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Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie (11)

 

                                     Ce que je crois, (12 avril 2017 )

 

Sahara Marocain: des ennemis affreux, sales et pourris, mais..pudibonds ..!     

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                                                                                         Mr. Antonio Gueterres,SG de l'ONU

Je vous préviens, aujourd’hui, je ne vais pas faire dans la dentelle. Mais, rassurez-vous, ce n’est pas du tout de notre nouveau gouvernement Marocain ou du voyage Royal à Cuba qu’il s’agit. D’ailleurs, je n’ai plus grand-chose à dire après tout ce qui a été dit. Que pourrais-je bien ajouter? bien sur que rien. Mais mon attention et celle de tous les Marocains sont orientées certes vers l'épouvantail du mois d'avril de l'ONU, qui traite l'hypocrisie algérienne et le sort de l'affaire du Sahara Marocain,tant que cela nous est pas étrange, nous somme habitués à ce rendez-vous Onusien périodique.

En tout cas, je vais vous épargner toutes répétitions inutiles, mais dès la semaine prochaine, les nouveaux comme les anciens membres non permanents et les cinq permanents au Conseil de Sécurité risquent bien de m’entendre. D’autant plus que leur nouvelle chef, toute une nouvelle "traîneuse USA" à l'ONU qu’elle est, va mettre sûrement beaucoup de temps avant de tuer le père.

Et en attendant de pouvoir un jour le faire, ce que j’en doute personnellement fort, car, justement, la mec-Trump est très forte parait-il en ce moment d'échauffement en politique étrangère Trumpiste, L'ambassadrice américaine à l'ONU Mme Nikki Haley va continuer d’essayer de montrer qu’elle aime toujours préserver la puissance de l'oncle Sam, pas seulement elle, mais tous ses frères et sœurs qui se sont passés par-là, en particulier la farouche Gondoliza Rice. 

Bref, le titre plein de qualificatifs lourds de sens, je l’offre à tous ces gens-pro-dz, qui n’arrêtent pas de nous gonfler avec leurs gueulantes mal placées d’anges puritains à chaque fois qu’ils entendent le Maroc et son Sahara ou qu’ils voient un minuscule bout de peau suspect d’une nana-usa sortant juste de son bain de chantage electoral.

Mais, attention: pas partout. Seulement au cinéma onusien. Ailleurs, c’est-à-dire dans la rue, on peut sortir toutes les insanités du monde, ou bien mettre sous leurs yeux tous les acteurs pro-Algérie à l'ONU, complètement nus, ça ne va ni les choquer ni encore moins les émouvoir. Ces gens-là, c’est l’écran Marocain de vérité, le petit comme le grand, qui leur fait peur.

En fait, ce n’est pas qu’ils ont la trouille. Dans leur vie anti-Marocaine de tous les jours, ils ne reculent devant rien, et encore moins, devant les trucs les plus obscènes et les plus abjects. Mais, dès qu’ils rentrent chez eux, qu’ils mettent, lui sa gandoura de faux dévot, elle, son voile d’ex-vierge effarouchée, ils deviennent des censeurs en puissance: couvrez tous ces corps que nous saurions voir et faites taire toutes ces insolentes et tous ces voyous mal élevés qui osent s’introduire dans nos affaires internes et externes! Nous avons constaté au fil du temps que la crédibilité Marocaine et le rayonnement de la diplomatie royale leur ferment toutes les chaînes et toutes les salles qui diffusent les insanités Algériennes!

D’ailleurs, notre nouveau ministre, l'homme à la trempette,  qui connaît bien le champ du jonglage du rabbin de la propagande étrangère de l'Algérie devrait demander à l'ONU la poursuite de ce fou furieux et le faire juger aussi bien pour ses propos injurieux contre le Royaume que pour ses menaces de mort, à peine voilées en mission de chantage, du bâtard algérien à Guarguerate.

Les Marocaines et les Marocains ont depuis longtemps choisi leur chemin qui est résolument celui de la vérité sur tous les conflits avec les algérien depuis la guerre des sable en 1963 à nos jours. et donc de la transparence et de la clarté concernant l'intégrité territoriale nationale, surtout celles de s’exprimer, par tous les moyens et sur tous les sujets y afférents qui leur plaisent à travers le monde et surtout en Afrique qui vient tout juste de s'éveiller du cauchemar algérien, que ça plaise à nos ennemis ou pas, c'est leur affaire.

Ce n’est pas à nous de quitter l’enceinte de l'ONU après le 27 avril prochain, mais à eux "algésario" avec tous les rétrogrades et les obscurantistes de tout bord, qu'ils en avaient rassemblé autours d'eux pour nuire au Maroc. IL n'auront plus qu’un seul choix : se plier devant la raison et y faire changer leur entêtement ou bien aller au bon endroit pour chanter les Kabyles et les M'zab, là où personne ne leur retiendra!

En attendant, nous, nous allons continuer de montrer au monde entier que le Maroc est un pays de paix et de sécurité, non concerné par la paix ou sécurité,"imposées" du pseudo-conseil  algérien de Smail Chergui à l'UA et que son peuple n'est pas enfermé dans les carcans de propagandes et de déformations algériennes qui ne sont en fin de compte que des coups d’épée dans l'eau du champ hypocrite algérien . 

Maintenant que c’est dit, je n’ai plus qu’à vous dire vivement mes chers lecteurs la fin de toutes les pièces théâtrales jouées par le BanKiMooniste et son gamin Christopher Ross, dont le sujet n'était que "nuire et nuire davantage au Maroc pour bien déguster l'offrande laitière de la Sonatrach algérienne..

Avant de prendre la parole pour nous salir, les algériens, le polisario et leurs alliés devraient d'abord prouver qu'ils sont eux-mêmes propres...Il y a des coïncidences qui n'en sont peut-être pas, qui sont plus que cela, qui signifient sans doute quelque chose. À nous de savoir y déceler un sens..

