Infrastructures en marche : Le chantier géant, «Maroc-aviation» mis en œuvre par Sa Majesté le Roi, à Nouacer, région Casablanca, officialise honorablement la capacité d'innovation du Maroc et impose aux marchés des grands constructeurs la particularité de marque et de fabrication «Made in Morocco».
Les Algériens, envieux de tout progrès Marocain, honteux de leur infériorité, font monter des voitures, en pièces fabriquées au Maroc, s'attribuant à la fabrication algérienne, à ce qu'ils prétendent être, prouvant à eux-mêmes, que l'Algérie, stagnant au stade de produire que du -tabac à chiquer-, et n'est en mesure de concurrencer la fabrication Marocaine de voitures, ayant réussi à provoquer Tebboune, qui disait par moquerie, je cite :
«Celui qui fait que gonfler que les pneus, s'en vante fabriquer les voitures» pour se désavouer, pas s'imprégner des progrès du Maroc, ne cachait pas son amertume de vouloir minimiser le rôle prépondérant du port Tanger-Med. Une innovation portuaire d'envergure, qui aveugle l'œil Algérien, pour se désavouer, des progrès du Maroc, ne cachait pas son amertume de vouloir minimiser le rôle prépondérant du port Tanger-Med. Une innovation portuaire, qui aveugle l'œil Algérien, et plaira tout visiteur impartial.
Dans le contexte actuel, en politique infrastructurelle et de gloire sportive du Royaume, je crois qu'il est impératif de se positionner sur le «Mondiale2030-coté Maroc» et d'opter pour que Mr.Fouzi Lakjaa soit toujours sur le fenugrec, pas pour sa d'affiliation orange¹, mais sur la base de sa compétence, apte d'honorer, ce poste, même si y est dur et éreintant!.
En ce qui nous concerne, nous simples : «l'idéal de nous tous est de s'aligner derrière, même par des cris de valeur, pour y défendre davantage les intérêts du Royaume, ce qui pousserait la tyrannie Algérienne vers l'enfer».
Pour vexer davantage l'envie Algérienne, n'oublions pas «le Maroc-aviation avec son grand complexe de fabrique de moteurs d'avions», et en parallèle, «le coté-social Marocain» avec l'inauguration et la mise en œuvre par Sa Majesté le Roi des deux grands CHU «Centres Hospitaliers Universitaires» à Rabat et Agadir, les premiers du genre en Afrique, portant la noble empreinte Royale «Med VI». Cela permettrait au Marocain d'en profiter et de savourer, la générosité grandiose de son pays, en préservant sa grandeur et sa valeur ancestrale.
La stupidité à 3 dimensions : La logique est de laisser l'ennemi Algérien, s'immerger dans ses d'illusions, inepties imprégnées et sa stupidité officielle, enracinée en tout Algérien. Je cite en exemple, le cas d'un haut responsable Algérien, pas des moindres, c'est un décideur au cercle d'AlMouradia, censé avoir une culture générale bien actée, donnant l'exemple de la maturité de l'Algérien.
Il s'agit d'un ex-ministre, surnommé -Aberrahmane Bel'ayat- en physionomie de petit singe-, qui rendant hommage à la victoire, à son pays contre la France, faisait appel à témoin, disait en désignant par indexe un «martyre, ici présent parmi nous! pour y confirmer!».
C'est l'exemple vivant de l'intellectuel du cercle du pouvoir et de décisions, s'exprimant devant un parterre de dingues quelque part en Algérie, sans se faire de différence linguistique entre le «mort et le vivant!», en insistant sur le, -martyre ici présent!-. Le martyre au sens de la logique, est quelqu'un qui se trouver à l'autre monde, pas parmi un parterre de cons.
Le Marocain en face, ne perd pas son temps avec les futilités Algériennes, heureux du sort de son pays, ses progrès et ses liens de partenariat, attirant davantage en «Terre, Air, Mer» des investissements étrangers sur la base d'un calendrier prometteur. Un tempo régulier de la trajectoire suivie par le Royaume, celle d’un pays qui consolide sa place sur l’échiquier mondial par la crédibilité Royale et par sa méthode de pratiquer sur terrain.
Le Royaume conscient du mauvais voisinage, à somme nulle, poursuit «sa montée en puissance, imposant ses capacités inlassables». Cela traduirait la stratégique Royale, comme moyen efficace, qui mettra le Royaume aux rangs des Grands, jugeant les rebondissement d'Alger sans effet et n'en aboutiront en rien.
Les investissement sur terrain, au Sahara Marocain ou partout au Maroc en général en témoignent. Dernier en date : «Le groupe Français d'aéronautique -Safran- décide d'implanter deux de ses usines d'assemblage et de maintenance de moteurs Airbus au Maroc».
Une découverte superflue...Le régime des caporaux d'Alger voulait par stupidité, -ajouter le mouillage à l'argile-, créant, entre autres, la généalogie d’une idée d’accès à l’Atlantique, ce qui devenait «l'obsession de l'Algérie envers le Maroc». Pour se faire, il nage contre courant, adoptant l'illégitime conflit du Sahara, intrinsèquement lié à une rivalité nourrie par les ambitions d'expansion, à l'Algérienne!.
