2/3.-La stabilité du Maroc et le Roi prédateur Algérien
Suite...
C'est ce salaud général-major Maroco-algérien Toufik¹, à qui nous avons affaire.C'est celui qui commande l'algérie.Pas Sidi H'bibi, alias Bouteflika..! C'est le financier du livre "Le Roi prédateur algérien"
La presse DRS algérienne crée son Roi prédateur.
Pour en savoir claire dans ce sens, je ne vais pas reprendre en résumé ce qu’on vient d’écrire dans cet ouvrage, je laisserai cette mission aux mauvais esprits tendancieux, qui se sont déjà mobilisés pour y injecter en flash leur venin aux différents réseaux sociaux en internet.
Cela n’exclut pas de chercher à connaître qui est cet Eric Laurent, je m’intéresserai pas en parallèle de sa copine Catherine Graciet qui est, à mon avis, qu’une simple mamie de nuit, vendeuse de charme au boulevard Saint Michel à Paris. Quant à lui, il était jusque-là, un écrivain Français et grand reporter, auteur, il y a quelques années, d’un livre-interview avec Sa Majesté le roi feu Hassan II, et auteur de nombreux ouvrages, dont La Mémoire d'un roi - Plon, 1993 -, tiré de ses entretiens avec le regrété Hassan II que Dieu ait son âme. Écrivain de renommé à l’Hexagone, tombé dans les filets de la corruption et emporté par la mauvaise odeur des pétrodollars algériens.
Eric Laurent vient, comme nous venons d’apprendre, de publier aux éditions du Seuil à Paris, avec cette Catherine Graciet, aux frais du peuple algérien, «Le roi prédateur». L’ouvrage, selon lui, dénonce l’affairisme de l’entourage du roi du Maroc et du souverain, lui-même. Celui qui passait jusque-là pour un journaliste laudateur du Maroc, s’explique, longuement, dans une interview à un grand hebdomadaire Français( !) sur le livre – frappé par l’interdiction bien sûr à notre pays, malgré qu’il aurait déjà circulé, sous les manteaux.
Ainsi, et comme on lui demandait, si on peut pour autant parler de «hold-up», il souligne qu’à l’origine le propos n’était pas du tout d’écrire un livre sur la fortune du roi. «Nous voulions, dit-il, faire une sorte d’état des lieux de la monarchie marocaine, à l’heure des Printemps arabes, essayer de comprendre comment elle s’adaptait, quelle était sa marge de manœuvre, dans quelle mesure elle parvenait à conserver sa légitimité ».
C’est au fil de son enquête qu’il effectuait dans les rouages des bureaux de la caserne de Ben Aâknoune à Alger, à travers des témoignages imaginaires qu'ils ont recueillis (lui et sa copine), ils se sont rendus compte que le roi était à la tête d’une énorme fortune et surtout que celle-ci avait considérablement augmenté, en l’espace de quelques années, alors que les ressources et les revenus de son pays sont assez faibles. Cela les a surpris, ajoutait-il.
Eric Laurent se rappelle, ou plutôt, il se fait rappelé par ses parrains, qu'on est vraiment dans la prédation.» À l’argument de la locomotive pour impulser les investissements, que cet argument était déjà utilisé du temps d’Hassan II, «mais il ne tient pas davantage, aujourd’hui, qu’à l’époque. Le but d’Hassan II a toujours été d’augmenter, au petit feu, la fortune royale. Hassan II avait, dit-il, le goût de l’argent, de la mode et du luxe. Mais pas exclusivement. Sa priorité était de construire une monarchie moderne, stable et durable et d’asseoir sa légitimité sur des bases bien solides, ce qui à l’époque, n’allait pas de soi.
Concernant le Souverain, Eric Laurent marque un arrêt, pour reproduire ce qu’on lui donne en enveloppe, cette fois-ci de la caserne de Beni Messous sur les hauteurs d’Alger et invente encore, à l’encontre de Sidna, des conneries que personne ne pourra y croire, étant donné que nous Marocains, nous vivons pratiquement, depuis l’intronisation de Sidna, les observateurs étrangers au Maroc aussi, une ère particulière, l’ère de la réconciliation, des grands chantiers, des réformes politiques, de la solidarité nationale. Ces ères qui en manquent en Algérie ont contraint les décideurs d’Alger de remuer leur saleté et faire sortir des bluffs, mangeant ainsi de l’ail avec les bouches d’Eric Laurent et sa maîtresse Catherine Graciet, les citant à adopter des propos mensongères bien sélectionnés, -made in Alegria- et les diffuser à leur propre compte, et dire que, (début citation) :
Le roi Mohamed VI n’a aucun intérêt pour la chose publique et pas la moindre fibre politique. Seules comptent les affaires.» Ils soulignent, entre autre, par ailleurs, qu’un «investisseur étranger ne peut pas faire des affaires au Maroc, s’il n’est pas en relation avec Mounir El Majidi l’homme chargé de gérer la fortune du roi, Fouad Ali L’Himma, son conseiller politique, ou le souverain lui-même ».