Maintenant, vous vous demanderez peut-être pourquoi je me préoccupe de ces ennemis. La bonne question est: pourquoi ces macro-pays se préoccupent-ils de nos oignaux? Je m'explique: en tant que citoyen marocain, je subis l'impact de la campagne que mènent le Venezuela et l'Afrique du Sud depuis des années contre le Maroc, le premier à l'ONU, le second à l'Union africaine aussi bien qu'à l'ONU. C'est à cause d'Etats faillis de cet acabit que la question du Sahara n'a pas encore été résolue. Ils continuent de la gratter comme un abcès purulent au lieu d'aider à sa résolution politique. Si encore c'était la Suisse ou Singapour... mais le Venezuela!... mais l'Afrique du Sud du bouffon Zuma!

On croit rêver. Qu'est-ce qui peut bien passer par la tête de leurs représentants à l'ONU lorsqu'ils prennent la parole pour nous chercher des noises? ils mijotent rien que ce qui est mémorisé dans leurs valises diplomatiques :

«Mon gouvernement est tellement incompétent que je dois envoyer de New York du papier-toilette à ma famille, mon Président est tellement corrompu qu'il veut construire des centrales nucléaires juste pour empocher des commissions sous la table, mais je vais donner des leçons au lointain Maroc dont, par ailleurs, je ne sais rien de lui !

Mais je suis contraint, comme beaucoup de mes collègues dans divers points de chantage, de  lire et relire mes copies et suivre le vent qui souffle au seuil de ma présidence qui, si je me trompe, je risquerai la mise à pied.

Croyez-moi je n'y peux rien, je suis qu'un cantonnier qui dégage le sable devant chez-soi, bien loin de celui qui a des pensées athées. Je ne suis en fin de compte qu'un agent d’exécution qui veille au respect des carcans du règlement et de la discipline diplomatique que mon président affiche pour l'obtention d'un doctorat ou d'un magister auprès de l'Université-Sonatrach de l'Algérie»(sic)

On se prend à souhaiter une nouvelle réglementation à l'ONU: avant de prendre la parole pour salir un pays comme le Royaume du Maroc, messieurs les représentants sont priés de prouver qu'ils sont eux-mêmes propres... Avec ça, il ne nous resterait que peu d'adversaires.

  Ce qu'il faut savoir du rapport annuel de l'ONU sur le Sahara Marocain...!                                                                                                                

La première copie du très attendu rapport annuel du secrétaire général de l’ONU sur le Sahara a été distribuée, ce lundi 10 avril, aux 15 membres du conseil de sécurité. Ce rapport prépare le vote de la résolution concernant le renouvellement du mandat de la MINURSO qui doit prendre fin le 30 avril prochain.

Antonio Guterres recommande, dans son rapport, la prolongation du mandat de la MINURSO au 30 avril 2018 ainsi qu’un monitoring indépendant, impartial et exhaustif des droits de l’Homme au Sahara et dans les camps de réfugiés.

Plusieurs sources diplomatiques. Ainsi, dans les coulisses de la diplomatie Marocaine, on estime le rapport de Guterres est plus équilibré que celui de l’année dernière. La grande nouveauté, pour nombre de nos diplomates, concerne l’appel fait à la Mauritanie et l’Algérie. En effet, dans le paragraphe 83 du rapport, le secrétaire générale affirme que “l’Algérie et la Mauritanie, en tant que pays voisins, peuvent et devraient apporter une contribution importante” au processus.

La phrase sans doute la plus importante du rapport du SG de l’ONU est celle-ci : «J’ai l’intention de proposer que le processus de négociation soit relancé avec une nouvelle dynamique et un nouvel état esprit qui reflètent les orientations du Conseil  de sécurité dans le but d’aboutir à une solution politique mutuellement acceptable et qui conduit à la résolution du différend sur le statut ultime du Sahara occidental, y compris par un accord sur la nature et la forme de l’exercice de l’autodétermination».

Les derniers mots de cette phrase revêtent une importance considérable, dans la mesure où ils ouvrent pour la première fois la voie à des négociations, en vue de définir la nature et la forme de l’exercice de l’autodétermination.

Tout est ouvert et tout est remis sur la table pour que cet exercice puisse s’établir aussi d’autres manières, et pas seulement sous la forme du référendum devenu impossible. Dès lors, cette autodétermination peut s’exercer de différentes façons, dont une autonomie réelle qui garantisse aux populations du Sahara une gouvernance spécifique.

Et ce n’est pas tout: le SG demande à l’Algérie d’apporter sa contribution (!) pour trouver une solution au conflit. Tout le monde sait que l’Algérie est partie prenante dans ce conflit et qu’elle a beau se réfugier derrière de beaux principes, aucune solution ne sera trouvée tant que ce pays s’y refuse.

Argument de bon sens. Le Maroc a toujours su apprécier les principes de “respect de la neutralité et de la non-ingérence”. Toutefois, si la proposition de Köhler n’est pas approuvée, il est impératif que le successeur de Ross soit impartial, chose qui ne serait possible que si la neutralité de l’envoyé spécial est irréprochable et au dessus de tout soupçon.

   Quand Mr.Gueterres ignore les billevesées Algériennes de l'UA...!

Dans son rapport, distribué hier lundi 10 avril aux quinze membres du Conseil de sécurité, le SG de l’ONU Antonio Guterres a superbement ignoré les rodomontades servies par ce charlatan algérien à l’Union africaine, le dénommé Smaël Chergui, suite à sa «réunion ad hoc» du 20 mars à Addis-Abeba qui n'a rassemblé que deux pays africains (Kenya et Angola) de 54 pays membres et le polisario.

Les gesticulations de cet algérien à la paix et à la sécurité, n’ont finalement pas eu l’effet escompté par ses maîtres galonnés tapis au luxueux Club des Pins, à Alger. Dans le rapport du secrétaire général de l’ONU, soumis à l’approbation des quinze membres du Conseil de sécurité, il n’est fait nullement mention des «recommandations» émises au nom du Conseil de paix et de sécurité relevant de l’UA, à l’issue de la «réunion ad hoc» que le dit commissaire a convoquée le 20 mars au siège de la structure panafricaine, à Addis-Abeba, au sujet du Sahara Marocain.

