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  • La «Marocophobie» hystérique d'Alger pousse ses caporaux-fr à s'imposer en Hommes diplomates..

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                              أوروبا تحت الصدمة إثر فيضانات خلفت 120 قتيلا والحصيلة قابلة للارتفاع                                                                                l'éboulement ,C'est  l'avenir de l'Algérie                             

    Je m'explique : «Quand la vérité éclate». Je ne trouve pas mieux dire plus que ça et d'afficher en parallèle, cette gravure d'éboulement pour présenter l'état actuel que traverse l'Algérie en ce temps du duo de mal Tebbou/Chengri, qui vole "à l'arrachée" ce qui reste de la dignité Algérienne, s'il en avait déjà une dignité à respecter.

    Devant leur faiblesse, face à la logique et la crédibilité Marocaines, les Algériens ne trouvent quoi dire.. sauf employer des termes déshonorant.

    De routine ils ont l'habitude de considérer tout Marocain de "Sorcier", ils sont abusivement orgueilleux, ils en ont de nature l'esprit idiot, le sentiment de stupidité et de débandage. 

    Je leur confirmerais par mes simples écrits anti-dz, que j'aime pas en parler de caractère, mais j'évoque à ma manière, ce que je crois réel qui les frappe mentalement en plein fouet.

    Ce que j'écris contre l'hostilité Algérienne  n'est pas du vante et ne serait pas du faux langage non plus ni d'amuse-bouches. Je ne voguerais pas au sens d'abrutir ni au terme de «2 poids et 2 mesures», focalisant mes écrits sur l'ingratitude du pouvoir mafieux d'Alger qui ne trouve quoi harceler que la grandeur Marocaine. 

    Patinatge-dz..Dans une déclaration houleuses à l’agence de presse algérienne, Amar Belani, un pseudo-responsable dans le ministère algérien des Affaires mensongères étrangères et porteur d'un titre pompeux, celui d’«envoyé spécial chargé de la question du Sahara Marocain qu'ils appellent "occidental" et des pays du Maghreb», a affirmé je cite :

    «Nous confirmons notre rejet formel et irréversible de ce format dit des tables rondes et nous avons instruit notre représentant permanent à New York à l’effet de notifier cette position du gouvernement algérien au président du conseil Algérien de Sécurité, en lui demandant de faire circuler la note verbale en question à tous les membres du Conseil».

    Cette note amère indique : Effectivement, les Marocains ne sont ni les premiers ni les derniers du monde arabe à renouer avec l’État d’Israël.Quant à nous Algériens nous  "emmerdons" l'orgueil aveugle dont nous sommes atteints et qui nous attache les pieds pour ne pas aller là-bas détruire la porte des Marocains à Jérusalem.
     
    1-Ils ont fait prisonnier notre concitoyen Said Chengriha aux Amgala76 dans ce qu'ils considèrent leur Sahara Marocain...-Ils nous dépassent dans tout les domaines y compris dans leurs saines mentalités...-Ils ont le TGV et le port Tanger-Med aux spécifiques internationales qui apporte et rapporte très bien à la trésorerie du Maroc...D'autant plus,ils ont des autoroutes qui fonctionnent sans fissures. 2-Ils ont des milliers de kilomètres allongeant l’Atlantique et la Méditerranée...revendiquant davantage de territoires de chez nous en l'occurrence ce qu'ils appellent leur Sahara oriental (Colomb-Béchar et toute la Saoura)  et Sebta et Melila et les iles Canaris d'Espagne. 3-Ils ont des ascenseurs qui marchent comme sur des roulettes...-Ils ont des barrages pleins d’eau...-Ils ont une agriculture florissante et exportent...-Ils ont du phosphate, qu’ils savent exploiter. 4-Ils ont des fruits exotiques...-Ils ont des lobbys juifs qui les défendent en Amérique et partout...-Ils ont des fruits et légumes à profusion...5-Ils ont de bonnes plages surtout à Saâidia face au port Sey au nord-ouest de l' Algérie. A Dakhla avec sa vaste baie au «Sahara Marocain» offrent gratuitement du sport nautique aux visiteurs..qu'ils soient locaux ou étrangers. 6-Ils ont le sens d'un silence mortel. ils n’ont pas eu à subir l’impérialisme ottoman comme en Algérie»
     