Ce sont les trois hommes incontournables au Maroc, selon les rédacteurs du général Toufiq, sans lesquels rien n’est possible. À l’étranger, c’est quelque chose dont on est très conscient, comme l’ont d’ailleurs révélé les télégrammes américains publiés dans le cadre de WikiLeaks.
Du côté des entrepreneurs marocains on note une certaine frilosité, un découragement certainement lié au nombre de plus en plus grand de secteurs confisqués.» Il estime, en outre, que l’affairisme et la prédation sont, aujourd’hui, le vrai talon d’Achille de la monarchie au Maroc. «Dans le contexte social qui est celui du Maroc, cet enrichissement sans limite du souverain ne peut pas ne pas être ressenti comme une provocation et alimenter les extrémismes. C’est aller trop loin. Cela pose aussi une autre question : comment fait-on pour gouverner avec un groupe de conseillers qui ne sont qu’un groupe de copains de classe ? Depuis vingt-cinq ans, le roi se retranche derrière le même groupe qui lui sert en permanence de filtre. Ce groupe le protège sans doute, lui qui n’aime pas être exposé au regard des autres. Mais, il le maintient, aussi, dans une certaine immaturité, ce qui est très dommageable.».
On cherchait quelques lignes sur la vision politique de Mohamed VI, ce que pense le palais du "printemps arabe" ou le bilan que le roi tire des réformes qu'il a lui-même initiées, telle la nouvelle Constitution approuvée par référendum, pour parer à toute contestation. Rien de ce côté-là.! Fin de citation. Tel que, quelle contradiction. En tant que Marocains, vivons le réel, croyez-vous vraiment cette invention en face de la réalité écrasante que vous voyez concrètement?. Bien sûr que non.
Le paragraphe le plus important, pour les gens du général Toufiq, n’était pas initialement ce que disait, ce couple Français d’adultères, ou encore d’autres plumes prépayées, mais le paragraphe –cible- ci-aprés, qui, à mon avis, reflète reéllement le point de vue direct du patron du DRS, de Sidi H’bibi, ou d’un de l'un ses brillants chiens de garde au palais d’ElMoradia d’Alger, regardez, (je cite, et c’est le but du poème de tout ça) :
« Le mérite du livre de Catherine Graciet et d’Eric Laurent est de battre en brèche les arguments de pseudo économistes, experts et professeurs qui se répandent à longueur de colonnes dans certains quotidiens algériens pour vanter les «performances» de l’économie marocaine, dans un pays non producteur de pétrole et de gaz, et surtout pousser l’Algérie à ouvrir ses frontières avec un pays, où la prédation domine et pleurent sur l’absence du non-Maghreb économique. Ces experts, dont la plupart installés au Canada, intriguement excités par le lobby juif Marocain en Amérique du nord, et leur relais des suppléments économiques algériens, vont jusqu’à demander à l’Algérie de retirer son soutien au pauvre « peuple sahraoui » et d’appuyer des solutions inacceptables et contraires au droit universel à l’autodétermination, au nom duquel l’Algérie est aujourd’hui indépendante ».
C’étaient les plumes Françaises malhonnêtes, trempées dans des fûts de la Sonatrach qui parlaient au nom du DRS dans la tentation désespérée d’entacher davantage l’innocence d’un Monarque propre, voire très propre, loin d’être au cœur de ces conneries. Certes, le réquisitoire de ce livre est brut, les témoignages souvent anonymes, et les faits sont parfois approximatifs, voire sont nuls, faute d'accès direct aux sources crédibles qui donneront du poids auxrécits de ces écrivains engagés.
La presse ibérienne est à la rescousse.