 
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                                                    Mr. Horst Köhler,  futur émissaire Onusien pour le Sahara

Des médias rapportent cette semaine, que des rumeurs insistantes ont désignés ces derniers jours Mr. Horst Kohler, ancien président allemand, au poste d’envoyé spécial pour le Sahara Marocain. Un journaliste avait même affirmé, que le Maroc comme l'Algérie et le Polisario se seraient “montrés prédisposés mais ils n’ont pas encore donné leurs accords définitifs”.

Certains médias le disaient aussi, l’Algérie n’était pas très à l’aise avec cette proposition. Dans un article intitulé  "Horst Kohler, mauvaise piste" du journal algérien l’Expression, un journal réputé proche des généraux,  se demandait depuis Alger, si “le nouveau secrétaire général de l'ONU prendra le risque de confier une telle mission à un néophyte des questions internationales?”.

Affichant clairement sa préférence, et donc celle des généraux, le journal affirme que Köhler est un “spécialiste des questions économiques et financières, et que rien n'indique dans son CV qu'il a une quelconque expérience diplomatique. Au contraire de ses trois derniers prédécesseurs, les Américains James Baker, Christopher Ross et le Hollandais Peter Van Valsum, qui furent des diplomates chevronnés.” Une véritable prise de position officieuse d’Alger.

                          Le polisario essuie une nouvelle gifle suédoise.

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                                                      La ministre Suédoise des AE Mme Margot Wallström

La motion sollicitant la reconnaissance de la RASD a été rejetée à l’unanimité, ce dimanche 9 avril, par le congrès des sociaux-démocrates suédois, qui regroupe 4000 délégués dont un représentant de l’Union Socialiste Marocaine des Forces Populaires (USFP).

Le congrès a rejeté cette motion proposée par quelques membres et qui visait à reconnaître «l’entité chimérique». Les Algésarios, qui espéraient que la Suède changerait de position, ont finalement été déçus.

L’ambassadrice de Sa Majesté le Roi en Suède, Mme Amina Bouayach, a assisté aux travaux de ce congrès, en compagnie d’une conseillère politique de l’ambassade. De son côté, le Polisario était représenté par Mohamed Sidati, le pseudo-représentant du front en Europe.

Un membre du parti social-démocrate suédois des travailleurs, a déclaré que la « Suède soutient les efforts du secrétaire général de l’ONU et de son envoyé spécial pour promouvoir le processus des pourparlers afin de trouver une solution juste dans le cadre de l’ONU ».

Pour rappel, cette décision du congrès de ne pas reconnaître la RASD est en phase avec la politique du gouvernement de Stefan Löfven qui avait, lui aussi, renoncé (en janvier 2016) à établir des relations avec le polisario. Ce nouveau refus montre, une fois de plus, que le Polisario ne jouit pas d’une très grande sympathie au niveau de la scène diplomatique internationale comme le laisse entendre la presse algérienne, pour ne pas dire la presse du Rabouni à Tindouf.

                                        Et l'Union Européenne, que dit-elle ?

                                                     Federica Mogherini

                                                   Mme FEDERECA MOGHERINI, ministre Européenne des AE

De son coté  Mme FEDERECA MOGHERINI, infligeait un camouflé à l'Algérie Lors de sa visite officielle en Algérie, la ministre Européenne des affaires étrangères de l'Union Européenne a fait avorter la tentative des responsables algériens de discuter du dossier du Sahara et des relations européennes avec le Maroc.

Décidément, l’Algérie ne manque aucune occasion de mettre sur la table le dossier du Sahara Marocain, même quand il est question de relations de partenariat d'Alger avec les autres pays. Il s'agit là de tentatives désespérées de l'Algérie pour pousser ses interlocuteurs à des déclarations et prises de position favorables à ses thèses et à sa création de Tindouf .

A ce propos, Mme Federica Mogherini, la haute représentante de l'Union européenne (UE)  a réduit à néant la tentative d’introduire le dossier du Sahara et les relations européennes avec le Maroc dans ses discussions avec le ministre des Affaires étrangères de l'Algérie,le rabbin Ramtane Lamamra, lors de sa visite officielle en Algérie.

MOGHERENI a rappelé, à cette occasion, la position officielle de l’Union européenne par rapport au Sahara marocain et mis en avant les efforts du  nouveau secrétaire général des Nations Unies pour trouver une solution politique entre Rabat et Alger..

 

    Un Guetrres à l'ONU réduit au silence la presse algésarienne.

Alors que les sites séparatistes se retranchent dans un silence d’enterrement, sûrement parce que les «instructions» en provenance d’Alger ont tardé à venir, l’APS (l'agence de presse algérienne), elle, donne le ton pour rappeler à notre triste souvenir Christopher Ross.

Les sites séparatistes, d’habitude loquaces quand il s’agit de réagir à un rapport de l’ONU sur le Sahara, ont étrangement avalé leur langue et s’abstiennent d’avancer le moindre commentaire au sujet de ce premier rapport de Mr. Gueterres, le SG de l’ONU.

D’autant plus étrangement que ces sites ont été les premiers à relayer, il y a une semaine, un simulacre de rapport élaboré et publié par un organisme de lobbyistes américains, en l’occurrence le Security cousin report (SCR). Un rapport résolument hostile au Maroc, attribué faussement au SG de l’ONU.

Que s’est alors passé pour que les dits sites séparatistes observent aujourd’hui un silence semblable à celui qui prévaut dans les cérémonies funéraires? L’effet Guterres y est-il pour quelque chose? Sans doute. Mais patience, car derrière ce silence d’enterrement, il y a aussi un paramètre qui ne doit pas passer inaperçu. Les sites séparatistes, on le sait, ne sont que les chambres de résonance des instructions données par leurs maîtres à Alger. Du coup, ce silence pourrait être expliqué par le fait que les instructions aient tardé cette fois à venir.

Car ce mutisme appelle en écho celui de nos ennemis algériens, au détail près que certains d’entre eux, pour ne pas les citer, ont accusé le coup en servant une lecture très sélective du rapport du SG de l’ONU.

