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«-Le Royaume Chérifien du Maroc - Chihab 25 المملكة المغربية الشريفة - شهاب - Page 24

  • L'improbabilité de paix et de guerre, avec le mal Algérien, tant que sa junte persiste dans la néfastité hostile au Maroc..!

     

                                                                                                                              drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                                                                                                                                 Tabboune et ses fragments  gratuits               

    Un conte inédit...Sur les réseaux sociaux des internautes se divergent sur l'appellation exacte de deux instances continentales Africaines, leur apparaissant différentes. Il s'agit des abréviations «OUA - Organisation de l'Unité Africaine et UA - l'Union Africaine, tout court».

    Je voudrais saisir cette occasion, avant de traiter le sujet de la présente note, leur précisant, selon ma modeste connaissance que : «L’Union africaine (UA) n’a fait que remplacer en 2002 Organisation de l’Unité Africaine (OUA) créée en mai 1963, à l'initiative d'une trentaine de Chefs d'États indépendants Africains, qui s’étaient réunis à Addis Abeba en Éthiopie, à l’effet de signer la Charte portant création de cette institution continentale.

    J'aurais de l'amabilité de citer, avec honorabilité et de respect, les cinq pères-piliers fondateurs qui étaient présents. Je me rappelle bien de : «Sa Majesté le Roi feu Hassan II, Haïlé Sélassié, Empereur d'Ethiopie pour les Monarques. Pour les présidents, il y avaient MM.Felix Houphouëte Boigny pour la Côte d'Ivoire, Ahmed Sékou Touté pour la Guinée  et Léopold Sedar Senghor pour le Sénégal».

    Apparemment l'épellation UA, ne s’agissait qu'un changement de nom, que Kadhafi tenait, à force de bras, à l'imposer aux Africains après avoir réussi d'allonger ses pattes chez certains et d'étendre ses folies, chez d'autres, surtout, chez les plus assoiffés du pétrodollar en Afrique et quelques-uns ailleurs, en s'intronisant, gratuitement, de manière unilatérale en sa qualité de leur roi.

    Sachant qu'il avait toutes les possibilités de pression pécuniaires pour dicter ses conneries et de s'habiller, vachement, en leadership exagéré de son maitre Egyptien, Jamal Abdenasser qui projetait, aveuglement lui aussi, dans son vivant, de changer le monde arabe à sa guise. Abdenasser rappelons-le, réussissait en effet, en premier lieu, à froisser la carte géographique arabe. Pour en faire une autre...Il créa  qu'on appelait la  «République Arabe Unie», éliminant le nom d'Egypte, en attente d'y aller compenser ailleurs, contre les Monarchies et Emirats arabes et de former en perspective, une seule force arabe sous son épaule.

    Effectivement, après un plébiscite propagandiste et artificiel, tenu le 21 février 1958, l'Égypte et la Syrie s'unissaient volontairement avec la bénédiction du clan-Est dominé à l'époque par l'Union Soviétique qui concurrençait activement l'occident sous la «guerre froide».

    Une guerre qui s'imposait au monde, au rythme des guerres d'Indochine des années cinquante du siècle dernier, trichant non seulement pour la liberté et dignité des peuples (!) mais attaquant, par slogans, ce qu'on appelait la sauvagerie de «l'impérialisme», tandis que la tendance paradoxe des révoltes indépendantistes et du mécontentement populaire obligeait d'en faire. 

    Ainsi, partant en ligne droite, le complot de départ ait réussi, à l'issu d'une guerre acharnée qui a duré huit ans, (1962-1970), ayant opposé les forces royalistes les «Moutawakiline» et les forces dites républicaines, créées à tort par Abdenasser au Royaume Yéménite, faisant tomber ainsi, son Roi Mohamed El Badr, en le remplaçant par un certain Abdallah Sellal, en président-pion de la future «République Unifiée du Yémen». 

