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  • Maroc-Algérie : l'Algérie serait-elle «portée pour une solution avec le Maroc!»

     

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                                                  Drapeaux de l'Algérie et du Maroc

     

    Gifles à répétition..Je commence ma modeste chronique par les faits qui marquaient trop mal à l'esprit Algérien de vengeance. Quelques années auparavant, le Maroc a été surpris d'une gaffe impardonnable commise par l'adjudant de l'armée Française, Ahmed Ben Bella L'Marrakchi, je dis bien  Marocain, étant originaire de Sidi Rahal El-Boudali dans la région de Marrakech.

    Appuyé dans sa mésaventure par un certain Bekbachi Jamal Abdenacer qui lui, se voulait être le leader incontestable du monde arabe. Les deux se mettaient sur même mule pour détrôner par force d'une guerre éclaire, le jeune Roi du Maroc feu Hassan II qui, naturellement, était fort, dérangeant le clan-Est communiste par ses positions politiques d'influence.

    Cependant, ils ont reçu une réponse humiliante de la part du feu général Driss Ben Omar, un militaire de son état et génie accessoirement compétent, expérimenté des batailles Européennes auxquelles avait participé durant sa trajectoire militaire.

    Pratiquement, il a vécu sous les ordres des grands galonnés Européens ayant conduit les deux guerres mondiales survenues durant le siècle dernier (1918/1939). Des guerres auxquelles, il aurait pu acquérir des expériences particulières, dont d'autres de ses pairs n'en se disposeront sûrement pas dans leurs livret de service militaire.

    Ce général qu'on dénommé "le faucon" ne s'en étonna pas outre mesure et se contenta d'assigner des douleurs à tout ennemi du Maroc, sachant qu'il avait donné un ordre spectaculaire d'une particularité étrange! : «coudre les poches à ses soldats pour les inciter à se comporter convenablement en respect d'honneur et de capacité militaires».Ordre bien établie dans les casernes, toutes unités des FAR confondues  (air,mer,terre).

    Il apprenait aux ennemis du Maroc, comment mener au bon, une guerre baptisée désormais de «guerre de sables» en octobre1963 à Hassi Beida, Tinjoub dans la province d'Ouarzazat et à Ksar Ich près de Figuig dans la province d'Oujda d'autrefois, c'était en terres Marocaines entachées de haine et d'hostilité Algero-Égyptienne, mais couronnées de victoires arrosées d'apéritifs aux arrière-bivouaques par le général et ses braves soldats, et à partir de cela, le  Maroc se mettait au point rouge de vigilance.

    Ainsi, de nouvelles normes de comportement sévères seront appliquées concernant la haine Algérienne (en goudron) et monoxyde de carbone. À cet effet, les FAR prenaient en mains la charge de préserver nos frontières avec la folle-voisine (Algérie) commandée aux épaules de diables, par une junte -bourrée de vanité- mais qui sera exposée à la destruction, à chaque fois que nécessaire, aux frais de se commanditaires.

    Les décideurs de la junte d'Alger, paniqués, perdant toutes les boussoles, s’en remettent, aveuglément, à leur cerveau de vengeance contre toutes les raisons et les crédibilités, qui leur éviteraient la sagesse de l'être humain-responsable de ses actes. Une intelligence artificielle, à l'Algérienne bien sûr, qui prédirait la pure frivolité, qui est pourtant, accueillie, à bras ouverts, par un grand nombre de stupides d’entre eux qui, se croyaient intelligents plus que d'autres.

    Par contre, nous autres Marocains,nous nous sentons fiers et à l'aise, très satisfaits de notre particularité.Nous nous réjouissons, en parallèle, d'encenser davantage davantage notre Monarque, pour ses efforts bienveillants et ses orientations, censé, nous différencier des autres peuples et de la folie Algérienne surtout

    Énième mensonge-dz...Entre l’Algérie et le Maroc, la crise était et est toujours à son paroxysme, surtout avec une junte de caporaux qui usurpe le pouvoir à force d'ordre général des casernes. Ces relations, rappelons-le, ont toujours été jonchées de conflits et de tensions depuis l'accession de l'Algérie à l’indépendance en 1962. Cet état stérile s’est encore exacerbé, avec la décision de l’Algérie de rompre ses relations diplomatiques avec le Maroc, en août 2021, sur fond du rapprochement Israëlo-Marocain et sur fond de discorde autour du conflit Algérien- artificiel au Sahara Marocain.