L’APS, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, semble avoir reçu les premiers éléments de langage de la part du département de Ramtane Lamamra (ministre algérien des AE, qu’on ne présente plus tellement il pue la Marocophobie!).

Voilà ce que cela a donné: «Relance des négociations. Le Maroc a refusé de recevoir Christopher Ross»! L’APS n’a rien trouvé d’autre à se mettre sous la dent que le désaveu infligé par Rabat à cet ancien ambassadeur des Etats-Unis à Alger, dû à la flagrante partialité de cet émissaire (très spécial) pour le Sahara! «Le Maroc  a opposé un niet catégorique au déplacement de l’émissaire onusien, Christopher Ross, à Rabat, en vue de relancer le processus de négociations au Sahara occidental», précise cette APS.

Ce que je crois, (28 avril 2017 )

 

La Sud-Africaine Dlamni Zuma est transformée en homme Tchadien....? 

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                                 Moussa Faki Mahamat, le nouveau Dlamini Zuma

Le Marocain et la politique ne font qu’un.J'avais pas l'intention de parler des présidentielles Françaises, mais nécessité oblige. Je suis de plus en plus impressionné par l’intérêt presque démesuré qu’accordent nos concitoyens et nos concitoyennes à la politique en général et à celle des autres, en particulier. Et les autres, ce sont, entre autres, nos amis Français et Américains avec qui nos liens bilatéraux sont au beau fixe malgré le Trumpisme ou le Le Penisme.

Qui a dit que les Marocains ne s’intéressent pas à la politique? C’est une erreur monumentale de le croire. Le Marocain et la politique ne font qu’un. Je devrais même dire “ne font qu’une” car quand je dis Marocain, je dis aussi la Marocaine. Et je devrais le faire d’autant plus que ces derniers jours cette dernière fait beaucoup parler d’elle. - qui finira sûrement un jour par devenir première dame Marocaine à la tête du gouvernement-

Pour revenir à la politique en général, tous les étrangers confondus. Cela dit, et c’est là notre spécificité, cette passion et cet intérêt sont souvent passagers. En effet, la plupart du temps, c'est le débat - si on peut appeler ça un débat - vire très vite vers des sujets plus terre-à-terre et plus terroir-terroir.Je m'explique :

Encore une autre Dlamini Zuma..! J'avais pas envie  d'écrire quoi que ce soit avant le 27 avril, le jour "J" de l'épouvantail du mois d'avril de l'ONU sur le Sahara Marocain, étant être sûr, selon ma propre conviction que les échos du séjours royal à Miami auront certes des répercussions favorables sur les chuchotements aux coulisses des Nations Unies, aux seuils des quinze du Conseil de Sécurité en particulier, mais des choses ayant trait à la politique d'autruche algérienne se sont produites et qui devaient être signalées au grand lectorat de mon blog.

L’ex-ministre des Affaires Étrangères du Tchad, Moussa Faki Mahamat, nous qui en croyons en Afrique,  être l'homme de la raison, lors de son élection à la présidence de la commission de l’Union Africaine, était, ces jours-ci, en déplacement aux Etats-Unis pour exposer les sujets les plus préoccupants du continent africain.

Cependant, il semblerait que celui-ci avait d’autres intentions en tête : Il cherchait de plaider pour les intérêts et la thèse de l'Algérie et du Polisario, auxquels, il devait donner les comptes et faire preuve à l'occasion de sa justification, voire d'expirer les odeurs de la Sonatrach qu'il aurait respirées auparavant, avant d'être conduit à la tête de cette fameuse Commission Africaine en remplacement de la moucharde Sud-Africaine Dlamini Zuma.

C'est ainsi, que le président de la commission de l’Union Africaine a rencontré à New-York Antonio Guterres dans le but de le pousser à changer d’avis concernant la question du Sahara. Cependant, le secrétaire général de l’ONU, ne s’est pas laissé prendre au piège de Mahamat connu pour sa proximité avec l’Algérie. La preuve en est sans doute le communiqué publié après la rencontre des deux hommes, qui revient minutieusement sur toutes les questions abordées lors de l’entrevue, à l’exception du dossier du Sahara Marocain qui n'est pas du ressort de sa Commission et qui ne doit pas l'aborder ou s'en mêler à ce niveau.

Que tout le monde via son intermédiaire doit comprendre que le temps de l'anarchie Bankimooniste à ce stade est révolu avec l'arrivée du nouveau Secrétaire général de l'ONU, qui n'est que  Mr.Antonio Gueterres. Sachant qu'avec ce dernier , ni le pétrodollar algérien, ni l'odeur de sa Sonatrach ne valent rien devant la richesse raisonnable et morale de cet homme.

Mr. Dlamini-Mahamat Faki qui devait par la même occasion rencontrer le secrétaire d’Etat américain, Mr.Tillerson, a vu toutes ses aspirations tomber à l’eau après l’annulation pure et simple du rendez-vous à la dernière minute. Tillerson, qui ne pouvait pas le recevoir en personne, en tant que tel , lui avait proposé de rencontrer des membres de son département. Mais, l’ex-chef de la diplomatie tchadienne qui croyait si simple, avec sa nouvelle qualité de haut responsable de l'Union Africaine, pouvoir grimper l'échelle du Département d'Etat Américain, va lui décliner cette proposition et rebrousser chemin, revenant bredouille à ses commanditaires algériens.

La désillusion du Tchadien va vite se faire savoir par le biais de l’ex-ambassadeur et Sonatrachien des Etats-Unis auprès de l’Union Africaine, Mr.Bridgety.«Les responsables de l’Union Africaine ont été indignés» indiquait-il. Il s’agit, pour lui, d’une grande faute diplomatique au moment où l’Afrique est considérée comme l’un des alliés majeurs des Etats-Unis.

C'est ridicule pour un diplomate Américain qui tient bonne place au "Moqif Onusien",(lieu de rassemblement de la main d'oeuvre ouvrière qui cherche du travail) particulièrement au moment où les Africains sont de plus en plus conscients de leurs choix en termes de partenariats à travers le monde », commente cet ex-diplomate américain qui lui aussi n'est pas encore guéri ni sorti indemne des sales odeurs hydrocarbures de la Sonatrach Algérienne.