    Et d'ajouter..les Français nous ont colonisés pendant 132 ans, par contre eux, les Marocains ont été protégés par un protectorat régulé. Je les hais, il faut leur rentrer dans le lard; il faut qu’ils tomberont au même niveau que nous, nous ferons tout pour que cette prospérité soit détruite! Nous souhaiterons qu'avec le temps, nous allons les «Algerieniser!». fin de citation

    Je me donne un peu de peine pas, pour lui répondre, mais pour dévoiler davantage les conneries Algériennes, dont nous en sommes souvent habitués.--Pour eux, critiquer le Maroc, c’est être Algérien. Faire la guerre avec les Marocains, c'est se venger aux orphelins des défaites Algériennes depuis la guerre des sables. Exiger la liberté à ses "Sahraoui" de Tindouf, c'est le devoir qui s'impose par les ruines d'une guerre froide, encore vivante dans l'esprit Algérien. défendant la vision de supériorité à "l'Algérienne". Tout cela est bassement ramené à une chose : à une «Algérie, de fausse démoniaque et populaire». Que faudrait-il faire avec une folie pareille?

    Sachez, que j'évite souvent de lire leurs commentaires au bas de mes chroniques anti-dz que j’écrivais ou des articles me concernant. Il ne s’agit en aucun cas d’indifférence et encore moins de mépris à l’égard de mes lecteurs, mais j’ai appris, à l’usage, que la toile pouvait être un espace extrêmement nocif, où la méchanceté gratuite, l’appel à la haine et l’insulte étaient monnaie courante des lecteurs Algériens chargés de cette mission.

    Pour protéger la quiétude de mon lectorat et me permettre de lui passer des idées agréablement saines, je me préserve donc de tout cela.Lorsque je me suis aperçu que mon blog est devenu un espace public, j’essayerai toujours par narcissisme et par curiosité de ne pas commettre d’erreurs.

    Et là, il m’est arrivé; en découvrant la teneur des commentaires de personnes qui me lisent et que je n’avais jamais rencontrées de ne pas perdre le courage de continuer , tant qu'ils me semblaient vouer le respect à mes articles, sans me laisser attrister par la bêtise des anonymes Algériens et par leur cruauté.

    Qu’on critique,mes prises de position, ou même ma façon d’être, très farouche envers leur Algérie, je peux sans peine l’accepter, j’aurai même pas du mal à le supporter.La plupart du temps, j’applique les raisons avisés. Mais il y a bien sûr des exceptions à la règle     

    Et pourtant, réjouis de revenir incontestablement au vif du sujet qui les vexe davantage, en leur rappelant que «Le Sahara Marocain libéré est dans son Maroc définitivement et pour l'éternité, comme le disait SIDNA dans ses discours La Marocanité du Sahara est irréversible, cherchons l'issue d'en finir avec ce problème

    Je recommande à ce sujet au lectorat de visualiser la vidéo ci-dessous (25,30 mnt), dont le lien est : «https://www.youtube.com/watch?v=Sp3FE6gtj2k», dans laquelle on trouvera le prof Universitaire Mr. Noureddine Bel Haddad faisant à Marrakech un exposé particulier, en dialectal Marocain autour de la Marocanité du Sahara. A ne pas rater pour en finir une fois pour toutes avec les interrogations et les fourbies de l'Algérie autour de notre intégrité territoriale.

    Qu'en déplaise au régime militaire Algérien que domine les fils des maisons closes de l'Algérie Française d'autrefois qui rêvent inlassablement d'une ouverture sur l'Atlantique au détriment de l'intégrité territoriale du Royaume Chérifien du Maroc.

    Une ouverture pourquoi, s'interrogeant-on? Pour déguster gratuitement le poisson frais de Dakhla, transférer le fer extrait de 'Ghar Jbilat' se trouvant aux alentours de Tindouf. Ce gisement, rappelons-le, avait fait l'objet d'un accord d'exploitation commune Algéro-Marocaine, dont la signature y afférente des deux pays était supervisée par le président de l'Union Soviétique de l'époque Mr. Léonid Brejnev.

    La Marocanité de Tindouf et sa région ne constituaient pas de divergence entre le Maroc et l'Algérie, si on prend compte la propre conviction d'Ahmed Ben Bella, qui l'exprimait en 1964 en tant que président Algérien devant la presse internationale qui l'aurait enregistrée.

    La création du problème autour de la Marocanité du Sahara  était  une triste aventure absurde et sans lendemain conçue durant son vivant par un certain Boukharouba, le maudit ex-président Algérien que la malédiction divine soit toujours sur sa tombe.

