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  •  Maroc-Algérie :Le régime algérien assure la garde d’un temple qui n’existe plus..!

      
     
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                                             Le temps d'autrefois (Gaid Salah, Said Boutef et AEK Bensalah)
     

    Liesse et fierté..Tout d'abord c’est avec liesse et fierté que les Marocains, ceux qui s'intéressent à la politique, qui suivent avec assiduité les redressements que SIDNA ne cesse d'opter à chaque occasion au niveau local, pour corriger toute faille, quelle qu'elle soit, du corps législatif, de l'exécutif avec ses supports partisans et plus encore, l'orientation de la société civile vers la consolidation de ses droits civiques, dans le cadre d'une approche basée sur l'équilibre entre le maintien de l'ordre public et le respect des droits de l'homme.

    Sachant dans ce domaine que l'Institut sécuritaire (Gendarmerie Royale et la Sûreté Nationale) est impliquée dans la coordination interne et internationale préservant les droits de l'homme, loin des soupçons calomnieux de l'Algérie via son polisario et ses acolytes étrangers.
     
    Saluant haut et fort, au niveau hors frontières, la poursuite silencieuse par la diplomatie Royale de rappeler raisonnablement à l'ordre tous les pays tombés, par ignorance, dans les gouffres de la propagande Algérienne concernant l'affaire du Sahara Marocain, tout en se réjouissant du leadership Marocain qui est en train de poser et tracer concrètement ses empreintes au continent Africain et là-bas en Amérique latine.
     
    Rappelant que ce leadership et la volonté constructive du Maroc aient décidé d'aller irréversiblement de l'avant, faisant tomber calmement,  les remparts ennemis, car c'est fini de duper le monde des pays nains, l'avenir en jugera positivement, par revirements majeurs de négativité qui en affaibliront certes, l'acharnement (l'Qfaza) des gouvernants en Algérie contre la raison et la légalité internationales. Qu'ils fassent amande honorable ou pas et se rendent à l'évidence, ça ne nous regarde pas. Ce que l'on sait d'eux, c'est qu'ils sont à l'origine de tous les maux qui entravent la normalisation avec le Maroc depuis leur arrivée au monde en 1962.
     
    Au fur et à la mesure de l'œil Royal de veille, de ses actes de redressement au bon sens, notre Royaume Chérifien progressera forcément, avançant en démocratie et en construction socio-économique pour atteindre certes, les rangs des pays les plus développés du tiers monde. En réforme, au Maroc, on est jamais mort, au contraire, on n'est toujours éveillés par les coups de sifflet du palais, dans l'attente de voir concrétiser sur terrain le plan révolutionnaire de développement économique que le Souverain souhaite jeter les bases pour un Maroc en mouvement.
     
    Nous, (le nous exprime la conviction de l'admin.) ne sommes pas intéressés par le remaniement ministériel tant attendu par les opportunistes politiciens qui s'attendent à une nouvelle chasse aux sorcières. En tout état de cause, cela n'en changera en rien au concret, sauf les figures, étant que le gouvernement de l'ombre, auquel est confié, généralement, le rôle d'aiguilleur, fait parfaitement l'affaire et veille bien que le navire accostera, aux normes de navigation, aux bons quais.
     
    Laissant de côtés, les frères-ennemis de l'est, stagner sur fond d'amertume dans leur haine et hostilité qu'ils ne cessent de nous afficher. Et si nos locomotives de divers secteurs marchent et y arrivent ponctuellement à destination, je ne serai pas besoin de répéter, les caravanes (au pluriel) passent et les chiens aboient, sachant que le pouvoir Algérien, après avoir été mis au pieds du mur dans l'affaire du Sahara Marocain, fût appelée de son intérieur, par slogans scandés de la rue lui clamant à se mettre à l'évidence et se débarrasser du polisario et de ses épines qui ne font que pourrir les pieds de l'Algérie dans toutes les instances internationales.
     
    Dans cette note je reviendrai à l'événement qui fait mal à la mentalité Algérienne. A un mois de l'anniversaire de la glorieuse Marche verte, initiée par le génie d'un Roi qui n'existait qu'au Maroc feu Hassan II que Dieu ait son âme, je ferai un tour d'horizon et y revoir les attitudes malencontreuses des Algériens qui en sont prises après cet événement de marque.
     
