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Algérie: navigation à vue, sans boussole, ni équipage compétant.!

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                          MM.Nicolas Sarkozy et  Beiji Caid Sebssi

Nos amis les Présidents.. les problèmes de la Tunisie ont pour origine sa position à l'Est de l'Algérie, ses malheurs sont liés à cette position géographique, se situant entre une Libye malheureuse et une Algérie dont l’avenir serait incertain”.C'est pas moi qui le dit, faut-il le rappeler, c'est l’ancien président français Mr.Nicolas Sarkozy qui a bien mâché ses mots pour ne pas déraper quant il a laissé entendre cela..!

Une déclaration qui a choqué plus d’un en Algérie et qui n’a pas manqué d’enflammer les réseaux sociaux algériens à travers des internautes . C’est que le président de l’ex-UMP n’y est pas allé de main morte dans ses déclarations,il ira jusqu’à suggérer : “L’Algérie ? Qu’en sera-t-il dans l’avenir ? De son développement, de sa situation. C’est un sujet qui, lui semble-t-il, doit être traité dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée. C’est plus que jamais nécessaire !”, il s’est même permis d’émettre des doutes sur l’avenir de l’Algérie à l’aune de la déstabilisation qui touche certains pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

En déplacement en Tunisie  Mr.Nicolas Sarkozy, ne s’est pas trompé de combat en s'adressant ainsi à l’égard de l’Algérie. pour ajouter ensuite. “La Tunisie est frontalière avec l’Algérie et avec la Libye.  Vous Tunisiens vous n’avez pas choisi votre emplacement, Autrement dit, si la Tunisie est aujourd’hui dans le pétrin, elle le doit surtout à sa proximité avec l’Algérie

Ces propos de Mr.Sarkozy poussent tout observateur à croire, voire à juste dire que cette Algérie est bien entrée dans la zone de turbulence pour «naviguer à vue et sans boussole», elle traverse une situation difficile, alors que les rapports sécuritaires internationaux tirent la sonnette d'alarme quant à la situation sécuritaire et politique dans le pays et le danger qu'elle représente pour l'Afrique du Nord, étant donné que les armes existant en Algérie constituent le double de celles que détenait Kaddafi, d'où le danger pour l'Afrique du Nord et l'Europe que constitue leur prise en main par les groupes terroristes en cas de détérioration de la situation en Algérie, 

Crise de gouvernance et de bon planeur..Cela étant, me rappelle les causes ayant dicté  au maudit président algérien Houari Boumédiane et son gamin Bouteflika de comploter contre Ahmed Ben Bella qui conduisait l'Algérie,dès l'aube de son indépendance, vers l'enfers, vers le nationalisme aveugle Égyptien de Abdenaceur. Apparemment, ce qui retenait les comploteurs de passer à l’offensive est la crainte du groupe d'Oujda et de l’armée algérienne des frontières de l'époque, sous la houlette de Boumediene,  de voir l’Algérie  passée en département Égyptien, et ils se sont vite passés à l'action en vue de conquérir le pouvoir le 19 juin 1965.

Du coup, bien que le nouveau patron de l'Algérie transformait plus tard ses intentions en dictateur plus intelligent qu'Albert Einstein et faisait de l’Algérie un pays de dictature militaire communiste marxiste enfermé... Or, ce duo Boumédiane et Bouteflika, le temps où feu Sa Majesté HASSAN II était Roi qui règne, étaient eux que des joueurs de carte à Nador, où Boumédiane contraint de payer ses boissons, consommées par lui et par ses pairs, il déposait chez le gérant d'un café maure son permis de conduire en guise de garantie. A propos le dit permis se trouve toujours dans le tiroir du cafetier..

Depuis la mort de Boumediane en 1978 et l’errance de son gamin dans le Golf Arabique, l’Algérie est devenue le camp de commandement collectif (Jemaâ de Ben Aâknoune)) composé d'une junte d'ex-caporaux de l'armée Française, transformée, du jour au lendemain, en junte de généraux sans formation académique..Et depuis, l'anarchie gagnait le pays qui devient un pays broyeur assassinant ses propres citoyens durant la décennie noire des années 90 (200.000 âmes ou presque).                     

