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2/3.-Le bilan positif des manifestations du 20 fevrier(*)

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                                                            (Suite...)

Exclusif:  Le crépuscule d'un tyran. La révolution en marche est le dernier coup porté à un dictateur à la dérive. Aux abois,  Kaddafi n'a qu'une seule réponse, la folie meurtrière avant une chute inéluctable. Il revient à lui de chercher une stratégie de sortie pour sauver sa peau.Comment le Polisario pourrait aider Kadhafi à reconquérir l’Est de la Libye selon le Site? "Maghreb Intéllegence".

                    Dans un geste désespéré, le régime de Kaddafi qui serait en train de vivre ses dernières heures, a décidé d’accélérer le recrutement des mercenaires. Selon des sources à Alger, des émissaires de Kaddafi dont les forces ne contrôlent plus qu’une partie de Tripoli seraient prêts à payer des millions de dollars afin de faire venir des  milliers de mercenaires aguerris du Polisarios pour faire face à l’insurrection qui secoue le pays.

Moussa Koussa et Al Moâtassem Billah Kaddafi, deux fidèles du régime Kaddafi qui conduisent encore les troupes loyales à Khaddafi, aux cotés de ses fils qui dirigent de leur part les milices engagées à cette fin.., ne font plus confiance à la première vague de mercenaires ramenée du Mali, du Niger et du Tchad à bord d'avions  Algériens de fret que Boueflika avait mis  au premier temps à la disposition de Kaddafi. Ceux-ci mal entraînés et peu fiables, ont fui dès les premiers affrontements avec les manifestants. Plusieurs d’entre eux ont également disparu dans la nature juste après avoir touché l’argent que les autorités libyennes leur ont versé.

Pour rester au trône et accentuer la tuerie, ce Kaddafou, pour lequel ,j'imagine une fin, comme celle d'Hitler, a recruté 120.000 mercenaires de tout bord, pour 30.000 dollars/jour chacun pour mater un peuple de 5 millions de dingues, qui s'est révolté contre la verdure de son livre.Ce groupement ethnique au pluriel, qui s'est réveillé brusquement, croit encore au système tribal, comme les nôtres au Sahara.

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Les Chaâbi, symboles de la manifestation.

                     Cela a été confirmé par la présence effective du milliardaire Marocain Mr.Miloud Chaâbi, l’un des plus importants hommes d’affaire au Maroc qui investi au Maroc et à l'étranger, qui a marqué sa participation à la manifestation de Rabat, avec son fils Faouzi Chaâbi, le député à la chambre des représentants et président du Conseil de l'arrondissement de Souissi à Rabat. Expliquant ainsi les raisons de la participation des "Chaâbi" aux manifestations. Je cite:

            "Lors des dernières élections en 2007, il y a eu environ 70% d’abstention. Les manifestations de ce 20 février dit-il, visent justement à exprimer ce mécontentement des jeunes. C’est en quelque sorte la deuxième étape de la marche de Casablanca où les 2 millions de personnes ont signifié leur patriotisme, leur attachement à l’intégrité territoriale. et à la monarchie constitutionnelle. Maintenant on veut marcher pour dénoncer ce qui ne va plus en interne. Nous voulons mettre en relief le très faible rendement de nos institutions politiques. La corruption est devenue endémique" Nous voulons dénoncer cette anarchie qui entache notre quotidien.Fin de citation.

                    Plusieurs autres rassemblements se sont déroulés, le même 20 février, à l'étranger en écho aux manifestations marocaines.  De 1000 à 1500 personnes en Europe ont été vues sur le Parvis des Libertés et des Droits de l’Homme. Elles sont venues soutenir, deux heures durant, leurs compatriotes au Maroc. L’ATMF (Association des Travailleurs Marocains en France), coorganisatrice de la manifestation, une association qui aboie hors du peloton, se disait très satisfaite de la mobilisation. Les manifestants avaient retenu le droit de se rassembler de 15h à 17h heure d'Europe.

                     Les manifestants ont, de toute évidence, suivi les rassemblements qui s’étaient déroulés, le matin même, au Maroc. Ils ont repris les mêmes slogans entendus dans les villes du Royaume. « Les manifestants se sont comportés comme des Marocains et non comme des immigrés apportant leur soutien aux mobilisations du Maroc », remarque un journaliste Français.