    Ces Marocains que nous sommes, nous apprécions, sans aucune réserve, les orientations royales contenues dans le dernier discours royal du trône.  Un discours référence, comme à l'accoutumée, a tendance à toujours inclure l'ordre dans l'ordre. Ces Marocains, je le répète encore, se préparent entre autres, à fêter le 44ème anniversaire de la marche verte, ajoutant du fait une énième raclé au pouvoir Algérien et à ses thuriféraires de toujours, qui en ce moment, ne savent plus sur quel pied danser.
     
    Tandis que le général-frivole de son temps, Gaid Salah jure trois fois sur sa saleté (dite honneur) que l'armée n'a aucune ambition politique, lui qui plonge déjà en politique, en terre-air-mer. A noter que cette racaille qui risque d'éclater en mille portions à cause d'une forte démoralisation est traitée avec un 'net mépris"par le peuple Algérien.
     
    Faut-il rappeler que l’événement de la marché verte a consacré une grandiose et lumineuse réalisation, parfaitement orchestrée par un monarque clairvoyant et son valeureux peuple. Elle a permis d’extirper le Sahara Marocain du joug colonial espagnol et de le rattacher à la mère patrie, sans coup férir. De même qu’elle a anticipé les manigances de voisins ingrats et comploteurs, bien que largement redevables au Maroc pour la liberté dont jouit leur pays.
     
    En alliant judicieusement stratégie militaire et pacifisme militant dans une marche pour la liberté, les Marocains et leur Monarchie ont pu intelligemment gagner la bataille territoriale, après celle juridique remportée à la cour internationale de justice de La Haye, le 16 octobre 1975, qui a confirmé l’existence de liens juridiques entre Le Maroc et les tribus du Sahara.
     
    Une animosité vivace..Il y a donc 44 ans que le Maroc a récupéré ses territoires du Sud, nonobstant les ambitions expansionnistes du maudit Algérien Boumediene et les menées subversives de Kadhafi, tous deux inconditionnellement soutenus par l'ex-bloc de l’Est de l’époque. Cependant, Kadhafi ne resta pas longtemps dans sa logique destructive. Il a fini par se ranger à la légalité internationale. Il lâchera le Polisario et cessera toute activité hostile contre l’intégrité territoriale du Maroc. Une autre prouesse à mettre à l’actif de feu Hassan II.
     
    Déçu par cette volte face et afin de parer au vide crée par cette inattendue défection, le maudit Boumediene a accentué et diversifié le soutien de l’Algérie au Polisario. Son ministre des affaires étrangères de l’époque, un certain Abdelaziz Bouteflika, s’était chargé de la besogne. Il a mis les appareils de l’État Algérien et ses ressources financières exclusivement au service des séparatistes qu'il participa à leur création engagée aux côtés de son parrain, le maudit Boukharouba, privant ainsi le peuple algérien d’une manne financière dont il avait tant besoin, selon Sid Ahmed Ghozali, ex-premier ministre Algérien, d'une manne qu'il n'a pas créée, ni lui ni les commanditaires qui l'ont ramené de sa traversée du désert, pas pour remuer la stagnation ou paître le troupeau dans la prairie, mais pour enfoncer davantage l'Algérie dans la plus grande corruption durant sa longue vingtaine de vaches maigres.
     
    Mort à répétition..Le maudit Boukharouba décédera en 1978 à la suite d'une mort de chien, le chien que le dicton lui attribuait, voire lui prônait avoir sept âmes. Oui une mort, à répétition, entre Alger et Moscou, classée floue, à l'instar de celles portant les mêmes symptômes de Jamal Abdenacer en 1970 et de Yasser Arafat en 2004, au sujet desquelles les services secrets, de par le monde, n'ont pu se prononcer ou de divulguer les tenants et les aboutissements y afférents, même si le "Mossad" était pointé du doigt, mis au collimateur de soupçons ayant trait à ces trois liquidations physiques silencieuses.
     
    Ce sont pour nous simples observateurs que des révélations officieuses et des suppositions, mais pour Ahmed Taleb El Ibrahimi, son ministre aux affaires étrangères qui l'accompagnait durant ses déplacements de maladie, il aurait été bien informé de l'origine d'empoisonnement de son maudit maître par le KGB Soviétique avec lequel l'Algérie s'était bien soumise et elle l'est encore probablement.
     
