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  • Algérie : Entre Boumédiane et Oufkir, une amitié de concitoyens Algériens..!

     

                                                                                   

      Le général Oufkir de Labyadh Sid Cheikh en Algérie à Ain Chaër au Maroc¹ 

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                                                            Oufkir, source et convoyeur du mal avec l'Algérie

    Introduction..Nous disons souvent, les «Marocains qui gouvernent l'Algérie» et jamais nous disions les «Algériens qui gouvernaient le Maroc!» En quoi consiste la dimension de cette interrogation?.La réponse avec preuves à l'appui,exige un bagage de connaissances en l'objet.Pour y être et dissiper toute ambiguïté dans ce sens, je dois revenir à une phase d'histoire contemporaine du Maroc et prouver, en parallèle,que la solidarité des Marocains envers les Algériens était toujours un «principe», une manière de faire honorable, héritée de la générosité de nos ancêtres Marocains.

    En preuve, les batailles d'oued Isly prés de Laâyoune Sidi Makhoukh dans la région d'Oujda en août 1844 entre les Marocains qui soutenaient l'Algérien Abdelkader Old Mohyeddine, alias Emir Abdelkader, qui s'est réfugie en territoire Marocain, d'un coté et l'armée Française venant à sa poursuite de l'Algérie Française de l'autre coté, en témoignent cette solidarité généreuse.

    Etant pas chercheur ni historien, je ne peut m’immiscer dans la profondeur de la science d'histoire, ni dans celle d'Isly non plus et donner en intrusion, de fausses notes, de victoire ou de défaite, malgré que nos voisins algériens n'ont pas manqué, de leur coté, de déformer délibérément l'histoire qui les unisse avec le Maroc dans cet incident de parcours, tout en collectant des futilités de tout bord, pour écrire une histoire à leur mesure, se basant, entre autres,sur les faibles parcours de Abdelhamid Ben Badis, Abdelkader Old Mohyeddine et Mohamed old Larabi Ben Horma, alias Cheikh Bouâmama de la tribu Marocaine Laâmour de Figuig.

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    Si vous saviez l'origine d'Oufkir? En revenant à cette phase d'histoire Maroco-Algérienne, je voulais seulement attirer l'attention de mon lectorat que je dois descendre un peu plus vers le sud, pour atteindre la localité d'El baiadh au nord-est d'Ain Sefra dans l'ouest algérien (wilaya de N'aâma actuelle) et chercher où se trouve la tombe Labyadh Sidi Cheikh.

    Vous vous demanderez pourquoi? et vous vous interrogerez aussi, On cherche quoi? Hé bien, pour localiser les racines de la traîtrise qui envahissait notre pays le Maroc, au début du 19°siècle du 2ème millénaire écoulé par le biais de légionnaires étrangers, Algéro-Français, sélectionnés soigneusement de confiance parmi les thuriféraires de nos voisins d'Algérie pour être trébuchés, en cuillères de plat Français entre nos pères.

    Ces interrogations vont me conduire vers un cimetière au local blanc où repose un pieux de son temps, un certain marabout " El Abiadh Sid Cheikh", le mot El Abiadh, indique la couleur blanche du local funéraire, ce qu'on appelle au Maroc (Rawda).

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    Le mal d'un local funéraire..C'est de-là d'où nous parvenait le mal..C'est de-là d'où est parti le père du général Oufkir pour conquérir avec d'autres,le territoire national Marocain, en groupe d'excursion, organisé par la politique expansionniste de la France, après l'invasion du Sahara oriental Marocain au sud-est du Royaume achevée en 1903, l'autre objectif  Français, était le Maroc, tout le Maroc dans son fond.

    Pour convaincre les populations au cours de route vers le Maroc, le Résident général d'Alger était contraint de s'appuyer sur l'aide de trois mousquetaires, qu'il a bien sélectionnes de l'ouest de l'Algérie Française,  engageant, pour la circonstance, une mission composée, en principe, d'agents déguisés en notables (Caid - Cadi - Fkih), chargée de compter les pots cassés et gérer les situations dans les localités Marocaines envahies par ses troupes, dans la perspective d'expliquer aux gens, un seul mot d'ordre, faisant entendre, que la France a pour but de «protéger le pouvoir du Sultanat Marocain» contre l'invasion d'autres puissances européennes. 