Particularité au sens du terme..L’Algérie c'est le seul pays au monde qui, par voie de népotisme, de copinage et de clientélisme, il compte environ 1500 colonels et généraux.Son armée est une écurie ouverte qui enrôle pour se former (toute composantes confondues) que les individus les plus bannis et exclus de la société Algérienne, les jeunes-"hitistes"  dont les parents sont des lèche-bottes de dirigeants et de pions de ceux du cercle du pouvoir.

««l’Algérie est le seul pays colonisateur en Afrique. Elle occupe  et spolie, sans aucun droit, des terres qui ne lui appartiennent pas, et qui n'ont jamais été historiquement sous domination Ottomane ou faisant partie de l'Algérie Française, en l’occurrence des terres Maliennes, Tunisiennes, Nigériennes et Marocaines. Exemple en ce qui nous concerne, l’Algérie colonise à nos jours environ un million de km2, l'ensemble du Sahara Marocain oriental, allant de Tindouf à l'ouest à Ain Salah à l'est. (voir les grandes archives ottomanes, françaises et internationales).

Elle spolie ce grand territoire Marocain, sous prétexte "l'avoir hérité" du colon Français et que cet héritage, selon l'ingratitude et l'arrogance des Algériens, restera intangible,malgré l'existence d'un compromis d'entente, élaboré en accord, le 6 juillet 1961, passé entre le Royaume du Maroc et le GPRA (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne), considéré vachement par la suite de "chiffon de papier", selon les termes de Boumédiane que la malédiction divine soit sur lui.

Ce problème de frontières avec l'Algérie est devenu un malaise chronique qui date d'un demi siècle.L'âge de deux générations, qui fait de l’Algérie, un pays stérile, ayant atteint la ménopause, de façon qu'elle ne peut dorénavant procréer, ou faire biologiquement naissance à des hommes courageux qui tranchent dans de pareils cas, sans regarder derrière,  et prennent des décisions capitales du genre, pour enterrer, une fois pour toutes, ce discorde qui est à l'origine de tous les maux avec l'Algérie, un discorde majeur qui envenime le profond des relations algéro-Marocaines et bloque toute ouverture sur l'avenir dans ce sens»».

L’Algérie est un pays qui vit à 98 % de l’argent sale des commissions occultes du pétrole et ne produit rien. En Algérie il n y a suffisamment ni à boire ni a manger. L’Algérie importe son pain, incapable de le faire elle-même .En Algérie l’argent du pétrole sert comme caisse noire des généraux. En Algérie les généraux fiancent l'instabilité en Afrique du nord, au sahel et en Afrique noire. .

En Algérie on coupe les têtes des visiteurs étrangers pacifiques (les moines de Tibhirine en témoigne), et on y coupe aussi les têtes des touristes internationaux. En Algérie aucune ONG internationale  des droits de l’homme n’est ni représentée ni a le droit de se rendre en Algérie..En Algérie il n y a ni droits de l’homme, ni droit de la femme et encore moins  le droit de l’enfant.

L’Algérie a assassiné de sang-froid, "en live"son propre président Feu Mohamed Boudiaf, parce qu’il venait du Maroc militer et instaurer la paix. En Algérie, les généraux poursuivis pour crimes contre l’humanité, se cachent. L’Algérie est un pays qui crée, arme, finance, soutien sur son sol des bandes terroristes et criminels tels que : AQMI de Mokhtar Belmokhtar, Boko haram le Nigirian, Al chabab de Somalie, son Polisario de Tindouf  et bientôt une branche de Daech.    

L’Algérie use de son arrogance et provoque des guerres avec tous ses voisins allant du Maroc, de la Mauritanie, du Mali, du Niger, de la Libye et de la Tunisie dernière en date sa menace de rappeler son ambassadeur accrédité à Tunis et rompre ses relations diplomatiques avec la Tunisie après le refus catégorique de cette dernière de toute ingérence Algérienne touchant sa souverainté, suite au dernier rapprochement Tuniso-Américain, dans la perspective de créer en territoire Tunisien une base militaire US pour les drones.

L’Algérie est le même régime de dictature militaire ,terroriste-criminel comme celui de la Corée du nord de Kim Jong premier, car elle est le premier client acheteur d’armes-ferrailles russes pour  justifier, à son peuple, la dilapidation du fond public. Pour toutes ces mauvaises raisons, L’Algérie est une poubelle, une poudrière, une bombe à retardement, l’Algérie est pour les algériens l’enfer sur terre.