Pour sa part, la dénommée Arikana Chihombori, ambassadrice de l’UA aux Etats-Unis, qui n'est pour nous Marocains, qu'une autre Dlamini, une lauréate de la saloperie Sud-Africaine, a essayé d’atténuer les remous dans un article paru dans la presse locale dans lequel, elle explique que « ses contacts au niveau du département d'Etat ont été très attentifs et ont fait de leur mieux (!)», tout en précisant que cet incident ne risque pas d’entacher les relations entre les Etats-Unis et l’Union Africaine.

Nous devons être au-dessus de ce genre de situations, a-t-elle en substance martelé, «retenue diplomatique oblige» selon sa conviction de joueuse de cartes et de pocker à ce haut niveau de casino onusien.

Mise au placard du rabbin d'Alger..! Mais où a donc disparu le «soldat» Ramdane Lahmamra? Pourquoi et comment est-il passé au second rang au profit de son élève, Abdelkader Messahel, devenu le véritable maître du ministère des Affaires étrangères, alors qu’il est censé être second dans l'ordre hiérarchique?

Des indicateurs et pas des moindres à Alger attestent que ce très marocophobe, promu ministre d'Etat aux Affaires mensongères de l'Algérie en 2013, dit-on, par Bouteflika, après avoir officié près de treize ans en tant que commissaire de l’Union africaine à la Paix et la sécurité, est mis au placard par le clan présidentiel, aux yeux duquel il est tombé en disgrâce depuis le retentissant loupé du «Forum d’affaires d’Alger» où son département était en charge de l’octroi des visas aux invités étrangers.

Pour rappel, le dit «forum» improvisé par Alger, dans l’espoir de contrebalancer l’aura économique du Maroc en Afrique, avait coûté son poste à l’ambassadeur d’Alger à Paris,  Amar Ould Jemaâ, bouc émissaire à qui l’on a fait porter le chapeau d’une humiliation sans nom.

Depuis, Ramdane Lahmamra rase les murs. Mieux, il se fait coiffer au poteau par son ministre délégué, tout aussi marocophobe, l’inénarrable Abdelkader Messahel. C’est ce ministre délégué auprès de Ramtane Lamamra, chargé de l’UMA, des Affaires africaines et de la Ligue des États arabes, qui occupe les devants de la scène, ramenant vers lui toute la couverture ou presque de l’action diplomatique algérienne. «En bon diplomate illusionniste, le comédien mis en scène il y a quelques jours pour attester de la bonne santé du chef de l’Etat, lors du dernier montage de la télévision publique, incarne à lui seul l’audacieuse imposture d’un gouvernement qui dissimule très mal la vacance du pouvoir». 

Chouchou (pour le moment) du clan présidentiel, mené par le frère de Bouteflika, Saïd, Abdelkader Messahel s’est en effet vu confier le rôle peu reluisant d’apparaître, le 19  mars dernier, en face du président-fantôme, dans le but de rassurer l’opinion publique algérienne que ce dernier est encore vivant et capable d’un minimum de motricité.                                                           

Tout cela pour vous dire que le clan Bouteflika vient de mettre au placard le rabbin de sa politique étrangère, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramdane Lahmamra, s’efface du champ diplomatique algérien au profit de son grand mule,  Abdelkader Messahel,le ministre délégué aux ...et aux... et aux..!, devenu le favori du clan présidentiel, particulièrement de l'heureux prince de l'Algérie (Said Boutef..) et véritable patron de la diplomatie algérienne.
 
Un cas de figure instructif de la gabegie et de l’arbitraire qui dominent à Alger. Le titre de ministre délégué à diverses options lui permet d'être le serviteur, au premier plan, de la famille en règne avant de penser aux intérêts de l'Algérie.
 
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                                                                              E.Macron et le rabbin d'Alger

L'amitié d'Emmanuel Macron..! Et pourtant, il y a de quoi critiquer l’Algérie en général et le ministre des affaires étrangères algérien, Ramdane Lahmamra en particulier, si on croit un quotidien électronique algérien qui vient de notifier au grand public algérien que ce rabbin est sorti de sa coquille pour apprendre aux algériens l'amitié de l'Algérie à Emmanuel Macron le candidat favori au deuxième tour des présidentielles Françaises, prévu le 7 mai prochain.

«Macron c’est notre ami et c’est suffisant. Nous attendons le second tour », déclarait Lamamra deux jours après la proclamation des résultats du premier tour des élections présidentielles françaises.

Ce à quoi, l’auteur de l’article répond que «la cosa nostra» qui dirige l'Algérie, ne remplit aucune des conditions pour prétendre à l’amitié d’un homme enfanté par un système démocratique.

Pour ma part, je ne dois pas mâcher mes mots et expliquer aux algériens pourquoi il ne peut y avoir d’amitié entre Emmanuel Macron et l’Algérie. D’abord, il y a une grande différence entre les régimes politiques des deux pays, autrement dit la transparence qui existe en France, fait un grand défaut en Algérie. Emmanuel Macron ce jeune économiste Français, en dépit de toutes les opinions qu’on peut avoir sur son parcours, est le produit d’une vie politique trop transparente. Tandis que le régime dont il fait partie Lahmamra et ses pairs et pour lequel ils y font la réclame n’est rien d’autre qu’un ‹amas de débris d’un système mafieux et grabataire›, qui s’effrite certes mais, hélas, trop lentement.

C'est vrai que Macron qui est le résultat d’une compétition électorale transparente et qui déclare aller plus loin dans la transparence, l’exigence démocratique et la moralisation de la vie publique des Français, surtout de sa jeune génération. Ce qui n’est pas le cas en Algérie où les listes électorales d'une démocratie de slogans (!) sont truquées, triturées et le mandat de député algérien est tout simplement acheté au marché d'Ould Abbas, le premier thuriféraire algérien acharné à la tête d'un vieux parti unique,  de vieilles hyènes, le FLN.