Dans les mêmes conditions, la presse ibérienne anti-Marocaine est appelée à la rescousse. Représentée par le journal «El Pais» elle retrace à sa façon la ligne diffamatoire que les services secrets algériens voulaient faire passer à l'opinion publique franquiste pro-algéro-Rasdiste, qui s'en va aveuglement dans le vide et approuve la fausse crédibilité de la thèse algérienne au sujet du Sahara Marocain, par pression, bien sûr, d'offrandes de billets verts, mais d’une autre manière. Je cite aussi...
Des lignes rouges à ne pas franchir au Maroc…Faut-il s’inquiéter pour le Maroc? Alors que les (timides) réformes de la monarchie semblaient montrer que le régime allait s’ouvrir peu à peu, les autorités se livrent à un véritable tour de vis concernant l’Internet et les libertés publiques.Au risque d’attiser davantage la contestation? Référendum constitutionnel le 1er juillet 2011, élections législatives le 25 novembre dernier, le Maroc faisait figure d’exception dans le monde arabe grâce à ses réformes politiques entamées par le monarque lui-même sous la pression de la rue. Pourtant, plusieurs événements récents révèlent que les libertés publiques sont actuellement en régression au royaume chérifien qui a perdu 3 places au classement mondial de la liberté de la presse.
La monarchie Marocaine en guerre contre les cyber-activistes.
Depuis des mois, nombreux sont les magazines et journaux interdits au Maroc à cause de cet article 29 ou parce qu’ils heurteraient les sensibilités religieuses. Selon l’agence de presse espagnole EFE, 29 journaux étrangers ont été interdits entre janvier 2011 et février 2012, dont 22 journaux et magazines français censurés. Le blog «The Angry Arab» ajoute également qu’Al-Jazeera a censuré un documentaire sur pression gouvernementale.
Les autorités marocaines ne se contentent pas de censurer, elles sévissent également. Le directeur de publication du quotidien Al-Massae, Rachid Nini a été condamné le 24 octobre 2011 à un an de prison ferme pour «désinformation» à cause d’articles dénonçant des affaires de corruption au sein du pouvoir Marocain. Comme dans de nombreux pays théâtres du printemps arabe, les atteintes aux libertés publiques frappent particulièrement l’Internet.
Le 16 février, Oualid Ba-Hommane, un étudiant de 18 ans, accusé d’avoir porté atteinte à la personne du roi pour avoir diffusé une série de caricatures de Mohamed VI sur Facebook a été condamné à un an de prison ferme et une amende de 10.000 Dirhams ( l’équivalent à peu près 1.000 euros).
Plusieurs autres activistes du mouvement du 20 février qui ont suivi le procès se sont d’ailleurs plaints que celui-ci se déroule officieusement à huis-clos, la police leur barrant l’accès au tribunal. De son côté, Me Naïma ElGuellaf, avocate de Oualid Ba-Hommane, s’est plainte de n’avoir "même pas pu présenter sa stratégie de défense, car l'avocat engagé par la famille a considéré qu'il s'agissait d'un dossier "normal", sans aucune dimension relative à la liberté d'expression, et il a plaidé pour que le dossier soit jugé sur le champ". Le 13 février 2012, Abdessamad Haidour, 24 ans, a été condamné trois ans de prison et une amende de 10 000 dirhams pour “atteinte aux valeurs sacrées de la nation” pour avoir critiqué le roi dans une vidéo postée sur Youtube.
Si le gouvernement Marocain, conduit par le PJD semble aussi nerveux concernant le militantisme sur Internet, c’est parce le web, et notamment Facebook, Youtube et Twitter, a libéré la parole et permis aux activistes du Mouvement du 20 février de diffuser leurs idées. Comme le rappelle « Global Voices », ce mouvement est né d’un simple groupe Facebook intitulé « Liberté et démocratie maintenant ». Les militants ont ensuite appelé le roi à apporter “les réformes nécessaires au système politique pour permettre aux Marocains de se gouverner eux-mêmes”; “rompre avec le passé pour de bon et irrévocablement.” Le 20 février, ils ont manifesté pacifiquement, ce qui a surtout été relayé sur le web. Face à ces militants agissant à visage découvert, le gouvernement a répliqué en créant de véritables milices numériques, groupes de pirates «officiels» défendant le roi sur la toile. Ceux-ci s’attaquent aux pages Facebook des militants du Mouvement du 20 février, à leurs boîtes e-mails, aux blogs et aux sites d’information indépendants, se livrant à des campagnes de désinformation.