    Mais la politique belliqueuse du maudit Boukharouba, à l’égard du Maroc, ne sera pas enterrée pour autant. Ses successeurs l’ont maintenue vivace et son ancien ministre des affaires étrangères, devenu président, l’a promue en priorité étatique, anesthésiant le peuple Algérien d'illusions, du genre..,(R'faa rassak abba! fi jazaer l'Aêzza wal Karama ?) Dotant en plus la société algérienne d'un système de dérives autoritaires qui coupaient les souffles de toutes libertés. On s'étonne pas en contre partie, si la rue Algérienne soit le lieu privilégié des expressions publiques.
     
    Toujours rien que de la conspiration..Durant toutes ses années d'existence, l’Algérie officielle a tout tenté pour amputer le Maroc de son Sahara Marocain occidental pour cacher et dépasser en quelque sorte, l'autre problème épineux avec le même Maroc concernant l'autre Sahara oriental qu'elle héritait, sous table, de la France De Gaules. Pour s'enfuir en avant, elle achetait des voix de complaisance au sein d’organisations continentales  corrompues et a eu recours aux dictateurs de service. Ne tardant pas à financer partout des organismes de lobbying faisant de ce genre de financement la principale ressource de leur budget, pour accuser le Royaume de violation des Droits de l’Homme et de pillage de ressources. Elle a désinformé, calomnié.
     
    Des mesures de rétorsion complètement hallucinantes sont même venues compléter ce registre de la félonie. Le maudit algérien Boumediene que la malédiction divine soit toujours sur lui a fourgué au Maroc ses clandestins subsahariens et autres terroristes de ses binationaux, l'affaire d’hôtel ASNI à Marrakech 94 en témoigne. Il l’a inondé avec préméditation en psychotropes, de fausse monnaie, de cigarettes et de carburants de contrebande.
     
    La main tendue et une fleur dans le fusil..Par opposition, et même si la géographie ne lui a pas fait de cadeau en le gratifiant d’un aussi malveillant voisin, le Maroc a toujours veillé à ne pas insulter l’avenir, dans ses relations avec l’Algérie. Il a toujours privilégié la retenue et la modération. Il ne se défendait que contraint et forcé, sans jamais attaquer ou contre-attaquer. La main tendue et une fleur dans le fusil illustre parfaitement la politique que le Maroc a toujours pratiquée, à destination de ce voisin Algérien de mal, outrageusement encombrant.
     
    Toutes ces marques de bonne volonté n’ont malheureusement pas eu d’effet sur les dirigeants successifs de l’Algérie. Ils ne se sont jamais départis de leur esprit belliqueux envers le Maroc et leur voix et celles de leurs acolytes n’ont pratiquement pas arrêté de le dénigrer.
    Et subitement le silence…Aujourd’hui, après que le Maroc qui, selon les dirigeants d'Alger et leur presse jaune, aurait opté pour la défense des vraies et justes causes des Kabyles et Mozabites, l’Algérie officielle, aussi incroyable que cela puisse paraître, s’est enfermée dans un assourdissant silence.
     
    Elle semble subitement atteinte de profonde mutité, confrontée forcément à ses problèmes de tourmente déclenchés subitement par la rue Algérienne depuis le 22 février dernier, par des soulèvements qui exigent, tout simplement, le départ de tout le système avec son bourreau général Gaid Salah, devenu accidentellement le jumeau d'un Sissi qui se croyait de l'autre coté du Nil, l'ogre qui peut dévorer même les temples Pharaonnes. Quelques journaux de fonction ont bien essayé de dénier à ces minorités leur droit à l’autodétermination et à l’autonomie mais le manque d’argumentaire a limité la portée de leur paperasse. 
     
    Tel est pris qui croyait prendre..La logique bicéphale et le manque de cohérence d’un Bouteflika diminué assignent à la diplomatie algérienne et à sa mécanique propagandiste une équation improbable : «défendre l’indéfendable et justifier l’injustifiable». Des journaleux de circonstance s’en sont bien essayés, ils ont tourné en délateurs aventureux, allant jusqu’à vouloir priver les leaders des populations minoritaires de leurs droits les plus élémentaires, en preuve l'arrestation arbitraire du leader Mzab Dr.Kamal Eddine Fakhar en le poussant à mourir en prison, à cause dit-on, selon la thèse officielle par grève de la faim. 
     