La deuxième raison pour laquelle Macron ne peut être l’ami de l’Algérie malgré ce qu'il disait durant son passage en février dernier à Alger sur le colonialisme Français de l'Algérie, c’est que celui-ci  quant il «venait d’entrer au collège de la cité, Bouteflika était déjà aux commandes, il devint président de la république algérienne et que ce même Bouteflika sera toujours là quand Emmanuel Macron prêtera serment en qualité de plus jeune président de la 5ème république Française».

En mettant l’accent sur la grande différence d’âge entre Macron et Bouteflika, l’auteur de l'article montre aussi la différence qu’il y a entre les régimes des deux pays. Macron entend améliorer le renouvellement et le pluralisme de la vie politique en France alors qu’en Algérie Bouteflika à 80 ans est président-fantôme depuis 17 ans et pourrait être reconduit à la tête du pays malgré son état de santé qui s’est beaucoup aggravé.

Le fils de papa Chirac et le cadet de Sarkozy..Emmanuel Macron a adressé un message aux Français du Maroc, à quelques jours du second tour.Pour nous au Maroc, cet Emmanuel est un adolescent politique, il peut commettre des gaffes politiques à notre direction puisqu'il a été vu au mois de février dernier en train de demander l’aumône algérien pour payer sa campagne électorale sans tenir compte du poison que peut contenir le pétrodollar algérien et qui aura certes, des conséquences fâcheuses sur son avenir politique.

Sachant que ses prédécesseurs étaient tous très vigilants envers ce poison. Laissons-le parler aux Français, campagne oblige.«Vous n’avez jamais autant pesé dans une élection présidentielle, malgré les difficultés. Vous nous avez ainsi montré que votre attachement à la France reste très fort, et c’est pour cela que nous devons vous permettre d’être plus impliqués dans la vie démocratique de votre pays », peut-on lire dans ce message.

Aujourd’hui, Emmanuel Macron souhaite rassembler tous les Français et c'est normal pour un candidat, dans de cas pareils de brûler tout bois pour vaincre, et nous savons que nombre d’entre eux sont encore indécis.

Ainsi, des comités de soutien sont d’autant plus mobilisés pour présenter son programme qui me paraissait un programme très flottant et improvisé, il ne s'attendait pas à son score du premier tour. Mais en tout cas il serait l'élève bien élevé de papa Chirac à Taroudant et le frère cadet de Sarkozy aux palmiers de Marrakech si l'on croit qu'il mettra les pieds au Maroc après son investiture.

Hospitalisation surprise à Ain Naâja..A cause de la chaleur du placard Ramdane Lahmamra hospitalisé, souffrant de la palme du plus Marocophobe des dirigeants algériens, et de triste symbole d'une hostilité anti-marocaine gratuite., a été admis à l'hôpital militaire de Aïn Naâja (Alger) pour subir des examens médicaux. Cette hospitalisation intervient alors que le ministre est mis au placard par le clan Bouteflika au profit de son subordonné Abdelkader Messahel. 

Lahmamra n'est pas à bout de ses peines. Il finit à l'hôpital une traversée du désert qui dure depuis décembre 2016, après le retentissant loupé du "Forum d'affaires d'Alger" pour lequel son département était en charge de l'octroi des visas aux invités étrangers qui n'étaient d'ailleurs trop peu pour meubler la salle.

Un loupé ou plutôt un échec, faut-il le rappeler, qui a coûté son poste à l'ambassadeur d'Alger à Paris, Amar Ould Jemaâ, le bouc émissaire à qui l'on a fait porter le chapeau de l'échec d'un forum censé contrebalancer la percée économique du Maroc sur le continent africain.

Une humiliation qui a sonné la descente aux enfers de ce ministre dictaphone d'un régime viscéralement hostile au Maroc, au profit de son second, Abdelkader Messahel, autre Marocophobe attitré, qui l'a coiffé au poteau pour devenir, avec l'aide de Saïd Bouteflika, frère du président algérien, le véritable maître du département des Affaires étrangères propagandistes de l'Algérie

                       Ce que je crois, (07 avril 2017 )

 

                                 Le Maroc et l'épouvantail du mois d'avril

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Cher lecteur,

Ai-je bien choisi le moment d'écrire et faire entendre la voix de la raison au-delà de la frontière avec l'Algérie?, sachant que l'anarchie que les algériens s'étaient imposée dévore la chair et les os du peuple algérien ? J'ai presque honte de me poser cette question. Je me sens un peu ridicule moi qui vis dans le calme, la stabilité, la sécurité et dans liberté totale que m'offre la jeune démocratie Marocaine. Je me sens très à l'aise, loin de plusieurs milliers de kilomètres de l'état obscure où les ennemis de l'intégrité territoriale de mon cher Maroc se font volontairement jetés depuis leur indépendance.

Je ne saurais écrire, depuis la création de mon blog en 2006,  un écrit ou une intervention juste au sujet de l'ingratitude, l'arrogance et l'orgueil de nos frères-ennemis algériens. Je prie mon lectorat de me pardonner s'il constate que je suis égarés dans l'abondance de mes idées,ou si des maladresses s'y sont glissées.

Je ne trouve pas le ton adéquat pour parer à tous les excès du pouvoir algérien envers mon pays depuis la violation Egypto-Algérienne de Hassi Beida et Tinjoub en 1963 contre le Royaume à nos jours, quelque chose en moi refuse de me livrer aux émotions. Une boule de chagrin me noue le cœur, comme beaucoup d'autres dans l'oriental Marocain, j'hésite, de temps à autre, entre la réticence et la colère. Non, je ne veux pas me céder à l’abondant tant qu'il y a, à l'autre coté de notre frontière-est une génération racaille détenant les destinées d'une veuve-Algérie, à force d'hypocrisie, de sales bottes et d'armes et qui n'arrive pas, par effet de haine et d'hostilité, à remercier notre générosité, ni à nous laisser tranquilles.

Et Malgré, je veux bien écrire avec la raison la plus éveillée, la plus chevillée au front, loin du lyrisme qui folklorise l'autre peuple algérien. Non, je ne veux plus pleurer à leur place, ni me révolter dans la langue de leurs aïeux.

