Algérie : Il y a inéluctablement des symptômes de disparition de l'Etat Algérien..!
Pour l'Algérie par le biais du CPS (Conseil de Paix et de Sécurité) de l'UA que préside arbitrairement l'Algérien Ismail Chergui qui prend place et relais, suivant scrupuleusement les traces de son maître, l'autre maudit Ramdane Lahmamra qui occupait, en l'absence de fort concurrent, le même fauteuil pendant plus de 15 ans et sans oublier, par les fourbies de Abdelkader Messahal, l'ignoble chevalier de la diplomatie d'autruche de l'Algérie.
En ce qui nous concerne, je ne dirai pas plus que son offensive diplomatique royale qui ravage, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, «grains et paille» de la mauvaise semence de la diplomatie de mensonge menée par l'Algérie durant les quatre dernières décennies.Notant que cet objectif ne se réalisera qu’à travers la stabilité politique, le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des Etats, ainsi que la consolidation de l’Etat de droit en Afrique; notamment à travers la diplomatie préventive, la médiation et les bons offices.
En fait, le Maroc, rappelons-le, siégera, à partir du 1er avril 2018, au Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union Africaine pour un mandat de deux ans que le Royaume entend inscrire dans le cadre de la consolidation des efforts et actions visant à contribuer, de manière constructive et positive, à la «paix et à la sécurité en Afrique».Preuves à l'appui, la présence des contingents Marocains Casques-bleus en Afrique depuis 1960. Et aussi, et c'est l'important, réguler éventuellement toutes les prises de positions malencontreuse anti-Marocaine qu'imposera certes, comme d'habitude, l'agenda Algérien par le biais de ce fameux Smail Chergui.
Je commence par rappeler tous les facteurs qui unissent les deux pays: langue, religion, histoire et identités ethniques et en concurrence, par l'aspect religieux concrétisée par la formation des Imams au Maroc ouverte largement devant les pays africains par L'Institut Mohamed VI pour la formation des Imams, Morchidines et Morchidates à Rabat.
Une façon de mettre en contraste les multiples divergences qui enveniment les relations des deux pays depuis des décennies marquées principalement par les débris de la guerre des sable63 et les défaites de l'armée du maudit Boumédiane aux Amgala76 et par le conflit capital autour du dossier artificiel du Sahara Marocain.
Curieusement, CERI considère que le problème du Sahara Marocain n’est pas la racine du mal qui ronge les deux pays, mais bien avant de cela, car le mal remonte aux problèmes de frontières entre les deux pays concernant l'amputation du Maroc de son Sahara oriental annexé par l'Algérie en vertu des accords d'Evan entre la France et le GPRA. Des accords sinistres ayant permis l'independence de l'Algérie en 1962 et qui en portent préjudice à notre intégrité territoriale.
Cet individu qui représentait toute la saleté de l'ingratitude algérienne, en avait profité de la confiance et le bon accueil qui l'entouraient de tout le personnel du ministère pour accéder facilement aux archives et dérober tout un dossier, un grand dossier concernant les manuscrits, copies des Dahirs et des lettres échangées de part et d'autre, parlant nommément des liens entre les territoires du Sahara Marocain oriental et la mère patrie le Maroc.
Plus pire encore, les médias nous apportent ces jours-ci que les services secrets algérien du DRS, ont renouvelé cette action par recherche et achat, surtout au Mali et au Niger, de tous document concernant la Marocanité des territoires Marocains qu' hérite vachement l'Algérie du temps colonial.
Les services secrets algériens auraient débuté certainement ce forfait par manipuler dans ce sens, ceux ce qu'on appelle "les séparatistes de l'intérieur" qui agissent librement dans nos provinces du sud, je ne dis pas au profit du polisario, mais au profit de l'Algérie qui les engage, moyennant tous les permis de circulation et de voyage (passeports Marocains et billets d'avions) pour se déplacer soi à Boumerdas en Algérie, soi à Tindouf pour se perfectionner, se ravitailler de haine et de se nourrir des instructions de l'Algérienne de R'guibat Khadija Hamdi, commandant Drsiste, ex-maîtresse de Mohamed Abdelaziz Marrakchi et du général algérien Said Chengriha, chef de la 3°région militaire de Colomb-Béchar, qui n'est que le gamin du général-bougre Gaid Ahmed Salah chef de l'armée Algérienne.
