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Algérie : Une lecture à part, fait sortir Boudiaf de sa tombe..!

                 

                    !..قالوا للفران..منين دخلات ليك النار؟ قالهم..من فمي

   Maroc Précision..On me rapporte que mes notes sur l'Algérie, n’ont pas été forcément appréciées, surtout en Algérie. En ce mois de juin  2014 un commentateur algérien enragé me suggérait, par ironie, de me présenter aux élections dans mon pays avec le slogan «Royaume Chérifien du Maroc», dans le cas contraire, et si la serrure de sa petite cervelle claquera, il ne tardera point de fermer mon blog et avait me disait-il les moyens de contacter l’hébergeur à cet effet. Il m’écrivait en outre, que je n’étais pas digne d’être un bon blogueur, voire un bon administrateur d'un blog crédible.  Je lui avais suggérer de mon coté de faire ce qu'il entend, sachant qu'il n'y peut rien.

Alors, j’ai fermé les commentaires pour un certain moment. Il m’en fait toujours reproche, il était toujours là. Il signait de pseudos divers et variés. Aujourd’hui il a disparu, car j'ai banni son IP. Il est persuadé que je serai qu'un agent qui défend aveuglement le Makhzen dans son palais(!). En fait lui et son commanditaire Drsiste du moment prêchent le faux pour savoir le vrai.

Et pourtant, je n’ai pas dévié d’un iota de ma ligne de rédaction. Je suis un des rares admins Marocains à exprimer mon opinion au quotidien sur cette voisine que le bon Dieu nous a collé géographiquement au dos. Je fais mes propres analyses sur la haine, la rage et l'hostilité que les algériens gardent envers mon pays le Maroc. Des chroniques à moi qui valent ce qu’elles valent mais qui valent mieux que pas de ripostes du tout. Il termine me faisant signe que le Maroc est une destination de plaisir, désignant nommément la ville de Marrakech et d'autres villes du Maroc, comme étant fiefs  renommés du tourisme sexuel.

Il est évident que cette provocation impose une réponse similaire, une obligation de riposter avec preuves, à lui et par son intermédiaire aux sales gueules algériennes qui se réjouissent de taper là-dessus. A cette occasion pègre, je demanderai à mes lecteurs, de m'excuser occasionnellement pour avoir baissé le ton de la rédaction à ce point déshonorable.

Par | février 13, 2014 10:35
général toufik vs gaid salah
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Les informations sur les rapports de force entre les différents cercles de décisions qui composent le régime algérien continuent d’inonder les médias algériens. Il ne se passe pas un jour sans l’annonce d’une nouvelle attaque ou révélation scandaleuse sur tel ou tel clan. 

Ainsi, jeudi, c’est le quotidien El Watan, réputé pour être proche des cercles militaires, qui nous apprend que les proches du général Toufik sont réellement en colère contre les récentes restructurations imposées au DRS, les services secrets algériens. Des restructurations qui s’expliquent selon les sources qui ont parlé à El Watan par les enquêtes sur la corruption menées par les officiers proches du général Toufik. Des enquêtes à propos des scandales de corruption qui ont éclaboussé les proches d’Abdelaziz Bouteflika. La mise à la retraite de plusieurs officiers à la tête de certaines divisions et services du DRS répond-t-elle donc à cette logique de revanche adoptée par le clan présidentielle ? “Oui”, signent et persistent ces sources qui semblent être très proches du général Toufik puisqu’elles le défendent clairement et le présentent comme la victime des manoeuvres politiciennes du clan d’Abdelaziz Bouteflika.

Un clan qui se serait acharné pour dégommer les officiers et hauts gradés du DRS qui sont fidèles au général Toufik. Preuve en est, le sort du général Hassan, l’ex-responsable de la brigade de lutte contre le terrorisme au sein du DRS. Ce dernier a été bel et bien traduit devant un tribunal militaire parce qu’il n’a pas voulu respecter sa brutale mise à la retraite, confirment ces sources sécuritaires. En plus, il a été victime de plusieurs représailles. A titre d’exemple, “l’administration du centre de repos familial militaire de Sidi Fredj, où réside le général, avait coupé l’électricité et le gaz pour le pousser à déménager. Il a fallu l’intervention du général Toufik pour que l’officier soit maintenu dans sa résidence”, nous apprennent encore ces sources.