Je m’empresserai à rendre leur cerveau sensible et leur cœur intelligent. «Nous sommes un peuple généreux, accueillant» comme en témoigne tout hôte visitant notre pays, nous n'avons jamais crié sur les boulevards, dans les lycées, ou encore moins dans les facultés, les deux Printemps Kabyles, (le berbère et le noir),ou pendant les événements de la vallée du M'zab à Ghardaia au sud de l'Algérie...

Nous sommes un peuple pacifique,(pas spécifique comme il se réjouit de répéter au parlement-écurie Algérien le député algérien Missoum Tahar. Nous ne s'ingérons pas dans les affaires des autres conformément à nos esprits et à notre constitution. Les algériens par contre, le font avec un enthousiasme acharné, ils ne cessent de s'ingérer trop dans nos affaires internes et externes depuis le maudit Ahmed Ben Bella à ce Bouhmamara qui respire artificiellement, faisant perdurer le calvaire à un peuple opprimé, un peuple de dingues, ayant froissé la dignité du vrai peuple algérien d'oued Soumam et de la révolution de novembre 1954. Tans pis pour lui..!

C'était bien la vérité qui certes consolait le dingue algérien, mais, à la nuit tombée, les algériens, les simples algériens mordaient les doigts dans un sommeil agité et sans promesses. Il leur en manque de suite dans les pseudo révoltes avortées. Ils sont paniqués dans leur quotidien, piégés même, par leur propres cris, voire les cris de leur charlatans de l'opposition, à leur tête un certain Ali Benflis et Louisa Hanoune, la poule algérienne qui ne donne pas d’œufs aux affamés sauf le non sens et de la confusion. La liberté dans les mots en Algérie ne vaut pas forcément la liberté dans les actes.

C'est l'amour du verbe qui les a paradoxalement sauvés et piétinés jusqu'ici en Aklgérie. Les joutes réglaient leurs conflits, soi amicalement ou à coup de force (le fort mange le faible), les femmes tissaient des contes de leurs ancêtres d'autrefois et les troubadours faisaient du théâtre sur les routes,hissant des faux barrages de sécurité pour subvenir aux besoins de vengeance d'une part et de l'autre provoquer la racaille-armée de Aâmhoum Salah, le caporal Français qui commande effectivement l'Algérie derrière les coulisses, qui faut-il le rappeler, perd dans son propre fief et qui fait du jonglage et de la musculation avec son polisario aux portes de notre frontière.

Tant de bonnes offices sont éteintes, mais la nôtre a survécu aux bourrasques de l'histoire, mais à quel prix ? Je crois avoir décelé un défaut dans notre façon d'apprivoiser le cours du temps, nous étions très fiables, voire trop souples avec l'arrogance et le têtu des algériens. À trop imiter l'aigle, nous avons oublié notre marche et nous avons développé le complexe des caporaux de France et le gâté de Bab Sidi Abdelouahab d'Oujda qui meurt en silence ou qui est déjà passé à l'enfer puisqu'il n'a pas reçu physiquement le premier ministre Français Mr.Bernard Cazeneuve au terme de sa visite  de deux jours (6-7 avril) en Algérie.

Le ciel de toute sorte de propagandes destructives leur appartient, mais il en manque à notre générosité et à notre pardon l'ancrage nécessaire pour les contrarier. Nous étalons nos ailes dans le vide avec cette sale race et regardons avec mépris les quadrupèdes de ces salauds d'Alger.

Où m'en vais-je ? le rythme des phrases m'échappe. Au lieu de demander, où allons-nous avec ces connards?. C'est plus fort que moi : la mondialisation est menaçante, le consumérisme et le fanatisme, la propagande et la sale odeur de la Sonatrach algérienne ont pris en tenaille tout le peuple algérien et les tyrans de l'Etat, dépassant la frontière algérienne pour atteindre surtout les états fragiles en Afrique et Amérique Latine et Caraïbes. L'avenir algérien sera gris,pour ne pas dire noir hélas, et beaucoup de routes mèneront les Algériens à la désolation.

Un être hybride sortira des décombres de la mauvaise gestion de l'Etat Algérien, surtout en politique étrangère un croyant-consommateur algérien, affamé et aveugle. Il étouffera le bon voisinage tant attendu par nos peuples, le voisinage que la nature géographique nous a collé au dos, à notre détriment. Étouffera, je veux dire aussi l'humain de part et d'autre, et pourquoi pas l'État et la nation algériens.

Vous remarquerez de ce qui précède que je ne sors pas encore de l’ambiguïté. Je m'en excuse. Croyez-moi, je ne sais pas pratiquer l'art de l'esquive. Les digressions me conduisent inéluctablement vers le tragique. Je suis un sceptique, comme un révolté.

De notre coté, dans la nouvelle ère que nous vivons actuellement au Maroc, nous avons appris, grâce à la clairvoyance de SIDNA, et à la grande marge de liberté qu'il nous a honorablement affiché, à dire non aux tyrans, aux soumis, au bruit de gâchette et de bottes, à ceux qui veulent effacer l'empreinte de nos ancêtres de la terre d'Afrique, ou "Taferka", lopin de terre, une appellation d'origine purement amazigh que le commun de chercheurs de Mr.Boukkous pour l'amazighité à l'IRCAM (Institut Royal pour la Culture Amarazigh)  ignore encore certainement.. 

J'aurais aimé discuter de l’histoire, de la foi Maghrebine qui  épouse la nature, de la route des caravanes de Tombouctou et j'aurais tant aimé comparer la vie d'aujourd'hui à celle de la défunte Andalousie, jouer avec les syllabes, mélanger les dictons et les fables, recoller les morceaux de nos soulèvement contre le colon Français, chercher nos failles identitaires, interroger ceux qui restent encore des initiateurs et acteurs communs de la rencontre de Tanger58 et tracer ensemble l'avenir d'un vrai grand Magheb.

Mais malheureusement, je me suis confronté depuis ma jeunesse à des groupes de vieilles hyènes d'origine coloniale, lesquels je ne connais pourtant que le visage, rencontré par hasard sur la toile de confrontations à Hassi Beida et Tinjoub, aux Amgala, et aux sables de mon Sahara que ces hyènes cherchent vainement à polluer avec la saleté de leur Sonatrach en vue de percer une issue vers l'Atlantique. 