USFP, Alignement sur une des revendications des manifestants

                     Contrairement aux autres formations politiques de la coalition gouvernementale, RNI (Rassemblement National des Indépendants) et le MP( Mouvement Populaire) ainsi que les islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD, opposition parlementaire)L'USFP (Union Socialiste des Forces Populaires) tente de se distinguer parmi les partis au gouvernement. USFP est restée neutre par rapport aux manifestations du 20 février. Un communiqué du parti appelle à des réformes constitutionnelles. L'USFP met ainsi en avant une revendication qu'il porte depuis longtemps et partage avec les jeunes du 20 février. Il « n'avait appelé ni à boycotter ni à soutenir les manifestations du 20 février » selon Ahmed Zaidi, le président de son groupe parlementaire. Cependant, aujourd’hui, le parti « reconnait l’importance des manifestations » de ce dimanche 20 février.

                   Ce parti, membre de la coalition gouvernementale, appelle également à des réformes et demande à ce qu’un "agenda" soit établi pour leur mise en œuvre, il veut être « en phase avec les revendications des jeunes Marocains », et constate que « les réformes politiques commencées il y a 15 ans au Maroc, sont maintenant consommées ».Pour le chef de file des députés socialistes au Parlement, « les réformes dont le Maroc a besoin sont de nature institutionnelle, pour donner de la crédibilité à l'action politique à travers le rétablissement de la relation entre les élections et la décision politique ».

                 Pour y parvenir, l'USFP réclame des « réformes constitutionnelles » visant à édifier « des institutions fortes et capables de promouvoir les affaires du pays ». Ainsi, l'USFP, en plus de souligner sa neutralité concernant les manifestations elles-mêmes, demande à renforcer le pouvoir de sanction des citoyens Marocains. Le parti remet ainsi sur la table une de ses anciennes demandes qui est en accord avec les revendications majeures du mouvement du 20 février.

                    Une attitude qui, au final, rejoint celle du souverain attaché « à la poursuite des réformes » et à la « consolidation » du modèle marocain, dans son allocution à l’occasion de la mise en place du CES, organisme consultatif, prévue de longue date. Un point de vue partagé par le ministre le porte-parole du gouvernement, qui avait déclaré au lendemain des manifestations que le pouvoir avait « saisi le message ». « Maintenant il faut passer à la vitesse supérieure » en matière de réformes, avait-il assuré. Au final, tout le monde semble d’accord avec les manifestants. Restent à savoir quelles réformes seront décidées, et comment elles seront mises en œuvre.

Spécial prince My Hicham:

                     Le journal le Monde vient de publier le 22 février, une tribune libre de Moulay Hicham. Par laquelle le prince appelle indirectement le régime à répondre positivement aux revendications des manifestants du 20 février. En faisant référence au Roi, il conclut par :«le commandant de bord a désormais un co-pilote, le peuple marocain, et celui-ci ne s'endormira pas aux commandes.» Je résume  en collationnant ci-après, selon ma propre conviction, ce qui a trait avec les mouvements de ce dimanche 20 février.

                    Ce prince errant, devenu "Noir", qui n'a pas su trouver  place  au palais,  et qui est  souvent contraint de parler, que pour "parler"! donnant l'occasion à un duo-journaliste (Boubakr El Jamâi et Ahmed Réda Ben Chemsi)" de jouer avec les mots, voire avec le diable!, s’est exprimé  dans une longue tribune libre du Monde, Comme il l’avait déjà affirmé, le 18 février sur France24, il soutient les manifestants du 20 février. Il a commencé par l'analyse du mouvement. «Des dizaines de milliers de Marocains ont manifesté pour les mêmes revendications qui s'expriment ailleurs dans le monde arabe :A-remplacer l'exercice arbitraire et absolu du pouvoir par une démocratie véritable et ouverte.B-mettre un terme à la corruption et au clientélisme qui étouffent la vie économique. C-affirmer le droit des citoyens à être traités avec dignité et respect et à pouvoir mener, eux et leurs familles, une vie décente »,.

                    Nulle part, le prince n’évoque spécifiquement la jeunesse marocaine et l’importance des réseaux sociaux sur le web. Il ne fait aucune référence à cette dimension, pourtant capitale dans le lancement du mouvement du 20 février.Alors que nombre d’observateurs avaient largement développé le concept «d’exception marocaine», le prince la reprend à son compte, sans la nommer:«A la différence d'autres mouvements, les manifestations marocaines avaient pour premier objectif la réforme, et non le renversement du régime.»  Il envisage ensuite l’avenir et les différentes réactions possibles du régime sans évoquer directement le discours tenu par le Roi Mohamed VI, à l’occasion du lancement du Conseil Économique et Social. «Le régime pourrait choisir d'ignorer ce qu'elles signifient - le mouvement, après tout, ne s'est pas cristallisé comme ailleurs dans l'occupation d'une grande place centrale. Il serait toutefois préférable que chacun comprenne ce qu'elles expriment», analyse Moulay Hicham. Il fait ainsi discrètement écho au discours du Roi, qui a laissé une large marge d'interprétation à ses auditeurs et lecteurs. Certains considèrent le discours comme une réponse positive aux manifestations, d'autres comme un déni.