    Ce conflit était présenté comme une guerre par procuration entre l'Égypte et l'Arabie Saoudite. Les historiens militaires égyptiens font parfois référence au conflit, en le ressemblant aux «guerres de Viêtnam et de Viêtminh», conflit soldé par l'échoue du guérilla démoralisante livrée par les forces Royales loyalistes au Yémen.

    En octobre 1961, après l'échec des ambitions Nasserites, la Syrie se sentait colonisée les Egyptiens qui ne font que déconner dans tout le pays. Pour redresser en conséquence cette situation stérile, un coup d'État militaire, mené par un certain (Haydar Al-Kouzbari), éclatait provoquant son retrait du jeu Nasserite, recouvrant ainsi son statut d'État indépendant, reprenant son siège à l'ONU.

    Pour rappel en ce sens, le maudit Abdenasser tentait, vainement, d'appliquer le modèle Yéménite au Maroc contre feu Hassan II au début de son règne, utilisant cette fois-ci, la naïveté d'un dingue président Algérien, qui n'était que l'adjudant Ahmed Ben Bella.

    A propos, celui-là est Marocain, malgré sa naissance à Maghnia près de Tlemcen dans l'Orannie en Algérie. Je l'ai entendu parler, de mes propres oreilles, interviewé par une radio Marocaine lors d'un de ses passages, en tant que simple visiteur au Maroc, et confirmait sa Marocanité et son appartenance à une famille modeste, originaire de Sidi Rahal El Boudali, région de Marrakech.

    Pour le provoquer, voire l'inciter à s'aventurier contre le Royaume du Maroc, Abdenasser lui rassemblait  des -alibis et ingrédients- le poussant à inventer une alerte d'alarme : (hagurouna, hagurouna,lamrarka) pour déclencher unilatéralement, le 8 octobre 1963, ce qui est appelé désormais «la guerre des sables», attaquant au premier lieu, les points d'eau Marocains de «Hassi Beida et de Tinjoub» dans la province d'Ouarzazate, harcelant après le petit Ksar d'Ich-Figuig dans la province d'Oujda.

    Mais la volonté divine était aux côtés du Maroc, causant ainsi à l'Algérie et à l'Égypte Nasserite des défaites honteuses, par victoires au champs de bataille, par la capture surprise dans un petit village Marocain au sud-Est du Royaume, de cinq grands officiers Egyptiens, venant aider l'Algérie dans sa guerre contre le Royaume du Maroc qui constituait jusqu'ici, pour lui une «forteresse fortifiée imbattable » .

    Les Algériens en général, y croient fiers, en eux-mêmes, se vantant du slogan-canular du «pays de million et demi de martyrs» termes inventés, avancés faussement par Abdenasser lors d'une visite à Alger, alors que la guerre d’Algérie n'aurait fait, selon les experts de la chose militaire, que presque 240.000 victimes, harkis et règlements de compte internes compris. 

    De même, autre fable, le bourrage de crâne de l’école et de la propagande des médias leur fait croire que leur pays existe depuis -la singe et Sidna Neuh, alors que le nom «Algérie» a été créé en 1839 par Virgile Schneider, ministre de Guerre sous la monarchie de Juillet¹, pour désigner l’immense territoire désertique que la France était en train de s’approprier sans vergogne -en grignotant au passage quelques morceaux de l’Empire Chérifien du Maroc, partant de la côte des Barbaresques² récemment conquise.

    L'improbabilité de paix et de guerre? . Pas de paix-dz, mais  la guerre avec l'Algérie serait probable, même via ses médias jaunes engagés..! et ce en manque de décideurs crédibles, libérés de considérations d'arrogance, qui pourraient en trancher pour un avenir calme. .Je reprends ici le titre d’un texte majeur de Raymond Aron¹, dans lequel nous Marocains, nous vivons, vraiment, avec une Algérie, une sale voisine d'ennuis, qui n’en démord pas de nous détruire.

