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  • L'Algérie est au bord du gouffre, si elle n'y est déjà en plein dedans?

     

                                                                                               drapeau-du-maroc-image-animee-0008    

                                                         

                                                                                                      L'humiliation et la rescousse

    Agrandir et voir mieux..Les officiels d’Alger, les gouvernants je veux dire sont engagés dans une escalade conduisant des périls, à une montée davantage aux conséquences imprévisibles. Ils endosaient localement trop de problèmes ayant trait au quotidien. 

    Pour se cacher derièrre, ils multiplient les attaques contre le Maroc. L’hypothèse d’une montée des périls jusqu’à la confrontation n’est plus un exercice d’état-major: elle paraît s’installer pour s'éclater de jour au lendemain à l'horizon de déconfinement total avec, absolument, la reprise du Hirak hebdomadaire. 

    Cette escalade jusqu’où? L’un des derniers actes a été pris unilatéralement à la légère, relatif à la fin de la mission diplomatique de  l'ambassadeur  d'Alger à Rabat. Assurément, le contexte diplomatique s’est détérioré encore plus avec la rupture des relations diplomatiques.  Une rupture qui n'aura pas d'effets néfastes sur les intérêts Marocains, après laquelle l'Algerie ne récupéra jamais du bien tant qu'elle reste têtue avec le Maroc. 

    Durant des semaines, d’autres actes hostiles s’étaient multipliés: fermeture de l’espace aérien algérien à tous les avions civils et militaires  du Maroc le 22 septembre, non-reconduction attendue du contrat du gazoduc reliant les champs pétroliers algériens à l’Espagne via le Maroc qui expire au fin de cette année. 

    Signes de mauvaise idyle ne tarant pas d'éloges sur les relations entre les deux pays depuis 1962....Les incursions et les musculations de la racaille (armée) Algérienne du côté de Figuig en mars dernier, puis l'harcellement enfantile dans l'Oued-Zelmou prés de Bouanane dans la province d'Errachidia pour déposséder les habitants locaux du ksar Zaouiet-lhajoui de leurs sources à sel.

    Les maux d'Algérie contre le Royaume sont innombrables que personnes, même les experts de la chose Algériennne ne pourraient les déduire avec précision. Le Maroc est trés prisé des conneries Algériennes. Mais il y a plus avec, cette fois, un débordement au plan militaire. A preuve, des manœuvres navales à la fin septembre dernier près de la frontière maritime avec le Maroc.  Une opération que le général-pisseur "Chengriha" précisait qu’elle a été faite «avec la participation de sous-marins simulant un véritable combat contre un ennemi dans les profondeurs de la mer, allusion au Maroc sans le dénommer nommément».

    Comment ne pas le voir? Les grandes chancelleries ayant des interets en Algerie ne cachent pas leurs préoccupations à propos de cette situation d'e débordement militaire en Algérie. Les officiels d’Alger multiplient ainsi leurs attaques contre le Maroc. En visite dans la région militaire d’Oran, voici un mois ou presque, Saïd Chengriha, le chef de l'armée perdue dans de fausses annales de supériorité militaire s’en est pris violemment au Royaume, l'accusant de nouveau d’être «allé trop loin, dans les conspirations et les compagnes subversives ! ».

    Pour quelles visées? Selon ce Chengriha, réduire le rôle de l’Algérie dans la région, c'est épuiser ses capacités, entraver son processus de développement et tenter de porter atteinte à l’unité de son peuple, en semant la discorde et la division en son sein. Plus encore, ce pisseur-major allègue que le Maroc soutient de nombreux opposants, exilés en Europe, dont Ferhat M'hani,le président de la Kabylie ou encore les barbouzes Hicham aboud, Ben Sdira et celui de Londres Larbi Zitout? qui se prend pour diplomate avéré. Dans ce sens-là, les mêmes autorités Algériennes avaient mis en cause le Maroc lors des graves incendies en Kabylie à la mi-août pour son aide au MAK (Mouvement d'Autodétermination Kabyle) qualifié de «criminel et organisation terroriste» selon Alger .

    Voilà comment est construit le discours de propagande autour de ce que l’on peut appeler le spectre de «l’ennemi extérieur». Une vieille recette politique du régime, faisant face à une grave crise intérieure, et qui tente ainsi de conforter et de rassembler les rangs dans une fausse perspective patriotique.