L'accès à l'atlantique, se transformait en cauchemar Algérois. Les caporaux, décidaient d'extraire de l'étagère d'oubli, le projet mort d’exploitation de gisement de fer de «Ghar J'bilat, région de Tindouf», et l'acheminer par l’Atlantique contre le Maroc qui, avec l'Algérie avait un accord en 1972, prévoyant, partenariat et transport du minerai via le Maroc, mais il n'a jamais été mis en œuvre en raison de la détérioration et la défection des relations avec l'Algérie.
En 2022, l'Algérie a lancé l'exploitation unilatérale de fer, s'appuyant sur les chinois et sur une ligne de chemin de fer, qui n'existe pas d'ailleurs, de Tindouf au port Algérien de R'ziow situé, à 800 kms de la Méditerranée, ce qui devient une invention-cauchemar pour Alger, pesant à la charge de l'Etat, plus que sa valeur escomptée!.
Zn réalité, l'évocation du gisement était uniquement une sorte de manipulation, puisque l’Algérie, perdait le pouvoir d'entamer l’exploitation toute seule. Mais s’il y en avait un personnage de l'Algérie Française, dont on devrait parler de lui. C’est bien Mr.Augustin Léon Guillaume, le résident général Français d'Algérie (juillet 1951 à juin 1954).
A son ère que les prospections pétrolières ont été lancées et accentuées depuis le Maroc, y compris le gaz et le pétrole, dont l'Algérie se réjouit et s'en vante actuellement, tournant l'œil de J'bilat.
Et c’est ce général résident d'Alger qui avait assisté l’Algérie Française à annexer les territoires Marocains amputés pour faciliter ses exploitations minières et pour y pouvoir, éventuellement, accomplir l'expansions vers l’Ouest, au détriment de la légalité et des traités signés avec le Maroc.
À partir de 1949, devant les possibilités minières qui ont fait jour dans les confins du Maroc, l’Algérie Française semblait avoir pris à cœur d’assurer à la France le maximum de territoires amputés, en s’efforçant d'en faire adopter par le Maroc entre Figuig à l'Est et le Sahara dit espagnol!, l'actuel Sahara Marocain occidental.
Un document reproduit en -in extenso- soulevait le cas de la mine de plomb de J'haifat-Bouarfa, et J'bel Grouz-Figuig exploitée selon un permis Marocain de prospection datant de 1923. Il s’agit là d’une petite mine, mais d’autres sillonnaient la frontière se situées dans le territoire Marocain seront annexées à l’Algérie Française comme ce fut le cas de la mine de Garat J'bilet, découverte en 1952.
Le grand malheur du Maroc, c’était qu’il a subi une colonisation précédée et suivie d’amputations territoriales de grande ampleur pour des raisons fortuitement fructueuses aux autres (France-Algérie)..
En effet, c'est à partir des années70 à nos jours, le Maroc fait face au problème artificiel du «séparatisme» pour des raisons liées aux ambitions Algériennes qui projetaient à respire de l'air Atlantique, un choix fictif qui ne se réaliserait jamais, tant que la Monarchie Marocaine appuyée de son peuple existe sur terre.
Une garnison fantôme : La racaille armée de l'Algérie, quant à elle, reste cantonnée à Tindouf et ses casernes sont bien lisibles à l'œil. Elle y exerce un contrôle discret et permanent sur les activités de tout opposant du Polisario et joue le rôle d’un goulot d’étranglement et un carrefour verrouillé, faisant point de passage obligatoire de tout venant.
Tout déplacement de personne ou de cargaison à destination des camps de la honte doit transiter par Tindouf et franchir ses points de contrôle avant de pouvoir rejoindre la route, l'unique axe routier, qui relie cette zone enclavé dans les merdes à Colomb-Béchar au Sud-Ouest de l'actuelle Algérie.
Des barrages de gendarmes et de l’armée alternent aux accès principaux, filtrant quiconque, qui entre ou sort, un laissez-passer est obligatoire, et les bus subissent fouille et contrôle minutieux, même les séquestrés, doivent obtenir des saufconduits algériens pour circuler en dehors de leurs camps.
Quant aux visiteurs algériens ou étrangers, ils subissent de brefs interrogatoires systématiques dès l’aéroport sur le motif de leur présence. Tindouf est une zone militaire hautement surveillée, où chaque mouvement est potentiellement suspect aux yeux des militaire. La garnison la plus surveillée est le secteur opérationnel «Sud Tindouf» où est stationnée une Brigade de ferrailles blindée.
Une justice fantoche : Un contraste s’observe aussi dans l’environnement juridique. Tindouf est administrée selon le droit algérien, avec une police civile, des tribunaux, des lois applicables à tous, y compris aux séquestrés résidant en ville. Les camps, eux, relèvent de la soi-disant juridiction incompatible à l'univers, échappant de facto, à la juridiction algérienne, bien qu’ils soient sur son territoire actuel.
