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Les conditions "d'Algésiras" de l'Algérie! 2ème partie

                                        

      La réconciliation impossible:  L'herbe pousse sauvagement au poste frontalier Zouj Bghal*.  

Quand la réaction Marocaine irrite Alger..On se rappelle..une semaine aprés les propos du porte-parole de la diplomatie algérienne, sur les conditions d’Alger pour la réouverture des frontières,la réaction rapide du ministère Marocain des affaires étrangères et de la coopération a fini par faire réagir les autorités algériennes par le biai du cabinet Medlci, dont voici les ingrédients : Dans un communiqué rendu public, ce  27 juin,dans lequel le ministère marocain des Affaires étrangères et de la Coopération a affirmé qu' il «ne peut que dénoncer, vigoureusement, l'esprit et la lettre de ces déclarations et regretter vivement les propos anachroniques dans leur démarche et injustifiées dans leur substance».

Auparavant, Le 18 juin, le porte-parole des affaires étrangères algérien avait déclaré que la réouverture des frontières terrestres avec le Maroc passe par trois conditions. La première concerne l’arrêt de «la campagne de dénigrement menée par des cercles officiels et non officiels marocains contre l'Algérie», tandis que la deuxième traite de la «coopération effective du Maroc pour arrêter les flux de trafics, notamment de drogues». La troisième condition, relative au «respect de la position algérienne au sujet de la crise du Sahara Marocain»,

Ces diktats algériens ont été considérés par la diplomatie marocaine comme étant «des conneries à l'algérienne». Ajoutant que l'Algérie rompt unilatéralement un accord, convenu au plus haut niveau et réitéré à maintes reprises, de découpler la gestion du dossier du Sahara  de l'évolution des relations bilatérales. A cet effet, «Le Maroc prend, aujourd'hui, à témoin la communauté internationale face à cet énième reniement par l'Algérie des engagements pris et à ce nouveau revirement par rapport aux approches convenues».

Cette prise de position élaire de notre diplomatie en l'objet a irrité la diplomatie algérienne, pour que son porte paroles  ripostait en disant je cite : «la réouverture de frontières avec le Maroc a été évoquée, à Moscou, par le chef de la diplomatie Algérienne Morad Medelci. Ce qui préoccupe davantage l’Algérie actuellement est le trafic de drogue car l’Algérie est presque visée […], Nous souhaitons la collaboration du Maroc  pour la lutte contre le trafic de drogue », a déclaré le ministre à la chaîne satellitaire Russia Today. Interrogé par TSA, le ministère des Affaires étrangères par la voix de son porte-parole, Amar Belani, revient sur les déclarations marocaines :
«Pour mémoire et très sereinement, je rappelle, qu'en février dernier et à l'issue de la visite à Alger du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération du royaume du Maroc, il avait été convenu d’évaluer, "avec la franchise et la sincérité nécessaires" tout le spectre de la relation bilatérale et de définir conjointement les conditions susceptibles d’engager cette dernière dans un processus de "densification graduelle et pragmatique", l’objectif étant de conférer un "caractère apaisé" aux relations bilatérales algero-marocaines». 

Plusieurs mois plus tard, nous avons constaté malheureusement que non seulement la campagne de dénigrement de l'Algérie n'a pas cessé, mais qu'elle a pris  une tournure plus grave encore sous la forme de menace brandie contre l'intégrité territoriale de notre pays sous les agissements irresponsables de certains hommes politiques dont la formation, qui plus est, fait partie de la coalition gouvernementale¹. Sur un autre plan, les efforts attendus en matière de coopération et de lutte contre les trafics de drogue n'ont pas été au rendez-vous comme nous l'avions espéré et les quantités de poison déversées sur l'Algérie ont atteint désormais des proportions inquiétantes comme vous pouvez le constater à la lecture des communiqués rendus publics par les services de la Gendarmerie nationale.

