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  • Algérie : Un vent de panique souffle en Algérie, les algériens sont en prise avec les démons de la succession..!

                                                            

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    Choléra-dz..Avant de développer le contenu de la note, je dois m’arrêter quelques temps pour pointer du doigt le retour du choléra en Algérie, dont la dernière apparition dans ce pays remonte à 1996, ce qui. rappelle aux Algériens certaines réalités amères, équivalent à la guerre civile des années 90 du siècle écoulé.

    Un vent de panique souffle, à cet effet, en Algérie, depuis que les autorités ont fini par reconnaître le retour du choléra dans le pays. Une nouvelle qui jette une lumière crue sur des réalités que certains feignaients arrogants algériens de ne veulent pas voir en face.

    Ce type d’épidémie révèle avant tout la carence, la négligence  le laisser-aller de l’administration Algérienne et la défection du pouvoir en place, ce qui mettra l'Etat, en tant qu'Etat dite "force régionale", et son Algérie de "fièreté et de dignité" à la traîne.

    Tous les secteurs  d'Etat sont mis en cause, indiquent des écrits d'un certain Soufiane Jilali, président de Jil Jadid, un parti d’opposition, sur sa page Facebook.

    Évoquer le sujet de ma part, ce n'est pas pour chercher le "Qui et le comment". Mais pour me réjouir,en quelque sorte, comme tout autre Marocain, de la situation catastrophique choisie par la volonté divine pour un pays bourré d'envie et de haine  se vantant  être gratuitement l'ennemis farouche à mon pays le Maroc. ِ

    C'est le sort incontournable de l'ingratitude, de nos frères-ennemis algériens, à cause de leur excès d'orgueil et d'arrogance envers la générosité Marocaine d'autrefois.

    Le maudit Houari Boukharouba que la malediction divine soit toujours sur lui, rappelons-le, en profitait de la manne pétrolière de son pays pour se chauffer la tête et jouer le grand avec le Maroc, pas pour faire progresser l'Algérie, mais pour concurrencer uniquement le Maroc et affaiblir par la suite le leadership acquis par feu Hassan II.

    Faut-il souligner en fait, la différence qui existe de nature entre une formation intellectuelle, culturelle et politique particulière d'un Monarque qui s'est élevé dans un milieux de noblesse et de fortune monarchique ancestrale et le comportement sauvage d'un berger qui, sort subitement, d'une cabane de montagnards aux Aurès d'Algérie.

    Certes une mentalité pareille ne peut que pousser le maudit Boukharouba à se faire le gang pour se venger aussi du cafetier de Nador qui détient, à nos jours, son permis de conduire "en pari garanti", faute de non payement d'une note de consommation!.

    En l'absence de toute opposition locale,  il s'en prend au Maroc qui l'accueilli pendant ses peines de réfugié politique et décide de jouer au feu, créant sa peine "à l'algérienne"  pour dilapider le fond public des Algerians et financer, armer et soutenir  un mirage qui s'appelle  polisario. Une affaire politique créée en toutes pièces et qui perdure, malheureusement, depuis plus de 45 ans, par manque de bonnes volontés  et d'interlocuteurs algériens crédibles.

    Oui une affaire perdue, pour la grande majorité des algériens, avec la disparition tragique de ses créateurs et commanditaires, en l'occurrence ce maudit et son gamin Bouteflika, dont on parle largement aujourd'hui en Algérie et ailleurs. Elle constituait pour les thuriféraires du pouvoir, une affaire-héritage, faisant priorité d'Etat que personne n'oserait parler en Algérie; malgré le choléra qui déchire  les ventres de plus de 75 algériens et algériennes, dont on déplore quelques  décès.

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    Le vif de sujet..Depuis plusieurs jours et après le retour précipité; dit-on, de Suisse du président momifié Abdelaziz Bouteflika qui y subissait des examens loin d’être de routine, la rue algérienne s’attend à l’annonce imminente d’un communiqué de la présidence algérienne annonçant le compte à rebours d'un départ, sans retour, vers le cimetière d'Al Alia d'Alger pour enterrer le cadavre de Bouteflika.

    Son état de santé s’est subitement et gravement détérioré lors de son hospitalisation et au cours de laquelle les médecins auraient diagnostiqué un cancer au stade final, poussant son entourage à le faire rentrer au pays de toute urgence contre avis médical.

    Ce retour inattendu a déchaîné les rumeurs sur sa succession et les personnalités les mieux désignées pour assurer l’intérim avant les prochaines élections présidentielles. mais c’est cet intérim qui pose problème et qui ne risque pas de se dérouler en douceur et démocratiquement, car les risques de coups d’état ne sont pas à écarter ainsi que des règlements de compte au sommet d’un pays mal préparé à la succession.