    Sa Majesté le Roi feu Hassan II ne se plaignait-il pas de cette malédiction subie par le Maroc de cohabiter avec un voisin qui n’a ni foi, ni loi, un Etat voyou en somme, appauvrissant son peuple, le ruinant avec le seul objectif d’imposer à la région quand ce n’est pas au monde entier son hégémonisme de pacotille ?

    Dans un étrange échange survenu en décembre 1975, Henry Kissinger, alors Secrétaire d’Etat américain sous Gerald Ford, rétorquait à Abdelaziz Bouteflika , alors truculent ministre algérien des Affaires étrangères, hanté, dévoré par le thème de l’autodétermination : « Je ne comprends pas ce que l’autodétermination veut dire pour le Sahara. Je peux comprendre en revanche ce qu’elle veut dire pour les Palestiniens…» !

    Cette réponse cinglante était donc le cadre politique de la diplomatie américaine, il tombe aujourd’hui à point nommé, comme pour abasourdir les délires du pouvoir algérien qui entend nous faire prendre des vessies pour des lanternes dans cette fabuleuse et machiavélique hypocrisie de vouloir à tout prix établir un lien entre le Sahara Marocain et la Palestine.

    On se rappelle dans ce sens de la sortie du piste de Yasser Arafat,  quand il rendait hommage aux Polisalgériens, leur déclarant, je cite : «votre guerre est semblable, à  la nôtre contre Israël». Une fréquence qui avait existé la colère de feu Hassan II qui jurerait, en pleine bouche, de salir de toutes imputés, la porte de tout Marocain considérant <-la Palestine d'Arafat-> une sœur, d'une  fraternité particulière et qu'il doit, par solidarité arabe, l'en préserver (!) 

    Comme une boîte de Pandore, prête à exploser sur nos figures, la tension persistante entre le Maroc et l’Algérie tient en forte haleine nos deux pays et nos peuples respectifs. D’aucuns vont même jusqu’à invoquer le spectre d’un conflit armé, jouant en effet sur les sensibilités et l’émotion. Comme si une guerre, la «guerre» allait faire baisser la tension ou régler ce maudit différend Maroco-algérien, très tenace et obsessionnel chez nos voisins. Comme l’on ne cesse de l’affirmer, il est très facile de déclencher une guerre, mais plus difficile de l’arrêter, particulièrement quand elle se nourrit de haine et de l’aveuglement irascible qui caractérise la junte militaire algérienne.

    Chengriha et Tebboune ont le même âge, 79-80 ans, quelques mois seulement les séparent. Deux vieillards qui tiennent les rênes d’un pays où la moyenne d’âge est au mieux de 30 ans, soit une jeunesse au profil plus que jeune et prometteur. Pour autant cette population, à la fleur de l’âge et de la maturité, n’est en rien concernée par les plans machiavéliques d’un pouvoir militaire, qui lui a tout confisqué, la marginalise, l’exclut voire l’abrutit perfidement par ses logorrhées et ses slogans.

    La jeunesse algérienne a vite fait, grace, de demeurer attachée à son pays, mais elle est de plus en plus tentée de lever les voiles et de le quitter, le cœur serré, parce que le pouvoir ne lui laisse guère le choix. Victime d’un chômage exacerbé, persécutée, réprimée parfois, elle est surtout dépourvue d’idéal, celui-là même pour lequel les premières générations, d’il y a soixante-dix ans, s’étaient battues au nom de la Révolution que les caciques et les sales bottes lui ont confisquée.

    Un couple de deux grabataires dirige donc une Algérie composée de jeunes sans horizons, tentés par le large, les yeux rivés sur la Méditerranée et l’Europe, devenue le mirage incandescent d’Afrique. Sans doute, un tel phénomène n’est-il pas propre à l’Algérie, mais il est une réplique cinglante à la vanité orgueilleuse de ses dirigeants qui n’ont de cesse d’entretenir un discours belliqueux, de cet étrange et paradoxal collapsus appelé « Qawa adhariba » et de logomachies dérisoires.