    Ainsi, en octobre 1963, Ahmed Ben Bella, alors président, avait utilisé la même grosse ficelle lors de «la guerre des sables». Coopté par une armée désorganisée  et par le suport du maudit Abdenacer d'Egypte, il avait appelé les Algériens à l’«union sacrée» contre le Maroc, faisant semblant de supplier «Lamrarka hagrouna!». Et pourtant le mot "Mrarka" lui appartenait, c'est son origine a lui, tant qu'il n'est pas Algérien de race. C'était lui qui confirmait, si en prend en compte ce qu'il disait sur les ondes de la Radio (Medi1) via ce qu'on disait souvent par son «os languinaire», que son père était originaire du Maroc, de Sidi Rahal L'boudali, région de Marrakech.

    En différentes circonstances, une rhétorique de même facture a servi à Houari Boukharouba (1965-78) et à Abdelaziz BoutefRika (1999-2019) Oui BoutefRika, c'est comme ça que feu Hassan II insistait à l'appeler ainsi. Aujourd’hui, Abdelmajid Jebboune, depuis son élection "contestée" en décembre 2019, la reprend à son compte, de manière plus flagrante, accentuée d’ailleurs.Il ment et multipliait davantage, immitant l'Algérien (photo ci-dessous à droite ) qui vachement; attribuait au prophète Sidna Mohamed (sws) la notion de dire que le pays qu'il estimait dans son vivant.. "C'était l'Algérie et rien que l'Algérie". insistant que ce n'était pas un rêve émotionnel, c'était une réalité !!.

     

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    le  dingue au doig bleu¹                                   l'astrologue-dz

    Le dingue et l'astrologue-dz..Que veulent donc les officiels d’Alger? Ils sont engagés dans des périls aux conséquences imprévisibles. L'on voit bien ce dont il s'agit: un appareil d'Etat ne peut plus remplir ses fonctions essentielles, dont garantir, au moins à ses populations le nécéssaire de pomme de terre, l'une des matières les plus recherchée et plus consommée par le pauvre  Algérien pour préserver son quotidien.

    Il en résulte non seulement des troubles et une crise interne, mais aussi des prolongements d'intervention-extérieures, contagion de l'instabilité sécuritaire à la Libanaise. ou à la Souanaise. Un dysfonctionnement d'institutions de gouvernance (s'il y en a d'ailleurs) lié à des raisons internes comme la corruption ou la mauvaise gestion, face à une révolution en effervescence de la rue, à l'image de hirak hebdomadaire de vendredi, reporté provisoirement à cause de la  pandémie "Coronavirus" hissant le slogan «دولة مدنية مشي عسكرية»?

    Dans la foulée de bla-bla, certains curieux Algériens se posaient la question autour de la gouvernance Algérienne alimentée nécessairement par les carbures."le système rentier poursuivi jusque-là par l'Algérie est-il réformable?" Le discours officiel de Jebboune le dit. Mais qui peut lui accorder quelque crédit?. Ce que je crois en l'état actuel, ce système est malsain; il n'assure pas la distribution équitable du revenu petrolier; il décourage le travail et l'esprit d'entreprise chez le feignant Algérien, sauf à être branché sur des réseaux d'intérêts liant les généraux et des opérateurs de corruption et de cocaïne; il empêche au final toute diversification d'une économie fiable.

    Quant à la politique algérienne de voisinage, celle de l’hostilité permanente à l'encontre du Maroc. La mobilisation de son appareil diplomatique même avec la venue du charlatan de secours (Lahmamra)  se distingue dans ce sens dans toutes les instances internationales –une forme de glaciation qui ne permet d'espérer aucun infléchissement dans ce domaine.

    L'Algérie n'a donc pas construit un Etat inspiré de ce que les libéraux appellaient le " Édification d'État "; elle n'a pas veillé à créer de nouvelles institutions étatiques renforçant et transformant celles qui devraient êtres en place à part le gazouduc. Elle ne s'est mobilisée que pour une gestion sécuritaire intérieure couplée à une hostilité graduelle pour son voisin généreux d'autrefois, le Royaume u Maroc.

    L’altérité nourrie par l’Algérie à l’encontre du Maroc depuis plus de six décennies appelle bien des interrogations. Comment l'Algérie s’est-elle construite durant cette longue séquence historique sur la base de facteurs cumulatifs : l’opposition entre deux formes de régime, l’Algérie se voulant «révolutionnaire» dans les années soixante et soixante-dix et les options économique bien distinctes avec un "socialisme pourri" d’Etat et un système de parti unique le FLN.