Ces mêmes sources, apparemment bien renseignées, confirment également que le courant ne passe plus entre le Général Toufik et le Chef de l’Etat-Major de l’armée algérienne, Ahmed Gaïd Salah. Le 14 janvier dernier, lors d’une réunion tenue au siège du ministère de la Défense, le général Toufik “est rentré chez lui. Il n’a pas pris part au déjeuner offert par Gaïd Salah aux membres du Conseil. Ce qui a été considéré comme un affront”, a-t-on encore révélé. La situation va donc de mal en pis au sommet du pouvoir Algérien. Et la probable candidature d’Abdelaziz Bouteflika pour un quatrième mandat ne fera certainement pas arranger les choses.

- See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2014/02/le-general-hassan-un-haut-grade-du-drs-avait-ete-prive-delectricite-et-de-gaz-pour-le-pousser-a-demenager/#sthash.JM4hhq8t.dpuf
Par | février 12, 2014 5:07
Ahmed Gaid Salah ministre Défense
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Le déballage continue. Après les attaques de Amar Saïdani contre le DRS et les salves qui ont ciblé ce dernier, c’est au tour d’un ancien général à la retraite, Hocine Benhadid, de s’en prendre au Général-Major Gaïd-Salah et aux membres du clan présidentiel, à commencer par le frère du chef de l’Etat, Saïd Bouteflika, jugé comme étant “un homme corrompu”.

Cette sortie médiatique de l’ancien commandant de la 8ème division blindée qui dépend de l’armée de terre, rapporte un élément nouveau au débat ambiant sur les relations entre plusieurs clans du sérail. On apprend ainsi que le conflit en cours n’est point entre le DRS et l’Etat-Major de l’armée, mais plutôt entre Ahmed Gaïd-Salah, chef d’Etat-Major et vice-ministre de la Défense nationale et le reste des pans de l’armée. « Ne l’appelez plus «chef d’état-major» ! Depuis quand a-t-on vu un chef d’état-major nommé vice-ministre ?! Le chef d’état-major n’a aucune crédibilité et personne dans l’armée ne le porte dans son cœur. Ils ont juste peur de lui à cause de ses prérogatives. C’est tout », a insisté Benhadid dans l’entretien accordé aux journaux El Watan et El Khabar.

Pis encore, cet ancien officier supérieur, mis à la retraite en 1996 à l’âge de 52 ans, estime que « Toufik n’a aucun motif de discorde avec Gaïd-Salah, mais c’est ce dernier qui provoque le chef du DRS. Gaïd-Salah ne peut absolument rien contre Toufik. Il n’en a ni les capacités ni l’envergure. Toufik est très malin ! »

Une preuve supplémentaire que les luttes au sommet du pouvoir ont atteint des proportions alarmantes. Car, de tels propos ne font qu’ajouter une couche de brouillard à une ambiance qui ne donne pas forcément de l’assurance, malgré les affirmations selon lesquelles « l’unité de l’armée » n’est pas encore menacée. Avant cette sortie du Général Benhadid, qui précise qu’il ne parle pas en son nom personnel, d’autres déclarations plus au moins recoupées convergent vers de graves dissensions dans le corps de l’armée. Espérons enfin que le virus de la zizanie ne finira pas par pourrir tout le corps de l’armée !

Essaïd Wakli

- See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2014/02/rien-ne-va-plus-entre-gaid-salah-et-le-general-toufik-de-graves-dissensions-au-sein-de-larmee-algerienne/#sthash.MTbjEA1n.dpuf

Pègre à ciel ouvert.. J'ai appris tout récemment, que 43 jeunes filles algériennes, issues des familles, dites familles "chevalerie, de niff " (nez) sont arrêtées et placées sous mandat de dépôt. Les services de la police judiciaire de la cité d’Ain Turck à Oran dans l'ouest de l’Algérie ont réussi à investir le plus grand fief de la prostitution à la région touristique Nord-ouest algérien, suite à une perquisition surprise entamée dans un hôtel renommé, le reste parait-il, de la chaine des maison closes, les "mille" de la période Algérie-Française, selon des sources concordantes locales.

L’enquête préliminaire a révélé que le propriétaire de cet hôtel s’abstenait volontairement à signaler tous les clients qui affluaient vers cet établissement touristique dans le but de laisser pratiquer la prostitution et la dépravation, d’où cette perquisition a abouti à l’arrestation de ces filles, quelques unes étaient à l'âge mineur (15-17 ans), prises en flagrant délit de prostitution, et d’un agent de réception qui était de mèche. Toutes les personnes arrêtées attendent, à ce jour, leur comparution devant la justice pour jugement, si elle en existe vraiment une justice en Algérie..