Atteinte aux voisinages..De manière générale, et l'histoire est là pour en témoigner, l'Algérie a systématiquement bloqué tout effort collectif destiné à juguler les menaces sécuritaires apparues au cours des dernières années. Signe d'une mégalomanie pathologique, les dirigeants algériens croient sérieusement que le centre de l'univers se trouve au palais d'El Mouradia, vers lequel tout le monde devrait se rendre en pèlerinage. 

Pire encore, il utilise des moyens peu orthodoxes, pour le moins que l'on puisse dire et dont seuls ses services de renseignement détiennent le secret, en vue d'entretenir l'instabilité chez ses voisins et, du coup, les maintenir sous sa coupe. Il n'est pas donc étrange que l'on trouve, voire que l'on crée des foyers de tension dans tous les pays limitrophes.  

Qu'il s'agisse du terrorisme, dont l'Algérie a été d'ailleurs le premier terreau dans la région, de la criminalité transfrontalière, Alger a toujours opposé un Niet catégorique à toute synergie ou action collective, tant que le Maroc brille dans la région et que par arrogance, le dernier mot ne revient pas à elle, comme dans une cour de récréation où les élèves se fâchent pour un  oui ou pour un simple non.    

Lorsque l'intégrité territoriale des voisins Maliens a été bafouée par la horde de terroristes ayant juste franchi la frontière, le régime algérien a tout fait pour jeter des grains de sable dans le moteur de la coalition internationale, qui voulait débarrasser ce pays du Sahel de son cauchemar. 

Dans tout le voisinage de l'Algérie, le Maroc reste le mieux placé pour témoigner de l'ignominie algérienne. Le Royaume lutte, depuis quatre décennies, pour la préservation de son intégrité territoriale, au prix de grands sacrifices pour son économie et le bien-être de ses citoyens. Parce que son voisin de l'Est (cette Algérie veuve) a décidé de casser sa tirelire pour contester sa souveraineté sur ses provinces sahariennes? Une souveraineté qu'il revendique depuis les dernières années cinquante du vingtième siècle.   

Animée de ses seuls intérêts géopolitiques et stratégiques, l'Algérie avait même proposé la division du Sahara marocain, en déni de son sacro-saint principe d'autodétermination des peuples, par lequel elle a anéanti toute intégration économique dans le Maghreb, cultivé la culture de la haine entre les peuples et condamné des milliers de familles au déchirement et à la souffrance, que ce soit au Sahara Marocain, qu'elle considère "occidental", ou le long de sa frontière Ouest au Sahara Marocain oriental  en particulier.   

Aveuglée par son projet prussien d'obtenir un débouché sur l'Atlantique, l'Algérie ne veut pas admettre qu'elle est en train de jouer avec le feu et d'exposer toute la région à l'irréparable, au regard des développements survenus dans la région et l'émergence de réseaux terroristes plus dangereux que jamais.  

Face à une situation interne au bord de l'implosion, le régime algérien persistera dans ses provocations et ses manigances, en quête de cet ennemi extérieur contre lequel il faut décréter l'union sacrée du pays.

Il est à relever à cet effet, que la cellule de crise la plus rapprochée de Bouteflika qui opère ces jours-ci à des remaniements inutiles à grande échelle, au gouvernement et à la sécurité rapprochée du palais d'ElMoradia, se préoccupe de son avenir, car le temps presse, elle recadre l'entourage de famille présidentielle, pour cela, elle est en train d'enlever les mauvais herbes et replanter la bonne semence à l'horizon d'une succession appropriée qui lui garantira la survie et la continuité du statu quo à sa mesure.

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                                                      Bouteflika et le naufrage de l'Algérie

Le peuple Algérien ne retient de Bouteflika qu'une seule phrase de toutes ses conneries, d’une voix à peine audible : « Je me sens beaucoup mieux ».

Said Bouteflika, Président..Ce que je sais moi, comme beaucoup d'autres, il y a un blocage général qui paralyse tout le pays, malgré les séquences et les diverses séances de maquillage qu'on lui prodigue par le biais de la presse Algérienne, toutes tendances confondues, dans l'absence de presse privée qui aura une crédibilité quelconque pour dire le contraire et démaquiller la star.

Je me permettrai d'évoquer ci-après, quelques exemples de détresse qui confirmeront certes, la navigation à vue, sans boussole de ce qu'on peut appeler en Algérie la clique familiale  qui détient les ficelles du commandement et qui gouverne l'Algérie derrière les coulisses utilisant, preuve à l'appui, figée-Bouteflika dans un pays qui se baptise vachement, de manière unilatérale, en " Grande force régionale" dans, bien sûr, les esprits algériens malades.

