Les fâcheuses négociations Franco-Algériennes d'Evian et l'effet préjudiciable au Maroc!


Concernant ce dossier qui a fait vaciller un demi-siècle de propagande Algérienne. Mr.Staffan de Mistura, l'envoyer Onusien, pour le Sahara, ce diplomate habituellement réservé jusqu’à l’excès, a choisi la clarté, en la résumant , lors d'un entretien avec l'Institut italien d'études politiques internationales (ISPI), en une seule phrase, dont je cite :
«Le conflit du Sahara n’oppose pas un «peuple à un «occupant», ni une affaire de «mouvement de libération» mais deux États, le Maroc et l’Algérie». Oui. Il s’agit bel et bien d’une confrontation directe entre deux États. Tout le reste n’est que mise en scène».
En quelques mots seulement, il a balayé des décennies de propagande, réduisant à néant la fable fabriquée par Alger, osant dire tout haut ce que ses prédécesseurs n’avaient jamais franchi le pas de formuler. Cette fois, c'est la clarté qui provient, si j'ose dire, au nom de l'ONU! et place l'Algérie, face à sa responsable et l'incite à envisager le dialogue, plutôt que. l'intransigeance et la complexification de la crise.
A mon sens, cette clarté rebattrait, les cartes de l'Algérie, car dans la perspective, il serait probable de voir, des démarches internationales en vue, vont mettre concrètement en œuvre le plan d'autonomie, comme solution, «sine qua non», définitive au conflit avec Alger.
Je disais dans la dernière note que l'Algérie n'existait pas avant 1962, la preuve en est que le : Le drapeau-chiffon de l'Algérie a été conçu, dans un jeu enfantin de filles, par Emilie Busquant, épouse de Messali l'haj¹, qui a cousu la première version en 1934 drapeau de l'Étoile nord-africaine qui était le précurseur du drapeau algérien actuel. Ce chiffon se disant symbole de l'Algérie, n'incarne pas l'identité d'une nation ancestrale ni la résistance Algérienne au colonialisme, un concept adopté et officialisé après l'indépendance en 1962.
Le sujet de la note : Quelles étaient les accords d'Evian? . Les archives Françaises prouvent que les accords d'Evian sont : «une série de protocoles signés le 18/3/1962 entre la France et le GPRA(le Gouvernement Provisoire Algérien)», ils avaient pour objet :« mettre fin à la guerre d'Algérie Française et organiser la transition vers son indépendance».
Ils ont abouti le 5/7/1962, à la naissance "césarienne" d'une entité baptisée en «Algérie indépendante, supprimant son terme Franquisme, après la reconnaissance du droit à l'autodétermination d'un peuple multicolore, constitué de plusieurs ethnies hétérogènes :
«-Un cessez-le-feu, -l'amnistie des prisonniers et -l'organisation d'un référendum sur l'indépendance», mais malgré, cela pas mis fin à la violence, qui a continué. surtout au «Sahara Marocain oriental, groupant administrativement :
«le Grand Touat, la Saoura, Tabelbalat, Erg Iguidi et Tindouf», où les populations locales et le Caid Marocain Abdallah Sanhouri, agissant par Dahir Sultanine, avaient exprimé, leur Marocanité, refusant d'y participer au référendum organisé à ce sujet.
Les Accords ont été le résultat de négociations secrètes entre la France et le (GPRA) qui ont eu lieu à Évian-les-Bains, en France, après lesquels, le cessez-le-feu a été décrété le 19/3/1962, mettant officiellement fin à la guerre, ouvrant la voie à la reconnaissance de l'indépendance de l'Algérie
Pieds-noirs² : Ainsi, le 1er/7/ 1962 a été l'occasion pour les Algériens d'en profiter de la libre-circulation en France et aux «Pieds-noirs¹» à se révolter. Ces derniers, rappelons-le, sont des colons Français, possédant biens et vivaient en Algérie Française, qui se sont soulevés contre la décolonisation gratuite et la perte de leurs privilèges en Algérie Française.