S'interroger sur l'existence ou pas, de cette justice, est une vérité, car je constate comme d'autres, que l’assassin du président Algérien feu Mohamed Boudiaf  -le lieutenant DRS-M'Barek Boumaârafi- est le chevalier de l'injustice algérienne, toujours libre dans ses mouvements, sain et sauf, voire il est même récompensé pour faire partie des grands commis de l’État maffieux algérien, comme chef de cabinet du ministre Algérien Amar Ghoul, un des thuriféraires du pouvoir.

Il s'est avéré que la justice algérienne est une justice pourrie, corrompue et corruptrice, elle n'est pas libre pour être digne du nom. Dans plusieurs cas, elle ne tient à montrer son efficacité que contre les simples Marocains qui résident la zone frontalière. Cette zone qui fût, de temps à autre, le théâtre des actes de violation par les éléments "hitistes" de l'armée algérienne de frontières..actes par lesquels des simples éleveurs, et bergers Marocains sont enlevés de chez eux par les gardes frontière et les douaniers Algériens en signe de vigilance. Le cas du nommé Touhami El Airej en témoigne, un ressortissant Marocain de la tribu de Doui Menia enlevé, le 24/4/2005 avec son troupeau de 1650 ovins et caprins de  Maâder ElKabch dans la province de Figuig. Ce lieu pour préciser, est à l'intérieur du territoire national, il dépend administrativement de la compétence de l'administration territoriale -ex-Caidat- de Ben Guil à Bouarfa L'intéressé est jugé et condamné sauvagement par le tribunal de Colomb-Béchar à 3 ans de prison ferme, pour avoir dit-on, dépassé illégalement la frontière Algérienne(!).

L'arrestation d'Ain Turck, rappelons-le à ce sale commentateur, est intervenue dans,ce que les autorités algériennes locales appellent "une vaste opération de nettoyage de la corniche Oranaise du fléau de la criminalité et la prostitution où les services de sécurité ont mis sous surveillance tous les lieux et hôtels suspectés, alors que cette opération est intervenue après que la transformation de cet hôtel, et bien d'autres certainement, en un lieu de plaisir et de prostitution.Que diront les algériens au "Niff" de cette situation en "live". Et ce n'est pas, seuls Marrakech et les autres villes Marocaines qu'ils accusent d'être le théâtre de ce vieux métier..! et j'en passe.

Par | février 12, 2014 5:07
Ahmed Gaid Salah ministre Défense
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Le déballage continue. Après les attaques de Amar Saïdani contre le DRS et les salves qui ont ciblé ce dernier, c’est au tour d’un ancien général à la retraite, Hocine Benhadid, de s’en prendre au Général-Major Gaïd-Salah et aux membres du clan présidentiel, à commencer par le frère du chef de l’Etat, Saïd Bouteflika, jugé comme étant “un homme corrompu”.

Cette sortie médiatique de l’ancien commandant de la 8ème division blindée qui dépend de l’armée de terre, rapporte un élément nouveau au débat ambiant sur les relations entre plusieurs clans du sérail. On apprend ainsi que le conflit en cours n’est point entre le DRS et l’Etat-Major de l’armée, mais plutôt entre Ahmed Gaïd-Salah, chef d’Etat-Major et vice-ministre de la Défense nationale et le reste des pans de l’armée. « Ne l’appelez plus «chef d’état-major» ! Depuis quand a-t-on vu un chef d’état-major nommé vice-ministre ?! Le chef d’état-major n’a aucune crédibilité et personne dans l’armée ne le porte dans son cœur. Ils ont juste peur de lui à cause de ses prérogatives. C’est tout », a insisté Benhadid dans l’entretien accordé aux journaux El Watan et El Khabar.