Enfin, à propos de la question du Sahara occidental, s'il y a bien un pays qui met cette question au coeur de la relation bilatérale malgré les différentes ententes intervenues à différents niveaux, c'est bien l'autre partie et pour s'en convaincre, il suffit de se référer aux dernières déclarations faites par des officiels de ce pays, évoquant de manière itérative un différend régional, artificiel et relevant de la logique de la guerre froide. D'autres officiels, intervenant dans l'enceinte du Parlement européen ont été encore plus remarquables dans cette approche "déphasée" puisqu'un représentant gouvernemental n'a pas eu de scrupule à déclarer que la question du Sahara occidental est "la cause de tout un peuple au Maroc alors que pour l’Algérie, elle est perçue comme une affaire de régime".

Les reniements sont donc à chercher ailleurs et l'Algérie, pour sa part, maintient la position qu'elle n'a de cesse de proclamer depuis le début, à savoir que la question du Sahara occidental est une question de décolonisation qui relève de la responsabilité des Nations unies et qu'elle doit y suivre son cours imperturbable pour trouver une solution conforme à la légalité internationale » Fin de citation...

On constate que si le porte parole de Medelci est talentueux, il marque des performances de parler, de communiquer, voire lancer des pièrres à l'extérieur. Notre ministre des affaires étrangères n'a pas de carte de route, ni de guide pour lire entre les lignes de chaque communiqué ou déclaration algériens. Il prend facilement et soigneusement place au petit avion "Fokker" de la diplomatie Marocaine pour aller n'importe où, et pour n'importe quoi, ignorant tout simplement, que la diplomatie est -Art plastic- qu'on ne peut acquérir qu'avec pratique ; contrairement à ce qu'on fait étudier, aux autres à "Sid Ezouine".Celà étant nous contraint de poser la question suivante..

A quoi sert donc un psychiatre à la diplomatie..Je disait bien Taïeb Fassi Fihri, car Le directeur d'un autre quotidien Marocain connu par ses "une" de chahuteur et fictueux, pour ne pas le désiger de "hooligan-journaliste", se demandait dans une chronique : "A quoi sert El Otmani?". Les faits ci-dessous énumérés, réponderont à cette interrogation. Au moment même où ce même Saâd Eddine El Othmani, le ministre des Affaires étrangères, se lamentait du départ d’Hillary Clinton, à l’occasion d’un colloque organisé à Rabat (25/6/13), le conseiller royal Taïeb Fassi Fihri remettait à New York un message du Souverain au secrétaire général de l’ONU. C’est là une  des «traditions» marocaines qui n’existent nulle part d’autre dans le monde ; en effet, les chefs d'Etats au monde ont l’habitude d’envoyer leurs émissaires à la rencontre des organisations internationales, et les ministres des affaires étragères en particulier aux Nations-Unies.

Et puis avant cette affaire, le Dr Psychiatre Saâd Eddine El Othmani avait participé, aux cotés de tous les barbus-PJD, à leur tête les deux grands barbus, A3bdei Allah : Benkirane et Baha, sa boite noire aux défilés du 1er mai 2013, et c’est là aussi une autre tradition qui n’existe qu’au Maroc avec l'avenue des gouvernants barbus, à l’exclusion de tout autre pays, démocratique soit-il ou absolutiste et même semi-absolutiste; dans ces nations, les ministres et les responsables gouvernementaux et publics s'abstiennent et ne manifestent pas contre le gouvernement et les patronats, mais restent dans leurs bureaux et y reçoivent les représentants syndicaux pour se concerter avec eux et essayer de trouver des solutions à leurs doléances et droits légitimes…

Bref, alors que notre ministre des Affaires étrangères prenait du soleil dans les avenues du royaume, son ministre délégué Mr.Youssef Amrani, l'équivalent de Mr.Charki Draiss à l'intérieur, accompagnant au mois d'avril écoulé, le conseiller Mr.TaïebFassi Fihri et le chef du Renseignement Mr.Yassine Mansouri, se trouvaient à Washington pour y rencontrer le chef du Département d’Etat Américain, John Kerry, qui n’avait d’ailleurs pas compris, ni admis, que la diplomatie marocaine lui envoie son numéro deux pour le rencontrer lui, le numéro un à la diplomatie des Etats Unis d'Amérique,  ignorant qu'au Maroc les affaires étrangères dans ses dossiers clefs, ne sont pas gérées, en cette phase politique transitoire que vit le Maroc, par le  psychiatre du PJD, le parti en perfectionnement, qui se trouve à la tête du gouvernement Marocain..