    Bouteflika, ou du moins son entourage, ayant choisi de le garder même très malade au pouvoir jusqu’à sa mort pour ne pas affronter l’heure de vérité qui commençait dans un moment de panique quand Said Bouteflika,le frère du président algérien a exigé l’éloignement d'un médecin Tunisien et d’une infirmière Marocaine travaillant dans un hôpital de Genève où le cadavre-momifié du président algérien était posé.

    La raison n’est pas donnée, mais selon le site Afrik.com, Said Bouteflika était pris de panique pour garder, à lui seul, le secret de la décomposition du cadavre de son frère, pour jouer le malin encore plus et prétendre éventuellement dire aux algériens d'autres fourbis sur la santé de son frère, qui lui permettront, en parallèle, de gagner encore plus de temps en maintenant davantage le stau quo ambiant.

    Aprés avoir insisté, il a obtenu l’accord de l’établissement pour éloigner le professeur tunisien et l'infirmière marocaine qui exercent dans ce service hospitalier, lesquels ont été surpris par cette démarche jamais survenue dans cet établissement et ce, parait-il, par peur qu'ils divulgueraient aux 4000 algériens se trouvant en Suisse et au monde la réalité sur la santé de son frère Bouteflika qui se trouvait dans un état très critique.

    La même source révèle qu’Abdelaziz Bouteflika était hospitalisé dans le service oncologie de l’hôpital cantonal de Genève, dans l’aile des malades en phase critique, après le refus Français de l'accueillir émis; selon des sources concordantes, à cause de la fermeture provisoire de l’hôpital d’instruction des armées de Vall-de-Grâce, fermé depuis 2017, faute de moyens suffisants pour sa rénovation et peut-être aussi sur tout le sol français, à Hôpital Percy, par exemple, ou Hôpital Bejin à Paris, pour le non-règlement de factures antérieures y afférentes non encore payées, contrairement à ce que rapportent les médias algériens, selon lesquels il ne s’agirait que d’examens de routine ne nécessitant pas de prise en charge.

    Faffa¹ aurait-elle refusé de soigner..Le déplacement, de Abdelaziz Bouteflika, voire le transfert de son cadavre, pour se soigner en Suisse a suscité beaucoup d’interrogations. Depuis 2005, Bouteflika est soigné dans les hôpitaux français. Pourquoi il a opté cette fois-ci pour Genève? La question mérite d’être posée. Une chose est certaine, une crise latente semble, parait-il, faire rage entre Alger et Paris.

    Mr.Macron aurait, selon certaines sources françaises ordonné même de ne plus délivrer des visas aux Algériens ni de naturaliser des Algériens en France. Certaines informations font état de mécontentement de la France de n’avoir pas bénéficié de marchés pétroliers, dont les privilèges sont donnés dans ce sens aux Américains et aux Chinois.

    D’autres parlent de la facture salée des Algériens qui se soignent en France et que l’Algérie refuse de régler. Tout se décidera lors de la prochaine visite de Macron à Alger prévue pour l'avenir. Pour le moment la France ne cache plus son mécontentement. La France aurait même affirmé que Bouteflika n’est pas le bienvenu pour se soigner.

    Un faux recteur Algérien à Paris..Une autre humiliation pour l’Algérie qui verse des milliards à son pion en France, le soi-disant prêcheur Boubker Dalil pour construire des cabanes,  voire des mosquées-mouches à Paris, pas pour  contribuer a consolider la spiritualité d'algériens. mais pour uniquement concurrencer la mosquée Marocaine sise au 5ème arrondissement Parisien, dont l'architecture Marocaine en témoigne, sans équivoque, son enracinement dans l'histoire lointaine du Maroc, ce qui ne permettra, en n'importe quelle circonstance, aux mensonges algériens de la défigurer.

    Alors que la vraie religion n'existe point en Algérie, tant que celle-ci qu'est le seul pays (arabo-musulman) qui permet à ses citoyens, la polygamie à CINQ,  selon le maudit-général Khaled Nezzar! (..), n’a même pas sur son sol, un  hôpital CHU (Centre Hospitalier Universitaire) digne de ce nom .

    Seul l'hôpital "Ain Naâja d'Alger" existent, qui dit-on, en a qu'une faible capacité professionnelle de soigner les chanceux des thuriféraires du pouvoir algérien? sur prescriptions d'un  misérable "Institut Pasteur en Algérie".

    Alors que chez nous au Maroc, notre dignité ne nous permet pas d'attendre l’aumône de quiconque, surtout de personne étrangère. Nous avons bien constaté avec tout le monde, Dieu merci, que feu Sa Majesté le Roi Hassan II que Dieu ait son âme, ait succombé chez soi, à l'hôpital SOUISS à Rabat, sous la supervision d'une équipe médicale de professeurs Marocains hautement qualifiés.