    Alors que par contre, le Royaume Chérifien du Maroc est engagé dans une longue marche marquée par de grandes avancées, tel n’est pas le cas de son voisin enragé de l’est, plongé dans une nasse d'envie, de haine et d'hostilité dont il ne peut sortir en l'état actuel et certainement pas à venir!.

    Ce qui est en jeu, ce n’est pas autre chose qu’un principe de légitimité encore introuvable. C’est qu’en effet depuis son indépendance, l’Algérie n’a pas réglé la question du pacte social : celui qui peut être l’acte d’adhésion à des institutions crédibles; celui qui porte une vision avec des valeurs appropriées par tous; celui encore qui redonne la parole aux citoyens et fonde la reddition des comptes à l'instar des pays démocratiques dont la Tunisie à l'Est et le Maroc à l'Ouest. Ce Maroc qui est adossé enfin à un véritable pluralisme libérant les énergies, valorisant les potentialités des forces vives et d’un vouloir-vivre commun.

    Rien d’étonnant dans ces conditions que la société Algérienne soit tellement fragmentée, éclatée même, avec un système ne pouvant qu’incarner l’Algérie et son peuple; et que ce déficit rédhibitoire s’emploie à tenter de trouver dans l’exportation de sa crise interne un adjuvant en trompe-l’œil. Et quel est, pour les généraux, le «marché cible» de premier plan à ne lâcher jamais?. Le Maroc, pour toutes les raisons précitées, mais aussi pour le redéploiement de sa politique étrangère et son rang d’influence se trouve honoré dans le concert des nations.  

    Usurpation diplomatique. Approprier ou usurper l'indentité d'un diplomate pour twetrer un message anti-Marocain, c'est normale aux normes diplomatiques de Lahmamra. Ainsi, un tweet de la TV libanaise (NBN), qui a tout l’air d’être authentique car illustré de la photo du chef de la diplomatie irakienne, reprend mot à mot une expression que Lamamra avait déclinée la veille, du 23 octobre, sur le plateau de la chaîne d’information Russe RT. «Le Maroc est arrivé au point de se montrer fort de ses relations avec Israël», est-il ainsi littéralement écrit sur ce qui s'apparente à un vrai tweet.

    Lahmamra vient d’être pris en flagrant délit de diffusion d’une "fake news" anti-Marocaine sur le compte Twitter d’une télévision Libanaise. Après la réaction rapide de la diplomatie Marocaine, le tweet a été effacé, mais pas la preuve indélébile de cette supercherie. Vraisemblablement, le régime algérien vient de découvrir une nouvelle méthode pour pouvoir, du moins le croit-il, amplifier sa propagande anti-Marocaine. Il s’agit cette fois-ci de la diffusion de fake news, ne serait-ce que momentanément, sur des réseaux sociaux tiers.

    Dimanche 25 octobre, sur le compte Twitter de la télévision libanaise, NBN, d’obédience chiite et porte-voix de Nabih Berri, l’inamovible proche du gouvernement iranien, a diffusé un tweet pour le moins bizarre comportant une brève déclaration sur les relations Maroco-israéliennes, attribuée au ministre irakien des Affaires étrangères.

    Evitant de parler des relations avérées entre la branche militaire du Hizb "Achaitane" Libanais et le Polisario, il s’est limité à fouiller dans ses poches et n'a trouvé de dire que les propos du ministre Israélien sont «faux, imprécis, mais surtout suscités par le Maroc pour nuire à l’Algérie». Se bousculant encore entre ses phrases en vrac, il évoquait havardement, le problème qui entachait l'Algérie, en l'occurrence l'affaire Ben Batouche et sa complice espagnole l'ex-ministre espagnole des Affaires étrangères Arancha Gonzalez Laya, avec bien sûr son principe insaint, "la cause imaginaire qui occupe la grande marge propagandiste étrangère de l'Algérie". Son pseudo-peuple "frère Sahraoui". 