Pis encore, cet ancien officier supérieur, mis à la retraite en 1996 à l’âge de 52 ans, estime que « Toufik n’a aucun motif de discorde avec Gaïd-Salah, mais c’est ce dernier qui provoque le chef du DRS. Gaïd-Salah ne peut absolument rien contre Toufik. Il n’en a ni les capacités ni l’envergure. Toufik est très malin ! »

Une preuve supplémentaire que les luttes au sommet du pouvoir ont atteint des proportions alarmantes. Car, de tels propos ne font qu’ajouter une couche de brouillard à une ambiance qui ne donne pas forcément de l’assurance, malgré les affirmations selon lesquelles « l’unité de l’armée » n’est pas encore menacée. Avant cette sortie du Général Benhadid, qui précise qu’il ne parle pas en son nom personnel, d’autres déclarations plus au moins recoupées convergent vers de graves dissensions dans le corps de l’armée. Espérons enfin que le virus de la zizanie ne finira pas par pourrir tout le corps de l’armée !

Essaïd Wakli

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Particularité de richesses..Il y a trois richesses en Algérie : le pétrole, la stupidité-idiotie et le désespoir. A défaut de pouvoir partager le pétrole qui s'évapore des échappement des gouvernants, les simples algériens qui constituent un peuple opprimé, partagent l’humour et le désespoir..

J’ai hésité avant de prendre ma plume, ou plutôt de taper sur mon clavier, pour écrire cette note, mais vu l’ampleur de la méchanceté gratuite, de la violence du propos et de l’insignifiance de la métaphore dont le pouvoir algérien, voire l'entourage thuriféraire du mort-vivant au fauteuil roulant font  usage, après la mascarade du 17 avril écoulé et lors de la dernière apparition publique (au passage, je signale à titre indicatif à mes lecteurs que mon acharnement contre cette l'Algérie,est une règle canonique dans toutes mes notes, mes analyses formelles ou informelles fussent-elles d’autant qu’il confère à mes mots une certaine liberté de ton et à mon style offensif et défensif, une imparable modestie épistolaire, mais je m’en prive à l’heure présente ici eu égard à la qualité de marque de mes destinataires qui ne sont que les vieilles hyènes qui restent encore de la génération Gaulliste qui coupe le souffle à un peuple en gouffre désorganisé.

je me suis arrogé le droit de tirer un coup franc légitime au nom des miens, mes blogueurs Marocains qui, malheureusement se gardent de loin en simples  internautes-spectateurs, afin que je rende ma revanche contre la bêtise, le mensonge, la désinformation, la déformation des faits et le déni, érigés en Algérie en un éternel sacerdoce dans les gestes, les discours, les manières, les comportements, les attitudes et les prises de positions dans toutes les instances internationales où s'y trouve mon pays le Royaume Chérifien du Maroc. Ainsi espère-je trembler les filets de la conscience algérienne et l'interpeller sur le grave impair langagier que Ramtane Lamamra, son porte parole Abdelaziz Benali Cherif et leurs représentations diplomatiques ne cessent de commettre à notre égard.

Il y a des moments dans la vie en Algérie où, faute d’être aux manettes du pouvoir, des cons, comme le commentateurs en question et ses assimilés (les dix en un) s’efforcent d’êtres cruciverbistes, polémistes, jongleurs de mots et marchands de petites phrases dans l’arène de leurs contresens, secrétés par des élites en panne d’idéal, de crédibilité et surtout d’inspiration. C’est au demeurant plus qu’une obsession victimaire, je dirais même, un instinct de survie que de pondre un billet pareil dans cette Algérie rongée par le défaitisme, l’auto-dénigrement et la résignation des siens!

A vrai dire, s’il est une première vertu à cet article, c’est qu’il fut écrit en plein air, près des colombes et du bruit du monde et non pas au milieu du luxe insolent d’un hôtel comme celui d'Ain Turck d'Oran! Certes, il manque de solennité mais n’en demeure pas moins frais d’humilité, de pondération et de retenue. C’est ma manière de sublimer aussi bien la spontanéité du propos que la générosité de la nature, en évitant le traquenard de la malveillance et de l’étroitesse d’esprit, susceptibles de me forcer à verser dans l’invective, la calomnie, la délectation du mal et les surenchères verbales des responsables algériens à leur tête , le bouc de la primatie Algérienne qui conduit l’Algérie à l'arbre sec, l'inventeur du terme "Fakakir"!

Terrible, affligeant et même pathologique à ce stade-là de responsabilité de se livrer aux réquisitoires infamant anti-Marocains! A part le ciel de l'UA où tout est permis devant la pression du pétrodinars algérien, sous d'autres cieux où la loi se respecte et les institutions sont amenées à se conformer aux armoiries étatiques placées à leurs frontons, le confort ainsi que la dignité du citoyen-client  passent inéluctablement prioritaires devant le poste d’un responsable aussi puissant fût-il!

