avenir.La jeunesse, les femmes, les associations professionnelles, les millions d’Algériennes et d’Algériens, en somme, qui manifestent depuis plusieurs semaines, n’ont pas besoin de tuteurs ou de conseillers pour exprimer leur ras-le bol ! Brandir des menaces qui n’existent que dans leurs esprits déformés ou agiter des épouvantails qui n’effraient plus personne ne serviront à rien.

    Les voir sortir aujourd’hui signifie qu’ils ont vaincu les peurs et les traumatismes. Ils n’en peuvent plus de vivre pauvres dans un pays riche, d’être tenus en laisse alors qu’ils habitent une terre de rebelles, d’avoir encore et encore un président qui n’est qu’un fantômeEt c’est pour cela que beaucoup de Marocains, et beaucoup de citoyens du monde, s’enthousiasment réellement pour les événements en cours en Algérie.

    Bref, les manifestations qui ont lieu en Algérie depuis le 22 février pour exiger le départ et le changement du système Bouteflika rappellent davantage ce qui s’est passé en Europe de l’Est et l’apparition d'un certain Michael Gorbatchev venu miraculeusement mettre fin  en 1989 à un bloc de mal caractérisé par l’URSS.

    «Ce puissant mouvement pacifique de contestation n’a rien à voir avec la confiscation par les militaires de la victoire du FIS au second tour des législatives de 1991. Là, il s’agit d’un système pourri mis en place depuis des décennies qui commence à se déverrouiller ».

    N'importe quel observateur peut qu'affirmer que ce qui se passe en Algérie, au-delà de son importance, signe le début d’un dégel du système qui était figé depuis l’arrivée au pouvoir du maudit Boumediene en juin 1965.

    Je ne suis pas experts en politique internationale, même si le renoncement de Bouteflika et l’amorce d’un nouveau processus institutionnel peuvent n’être que tactiques, une façon de gagner du temps, comme le soutient bon nombre d’observateurs, «une dynamique est en marche» en Algérie.

    Ce qu’il y a de bien avec les événements d’Algérie, c’est que les artistes et la classe intellectuelle sont là. Ils sont présents, ils apportent leur contribution. Ils ont dépassé leur peur. Ils sont sortis de leur coquille, de leur confort, de leur réserve. Ils ont quitté leur tour d’ivoire et ils font entendre leur voix. Ils donnent du sens à la colère de la rue. Ils expliquent et surtout ils s’impliquent.

    En tout état de cause. Je commence par une modeste analyse d'apprenti en politique étrangère,  postant, à la place des algériens, une question majeure. «Est-ce le pouvoir algérien peut-il rester sourd à cette exigence démocratique?» une question innocente que se posent aussi les experts de la chose algérienne!

    Selon un analyste Français chevronné, la réponse est certainement pas. Selon lui, ce qui se passe en Algérie a beaucoup de titres exemplaires et a beaucoup de titres aussi essentiels. C'est tout un peuple qui se réveille, des millions et des millions qui descendent dans la rue sans aucune violence, sans aucune agressivité, sans rien qui ressemble à ces mises en accusation et à ces menaces qu'on rencontre assez souvent y compris parfois en France, des actes de vandalisme perpétrés par les "gilets jaunes". 

    Les Algériens de la rue disent quelque chose de très simple, c'est que rien ne doit plus être comme avant. Rien dont l'organisation politique dans ce pays qui comme on l'en sait, et c'est le moins qu'on puisse dire, profondément verrouillée depuis longtemps, depuis des décennies, par ce que les algériens avérés appellent le système, c'est-à-dire, une organisation qui touche, à la fois, les services de sécurité, la police, les renseignements, et puis évidemment le pouvoir mafieux en place.

    Dans des cercles qui, chacun sait en Algérie, ne sont tous apparents.. y a beaucoup d'organisations qui sont discrètes qui agissent sans avoir étaient directement choisies par le peuple algérien. Et tout ceci-ci est incroyable d'abord, bouleversant même dans un système qui se faufile actuellement face à une érosion éminente.