    Le Maroc est même accusé d’avoir créé une tension dans la région, «aujourd’hui ouverte sur l’inconnu» dit-il, et d’avoir «refusé le plan de règlement politique onusien» au Sahara disait-il "occidentale". Le Maroc serait même responsable du blocage qui empêche, à l’opposé de l’Algérie, selon Lamamra, «le vivre ensemble des pays Maghrébins de la région».

    Les divagations de Lahmamra, qui fait semblant d’oublier que son pays est le seul au monde qui maintient fermées ses frontières terrestres avec le Royaume depuis l'attaque terroriste Algérienne de l'hotel Asni à Marrakech en 1994, n’ont pas échappé à la journaliste qui l’interviewait et qui, à deux reprises, n’a pas hésité de prendre ses compatriotes Franco-Algériens à contrepied.

    Une affaire que Jebboune, son maîtres prenait en priorité dès sa première sortie médiatique de président pour demander au Maroc des "excuses". Des excuses pour un fait terroriste ayant fait deux morts espagnoles, perpétrés par des Franco-Algériens et que le président Jebboune qui n'était rien à cette époque, ignorait sûrement les tenants et aboutissements de cet acte criminel. Sa concitoyenne journaliste lui a d'abord indirectement fait comprendre qu’il est complètement hors sujet puisqu’il n’a, à aucun moment, soulevé le dossier du Sahara Marocain qui, l'a-t-elle rappelé, est «très ancien et a toujours constitué un sujet de frictions entre Rabat et Alger», comme tout le monde le sait.

    La journaliste algérienne n'a ensuite pas hésité à recadrer Lahmamra, en lui faisant comprendre que l’Algérie fait de la normalisation Maroco-israélienne tout un plat gras, alors que le Maroc n’est pas le seul, ni le premier ou dernier pays arabe à avoir souverainement noué des relations avec l’Etat d’Israël. Et Lahmamra d’affirmer, dans ses propos plutôt confus, que l’Algérie respectait la souveraineté de chaque pays, mais n’acceptait pas qu’un autre «pays arabe précis» se «renforce» à travers ses relations avec Israël en «l’introduisant dans une région où il n’a jamais mis les pieds», dit-il.

    En d’autres termes, l’Algérie peureuse se plie en quatre pattes devant les décisions souveraines des puissantes monarchies du Golfe (Les Emarates surtout) qui tiennent les rênes de la politique de fixation des prix du pétrole et possèdent d’innombrables dossiers estampillés secret défense sur la junte militaire d'Alger, mais l’Algérie haineuse renie ce droit souverain quand il s’agit du Maroc.

    Au final, avec des idées trops dépassées par les lieux et les temps,c’est un Lahmamra balbutiant, radoteur, incohérent qui s’est exprimé. Exactement à l’image d’un régime en pleine débâcle. Un régime qui lui faisait appel pour embêter un Maroc en progression irréversible. 

    Les intrus de l'UA...Je ne peux m'en passer de donner de l'eau au moulin de l'ex-fief Algérien et sans parler de Lahmamra et de ses conneries contre le Maroc. Le Conseil de paix et de sécurité à l'Union Africaine qui était pendant plus de quinze ans le fief priviligié et prêt à porter de l'Algérien Smain Chergui, l'ex-pretendu chef du conseil est percée par la raison Africaine en désignant un Marocain à sa direction.

    Je dirais la-dessus que Lahmamra nage tout seul dans ce qui lui reste d'anciennes boues Algériennes anti-ma, en l'occurrence: «Anomalie fâcheuse», «erreur historique», «non-sens du point de vue droit international»…Mais que fait encore le pseudo «Ben Batouch» au sein de l’Union Africaine? Je crois que la réponse à cette interrogation se trouve certainement dans une des poches de M.Nacer Bourita qui l'attend au tournant avec des cartouches à balles réelles. 

    Comment se fait-il que la chimérique république autoproclamée du Polisario, soit la seule à sièger en tant qu’entité non étatique ne disposant d’aucun élément constitutif d’un Etat proprement dit, parmi les 54 pays de l’Union Africaine, jurant de fait avec sa charte et acte constitutif rédigés  noir sur blan, à Casablanca en 1961 du siècle écoulé?.

    Dans quelle mesure l’organisation panafricaine peut-elle porter les idéaux de la construction et fonder une cohésion continentale, affichée depuis son ex-appellation (OUA) tout en hébergeant une milice armée, source de division et symbole flagrant de séparatisme et de bellicisme enfantée dans de sales draps pour y être reconnue et soutenue par une Algérie qui flotte et se repose encores sur les ruines de la guerre froide d'autrefois?.