    Une aventure échouée qui a couté à l'Algérie en un demi siècle la bagatelle de 800 milliards de dollars, selon les évaluations des experts de l'Algérie.Au détriment de vie misérable du peuple Algérien qui croupit dans la misère noire malgré sa richesse en gaz et en pétrole. Des centaines de ses milliards de dollars dépensés inutilement pour entretenir une bande de mercenaires dite "le polisario".

    Des ressources du gaz et du pétrole dont il est privé le peuple Algérien aurait du servir à assurer le minimum de bien être aux Algériens sont parties en fumée.Le régime militaire arrogant et aventurier Algérien peut toujours continuer, à courir derrière les "moulins de vent" pour attraper le mirage, dépensant davantage à "fond perdu" d'autres centaines de milliards pour satisfaire le diable, mais le Sahara Marocain demeurera Marocain pour toujours jusqu'à la fin du monde.

    Le rêve utopique Algérien de se disposer d'une fenêtre sur l'Atlantique à travers la création d'un micro-Etat pour son polisario sur des terres Marocaines est mort une fois pour toutes et enterré dans la tombe de Boukharouba. Aucune force au monde aussi puissante que se soit ne pourrait faire sortir le peuple Marocain de ses territoires du sud, du Sakia Lhamra et Oued Eddahab qu'il avait pacifiquement libérés d'Espagnols.

    La mascotte des galonnés algériens, un opportuniste général dit "Mohamed Kaïdi", venait de ressortir le discours fossilisé de sa hiérarchie militaire sur le Sahara Marocain. Cette fois-ci, pour jouer fort, il a choisi comme tribune une intervention par visioconférence de haut rang de l’Otan où son Algérie se brule pour s'y approcher, regrettant la présence du Maroc comme observateur admis et de partenaire potentiellement assidu.

    Ainsi, en mars 2021, ce capo-général, chargé, entre autres, dit-on, des relations extérieures de l’armée algérienne, a présenté une conférence, à distance, devant les étudiants militaires du Collège de défense de l'OTAN à Rome, en Italie.

    Intervenant sur «Le rôle de l’Algérie dans le maintien de la stabilité dans la région et sa coopération avec l’OTAN», ce militaire algérien se devait d’être rassurant sur les menaces sécuritaires qui pèsent sur les pays des deux rives de la Méditerranée de la part des groupes armés Algériens de Mokhtar Bel Mokhtar (le borgne) encore très actifs sur le flanc sud de l’Algérie.

    Et parmi ces groupes, les séparatistes du Polisario constituent une source de préoccupation pour la dite région, d'autant qu’ils viennent, sous la pression de l’Algérie, de rompre unilatéralement les accords de cessez-le-feu au Sahara, qu’ils ont signés en 1991 avec l’ONU.

    Mais l'intervention Marocaine à "El Guarguarat" était là pour chasser les sorcières et s'emparer pacifiquement de toute malveillance ennemie. Une opération d'envergure hautement saluée, par les experts des faits militaires et par la communauté internationale.malgré les aboies et les cris d'alarme de l'Algérie.

    Comme explication à ce bellicisme voulu par l’Algérie, Un énième pion-Chengriha a quitté le champ des militaires, responsables de la défense des frontières et de la sécurité, et a relayé les éléments de langage, repris par son président aux diplomates Algériens rassemblés de tout bord à Alger pour écouter des connerie Tebbounistes.

    Il n'est pas surprenant pour nous Marocains d'écouter et réécouter le contenue du disque creux que l'Algérie fait tourner depuis plus de six décennies indiquant que «le conflit du Sahara "occidental" est une affaire de décolonisation par référendum d’autodétermination» conformément à la prétention expansionniste Algériennes évidemment.

    Bien évidemment, ce général, à l’instar de sa hiérarchie, ne comprend rien au droit international, puisque le Conseil de sécurité reconnaît désormais que si le Sahara Marocain alias, "occidental" a été effectivement une région colonisée par l’Espagne, il n’en demeure pas moins que ce territoire, depuis que l'homme a commencé à tenir la chronique de l'histoire, n’a jamais constitué un pays ou même présenté les ingrédients d’une entité souveraine, avant que Boukharouba et le fou du siècle Kaddafi ne créent une œuvre éphémère, à quatre mains, baptisée RASD.