On se demanderait certes, d'où vient le mot pied-noir?...né d'interprétations multiples, ce mot raconte à lui seul l'histoire complexe de l'Algérie Française. D’abord injure, il devient au fil du temps un marqueur identitaire pour les rapatriés de 1962 avec leur origine controversée...
L’origine du mot, encore disputée, est révélatrice des bouleversements de la colonisation. Longtemps, les historiens ont avancé que ces pieds noirs faisaient d’abord référence aux militaires français arrivés en Algérie, en 1830, en raison de la couleur de leurs bottes. Sauf que cette hypothèse ne repose sur rien, selon l’historien Français Guy Pervillé, spécialiste de l'Afrique du nord et de l'Algérie en particulier. Il s’agirait d’un terme dépréciatif apparu au début du XXe siècle et ayant désigné les Algériens autochtones.
Du mépris à l’identité en 1934 : à Alger, l’hebdomadaire -La Défense) publiait, par exemple, des injures racistes appliquées aux indigènes : "bicot" y jouxtait pieds noirs expression pointant la saleté des pieds, signe de misère et de travaux difficiles. Mais comment en est-elle venue alors à qualifier les Français d’Algérie ?
C’est au lendemain de l’insurrection de novembre 1954 que le terme désigna les rapatriés d’Afrique du Nord. Une façon dédaigneuse de les assimiler aux autochtones algériens et pourtant reprise à leur compte, plus tard, par les pied-noir eux même
Malgré les accords, recrudescence et violence ont eu lieu, notamment avec les attentats de ce qu'on a appelé à l'époque l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète), et OS (Organisation Spéciale) deux filières Françaises qui se sont autoproclamées contre tout vent dévastateur à leur existence, s'opposant à toute indépendance improvisée de l'Algérie Française.
Derrière ces accords, la France et le FLN ont façonné une transition où le contrôle de France restait intact, notamment sur le Sahara Marocain Oriental, tandis que le FLN consolidait son autorité., via, ce qu'on a appelé, -l'armée de frontière- prise au tenaille par le clan d'Oujda qui avait fait sa révolution au jeu de cartes et de loisir au Maroc, à Nador, Oujda et Meknès plus précisément!.
Mailles et souveraineté: ..Les négociations n’ont jamais été faites au nom du GPRA ni au nom du FLN. Ce fut le triomphe depuis les barbelés de la frontière Algero-Marocaine au clan d’Oujda.
La mise à l’écart du GPRA par le FLN était une idée bien française pour asséner un coup fatal aux gouvernements en exil de Ferhat Abbes et Youcef Ben Khadda.
Ceci montre à quel point l’indépendance de l’Algérie n’a été obtenue ni au nom d’un peuple algérien ni au nom d’une souveraineté réelle sur le territoire. Les slogans politiques relevaient d’un registre différent de celui de la négociation suivie par le FLN pour exclure du droit à l’autodétermination et l’annexion des territoires du Maroc, tels que le «Grand Touat et la Saoura au Sahara Marocain Oriental».
Tout au long des négociations d’Évian, dans aucun texte, la France n’a parlé de peuple, mais elle utilisait plutôt l’appellation de populations locales. Le handicap dont souffre l’histoire de l’Algérie actuelle est celui de la cohésion de ces populations collectées d'ici et de là!. Le recours et l’adoption du principe de l’intangibilité des frontières héritées du diable, sont le symptôme et l’unique rage, excitant l'Algérie, de manière aveugle.
Cependant, les archives secrètes montrent que jusqu’en 1962, la France compte bel et bien organiser un référendum octroyé aux populations de l’Algérie Française, mais en faveur de deux territoires distincts :
L’Algérie d’une part, et le Sahara Marocain oriental en département d'outre mer d'autre part, ne furent rajoutés qu’à la suite de cette déclaration tonitruante du maudit négociateur Algérien, qui fait suite à celle du 26/10/1961, résumant la fin des négociations, sanctionnées par la signature des accords.
