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LE REGIME ALGERIEN SERA-T-IL SECOUE PAR LE VENT ARABE ?(*)

«voir en bas de l'article un témoignage Algérien important sur Bouteflika»

  •  Boutefika sera-t-il déchu du pouvoir, par la mort, ou par la rue?
  • La réponse serait certainement : Oui.! par les deux, Mais..!

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                          Je constate en tant que simple observateur, comme d'autres qui s'intéressent à ce qui se passe autour de nous à cause de ce qu'on appelle aujourd'hui " le printemps arabe". ou "l'automne de la colère". Les mutations que connaît le monde arabe apporteront à mon avis, des réponses aux questions  politiques mal gérées par le passé. Il est plus clair  que maintenant ces mutations nous offrent l'occasion d'apporter de nouveaux éléments  constructifs aux vrais démocraties arabes tant attendues par les peuples,(privilège à la ligne de départ est donné  pratiquement au duo Tuniso-Égyptien). Comme cela était remarqué par un haut responsable Marocain travaillant au seuil du palais royale à Rabat. qui a souligné entre autre que ces mutations donneront aussi un nouvel élan pour un avenir meilleur et prometteur pour les deux rives de la Méditerranée et l'ensemble de la région.

                             Le monde assiste aujourd'hui à une reconstitution globale de la scène idéologico-politique arabe avec un rôle agissant des jeunes qui imposent leur valeurs et  leurs visions, et que ces éléments suscitent l'optimisme et la confiance quant au renouvellement du dynamisme politique dans chaque pays à la faveur de ces changements qui constituent un fondement essentiel pour un avenir prometteur pour son peuple.

                         De ce fait, je crois que tout impact des groupes radicaux-extrémistes qui ont émergé au lendemain de la parution d'AlQaïda-Belladen  qui mettait la centralité de l'Islam et le Jihad à son agenda, dont les révoltes arabes ont anéanti sa  stratégie politique hostile au christianisme et au judaïsme, n'aura plus tendance d'y exister. Le groupe AQMI -( ex-GSPCA made in Algéria)- qui se rebelle contre le monopole de  pouvoir en Algérie et  contre sa lâcheté, n'aura nullement l'occasion de piller la liberté des gens  innocents,  les enlever, bafouiller la tolérance, créer l'insécurité, ou imposer toutes formes d'exclusion, de haine ou de violence en Algérie, une fois démocratisé par  la force de révolte populaire .Il en aura  cependant, affaire qu'aux régimes corrompus, puisque l'objectif initial arrêté par l'AQMI visait à déstabiliser ce régime  militaire et aussi les  faibles régimes du Sahel  qui se baignent sous la parapluie  de l'infidélité de l'Occident, en particulier de France, sous prétexte de combattre  -suivant son  rite jihadiste présumée- le néo-colonialisme là où il se propage, qu'il soit dans la zone subsaharienne, en Mauritanie ou en Algérie, avec laquelle le GSPC , faisant le semblant,aurait des comptes à régler.

                          Des centaines de polisario rejoignent les rangs du groupe terroriste d'AQMI pour sortir de leur chômage opérationnel imposé depuis le cessez-le-feu Onusien de 1991. Le Grand Sahara  est donc en voie de devenir un futur Afghanistan",  un véritable "no man's land", risque de se transformer en un nouvel guêpier pour l'Europe cette fois-ci, soulignant la présence, de plus en plus significative, d'actions terroristes en Afrique du nord , même si  en ce moment, on remarque que ses actions connaissent un ralenti incontestable (axe Mauritanie - Algérie - Libye, dans une étendu de 6 millions de km2) et de très probables connivences entre la pseudo présidence du polisario de Rabouni  et AQMI.

                         Pour bien se camoufler  et brouiller la vision envers son implication avec le GSPC dans ce sens, l’Algérie  vient de dire par la voix d'un ministre à Tamarasset ,le 5 avril dernier, qu'elle s’inquiète "de la présence de plus en plus forte d’AQMI en Libye et du trafic d’armes pouvant être utilisées par des groupes terroristes".Les autorités Algériennes, faisant le semblant, craignent que les affrontements armés continus en Libye n’offrent l’opportunité à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) de profiter de ces troubles pour mettre en danger la stabilité au Sahel. AQMI selon l'Algérie pourrait(?) avoir accès à des armes lourdes et sophistiquées reconnaissant que "Si cette situation se poursuit, elle pourrait contribuer à la détérioration de la situation dans la région du Sahel?".Les Algériens disaient entre autre, qu'ils sont seuls face à l'AQMI, étant donné que tous les termes de la coopération anti-terroriste avec les six pays de la région sont revus de fond en comble. Tandis  que la situation sécuritaire dans cette région  demeure grave et préoccupante dans l'absence d'une vrais volonté de la part de l'Algérie qui affiche publiquement sa préoccupation , agissant   discrètement en complice avec sa créature GSPC  dans la région, par du "bla-bla" sans pour autant faire le moindre effort pour trouver les réponses les plus adéquates à cette situationDonc  toutes les démarches entamées, depuis deux ans par le leadership Algérien, tous les efforts des six pays du Sahel pour combattre AQMI  viennent d’être réduits à néant. Le dernier déplacement du général Ahmed Gaid Salah, chef d'État major de l'ANP à Bamako, plaidant pour une coopération régionale, n'était qu'une manière de jeter de la cendre dans les yeux de l'occident qui mise sur le leadership Algérien présumé(sur Bouteflika lui même, qui a des parrain et des larbins  dans ce sens) pour la lutte anti-terroriste dans le Sahel(!).