De plus, un procureur d’État se saisira vite et d’office de l’affaire, et le pouvoir algérien par l’intermédiaire de ses valets de chambre, en tant que responsable coupable de diffamation publique serait esté le plus normalement du monde en justice! Or, en Algérie, pays des incohérences, rien n’en fut! Comble d’ironie, ce genre d’épithètes est souvent passé sous silence, parfois toléré et rarement critiqué! Par ailleurs, j’ai beau chercher dans les déclinaisons des phrase un minimum de bon sens ou de lucidité, il ne s’en est dégagé hélas qu’une odeur de fabulation, une envie si déréglée, vorace et même orpheline de médire, des relents du nombrilisme et d’égocentrisme, une singulière aversion envers les autres, une démagogie d’égouts, de l’ostracisme et même des grandes pincées de jalousie!

L’histoire nous enseigne qu’un pays qui ne s’enorgueillit pas de sa diversité et de ses racines, avance inéluctablement vers sa propre destruction! Les fils et famille Boudiaf que le pouvoir algérien rejette inopinément hors frontières, ont manifesté depuis toujours leur choix de s’installer à l’étranger où la plupart des gouvernants, et peut-être vous-même Mr. le responsable algérien avez des appartements, des villas et des biens, ne déclarent jamais forfait et sont prêts à tout moment d’exposer sans appréhension aucune, les dessous de l'assassinat de leur père abattu, avec un sang froid par les siens lors d'une conférence en juin 1992 à Annaba à l'est d'Alger.

Boudiaf sort de sa tombe..Dans une interview exclusive accordée à un journal électronique algérien, nous avons pu suivre ici au Maroc, et plus particulièrement à Kénitra Mr. Nacer Boudiaf, le fils du feu Mohamed Boudiaf, dans laquelle il exprimait son amour à son Algérie blessée et son attachement plus au parfum et au sang de son regretté père, quitte à offenser tous ceux qui se livrent avec sadisme à la flagellation de la malheureuse famille Boudiaf.

Je produis de cette interview un seul passage, une  phrase qui m'a beaucoup retenu :
«Je m’appelle Nacer Boudiaf,je suis marié, père de trois enfants qui n’ont jamais eu le bonheur de connaître leur grand-père, Mohamed Boudiaf. Quant à vos lecteurs, les moins jeunes m’ont découvert, le 1er juillet 1992, le jour de l’enterrement de mon père ; le même jour je suis passé à la télévision algérienne et j’avais dit : Ceux qui l’ont ramené, l’ont assassiné ».

Ce jeune Boudiaf a montré sa volonté d'aller plus loin avec le pouvoir algérien, il a écrit un livre dans lequel il fait passer un message clair à propos de l’avenir de l’Algérie. Un avenir, selon ce livre, est pour le moins inquiétant, en effet tant au niveau intérieur. Dans son livre il cherche toujours des réponses à propos des commanditaires de l’assassinat de son père. Il a même fait une pétition qui va justement en ce sens. En mettant la lumière sur cette affaire, ce n’est pas seulement la question de l’assassinat de son père qu'il va résoudre, mais les gens sauront également qui ont réellement dirigé l’Algérie durant ces années sombres. C’est un grand coup de pied dans la fourmilière qu'il a donné.

Quant à moi, je continue à plucher la carotte algérienne pour vexer davantage nos voisins qui nous envient pour notre grandeur. Je ne regrette rien pour l'Algérie, mais ce qui me pique au fond de mon cœur et aux cœurs de tous mes concitoyens Marocains, la disparition brutale d'une telle personnalité historique algérienne. Mohamed Boudiaf qui était l’hôte du Maroc pendant plus de trente ans.

Appelé au pouvoir par des «décideurs», une Troïka Gaulliste composée de trois généraux: -Larbi Belkheir, Khaled Nezzar et Mohamed Lamari-, incapables de maîtriser le processus politique qu’ils ont déclenché, Mohamed Boudiaf a contribué à éloigner la grande masse des jeunes du chemin sans issue de la lutte armée. Il y a réussi parce que sa volonté de rupture contre l’injustice sociale était crédible. Il avait engagé les premiers pas dans cette direction.