Mise à mort du GPRA : la mort du GPRA, mise en lumière conjointement, par la France et le FLN était en partie due à l’obstacle que constitue le traité³ du 6 juillet 1961 signé entre Sa Majesté le Roi feu Hassan II et Ferhat Abbes, président alors du GPRA : «Donnant opportunité au Maroc de restituer les territoires du Sahara oriental, dès que l'Algérie aura eu l'indépendance». Cela était conforme, de bonne fois, à la volonté de Sa Majesté le Roi feu Mohamed V qui, se croyait être devant des hommes crédibles de paroles.
Ce traité aurait dû changer le cours de l’histoire, et éviter des décennies de mensonges et de trahison de la part de l'Algérie, étant que les accords ont été rendus caduc et quasiment inexistants après les Évian, puisque la France n'a pu négocier en quiétude, le troc entre ses intérêts en l’Algérie, et la restitution par le Maroc de ses territoires Marocains spoliés actuellement l'Algérie. Le terme «Algérie Française», fait référence à la colonisation Française de 1830 à 1962, est une expression qui montre, la voie suivie par les négociateurs pour écarter les droits historiques du Maroc sur ses territoires amputés.
Stupidité made in Algerian : Loin de tout ça et à la recherche d'alibis actant sa haine envers la générosité Marocaine, Alger a fait enfanter, de relation illégale, un peuple bâtard qui pourra lui permettre d'avoir, facilement accès à l'atlantique. Pour y réaliser, le maudit Boukharouba, n’a pu en «inventer qu'un qu’en 1973» créant son Polisalgérien à Tindouf.
Mais aujourd'hui avec la force des vents violents soufflant de chez l'oncle Sam, l'Algérie se trouve contrainte de courir contre la montre, après avoir sentie la menace d'initiative inédite visant à classer son bâtard de Tindouf en -entité terroriste-, le régime algérien déploie une diplomatie de crise pour amadouer l’administration USA et infléchir l’action de députés Américains
Il a dépêché en juillet dernier son jongleur (Bou-Guadoum) à Washington chez le Sénateur influent, «Jimmy Panetta», l'un des deux qui ont déposé le projet de loi, qui l'avait auditionné, en juge responsable devant un criminel en menottes !.
Une agitation qui révèle l'ampleur du désarroi d’Alger et ses contradictions sur un dossier qui lui colle à la peau, et qui n’avait jamais affiché une telle fébrilité diplomatique. Mais l’annonce a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans les cercles du pouvoir algérien. Dans les coulisses, c’est une véritable panique qui s’est emparée du régime, inquiet de voir sa marionnette séparatiste perdre, démoulant le jeu de Tindouf.
Tentant d'éteindre les incendies qui l'entourent, l’Algérie avec ses vannes de mal ne pourra jamais appréhender, la Marocanité du Sahara. Sa diplomatie de mallette d'autrefois, ne sert plus à rien, créant derrière, l'incapacité d'imposer, encore plus ses conneries, ni de tordre le bras du Maroc, ou vaincre la cadence de la diplomatie Royale qui, sait comment déjouer le vouloir d'Alger d'accéder à l'Atlantique.
Je termine avec cette précision. Le Nif que les Algériens tiennent à préserver la teneur, n'est pas le sale nez qu'ils s'en vantent avoir la particularité, mais le nez, dont doit-on parler au bon sens, serait bien la vacuité rationnelle chez l'Algérien du fait que :
Les Algériens de France, en état normal, qualifient ceux de l'Algérie de : «sujets stupides dépourvus de nez, avec lequel on sent et respire car ils ne font pas de différence entre l'un et l'autre. S'agissant bien du nif, (Naissance en Identité Française) ils n'ont pas le privilège, par naissance, d'appartenir à la (maman) France et que tout autre éhonté, hors France, est né que, pour la souffrance indicible dans une Algérie, ayant perdu son rôle éthique et moral, en entité, digne de porter la valeur d'Etat normal. Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25