1/2-) Les retembées du boulversement de laTunisie (*)
Naissance d'une iconographie révolutionnaire dans certains pays arabes et au Maghreb...
Avant de passer au malaise social et à l'état d’inquiétude qui tracassent l'Algérie, et avant de faire la comparaison entre le Maroc, le pays stable et une Algérie en agitation!. Permettez-moi de marquer un petit arrêt devant les théories des mouvements en général. Toutes les sociétés modernes fonctionnent et évoluent avec des conflits et des tensions qui se transforment en mouvements sociaux.
En ce sens, on a appris d'après Carl Marx que «l’histoire des sociétés fonctionne par la lutte des classes et le devenir du capitalisme va être miné par la lutte des classes». Contrairement à lui, le sociologue Allemand Ralf Dahrendorf, a fait savoir, dans la théorie «des conflits» analysant les sociétés occidentales, que «le capitalisme survivra avec la lutte des classes».Les conflits et les tensions sociales expriment ainsi l’évolution et le caractère du fonctionnement des sociétés modernes à travers les évènements qu’elles traversent.
Car, si l’on se réfère aux conclusions de la sociologie,il convient de dire que ces sociétés arrivent souvent à se développer et se reproduire avec les conflits et tensions, en se transformant en mouvements sociaux qui s’inscrivent et se structurent dans la durée.Elles réussissent, dans tous cas, parce qu’elles ont les capacités de gérer ces tensions, en essayant de travailler sur plusieurs axes: politique, économique, culturel, social, voire religieux pour asseoir des changements fructueux et apporter, par voie de conséquence, une évolution nouvelle.Et c'est le cas de la Tunisie.Puisqu'ici ce n'est pas la lutte ente le capitalisme et le socialisme,
Dans cette modeste analyse, je vais pas me permettre de parler des revolutions dites révolutions de :yasamine tunisien, full égyptien,Qatt yémenite, et eventuellement Elmerbid jourdanien? puisqu'elles sont toutes loin de nos propres préoccuations ici au Maroc. Je parlerai donc de celle de "Tabac à chiquer" de nos sales voisins Algériens qui mettent dans leur ordre du jour permanent la déstabilisation du Maroc, et pas autre chose que la déstabilisation de ce Royaume gigandesque qui s'appele le MAROC.
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Dans le prolongement de la réflexion sur la représentation médiatique des événements Tunisiens et Algériens, et concernant plus particulièrement la conversion visuelle de la presse Algérienne qui est passée de la mise en images d’”émeutes” semblables à celles qu’a connue la France en 2005 dans les banlieues des grandes villes Françaises en particuliers celles de Paris, à l’éloge lyrique de la Révolution tunisienne. La grande manifestation pour la démocratie d'Alger, interdite par intransigence par le pouvoir est interprétée de manière différente, et cette différence de vue, constatée au sujet d’un même évènement me paraît bien mettre en lumière les enjeux importants de l’illustration de presse dans la perception et donc l’interprétation des faits…et au-delà les effets que ces dispositifs de police peuvent en avoir sur la manière dont nous voyons les évènements en fonction de la nécessites d'eclairssissement et d'éclairage. La manifestation Algérienne se présentait dans le registre iconographique des émeutes. Le dispositif de repression est le même que celui souvent utilisé par le pouvoir d'Alger pour réprimer les flambées de violences urbaines, là où ils se déclenchent en Algérie.
Les manifestants d’Alger, conduits par le RCD étaient "test de force" pour savoir la position du pouvoir, par contre ceux des autres villes et wilayas n'avaient aucune revendication précise, comme les jeunes Tunisiens en révolte, ils semblent poussés par une colère indéterminée, ou par un besoin orgiaque de se consummer dans l’effusion comme le souligne toute la presse Algéroise … L’émeute est comme son nom l’indique bien émotive, semble nous dire les images rapportée par la presse Algérienne téléguidée par Belkhadem, l'homme-tout!… Sa seule logique est celle de la casse et de l’effusion dionysiaque pour tromper l’opinion publique locale, il n’ y a rien à entendre. La rhétorique est celle des émeutes ”interdit”, “blessés” “arrestations”. Il s’agit de placer le spectateur Algérien du côté du maintien de l’ordre et de ne pas associer cette révolte à l’idée d’une revendication démocratique surtout, là ou la situation reste toujours confuse! La leçon tunisienne n’a pas été retenue, et le pouvoir Algérien projette les clivages Tunisiens, et la cécité qu'ils provoquent sur les événements algérois.