                          Pour sa part, l'AQMI qui est pris à son propre jeu d'ingrédient de l'Islam radical, et pour arriver au bon port, après avoir senti son exclusion de la scène, dépassée par les événements de révolte dans les pays arabes, il tentait  de rallumer les phares sur sa sclérose politique, et réapparaitre avec un mentalité indécente, comme force toujours existante dans la région. Elle jouait "le bâton et la carotte" par les récentes publications de vidéos  qu'il a injecté en Youtube, rapportant la supplication des otages Français, enlevés depuis septembre 2010, et  menaçant de mener des actes terroristes au Maroc, au cas où les détenus salafistes ne sont pas  libérés. Personne à cet effet, ne peut lier  le fait de l'attentat de Marrakech à cette vision, du moins pour le moment, car les investigations préliminaires sur l'attentat ont révélé  qu'il ne s'agit pas d'attentat suicide et que l'engin explosif a été actionné à distance (...) et que tout le monde connait la partie(?) qui recourt à ce mode opératoire. Il y a donc d'autres facteurs à y prendre en considérations dans ce sens et  d'y attendre le résultat des investigations en cours, qui en éclaircira sûrement ce cas. Surtout dans de pareilles situations, et pour être plus crédible, on ne peut pas inventer de scénarios ou appuyer une telle ou telle thèse.

                           Et pourtant, le Maroc en général, n'était jamais dans l'agenda du groupe GSPC Algérien qui opère librement au Sahel, voire l'AQMI  ne peut  opérationnellement l'inclure dans son agenda, pour sa situation géographique un peu loin de la zone tampon, qui forme le "triangle de l'anarchie et de la mort" aux abords de la Mauritanie, le Mali, le Niger et l'Algérie. Autrement dit, notre pays était toujours la cible potentielle de l'Algérie, qui le mettait dans sa ligne de mire pour s'en prendre en permanence à sa stabilité, à l'horizon de lui injecter son fléau terroriste. L'attentat  perpétré dans l'hôtel  Asni à Marrakech en juin 1994 et autres déjoués après l'en prouvaient.

                          Par contre  l'AQMI n'a pas de possibilité de manœuvre, ni de capacité opérationnelle au Maroc qui façonne son propre environnement géopolitique. Ce Maroc qui ne constituait pour l'AQMI qu'une destination à sens obligatoire pour des opérations de trafic de drogues vers l'Europe,  que lui garantissaient sa logistique de financement de ses activités terroristes. Pour réussir toutes ses opérations, l'AQMI engage à cet effet des membres du polisario  pour tisser des liens de plus en plus étroits avec les trafiquants et les cartels de drogue sud américains via les Iles Canaries, et sont en train de faire de la région  du Grand Sahara une vaste étendue de "non droit" et un espace propice à la prolifération des actes terroristes et criminels.  Pour voir clair, cela pourrait aussi être  mis sous réserve dans l'attente du résultat d'investigations qui va déterminer le ou les auteurs de l'attentat d'Argana survenu le 28 avril 2011 à Marrakech.(!)

                          Tout le monde aurait remarqué que l'hostilité à l'Islam extrémiste est devenue aujourd'hui inacceptable, ce qui peut appeler à la conjugaison des efforts pour dénoncer et lutter contre cette image détériorée de l'islam a l'Occident.Les "Épouvantails  de lutte anti-terrorisme"et les toboggans blancs, sur lesquels les présidents arabes déchus et ceux qui attendent, se basaient pour perdurer au pouvoir, n'ont plus droit à l'existence, ils ont perdu toute raison devant justifier cette anecdote.                        
                      Il convient également de noter que, parmi les éléments communs entre les régimes arabes déchus ou en phase de l’être, leur implication implacable, dans la politique aveugle et répressive de « lutte contre le terrorisme », qui constitue en elle-même, un des affluents qui ont alimenté, même indirectement, les sursauts révolutionnaires, sans oublier que cette politique sécuritaire à outrance a été mise en place en coordination avec des pays occidentaux et avec leur bénédiction, ce qui a longtemps conforté les régimes arabes, et leur a instillé une grande confiance, une liberté, une marge de manœuvre et un sentiment d’impunité, dans leur exercice du tout répressif à l’égard des peuples sous couvert de cette prétendue «lutte anti terroriste», en échange de leur aide inestimable  dans le domaine sordide des enquêtes  avec les terroristes, grâce à leur grand savoir-faire en la matière, une expérience efficace ayant fait ses preuves, dans nombre de ces pays, dans les centres de détention secrets, qui échappent totalement à la supervision et l'autorité du pouvoir judiciaire. D'autre part, la logique derrière ces élans révolutionnaires arabes, trouve sa source dans l'aspiration de ces peuples à instaurer des changements réels, à même de leur restituer leur dignité et leur liberté et de les propulser aux premiers rangs, parmi les nations libres. Chose en cours...