    Je ne suis pas de ce monde dingue, pour y être concerné de près ou de loin, d'autant plus, je ne connais pas de responsables algériens vivant ce moment avec le sentiments d'engagement, de combat, de lutte, sont en train de déboucher sur un printemps du peuple algérien en continuité de la brèche d'octobre 1988 soldée, à l'époque, par une ouverture politique, dont l'auteur-généreux n'était qu'un homme d'Etat Algérien courageux qui s'appelait Chadli Ben Jdid.

    Alors, on sait très bien ce que sont ces mouvements, ça n'est pas parce qu'ils commencent très biens et qu'ils finissent très bien, il y a des menaces très importantes dans ce genre de manifestations, même si pacifiques.

    Ce que les Algériens disent tous, la réélection de Bouteflika ou le prolongement de son 4e mandat  au-delà du  28/4/19 ne se déroulera pas comme il a été engagée. Il faut que change l'organisation démocratique, et ça commence par une remise en cause de ce qui est annoncé, et donc les Algériens ont en le sentiment que de ce que est annoncé ne va pouvoir se dérouler comme prévu. 

    On suivant la situation, ici et là, surtout aux débats-plateaux de certains médias Français, je me suis dis : Comment se fait-il que la France officielle, la diplomatie Française surtout ne soit  pas capable de dire le 1/10e de ce que disent les politique en France au sujet de la révolte actuelle des Algériens?. 

    Et je me suis donné moi-même la réponse à cette interrogation. La France après tout avait raté le point de bascule sur la Tunisie, elle n'avait pas crue à la fin de Ben Ali, est-ce sera la même chose avec le cas de l'Algérie.Et c'est ça qu'ils faut regarder comme simple citoyen observateur du monde. Etant que l'Algérien qui vient de déguster l'âme de la liberté, n'est pas en mesure de lire entre les mots ou décrypter  le cas de sa nouvelle révolution. 

    Hé bien la différence c'est qu'on ce qui concerne les officiels ne concerne pas les officieux, dont je suis l'un de ces derniers. Moi je suis libre de paroles. Et le gouvernement de mon pays est en charge d'autres choses qui sont les évolutions éco-sociales de l'être Marocain partout où il se trouve.

    Ce n'est pas que les intérêts en politique étrangère de Mr. Boughita et consorts étrangers qui comptent, je ne crois pas que les autorités Marocaines, surtout celles de l'ombre, se déterminent uniquement en fonction des intérêts émanant d'un ennemi têtu. qui dépendait d'une foule défectueuse injectée, au dernier quart d'heure, au pouvoir naissant en Algérie, par les services secrets du général De Gaules, alors président de France

    L'accusation d'ingérence ou le risque d'être accusé d'ingérence.C'est évidemment pour le Maroc une contrainte, une exigence extrêmement forte. On se demandera, y a-t-il ingérence de vouloir soutenir le hirak Algérien? C'est exactement de cela que serait accusé le Maroc.

    Il n’empêche, mon lectorat me permettra de le dire, je sais à peu prés de ce que chacun de nos politiques pensent de la situation en Algérie et je sais très bien qu'ils sont profondément responsables de l’exécutif et de la politique étrangère Marocaine. Ils ont l'intention naturellement ou, en tout cas, la volonté d'être utiles pour que ce grand hirak-dz se passe du mieux possible.

    Pour être clair, le cadavre de Bouteflika n'est pas en mesure de se présenter. Les Algériens et le monde sachent qu'il ne peut même pas essuyer la salive qui entache  sa gueule. Et au bout de ces mandats successifs, le 5e parait, pour une grande partie de l'opinion publique algérienne et peut-être pour une grande partie des responsables algériens, même s'ils ne le disent pas comme le mandat de trop qui ne pourra être fait.