La machine à répression Algérienne, lui, avait eu la joie et a fièreté d’avoir innové dans sa manière de réprimer les événements en inventant une nouvelle forme d'intervention anti-émeutes, entre la représentation canonique de la Révolution et celle de l’émeute. Ici, et là, comme si la presse locale Algérienne avec ses deux figures avaient fusionnée, Nous retrouvons les éléments iconographiques de l’une et de l’autre pour donner d'aprés ce que je crois naissance à une représentation nouvelle, une représentation à l'Algérienne inédite des conflits sociaux dans cette ex-métropole Française.
Ne sachant pas si l’histoire suivra son cours émancipateur en Algérie, après la belle surprise Tunisienne, les médias algériens, toute tendance confondue, ont pris le soin de ménager l’avenir et de donner dans l’hésitation, dans la retenue et l’incertitude visuelle. L’image des manifestants Algériens, dont on cherchait de minimiser l'éclat, était alors tellement neuve qu’elle paraît mise en scène conjointement de façon très organisée par les barons du palais d'ElMoradiah d'Alger et par les décideurs de l'ENTA.(Etablissement Nationale de la Télévision Algérienne).
De la figure de l’émeute, nous retrouvons le placement du spectateur derrière les forces de l’ordre qui ont été largement présentes, et un face à face avec des hommes en colère, mais quelques femmes du trotoir dressées au dessus de la foule viennent porter ici le lyrisme à son comble ; la Révolution n’est pas seule représentée, c’est l’affrontement qui ressort. Les titres posent d’ailleurs les bases de ce face à face : “Une manifestation pour la démocratie” et non plus la vague de “Marche” à la Tunisienne! et non plus un interdit qui entraîne de la violence et des blessés, mais un empêchement qui s’en tient à la confrontation, à la rencontre de deux forces contraires.Cependant, l’absence de femmes sérieuses est compensée par la présence d’une citation du "Ché" qu’on reconnaît facilement au centre des images, par les couleurs rouge (double référence à la Révolution) et par ces poings levés, et signes de victoir, qui revendiquent plus qu’ils ne menacent…
L’image est ainsi en équilibre et ouvre les regards Algériens sur une interprétation plus mesurée et moins stéréotypée des événements. Un imaginaire nouveau naît ici dans la représentation d’un manifestant algérois en "Ché " une imitation d'une idéologie morte et largement enterrée, et qui ne se plante encore que dans les esprits frivoles des délinquants à travers le monde.
Il est peu probable que les rédacteurs de la presse Algérienne aient pensé à tout cela en choisissant des images-émeutes, elles étaient bien combinées et colorées et conviennent bien à la ferveur révolutionnaire qui flotte actuellement au sud de la Méditerranée. Ceci dit, il est probable que sans le revirement médiatique qui a suivi la chute de Ben Ali, sans les Unes de L’Express.fr et du Nouvel Obs.fr qui ont fait naître une iconographie révolutionnaire maghrebine sur les bases d’un réinvestissement de l’iconographie canonique de la Révolution "Yassamine", cette “nouvelle” image des manifestants algérois, qui sortaient des stéréotypes, n’aurait pas été bien sélectionnée…
Il n’y a pas que des dictateurs face à des islamistes en Algérie, mais il y a aussi à coté des démocrates RCD et FFS, des gauchistes révolutionnaires et des Hitistes-chômeurs .Une révolution de liberté, de demande de changement de régime avec ses figures écrasantes, déguelaces, mais aussi une aspiration populaire à l’égalité, à la justice sociale,à la répartition des richesses du pays et à la dignité…! Avant, et même maintenant, il était impossible pour les médias Algériens de voir autre chose que de copier, faire l’écho, des émeutes Françaises de banlieues dans ces révoltes du Maghreb, impossible de s’interroger sérieusement sur les raisons de la révolte. Il ne fallait pas y voir l’expression d’un désir de justice, de liberté ni surtout d’égalité en Algérie…
Les Tunisiens étant allés jusqu’au bout, ils ont pu prendre la parole. Alors on ne peut plus en Algérie représenter simplement des ombres masquées brandissant des pavés dans la fumée des grenades lacrymogènes… Des visages apparaissent, des idées aussi. Et même certains journaux de l’hexagone friand d’images de jeunes émeutiers, se prend à innover…
En tout cas, la comparaison des deux cas (Tunisien et Algérien) choisies par les rédacteurs en chef Algériens pour illustrer un même événement montre bien la présence du dispositif idéologique autoritaire en Algérie dans lequel l’illustration de presse, en tant que dispositif visuel, prend sa place. Et l’on voit peut-être, en ce moment même, naître un nouveau soi-disant Maghreb bouillonnant dans notre imagination.