                          En connivence avec cette introduction un peu longue, je dois mettre en relief la modernité et l'universalité des valeurs qui sont la clé de voûte du renouveau politique, social et culturel qui se met en place dans le monde arabe, et que désormais, "c'est l'histoire qui sonnera aux portes des Arabes et des Occidentaux pour une remise à niveau profonde de leurs relations". en vue de rejeter des passerelles entre les sociétés arabo-occidentales. Dans le contexte de ce mouvement que nous vivons tous aujourd'hui dans le monde arabe y compris notre pays, par ses jeunes du mouvement 20 février et les autres mouvements de la rue qui ont suivies,  l'Occident a découvert que la démocratie s'écrit "en langue arabe aussi", la dignité arabe est l'œuvre des ces nouveaux Arabes et que la justice  sociale  réelle est un patrimoine commun, et qu'une nouvelle scène s'impose aujourd'hui pour un avenir meilleur".                       

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                        Peu avant les événements de Sidi Bouzid  et l'immolation d'El Bouaâzizi enTunisie, la plupart des observateurs pensaient dur comme fer que le régime Tunisien tiendrait bon, en raison de sa «stabilité», conséquence directe de la nature hyper répressive du régime Ben Ali, qui a paralysé toute velléité de mouvement du peuple Tunisien des décennies durant, puis tout à coup, ce pouvoir s’est effondré, entraînant dans sa chute, la fuite précipitée du dictateur de Carthage, face au sursaut libérateur et vaillant du peuple Tunisiens. Puis s’en est suivie la réplique, une vague de colère en Égypte, dont le Rais s’est empressé de préciser que l'Égypte n'était pas la Tunisie. Après 18 jours d’arrogance et d'entêtement, il finit par mettre les voiles, et se terrer à Charme El-Cheikh, en attendant qu’il comparaisse devant la justice de son pays. La réplique suivante s’est propagée, pour donner naissance à la révolution en Libye, et de la même manière, le «roi des rois d’Afrique», de la Jamahiriya, reprit la même litanie : « La Libye n'est ni la Tunisie ni l'Égypte » ! Cela n’a pas empêché le resserrement de l'étau autour de Bab Al Azizya, ses proches désertant par vague le harem de Kaddafi, les uns après les autres, sa chute imminente n’étant plus qu’une question de temps. Et ainsi de suite, les dirigeants des  autres États arabes, la Libye, le Yémen et la Syrie qui leurs navires abimés sont toujours en difficulté dans une mer trop agitée, tour à tour, font valoir le même argument, dans la perspective de se convaincre et convaincre les leurs (par balles réelles)que leur pays n'est pas... les autres !

                           Tout en reconnaissant les spécificités de chaque pays, ces «leaders» occultent sciemment un aspect non moins important de l'équation, à savoir que combien même cet argument est incontestable, ils feignent ignorer, ou occulter une part de la vérité non moins importante, et plus que vérifiable. Ces régimes arabes bien que différents les uns des autres sur bien des registres, sont quasi semblables dans leur structure et comparables de par les moyens utilisés pour pérenniser leur pouvoir, ainsi que par rapport à la nature même de leur gouvernance, en particulier le mode opaque plus qu’autoritaire dans la gestion des affaires du pays, la corruption rampante, le monopole sur les ressources du pays, exercé par les cabales, les poignées de familles des gouvernants, et des valets qui gravitent autour, en plus de leur échec cinglant et total dans la gestion du pays, de sorte qu’il est devenu la règle que les pays arabes occupent depuis bien longtemps le dernier rang dans la quasi-totalité des classements internationaux, faits dans le domaine du développement, du degré des libertés politiques, de l’éducation, de la santé et de la transparence dans la gestion des affaires des pays.
                  
                          Les raisons qui ont poussé les peuples Tunisien, Égyptien, Libyen, Yéménite, Syrien et même les nations plus prospères, à l’image du Bahreïn et de Oman, sont aussi valables pour l’Algérie, dans une large mesure, et peut être même plus, ce qui devrait inciter les décideurs du palais d'ElMoradia d'Alger, à plus de réflexion et à cesser de tergiverser en mettant fin à la politique de fuite en avant, qui consiste à apporter aux graves problèmes endémiques qui lacèrent le pays des « thérapeutiques » sédatives à l’emporte pièce, même si les enveloppes qui leur sont allouées (sous table) se chiffrent en dizaines de milliards de dollars ponctionnées des recettes du pétrole et du gaz, sous forme de subventions, qui ne sont en fait, rien de plus qu’une « corruption bénie par le pouvoir ».

                           Ces manigances criardes ne trompent plus personne, et dans le meilleur des cas (pour leur auteurs), elles ne réussiront qu’à retarder quelque peu l'heure décisive de vérité, car la crise est bien plus profonde et globale que ne veulent le reconnaître ces décideurs d'Alger, et cette crise par conséquent ne pourra être résolue que par le biais d’une chirurgie  profonde et étendue, basée sur une réelle volonté politique de changement  qui doit s'arracher par la force de manifestations, dans les rues d'Algérie, et plus particulièrement par les sit-in  à répétition à la place de la  grande poste d'Alger.