Les camps constituent ainsi un espace d’exception juridique où les lois écrites sont secondaires devant la loi de la jungle, où la primauté revient aux ordres militaires Algériens ou aux chefs tribaux fidèles à la thèse Algérienne dans l'affaire du Sahara Marocain occidental.
Dans ce système, aucun magistrat indépendant n’est nommé par processus transparent normal. Les «jongleurs-juges» sont membres du Polisario, eux-mêmes,, désignés par cooptation, sans formation juridique. Les procès, lorsqu’ils ont lieu, se tiennent sans avocat, sans appel et sans observateur digne de neutralité. Les décisions sont essentiellement politiques et claniques, variant selon les intérêts immédiats de l'Algérie.
L’Algérie, bien que soi-disant, hôte des camps, fait semblant de nier sa responsabilité sur ce territoire, affirmant que la République de Tindouf, et la (rasd), sont sous l’exclusivité du Polisario, du fait que cette entité, n’est reconnue comme État souverain par les juridictions internationales et «aucun traité, aucune convention ne leur confère la légitimité de juger, enfermer ou punir au nom du droit international».
Sachant que des experts de l’ONU ont alerté sur cet état de non-droit prolongé, qualifiant les camps de Tindouf de «zones grises» où l’arbitraire prévaut. La cause de tout ça, est à l'excès de la générosité Marocaine, c'est avant tout, les Marocain eux-mêmes qui ont eu tord, faisant confiance aux maisons closes d'Alger et à leurs lauréats.
Le Maroc suit sa trajectoire en toute quiétude, ne donnant pas d'importance aux aboies de chiens, étant que sa caravane passe sous la bénédiction divine parfumée de l'odeur Monarchique. Conscients de nos objectifs, on ne va pas tourner autour du pot, notre Guide sait bien quoi faire avec un fou trop agité.
Peu importe, on s'en fiche, carrément, de l'ingratitude d'un régime ennuyeux, contenant en majorité que des pisseurs, à leur tête en particulier celui d'Amgala, qui porte encore les cicatrices du viol d'un Marrakechi. Un viol-insulte qui déshonore tout Algérien, se vautrant en mensonges, face à son maitre Marocain.
Le mal Algérois : Je ne peux pas m'en passer sans remuer les plaies de la voisine Algérie. Je me réjouis, à cet effet, de terminer par le sujet qui dérange, voire qui dérègle la mentalité malade de la voisine enragée d'à-côté (Algérie) qui ne cesse d'ennuyer notre pays par ses conneries enfantines et j'insister par là, sur l'adoption par l'ONU de «l'initiative d'Autonomie Marocaine» signifiant, l'éclat du 31 octobre 2025. Un coup de point fort de la Diplomatie Royale, qui a suscité l'amertume chez certains et a fait couler (-larmes et sang-) chez les voisins.
Je ne parle pas ici des mouches internautes Algériennes, Non, je vise essentiellement le régime et ses décideurs de casernes et leur apprendre que :«La gifle Marocaine validée par le Conseil de Sécurité Onusien est une frappe de maitre et une trajectoire d'équilibre entre Souveraineté Marocaine, droit international devant renforcer la confiance et le respect de l'univers à notre pays!».
L'Initiative Marocaine datant depuis 2007, s’impose aujourd’hui comme une approche réaliste et moderne de l’autodétermination interne du Sahara Marocain et pourquoi pas ultérieurement serait applicable pour l'autre Sahara Marocain Oriental, encore spolié par l'Algérie.
Elle n’est pas le produit d’un hasard diplomatique, mais le fruit d’une réflexion stratégique, patiemment conduite sous l’impulsion du Souverain , que Dieu L’assiste. Le Maroc, à mon sens, sait comment se préserver de toutes les tourmentes qui secouent son voisin de l'Est.
L’essentiel pour le Royaume est sa crédibilité qui le fait monter à bord de leadeurship pour s'y installer au gouvernail tiers-mondiste. Cette vision, à la fois lucide et tournée vers l’avenir, place le Royaume parmi les rares États à avoir su transformer un dossier politique sensible en un modèle institutionnel de bonne gouvernance et de distinction, entre l'autodétermination réaliste et fiable et l'autodétermination expansionniste et de provocation qui prend tout son sens par une Algérie militaire!.
Même si dans la judiciarisation on dit, ce qui devait arriver arrivera. Le Maroc de bonne fois et de tolérance généreuse, avait envoyé des mises en demeure à l'Algérie. Mais l'Algérie, au lieu de mettre fin à ses drames de voisinage et de cesser de rêver l'Atlantique et après avoir perdu l'issue de sortie, tient à s’entête pour faire perdurer ses conneries et ses illusions, Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
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¹Z'nassni de Berkane :Qu'arrive-t-il à toi, si tu mourra? il répond :الئ متت نهبل
² Sont les jeunes gens, dos au mur, avant de s'enrôler aux rangs.