    Le Conseil de sécurité est conscient de cette réalité et ses dernières résolutions participent de la restauration de la vérité historique Marocaine. C’est ce qu’expriment clairement les résolutions 2494 d’octobre 2019, 2548 d’octobre 2020 et 2602 d'octobre 2021, à travers lesquelles l’exécutif de l’ONU prône, sans équivoque, une solution politique et réaliste, parfaitement en phase avec le plan d’autonomie mis sur la table par le Maroc en 2007.

    Cette solution réaliste est désormais largement soutenue par la communauté internationale, car elle a le mérite de mettre en œuvre dans le respect total de l’intégrité territoriale du Maroc.contrairement à la résolution «1514» dont l'Algérie veut imposer l'exécution pour permettre, selon sa vision expansionniste, à ses Sahraoui de Tindouf  qui attendent, le "référendum d'autodétermination" de s'exprimer "librement" sous la toile Algérienne évidemment.

    Mais, il faut reconnaître qu’en parlant du Sahara Marocain devant des étudiants de l’Otan, à travers un langage fossilisé datant de l’ère du Pacte de Varsovie, l'Algérie avait peu de chance de convaincre des interlocuteurs jeunes, portés sur les défis de demain. Mais devant la débâcle de la diplomatie algérienne, l’armée des généraux tombe le masque et montre que c’est davantage son visage est engloutissement submergé dans la politique qu’elle exerce, sans se donner d'importance à ses missions traditionnellement dévolues à une armée.

    Mais pour ceux qui connaissent ce perroquet du pouvoir, ces déclarations restent dénuées de toute conviction chez leur auteur lui-même, connu pour être un caméléon qui a montré sa capacité d’adaptation en servant tous les clans militaires Algériens qui s’entredéchirent pour mettre le pays à leurs bottes.

    En effet, il est âgé de 60 ans, a intégré l’armée algérienne au milieu des années 80, avant de devenir, par pousse qui peut, son plus jeune général en 2012. C’est parallèlement à la montée en puissance du maudit général, "l'inhumé" Gaïd Salah qu’il va connaître une ascension fulgurante, en devenant le visage bancable d’une armée de généraux séniles.

    Promu général-major, il a été à un doigt de devenir le patron de l’ex-Département de la sécurité et du renseignement reconstitué par Gaïd Salah, sur les ruines de Toufik jeté en prison pour désobéissance aux ordres militaires fallacieux de Quermit Bounouira, le secrétaire particulier du centre de déchets de la présidence Algérienne. 

    Surnommé «El Manjel» ou «coupeur de têtes», pour avoir tiré "à bout portant" à l’ombre bien sûr sur d'autres généraux, c'était l'ex-tortionnaires et bras droit de Gaïd Salah, est l’un des très rares hommes de l’ancien chef d’état-major à avoir échappé à la purge menée par Saïd Chengriha contre le clan de son prédécesseur.

    Alors qu’on le croyait promis à la prison militaire de Ben Aknoun, ce jeton sera promu au très haut poste de chef du Département emploi et préparation au sein de l’état-major de l’armée, un poste stratégique et sensible qui a pour mission la coordination opérationnelle entre les différents corps de l’armée: terre, air, mer.

    Il a échappé très probablement à la prison, parce qu’il fait office de mascotte pour les généraux algériens, dont la moyenne d’âge vacille entre 75 et 90 ans. Montrer un général relativement jeune à des interlocuteurs étrangers est une carte de visite vitale pour l’armée algérienne, commandée par des grabataires. C’est cette façade en trompe-l’œil qui explique sa survie à l’ancien régime de Gaïd Salah.

    Selon ses détracteurs, il pourra sévir pendant de longues années encore, tant que les plus hauts gradés de l’armée algérienne, Chengriha en ligne de mire, affichent respectivement au compteur 90 ans.  Sous le titre L’Afrique, le Maroc et le Neandertal algérien, le site algérien "Le Matin" a publié une analyse qui en dit long sur le sentiment qui prévaut à Alger quant à la politique africaine de l’Algérie comparée à celle que mène sur le continent Sa Majesté le Roi Mohamed VI.

    Il y a dans le texte un brin de nostalgie pour l’ère de Boumediene, qui pousse le regret jusqu’à croire que Rabat s’inspire de ce dernier dans son action diplomatique. C’est une exagération qui vaut rien dire au concret et qui n’enlève rien à la qualité de l’analyse. Au lectorat d'en juger.

    «C’est par des sorties médiatiques ennuyeuses que Tebboune voulait se sacrifier en se lançant contre la locomotive Marocaine. Mais hélas, il a entre ses mains un train en panne dont les gavons sont totalement vides de tout, surtout de politique étrangère et de bon voisinage.