                         Les mouvements s'enlisent partout. Mais apparemment l'entêtement du régime Algérien dans ce sens va sûrement faire précipiter sa démolition en fragments irréparables, car  ce qu'on qualifie, les intentions de réformes annoncées par Bouteflika, n'aboutiront sûrement en rien. Même si elles seront effectivement opérées, les Algériens ne les sauront en fait, qu'après sa mort ou à la fin de son mandat en 2014 car physiquement il ne peut pas briguer un autre. .Pour en faire écouler  davantage de temps à son profit, ce Gbagbo d'Algérie s'attache follement à sa propre version: l’Algérie n’est ni la Tunisie, ni l’Égypte, ni la Libye ,ou encore ni le Yémen ou la Syrie.Sauf pour se vanter et dire encore que «On ne peut absolument pas comparer la situation de l’Algérie à celle d’aucun autre pays arabe» comme si son Algérie vit dans une autre planète que la terre arabe. Ça viendra et le temps en prouvera sûrement.  

                           Dans ce contexte précis, l’Algérie traverse une phase tumultueuse et ô combien dangereuse, qui n’épargne aucune de ses régions, et aucun secteur socio-économique ou politique, et ce depuis un certain temps., voire depuis le complot électorale de 1992. Nul n’ignore que le peuple Algérien a payé un lourd tribut, dans le but de se défaire de la tyrannie et de l’état policier qui étouffe le pays depuis près d’un demi-siècle, et plus précisément depuis le début des années soixante. Le pays a connu également, des mouvements de contestations fréquentes depuis janvier dernier, avant même la vague de révolutions d'Égypte, de Tunisie et de Libye, et malgré cela le pouvoir de fait continue sa logique autiste, répliquant les mêmes lambeaux de pseudo solutions à la crise, refusant de reconnaître la légitimité des véritables revendications du peuple Algérien. Seulement prenant acte dernièrement des défections successives et inattendues des présidents Tunisien et Égyptien, bientôt rejoints par leurs compères Libyen,Yéménite et Syrien, le pouvoir Algérien semble soudainement réaliser la nouvelle donne, avec l'étau qui se resserre autour de son cou et la flamme révolutionnaire qui se rapproche de plus en plus de ses frontières pour arriver au seuil du palais d'ElMoradia.

                         Les nouvelles fusent ces dernier temps, provenant de différentes sources, certaines dites proches, autorisées, bien informées sous forme de déclarations officieuses, ou officielles aux média Algériens et parfois de fuites rapportées par la presse dite privée en Algérie, que certains assimilent à des ballons de sonde, une manière de prendre le pouls de la société en ébullition,vis-à-vis du de ces  fuites, d'autant que les solutions qui sont véhiculées  dans ces dites fuites, ont été cette fois concoctées  avec minutie et largesse débordante, afin qu’elles paraissent «radicales» et porteuses d’espoir réel, en rupture avec l’ancien modèle obsolète, sans pour autant tromper la vigilance du peuple en général, qui y voit une énième tentative du pouvoir, de devancer l’éventuel élan de changement incontrôlable, dont les prémices se précisent de plus en plus, conformément au cheminement naturel en cours en Algérie.

                         Ces promesses du pouvoir s’inscrivaient dans le  fameux discours de Bouteflika et aussi dans cette même logique qui tente de faire saborder les véritables initiatives des parties , les vrais partis  forts d'opposition (le FFS et le RCD) et le nouveau opposant (MSP), de Bougerra Soltani,qui a accordé un délais de huit mois à Bouteflika, comme calendrier, pour le début et la fin de ses reformes, sous peine de retirer le soutien de son parti à l'alliance présidentielle.Ces partis qui œuvrent sans relâche pour la concrétisation du changement pacifique souhaité, en dehors du cadre du système, refusant sans concession « les solutions » qui prônent des changements cosmétiques, qui ne font en réalité que pérenniser la crise politique qui sévit en Algérie, et dont l’objectif essentiel est d’assurer la survie du pouvoir effectif militaire qui contrôle la réalité du pouvoir derrière les rideaux sans en assumer ni la responsabilité de la faillite multiformes des différentes politiques, ni les exactions massives à l’encontre du peuple Algérien.

                          Il eut été plus sage d’en tirer les leçons requises de l’expérience des ses voisins de l'Est 'Tunisie-Libye) et de faire économie de temps et de sang. Ni le gouverneur de Carthage n’a réussi à éviter le sort inévitable en miroitant ses promesses «tardives» sous forme de corruption sociale, ni l'intransigeance et l'entêtement du néo-pharaon d’Égypte déposé, n’a réussi à faire plier la volonté du peuple Égyptien, en attente d’être déféré devant la justice de son pays pour répondre des crimes à l’encontre de son peuple, après que ses avoirs et ceux de sa famille aient été gelés, en plus de son interdiction de quitter son pays. Quant à l’expérience Libyenne, elle reste toujours une plaie ouverte, en raison de l’acharnement criminel du dictateur de Tripoli qui persiste à refuser la réalité sur le terrain, sur un fond de massacres à l’encontre du  peuple Libyen, qui malgré son handicap militaire, se rapproche de jour en jour de la victoire  certaine sur ce pouvoir honni qui a gaspillé plus de 40 ans de la vie des Libyens dans les futilités d'un  livre chiffon vert.

