1/5.-)Le Der Spiegel -Wikileaks - et Bouteflika !

                                                   En feuilletant les pages,  Regardez 2 Syriens qui se disputent l'auditoire. A vous de choisir"(voir à droit au bas de la page d'acceuil)                               

    Malgré les révélatons Wikileaks, Bouteflika..:Les présidentielles de 2014 ou jamais!,

1ère partie...

         En cette fin d'année où l'heure est au bilan et à l'attribution de prix honorifiques telle que la désignation de la personnalité de l'année, le site internet Wikileaks s'est amusé à aller à contre-courant en publiant une enquête sur les personnalités qui énervent le plus!! : les Algériens, toutes disciplines confondues sont choisis par plaisanterie et pas par mérite comme les stars de l'année qui s'écoule, par le site internet Wikileaks!.

        Côté politique, la palme d'or est décernée à Abdelaziz Belkhadem suivie de peu par Ahmed ou Yahya puis par Abdelkader Ben salah et le général Guaid ahmed salah. Abdelaziz Bouteflika et Ali Belhaj sont au coude à coude des personnalités qui agacent. Enfin, concernant le couple Med Abdelaziz Lmarrakchi-le commandant DRS Khadija Hamdi, devance  Mme Louisa Hannoune et son conjoint travailliste. Vous direz  que c'était une blague de l'année 2011, oui.. mais c'est une blague vrais..car je ne peux pas m'éloigner de  l'odeur de la pomme moisie de cette sale Algérie.Celà étant me conforte  fort bien pour aller de l'avant, fouiller les ruines, les barécades et les débris qui entachent  au clair de la lune, l'héritier et l'héritage de Boukharouba, alias Houari Boumédiane. (جدد الله عليه اللعنة في قبره حتى تكون له في النهار قِلادة، و في الليل ِوسادة )                                                             

         Soyons raisonnables, en réalité aujourd'hui Wikileaks ou autre doit dire : quel bilan pourrait-il dresser de l'année qui s'achève pour les Algériens et pour l'Algérie de "dignité" !!? Si nous jetons un regard sur les réalités politiques, sur les réalisations économiques, sociales, la situation, en chacun de ces domaines, est dramatique et ne peut jamais être améliorée avec Bouteflika, son charlatan Belkhadem et leur pion Ahmed Ouyahya.

On constate, pratiquement, chaque jour, la perte de l’autorité de l’état devant les groupes de  manifestation et de pression, devant les actes  de l'anarchie et de vandalisme qui sévissent au pays par l'insécurité  totale des personnes, et par l'instabilité politique détruisant les biens, tant publics que particuliers. La politique de la réconcilation nationale trop médiatisée a été abandonnée. Il  n’y a plus de pouvoir crédible, digne de ce titre pour  conduire l'Algérie de dignité au rangs des États pétroliers prospères. Les gros soucis du pauvre Algérien se sont accumulés, en ce qui concerne l’emploi, le logement, le pouvoir d’achat sanctionné par la fleambé des prix, les inégalités sociales et "Lhogra". La crise financière interne créée par la corruption et la mauvaise gestion n’en finit pas, elle menace de s’accentuer d'ici 2014, année des présientielles en Algérie. La misère sociale s’est accrue  au quotidien, et à l'oeil nu du pauvre Algérien qui en souffre directement..et qui ne trouve refuge qu'aux déchages publiques des banlieues (selon la presse locale Algérienne!!). Tandis que Bouteflika face à un Maroc gigantesque continu à voir haut pour que : < يتعلق فين يتفلّق > comme on dit en dialectal Marocain.

La question que l’on peut se poser au seuil de l’année 2011. «Qu’arrivera-t-il au cours de cette année aux Algériens?» En ce janvier, le regard que nous pouvons jeter sur l’avenir, compte tenu du contexte d’aujourd’hui en Algérie, ne peut être qu’inquiet,  même si le pouvoir du palais d'ElMoradiah d'Alger fera de son mieux pour convaincre les Algériens-frivoles à le voir lucide avec le "bla-bla  d'usage" et aussi  avec la production nationale de renommée, le tabac à chiquer  "la Chêmma nationale !", et pas plus.