On fait croire au peuple algérien qui devient de plus en plus dingue, que le Président Abdelaziz Bouteflika est dans ses pleines capacités d’honorer ses prérogatives présidentielles, tels que : recevoir dans le couloir les personnalités et diplomates étrangers, promettre aux grades supérieurs dans l'armée, faire remanier l’exécutif, limoger et changer les responsable de sa garde et de sa sécurité rapprochée, tout en surveillant les occasions d’autrui pour en adresser régulièrement ses messages aux Rois et aux présidents à travers le monde, à l’occasion de la célébration des fêtes nationales de leurs pays. 

Pourtant, le samedi 18 juillet 2015, il a encore une fois brillé par son absence à la prière de l’Aîd El fitr. Ses apparitions se font de plus en plus rares depuis son hospitalisation, il y a deux ans, pour un AVC. Mais l’Algérie continue quand même, de tourner en rond, avec, au premier rang, un premier ministre frivole de son genre, qui fait du mauvais tapage linguistique en s'adressant aux autres, qu'ils soient nationaux ou étrangers.

Les exemples, en fait, n'en manquent point, ils font rage, s'imposent et se succèdent, par ses sorties médiatiques spectaculaires, en l’occurrence, sa réponse au salut de la Chinoise par "ya batata" et quand il qualifie les pauvres de son pays, par un langage cynisme "faqaqir Echaâb" ou encore le soutien à la diplomatie de son collègue, le ministre Algérien des mensonges étrangères, en lui faisant entendre "barqoqiatt lkharijia ljazaeria. Pire encore, il s'en vante et rassure le peuple Algérien sur l'avenir incertain de son Algérie par des assurances mensongères sur la politique de son gouvernement et sur la bonne gouvernance, malgré les crises qui entachent sa figure qui menace le pays d'arrêt cardiaque  et qui jette davantage l'Etat Algérien dans l’abîme plongée de l'incertitude.

La pseudo-opposition réclame, en vain, depuis des mois l’application de l’article 88 du chiffon de papier (la constitution) pour constater l’incapacité du Président à gouverner. Mais le statu quo est savamment maintenu dans l’incertitude absolue.

La question s’impose : Qui dirige vraiment l’Algérie?...Pour un politologue Algérien, «le pouvoir est entre les mains exclusives du clan Bouteflika-famille qui gouverne au nom d’Abdelaziz Bouteflika, à travers les thuriféraires, comme Ahmed Ouyahya, le pseudo-chef de cabinet de Bouteflika,dit-on seul qualifié, dans cette brouille, à faire marcher les affaires courantes au niveau de la présidence et à travers un gouvernement-vitrine avec un commissaire de police en la qualité de premier ministre, tous choisis pour leur fidélité à toute épreuve familiale, sous la surveillance vigilante d’un frère cadet, désigné dauphin (Said Bouteflika) et qui se prépare pour succéder à son frère fichu, qui ne porte que le nom de président.

Le chaos Libyen et l'ambition Algérienne..Les puissances régionales et internationales qui ont les yeux braqués sur la Libye, se sont rendues compte que l'Algérie cherche à ce que la situation de chaos persiste en Libye, pour procéder,à sécuriser toute la zone pétrolière et à passer un contrat avec une société sud-coréenne dans l'objectif de détourner illicitement les productions des puits pétroliers libyens vers ceux algériens, qui faisaient l'objet auparavant d'un conflit avec Kaddafi, d'où la preuve irréfutable qu'Alger exploite la situation de chaos qui règne en Libye pour mettre la main sur les ressources naturelles des Libyens. Cette attitude algérienne, ne peut être expliquée que par les desseins qu'elle nourrit à l'égard de son voisin libyen, de voir ce pays sombrer dans le chaos aussi longtemps que possible. 

Sous cet angle, l'Algérie manie plusieurs cartes à l'encontre des pays de son voisinage pour couvrir ses tendances interventionnistes. "Tantôt elle brandit le dossier du Sahara contre le Maroc et recourt aux groupes terroristes dans les montagnes de Chaabani contre la Tunisie, tantôt elle exploite le Polisario dans la zone tampon entre le Maroc et la Mauritanie et au nord-ouest du Mali pour exercer, à chaque instant, une menace sur la Mauritanie si jamais Mohamed Abdelaziz se rallie au coté Marocain. 