                          De même, il est fort intéressant de noter que cet argument, la peur du chaos ou de la mainmise islamiste, a été usé et abusé par les deux régimes policiers arabes qui se sont effondrés dernièrement, prétextes contredits par la réalité du terrain, qui a prouvé que ces prétextes ne sont en réalité rien de plus qu’un épouvantail fabriqué de toutes pièces par ces potentats dans le but de  forcer la main aux capitales occidentales, siège de leur légitimité. Le monde entier a pu voir que les sociétés Tunisienne, Égyptienne, Libyenne ,Yéménite et Syrienne, toutes tendances confondues, étaient unies derrière la même revendication, le départ du système (et non sa réforme). Sans oublier, que les différentes forces représentatives de la société Algérienne, ont prouvé il y a près de deux décennies, qu’elles pouvaient se réunir, et s’asseoir autour d’une même table, pour trouver un terrain d'entente, mettant de côté leur différences, et sortir de la crise, comme cela a été le cas en 1995 à Rome en Italie, réunion couronnée par le "Contrat national de Transition" , inhumé à chaud à sa naissance par le pouvoir militaire.
                         En outre, les dirigeants Algériens gagneraient à intégrer dans leur approche de la crise, les nouveaux changements qui soufflent dans la région, qui sont autant de preuves qu’il n'est désormais plus possible de nos jours, de continuer à gouverner par la tyrannie. Même les régimes alliés d’un temps, ne sauraient accepter et s’encombrer de pareils gouvernants, devenus de véritables fardeaux, dont se dispenseraient bien ces capitales occidentales( Washington, Paris, Rome et  Londres), embarrassées aux yeux de leurs propres populations, chose qui a été explicitement exprimée récemment entre autres par le secrétaire Britanique au Foreign Office, William Hague, dans une interview avec Al Jazeera, je cite : « Il est temps d'aller au-delà des relations basées sur la politique de la lutte contre le terrorisme’, utilisée jusque là comme plate-forme pour forger les relations avec les pays de la région, et je pense que maintenant la possibilité existe, pour établir une relation plus large que celle basée exclusivement sur les relations de sécurité, qui ont depuis longtemps été décriées par les peuples de la région, qui voyaient en ces lois policières liberticides, un arsenal visant à réprimer les libertés et les opposants politiques ».Fin de citation.

                          Cela prouve que les capitales occidentales, dans leur majorité, ont finalement réalisé que leurs intérêts légitimes et à long terme sont plus garantis par des pouvoir démocratiquement élus, issus de l’expression réelle du choix des peuples, que par la supposée «stabilité» que leur prodiguaient les juntes militaires et les pouvoirs policiers qui musèlent les espaces de libertés, à travers la coopération totale et inconditionnelle sur le plan sécuritaire, aussi bien dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, que pour combattre l'immigration clandestine.

                          Afin de faire économie de temps, de ressources et de sang, et par souci d'éviter des développements tragiques qui pourraient échapper à tout contrôle, à l’image de l’expérience Tunisienne ou Égyptienne, ou pire encore, les massacres actuellement perpétrés par les régimes de Kaddafi, de Bechar El Assad et Ali Abdallah Saleh, et dont la responsabilité éventuelle en Algérie, de pareils crimes incomberaient directement aux décideurs généraux d'El Moradia et de Ben Aâknoune qui gèrent le pays, il  leur serait plus qu’urgent d’arrêter la réplication en boucle des pseudo solutions qui ne changeront rien à la situation de déliquescence qui prévaut et qui présage des développements que personne ne prétendrait pouvoir contenir. Par ailleurs, la nécessité de limoger les généraux et de faire entrer le militaires dans les casernes s’impose, si les décideurs  veulent vraiment sauver l'Algérie des dangers certains qui pointent à l’horizon d’un ton menaçant. Je  crois que l'Algérien réformateur de l'opposition qui manipule la rue et les sit-in  doit proposer  et imposer ses dictats un non exhaustif de ce qui serait vain de retenter postérieurement, et un autre qui devrait par contre être enclenchée sans plus tarder..prouvant que les Algériens  ne lâcheront pas la lest, mais campent, en quelque sorte, dans le calme qui précède la tempête.

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                         Trouvant la ligne de rédaction de ce blog compatible à  ses soucis, un Algérien Rachadiste d'Europe m'a fait parvenir par e-mail les préoccupations de l'Algérien et les mesures à entreprendre pour faire sortir son pays de l'impasse. Des propositions qu'il considère comme seules solutions adéquates et convenables pour l'État futur de loi et de droit en Algérie.  Considérant que cette Algérie, pour nous Marocains, est un pays ennemi, contrairement à l'hypocrisie politique de certains de nos officiels et  officieux, et des gouvernants  Algériens aussi sur le déblocage  de  relations bilaterales et sur la réouverture de frontière ( les dernières en date,celles de Bouteflika à Tlemcen - Belkhadem et M'delci  à Alger - source Yabiladi.com), les préoccupations et les mesures qui sont parvenues à la rédaction  ne nous concernent ni de loin, ni de prés, pour êtres publiées  ou soutenues dans ce blog, du fait que nous ne pouvons pas perdre de notre temps, en pleurant  les souffrances des d'autres.

                          Nous grâce à Dieu, ne demandons pas ici au Maroc de libertés politiques que revendiquaient l'opposition Algérienne et la CNCD du Me Algérien Ali Abdenour, non, nous les avons déjà. Nous sommes un peuple plus que libre, capable de relever les défis et mener ses propres réformes avec un grand civisme, agissant activement sous la supervision éclairée et le haut patronage de notre jeune Souverain, pour  matérialiser sur terrain, nos futures réformes politiques, les plus objectives  d'ailleurs  et les plus crédibles que des autres, et pour pallier à ce qui peut y avoir  de carences, consolider davantage l'État de loi et de droit  compatible à nos aspirations.