Et c’est pour cette raison que Mr. John Kerry avait laissé la délégation marocaine attendre plusieurs jours, en signe d’irritation contre cette innovation diplomatique, made "in Morocco", mise en place par notre pays dans un moment de panique. Il aura fallu les interventions des pays arabes frèes et amis, comme l'Arabie Saoudite et Les Emirat, qui ont mené une intermédiation avec les Américains pour qu'enfin, l’administration Obama accepte de retirer son projet Susano-onusien d’élargissement de la Mission des Nations-Unies au Sahara, la Minurso. Et puis avant cela encore, quand l’ex-secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait effectué au Maroc sa visite d’adieu – c’était en février 2012 – elle avait rencontré le conseiller Fassi Fihri avant de se déplacer au siège des Affaires étrangères où l’attendait le docteur El Othmani.

Ce ne sont pas là de simples «trouvailles» protocolaires… non, il s’agit d’un véritable message politique disant que les grandes questions diplomatiques nationales ne pouvaient être confiées à personne, quel que soit son rang et fût-il même ministre des AE. Fort bien, que cela soit ainsi, mais alors, des questions importantes se posent : Qui devra rendre des comptes au nom de la diplomatie nationale ? Qui s’expliquera devant le parlement et devant l’opinion publique ? sachant qu'en ces jours-ci les mots «responsabilité et reddition de comptes» sont jetés à tort et à travers par les fenêtres. Par les soi-disant triporteurs-PJD, les nouveaux conteurs politiques, parmi lesquels on trouve à chaque rue ou boulevard électronique les traces de ce genre de combustible, surtout par les officieux..Bouanou, Aftati, Hamieddine, et les officiels..El Khalfi, Rabbah,Ramid, Choubani et Mme Hakkaoui, la dame au secret du parti de feu Dr.El Khatib, qui n'ont pas encore trouvé l'issue pour passer aux vannes d'enrichissement.

Taïeb Fassi Fihri est désormais un fonctionnaire, un commis d'État et non plus un responsable politique, et nous avons pu voir comment il avait conduit notre diplomatie, de longues années durant, et comment il avait été à l’origine de véritables «défaites diplomatiques», loin du discorde entre femmes de diplomates - La mère de Brahim, le gâté des Fassi Fihri et la première dame PPS, la nouvelle bien sûr, qui maîtrise le style esthétique et sait bien comment arranger la cravate et la moustache d'un soûl, surtout quand il s'agit de son chevalier, l'ex-talentueux ambassadeur du Maroc en Italie,  qui à la surprise d'un "Mechtaq ou Daq" fût emporté par l'abandance de poste, la fréquentation des boites Romaines et la dégûstation du raisin blanc et rouge.. et qui.. et qui.. et qui (!). Et puis, lorsque le nouveau gouvernement a été installé, Mr.Taïeb F.F s’en était allé chez lui, dossiers et archives sous le bras, avant d’entamer un long arrêt de réflexion et lent processus d’imploration pour revenir ensuite, au sein du sérail et obtenir un bureau au cabinet royal.

Il est évident que dans tous les pays au monde, la diplomatie reste le «domaine réservé» des chefs d’Etat, mais uniquement au niveau des grands axes stratégiques, cela chez nos concerne le dossier épineux qui, depuis quatre décennies pèse sur notre intégrité territoriale ; quant à la gestion quotidienne des autres dossiers et à l’exécution, elles restent confiées aux Affaires étrangères et à leurs chefs au rythme diplomatique normal.