 

Je dirai aux Algériens, ne croyez pas ce que vous disent les médias de Bouteflika, et si vous tenez à les croire :, crevez-vous de jalousie. Vous ne pouvez pas fabriquer avec vos petro-dollars la quiètude, la paix, la sécurité. et la stabilité politique qui règnent au Maroc. Je les inviterai  aussi pour l'occasion, et pour se soulager à lire cette dépêche-alerte du site "Yabiladi.com"

 

Après le Brésil en 2008, le couple présidentiel français avait passé quelques jours à la résidence royale de Jnane Lekbir près de Marrakech. Nicolas Sarkozy et son épouse Clara ont renouvelé l’expérience cette année, même si la Chancellerie française n’a pas communiqué cette fois leur lieu de destination ou de résidence. 

Comme les locataires de l’Élysée,  nombreux sont les hommes politiques français qui sont venus au Maroc passer les fêtes de fin d’année. Parmi les habitués de la destination Maroc, il y a Jacques Chirac et son épouse Bernadette, qui séjournent à Taroudant. Dominique Strauss-Kahn, le grand patron de la Banque Mondiale et sa compagne Anne Sinclair, la figure la plus connue de la Télévision Française, seront aussi à Marrakech et à Ouarzazate. 

De nouveaux arrivants il y en a également, Isabelle et Patrick Balkany, le couple dirigeant à la mairie de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), Jean-Louis Borloo, l’ex-ministre de l’Écologie, et son épouse Béatrice Schönberg.Le couple  Juppé  Mr. Alain Juppé maire de Bordeaux ,ministre de la défense et sa femme. Mr Philippe Seguin, président du sénat Français et son épouse. Sans oublier l’ancienne candidate socialiste et actuelle présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, qui a posé ses valises dans un palace à Ouarzazate. 

A l’instar du monde la politique française, d’autres décideurs et célébrités ont mis le cap sur le Maroc en cette fin 2010. C’est le cas de l’émir du Qatar ou du président du Gabon. Mr. Ali Bongo, le président de la Guinée-Équatorial, l'ex-chancelier Allemand Helmut Khöl, Mr. Abdou Diof, ex-président Sénégalais et président actuel de la Francophonie et son conjoint. Ainsi ce chassé-croisé d'hommes politiques en l'espace de quelques jours, fait du Maroc une sorte de Davos de vacances, plus informel mais plus chaleureux. Enfin, plus traditionnel pour Marrakech, des personnalités du monde du show bizz mais aussi du sport y passeront les derniers jours de 2010. Pour fin 2011, on reprendra peut-être les mêmes visages ou plus, et on recommence.

                    

       Dans le but de participer à l'oppération médiatique nationale anti-Ibério-Algérienne, j'en profit de dévulgations WikiLeaks devenue la source raisonnable , puisqu'il cite nomément le diplomate américain auteur de tel ou tel document,. oui j'en profite pour mettre en exergue , le maximum possible ,toutes  confidentialités  malencontreuses concernant le pouvoir Algérien et les locataires du palais d'ElMoradiah d'Alger de Ahmed Ben Bella à ce Bouteflika. Je m'éfforcerai de ne pas citer les futilités  à faible importance comme celle  de Bouteflika  qui disait au sujet du souverain :

<(" Mohmamed VI est un gamin trop fermé, ne jouissant pas d'humour comme son frère Moulay Rachid ! ",)>.

 Qui est d'abord ce phénomène WikiLeaks?. A mon avis se sont les syllabes qui ont ébranlé le monde. Son fondateur, l'Australien "Julian Assange" est devenu une superstar mondiale, du moins pour l'instant.

        Incontestablement, WikiLeaks a bousculé, en cette fin d’année 2010, la hiérarchie des grands événements qui ont marqué le monde. Ce site internet, quasi inconnu il y a à peine deux mois, ainsi que son fondateur l’Australien Julian Assange, ont ravi la vedette. Les notes et les câbles diplomatiques américains mis en ligne par le site WikiLeaks ont provoqué une tempête dans le monde de la diplomatie. Une bombe virtuelle à fragmentation réelle assimilée par certains à un autre «11 Septembre diplomatique». Le monde entier épie, chaque jour, les nouvelles indiscrétions et les révélations pas trop gentilles et parfois «hard» qu’échangeaient les diplomates américains des quatre coins du monde avec leurs homologues. Mine de rien, le monde découvre que rien ne se cache, voire que tout se sait, finalement,  par la magie de WikiLeaks !