    Il y deux choses que les Algériens pourront constater, il y a l'état de santé d'un mourant et il y a l'usure d'un système, c'est le mot qu'emploient tous les responsables, les démocrates et les manifestants algériens.

    C'est que on est en Algérie, dans une société qui a été, durant des décennies, tellement verrouillée et le pouvoir en a face un peuple qui se réveille subitement, qui est joyeux, pacifique, qui a envie de montrer que les Algériens appartiennent aussi à la modernité, pour eux aussi le mot liberté n'est pas un mot interdit et ils le font de manière la plus positive et constructive possible.

    Et c'est ça qu'il faut regarder comme citoyen Marocain, en veillant à ce que tout cela ne dérive pas. Si possible, ce n'est pas notre affaire, ne soit pas récupéré, parce qu'on sait très bien  dans des cas pareils, que ce genre de risques existe.

    Les observateurs étaient très frappés par l'absence des islamistes du FIS, ils ne sont pas dans les mouvements, je ne parle pas des thuriféraires-islamistes existent autour du pouvoir comme (Mokri  et  Jaballah ). La société algérienne a choisi un chemin qui porte le plus d'espoir sans doute, ça ne veut pas dire qu'ils vont y arriver aisément. Je ne me dissimule aucun des risques. Mais les responsables, les démocrates algériens devant le surgissement de ceux qu'ils sont, au cours des décennies le plus espérés.

    Flash (17/3/19)..La rédaction du blog vient d'apprendre que les populations Marocaines vivant au Sahara Marocain oriental spolié par l'Algérie (Colomb-Béchar-Kenadsa-Abadla-Taghit-Adrar-O.Saoura-Timimoune et Tabelbala et Tindouf) n'ont pas manifesté le désir de participer à la vague de contestations populaires qui secoue l'Algérie depuis 22/02/19. Et pour cause :

    - 1/Préserver les privilèges rentiers que leur offre la générosité corruptible de l'FLN depuis la visite de Bouteflika à Colomb-Béchar en 1999 laquelle, selon une source locale, aurait confirmé l'Algérisation du Sahara Marocain oriental.

    - 2/ Garder une distance de neutralité face aux revendications politiques du peuple algérien pour ne pas provoquer le sanglier ou semer la zizanie dans une mentalité de 10 en 1 cervelle s'exprimant, publiquement,de façon vulgaire (slogan dessus) Pour les Algériens, c'est normal  un slogan pareil !!.

    - 3/ Développer l'espoir de voir une nouvelle république démocratique en Algérie qui aura du courage de revoir les fâcheux accords d'Evian ayant inclue le Sahara Marocain oriental en territoires algériens.

    -4/ S'abstenir, du moins à la foi la plus faible, ouvrant la voie moralement, à satisfaire le désir d'un Marocain qui se fait baptisé, pour ses positions anti-dz,  par les frères-ennemis-algériens de « Lhaj De Gaules » . Il souhaitait voir avant sa mort les « îles-plurielles الجزائر » éclatées en mille îles avec un drapeau plié à mille plis.

    La parole est à «Bach-agha¹»..(12/3/19).C'est une manœuvre galvaudée et une énième ruse que les héritiers algériens de" l'intelligence Oujdie" (les frères Bouteflika sur la mélodie de frères Bouchnaq) utilisaient à chaque fois que l’étau se serrait autour du coup d'un d'eux.

    Mais cette fois-ci, serait peut-être bien la fin de toutes les manœuvres hypocrites qu'ils appliquaient, auparavant à la stupidité d'un peuple dingue qui croit, sans réserve, au simple sourit d'hibou ou de chauve-sourie.

    A son retour de Genève, le clan présidentiel, sortait une lettre-miracle attribuée à Bouteflika, voire attribuée à«Boutefrika» comme le nommait dans son vivant feu Hassan que Dieu ait son âme? Un terme que j'utilise pour la première fois.