Mais pour être objectif, force est de reconnaître que le docteur El Othmani porte une grande part de responsabilité dans ce qui se produit aujourd’hui, lui qui, à plusieurs occasions, a montré une curieuse disposition à se laisser faire et à ne point défendre ses attributions et à clarifier les choses. La responsabilité d’un ministère aussi grand et important que les Affaires étrangères requiert du courage, de l’audace et une certaine capacité à prendre des risques. Mais que le chef de la diplomatie d’un pays accepte ainsi de tenir un rôle aussi marginal, voilà qui ne sert ni les affaires du pays ni son image extérieure, pas plus que cela ne sert les intérêts du docteur qui attend son heure pour succéder à Benkirane, lequel pensait, au moment de la formation du gouvernement, à confier à El Othmani le portefeuille des Affaires islamiques, que le docteur avait poliment décliné.

 Et à quoi sert aussi un connard à la diplomatie?..De tout ce qu'on a vécu de mal avec l'algérie, le regard du Marocain à l'algérie telle quelle,  est malheureusement noir, même pas  bleu ou grisâtre, et miroitait avec les ombres à la veille d'une ère hypocrite démolie par la volonté divine. Le pouvoir algérien nous invita à prendre place sur trois planches conditionnelles à l’état brut, qui faisaient corps avec une table de désinformation tout à fait sommaire. Le tout était posé sur un plancher bancal au palais d'ElMoradia d'Alger qui se voulait une véranda  confortable plus que royale. 

Le précheur dit Morad Medlci  par la voix de son porte paroles parlait dans le vide. On le  considère chez lui d'orateur infatiguable qui maîtrise l'art de parler, de contourner.Il se mit soudain à évoquer les trois grands "versets sataniques" de son département et pour illustrer les propos, il montrait l’Ouest avec bras tendu vers cet Empire Chérifien du Maroc, faisant croire à ses pairs et au peuple algérien d'où l'algérie craint toujours le pire.
Tandis qu’il racontait, la junte et les opportunistes  du"Club des pins et de Bab Ezzouar" d'Alger le regardaient et appréciaient beaucoup ses conneries. Mais quelques algériens de l’étranger vivant précisement au Maroc, à Oujda surtout, qui se sentent bien chez eux, parlaient avec amertume d'autre langage, de leur déracinement à eux, avec des voix monocordes, tout empreinte de tristesse.

Ce grand décideur en politique étrangère, au lieu d'expliquer aux algériens  les pourquoi: a)-Camoufler la vérité de l'état de santé de son parrain Boutef. -b)Le remaniement précipité et les nominations -surprises- au grande échelle sont-ils déclanchés en ce temps! c)-Au lieu de jouer devant la porte de sa demeure, comme dit le dialectal, et parler "franc" à son opinion publique locale, expliquant les raisons du silence de son gouvernement sur. 1.-le 21ème anniversaire de l'assassinat du feu président algérien Mohamed Boudiaf. 2.- Said boutef, le frère gâté du président, sans domicile fixe, qui guidait l'algerie vers le précipice en matière de fraudes et de corruption ! dont je reviendrai largement aprés sur ces deux sujets qui tracassent apparemment l'opinion publique algériene. Au lieu de tout ça, il a préféré de s'engloûtir dans nos affaires  et raconter n'importe quoi sur le Maroc, comme  s'il s'adresse à la 49° wilaya d'Algérie.

Il inversait les rôles des sujets fidèles du Royaume de Tlemcen qui, au moment des chambardements frontaliers des amis d'Abbane Ramdane, avaient subîtement échoués dans ce pays, échoués comme les tempêtes échouent sur les plages, les algues des fonds marins et les objets qu’on jette par-dessus bord des navires. Mais tous ces rejets, ça se ramasse, ça se conditionne, ça s’élimine. Mais l'algérie telle quelle, cinquante ans après, elle était restée telle qu’aux premiers jours, plantée sur le même sable de haine, d'ingratitude et d'égoïsme pour s'en prendre gratuitement au Maroc, le pays généreux qui, aux moments difficiles a hébergé ses salauds prétendus "Mojahidines" et ses réfugiés pendant huit ans et sans rendre compte à personne.                         