    Depuis cette décision des autorités Algériennes à l’égard de leurs voisins de l’Ouest, les relations entre Etats ont empiré avec notamment la rupture de la coopération bilatérale à tous les niveaux. L’Algérie avait décidé en effet d’interdire le survol de son espace aérien aux avions Marocains ainsi que la fermeture du gazoduc reliant l’Algérie à l’Europe via le Maroc.

    C’est d’ailleurs le volet humain et le passé historique commun de l’ensemble de l’espace nord-africain qui est souvent cité par les responsables des deux pays, lorsqu’ils abordent les relations bilatérales. C’est dans ce sens d’ailleurs que le ministre Algérien des Affaires mensongères, Ahmed Attaf a été questionné récemment par la chaîne Qatarie Al-Jazeera.

    Dans son entretien, dont les sujets, me parait-il, ont été choisis d'avance, le ministre Algérien a évoqué le dossier de  «l’Union maghrébine». « dont les activités sont gelées, depuis plusieurs années par le comportement défaillant de l'Algérie, affirmant unilatéralement, je cite :

    «Dans notre relation avec le Maroc, on peut considérer l’Algérie comme étant plus portée sur la recherche d’une solution rapide. Nous sommes conscients de l’importance de l’édification du Maghreb arabe de fraternité» .

    Le Maroc quant à lui, se tient, en parallèle, sur la reconnaissance par les grandes puissances, de sa crédibilité politique et de son inscription sur la liste des grands influents du monde.(Europe-usa-Russie-Chine),laissant ses ennemis (Algérie et ses acolytes), piétiner dans le vide. Après plusieurs mois, voire plusieurs années de critiques et de tentatives de redressements, la rédaction du blog est toujours en ligne, avec son mordant habituel à l’endroit de la junte Algérienne, ne baissant pas le bras.

    C’est avec ce titre ironique, allusion au dénigrement «progressif» sévissant en Algérie, que la rédaction devienne, parfois, plus que satirique, créant l'émoi sur les réseaux sociaux Algériens, chez ceux engagés, uniquement, pour critiquer son maintien sur la scène médiatique, et sa volonté d'y  jeter davantage le -jus d'oignon- aux yeux d'ennemis Algériens. 

    Une chose est sûre, la nouvelle loi immigration qui vient d’être votée en France risque fort d’accélérer le phénomène de revoir trop d'Algériens au Maroc et c’est tant mieux pour le Maroc, à condition qu’il saisisse l’occasion de cette porte qui se refermerait, au nez de ses élites militaires. Pour une majorité d'Algériens (les sages d'entre eux) «Vivre au Maroc doit être un choix et non une contrainte».

    La crise multidimensionnelle entre l’Algérie et le Maroc sera-t-elle définitivement résolue ? C’est la question que se posent de nombreux observateurs au regard de la dernière sortie du ministre algérien des Affaires mensongères, même si serait qu'une énième sortie hypocrite de routine à l'Algérienne. «Nous en tant que simples observateurs, on aura pas besoin de quelqu'un censé nous rappeler l'étendard de tensions entre le Maroc et l'Algérie, je veux dire la nouvelle Algérie légumineuse!».

    Gain de cause..., Le carton pour la diplomatie Marocaine est plein cette année 2023. Sur 46 candidatures présentées à des postes de responsabilité au sein des organisations internationales et régionales, nos diplomates ont engrangé un taux de réussite de 100%. C’est une autre facette de l’offensive de la diplomatie Royale aux niveaux régional et international. Selon le ministère des Affaires étrangères Mr. Bourita, en 2023 les 46 candidatures des diplomates Marocains à des postes de responsabilité au sein des organisations internationales et régionales ont toutes été agréées. Ce qui :

    «témoigne du respect, de la crédibilité et de la confiance qu’inspire la haute vision Royale pour un multilatéralisme solidaire et pragmatique au sein de la communauté internationale, dans le contexte d’importants défis mondiaux».

    Sur le plan politique, le Maroc a pu accéder à des postes de premier ordre au Nations Unies. En la personne de l’ambassadeur Omar Hilale, le Maroc a accédé à la vice-présidence de la 78ème session de l’Assemblée générale de l’ONU. Poste qu’il va garder tout au long de l'année 2024.