                    Le prince évoque ensuite le contexte historique contemporain. Selon lui, le peuple marocain a vécu une véritable déception après les espoirs suscités par la mise en place très symbolique de l’Instance Équité et Réconciliation :«s'ouvrait la promesse d'une nouvelle ère de justice et de responsabilité, et au lieu de cela nous avons connu, dit-il après les attentats du 16 mai 2003, de nouvelles vagues d'arrestations, l'instrumentalisation de la peur de l'islamisme, la torture et les traitements dégradants des suspects de terrorisme».

                    A cette déception s’ajoute un système monarchique sali par certains lobbys. « On nous avait promis la transparence économique et nous sommes retombés dans une situation de prédation économique menée par des groupes de pression et des intérêts privés au nom de la monarchie », juge-t-il. Le Prince accuse de façon évidente, mais sans le nommer directement, le PAM : « Le dernier en date de ces "nouveaux" stratagèmes politiques est un parti résolument royaliste qui pourrait à court terme accroître le pouvoir de la monarchie, mais qui, en l'impliquant toujours plus dans l'arène des querelles politiques au jour le jour, sape lui-même la légitimité que tous lui reconnaissaient encore récemment. ». Il n’y aurait pas eu de déception, explique le Prince, si les espoirs et promesses avaient « été inscrits dans un processus participatif de constitutionnalisation et d'institutionnalisation», seule façon «de les rendre permanents et irréversibles».

                    La position personnelle de ce prince gâté est toujours floue : L’implication personnelle du prince dans son propre discours évolue au fil des lignes. D’abord très distant, il se présente comme spectateur des évènements du 20 février., et disait quand même «Nous avons également découvert». Il parle des autorités marocaines à la troisième personne:«le régime pourrait choisir...». Il choisit donc non seulement de s’en exclure, mais aussi de rester dans le flou ; impossible de savoir s'il parle du Roi lui-même ou du gouvernement.ou d'un lobby discret!!

                     Lorsque Moulay Hicham donne directement son avis, il use de formes indirecte ou passive qui lui évitent de s’engager plus personnellement par l’utilisation du «je ou nous»: Il parle plutôt de «Il serait préférable que»,«Pour le régime, avoir évité une répression brutale est tout à son honneur» et «Il serait beaucoup plus productif, et plus intelligent, de..»

                    Puis, le prince utilise à nouveau la deuxième personne du pluriel pour s’associer au sort du peuple marocain dans son ensemble :« Nous avons connu [...]de nouvelles vagues d’arrestations », « on nous avait promis ». Enfin, il se rapproche, par l’usage du même pronom, du pouvoir marocain: depuis «Nous avons commencé avec l'alternance..», jusqu’à «Nous devons les reprendre à notre compte et initier rapidement un processus dont le peuple pourra constater qu'il les inscrit dans la loi et les rend irrévocables. Nous devons, en d'autres termes, revivifier et refondre l'esprit du nouveau  règne ».  

Mr. My Tayeb Cherkaoui, l'intérieur ne chôme pas:

                   Lors d'une rencontre entre le ministre de l'Intérieur et les représentants de certaines associations ayant appelé à des manifestations le samedi 26 et dimanche 27 février 2011, le ministre  Mr.  Tayeb Cherkaoui a mis l'accent sur la nécessité du respect des dispositions légales régissant les manifestations sur la voie publique, et rappelé que l'État ne manquera pas de prendre toutes les mesures nécessaires pour sauvegarder l'ordre public et des poursuites judiciaires seront engagées à l'encontre des contrevenants conformément à la législation en vigueur,

                     A cet effet en respect de l'État de loi et de droit, l'attention des organisateurs a été particulièrement attirée sur l'obligation de participer par le bon comportement, et par la déclaration préalable, à favoriser le bon déroulement des manifestations et prendre les mesures nécessaires pour éviter tout dérapage ou autres troubles à l'ordre public qui mettraient en péril des personnes et des biens publics et privés.

                     A rappeler que lors des manifestations du 20 février, des actes de vandalisme ont été perpétrés dans plusieurs villes causant la destruction de biens publics et privés et la mort de six personnes.