Selon ses sources,le quotidien Marocain "AlAyam" rapporte que les services de renseignement algériens tentaient d'acheter tous les anciens manuscrits du désert, qui traitaient des liens historiques et familiaux entre le Maroc et les tribus du Grand Sahara, du nord du Mali au Soudan, après avoir saccagé auparavant, depuis l'ère du maudit Boumédiane, les bibliothèque des Zaouia de Kenadsa et d'Adrar qui contenaient de riches archives précieuses datant de diverses époques des sultans du Maroc .
A ce propos, un certain nombre de scientifiques maliens et nigérians ont été alarmés par ces tentatives malencontreuses menées par l'Algérie et ont envoyé une lettre à ce sujet à la Franco-Marocaine Mme Audrey Azoulay, en sa qualité de directeur de l'UNESCO pour y entrer en ligne et préserver cette richesse spirituelle Africaine.
Merci à Trump, c'est une Algérie de merde..A mon sens, les tensions sont plus profondes qu’un problème de territoires,elles sont plutôt liées à «l'Etat-nation et à des idéologies post-coloniales». L’Algérie ayant toujours prôné le communisme, se plaçant toujours du côté du camp de l’Est et de l’Etat providence. Le Maroc n’a pas changé de camp, grace à l'intelligence de sa Monarchie, même s’il a su, depuis toujours, conserver de bonnes relations avec l’ex-URSS et la Chine tout en étant un allié des Etats-Unis et membre observateur de l'Otan.
Une politique d’ouverture qui lui a permis d’étendre son champ d’influence, y compris en Afrique et en Asie, tissant de bonnes relations avec l'Inde, Chine, Corée du Sud et Japon, même si le Maroc avait quitté l’OUA en 1984 et n’a réintégré l’UA qu’en 2017. Le Maroc a fait une grande percée en Afrique après ce retour à l’Union africaine, et surtout après son élection au Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’organisation maîtresse panafricaine.
Ce qui est interprété comme «un indicateur important de son influence croissante sur la scène africaine». D’autant plus que le Maroc prend la place de l’Algérie, poussée vers la porte de sortie par le système de rotation au sein de l’UA.
Du coup, la politique Marocaine en Afrique va dans le même sens que l’Union européenne. Ce qui est tout à fait logique estime tout observateur avéré, puisque le Maroc dispose d’un statut avancé avec l’UE, tout en étant engagé dans le G5 pour lutter contre le terrorisme et en coopérant de manière étroite dans le domaine de la migration.
Sur le plan économique, le Maroc a opté pour l’offensive en devenant le plus grand investisseur africain dans le continent noir (banques, télécommunications, agriculture, environnement et énergie renouvelable…). Il a aussi tissé avec ses pairs africains de forts liens amicaux et culturels, notamment à travers les multiples voyages de Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans le continent. Des liens qui se sont renforcés avec la politique migratoire du Maroc qui est devenu le coordinateur des migrations pour l’UA et affermit son rôle d’interlocuteur avec l’Union européenne.
Ceci étant, la position de l’UE sur le Sahara Marocain commence à sortir de son ambiguë traditionnelle, même si la France a toujours soutenu le Maroc. Il est vrai qu’en 2015 l’accord agricole a été suspendu quand la Cour européenne de justice (CEJ) a jugé qu’il était illégal pour avoir inclus les provinces du Sud. Mais cela n’a pas empêché la Commission européenne de travailler en étroite collaboration avec le Maroc pour dire le contraire et continuer à maintenir son partenariat avec le Royaume, tout en incluant ses provinces du sud dans sa coopération, jetant au pieds du mur toute autre explications qui va au-delà de cette position.
Face aux progrès qu'enregistre le Maroc sur la scène africaine et européenne,le temps met en balance une Algérie qui souffre mais qui demeure influente sur le peu de pays africains qui continue, pour une raison ou pour une autre, de soutenir la thèse algérienne de l’autodétermination au Sahara marocain. Mais le Maroc demeure déterminé à ce que cette question ne soit pas discutée par l'Algérien Ismail Chergui, chef du CSP de l'UA qui applique l'agenda de son pays dans ce domaine, puisque ce litige relève du seul ressort de l’ONU.
Ceci étant, si l’UE considère que le Maroc est devenu très influent en Afrique, il n’en demeure pas moins qu’elle ne doit pas sous-estimer le poids de l’Algérie en Afrique. Il est vrai que l'Algérie a beaucoup perdu de son aura d’antan à cause de la maladie de Bouteflika, considéré jusque-là en diplomate chevronné, mais l’Algérie demeure un poids lourd qui en manque de crédibilité et perd de jour en jour de sa pesée, elle n'a d'efficacité, si on croit les communiqués de l'armée, que dans sa lutte contre son propre terrorisme interne.