Le Maroc, même avec ses vaches maigres, vivait une quiètude et une paix royale. Personne ne venait fouiner dans ses affaires jusqu'au naissance de cette mauvaise voisine en 1962. Il vendait tout son lait à la laiterie, même si ce lait devait être comme ci et pas comme ça, Et puis au final,  il n’avait besoin d'être récompensé de quiconque, pas plus de "ces  ingrats algériens" sauf d'encaisser d'eux des tonnes d’emmerdements en plus. Alors ?  A quoi ça avait servi tout ça ?.

On a pas la mémoire courte..Si la mémoire des dirigeants algériens au nom desquels ce charlatan nous fait des sorties médiatiques spéctaculaires en politique étrangère, est trés courte, la notre,  nous les Marocains ne l'est pas. On a appris, au fil de temps, beaucoup de mal de cette algérie. J’ai découvert comme d'autres, en quoi, peut-être, résidait la force pérenne des dictatures. Pour ce pays ingrat, - un discours similaire m'avait été tenu auparavant, il y a une quarantaine d'années ou presque, en 1974  au juste, dans des circonstances pas tout à fait différentes, par un autre paysan algérien de Chaouia, dénommé Mohamed Ben Brahim Boukharouba, alias Houari Boumédiane, qui venait de très loin du palais d'ElMoradia d'Alger sur la tourelle de chars, dans une atmosphère chargée en mode, de socialisme et de  communisme, tels qu’appliqués à l’est.

 

قيادي جزائري: الحسن الثاني كان يرسل شقيقته طلبا للقاء بومدينIl déclarait ouvertement au palais Royal d'Agadir - déclaration archivée -audio-vidéo- à l'appui, que : C’est le droit au Royaume du Maroc de faire ce qu’il voulait dans son jardin au Sahara, alors sous domination Espagnole et que l'Algérie n'a besoin de ce qui pourrait être "sur ou sous-sol de cette province"! Et nous vivons à nos jours les séquelles de cette hypocrisie d'un maudit chef d'État Algérien. Donnant parole qu’il ne s’y impliquerait pas de façon trop ostentatoire contre le Maroc dans sa revendication légitime sur le Sahara et ne fasse montre de ses opinions de trahison. D'autant plus on ne peut parler aussi dans cet espace limité de ses menaces faites, à sa sortie du palais, au président Mauritanien feu Mokhtar Ould Daddah s'il refuser de collaborer dans cette affaire. La suite est connue.

Ce maudit paysan Chaoui au Jellaba de berger, lui, il s’en foutait de libertés et de démocraties. On ne lui a jamais appris à s’en servir à Jameâ Al Azhar au Caire,  où il a étudié que les méthodes de haine et de trahison. La muselière d'intellectuel politique à l'époque ne le gênait pas, voire ne l'intéressait pas. La force pour lui était ailleurs, faire plier le Maroc et mettre Hassan II à genoux?. Il se mesurait au jour le jour, saison après saison. Il se joue au printemps révolutionnaire de Gamal Abde Nasser avec les labours, hors saison, et les semailles de son homologue Moamar Kaddafi, qui l'avait vite convaincu pour se mettre à son rang contre le Maroc, avec un planning bien conçu pour être ; à l’été avec les moissons, l’automne avec le ramassage des pommes de terre et l’hiver avec la lutte obstinée contre le froid, la neige et le vent, pour bien arriver aux bords de l'atlantique et faire disparaître un géni Marocain qui s'appelle Hassan II. C’est de la politique militaro-satanique des assoifés au pouvoir et de la politique aveugle, sans se rendre compte qu'une politique sauvage pareille, ça fait des guerres et des morts.Et il a échoué dans toutes ses tentatives..