    La missive qui, apparemment, dépasse par son contenu politique, voire académique, le savoir-faire et l’intelligence, trop excessive, soit de Said et de son frère Nacer Bouteflika, aurait été libellée dans la chambre à coucher d'un d'entre eux, par le spécialiste notaire de la famille, connu des analystes, par ses capacités douteuses de mensonge et de déformation de réalités.

    Celle-ci récapitule,entre autres, 7 points inexécutables, sous forme d'opacité et de capitule, et ce pour désorienter, pour un certain moment, l'opinion publique locale et atténuer au maximum  la vague de contestations.

    Sur le fond, ce même clan se prépare, dit-on à Alger, pour gagner plus de temps, s'il n'est pas en train de prendre des mesures de sécurité autour du cimetière d'Al Aâlia qui, selon une source locale, pourrait accueillir enfin la cadavre de Bouteflika si on croit cette Suédoise d'origine algérienne qui confirme la mort définitive du fantôme? Visualisez la vidéo pour l'écouter (.https://youtu.be/UIEv0gn0ct0)

    Alors il y a donc vacance de pouvoir, une vacance incontournable soldée par limogeage de l'exécutif d'Ouyahya, affaibli, dit-on, par la pression de la rue. Allant contre la montre, le clan presido-familial s'active sur pied d'oeuvre au cercle de décisions pour redistribuer les rôles au but d'absorber davantage la colère de la rue Algérienne qui devienne, de plus en plus, très sensible et n'y croit pas aux images truquées et aux Photoshop de Bouteflika. Trucage dévoilé, faut-il souligner, par les experts Français du "petit journal"  du TF1. 

    Pour y arriver, il doit se baser, dans le meilleurs des cas, sur l'expérience fâcheuse d'opacité d'un certain maudit Ramdane Lahmamra, rappelé en rescousse pour y prendre les règnes de cette pièce théâtrale qu'on présente dans toutes les sales du cinéma d'Alger, au détriment de ce qui se passe dans la rue Algérienne.                                       

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    En tout état de cause, la nomination du duo Bedoui-Lahmamra est une  maladresse vers un peuple en colère.Le plus urgent, à mon sens, pour les Algériens de la rue est d’organiser des élections présidentielles avec un gouvernement neutre, consensuel, ayant l’aval de la pseudo-opposition et des acteurs du mouvement populaire.

    Il faut que ce gouvernement ait la neutralité et l’indépendance la plus totale. Il ne doit recevoir de directives ou d’ordres de personne. Il doit être doté des pleins pouvoirs pour préparer et gérer les élections présidentielles et gérer la période de transitions.

    La rue a le pouvoir, mais il lui manque la méthode pour passer à l’étape suivante. La relève n’est pas prête, ou du moins n’est-elle pas encore connue. C’est cette tâche qui incombe aujourd’hui à l’opposition et au pouvoir en même temps : «trouver les acteurs sincèrement capables de bâtir sur cet extraordinaire mouvement spontané les bases d’un avenir librement choisi par les Algériens». 

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                                                                      Vers la décharge de l'histoire algérienne    

    Je termine en concluant que le régime algérien réalise pas qu’en formulant des concessions tardives et insuffisantes, il a déjà perdu la partie. Il paie aujourd’hui son refus de laisser émerger des figures jeunes, en remplacement de la vieille garde, susceptibles de rénover le système et faire naître, tout simplement, la 2e république.

    J'estime  qu’il est trop tard et que la partie est déjà terminée.Le résumé de cette nouvelle ruse de l'entourage de Bouteflika est imposée à tous les Algériens de la rue. On voulait une élection sans Bouteflika, ils se retrouvaient avec Bouteflika sans élection..? C'est dire que «le loup le plus malin s'attrape au piège par ses quatre pattes».

                  (voir le compliment en pages jointes, c'est le même intitulé). 
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    -¹Bach-agha :  Un titre honorifique turc. L'équivalent de Super-Caid au Maroc.Agent engagé au service de la France au moment de l'Algérie Français.