    Le régime algérien et ses institutions sont attendus au tournant. Ils commencent à expérimenter une situation similaire à celle qu’ils ont crée à leur voisin de l'ouest, la Maroc, pire encore, ils sont paniqués par l'ampleur de l'instabilité et ne n'arrivent même pas à maîtriser les feux qui se propagent davantage chaque vendredi chez, "Aâmmi salah", comme le dénommaient avant les Ait Bouteflika, aux moments tranquilles  de joie et de liesse.
     
    Il y a 50 déjà, le Maroc se trouvait dans une situation, en marée haute et basse,  avec une voisine folle, qui ne respecte point le concept de voisinage, ne reconnaissant pas non plus la générosité du voisin qui la soutenait durant sa peine de libération. Et pourtant, ce Maroc-là continue de jeter les bases politiques, sociales et économique, devant bâtir son Etat de lois et de droits négligeant la folie et les aboies de cette voisine qui n'est qu"une Algérie à l'age d'adolescence. Il est même arrivé à inventer pour démocratiser ses populations le «concept de la régionalisation avancée».Un concept qui effectivement avance, à pas surs, suivant la décentralisation des pouvoirs qui s'effectue aux comptes goûtes, marchant au fur et à mesure de la pratique. 
            
    L’impossible parallèle..Il est vrai que, de par son appartenance historique au camp de l’Ouest et le caractère libéral de son régime, le Maroc a cumulé une longue et réelle expérience démocratique. Ce pays peut donc, en toute quiétude, se permettre de responsabiliser ses régions en leur offrant une forme d’autonomie que peu de pays oseront octroyer à leurs entités culturelles et géographiques. En sera-t-il de même pour l’Algérie? Sera-t-elle assez lucide pour emboîter le pas au Maroc et concéder à ses minorités Kabyles, Mozabites et autres les libertés individuelles et collectives qu’elles méritent?
     
    Sans verser dans le pessimisme, il faut bien concéder que, même avec la meilleure des volontés, nul ne peut faire un parallèle ou comparaison entre le Maroc et l’Algérie qui se trouve actuellement au bord de l'éclatement. Cette dernière a toujours fait partie du bloc de l’Est et campe encore sur ses ruines, bloc connu pour ses régimes dictatoriaux, ses partis uniques et l’embrigadement de ses populations. Cette appartenance ne lui a pas été bénéfique. Elle a dangereusement inhibé la mentalité du pays et favorisé l’émergence d’élites politiques imperméables à l’innovation et au partage de l’autorité. L'anarchie qui sévit en Algérie en est une parfaite illustration. Il garantit à l'homme fort actuel une momification tranquille au pourvoir comme son ex-parrain Bouteflika,qui faisant face en ce moment, au poids de ses péchés contre la générosité Marocaine, ainsi qu'à la culpabilité qui le hante dans son lit. C'est la fin d'une euphorie sans triomphe.!!?
     
    Progresser ou régresser, telle est la question..Il est indéniable que les démons du passé rongent aujourd'hui les apparatchiks dans la prison d'Al Harrach d'Alger. Ils traînent encore le poids de leurs anciennes alliances politiques. Ce comportement dénote la réticence presque animale ou l’incapacité chronique du régime actuel à se défaire de l’héritage d’une époque révolue.
     
    Et tant que cette situation persiste, il est quasiment impossible à l’Algérie de politiquement évoluer et donc d’économiquement se développer. Elle est appelée à se face violence, si réellement elle aspire à se débarrasser d’un système de gouvernance qui n’existe plus nulle part ailleurs. Un système renié par ses propres inventeurs, depuis belle lurette. Les Algériens doivent se rendre à l’évidence. Leur régime est le gardien d’un temple qui n’existe plus.
     