La bataille numérique prend de plus en plus d’importance et d’empleur, en témoigne le nouvel activisme de l’ex-ministre Marocain de la Jeunesse et des Sports, Moncef Belkhayat, notamment sur sa page Facebook, où il accuse régulièrement les sympathisants du mouvement du 20 février d'intelligence , l’Algérie, l’Espagne et le Front Polisario, et appelle à la vigilance sur Internet car «nos ennemis infiltrent nos réseaux sociaux».Plus inquiétant, le royaume serait en train de se doter d’outils de surveillance du web fournis par l’entreprise Française « Amesy »s. Le projet «Popcorn» devrait notamment permettre aux autorités de garder une copie de toute les communications réalisées à partir ou à destination du sol marocain. Selon « Reflets.info », ce système serait semblable au système Eagle vendu à la Libye sous Kaddafi permettant de récupérer toutes les données.
Avant même sa publication, l’ouvrage d’Eric Laurent et Catherine Graciet, Le Roi prédateur. Main basse sur le Maroc (Seuil, 217 pages), a vécu des premiers jours tourmentés. Le dimanche 26 février 2012, le journal El Pais a été interdit de publication sur le territoire marocain. Pour quels motifs ? Il semble que la publication des "bonnes feuilles" de l’ouvrage des deux journalistes français ait déplu aux autorités marocaines. RSF (Reporters sans frontières) en a profité pour dénoncer la censure exercée au Maroc tant dans le domaine de la presse que dans le secteur du livre.
En effet, en l’espace d’une dizaine de jours, le quotidien espagnol a subi deux interdictions de publication. Le précédent empêchement a visé une caricature du roi Mohammed VI, le représentant comme une serrure, détenant une clef, à l’image de son royaume cadenassé. Déjà au mois de décembre 2011 et au mois de février 2012 d’autres quotidiens français ont fait l’objet d’interdictions, notamment Le Nouvel observateur et L’Expresse, pour avoir publié respectivement des enquêtes sur l’histoire des peuples arabes et la situation de la femmes en Tunisie. Le 22 octobre 2009 déjà, la distribution du journal Le Monde avait été interdite. Le souverain et Dieu sont deux sujets avec lesquels on ne plaisante pas au Maroc, le premier parce qu’il est protégé par un article de la Constitution, le deuxième parce que la tradition musulmane interdit les représentations du prophète.
Le Seuil a immédiatement fait part de sa déception quant à la décision de censure de la publication du journal espagnol. Son président a interpellé le gouvernement marocain afin qu’il ne sanctionne pas l’ouvrage. L’Union internationale des éditeurs (UIE) a également très vite réagi à cette nouvelle attaque, en s’indignant de la décision des responsables marocains et du non-respect de la liberté d’information et d’expression. L’UIE "s’inquiète que le Maroc ferme fréquemment sa porte à des titres qui mettent en cause son régime" et veut alerter sur les entraves commises contre la libre circulation des œuvres par l’entourage du roi. Fin de citation.
Ici, en ce qui nous concerne, en tant que blog et forum de discussion, on ne doit pas parler de censure, car c’est le droit du ministère Marocain de la communication, qui veille de façon ponctuelle et régulière, à remettre les pendules à l’heure à chaque dérivation de presse, qu’elle soit nationale ou étrangère. C’est à juste titre que Mr. Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication a motivé l’interdiction du numéro d’El Pais par «son caractère diffamatoire et sans preuves»
Voilà la vraie république que commande Si Bouteflika
http://www.youtube.com/watch?v=RVjw0hJ_JCk&feature=player_embedded
(Le commentaire d'un témoin oculaire algérien qui récite avec amertume cette dignité à l'algérienne, regardez cette vidéo et apréciez ce qu'il dit ci-dessous en dialectal algérien).
تفرجوا امليح يا الي راكم تقولوا رانا غاية ..هذه هي جزائر العزة والكرامة التي ضحى من أجلها مليون ونصف مليون شهيد ..هذه هي انجازات بوتسريقة ..هذه هي جزائر الجنرالات ..هذا هو الاستقرار الذي يجب أن ننتخب لتستمر المعانات
En plus de cette république déboulonnée, regardez la-dessous, ça aussi un acquis qui se colle à la figure de Bouteflika, à son règne bourré de pétrodollars et à ses 3 mercenaires cités quelque part dans cet article. La princesse "lalla" pomme de terre destinée à la consommation porcine en algérie est devenue un rare aliment hors portée de la masse populaire algérienne opprimée. Et c'est «l'algérie de la dignité» que certains connards algériens viennent de temps à autre, ici à ce blog, nous crever les tympans, nous faisant entendre cette spécifité algérienne.