 Son action  au cours des six mois de sa présidence a sans doute permis d’éviter la guerre civile frontale sur une grande échelle. Mais elle a permis au système de gagner du temps et  de mettre au point une stratégie de guerre civile contrôlée.

Pendant ces six mois, Mohamed Boudiaf avait élaboré et commencé à mettre en route un processus qui menaçait frontalement les réseaux d’intérêt qu’il appelait maffia politico-financière. Il avait sans doute sous-estimé le niveau de pénétration de ces réseaux dans les sillages de l’État algérien. Ces réseaux se sont constitués pour pomper les devises pétrolières rendues accessibles par l’infitah engagé en 1981, après les accords Chadli-Mitterrand. Ces réseaux sont désignés généralement par le terme Hizb frança. Ce terme ne recouvre pas une obédience linguistique mais les flux financiers illicites : l'Algérien-spectateur sait par exemple que de nombreux responsables «thuriféraires» du FLN faisaient parti de ce hizb très matérialiste.

 Il ne fait aucun doute que l’opération anti-corruption qu’il se préparait à engager sur une large échelle lui a coûté la vie. La campagne de détournement médiatique menée autour du personnage d'un certain Haj Bettou, un vulgaire contrebandier du Sud algérien, a servi à occulter les véritables cibles de Boudiaf.

Après l'assassinat du président Mohamed Boudiaf que Dieu ait son âme, une opération systématique de "nettoyage" a visé tous ceux qui, dans le premier cercle de ses conseillers, pouvaient témoigner des circonstances politiques et des commanditaires de sa liquidation. Mr. Jillali Liabès , son plus proche conseiller,  sera abattu huit mois après. Et d’autres encore…

Au sein de la commission d’enquête sur l’assassinat, certains exigeaient d’aller jusqu’au bout des investigations. L’un d’entre eux, l’avocat marxiste Youcef Fath Allah fut assassiné le 18 juin 1994, à l’entrée de son bureau à Alger, à la porte de son bureau où l'attendait un tueur avec un pistolet muni de silencieux.Dans son rapport de 1996, Amnesty International écrit que l’avocat avait exprimé des réserves sur le rapport final et avait refusé de l'endosser.

منذ أيام علمت أن عائلة الرئيس الجزائري المغتال المرحوم محمد بوضياف مُنعَت في مقبرة العالية بالجزائر العاصمة من الترحم على الراحل في ذكرى اغتياله.. والسبب أنها لم تقدّم طلبا مسبقا للقيام بهذا الترحم، لأن السلطات الجزائرية قامت بتسييج قبورالشخصيات الرسمية في الجناح الرسمي للمقبرة بصورة جعلت منه أكثر تحصينا من سجني سركاجي والحراش بالجزائر العاصمة

             كان الجزائري في عهد الاستعمار لا يحتاج إلى رخصة كي يصلّي، فأصبح الجزائريون في عهداستقلالهم يحتاجون إلى رخصة كي يترحموا على امواتهم، حتى ولو كانوا من الزعماء

                في هدا الإطار، منعت هده العائلة من الترحم على عزيز لها ، كما منع هو من قبل، من المداكرة مع الحسن الثاني رحمة الله عليه في حالة العودة الى المغرب لزيارة عائلته في مدينة الفنيطرة..لكنه تحدى هدا المنع ، فقام بزيارة ودية للحسن الثاني في الرباط ، رغما عن تحديرات "كبرنات فرانسا"، بصفته رئيس الجزائر المؤقت ورئيس المجلس ألآعلى للدولة ، ألآمر الدي عجل باغتياله من طرف الطغمة العسكرية الحاكمة من وراء الستار، حفاضا على مصالحها وعلى مصالخها أيضا.

ومن جهة أخرى، أعرب الزعيم السياسي القبائلي المعارض، حسين آيت أحمد، عن أمله في أن يوارى التراب بعد وفاته بالمغرب بدل الجزائر، لأسباب تاريخية وعائلية تربطه بالعائلة الملكية، وهي شهادة نقلت على لسان دبلوماسي جزائري سابق بسويسرا التقاه بمنفاه ألإختياري، الذي يقيم به منذ عدة سنوات.