L’implication personnelle du Prince dans son propre discours évolue au fil des lignes. D’abord très distancier, il se perçoit lui-même comme spectateur des évènements du 20 février. « Nous avons également découvert... ». Il parle des autorités marocaines à la troisième personne « le régime pourrait choisir ... ». Il choisit donc non seulement de s’en exclure, mais aussi de rester dans le flou : parle-t-il du Roi lui-même ou du gouvernement. 

Lorsqu’il donne directement son avis, le Prince Hicham, choisi des formes indirecte ou passive qui lui évite de s’engager plus personnellement pas l’utilisation du « je » ou du « nous » : « Il serait préférable que ...» , « Pour le régime, avoir évité une répression brutale est tout à 

L’implication personnelle du Prince dans son propre discours évolue au fil des lignes. D’abord très distancier, il se perçoit lui-même comme spectateur des évènements du 20 février. « Nous avons également découvert... ». Il parle des autorités marocaines à la troisième personne « le régime pourrait choisir ... ». Il choisit donc non seulement de s’en exclure, mais aussi de rester dans le flou : parle-t-il du Roi lui-même ou du gouvernement.

Lorsqu’il donne directement son avis, le Prince Hicham, choisi des formes indirecte ou passive qui lui évite de s’engager plus personnellement pas l’utilisation du « je » ou du « nous » : « Il serait préférable que ...» , « Pour le régime, avoir évité une répression brutale est tout à son honneur » et « Il serait beaucoup plus productif, et plus intelligent, de ... »

Puis, le prince utilise à nouveau la deuxième personne du pluriel pour s’associer au sort du peuple marocain dans son ensemble : « Nous avons connu [...]de nouvelles vagues d’arrestations ... », « on nous avait promis ».

Enfin, il se rapproche, par l’usage du même pronom, du pouvoir marocain lui-même : depuis « Nous avons commencé avec l'alternance ... » jusqu’à « Nous devons les reprendre à notre compte et initier rapidement un processus dont le peuple pourra constater qu'il les inscrit dans la loi et les rend irrévocables. Nous devons, en d'autres termes, revivifier et refondre l'esprit du nouveau règne ».

L’implication personnelle du Prince dans son propre discours évolue au fil des lignes. D’abord très distancier, il se perçoit lui-même comme spectateur des évènements du 20 février. « Nous avons également découvert... ». Il parle des autorités marocaines à la troisième personne « le régime pourrait choisir ... ». Il choisit donc non seulement de s’en exclure, mais aussi de rester dans le flou : parle-t-il du Roi lui-même ou du gouvernement.

Lorsqu’il donne directement son avis, le Prince Hicham, choisi des formes indirecte ou passive qui lui évite de s’engager plus personnellement pas l’utilisation du « je » ou du « nous » : « Il serait préférable que ...» , « Pour le régime, avoir évité une répression brutale est tout à son honneur » et « Il serait beaucoup plus productif, et plus intelligent, de ... »

Puis, le prince utilise à nouveau la deuxième personne du pluriel pour s’associer au sort du peuple marocain dans son ensemble : « Nous avons connu [...]de nouvelles vagues d’arrestations ... », « on nous avait promis ».

Enfin, il se rapproche, par l’usage du même pronom, du pouvoir marocain lui-même : depuis « Nous avons commencé avec l'alternance ... » jusqu’à « Nous devons les reprendre à notre compte et initier rapidement un processus dont le peuple pourra constater qu'il les inscrit dans la loi et les rend irrévocables. Nous devons, en d'autres termes, revivifier et refondre l'esprit du nouveau règne ».

 

son honneur » et « Il serait beaucoup plus productif, et plus intelligent, de ... »

Puis, le prince utilise à nouveau la deuxième personne du pluriel pour s’associer au sort du peuple marocain dans son ensemble : « Nous avons connu [...]de nouvelles vagues d’arrestations ... », « on nous avait promis ».

Enfin, il se rapproche, par l’usage du même pronom, du pouvoir marocain lui-même : depuis « Nous avons commencé avec l'alternance ... » jusqu’à « Nous devons les reprendre à notre compte et initier rapidement un processus dont le peuple pourra constater qu'il les inscrit dans la loi et les rend irrévocables. Nous devons, en d'autres termes, revivifier et refondre l'esprit du nouveau règne ».

                      Je termine cette rubrique des retombées en disant: Quand plusieurs personnes aspirent à s'unir et à se donner rendez-vous dans un projet commun de liberté : Elles utilisent les moyens de communication qui sont à leur portée (Raqass, Pigeons voyageurs, signaux de  feu et de fumée,télégraphe, téléphone ou internet) . Le plus important est ce désir et cette aspiration et pas la technologie utilisée . "Quand il y a une volonté : On trouve un chemin" Et non pas l'inverse. 