La Rédaction du blog réagit...
La rédaction du blog se voit obligée, malgré sa modestie politique, de rentrer, elle aussi, en ligne pour rappeler, que dès la première semaine de mars 2012 : La presse algérienne dévoyée et mobilisée contre le Maroc. Force est de constater que le pamphlet écrit par Eric Laurent et Catherine Graciet contre le roi du Maroc n’a pas fait «la Une» de la presse française et suscité un intérêt quelconque auprès des spécialistes en la matière ou des amoureux de la lecture.
J’entamerai mes propos en rappelant aux lecteurs que le peuple marocain, en adoptant la constitution 2011 et en élisant ses nouveaux députés à la chambre des représentants, a donné une leçon de démocratie au monde arabo-musulman.
Cette réussite sur le plan interne est également palpable dans les domaines diplomatique et économique. Les progrés que marque notre pays aux évènements sur la scène internationale ainsi que les inaugurations par le Souverain de grands chantiers structurants, dont le dernier en date, l'inauguration, le 21 mars 2012, par Sa Majesté le Roi, de la «Laverie des phosphates» à Khouribga, la plus grande au monde, attestent également de cette réussite et de la bonne santé du Maroc, qui est d'ailleurs, un pays non producteur de pétrole ou de gaz naturel. En plus de tout ça, sur le plan politique, tout le monde, sauf l'algérie, a salué les réformes engagées au Maroc sous l’impulsion de S.M.le Roi Mohamed VI, visant à consolider les acquis démocratiques et asseoir les bases d’un développement économique intégré, sans négliger, entre autres, les divers chantiers à vocation sociale, tel que l'Iniiative Nationale du Développement Humain (INDH), le Régime d'Assistance Médicale (RAMED) qui devra bénéficier à environ 8,5 millions de personnes économiquement faibles. Sans oublier la vision éclairée de Sidna concernant notre cause nationale couronnée par le plan d'autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine, qui finira par "triompher" grâce au leadership dont fait montre le Maroc face à l'isolement international de l'algérie dans ce dossier. Ce qui a fait de notre pays le premier destinataire en termes de soutien financier dans le cadre de la Politique Européenne de Voisinage(PEV).
Malheureusement cette réussite est très mal perçue par les dirigeants algériens en particulier par Sidi Hbibi et son DRS, par les nostalgiques du Franquisme (ça vient de Franco) et les quelques romantiques Français, qui nous envient gratuitement, qui par un petit clin d'oeil de la Sonathrach, rejettent aveuglement en bloc, tous nos acquis, moyennant l'édition de ce fameux livre, qui en témoigne sans équivoque.
C’est pourquoi, depuis quelques semaines, ces parties hostiles au Maroc tirent à boulets rouges sur notre pays et sur ses institutions. Il suffit de faire une lecture rapide de la presse algérienne et celle proche de la droite Franquiste espagnole pour en être convaincu.
Il est vrais également que la presse française n’est pas en reste, mais ses raisons sont tout autres.
Les munitions de cette attaque frontale sont fournies par le livre d’Eric Laurent et Catherine Graciet, et exploitées par des journalistes Espagnoles, surtout de ceux d’El Pais.
Dans leurs articles ont y trouve toute la panoplie de la phraséologie d’une campagne médiatique dirigée contre la Maroc et téléguidés par les journalistes du journal Echourouq pro-DRS. Cette campagne est bien entendu orchestrée par les services de sécurité algériens qui y trouvent dans ce cas d’espèce un moyen de détourner l’attention de leur peuple sur un soit disant évènement extérieur.
Il est à noter que les autorités civilo-militaires algériennes sont actuellement embourbées dans la préparation des législatives de mai prochain proposées par Bouteflika et les dernières analyses sur la situation politique sur ce pays laisse présager le pire. C’est pourquoi, les services algériens se sont mobilisés pour entacher le Maroc davantage et déstabiliser en vain son opinion publique locale.
Dans son entreprise, elle est aidée par les journalistes Ibériens attitrés du quotidien El Pais, proche des services de renseignement militaires algériens.Bonne lecture
Cordialement,Chihab25
A suivre...
----------------------------------------------------------------------------------------
¹.- C'est un Marocain, originaire d'Ahfir-Oujda, le patron des services secrets algériens (DRS) qui commande l'Algérie avec une main de fer.