    Que faire donc avec un train déjà en arrêt au terminus, au dernier quais de propagande avec des roues rouillées après une lente et régulière stagnation puis dépérissement de la marchandise qu'il souhaitait imposer aux consommateurs ennemis après s’être si longtemps isolé du monde qui l’entoure, que le Neandertal algérien est sorti de sa grotte pour, dit-il, "s’ouvrir sur l’Afrique."tout en mettant hors état de nuire le Maroc. 

    Il y a urgence, en effet : son voisin le Maroc est en train d’étendre son influence dans le continent à une vitesse impressionnante et l’heure est venue, pense le Neandertal, de lui faire pièce. Mais avec quoi ?

    Comment séduire les Africains, à la recherche de modernité, quand on ne possède même pas le payement, que les trains comme les avions n’arrivent jamais à l’heure et qu’un président malade pense déjà attaquer  et vaincre facilement le Maroc là où ses prédécesseurs, avec la haine et l'hostilité qu'ils en portaient envers lui, ont amèrement échoué  ?

    Avec quoi honorer un partenariat avec l’Afrique ? Avec une industrie d'imagination ? Avec une production hors-hydrocarbures quasi-nulle ? Avec des investisseurs locaux, réduits à l’immobilisme ? Avec un si grand retard sur le monde et sur les formes modernes de gestion et de gouvernance ?

    Il serait miraculeux que le régime Algérien qui a réussi la gageure d’appauvrir sa population après 20.ans de rentrées financières exceptionnelles, qui n’a pas fait progresser d’un iota l’économie hors-hydrocarbures durant tout ce temps-là, un pouvoir qui a dilapidé mille milliards de dollars sans édifier une seule usine, soit un modèle pour les nations africaines qui croient, autrement à la logique et à la crédibilité du Maroc. 

    15 ans, rappelons-le, est le temps qu’a mis la Corée du sud pour devenir une puissance économique mondiale. Mais ne le dites surtout pas à M.Lahmamra, qui revient pour faire du bruit contre le Maroc.Dans son nouvel agenda, celui-ci croit que nous sommes toujours au siècle passé. "L'Afrique a incontestablement tous les atouts qui s'offrent à celui qui a le courage et la détermination d'y aller."

    Le courage d’y aller ? Que vient faire cette formule dans la bouche d’un diplomate africain ? L’Afrique, pour lui, serait-elle toujours celle des méchants Zoulous, lance à la main, prêts à embrocher l’intrus blanc ? Une gaffe appelant une autre, le nouveau chef de la diplomatie Algérienne annonce que l'Algérie, "plus grand pays africain et arabe, est une partie intégrante de l'Afrique et du destin de l'Afrique". N’y a-t-il personne pour réveiller Lahmamra ?

    L’Algérie plus grand pays africain et arabe dans quel domaine? Peut-être en hypocrisie,,Oui ou encore plus en orgueil, comme on s’en vantait. "One, two, three, viva l’Algérie !" Mais la vraie vie, c’est bien plus compliquée qu’un coup-franc de Mesahal ou une fausse percée de Bougadoume.

    Au classement des pays les plus prospères en Afrique, élaboré par le Think thank Legatum Intsitute, basé à Londres, et qui prend en compte l’économie, le climat des affaires, la gouvernance, la santé, l’éducation, la sécurité, la liberté d'expression ou encore le capital social, "l’Algérie plus grand pays africain et arabe", n'est même pas, avec son pétrole, dans le top 10 africain, figurant à la 14e place, derrière l'île Maurice, l'Afrique du Sud, le Botswana, la Namibie, le Ghana, la Tunisie, le Sénégal ou...le Maroc ! 

    C’est donc ainsi que Lahmamra entend partir à la conquête de l’Afrique : avec deux préjugés, trois boniments et une bouteille de scotch. J’ai bien peur que cela ne suffise pas et qu’il faut bien d'autres choses à proposer, des choses simples comme un projet à partager, des banques et des entreprises modernes, une diplomatie novatrice, une vision, un plan d’action, une patiente stratégie de rapprochement et une diplomatie silencieuse. Tout ce que la nouvelle Algérie de Tebboune n’a pas. Tout ce qu’elle a méprisé, ignoré, cassé parfois. elle ne sort pas indemne de 20 années(18 de Bouteflika et 2 de Tebboune) de politique archaïque, de domination autocratique, de démantèlement des institutions de l’État.