                     Les révoltes arabes au nord  d'Afrique sont des révoltes de la misère et  de manque de liberté. Cette misère résulte de la spéculation mondiale sur les matières premières agricoles. L'effet internet, c'est pour les bobos européens, et peut être  pour les meneurs de troubles. Ce n'est certainement pas une cause et à peine un facilitateur. Ces révoltes ont lieu car les peuples sont arrivés à bout. En théorie les pays pétroliers ont quelque chose à mieux répartir, quelques uns s'en tireront peut être. et sortiront indemnes de cette vague! les autres comme Bahreïne, Saltanat d'Oman, et éventuellement le Qatar, n'auront pas de manifestations populaires proprement dites, ils en auront des manifestations politiques animées par les "chiites" qui sont en général la proie, dans le Golf arabique, des "ayat Allah sataniques d'Iran. Les autres n'auront que le chaos en partage avec nous(?).

 Se manifester librement,c'est avoir le pays en bonne santé (politique):

                      Comme prévu des manifestations pacifiques ont été organisées le 20 février 2011 dans le Royaume, au niveau de 53 préfectures et provinces, auxquelles ont participé, à des taux variables, environ 37.000 personnes. Ces manifestations ont pris plusieurs formes: sit-in, marches et rassemblements. Grâce au climat de liberté, à la pratique démocratique saine et authentique et au droit à la liberté d'expression que connaît notre pays, ces manifestations se sont déroulées dans un climat pacifique empreint de sérénité et de discipline.montrant au monde le degré de maturité protestataire et la civilisation d'expression des Marocains.

                      Toutefois, et après la fin des manifestations, certaines villes ont connu des actes de sabotage auxquels se sont livrés des fauteurs de troubles, dont des mineurs et des repris de justice.Ces agissements ont été suivis d'actes de pillage et de cambriolage qui ont visé des biens d'autrui. Ces actes criminels ont consisté à mettre le feu et à endommager  ou saccager:- 33 établissements et édifices publics.-24 agences bancaires.-50 commerces et édifices privés.-66 véhicules. A Larache, des délinquants fauteurs de troubles ont investi un immeuble de l'Administration des douanes où ils se sont emparés de quantités drogues(Cocaïne-Cannabis-tabacs) et de boissons alcoolisés saisies par la dite administration.

                     Pour mettre fin à ces actes criminels, les forces de l'ordre, composées des éléments de la Sureté nationale, de la Gendarmerie Royale et des Forces Auxiliaires, ont procédé, conformément à la loi, à la dispersion des fauteurs de troubles et à l'arrestation de certaines personnes présumées impliquées dans ces actes. 120 personnes seraient interpellées et déférées devant la justice alors que les mineurs qui se trouvaient sur les lieux des événements ont été remis à leurs tuteurs.

                      Il est à signaler que 128 personnes ont été blessées, dont 115 éléments des forces de l'ordre, lors de ces agissements et actes de vandalisme. Les corps calcinés de cinq personnes, tous des délinquants qui tentaient de pier une banque à El Hoceïma ont été retrouvés à l'intérieur de l'une des agences bancaires incendiées par les fauteurs de troubles dans la ville d'Al Hoceima. Une enquête est en cours, sur instructions du parquet, pour en déterminer les causes.

                     Par ailleurs, les recherches se poursuivent, sous la supervision des autorités judiciaires compétentes, pour l'arrestation du reste des personnes impliquées dans ces actes et leur présentation à la justice.
Les pouvoirs publics veilleront avec la même détermination à garantir le climat de liberté d'expression, à faire face, avec la force de la loi, à tout ce qui est susceptible de porter atteinte à l'ordre public, à la sécurité des citoyens ou à leurs biens".

                      l'État doit à cet effet clarifier le cause de ces émeutes , je pense que tout ça a été planifié , il y a des gens qui espéraient que les autorités interviennent comme en Tunisie ou en Egypte afin d'avoir un bain de sang .
Toute fois cela n'a pas été le cas , alors il fallait trouver une autre solution : les casseurs !!!Il faut que les autorités judiciaires imposent la force de loi et  juger tous les responsables directes et indirects de ces émeutes!! Bonne lecture.

                                                 Cordialement,Chihab25
(à suivre...)
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  (*) Le lecteur constatera que le texte n'est pas du genre classique de Montesquieu ou de Victor Hugo, et que si la rédaction ne maîtrise pas bien la  langue Français!!, elle fait quand même passer se messages, malgré la modestie. Procédant continuellement à la mise au point textuelle, grammaticale, et à la correction de frappe. acceptez les excuses de la rédaction.


 

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