    Retour à l'accoutumé-dz... Entre le président algérien et son ancien ministre des Affaires étrangères mensongères, Ramdane Lahmamra, les causes de la rupture trouvent leur origine dans une peur incontrôlable de perdre la présidence. Plusieurs techniques ont été utilisées pour lui tordre le cou. Tebboune ne veut pas de sa concurrence pour la présidentielle 2024. Il s’est arrangé ces dernières années pour faire taire la popularité grandissante de ce "H'mar de carrière" auprès de sa stupide population algérienne.

    L’actuel Tebboune qui a été hissé à cette fonction suprême sait pertinemment qu’avant sa nomination il était rien, un inconnu pour la plupart des Algériens, et pour ceux qui le connaissaient, il était associé au scandale de la cocaïne (701 kgs lié à Kamal Cheikhi) pour lequel son fils est mêlé. Tebboune sait aussi qu’il n’est pas assuré de remporter la prochaine présidentielle, étant que les Algériens n’ont pas voté pour lui en 2019, car son bilan compte plus de points négatifs que de points positifs.

    Sa stratégie d’élimination de toute personnalité populaire susceptible de le remplacer a commencé dès le Hirak, et s’est renforcée avec la pandémie coronavirus qui lui a ouvert la voie à une répression terrible contre toute forme de contestation, dans l’objectif est de casser physiquement et psychologiquement les envies de se présenter candidates à la présidentielle contre lui.

    Des chefs de partis politiques ont été emprisonnés, comme Louisa Hanoune, d’autres ont été interdits de tenir leur assemblée générale, leurs dirigeants ont été poursuivis au pénal, des associations ont été dissoutes, des journalistes emprisonnés ou condamnés à mort, à ceux qui ont fait du chantage politique, des opposants persécutés et tués à petit feu dans les prisons algériennes, le dernier en date est Rachid Nekkaz qui a été humilié et mal traité jusqu’à développer des maladies avant de lui faire signer une renonciation à la présidentielle contre sa mise en liberté.

    Lahmamra, a été classé dans cette catégorie malgré lui, grâce à (ou à cause de) sa popularité considérable en Algérie. Il jouit d’une grande appréciation pour sa carrière diplomatique. Erudit, éloquent, d’une certaine élégance, il a su créer des connexions importantes durant ses nombreuses missions, et a d’une certaine manière, la carrure d’un respectable aux yeux de certaines élites Algériennesà l'ombre.

    En Algérie comme au Maroc et ailleurs, beaucoup de journalistes et diplomates savaient qu’entre Tebboune et Lahmamra les relations étaient exécrables et que des bruits de couloirs attribuaient au dernier des ambitions présidentielles depuis 2019, dès la chute de l'ingrat Abdelaziz Bouteflika.

    Alors que certains milieux algériens veulent coller à Lahmamra l’étiquette du «charisme» en réalité, ces dernières années en poste, veillement, en recule, ont montré la faiblesse de ses positions. Tout en étant diamétralement opposé à certaines décisions prises par Tebboune, à l’instar de la rupture des relations avec le Maroc, il s’est résigné à accepter et, à endosser, des positions qui ne sont pas les siennes et qui ne font pas honneur aux Algériens, selon sa conviction soufflée à ces proches collaborateurs au ministère des mensonges.

    Lahmamra n’est pas une forte tête et n’est pas connu pour jouer les bras de fer non plus. Toutes ces années à la tête de la diplomatie de mensonges algérienne, il les a passées en acceptant un état de fait et en prenant de la distance. De plus, il « n’oserait jamais, par peur de liquidation physique, à l'Algérienne, se porter candidat contre  Tebboune se se présenterait»

    Pour lui faire mal et lui compliquer la tâche tout en lui montrant qu’il ne valait rien dans le circuit décisionnel, « certaines décisions sont prises à son insu. Pis, on demande en outre aux médias jaunes Algériens de ne pas médiatiser ses activités«, lui rapportait une source de ses acolytes diplomatiques, indiquant qu’à défaut de l’éjecter, on lui mettait des bâtons dans les roues, tout en continuant à le mettre sur la touche.

    Terrorisme made-in-Algéria..Une radio d'Allemagne mettait dernièrement en lumière les relations étroites du Polisario avec les groupes terroristes au Sahel. Cette radio «BR24» a consacré un article détaillé à la présence de groupes terroristes en Afrique du nord, en Algérie, particulièrement, et aux méthodes de propagande qu'ils adoptaient, via ce qu'on appelle ("émirs") et de recrutement dans les zones d'instabilité, notamment dans les camps du Polisario à Tindouf, dans ce que les Algériens appellent actuellement "le sud-ouest Algérien!".