        Des observateurs craignent même le pire car certaines révélations pourraient constituer le détonateur d’un conflit entre deux pays.,surtout entre les pays arabes qui sont trés faciles à "Manipuler" d'un sens ou d'un autre! WikiLeaks a montré au monde entier la face cachée de la diplomatie.Et, par endroits, il a donné un aperçu des visages et des positions en «off» de ceux qui nous gouvernent. Pour les journalistes du monde, les câbles de WikiLeaks sont tout simplement du pain béni  (Panini) même si certains croient y déceler une fuite organisée du gendarme américain. Les diplomates, eux, crient au scandale. Cela se comprend de leur part en ce sens qu’ils auraient souhaité continuer à vivre tranquilles en restant cachés… Mais WikiLeaks a levé la feuille de vigne qui cachait les feuilles de route de certains diplomates-espions qui s’en vont fouiner dans les poubelles des pays où ils travaillent. Ils feront certainement l'objet d'ordre de mission unique "rappelé pour consultation?", avec probabilité de virement sans merci. Depuis fin novembre dernier, date du début de la publication de plus de 250.000 télégrammes diplomatiques, le monde a un peu changé. Il a désormais l’avant et l’après-WikiLeaks !                     

        Les avis divergent évidemment sur les bienfaits et les méfaits de WikiLeaks selon qu’on soit diplomate ou Monsieur Tout-le-monde. Mr.Clay Shirky, spécialiste américain des questions sociales et économiques liées à Internet, résume bien ce sentiment nuancé : «Comme beaucoup, je suis partagé (…). Il est clair que les citoyens d’une démocratie doivent être en mesure de savoir ce que fait et ce que dit leur pays en leur nom. Et WikiLeaks remplit pleinement ce rôle.» «Mais d’un autre côté, tout ne peut pas rester parfaitement transparent», précise-t-il en référence au secret diplomatique. Au final, qu’il ait bien fait ou non, le fondateur de WikiLeaks est devenu une superstar mondiale qui devrait avoir plus d’amis en ce bas monde que d’ennemis. Les officiels. Le fondateur disait à son sujet avec beaucoup d'amertume, je cite :Je sais que je suis candidat à être assassiné à tout moment ! Mais peu importe, je laisserai à d'autres "Hakers-professionnels" le mot de passe de mon coffre-fort qui contient  encore presque 1 million d'autres documents trés dangereux. Fin de citation.

          En attendant de savoir si cette formidable mise à nu a été préméditée ou pas, nous sommes sans doute des millions de citoyens du monde à attendre impatiemment les prochains câbles de… WikiLeaks. Julian Assange nous a promis une bonne année 2011, très riche en révélations croustillantes.

        Ce site internet Wikileaks a diffusé le 29 décembre 2010 plusieurs pages secrètes des diplomates américains qui ont siègé à Alger pendant plus deux décennies. Les documents en question  qui sont repris  et reproduits par le Der Spiegel Online révèlent en particulier que :

        Le parti unique Algérien FLN (le Front de Libération Nationale) a fait preuve d’une remarquable modération dans ses commentaires et communiqués sur les révélations quotidiennes durant ce qu'on appelait en Algérie  " la décennie noire" 1992/2002, révélations téléguidées sur " Qui tue Qui?"  par peur de liquidations corporelles et ce en soutien bandé à l'homme fort de l'époque Qasdi Merbah, le chef exécutif de la DRS (Direction de Renseignements et de Sécurité) et sur la persécution de son fondateur  le général Smaine Lamari.

       Bien que le groupe parlementaire du parti Belkhadem ait publié un communiqué daté du 15 décembre dans lequel il fait appel à la « tentative de censurer les informations de WikiLeaks et de faire pression sur la plate forme gouvernementale d'Ouyahya, » ce faisant-il se distance du site  internet WikiLeaks.

       Ce même communiqué réclame l'interdiction d' « un vaste débat public sur la confidentialité » en disant : « Les documents politiques ne devraient pas être publiés si la vie, la santé ou la liberté des gens est mise en péril. » Le communiqué reproche à WikiLeaks de devenir « un acteur politique lorsqu’il décide par exemple: quels sont les documents à diffuser, à quel moment et quelle presse dominante recevra en exclusivité par avance les documents. » faisant allusion aux cinq  grandes entreprises occidentales de presse( l'espagnol ElPais- l'Américain Le Washigton Post. Le Français Le Monde/ L'allemand Le Der Spiegel/ Et le Britannique Le Guardian).