    L’Algérie, aujourd’hui de Tebboune/Chengri, est un pays sans influence, sans ambition, sans envergure. L’Algérie n’est non seulement pas considérée comme "le plus grand État africain", mais, pour beaucoup, pas considérée du tout, inconnue, une vague contrée au nord, où il y a la mer et du pétrole.

    En ces 20 ans de règne orphelins, et en dehors des sommets de l’UA, Tebboune n’a fait aucune visite officielle dans un pays d’Afrique depuis son élection-protestée, sauf accidentellement cette minuscule politiquement à la pauvre Mauritanie. Pendant que l'Algérie tournait le dos au continent, ne regardant que vers l’Europe.Vers la France en particulier pour faire taire ses sujets en colère par des visas.

    Sa Majesté le Roi Mohamed VI sillonnait l’Afrique dans toute sa diversité, du Rwanda à la Tanzanie, de l’Éthiopie au Sénégal, du Gabon à la Zambie, du Mali à la Côte d’Ivoire, ouvrant le chemin aux investissements Marocains, à l’implantation des entreprises et des banques du royaume, jusqu’à devenir le premier investisseur africain en Afrique de l’Ouest. Pour cela, il a fallu gagner la confiance des dirigeants africains et c'est ce qu'a fait Sidna.

    C’est le processus qu’avait entamé l’ancien président Algérien Liamine Zéroual : «un langage nouveau qui apaise les interlocuteurs africains, qui leur restitue leur envergure et qui leur octroie une nouvelle stature, celle de partenaire à parts égales, eux qui furent toujours considérés comme des opérateurs de circonstance, des pays où l’on se rend pour faire un coup commercial».

    Ce n'était pas une imitation aveugle, que les Algériens sont habitués à faire à chaque innovation Marocaine, Sa Majesté le Roi Mohamed VI, ne perdant pas d'opportunités, a repris cette démarche "zéroualienne", en la enrichissant davantage selon ses principes de respect et d'honneteté.

    Il inscrit le partenariat avec l’Afrique dans la durée, dans une sorte de partenariat "gagnant-gagnant", ce qui suppose écouter les doléances de la partie en face, examiner ses problèmes particuliers (transfert de technologies, adaptation de l’agriculture africaine au changement climatique, questions migratoires…) Tout porte à croire que le Maroc a su récupérer un principe cher à l’Algérie : le partenariat Sud-Sud, mais cette-foi enrichi d’une approche Royale nouvelle.

    Comme l’écrit un commentateur marocain : "Avec sa dernière tournée en Afrique de l’Est, la troisième que le souverain a effectuée en Afrique en l’espace de trois ans (2014, 2015 et 2016), Le Souverain a apporté la preuve que l’Afrique est, d’abord, une affaire de cœur." C’est, sans doute, exagéré, l’intérêt économique tient une grosse place dans cette opération de charme.

    Mais avec un discours nouveau et rassurant. Très éloigné de celui, sans nuances, de Lahmamra pour qui l'Algérie veut saisir les avantages qu'offrent le continent africain qui représente un énorme réservoir de productivité, de production de richesse et de croissance.Lahmamra, pour mettre les pieds en Afrique, n’a, sans doute ni banques performantes ni entreprises fortes, mais il dispose d’un accessoire approprié  «de gros sabots» de bla-bla et de propagande abusive.

    Je leur exposerai dans ce passage une proposition pour le moins osée : Qu'ils aillent chier, chacun devant sa demeure. Priorité à demander à un certain Slimane Saadawi, un berger de l'ouest Algérien, transformé par stupidité des siens en député de N'aama, qui s'est réveillé "brusquement" pour occuper la toile internaute Algérienne, insultant *Syadou* lamgharba،, ajoutant pour plaire à ses commanditaires d'Alger, je cite : "qu'il connait bien le Maroc et les Marocains, promettant vomir plus de lacunes sur ses concurrents Marocains aux pâturages conjoints. 

    Ne vous en faites pas mes chers lecteurs Marocains, tout cela ne pourra pas nous déplaire ou effrayer, étant que nous sommes devant les moments d'insouciance du pouvoir d'Alger et de ses stupides Algériens. D'autant plus les gifles d'Al Guerguarat et le silence de Bourita pourront provoquer normalement plus d’abois chez un chien enragé, privé d'interlocuteur adverse, ou  du moins qui n'est pas en mesure de mordre un passant calme, qui sait comment se comporter, devant toute provocation ou harcèlement du fou. Bonne lecture.

                                                 Très cordialement,Chihab25