    Je persiste et je signe, quand je dis "faux Institut Pasteur", car comme vous le voyez ci-dessous, la façade et pancarte et même l'état des lieux, n'ont aucun lien d'aspect scientifique. Cet état, ressemble, à l'épicier du quartier déserté par sa clientèle endettée.( zoomer  pour en apercevoir).

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    Un secret d'Etat..Faut-il rappeler que celui qu'on appelle le président Algérien était hospitalisé quatre-vingts jours à Paris en 2013 après son AVC, et depuis, il s’est rendu plusieurs fois à l’étranger pour des «contrôles médicaux périodiques», à Paris, Grenoble ou Genève.

    Sa santé fait l’objet de multiples spéculations dans son pays l'Algérie . L’AVC dont il a été victime a affecté sa mobilité et son élocution. Selon une source Française il n'arrive même pas à essuyer la salive qui tombe de sa bouche. Ses apparitions – en fauteuil roulant – sont rares et il ne s’exprime plus en public comme c'était son cas auparavant.

    Et pourtant, on fait et dit beaucoup de choses en son nom pour garder la stupidité à son degrés d'un peuple dingue qui voit ses droits bafouillés sans pouvoir dire un mot à la bande Bouteflika qui brille, à son détriment, dans sa manière de manipuler ses marionnettes selon les circonstances. 

    Pour les Algériens avertis, c'est l'heure de vérité. Mais celle-ci approche inéluctablement pour précipiter l’Algérie dans le chaos après la mort de celui qui l’aura dirigé, des années durant, d’une main de fer en refusant d’évoquer toute transition démocratique et en étouffant toutes les velléités de changement en douceur pendant qu’il était encore en vie. Les prochains jours et heures seront cruciaux pour l’avenir algérien.

    Tout cela passe, quelque part sous les cieux algériens.En retournant sur terre, nous avons vu dans la note précédente une photo d'humiliation sur la presence de Bouteflika dans une mosquée d'Alger le jour d'Aid Al Adha, une  prise d'officiels qui s’est répandue sur les réseaux sociaux, comme une traînée de poudre. Elle reflète la stupidité des gouvernants algériens et démontre l'intelligence algérienne à l'envers.

    Oui, officiellement, selon les médias algériens, le clan qui détient les bouts de ficelles à la présidence continue à jeter de la cendre aux yeux des algériens. Bouteflika a bien accompli,  à distance, la prière de l'Aid, avec à ses côtés : Ouyahya,le chef de ce qu'on appelle le gouvernement. Said Bouhajja, le président d'une partie de l'écurie algérienne dite le parlement. Abdelkader Ben Salah, le pseudo-président de la chambre basse du même écurie. Et puis la fameuse Photo-cadre de Bouteflika qui le substitut en chair et en os dans des endroits pareils.

    L'Algerie un pays qui agonise durant ces derniers années, un pays qui est dirigé par un président absent physiquement, cloué à sa chaise roulante; pris en otage par son entourage direct. Un pays dirigé par une équipe de clandestins qui l'entoure agissant en son nom, dont son frère Said, le vrai décideur, soutenu par le  général-bougre Gaid salah qui, lui aussi aspire à remplacer Bouteff, une fois celui-ci disparu si bien entendu mama Franca l 'accrédite a ce poste.

    L’Algérie serait-il un pays maudit des cieux? Un pays riche en hydrocarbure gaz et petiole et un peuple soumis a la misère. Sous le regime militaire sauvage et barbare depuis l'independence à nos jours, ce peuple continue de sombrer dans son coma profond depuis la décennie noire d'ou il ne sortirait peut être jamais quelque soit la catastrophe qui lui tombe dessus.

    Un peuple qui peine à se procurer un sachet de lait en poudre et qui reste sans reaction, cela signifie qu'il est mort, même si la délivrance ne doit venir que du peuple, mais ce peuple algérien est malheureusement inerte et sans vie. 

    En attendant l'incertain, regardons le triangle de la mort en Algérie qui, en se moquant disait, apparemment qu'il serait pour le 5° mandat..?. (Cocaine, Choléra et le Cadre du président.). Pour prouver cette hypothèse, je reproduis la vidéo ci-dessous d'Ilyas Rahmani qui parle de beaucoup de choses concernant l'Algérie et son pouvoir mafieux.

    Avis de diplomates..Devant toute cette pagaille, Said Bouteflika, le prof universitaire et le malin politique, ne cesse d'user, au petit feu de l’intelligence Marocaine que sa famille aurait acquis du Maroc lors de son séjours à Oujda et projette, à l'insu de son soi-disant, Aâmou Salah, le général-bougre,chef de l'armée,  à réduire le pouvoir de l’armée en cassant ses ailles fortes par les limogeages à répétition, n'épargnant aucune de ses composantes pour pouvoir gérer facilement les situations à venir.