    Un pays en crise l’Algérie ? C’est peu dire qu’il est jeté en pâture par un régime dont la seule vertu est de berner sont peuple de mensonges et de frustrations. Parmi elles, en tête si l’on peu dire, figure cette revendication de renouveau démocratique permanente et fin de la dictature obsolète exercée par la racaille (armée) depuis 1962.

    C’est également l’interminable requiem désastreux que baser sa diplomatie, sa philosophie de vie – pis de survie – sur comment détruire le Royaume du Maroc ! Depuis plus de cinquante ans, le régime algérien s’est attelé cyniquement, militairement, diplomatiquement, médiocrement à cette ignominieuse et honteuse tâche, jouant sut tous le registres, maintenant son existence sur le dos d’un mythe : celui «d’une fausse puissance, maghrébine, africaine, arabe, continentale!». Avec un supplément der cynisme radical de surcroit, croyant décimer tout ce que le Maroc a construit.

    Le Maroc a crée, à tout le moins présidé à la création du Maghreb arabe uni le 17 février 1989 à Marrakech – les murs de cette ville en témoignent toujours – et voilà que Tebboune, tout à sa médiocrité rampante le conduit à vouloir isoler notre pays de son projet -similaire- qui, en tout état de cause, est ruiné de lui-même et a tourné en boudin. Il s’allie à un petit dictateur de pacotille, albinos de son état qui a vite fait de phagocyter ce qui reste encore du chantage en Tunisie , tous deux se livrant au même exercice paranoïaque du complot et de traîtrise.

    Imagine-t-on donc un Maghreb-Tebbouni sans le Maroc, pays fondateur? De quoi cette turpitude aurait-elle le nom ? Tebboune qui n’a jamais pris part à aucun combat ni lutte pour son pays, s’érigerait-il en héros pour réinventer la diplomatie régionale, le distributeur de nouvelles cartes et le messie du bien-être des peuples, aidant? A Mahmoud Abbas, président de la Palestine comme à Kaiss-le malheur de Tunisie, il a offert 100 Millions de dollars chacun, croyant acheter leur bonne conscience ; les «récupérant» comme on dit, s’efforçant de leur instiller la même haine qu’il porte contre le Maroc.

    Comme l’on dit tout ça, pour ça? Or  le général pisseur, qui fait et défait la politique en Algérie n’a pas fini d’avaler les couleuvres en se persuadant chaque jour que la guerre qu’il veut et s’apprête à lancer de mauvaise grâce contre le Maroc – si tant est que l’on en soit parvenu à cette criminelle hypothèse – annoncera l’Apocalypse de son pays d’abord et des peuples de la région…

    Et pourtant, voilà un autre camouflet diplomatique pour l’Algérie après le bras de fer perdu face au Mali. Cette fois au autour du Niger que Alger essuie un autre revers avec un rétropédalage inédit. La répression à l’encontre des migrants a couté cher au régime Algérien.

    En convoquant l’ambassadeur du Niger à Alger, la diplomatie algérienne cherche à apaiser le ton, contenir la situation et réaffirme son engagement envers les principes de bonne entente entre voisins, quelques jours après avoir violemment renvoyé des migrants subsahariens vers le désert d’Agadez au péril de leur vie.

    Le Maroc n'est le seul à supporter les conneries Algériennes, il y a aussi d'autres voisins à l'Algérie qui crient, (au voleur). Sous pression internationale, Alger abdique, sans trouver preneurs à ses concessions de diplomatie hypocrite. Elle devient, de jour en jour, le pays le plus bani aux niveaux, régional et continental.

    L’Algérie est un voisin embarrassant. Elle a vécu sa deuxième crise bilatérale avec un pays du Sahel, après son soutien aux séparatistes d'opposition au Mali, ce qui a entraîné l’annulation de l’accord d’Alger par Bamako. En riposte, le Niger a émis de vives protestations contre les expulsions forcées de migrants par l’Algérie, en totalité des Africains subsahariens, exhortant au respect de la dignité humaine et à la préservation des relations bilatérales. Au lectorat d'en juger le comportement meilleur entre cette voisine enragée et le pays d'accueil, le Maroc qui les intègre, volontairement à bras ouvert.