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Les événements de la Tunisie ont donc ouvert la voie à sa largeur à des analystes et à des pronostiqueurs sur le prochain pays arabe de l'A'frique du nord qui suivera! Cinq pays arabes sont candidats selon les observateurs à une telle explosion populaire. Le Maroc n'y figure pas, et ne sera jamais parmi ces pays. l'Algérie elle s'y trouve au second rang aprés l'Egypte, la Lybie, le Yémen, la Jourdanie. Et tous les les Etats arabes qui ont confisqué les libertés de leurs peuples sont aujourd’hui ébranlés face au déferlement des revendications. La peur a changé de camp.
Et pourtant les Algériens tiennent fort et souhaitent du fond de leurs coeurs de voir le Maroc placé, voire dévoré au prochain tour? Si je dis les Algériens, je me base sur les brèches quotidiennes des service secrets Algériens (DRS) lues chaque soir par Dany_us dans leur principal forum de discussion en Palatalk. Les fausses notes du recteur Dany tentent dans leur globalité de virer la pensée de l'assistance et de détourner l'orientation de l'opinion publique locale Algérienne vers d'autres horizons pour ne jamais penser à suivre les traces des Tunisiens qui ont vite créé, d'une manière spectaculaire, les circonstances ayant mené à la déchéance de leur propre dictature.
Celà étant m'oblige en quelque sorte de parler du sujet en toute sincèrité, et de d'exposer, ma propre vision dans ce sens. "Pourquoi le Maroc n'est-il pas sur la sellette!" Une question embarrassante qui préoccupe les officiels Algériens! Et "Pourquoi l'Algérie est-elle placée au rang avancé pour un tel sort?". Je ferai de mon mieux pour répondre, à ces deux question, et je m’expliquerai davantage, en soulignant que je ne suis agent de personne, et je ne lis les crêches de quiconque! j'expose tout simplement mon point de vue personnel.Je commence bien sûr par la question concernant le Maroc pour vider en substance les ruses souhaits algériens de leur teneur. Et je revuiendrai sûrement à l'état d'Algérie qui se trouve déjà sur une tolle bien chaude.. .
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Dès l'aube de la nouvelle ère, le Maroc a su comment se réconciler avec soi pour abaisser, voire éradiquer la tention populaire qui sévissait au pays. Il a accédé à petits pas à l'Etat de loi et de droit. Après l'intronisation de Sa Majesté le roi Mohammed VI que Dieu le glorifie.. Les prisons politiques, les centres clandestins de détention ont été vidés de leurs survivants. La peur a reculé autant qu'a avancé la liberté d'expression. Les chroniqueurs et les journaux informent et critiquent, du moins ceux qui ne pratiquent pas l'autocensure et qui ont pu secouer les habitudes frileuses et courtisanes du passé.