Sur le plan interne, la situation est complexe, la course au pouvoir est à son apogée, les dossiers de corruption (Sonatrach, El Khalifa Bank, Autoroute Est-Ouest...) sont toujours ouverts et ne trouvent pas d'issue, les institutions paralysées, le président inexistant et l'organisation autoproclamée dite Etat islamique (Daech) progresse en Libye et caresse le rêve de mettre la main sur les installations pétrolières algériennes. A cela s'ajoutent, les conflits inter-communautaires à Ghardaya, les protestations dans le sud du pays à cause  de l'exclusion, de l'extraction du gaz de schiste et la crise économique provoquée par la baisse des cours du pétrole qui exposent le pays au chaos.  

Le Sahara est bien sûr Marocain..Les propos du premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, à l'occasion de l'ouverture de la 25ème session ordinaire du Sommet de l'Union africaine à Johannesburg constituent une tentative désespérée de l'Algérie de réagir au revers essuyé suite à la résolution du Conseil de Sécurité N° 2218 sur le dossier du Sahara 

Avec cette sortie, l'Algérie ambitionne d'apaiser l'impact psychologique de cette résolution rendue le 28 avril dernier, qui a provoqué une certaine désespérance dans les camps de Tindouf, où les mouvements de protestation contre le Polisario n'ont pas cessé tout au long des derniers mois".  A travers de tels propos, Alger espère apaiser les tensions qui pèsent sur la direction du Polisario qui connait des rivalités internes ayant poussé plusieurs de ses membres à annoncer leur ambition de sortir des camps.  

L'Union africaine demeure la seule tribune devant Alger, d'autant plus que la résolution N° 2218 des Nations Unies ne lui a pas laissé de marge pour manœuvrer, sachant que même au sein de l'UA, la propagande à l'encontre du Maroc ne trouve plus d'écho, dans la mesure où plusieurs pays sont désormais bien réveillés, au fait des violations commises par Alger à la charte des Nations Unies à cause de son parti pris dans le conflit du Sahara.

A noter à cet effet, que l'article 52 de la charte des Nations unies "n'habilite" pas l'UA, en tant qu'organisme régional, à intervenir dans ce conflit, tant qu'elle (l'UA) est un organisme inapte et inhabile à statuer sur ce différend, tant que le Maroc n'est pas membre et s'y oppose à toute ingérence de cette instance régionale. 

Le timing de ces propos démontre, si besoin en est, que l'étau commence à se resserrer sur l'Union africaine en dépit de la diplomatie de corruption si chère au régime algérien, à un moment où plusieurs pays ont commencé à se rendre compte des manœuvres d'Alger en Afrique visant à déstabiliser plusieurs pays du continent.

Sur un autre volet, on remarque que les propos du premier ministre algérien trahissent des problèmes régionaux et internes que vit l'Algérie et qu'elle cherche par tous les moyens à externaliser via des déclarations agressives à l'encontre du Royaume Maroc. 

Rappelons que l'appel téléphonique, du 22 janvier 2015, entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, à l'initiative de ce dernier, a été l'occasion pour la voix onusienne la plus autorisée de conforter le Maroc dans sa bonne foi et sa position de principe quant au strict respect du mandat actuel de la Minurso, dans le plein respect des paramètres de négociations tels que définis par le Conseil de sécurité.   

En informant le Souverain qu'"il a pris dûment compte des commentaires et observations du Maroc", tout en donnant "des assurances fermes quant à la neutralité, l'objectivité et l'impartialité des responsables de l'ONU en charge de la conduite de la facilitation onusienne", M. Ban Ki-moon barre, par la même occasion, la voie aux manœuvres pernicieuses et aux velléités obstructionnistes visant à faire dérailler le processus de sa trajectoire légale. 

Conforme à la légalité internationale, l'approche du Royaume porte en elle le souci constant du Souverain d'inscrire la démarche du Maroc dans un haut sens de l'histoire et de la responsabilité, en droite ligne des équilibres et des impératifs géostratégiques qui commandent d'éviter les approches partiales et les options périlleuses qui sont de nature à plonger la région, dans son ensemble, dans des abîmes insondables, en faisant le lit aux groupes terroristes qui ont infiltré à une large échelle les camps de Tindouf et dont la collusion avec le polisario n'est plus à démontrer.   