    Comment concilier cette présence incongrue avec la position des Nations Unies, qui n’accordent aucun statut à la fantôme de Tindouf et à une fiction sans existence légale? Ni la Ligue Arabe, du reste, ne lui octroie une reconnaissance, ni l'Organisation de la Coopération Islamique, ni l’Union Européenne, non plus que 165 Etats membres de l’ONU voire -paradoxe suprême!- les trois quarts des membres de l'Union Africaine elle-même.L'autre quart rétissent dont l'Afrique du sud et quelques pays corrompus, léchant les futilités pétrolières de la Sonatrach, encore égarés, qui à mon sens,ne tarderont pas d'y revenir à la raison.

    Ce fut le cas encore récemment, au séminaire régional qui s’est déroulé le 16 octobre à Dar-es-Salam en Tanzanie, co-organisé par «l'Institut d'Etudes de la Paix et des Conflits et «la Fondation pour la paix en Tanzanie», réunissant un parterre d’une centaine de personnalités politiques et académiques africaines.A l’issue de cette rencontre, ces personnalités furent unanimes à appeler, dans un communiqué final, à l’exclusion de l’entité fantomatique des instances de l’Union Africaine. 

    Une simple question de temps qui permettrait de corriger une injustice historique, d'assurer la prémunition de l'organisation contre le séparatisme, de restaurer sa crédibilité, de favoriser sa contribution constructive au processus des Nations Unies, qui considère le plan Marocain d'autonomie comme une solution « crédible»…

    Cet appel rejoint de nombreuses positions similaires, à commencer par la motion commune présentée par 28 Etats africains en 2016, au sommet de la capitale rwandaise, Kigali, demandant la suspension des activités de la pseudo-«rasd» et soutenant la réintégration du Maroc au sein de «sa famille Africaine ».

    Petit rappel des faits: en 1984, le Maroc par la voix de son Souverain Sa Majesté le Roi feu. Hasan II quittait l’Organisation de l’Unité Africaine dont il fut un éminent membre fondateur en 1961 de l'OUA l'ancêtre de l’UA. Une UA, un racourcie imposé par la frivolité de Kaddafi qui avec Boukharouba voulaient effacer la grandeur et leadership du Maroc et éviter sa conduite des locmotives du tiers monde.

    A cet effet, feu Hassan II laissait entendre aux Africains et au monde dans un moment de colère un message Royal, lu par le conseiller Royal feu Ahmed Réda Guédira : «Voilà, et je le déplore, l'heure de nous séparer, en attendant des jours meilleurs et plus sages, nous vous disons adieu et nous vous souhaitons bonne chance avec votre nouveau partenaire». Cinq années auparavant, au sommet de Monrovia, au Liberia, le souverain annonçait la couleur et jetait l'éponge ajoutant «ce qui se passe à l’OUA depuis des années sont des conférences tam-tam… Des conférences de danse de Saint-Guy… Je dois être isolé de ce cloaque… pour refaire cette Afrique (...) L’OUA a besoin d’un assainissement sur son plan moral».

    Cause principale des griefs: l’admission hasardeuse de la «rasd» par chèque à blanc, encaissé par le Togolais Edem Kodjo, alors secrétaire général de l'OUA, dans des circonstances opaques «qualifiées sans détours par certains et de «sonnantes et trébuchantes» par d'autres» dans un contexte historique particulier, marqué par une division bipolaire du monde et par la domination de courants idéologiques, aujourd’hui obsolètes.

    La donne a depuis bien changé en effet, des pays africains affranchis de certaines tutelles; les masques tombés sur une junte militaire téléguidant une bande de mercenaires; le mirage de la «république des sables» révélant la nature des violations des droits humains contre les populations séquestrées dans les camps de Tindouf; et le Maroc, qui n’a jamais cessé d’œuvrer dans le sens de ses perspectives panafricaines initiales, regagnant son siège au 28e sommet de l’organisation à Addis-Abeba, après un vote favorable de 39 des 54 membres de l’Union, contre 15 brebis galeuses, restées à convaincre pour y revenir à la logique. 