Car le plus difficile, pour beaucoup, c'est de se débarrasser dans leur pensée et leur perception des choses de quarante ans d'un régime dit "dictatorial" pratiqué sauvagement par ce qu'on appelait à l'époque le Ministère de l'intérieur et ses "Savak".Le Ministère-souverain considéré vachement comme - le Minstère-mère des autres ministères!-. Beaucoup demeurent crispés, figés dans les attitudes rigidifiées par ses décennies de peur : pour les services sécuritaires, des méthodes de travail persistent, hélas ; pour les courtisans, des comportements de toute une vie, les yeux fixés sur le Palais pour intervention ou arbitrage, n'ont pas changé. Et pour l'opposition, c'est bien le plus triste, les crispations d'autrefois demeurent souvent : le makhzen (pouvoir traditionnel au Maroc, fondé sur l'accumulation de richesses et de pouvoirs) est toujours là, et toujours à combattre, quoi qu'il fasse, avec les mêmes slogans.
C'est vrais, les changements en ce moment, ne sont pas radicaux mais partiels, graduels, c'est bien ce que vit le Maroc, contrairement à d'autres dictatures aux pays arabes. Certains sont modestes, comme l'uniforme obligatoire aux écoles, (bleu marine et blanc) qui masque les différences sociales, qui peut aussi éviter d'autres tenues de bourgoisie, mais surtout qui donne une dignité à la famille Marcaine. Dommage qu'il soit aux frais des parents...
D'autres changements importants, ébranlent peu à peu les bases de la société, comme la modification de la Moudawana, le code de la famille et les droits des femmes, l'acquisition de la nationalité Marocaine par les enfants issus d'une mère Marocaine. D'autres, enfin, placent le Maroc dans les rangs des pays progressistes, ceux de la " justice transitionnelle", ceux qui ont une instance "vérité et réconciliation", une trentaine dans le monde, pas plus - cinq en Afrique. Le Maroc est le seul dans les pays arabo-berbères et musulmans.
Pour donner l'impression, ou plutôt pour confirmer à tout le monde que le Maroc bouge en puissance vers un avenir prospère de droit de l'homme, Sa Majesté le roi annonce la création d'une "Instance d'Equité et Réconciliation"". Le dahir qui l'officialise paraît au Bulletin Officiel : "L'IER est une commission nationale pour la Vérité, l'Equité et la Réconciliation..."
Comme presque toutes les autres, elle était fondée pour une durée limitée ; son mandat "englobait l'investigation et l'analyse de tous les événements du passé, de 1956 à 1999, présumés qui constituaient des violations graves des droits de l'homme qui ont revêtu un caractère systématique ou massif, dont les disparitions forcées et les détentions politiques. (...) Elle inscrivait son action dans le sillage du patrimoine universel des commissions "vérité et réconciliation", avec lesquelles elle a tissé des rapports permanents de concertation et d'échanges...".
L'instance marocaine, comme la quasi-totalité des autres dans le monde, n'était pas une institution judiciaire. Elle ne jugeait pas les coupables. Elle recherchait la vérité. Doit-elle divulguer les noms des responsables ? Pas toujours. Mais elle désignait les institutions. Si le droit national le permet, les victimes peuvent individuellement, ensuite, porter plainte et demander réparation. Des indemnisations individuelles et collectives ont suivies,et les victimes se sont vues satisfaites.
Trente mille dossiers ou plus sont arrivés à l'IER. Les dix-sept commissaires travaillaient à pieds d'oeuvre, des hommes intègres, dont le président de cette instance, a fait dix-sept ans de détention dans les principales prisons centrales du pays.Le secrétaire général actuel du CCDH(Conseil Consultatif de Droit de l'Homme)qui a subi le même sort, a accepté d'en être membre à titre personnel. Bien sûr que malgré que certains les critiquaient de participer à une instance créée par le roi : qu'auraient-ils dit si les commissaires avaient été choisis parmi les policiers et les services sécuritaires des années de plomb ?
Les ONG nationales pouvaient participer au travail de l'instance par des enquêtes, des recherches, avec les moyens qui sont les leurs. Un contact permanent est maintenu avec une ONG internationale sur la justice transitionnelle qui regroupe tout ce qui se fait dans le monde en la matière.Des auditions publiques se sont succédées. Il était possible de les suivre sur les deux chaînes de télévision, à la radio et dans tous les médias qui le souhaiteraient d'oeuvre. La majorité d'entre eux étaient des anciens détenus politiques,et des ex-militaires rebelles et putchistes.