                           S'adresser à la rédaction du blog avec un tas d'imaginations confirme l'importance que le lecteur-internaute accorde à la crédibilités des articles qu'elle publiait. et confirme aussi la vie des Algériens dans chaos par de multiple soifs , en plus de l'eau potable, et la vie digne au quotidien, ils sont soifs à l'air propre, à une ère  libre  non polluée d'effets de corruption  et de saleté de bottes militaires, et au besoin à la liberté politique..Je récapitulerai ultérieurement pour mes lecteurs, à toutes fins utiles, ce qu'ils doivent connaitre en général sur la situation pourrie en Algérie et scanner en quelque sorte, les aspects  qui vont l'amener  (incha Allah) au suicide.

                          En ce qui concerne les pseudo réformes de Bouteflika, je peux dire que c'est un passe temps, pas plus, car l’Algérie passe pour un pays impossible à réformer, tant qu'il y  a absorption et confusion de  pouvoir. Il n'y a pas une vrais imbrication d'autorités entre civils et militaires. Un pays toujours immobile au point de départ du marathon politique, incapable à négocier chez soi, avec les siens, un pays qui souffre de l'absence d’un réel choix de régime politique, son hésitation entre régime parlementaire et régime présidentiel ou encore régime de J'maâ(conseil de tabac à chiquer de Belkhaem). Les pseudos réformes  annoncées et la fausse réconciliation nationale en Algérie, sont montrées du doigt par toutes les obédiences politiques locales, comme par les principaux responsables de la résistance à la réforme de ce pays.Bouteflika mène inéluctablement le pays à sa perte, s’amusant même à le ridiculiser, confiant au cacique Bensalah la mission de réformer l’Algérie « Le chef de l’Etat Algérien n’a même pas essayé de sauver la face, ou de faire semblant, en confiant la commission «des réformes» à une personnalité nationale indépendante qui n’est pas liée à une fonction institutionnelle ou par un mandat électif »..Bouteflika par esbroufe ne veut rien réformer. Ne peut rien réformer.

                     Le Maroc  à coté, a suivi  dans ce sens la bonne voie, depuis l'intronisation de Sa Majesté le Roi, il s'est réconcilié avec soi  par une initiative courageuse du Roi, caractérisée par l'instance nationale IER (Instance  Équité et Réconciliation), que ni Bouteflika, ni autre, ne peut l'imiter cette fois-ci. Notre pays se rétablit sainement (wa lhamdo lillah) avec aux bras du feuillage et des fleurs blanches; d’autres pays à junte militaire, dont l'Algérie,  font l’impasse sur leurs phases cruciales et sur leurs avenirs sombres,  et ils piétinent encore.

                        La solution passerait-elle par l’avènement d’une 2éme république en Algérie, comme l'esquissait le dernier discours  télévisé de Abdelaziz Bouteflika ? Je le pense pas, loin de ça, même si dans ce discours  Abdelaziz Bouteflika, a bien été brillant dans l'enroulement de son peuple après avoir réussi à esquisser les bases d’une vraisemblable 2ème république, en rédigeant dans l'imaginaire une nouvelle constitution rompant avec les institutions «centralisantes» de la république en cours de disparition. D'autre part,  il serait plus pire aux Algérien de laisser encore  le champ libre au pouvoir Algérien, pour les commander avec la saleté de bottes d'une junte  de sous-officiers Gaullistes, malgré ses répressions consécutives et le tolérer à semer plus de superflu et maintenir davantage les aspects négatifs ayant mené à cette situation pourrie de l'Algérie.    

Panique de haute gamme en Algérie :

                           L’instabilité sème la panique en Algérie.Les ministres vendent leurs biens, les fortunés vident leurs comptes. deux ministres du gouvernement Ouyahia auraient vendu leurs biens immobiliers en devises, alors qu’un troisième aurait échangé sa «fortune» en dinars Algériens contre des Euros. La presse locale rapporte qu’un  quatrième ministre aurait retiré ses dépôts bancaires et vendu ses biens immobiliers à Oran et à Alger pour les échanger en Euros sur le marché parallèle et dans les milieux initiés. Il ne serait pas le seul. Sur ses traces, des politique de l'FLN, des militaires de grade supérieur de la caserne de Ben Aâknoune et de la DRS, ainsi que de hauts responsables de l’Etat ont fait de même, en prévisions de l'incertitude de l'avenir, d'après Bouteflika, qui en découlera de  la situation stérile qui prévaut dans le pays.

                          S'agissant ainsi du concept "sauve-qui-peut", pourquoi le président ne fait-il pas  autrement?  Faire l'exception des autres présidents qui l'ont précédé au palais d'ElMoradia en faisant un pas géant,  un pas d'homme d'État, que l'histoire doit lui inscrire dans son registre de bienfaits!, à savoir: Bouteflika est physiquement mourant,  son état de santé apparait sensiblement dégradé, sa voix faiblarde indique qu'il vit en ce moment le compte à rebours de ses derniers jours. Ce diagnostic qui  aurait été défini par les Algériens qui ont suivi sa dernière parution à l'écran, ne manquera pas de susciter les rumeurs les plus folles auprès d’une opinion en proie au doute et plus que jamais acquise à la «théorie du complot», surtout depuis l’assassinat prémédité du président  Mohamed Boudiaf.