    Encore les résidus... D'autre part, les élucubrations de la presse algériennes sur le Maroc laissent beaucoup à désirer. Je ne sais pas ce qui est le plus pitoyable, les commères qui répandent les rumeurs ou les imbéciles qui les écoutent. Cette presse,toute tendance confondue, qui est un malade incurable, a rechuté encore, en répandant, à coup de titres racleurs, des ragots de mégères apprivoisées sur le Maroc. Ses canards en ligne, sous tendu par une vision d'hostilité, ne cessent de tirer aux boulets rouges sur le Maroc, attisant la haine, distillant le venin, en inventant encore des calomnies ou s’en prenant ouvertement pour l'accabler de critiques.
     
    Manipulé, c’est sûr, puisque reproduisant à l’envie ce qu’on lui souffle d’Alger et publiant une pléthore d’articles sans la moindre retenue, sans la moindre enquête, sans les recoupements nécessaires, faisant fi de la déontologie la plus élémentaire. Un travail d’intox et de manipulation indigne du professionnalisme! dont il se prévaut. Preuve qu’ils ne connaissent strictement -rien de chez rien- au paysage politique et militaire Marocain, selon tous leurs articles anti-Maroc.
     
    Un tissu d’approximations burlesques à travers lesquelles, cette presse a tenté de faire accroire à ses dupes protégés à l’existence d’un conflit, entre le Royaume du Maroc et leur sale créature le polisario, incluant la Munirso dans ce prétendu conflit. Cela a donné la preuve de toute sa large ignorance des situations se contentant de reproduire bêtement, en ce moment du vide au pouvoir d'Alger, ce qu’on lui sert de la 3°région militaire de Colomb-Bechar dont dépend. Tindouf.
     
    Voilà les vaillants journalistes algériens, commettent trop d'articles sur le même sujet en l’espace de tout temps. Dans le jargon journalistique, cela s’appelle du lynchage médiatique. Mais dans l’esprit malade algérien, un mensonge, c’est un peu comme un clou : plus on tape dessus, plus il rentre, mais seulement dans la tête de gogos avides  qui ne pigent rien sur la situation au Maroc.
     
    Cela fait trois décennies au moins qu’on en parle aux algériens de succès et de progrès avec le résultat "nul" qu'ils savent déjà. Pour la transition énergétique par exemple ? Le régime a attendu la réduction de la rente et la chute pétrolière pour engager la réflexion. Là encore, l'Algérie n'arrivera jamais, au point où le Maroc avance et crée ses propres énergies dont le gigantesque projet solaire "NOOR" d'Ouarzazat faisant le sanctus sans équivoque.
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    Un témoin des siens en témoigne..Dans une interview, Sid Ahmed Ghozali, ex-premier ministre Algérien se déchaîne pour confirmer, je cite : Il ne faut donc pas se tromper d’enjeu. Le problème de l'Algérie est dramatiquement plus grave : la faillite de la gestion économique du pays. «Nous vivons avec une richesse que nous ne créons pas. Pendant quinze ans, on a jeté par les fenêtres des brassées de milliards de dollars, on a endormi l’opinion dans l’euphorie financière artificielle. Je ne contribuerai pas à alimenter cette grossière propagande qui consiste à anesthésier encore le peuple algérien».
     
    Le simple algérien, qualifie la situation en Algérie de «plus grave», l’attribuant non à la chute des prix du pétrole, mais plutôt à l’incurie de la mauvaise gouvernance. Depuis les premières étincelles de chute du prix de pétrole à l'échelon internationale, le pouvoir Algérien enfonce dans les esprits des siens que le problème de l'Algérie est lié au prix du pétrole… C’est-à-dire, la faute à l’étranger? En fait, cette baisse du prix du pétrole a levé le rideau sur une situation tragique entièrement due à l’incurie de la mauvaise gestion: Les Algériens vivent, ou plutôt les gouvernants corrompus dilapidaient une richesse qui leur tombe du ciel et qu'ils n'en créaient pas.

    Pas moins de 1000 milliards ont en effet été glanés, dilapidés et partis en fumée durant «l’embellie pétrolière». Dans ses trois premiers mandats, Bouteflika voulait imiter les grands projets d'infrastructure du Maroc (mosquée Hassan II de Casablanca et les autoroutes), par des projets grandiloquents mais sans impact économique aucun, sauf dans l’acquisition d’armements ferrailles en surabondance et dans l’achat de la «paix sociale», quand ce n’est pas des «corruptions flagrantes», en Afrique et en Amérique Latine, notamment, rien que pour contrer les intérêts du pays voisin, en l'occurrence «l’intégrité territoriale du royaume du Maroc».fin de citation.  