Reconnaissance, haute gamme du leadership Royal..En tenant à remercier Sa Majesté le Roi pour le rôle actif et l'engagement constructif du Royaume en appui à l'agenda de l'ONU que ce soit pour le maintien de la paix, la promotion du développement humain et la lutte contre l'extrémisme et la radicalisation", le Secrétaire général de l'ONU Mr. Bazn Ki-moon reconnaît encore une fois le leadership régional du Royaume en tant que force de projection stabilisatrice contre le péril que constitue l'alliance entre le radicalisme et le séparatisme.

Le soutien explicite des Etats-Unis,au plan d'autonomie au Sahara, sous souveraineté Marocaine, qui fut un point saillant de la rencontre au sommet ayant réuni à la Maison Blanche le chef de l'exécutif US, Barak Obama et Sa Majesté le Roi Mohamed VI, constitue une reconnaissance par Washington du leadership régional du Souverain en tant que force de projection stabilisatrice dans le continent africain.

Ce soutien à la justesse du plan marocain d'autonomie par Obama, en droite ligne de la politique suivie par trois administrations US, depuis celle dirigée par le Président Bill Clinton à l'actuelle en passant par l'exécutif de George Bush junior, se veut une reconnaissance par les Etats-Unis du leadership Marocain et de Sa force de projection stabilisatrice dans le continent.

Elle se veut aussi une reconnaissance, à sa juste valeur, du rôle constructif joué par le Maroc dans le but de trouver une solution définitive à ce conflit artificiel, et que ce soutien ainsi exprimé par les Etats-Unis va au-delà de cette question pour embrasser une coopération affirmée entre Washington et Rabat dans le but d'asseoir une coopération triangulaire en Afrique, notamment en matière de sécurité et de développement.  

C'est dans ce cadre que Washington et Rabat, déjà liés par un accord de libre-échange, l'unique en son genre dans le continent africain, ont procédé à la signature, au mois d'août de l'année dernière, d'un accord-cadre bilatéral sur l'assistance antiterroriste.   

Le soutien clair des Etats-Unis au plan d'autonomie au Sahara, sous souveraineté Marocaine, s'inscrit en droite ligne de l'adhésion dont fait l'objet l'initiative Marocaine auprès des capitales des grandes puissances mondiales en particulier, et au sein de la communauté internationale en général.

Enfin pour conclure, vous me permettrez de revenir aux propos du premier ministre Algérien et les fourbies de son collègue aux affaires mensongères étrangères que nous rapporte régulièrement la presse algériennes pour préciser que les amalgames de Sellal à Johannesburg ou autres contre le Maroc traduisent le désespoir de l'Algérie et une situation politique à la traîne, Alger croyant qu'en ciblant le Maroc elle s'offre une bouffée d'oxygène sur fond d'un échec cuisant sur les plans régional et local.

Le Maroc en parallèle, a toujours haussé sa main en signe de victoire, jadis est sorti victorieux et restera toujours vainqueur dans toutes les initiatives néfastes menées à ce jour par l'influence du pétrodollars algérien. Oui vainqueur et y restera toujours éveillé et trés vigilent pour parer à toutes éventualité. Par contre, n'importe qui peut constater que l'Algérie, malgré le gaspillage de son potentiel financier et le déploiement d'efforts malencontreux pour rien, contre ce géant Royaume Marocain, elle n'arrivera jamais à lui dicter ses timings d'hostilité pour le mettre à genoux, étant donné qu'elle navigue à vue et ne possède pas de boussole pour en débarquer au bon quais.

L'Algérie aura donc besoin d'un sauvetage politique, sécuritaire et du courage d'hommes pour pouvoir éliminer le Maroc de sa frontière Ouest et le faire plier. héla ! on voit de ce qui précède, qu'elle n'est nullement en mesure, même de pointer du doigt un pays stable comme le notre, le Grand Royaume Chérifien du Maroc que le Bon Dieu lui a offert une Monarchie particulière au monde, qui veille à son bien-être, contrairement aux sales bottes d'Alger qui coupent le souffle au peuple malheureux Algérien et gâchent son destin.Bonne lecture.

                                                              Cordialement,Chihab25

N.B. Chez nous au Maroc, c'est la fête du trône. La bas en Algérie, c'est le deuil et la tristesse!? Lisez la nouvelle note arabophone en pages jointes, intitulée :قصة ما حدث ليلة العيد في الجزائر

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