     

                                                               

    Pas de confusion (!) : «Je termine ma modeste note par cet éclat : «L’annonce par des ministres et officiels français du soutien, moral et financier, de Paris à des projets de développement menés par le Maroc dans ses provinces du Sud provoque l’ire du régime d’Alger».

    Ce prélude à une reconnaissance pleine et entière de la «Marocanité du Sahara» fait peur au voisin de l’Est, où la panique est générale. Aux invectives s’ajoute la menace d’annulation de la déjà très improbable visite de Tebboune en France. Tétanisé, le régime algérien ne cherche même plus à se cacher derrière son Polisalgérien, devenu invisible.

    L'annonce a d’abord été faite, rappelons-le au lectorat, par le ministre français Stéphane Séjourné. C’était le lundi 26 février dernier, à Rabat, lors de son déplacement au Royaume, «pour ouvrir un nouveau chapitre dans la relation entre la France et le Maroc» avec comme marqueurs «amitié, sincérité, confiance mutuelle».

    En plus, des discussions sincères -France-Maroc- ont progressé dans la mise en œuvre d'une ambitieuse feuille de route commune, si on croit, le porte-parole de Mr. Séjourné qui indiquait, en substance, que les échanges avec le ministre Marocain (Bourita) ont «permis de progresser davantage dans la mise en œuvre d'un agenda politique concret entre les deux pays».

    Pourquoi évoquer ce sujet, hé bien pour prouver aux Algériens que le Royaume du Maroc est plus grand et meilleurs aux yeux des Français, qu'une Algérie perdue entre des bottes d'une junte de caporaux-pisseurs. Peut-on se demander, malgré çà..«Existent-ils dans cet espace de tension perpétuelle des analystes qualifiés sur cette planète terre, qui pourront, d'une façon ou d'une autre, prévoir un ton exceptionnel d'apaisement avec le mal Algérien?» Un temps imaginaire de retenue, hors normes, permettrait certes, de lever les mystères de ce mauvais voisinage.

    Nous ne le prévoyons pas sûrement, tant que l'Algérie actuelle est perdue dans les couloirs obscures de casernes et usurpée par des sales bottes.Ceux qui en avaient de la haine et la non conception quiétiste à la raison, à la fois irraisonnables et contradictoires, ceux qui ignoraient la sévérité et la splendeur divine (Dieu) menaient, vainement, des combats fallacieux contre la crédibilité et contre la cause Marocaine, ceux-là ne menacent pas seulement, (via le pétrodollar Algérien), que la stabilité Marocaine, mais ils fouillaient, en parallèle,leur sort en tant que tels, l'avenir en prouvera et le battle en tout genre demeura, certes ,sans fin.

    La diplomatie Royale, s'appuyant sur l'intelligence de ses commis d'État (Bourita et Youssef Lamrani) continue à réaliser des coups diplomatiques d’envergure aux Nation Unies, avec en parallèle, la démolition du rêve irréalisable d'Alger vers l'Atlantique, réalisant en substance, des réussites diplomatiques de grandes portées , marquant la légalité dans la quête de la réalité souveraine du Maroc sur ses provinces du sud.Devant ces réussites Marocaines, il y auraient certes, des attitudes (inopportunes) de la part des dépêchés Onusiens en l'objet.Bonne lecture.

                                                                            Cordialement,Chihab25                                                                              --------------------------------------------------------

    ¹.La monarchie de Juillet est le nom donné au régime politique du royaume de France après la révolution dite des « Trois Glorieuses  les 27, 28,29 juillet 1830 », aprés laquelle le Roi Philippe Ier, fut renversé par la révolution de février 1848.