    Vole et sauve qui peut..En Algérie, certains lobbyistes veulent absolument faire croire aux Algériens qu’un régime militaire offrirait au pays un État nettement moins corrompu, moins vermoulu. Il s’avère que cette croyance est totalement fausse et infondée car par le passé, le diktat des autorités militaires en Algérie avait donné lieu à des dilapidations de deniers publics sans précédent de l’histoire de l'Algérie et les preuves se bousculent aujourd'hui à la prison d'Al Harrach d'Alger.

    Attention au feu..Cela étant est une parfaite démonstration, laissant le choix au hasard d'assécher ou pas les boues de corruption, écartant du besogne l'ignorance d'Ahmed Gaid Salah, le moment où le peuple Algérien censé faire preuve de convergence entre (le six ou neuf sis en gravure) au lieu de jouer vaguement à la marée politique, écoulant le précieux temps mort de l'Algérie, en tant que nation opprimée, assoiffée de liberté, attendant l'incertain des marches de vendredi.

    Et que les Algériens n’oublieront surtout pas dans cette pagaille, et c'est le plus important, de laisser le Maroc tranquille..! Et ne jamais sous-estimer le pouvoir du retour de flammes de la guerre des sables avec un nouveau Driss Ben Omar et une violence inouïe d'une dextérité extrêmement flagrante.

    Comment m'est venue l'envie de rappeler cette gifle de 1963 et remuer le couteau dans la plaie? Hé bien, parce que j'ai entendu parler, via une plate forme de discussion en paltalk, un dupe Algérien se vantait la victoire de la racaille Algérienne (dite armée) sur l'armée Royale dans cette guerre dirigée contre le Maroc par une fâcheuse Alliance de trahison égypto-algérienne, qui selon ce connard paltalkiste , fût soldée par une grande perte humaine du côté Marocain! sans citer la défaite flagrant de Boukhrouba en l'objet? L'histoire est seule habilitée à démentir l'arrogance des Algériens dans ce sens »

    Ce est bien à ma foi, les points de vue d'observateur qui connait bien la pâte Algérienne et qui suit avec assiduité les failles de la mafia d'Alger, depuis sa naissance, dans torchon blanc au Maroc.Oui je dis bien au Maroc, tant que ma conviction est basée sur crédibilité, sincérité et aveux de personnalités nationales Algériennes, dignes de foi, en l'occurrence : MM.Feus Ferhat Abbas, Benyoussef Ben Khadda, les premiers présidents et Abdelhamid Mehri,  bien qu'ils s’étaient largement reconnaissants et redevables au Maroc pour l'indépendance dont jouit actuellement l'Algérie. Bonne lecture.

                                                                          Chihab25                                                           

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                                                          Le général  Old El Ghazouani..
     
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    Était-il un des lauréats de l'ARM de Meknes?. Jusque-là, on ignore tout de sa formation. En tout cas, bravo pour son coup de poing au ventre de Brahim R'khiss du polisario. Une première gifle de grande ampleur certes, celle concernant le mur de protection qu'il projette édifier, pour éviter ainsi, l'infiltration prohibée du polisario en Mauritanie. Et bravo aussi pour le -non catégorique - à la naturalisation de ses mercenaires. C'est le bon chemin, bien choisit pour garantir la stabilité de Mauritanie, effaçant en perspective, les mauvaises traces d'un certain Mohamed Old Abdelaziz qui s'est montré ingrat envers le Maroc qui l'a retiré de ses entraves bédouines, l'Académie Royale Militaire de Meknes en témoigne.  
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    Vidéos : L'homme qui dirige le débat (Hicham Abboud) ex-rédacteur en chef de la revue "ljaich"..il connaît bien les failles de Gaid Salah. L'homme au cravate rouge dans la première et cravate bleu rayé dans la deuxième vidéo, (Habib Aich) est un Cadi limogé après avoir dit non aux ordres téléphoniques du général.. Par connaissance de faits, regardez comment il s'exprime.Et Les aveux de celui qu'on dénommait avant de"Rabb Dzaer"