    Dans un article intitulé «Groupes terroristes en Afrique du nord» : Un terreau propice aux attentats anti-Europpe a déclaré que les groupes terroristes tels que l'État fantôche-Polisalgérien et Al-Qaïda mènent une "vie facile" dans les camps de Tindouf, indiquant, entre autre aussi, que les groupes islamiques ont une présence étendue en Algérie, recrutant somptueusement, leurs membres dans les camps de séquestrés de Tindouf et dans le nord-Ouest du Mali, tout en exploitant les conflits surgissant pour faire de la propagande sur Internet, qui s'étend jusqu'en Allemagne.

    Les auteurs de l'article, (Sabrina Wolf et Joseph Rommel), ont présenté le modèle d'un certain -Ismail- un Algérien de Tindouf, qui était apatride, appartenant à la milice du Polisario. Ce dernier a été condamné par le Tribunal National de Madrid à deux ans de prison, avec une période de mise à l'épreuve de 5 ans, pour "extrémisme". Les auteurs ont affirmé que tout un réseau s'était constitué autour de lui, pour appeler au jihad sous les bannières de l'État islamique et du Polisario.

    Les enquêteurs espagnols ont révélé les liens étroits de ce -Ismail-, qui était proche d'Abou Al-walid, ancien chef de l'État islamique en Algérie et membre du Polisario, avec d'autres jihadistes Algériens, dont le (Borgne Mokhtar Bel Mokhtar et Hassan Hattab)  ont découvert le réseau Polisalgérien dans le camps de Tindouf, et y ont arrivés à jouer les activités de l'État islamique au Sahara d'Algérie et au Sahel.

    Des recherches ont également montré, sur la base du récit d'Ismail et de plusieurs de ses amis sur Facebook, un fort soutien au Polisario, qui contrôle toute la zone Tindouf au détriments des autorités Algériennes sur place, une zone qui a été profanée par l'idéologie jihadiste extrémiste. La radio allemande s'est appuyée sur plusieurs experts, dont (Hans-Jakob Schindler), directeur principal d'une organisation internationale à but non lucratif qui surveille et évalue les activités de propagande des groupes terroristes en Afrique et qui suivait, entre autres, les activités du Polisalgérien.

    Il a même déclaré que l'Afrique du nord est devenue un nerf vital pour le terrorisme, «Made in Algéria», et que des attentats peuvent être lancés depuis ce continent, ajoutant qu'il est possible en Europe de mobiliser les personnes des zones sinistres de conflit, de les pousser sur la voie de l'extrémisme et de les motiver à commettre des attentats sur le vieux continent.

    La même radio a rapporté que les autorités espagnoles et une organisation d'officiers supérieurs du renseignement ont analysé le réseau de propagande centré autour d'Ismail, enregistrant que toutes les routes menaient vers la Syrie, l'Espagne et les camps de Tindouf en Algérie, ces camps qui sont emportés par des vents de travers, tandis que soixante ans après l'indépendance de leur patelin, les Algériens  se sont devenus que des papis-portefeuilles.

    Ces «papis portefeuilles» ont cotisé une maigre retraite en France, mais continuent d'aider leurs familles restées en Algérie.  Ils ont vécu toute leur vie seuls. Leurs histoires se perdent à mesure que ces hommes approchent la fin de leur vie. Ils ont quitté l'Algérie alors qu'ils rentraient dans l'âge adulte. Depuis, ils vivent dans des résidences d'insertion, autrefois connues sous le nom de -foyers Sonacotra- devenus des endroits d'asile des (Sans Domicile Fixe).

    D'un autre volet, la presse jaune Algérienne a eu pour usage de marquer l'anniversaire du coup d’État militaire du 11 janvier 1992, perpétré par la racaille Algérienne contre la réussite électorale du FIS, par des échanges d’idées ou des textes malveillants d’analyse de la situation générale de l’Algérie au regard des droits humains, des libertés publiques et privées ainsi bien entendu que des questions économiques et sociales, marquées par les longs fils d'attente déshonorants, pour un simple sachet de lait en poudre ou pour un Kilo de semoule.

    Du fait de l’irruption du Hirak en février 2019, a permis d’envisager sous un angle d'oppression de la société algérienne, l’action féroce du régime politico-militairee qui dirige le pays, les difficultés et contraintes, mais aussi les attentes et espérances de la société Algérienne pour un avenir meilleur qui n'arrivera jamais.Bonne lecture

                                                             Cordialement,Chihab25