    Quoi de plus légitime pour un membre fondateur qui avait contribué à l’impulsion du premier embryon du panafricanisme!.En 1960, Sa Majesté le Roi feu Mohamed V rappelait à Rabat, devant Patrice Lumumba, héros de l'indépendance de l'actuelle République du Congo Kinshasa, auquel il apportait tout son soutien, la nécessaire unité du continent. «Une unité qui ne signifie pas la disparition des particularismes des croyances ou des idéologies, et qui doit être, fondée dans la diversité…».

    Le 4 janvier 1961, aux lendemains des indépendances, feu Mohamed V réunissait à Casablanca quelques-uns des plus importants dirigeants du continent, de la stature de «Jamal Abdenacer d’Egypte, Kwamé Nkrumah du Ghana, Modibo Keita du Mali, Léopole Sedar Senghor du Sénégal, Ahmed Sékou Touré de Guinée ou encore Habib Bourguiba de Tunisie», adoptant à Casablanca une charte de l’Afrique nouvelle, dite OUA «l'Organisation de l'Unité Africaine», traçant la voie à la réalisation d’un rêve continental. 

    Parmi ses objectifs: la consolidation de la paix et de la sécurité, l’élimination de la ségrégation raciale, la liquidation du régime colonial en soutenant, entre autres, l’Indépendance de l’Algérie... (Que dire de plus!).Depuis, après tant de trahisons et de repentirs, tant de remous et de tensions, n’est-il pas temps pour l’Afrique de relever les défis majeurs de la solidarité et du développement dont le but serait la mise en place de la Zone de libre-échange commune, incompatible avec l’entretien malsain d’un conflit artificiel qu’il convient de solder de toute urgence. Alors là seulement, «au bout de la patience, dit le proverbe africain, il y a le ciel».

    Enfin je suis contraint de terminer cette pagaille Algérienne par une phrase de désespoire. Il est difficile d'effacer les maux de l'Algerie des feuilles de la mémoire commune Marocaine, voire de la mémoire de tout Marocain ayant vécu la haine et l'hostilité de ses gouvernants depuis leur naissance indésirable à nos côtés en 1962.

    Et je crois que leur trahison était programmée, même bien avant, depuis leur salle guerre de libération, durant laquelle, ces lauréats de maisons closes, avaient discrètement tendance à ne pas reconnaître ni apprécier au mieux la générosité Marocaine, surtout après la disparition graduelle des personnalités ayant conduit les trains de négociation avec De Gaulle et qui ont bu de l'eau Marocaine quand ils avaient besoin d'étouffer leur soif amère de liberté.

    C'est au lectorat d'en juger l'ingratitude et l'orgueil de ces voisins de mal tout en regrettant l'absence d'hommes d'Etat en Algérie pour tourner les mauvaises pages qui bloquent toute tentative de réconciliation, sachant qui ne tente rien n'aura rien.

    Pour me soulager, je reviens toujours aux bons esprits de feu Hassan II quand il disait. : «Je ne demande pas au monde de reconnaître la Marocanité du Sahara, mais je lui demanderai de savoir avec «Quel voisinage Dieu nous a réunis

    Pour confronter les maux adverses, nous devons saisir toutes les occasions et les opportunités qui s'offrent à nous pour préserver nos valeurs sacrés et garder la grandeur Marocaine telle quelle est sans pour autant se brouiller d'harcèlement gratuits de la part des Algériens pour atténuer leur esprit naturel de fausse supériorité envers tout l'univers.

    Ils savent la vérité de leur entêtement envers la grandeur du Maroc. Quoiqu'il en soit, le Maroc défend et defendra davantage sa cause nationale sacrée et la vérité vaincra. Je leur dirai en Substance que : Aucune personne crédible ne pourrait ignorer que c'est de la fermeté de l'adversaire qu'on peut mesurer sa force.

    Leur Algerie n'en a pas cette qualité et elle ne l'aura jamais tant qu'elle est dirigée par des dingues. Ils le connaissent, plus que d'autres leur faiblesse et qu'ils sont dépourvus de toute crédibilité, face à la logique et la grandeur du Maroc. Selon un proverbe courant.. "Le chien de chasse helate et la proie part à son maître". C'est le cas de cette veuve qui continue à hurler hors du peleton pour compenser ses faiblesses et son isolement. Bonne lecture

                                                    Trés cordialement,Chihab25

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    ¹.L'Algérien au doigt bleu, c'est celui qui vote pour voter  à la faveur du pouvoir sans idée aucune