التصريح الذي صدر عن آيت أحمد ليس مفاجئا، وهو الذي يعتبر المغرب بلده المفضل في منطقة المغرب العربي بعد الجزائر، وتردد عليه أكثر من مناسبة، وتجمعه علاقات طيبة وممتازة بالقادة المغاربة سواء في المعارضة أو الحكم، تعود إلى ما قبل الاستقلال خلال الأيام الأولى للحركة الوطنية وحرب التحريرالجزائرية سنة 1954، ثم تطورت بعد الاستقلال مع العائلة الملكية إلى درجة المصاهرة. واستنادا إلى تصريحات الدبلوماسي الجزائري السالف الدكر، الذي لم يذكره موقع ”أزواون”القبائلي الذي أورد الخبر، «تربط الدا الحسين علاقات عائلية مع العائلة المالكة في المغرب»، حيث تزوج ابن الدا الحسين، البنت الكبرى (!) لجلالة المغفورله الراحل الحسن الثاني، وهي تحمل جنسيتها المغربية.

وحسب نفس المصدر فإن رغبة آيت أحمد في أن يدفن بالمغرب بعد وفاته، ليست جديدة، وقد سبق له أن عبر عنها في مرات سابقة. واستنادا للمصدر ذاته، فإن آيت أحمد باعتباره شخصية تاريخية كان قد أدلى بتصريح لقناة ميدي1، حول موضوع تحويل الطائرة التي كانت تقل القادة التاريخيين الجزائريين سنة 1957 من المغرب الى تونس من قبل مصالح المخابرات الفرنسية، وأوضح أن «الملك المغربي بذل وقتها، كل ما في وسعه من أجل تحريرالقادة الجزائريين، حيث عرض ابنه مولاي الحسن، ولي العهد انداك، على فرنسا مقابل الإفراج عنهم»، وهو التصريح الذي يكذب صراحة الاتهامات التي وجهت للملك محمد الخامس الذي اتهم بالخيانة والضلوع في عملية تحويل الطائرة       

 ثلاثة من الزعماء الخمسة المختطفين بقوا اوفياء للعهد.. المرحوم محمد خيضر الدي اغتيل في اسبانيا في يناير من العام 1965 على يد المخابرات الجزائرية في أول عملية لها خارج الجزائر لآنه رفض أن يحكم الجزائر المستقلة أجودان من الجيش الفرنسي ورفض ارتجالية السياسة التي تنصب العداء للمملكة المغربية التي احتضنت الثورة الجزائرية في أحلك الفترات، ودلك بشهادة المرحوم عبد الحميد مهري امين عام حزب جبهة التحرير وسفير الجزائر بالمغرب سابقا، الدي يعد أكثر الجزائريين مصداقية، لكونه كان وزيرا في الحكومة المؤقتة للجمهورية الجزائرية، شاهدا على التزام الجزائريين للمغرب في كل القضايا التي خلفها خروج ألإستعمار الفرنسي من البلدين ومنها على الخصوص اتفاق 6/7/1961 المتعلق بمشكل الحدود . واغتيل الثاني وهوالمرحوم محمد بوضياف دائما على يد المخابرات الجزائرية في يونيو 1992 حين تبين أنه عازم على ألإصلاح ومحاربة الفساد في الجزائر، أما الثالث وهو السيد الحسين أيت أحمد تمنى كما سبق الدكر أن يدفن في المغرب رافضا  مقبرة العاليا في أرض الجزائر التي لفظته لنصف قرن من الزمن

                                                                         -:-                          

Les champs Élysée en fête..Je termine ma note par un autre volet d'actualité qui, parait-il, préoccupe l'opinion publique algérienne ces jours-ci. Le pouvoir algérien joue ce qu'on appelle en dialectal Marocain "Ghommedha" avec son peuple pour le faire occuper et détourner son attention du blocage politique et des querelles qui sévissent actuellement en Algérie après la mascarade du 17 avril écoulé.

Après le Foot et le mondial du Brésil, voila les valets de chambre du palais d'ElMoradia en sortent une autre carte, perdante bien sûr,  concernant la participation ou pas de l'Algérie au défilé du 14 juillet en France, tout en imitant l'initiative Royale du feu Sa Majesté le Roi Hassan II qui avait participé à la tête d'un bon contingent de la Garde Royale, ce jour-là en 1999, juste deux semaines avant sa mort, au grand boulevard Parisien "Les champs Élysée" aux cotés de l'ex-président Français Mr.Jacques Chirac.                 