                           Si j'étais à sa place, pour éviter le blasphème de l'histoire et les insultes des générations futures des deux pays, j'aurai du me précipiter à redresser la situation avec le Royaume du Maroc avant  ma mort,.Exprimer sans réserve une bonne intention effective,qui serait principalement la première et dernière de sa trajectoire politique. Entamer immédiatement des négociations avec les Marocains pour régler les problèmes en suspens,  par la résolution définitive des questions des Saharas Marocains, Oriental et Occidental, dont il était pour l'Occidental le co-metteur en scène et le substitut de son parrain Boumédiane, et lever tout de suite les barrières frontalières de Jouj B'ghal, afin d'expier ses péchés et faire en  sorte des éloges avant des  remerciements d'adieu au pays (le Maroc), qui l'accueillait généreusement à son premier âge, le moment où il flânait avec le petit cohorte Znasnis  dans ruelles d'Oujda.

                           Et enfin redonner aux Algériens le droit d'être représentés par des institutions démocratiques, pour qu'ils puissent marcher physiquement et spirituellement dans ses funérailles. Rendre pour autant hommage, par cette action de noblesse aux hommes politiques de combat libérateur et aux personnalités de haute valeur morale et intellectuelle de l'Algérie, que l’histoire contemporaine Algérienne les a réhabilités et  mis dans la lignée des grands réformateurs et combattants de la liberté durant la Guerre d’Algérie (1954-1962), surtout à la mémoire des vrais martyrs, pas les  faux 15.000 que dénombre le ministère des Moujahidine et à la mémoire aussi des victimes de la DRS. Les assassinés: Mohamed Kheider, Mohamed Boudiaf, Krim Belkacem, Qasdi Merbah et  le jeune Abdelkader Khmisti  liquidé dès le premier pas de l'Algérie indépendante(?)  et autres que je  ne peux citer, qui ont perdu la vie pour l'Algérie.

                          Je ne suis pas là pour donner de conseils au régime Algérien. Non, je fais seulement des suppositions et des suggestions et je développe, à ma façon, les maux des Algériens, sans pour autant  leur souhaiter  le bonheur, ou  de partager avec eux le savoir faire des Marocains, qui en profitent en ce moment, de la vrais prospérité démocratique et sécuritaire qui prévaut ici au Maroc, qui nous la vivons  pratiquement avec une certaine dégustation très particulière qui n'existe en aucun autre lieu arabe.  Nous la vivons avec fièreté sous l'aile et l'égide d'une monarchie parfumée d'odeur descendant du prophète (sws) et bien ancrée dans la grandeur de l'histoire. D'après le débat des Algériens qu'on trouve ici et là en  internet, on constate que cet état dérange encore plus la mentalité Algérienne . Cette  complexion qui est habituée en général, à ne sentir que les mauvaises odeurs de bottes-belliqueux et de tabac à chiquer de ses gouvernants.                                                                       

                          Pour conclure j'aurai  le plaisir de confirmer avec justifications à l'appui, (Et je me vante, pourquoi pas?) que  le Royaume Chérifien du Maroc n'est pas l'Algérie de Bouhmara . (les: Bou Aâmama?, Bouteflika-Belkhadem) ou de sous-officiers Gaullistes. Cette grandeur du Maroc donne de l'excitation à la rédaction du blog pour doubler l'effort  et éviter d'imposer aux lecteurs  le cauchemar que les Algériens sont entrain de vivre avec amèrement et congestion. Me donne aussi l'impression de sentir que les Algériens , ceux qui sont en Europe à leur plein gré , ou ceux qui sont exilés ou en fugue, font beaucoup d'effort pour imaginer, voire fabriquer à leur façon, des multiples feuilles de route (irrecevables) devant amener leur pays à sortir de sa crise. Ils construisent et démolissent  unilatéralement dans l'imagination des palais de propositions qu'ils croient aptes à leur futur?. Ceci m'obligerait  de demander aux Marocains-internautes,  de ne pas prendre de la peine, ou d'y penser même, de partager avec eux leur souffrance, de façon à ce que mes visiteurs  sont même dispensés d'imaginer n'importe quelle  ouverture à la crise d'autrui, à la crise d'un pays(Algérie) qui n'est créé, par sa nature et par  celle de ses gouvernants, que pour nous envier et nous afficher de l'hostilité capitale.

                           C'est pourquoi, Il m'est  convenable , voire indispensable, de ne pas donner l'occasion  à ces mauvais voisins de débattre leur saleté avec  leur régime dans un forum Marocain censé défendre les valeurs sacrées nationales, tant que j'ai toujours la tendance, pour beaucoup de raisons qui n'échappent à personne, de ne pas souhaiter un avenir  stable ou prospère à cette Algérie, tant qu'elle est comme ça, avant qu'elle soit bien rétablie en bon voisin crédible à notre pays.