En avril 2005, l'instance a remis son rapport rendu public, et ses travaux sont terminés. Ce rapport contenait de recommandations pour empêcher la répétition des violations des droits de l'homme du passé. et les commissaires ont résoulu aussi le problème des inhumations, rendaient les dépouilles identifiables aux familles, avec la possibilité de créer un lieu des droits de l'homme, une sépulture symbolique. Avec tous les noms des victimes.
Une ONG marocaine, le FJV (Forum Justice et Vérité), qui collabore avec l'IER, a organisé pour satisfaire les doléances de certaines familles-victimes, des caravanes des droits de l'homme dans des lieux tristement connus pour les violations qui y ont été commises : Tazmamart dans la province d'Errachidia, Kalaâ M'Gouna, Agdz,dans la province d'Ouarzazat, Figuig, et récemment le centre d'Imilchil où on organise la rencontre annuelle des "fiançailles", dans le haut Atlas. Un pauvre village dans une région de misère... Car en mars 1973, une tentative d'insurrection à l'initiatives des UNFPISTES, avait eu lieu et avait échoué : Les autorité apuyées de l'armée avaientt fait bon travail, beaucoup de morts, des familles entières et des villages décimés, dont Imilchil. C'est cela, un pays en transition, c'est le Maroc.
Je considére que la connexion des différents cycles de l'enseignement aux orientations économiques adoptées par le Maroc concrétisées par plusieurs stratégies sectorielles, est à même d'accélérer le rythme du développement et de créer le climat idoine pour la création davantage d'opportunités de travail.D'autant plus, notre pays parie sur les capacités et les compétences humaines représentées notamment par les Ong, et par la participation des différentes générations à l'action politique. prévoyant que l'adhésion des jeunes à l'action politique va avoir comme préalable la conviction que la politique est une action noble ayant pour objectif de servir la société Marocaine, ses différentes composantes. Sidna que Dieu le glorifie considère, à ce sujet, que ''l'amélioration de la situation de ses sujets, la défense de leurs aspirations, de leurs espoirs sont tributaires de leur adhésion à l'action. On le voit toujours avec sa valise mise sur la banquette arrière de sa voiture, sillonnant sans hésitation ni relâche, les quatre coins du royaume avec des projets bénéfiques et prometteurs.
Pour celà, j'estime que l'adhésion du Maroc à plusieurs stratégies sectorielles fondées sur une vision à long terme, notamment : -le plan agricole, le Maroc vert, -le pacte national pour l'émergence industrielle, -le Plan Halieutis 2020 qui veut dire éxploration et éxploitation des ressources maritimes, -le plan Rawaj, la stratégie énergétique solaire, ouvre de nouvelles perspectives aux marocains, même si l'activation des stratégies précitées requiert de hautes compétences.Notre pays mise sur le rôle important assumé par les jeunes marocains pour remporter l'enjeu du développement, notamment depuis le lancement du processus de développement moderne au Royaume qui a permis au Maroc d'occuper un rang distingué dans son environnement régional et continental, dont le fameux "statut avancé" accordé au Maroc par l'Union Européenne et les accords de libre échange avec beaucoups de pays, en particulier les Etats Unis d'Amérique et le Canada.
Le Maroc a choisi d'adopter une politique économique fondée sur ce qui a en poches, pas sur des rentes comme chez les fous voisins de l'Est qui nous envient et imitent toutes nos actions, et sur des stratégies sectorielles intégrées ayant pour objectifs d'augmenter l'indice de développement à même d'améliorer la situation sociale et le niveau de vie des marocains, de consacrer le développement durable fondé sur la préservation des ressources naturelles, et que la stratégie énergétique à laquelle le Maroc a consacré des moyens sans précédent représente la meilleure preuve de l'orientation précitée.