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                                                          Les trois mousquetaires et leurs parrains Français

    Je ne peut bien sûr, détailler les attributions de chacun, même si j'ai de quoi à dire là-dessus. Mais ce qui m’intéresse, en substance, dans ce volet, c'est de parler que du général Oufkir, qui n'est que le descendant du Pacha Mohamed Oufkir -le père- l'un de ces trois agents secrets déguisés en notables, engagés par la France pour lui faciliter d'imposer "pacifiquement" son occupation du Maroc sous prétexte d'un protectorat.

    Ainsi, après avoir envahi le territoire Marocain au niveau de l'oriental d'Oujda à Figuig. Le Tafilalet non compris, étant le berceau du pouvoir central qui, pour refuser et résister, a vécu une autre histoire de soulèvement populaire contre l'invasion Française. Au cours de route, la mission campait dans l'Oued Belarbi, un fleuve sec située à 40 kms à l'est du village de Bouanane pour se reposer un moment donné.                               

    Le but de la mission était d'appliquer le système le "bâton et la carotte" pour «conquérir davantage, le sud-est Marocain» avant de projeter le centre du Maroc et toute la côte atlantique. Durant les pauses et les séjours du contingent qui comptait, dans sa majorité, une infanterie de piétons et de cavaliers, l'orge et les foins qui servaient à alimenter les montures, (chevaux et mules), laissait évidemment, des traces de grains et des étincelles de paille dans l'Oued Belarbi, ce qui a fait poussé, sauvagement,un champs d'orge autour du point d'eau existent.

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    Cela fut après, le baptême pour donner à quelques ruines d'habitations éparpillées, le nom de Ain Chaër, (source d'orge) dont se vantaient les Ait Oufkir être leur origine après avoir étaient installés en 1908 à Boudenib à 50 kms à l'ouest de Bouanane, abusant de l'autorité et de l'influence du père, ils usurpaient frivolement en plus, la qualité de Chorfa, sans affiliation ni créance chérifienne (?).

    Tandis que les autres mousquetaires continuaient, chacun à sa façon, d'exercer ses attributions, le Fkih aux lieux de cultes, le Cadi aux cours martiales dans le but d'étendre éventuellement leurs prérogatives à l'ouest, vers Ksar Es Souk et ses environs et depuis y sont rentrés en fonctions contre les intérêts du Maroc.

    Malheureusement, je dis bien malheureusement, sont considérés comme des citoyens Marocains à part entière. Ils forment actuellement de grandes familles, dont la majorité installée et éparpillée dans la région Daraâ Tafilalet.

    Leur travail d'agents de renseignements au service de la France avait préparé à la politique d’extension Française tous les moyens d'imposer au Sultan du Maroc, Moulay Abdelhafid, alors très faible, l'acte sinistre du protectorat en vertu du traité de Fes du 30 mars 1912.

    Mohamed Oufkir, le général, est né en 1920 à Ain-Chaër, un douar à l'est de la région du Tafilalet, à quelques kilomètres au nord-ouest de Colomb-Bechar. Il étudiait avec les fils de caids, de notables et de serviteurs de France au Maroc au lycée Tarik Ibn Zyad à Azrou. Il est mentionné dans son livret militaire qu’Oufkir « appartient à une influente famille du sud-est Marocain qui a rendu des services énormes et appréciables à la cause française. » Son père avait été nommé Caid par le Gouverneur général d'Alger et puis Pacha par le Résident général de France au Maroc le Maréchal Lyautey en 1910, faisant ainsi de Boudenib son district militaire qui commandait jusqu'à Meknes et sa région. 

    Faut-il signaler qu'un parmi ces trois agents, qu'en respect de la vertu, je ne peux citer le nom, était un très intelligent transacteur, pour ne pas dire un "voleur d'animaux" opérant dans différents villages et localités dans l'ouest algérien. En guise de camouflage, il repeint ses butins d'une couleur différente, pour les revendre en plein jour. La population qui connait ses actes, désigne honteusement ses actifs par «Oulad Sebbagh Lahmir».

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