                           Si devant votre petit écran, vous vous  mettriez l'interrogation et vous poserez le pourquoi? Je  vous répondrai  tout simplement : Pour l'effet insupportable des conséquences qui pèsent sur nous Marocains depuis plus de quatre décennies, à cause des Algériens, je veux dire plutôt, à cause du régime Algérien qui se déchaînait et continuer de l'être encore contre mon pays. Ce grand pays, qui par générosité avait accueilli à bras ouverts, dans un torchon blanc, les Algériens durant leur peine de libération pendant plus de huit ans, et qui ne le récompensaient après que par la haine et l'ingratitude.

                          Je  continuerai  à cet effet, à défendre par mes articles l'honneur et la dignité de mon pays, face à la lâcheté et à l'acharnement d'un régime dit " Algérien" qui envie ce grand Maroc., pas pour rien! mais peut-être pour sa grandeur crédible, pour la place honorable qu'il occupe aux yeux des autres sur l'échiquier politique international, pour son histoire très riche d'authenticité, une histoire qui fait défaut à l'Algérie qui vient, à  juste titre, de faire goûte du plafond,. Et encore pour sa situation géographique stratégiquement privilégiée, qui fait larguer, voire couler la salive des envieux, et pour aussi, et c'est l'important, sa stabilité politique particulière et sécuritaire, que le pétro-dinars de la Sonatrach ne peut l'acheter, en  dépit de ces saisons arabes "Printemps ou Automne de la colère" dans ce monde arabe en ébullition.

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            Témoignage Algérien trés important

                          Je vous invite à lire et apprécier  cette réaction d'un Algérien, publiée dans la presse locale Algérienne, au sujet l'attentat de Marrakech, évoquant la différence entre Sa Majesté le Roi Mohamed VI et  le président Algérien  Abdelaziz Bouteflika.(réagissez s'il le faut..)

Début citation Je viens de voir une vidéo montrant le roi Mohammed VI du Maroc à Marrakech, sur la grande place Jamma-el-Fna, venu sur les lieux de l'attentat qui a coûté a vie à 16 personnes rendre hommage aux victimes avant de se rendre au chevet des blessés dans les différents hôpitaux de la ville. Il y a avait sans doute de l’émotion surfaite, de l’excès dans la compassion, mais il y avait aussi et surtout un peuple qui n’était pas seul, un peuple qui ne se sentait pas méprisé, un peuple consolé par son monarque. J’ai entendu Hassan, chef de rang dans un hôtel de Marrakech : «Le roi Mohamed VI est un peu comme un grand frère ou un père. Quand il y a un problème dans le pays, nous avons besoin de lui »

Oui, je viens de voir le Roi Mohamed VI vient de faire ce que Bouteflika n’a jamais fait, la seule fois où il n'a pas fait de l'imitation, rendre hommage aux victimes d’un attentat terroriste. Et je me suis mis dans la peau des mères et des épouses de ces 22 soldats tués en Kabylie et pour lequel le chef de l'État n'a eu aucun geste. J'ai pensé à toutes ces victimes du terrorisme que le président méprise et qui sont encore plus seuls sous le poids du mépris.

 « Je crois que le grand problème de Bouteflika est qu’il n’aime que lui. Il n’aime pas ce pays. Il ne l’a jamais connu. Quand on aime l’Algérie on a un minimum de compassion pour les Algériens. On l’a vu tourner le dos à la Kabylie à feu et à sang pour assister à une réunion sur le sida en Afrique. On l’a vu mépriser Bab El Oued inondé et ne se déplacer qu’après trois jours parce qu’il se plaisait en Suisse. Et ces familles massacrées par les terroristes et auxquelles il n’a jamais rendu visite… Aussi ses échecs ne s’expliquent-ils, à mon avis, que par le total désintérêt qu’il a pour la chose intérieure. Sa seule ambition est de se faire reconnaître par les grands de ce monde. Il ne connaît rien à l’Algérie, non pas parce qu’il est né à Oujda, mais parce qu’il n’a jamais voulu avoir des relations avec l’Algérie pendant son adolescence et sa jeunesse. Même pas avec la communauté algérienne, très importante, qui vit à Oujda et au Maroc. Moi- même, pour avoir vécu au Maroc, à Fès, durant mon adolescence, je peux témoigner qu’on peut ne jamais couper avec son algérianité dans ce pays voisin. A l’indépendance, Bouteflika pouvait rattraper tout ça s’il avait hérité d’un poste aux prises avec la réalité du pays. Mais pour son malheur, et le nôtre, il a été désigné aux Affaires étrangères. Alors, il ne connaît toujours pas l’Algérie.» J'ai envie de dire:«Jusqu'à quand mon Dieu, jusqu'à quand?»Fin de citation. Bonne lecture.

                                                                   Cordialement,Chihab25

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(*) Le texte n'est pas du genre classique de Montesquieu ou de Victor Hugo, et que si la rédaction ne maitrise pas bien la  langue Française!!, elle fait quand même passer ses messages. Procédant continuellement à la mise au point textuelle, grammaticale, et à la correction de frappe. Malgré la modestie, la diversité de lecteurs qu'affiche le compteur journalier(Géovisite), surtout du Maroc, d'Europe, d'Algérie et autres Marocains du monde, m'encourage à continuer.   A cet effet, il  appartient donc au lecteur d'y revenir de temps à autre à l'article. La rédaction vous prie d'accepter ses excuses.


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