Certes ce pays a été affaibli par la guerre civile des années 90 contre les islamistes du FIS, mais cette expérience, même si elle lui sert aujourd’hui comme alibi stabilisateur, il ne peut pour autant étendre son influence en Afrique en lui transférant ses conneries d'une fausse force régionale, face à ce nouveau venu, le Royaume du Maroc qui détient toutes les cartes de crédibilité d'Etat émergent sans bluffs ni déformation de son allure.
Il ne faut pas oublier aussi que le Maroc avec sa réintégration à l'UA, il vient pour cotiser au financement du budget de l'UA comme principal pourvoyeur comme l’Algérie et les autres principaux pourvoyeurs, derrière l'Afrique du Sud, le Nigeria, l'Egypte. Autant dire que le Maroc, en concurrence avec l'Algérie, qui est restée jusque-là très ancrée dans l’UA, il vient d'ajouter une valeur ajoutée et jouer un rôle important au sein de ses institutions.
Mais les relations de l’Algérie avec l’UE demeurent aléatoires, même si elles se sont améliorées depuis 2016 en matière de sécurité régionale et de lutte contre le terrorisme. Les échanges commerciaux demeurent toutefois très en deçà des potentiels affichés à cause des réticences algériennes sur la politique européenne.
En conclusion, le Conseil européen des relations internationales préconise à l’UE d’être prudente dans sa façon de travailler avec l’Algérie sur la scène africaine. Il rappelle que les acteurs européens, notamment la France et l’Espagne, ont tracé leur territoire en soutenant le plan d’autonomie marocain de 2007. L’ ECFR considère que si cette position s’étend à d’autres domaines, l’UE risque d’éloigner l’Algérie davantage de son giron.
Ne cliquez pas vous êtes surveillés..! Le peuple algérien acceptera-t-il être conduit par des officiers-traitants ? je crois que la réponse est oui avec un grand "O". Car la colonne vertébrale de l’Algérie a été conçue dans le vide il y a 60 ans ou presque par un certain Abdelhafid Boussouf, l'homme de la virgule, mort en 1980 à Paris, il était un militant algérien durant la guerre d'Algérie. Il jouait un rôle décisif dans la naissance des services de renseignements algériens.
Ainsi, depuis ce départ crapule, chaque algérien danse seul croyant applaudi par l'assistance le créateur, ou tout simplement par un grand public dans une salle vide. Cette prothèse de Boussouf a été construite en dehors du corps vivant du peuple multicolore algérien. La prothèse prétend continuer à vivre comme si c’était un organe naturel. Mais elle ne pouvait plus supporter le corps algérien qui se sentait de plus en plus incapable de se tenir debout par ses propres moyens. Sans forcément le savoir, mais en pressentant le secret de la vie : Il se lève et marche péniblement pour affermir ses os déjà en ostéoporose.
Pour espionner leurs opposants, voire toute la population, les États arabes recourent massivement à des technologies commercialisées au prix fort par de discrètes sociétés occidentales.
Au début du soulèvement en Syrie, en 2011, des policiers, peu au fait du monde virtuel, réclamaient leur Facebook aux jeunes Syriens qu’ils contrôlaient. Ils s’attendaient à ce qu’on leur remette un bloc-notes, se souvient un rebelle Syrien. Puis les contrôles se sont rapidement transformés en arrestations systématiques d’opposants actifs sur internet. Cette fois, lors des séances de torture, les agents disposaient des copies de tous les courriels et conversations, ainsi que des mots de passe et de la liste des contacts.
En fait, c'est une manière apparemment normale dans les tribunaux pour justifier leurs verdicts. On constate qu'elle est pratiquée même chez nous au Maroc par nos tribunaux, preuves à l'appui, à la cour d'appel de Casablanca où sont ouverts les procès des accusés du hirak d'Al Houcima.
Le régime de Damas disposait en effet de puissants outils de surveillance du réseau internet capables de filtrer, censurer, surveiller et intercepter tous les échanges numériques. Pour ce faire, la Syrie, comme la totalité des pays arabes, s’appuie sur le savoir-faire de sociétés occidentales dites de sécurité informatique. Comme la française Qosmos, qui a reconnu avoir vendu à Damas un système sophistiqué de surveillance, avant de le désactiver devant l’ampleur des massacres du régime de Béchar Assad.
Aux nombreux autres États de la région, Qosmos n’a pas hésité à proposer son offre d’interception pour «tout un pays» y compris notre voisine l'Algérie d'où les services secrets algériens du général Tartak s'alimentent et se procurent de puissants outils de surveillance du réseau internet capables de faire de même aux réseaux sociaux des algériens, quels qu'ils soient à l'intérieur ou à l'étranger sans probablement épargner nos autres Marocains pour nous espionner.