Je rassure enfin, ces Algériens dingues, qu'il n'y aura pas de révolution populaire au Maroc, comme ils le souhaitent, pour destituer leur régime royal, leur monarchie constitutionnelle, ou chassez les sorcières!. Non et encore non avec un grand "N". Car les préoccupations de nos masses populaires sont stables, orientées uniquement vers la stabilité politique et sécuritaire qui prévaut dans notre pays et qui attirera que du bien prospére et du bonheur aux Marocains. Sûrement, vers la croissance des chiffres du touristme national et étranger, avec probablement à l'appui, les portions de la Tunisie et d'Egypte, et aussi les investissements nationaux et étrangers. Ces préoccupations se porteront, notamment sur la conscience politique, sur la diversité entre droits et devoirs, pour convoiter les grands chantiers du Maroc que mène Sidna Allah Inassro, en relevant les défis et accentuant les perspectives pour instaurer de nouveaux acquis de liberté, de démocratie, et de la régionalisation élargie, et c'est le rôle pour l'élite de demain?.
Je termine de ce coté, pour dire à ceux qui veulent mettre le Maroc dans la tourmente des pays arabes exposés à des éventuelles agitations populaires, que le boulevard Marocain, et la rue dans le quartier défavorisé au Maroc affichent un seul et unique slongan :" Avant nous avions peur du roi! Maintenant nous craignons pour le roi..", car il consacre tout son temps à faire des révolutions constructives gigantesque au profit de son peuple, avant même le déclanchement de celles de la Tunisie ou d'Egypte.
C'est pourquoi, je redis à la junte d'ElMoradiah d'Alger, à leur tête "Belkhadem" le charlatan-chef des sorciers, qui avec sa sale bouche Bouteflika mange de l'aille aux rituels mensongères! que : Ce que vous ne savez pas, et vous pouvez pas l'avoir pas à votre portée, et qui vous choquera sûrement! c'est que les ONG nationales sont déjà rentrées en contact pour étudier les possibilités d'organiser ultérieurement une "Marche Nationale" en vue de remercier SIDNA et de rendre hommage à sa personne pour les efforts qu'il ne cesse de déployer au profit du bonheur de son peuple. .عاش سيدنا محمد السادس في مغرب مُعزّزمكرمٍ، ولتسقط الجزائر بنواياها الخبيثة
"Cela étant ne veut pas dire que tout est normal au Maroc..!Non, sur le plan politique interne, il y a des divergences et des escarmouches entre les acteurs politiques. Des voix cassées, que je considère personnellement des voix "frivoles" se lèvent de temps à autre, ici et là, y compris celles du Paltalk, par curiosité ou par engagement partisan, et s'acharnent à des fins politiques, contre le gouvernement El Fassi, et contre particulièrement la famille Fassi FIHRI, qui selon elles domine en quelque sorte quelques postes "clefs" au pays !!. Et pourtant, c'est par la voie des urnes que Mr. Abbass Lfassi a eu le privilège d'accéder à la primature"
Certes, Sa Majesté le roi a promis de respecter la démocratie et de désigner le premier ministre issu de la majorité parlementaire (et c'est l'hésitation des vrais électeurs qui a tranché). Et il a tenu sa promesse, sachant que la constitution Marocaine lui accorde les pleins pouvoirs pour une telle nomination.
Encore une fois: quel est le principal enseignement de la séquence politique ouverte par l'élection de ce prometteur de l'affaire "Najat"! C'est que les Marocains n'ont pas la moindre confiance dans les acteurs politiques. En boycottant les élections législatives 2007 (abstention record 63%), ils ont voulu faire tomber les masques, et mettre à nu les partis politiques. Ils ont fait preuve de conscience politique aiguë, née d'un ras-bol vis-à-vis d'institutions au bord du naufrage et qui ont besoin d'être réformées d'urgence!!. car les Marocains ont perdu confiance dans les hommes politiques, qui n'agissent que selon leurs intérêts personnels et oublient le peuple et ses préoccupations », On aurait totalement tort de penser que les Marocains se désintéressent de la politique de leur pays.
Et c'est normal, dans les règles de la démocratie, de voir des opinions distinctes qui se disputent le champs politique, ce qui permettra à tout observateur de remarquer que la vie politique nationale est saine, et traverse à l'horizon des échéances 2012, la période naturelle qui précède en général la date théorique du déclenchement de tout accouchement non césarien. Benne lecture.
Cordialement,Chihab25
A suivre...
(*) Procédant continuellement à la mise au point textuelle, grammaticale, et à la correction de frappe. La rédaction présente ses excuses à ses lecteurs internautes.
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