L'hostilité requiert la réciprocité..La volonté extraordinaire de couper court à toutes les ambitions nourries autour du projet maghrébin est vraiment remarquable chez le régime algérien… une sorte d’instinct qui pousse ce dernier à faire chanter le Maroc. Depuis que la troupe gouverne en Algérie, les ennuis ne cessent de pleuvoir sur notre pays. Et pourtant, nous avions refusé dans le passé les propositions de l’ancienne puissance coloniale concernant nos terres et notre territoire ; nous avions dit que cela était une affaire qui nous concernait, au premier chef, avec nos voisins, nos frères, et que nous allions bien trouver une solution au lendemain de leur indépendance, que nous les avons d’ailleurs aidés à conquérir. Et puis le colon s’en est allé, mais les gouvernants de l’Algérie ont aussitôt renié les engagements (accord du 6/7/61) de leur gouvernement en exil, qui avait d'ailleurs contribué à les libérer par les accords d'Evian, avant de s’accaparer ces terres et territoires et de les annexer.

Mais il y a pire encore… Leur appétit avait subitement gonflé, et alors ils s’étaient alliés avec le dictateur Franco pour mettre la main sur nos provinces du Sud ; et puis, de connivence avec Kaddafi, ils ont créé un groupe séparatiste qu’ils ne se sont pas contentés d’armer, de financer, d’encadrer et d’héberger sur leurs terres… Non, ils ont même envoyé leurs troupes et leurs bataillons faire le coup de feu contre nous. Las, ils n’ont rencontré que revers et défaites.Les Amgala 76 au Sahara Marocain en témoignent.

Ils nous ont combattus dans tous les cénacles internationaux. Ils ont réussi à intégrer l’Etat fantomatique qu’ils ont créé au sein de l’Organisation de l’Unité africaine, prétendant, espérant que notre isolement en Afrique allait nous étrangler, puis nous étouffer. Mais nos relations se sont, bien au contraire, affermi avec bon nombre de nations du continent. Nous avons ensuite passé des moments éprouvants aux Nations-Unies puis au Mouvement des Non-Alignés – dont nul n’entend d’ailleurs plus parler – mais l’unanimité de notre peuple, son unité, et la puissance de ses services sécuritaires et la vigilance de nos Forces Armées Royales ont pu contrecarrer tous les écueils et surmonter tous les obstacles… alors même que la réalité du régime algérien est apparue au grand jour, que la réalité de ses slogans s’est affichée aux yeux de tous. Et puis le bloc communiste qui soutenait les gouvernants algériens s’est effondré, entraînant ans sa chute l’influence d’Alger et son rayonnement international.

Cela fait déjà 40 ans que la menace algérienne contre notre intégrité territoriale dure. Nous n’avons pas cédé, pas plus que nous ne sommes épuisés malgré la guerre d'usure qu'ils nous imposent. C’est même l’inverse qui s’est produit, notre force et notre volonté de résister étant devenues plus fortes de jour en jour, de même que notre volonté à défendre nos terres. Et puis, notre image internationale s’est renforcée du fait et de la suite du lancement d’un programme de construction démocratique. Quant à l’Algérie, elle se trouvera un jour prochain contrainte et obligée d’employer la force armée pour affronter les milices qu’elle a nourries et élevées sur son propre territoire.Elle a déjà essayé et continu sans pourvoir anéantir totalement les traces de sa création.

Ce qui est aujourd’hui clair et évident est que cette hargne et cette rancœur contre le Maroc domine les cœurs et les esprits, habite même l’être de ceux qui tirent les ficelles en coulisses à Alger. Devrions-nous leur rendre la pareille ? Il serait parfaitement de notre droit de riposter à leur hostilité en faisant montre de la plus grande vigueur, mais nous n’opposerons pas l’animosité, la nôtre, à une autre animosité, la leur. Leur hostilité requiert pourtant de riposter encore plus virilement, mais l’avenir n’est nullement entre les mains de ceux qui dirigent aujourd’hui le peuple algérien. Eux, ils passeront, mais les Algériens resteront, et ils seront nos voisins pour l’éternité, histoire et géographie obligent. Et c’est cela qui importe, qui nous importe, de même que notre ambition est et restera grande de voir une algérie crédible à nos frontières. 