       Il est maintenant apparu clairement qu’il existe aussi des raisons personnelles concrètes pour l’attitude ambiguë du parti unique Algérien l'FLN.  Abdelaziz Belkhadem qui cumule beaucoup de porte-feuiiles dans ses poches: Ministre d'Etat à la présidence, representant personnel du président Algérien et son conseiller spirituel, président du  parti et du groupe parlementaire FLN , récteur du palais d'ElMoradiah d'Alger à une certaine époque, charlatan permanent du gouvernement fait partie des politiciens que l’es ambassadeurs américains en Algérie,  comme Christopher Ross, et autres avaient rencontrés pour collecter des « ragots » sur la politique interne de son parti. C’est ce qu’avait rapporté le site Spiegel Online d’après une dépêche secrète publiée par WikiLeaks. J'ouvre ici deux parenthèses pour signaler que dans tous les pays arabes et sûrement dans d'autres, il y en a des fidèls informateurs -Made in USA à haute échelle, qui à l'issu de chaque conseil de gouvernement ou de ministres, des responsables nationaux, agents engagés par la CIA se précipitent d'accéder aux résidences des représentations diplomatiques américaines pour donner le résumé des travaux et les points élaborés de chaque conseil ou réunion de haut niveau. En ce qui concerne les Algériens,  Cette mission de haute trahison  était confiée, selon le site Wikileaks, aux hauts responsables de l'armée. Tels que les généraux de l'Etat-major Khaled Nezzar, Ben Abdallah Mouhamed, Mohamed Lamari, et un certain Belhouchat, orientés et supervisés - nécessité oblige- par  le général Smaine Lamari, le patron de la DRS, secondé par  ses substituts, le colonel Qasdi Merbah à son temps.et les généraux-majors Ait Mesbah Abdelnour, et Beljalti Hassen.

        Abdelaziz Belkhadem, est donc en bonne compagnie. Avant les révélations le concernant, Ali Ben Fliss, ex-bras droit de Bouteflika, avait lui aussi été identifié comme informateur secret de l’ambassadeur américain, toutefois, Ali Ben Fliss avait dû quitter ses fonctions du Palais d'ElMoradiah d'Alger pour présider le parti FLN et le gouvernement Algérien aprés, avant d'être chassé  spéctulairement de la vie politique interne par son parrain-intime le président Bouteflika.

       Apparemment, Mr. Abdelaziz Bouteflika, selon les révélations Wikileaks a rassuré le représentant officiel du gouvernement américain à Alger et dit qu’il ne devait pas se faire de souci quant à l’attitude de l'Algérie à l’égard de l’OTAN et de l'AFRICOM. Le projet de programme de son parti, FLN qui est largement débattu, réclame « le démantèlement de l’OTAN sans l'Algérie et son remplacement par un système de sécurité collective impliquant la Russie. »

        Il a dit aussi à l’ambassadeur américain comment la position officielle de l'Algérie réclamant la dissolution de l’Alliance militaire atlantique devait vraiment être comprise comme un engagement d'Alger à étudier la possibilité d'autoriser l'AFRICOM sur son territoire et écarter le Royaume du Maroc de cette possbilité!..

        Selon Der Spiegel, Mr. Bouteflika a expliqué à l’ambassadeur la dialectique de cette contradiction de la manière suivante: La revendication est une manœuvre tactique pour calmer les généraux et la junte militaire de Ben Aâknoune. Autrement, ceux-ci exigeraient que l’Algérie  doit couper court dans ses relations bilatérales avec les États Unis d'Amérique s'ils continuent à soutenir le Maroc militairement contre les ambitions Algériennes dans la région?? ce qui serait bien plus dangereux. Contrairement aux éxigences  trop éxagérées d'Alger concernant l'OTAN, la dissolution de l’OTAN est irréaliste parce que cela requerrait le consentement de la France, de la Grande-Bretagne, de Allemagne  dans cette institution militaire. Toutefois, à croire l’argumentation de Bouteflika aussi longtemps que l’OTAN existera, L'Algérie ne soutiendra jamais le statut d'observateur accordé au Mohamed VI ?, ni son adhésion  éventuelle à l'OTAN.
       Questionné par les plus proches de son entourag au cours d'une réunion privée du parti FLN, Bouteflika n’a pas nié avoir rencontré l’ambassadeur américain. Il a affirmé qu’il ne se souvenait plus mot à mot de l’entretien en mettant en avant une erreur de traduction parce que la conversation s’était faite en anglais américain Mais ceci correspond à tout sauf à un démenti.

 
                                                        Cordialement,Chihab25

A suivre..