Après la chute de Kaddafi, les Libyens ont découvert, eux aussi, l’ampleur du système de surveillance informatique "dernier cri" fourni par la même Qosmos et aussi par la française Amesys aux anciennes autorités Libyennes. Pas un courriel n’échappait aux nervis numériques des fils du Guide de l'ex-Jamahirya, formés par d’anciens fonctionnaires français reconvertis dans cette lucrative activitée.
La spécificité française, c’est que l’État Français en tant que sponsor aide activement ces régimes à traquer leurs oppositions politiques, souligne le spécialiste Français Fabrice Epelboin, qui enseigne à Sciences-Po et contribue au site Reflets, à l’origine de nombreuses révélations sur cette affaire.
Un marché juteux sans norme éthique..Une poignée d’entreprises européennes et américaines se partagent le domaine aussi opaque que juteux échappant à toute régulation et à tout contrôle. Car le plus souvent, ces technologies sont utilisées abusivement par l'intellégencia des services secrets algériens pour traquer les opposants du régime en place et surveiller toute la population internaute.
Un Maroc sécurisé de nature..Pour le Maroc, il n'en est pas question, étant que la Monarchie Marocaine n'a pas d'opposants, par contre elle est bien accueillie par tous les Marocains, sauf par quelques ivrognes de la gauche extrémiste qui gardent encore la rouille du communisme? C'est le gouvernement Marocain qui y en a ses oppositions, même si sont faibles, sont bénéfiques pour consolider les institutions de l'Etat de lois et de droit en cette période de gestation et ce grace à la clairvoyance et à l'ouverture du palais Royal sur son entourage.
Un dicton Marocain dit que «Pour que le voleur cesse de dérober, on lui donne la clef!». Pratiquement cette anecdote s'applique au cas du Maroc, dans son ère nouvelle, ayant atteint déjà l'âge, presque 19 ans. En effet,Sa Majesté le Roi, conscient de la gravité de quelques séquences douloureuses du passé, ordonnait par instructions strictes de mandater presque tous les ex-opposants qui ont connu la torture et la prison pour superviser et diriger les instances et organisations de défense des droits de, l’homme dans le pays, tout en se réconciliant avec la société civile indignée par les exactions et abus des autorités du temps passé.
Je cite en exemple dans ce sens : Driss Ben Zekri, Ahmed Herzni, Driss Yazami, Mohamed Sebbar et Salah Louadië, en leur créant l'espace de l'Instance d’équité et de réconciliation (IER) pour nager en longueur et en largeur et faire taire les voix des prétendues victimes de ce qu'on appelle vachement au Maroc "les années de plomb" et indemniser éventuellement tout ayant droit.
Je reprends.. Ce marché d’armes numériques n'est détenu, à ma connaissance au Maroc, et dans la règle des lois, que par l'Administration de Mr.Abdelatif Hammouchi qui a le plein droit d'utiliser pour détecter, arrêter les criminels et les malfaiteurs qui ennuient à la bonne marche des lois de l'Etat ou portant préjudice aux droits des autres. Il serait probable que cette technique se développe à grande vitesse, à ce niveau-là, pour préserver la stabilité qui règne au pays d'une part et promouvoir la quietude de la société Marocaine, des biens et des personnes d'autre part,
D'autant plus, que la ruche créée à cet effet argue que ces technologies sont précieuses à ce stade et indispensables pour aussi débusquer les terroristes et les criminels en tout genre. À l’instar de l’ambivalence de ces techniques, les positions sont tranchées, les uns invoquant des impératifs d’ordre sécuritaire, les autres le principe d’inviolabilité de la vie privée.
A noter au passage que le spectre du Printemps arabe, ou plutôt de l'Automne arabe, qui n'a pas fort fleuri chez nous au Maroc à cause des additifs possitifs du discours Royal du 9 mars 2011, continue de hanter les autorités en Libye, Syrie, Irak et au Yémen, qui ont pris la mesure de la force de frappe potentielle des réseaux sociaux et plus largement de l’internet. Ces agissements sont perçus désormais pour nous Marocains comme une menace au droit de liberté d'expression que nous garanti la constitution de novembre 2011.
En face de ce gain de cause privilégié au Maroc et à l’ombre de ce marché gris de la surveillance informatique, les services secrets algériens de Tartak s'acharnent sans aucun contrôle, ils se sont introduits en guise de "sécurité de défense" pour enrouler les esprits algériens et faire taire toute protestation apparente, en redémarrant en toute quietude, tout un système de corruption permettant au général Tartak le patron du DRS et à ses subordonnés retardataires d'en profiter, ouvrant ainsi les portes aux pots-de-vin qu'offriront,certes, les entreprises opaques.