J’en étais sûr qu'il ne seront pas bénis et n'échapperont pas du châtiment du bon Dieu, il me plaisait d’en être sûr, et je les regardais subir une mort de chiens,le premier par poison hebreux et le second dans un égout d'assainissement liquide..! et je me disais que l’histoire, les luttes, les trahisons, les échecs, les vérités, les morts, les prisonniers, les réussites, les idéaux, les tactiques, les alliances, les buts, les systèmes, tout ça, c’était les hasards du réel, les leurres d’un prisme déformant et que ce genre d'hommes n’entendaient rien, absolument rien à la mise en scène de leur propre destin. Ils étaient des ombres du démont, pour lesquels j’en éprouvais pas de tristesse ni regret.

Mort tragique d'un historique.. Un sujet tabou que Morad Medlci ou n'importe quel autre responsable algérien  du club des Pins, n'oserait parler. De quelle conscience dans les consciences des algériens parle-t-on? Chaque citoyen-téléspectateur s’en rappelle des inconvénients du direct. Mohamed Boudiaf a été assassiné un 29 juin à Annaba, dans une salle de culture d’Etat, filmé en direct par la télévision algérienne, l’ENTV, tué entre deux séquences de publicité. 21 ans plus tard, tout le monde a vu le film et il est d’ailleurs disponible sur internet, mais il manque encore à Morad Medelci et ses commanditaires de la caserne Daly Brahim d'Alger un plan, celui où le tireur tire, le lieutenant M'Barek Boumaârafi, un garde du coprs de la sécurité rapprochée de  feu Mohamed Boudiaf, un plan que personne, à part les initiés, n’a pu voir. Mais où est ce plan ? A l’ENTV ? Peu probable!  Il serait fort possible aux coffres-forts des services secrets algériens DRS, mais les clefs sont sûrement glissées soit dans circueil de Smaine Lamari² ou dans celui de Mohamed Lamari².                            

Pour illustrer l'idée, un caricaturiste algérien lachant sa plume s'éxprimer. Il déssine un tableau sur lequel est écrit : Le président de la République Algérienne démocratique et Populaire est "ABSENT DEPUIS  DEUX MOIS". En bas le visiteur accroupi devant la tombe de BOUDIAF, change le sens de la phrase en disant dans un cercle :.."non DEPUIS 21 ans,,.

Ces plans manquants de la raison d’Etat ne seraient pas un problème s’ils n’étaient pas aussi nombreux. Par exemple. Il manque aussi la séquence où Bouteflika fait tomber son café par hémiplégie devant Sellal et le général Gaïd à Vale-de-Grace à Paris. Mis bout à bout, autres séquences en cache feraient un grand film qui pourrait régler un gros problème de confiance entre le pouvoir algérien et ses sujets, san soublier qu’il ne s’agit pas de mots mais de plans de séquences meurtières. Entre l’Etat algérien et le citoyen, il y a un problème, l'algérien s’en rappelle que Sellal avait déjà reproché aux Algériens leur manque de confiance en leurs dirigeants, estimant qu'ils souffrent «d’une grave crise de confiance».

                                                                                      Cordialement,Chihab25

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*.Les deux mules signifie là où à l'époque Française, les porteurs de courrier des deux cotés - Algérie et Maroc- se rencontrent et échangent les charges. 1.Allusion faite aux propos de Hamid Chabat sur la restitution des terres Marocaines situées au Sahara Marocain Oriental spolié par l'Algérie. 2.Respectivement, l'ex- patron du DRS et le Chef d'Etat major de l'armée, tous morts et enterrés avec leurs secrets.

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