Au sujet de ce 14 juillet en France..Les algériens sont très critiques et divisés sur la participation de leur pays au défilé du 14 juillet en France… D’abord, un problème se pose chez le simple algérien, concernant la gestion de la communication autour de l’annonce de la participation de l’Algérie à cet évènement. Est-il concevable que des responsables politiques français soient au courant, voire décident de ce qui se passe au sein des institutions de l’Etat algérien avant même que ne le soient l’opinion publique algérienne et les responsables politiques algériens. Mr.Fabius, ministre Français des Affaires étrangères avait déclaré, il y a peu de temps, que l’Algérie allait participer au défilé. Chose qui a été immédiatement démentie par le porte parole  de Ramtane Lamamra. Interrogé, un autre ministre algérien avait également émis des doutes quant à la participation de l’Algérie.

Cette affaire donne l’impression qu’il n’y a pas de possibilité de contrôle sur les décisions prises par les gouvernants en Algérie. Ils font ce qu’ils veulent, des déclarations en l'objet sont en pêle-mêle, déversées à tort et à travers partout en Algérie. Alors que cette participation par exemple est une question qui concerne tous les Algériens car elle est sensible et nécessite une concertation et un débat. Ensuite, le ministre des Affaires étrangères algérien, revient sur ses pas et a estimé, pour jauger l'opinion algérienne, que le peuple algérien «honore ses propres contributions à la liberté à travers le monde».

Autant ce défilé constitue un événement enthousiasmant pour les Français, autant il réveille de mauvais souvenirs chez les Algériens. A travers la participation des autres nations à ce défilé, les Français veulent donner une dimension internationale à l’événement pour souligner la participation de toutes ces nations à la libération de leur pays. Sauf que les Algériens avaient pris part à la première et à la deuxième guerre mondiale alors que leur pays était colonisé. Ils n’ont pas participé en tant que nation souveraine, comme se fait le cas de nos autres Marocains. Et s'ils l'ont fait, ils ne l’ont pas fait de leur propre gré. Ils ont été forcés à le faire. Il ne faut pas l’oublier. M. Lamamra ne dit pas la vérité. Comment peut-on honorer la participation des Algériens alors qu’ils ont été forcés à faire la guerre, qu’ils ont été massacrés dans les tranchées, qu’ils étaient la chair à canon à offrir aux Allemands, aux nazis. Et cela pour les la liberté de la France et pas de l’Algérie. A l’issue de la guerre, les Algériens ont été punis en tant que simple "ghachi (gâchis en terme Français). Il y a eu le massacre de mai 1945 ! 

Un journaliste algérien se pose la question et se demande si cette participation peut porter atteinte aux principes fondateurs de la politique étrangère algérienne? Je lui répondrai en tant qu'un simple observateur Marocain : De quelle politique étrangère faisait-il allusion? Si la politique étrangère algérienne devait crédiblement et initialement se reposer sur le patrimoine de la guerre algérienne de libération, on la voit déviée de cette tangente pour se transformer en politique de mensonges, de désinformations et de déformation des fait, surtout en ce qui concerne le Royaume Chérifien du Maroc et son intégrité territoriale. Entre les Algériens et les Français, il y a des contentieux, ou plutôt les algériens leur créent du contentieux. Et les Français refusent la repentance, par contre les algériens qui ont toujours tendance d'imiter alors, demandent aux Français ce qu'ils demandent eux aux Turcs -un acte de repentance par rapport à ce qui s’est passé avec les Arméniens-.

Plus fort que ça, les algériens revendiquent la repentance et l’indemnisation. sous prétexte qu'en 1830, quand la France a colonisé l’Algérie, 90% des Algériens savaient lire et écrire. En 1962, 90% d’entre eux ne savaient ni lire, ni écrire, presque tous le foyers algériens étaient des illettrés avec une aliénation culturelle totale après le départ des Français. On constate aujourd’hui que l’Algérie a changé de politique étrangère vis-à-vis de la France. Et cela est dû à la volonté de Bouteflika et de ceux qui l’entourent pour rester au pouvoir. Ils ont besoin du soutien de la France. Ils font donc des concessions pour se maintenir au pouvoir et préserver leurs intérêts. Les aboies des chiens thuriféraires du palais d'ElMoradia d'Alger en témoignent, si on croit les sorties et les entrées médiatiques en l'objet de Sellal, Lamamra, Ouyahya, Belkhamej et le Drabki de l'FLN. Bonne lecture.

                                                              Cordialement,Chihab25

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