Acquis d'une force régionale..En plus, ça arrive qu'en Algérie de "fièreté, de dignité et de R'fa$a rassak abba de Bouteflika! et nulle part ailleurs", à cause de la politique Boutesrikia (action de dérober) comme on dit à Algériatimes, la détérioration de la vie sociale en Algérie fait tache d'huile. Ils sont quelques 1.300 000 malades mentaux qui sont poussés à errer actuellement dans la capitale Alger et dans les autres grandes villes du pays.
Les algériens savent plus que d'autres que leur pays est en train de se disloquer, de mourir au petit feu, à cause de la gravité du jeu que pratique derrière les coulisses le prince-heureux du royaume de Tlemcen,le conseiller-frère de Bouteflika. Ils savent aussi que les nuages formées sérieusement par la vieille hyène, qui n'est que "le sergent Garcia Algérien" de l'armée (GAS) pour s'emparer du pouvoir, ne sont pas encore dissipées
Pour ce qui est terrorisme que les officiels militaires et civils se vantaient d'exterminer. Laissez-moi dire aux algériens, à leur orgueil aveugle dont ils sont atteints, que personnes ne croit aux communiqués de lutte anti-terroriste ou de récupération d'armes et de munitions que le général-bougre de la défense ne cesse de diffuser périodiquement pour enrouler son opinion publique qui croit aveuglement aux sorcières du régime algérien.Et je leur dirai ce que tout le monde connait sur leur système théâtral qu'ils pratiquent avec assiduité et avec ennui qui plane sur les esprits:
Débordement à l'insu de tous..En réalité pour n'importe quel observateur, la lutte algérienne anti-terroriste en Algérie est stérile et apparemment autre chose. L'Algérie a des frontières de 6000 km avec 7 pays voisins dont la Libye et le Mali où la situation est troublée.
Avec son disque creux sur son "non-ingérence" dans les affaires des autres nations, l’Algérie s’est attelée à installer d’énormes moyens matériels et des milliers d’hommes militaires, gendarmes et gardes-frontières, placés sur les frontières pour sécuriser dans leur majorité le «business» et particulièrement celui des militaires spécialisés y compris "Aâmhom Salah" bien évidemment, dans le trafic d’armes, de drogue, de carburant, de tabacs en tout genre et de produits alimentaires, destinées aux séquestrés de Tindouf, et assurer la bonne couverture et circulation des éléments chargés de cette mission.
Les informations en provenance de l'Algérie font état d'un grand désordre et ce en l'absence d'une autorité centrale effective, digne de foi.Dans les wilayas algériennes ayant des frontières avec le Mali, le Niger ou la Libye toute activité est payante effectivement.
Il ne se passe plus un jour sans que l’armée algérienne parvienne à négocier avec des trafiquants ou des terroristes. Les groupes terroristes armés, comme les trafiquants de toute espèce en font fi.
Les terroristes d’AQMI, par exemple, ont leurs bases arrières dans le sud-ouest de la Libye et tentent de se réimplanter dans le nord-est du Mali, dont ils ont été chassés en 2013 par les militaires français. Entre les deux régions, plus de 1 500 km de pistes sommaires dans le désert, traversant l’Algérie ou le Niger.
La majorité des localités du nord du Mali, Tombouctou en tête, étaient arrosées par des produits dérobés des aides humanitaires destinés au séquestrés de Tindouf et transformés en «made in Algeria», grâce à des bras militaires bien huilés et aux ramifications tentaculaires. Les groupes terroristes locaux, prélevaient bien entendu une dîme sur ce trafic juteux.
Les circulations des groupes terroristes dans le secteur ne s’effectuent pas gratuitement. Pour se nourrir, toutes les populations de la région dépendent des produits alimentaires algériens. Oui, cette Algérie aujourd’hui en crise qui ne trouve même pas de quoi nourrir sa population. Par sa présence sur la frontière du Mali, le régime algérien profite de la famine aux portes du Mali pour soumettre ce pays et les groupes terroristes évoluant sur le terrain à un chantage systématique.
Sur le terrain géré horizontalement et verticalement par l’armée algérienne, le terrorisme, la criminalité trans-nationale, le trafic d'armes et la contrebande sont en bonne entente. Il ne se passe pas un acte de terrorisme dans le Mali, le Niger, la Mauritanie, le Burkina et le Tchad sans que l’armée algérienne ne soit mêlée directement ou indirectement.