Les petites générations naissantes de ce que les algériens appellent "l'indépendance..!" se sont élevées dans l'atmosphère de haine et d'hostilité créée, soi par ignorance ou par impulsion  par le petit cercle de caporaux, bien sélectionné par les mystères du général De Gaules,et par un maudit soit-il bergers issu de la Chaouia d'Algérie pour faire mal aux héritiers de Mohamed Zerktouni et de Allal Ben Abdallah de chez nous et de Aâbane Ramdan et Mohamed Boudiaf de chez eux.

Ces générations mal éduquées, ne connaissent guère l'importance des vertus du nationalisme, du patriotisme et de la fraternité d'autrefois, c'est pourquoi elles se trouvent dépourvues de tout appétit de dénoncer les autorités de leur pays qui s'acharnent contre elles et contre tout le peuple en Algérie.

Sachant que ces autorités qui se sont facilement accaparés du pouvoir sans avoir fait un seul coup de fusil contre un colonialisme de 132 ans passés par-là en Algérie-Française, et leurs commis d'Etat arbitraires n'ont pas accepté l'internationalisation de l'injustice faite à la virginité d'une démocratie retrouvée accidentellement chez un certain Chadli Ben Jdid en octobre 1988,

Le Système algérien, tout le système, n’innove pas en matière de manipulations, toujours les même figures, les même accusations, les même liquidations physiques et les mêmes mensonges en ce qui concerne notre pays le Maroc en politique étrangère du rabbin Ramdane Lahmamra…

C'est-là où je vais m'arrêter en donnant rendez-vous à mon lectorat dans un prochain écrit que je consacrerai au Conseil de Sécurité et à l’épouvantail du mois d'avril.....comme disait Sa Majesté le Roi dans un de ses discours

                    

Ce que je crois, (25 mars 2017 )

Le Conseil algérien (CPS) à l'UA fait cavalier seul et tire à bout pourtant sur le Maroc..!

 

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                                                                      Smail Chergui seul chez lui

Une énième mascarade à l'Algérienne..Il me parait qu'il a été ordonné à la presse algérienne pro-pouvoir d'hausser le ton et tirer à bout pourtant sur tout ce qui est Marocain. Le TSA est un site électronique financé et encadré par les services secrets algériens.Il vient de diffuser un compte rendu sur l'activité de Smail Chergui le subordonné de Ramdane Lahmamra, le rabbin de la diplomatie algérienne en sa qualité de "Commissaire algérien,chef de ce qu'on appelle le "Conseil Africain pour la paix et la sécurité" de l'Union Africaine.

Cet agent-Drsiste algérien (!) avait appelé à une réunion à son "Conseil" pour étudier en urgence l'affaire du Sahara Marocain, avec l'appui de l'Afrique du Sud de Zuma sans avoir l'aval du nouveau président de la Commission Africaine qui n'est pas d'ailleurs une "Dlamini-Zuma". Cette commission, faut-il le rappeler, est l'exécutif de l'Union Africaine. Le Conseil algérien de Smail Chergui, n'est qu'un secteur permis d'autres qui dépendent de ce gouvernement. Il en avait auparavant la main mise sur toute décision ayant trait à l'Afrique, suivant les orientations politiques du pouvoir central d'Alger et de celui du Prétoria, surtout en ce qui concerne la gestion du dossier du Sahara Marocain.

La  pseudo-réunion aurait été tenue le 20 mars au siège de l'UA à Abdiss Abeba dans salle quasiment vide, ne contenait que Smail Chergui, le jongleur de la paix et de sécurité de l'Afrique (!) et les représentants du Niger et du Kenya qui n'ont pas encore donné les comptes et les justifications du pétrodollars qu'ils ont eu sous table via ce petit rabbin qui n'est en général, qu'un clou algérien rouillé, enfoncé au corps l'Union Africaine depuis plus de 16 ans.

Pour nous Marocains, le 28ème sommet Africain de janvier dernier était une étape Africaine décesive qui a mis fin à la domination Algérienne sur l'UA et a fait revenir à l'Afrique sa crédibilité, ce qui n'est pas bien digérée encore par la diplomatie Algérienne d'autruche et par Jacob Zuma de l'Afrique du Sud. L’Algérie continue à croire, malgré cette réalité, qu'elle est bien l'acteur de toujours qui ordonne et applique sans discussion. C'est dans ce contexte que Smail Chergui agisse encore comme il faisait à l'époque de Dlamini Zuma,cette femme esclave du pétrodollars algérien.

Sa réunion n'a aiguisé personne comme à l'accoutumée. Car l’Afrique d'aujourd'hui, n'est pas celle d'avant juillet 2016.Les membres de l'Union Africaine, les poids lourds en particulier, ont vivement tourné la page d'influence, politique et morale, de l'Algérie sur l'organisation, avec le retour triomphal du Maroc à sa famille africaine.

Le temps de laisser la Lesse libre au coup du camelin est révolu. A cet effet,ils n'ont pas rependu présents, le Maroc aussi, pour y jouer encore ou assister simplement au jeu propagandiste algérien qui n'a en fait, que retarder durant, plus de trois décennies d’absence Marocaine, le développement de l'Afrique, en parallèle avec la recrudescence de l'Algérie et la rechute de sa bourse politique.

Pour continuer à manipuler ses pions au jeu de mots, la presse algérienne informe son grand public que la voix de l'Algérie ne peut être endommagée ou cassée par la présence du Maroc à l'UA et que la parole algérienne est toujours de mise. Pour l’anesthésier davantage, elle leur rapporte que le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, présidé par l’Algérien Smail Chergui, a pris le 23 mars, une série de mesures concernant le "Sahara occidental".

Il s’agit dit-on, de la première réunion du CPS initiée par ce général diplomatique de l'Algérie à l'UA depuis le retour du Maroc au sein de l’Union africaine que le Maroc a décidé de la boycotter.. et pour faire valoir de la puissance de la machine propagandiste algérienne, elle passe en revue la description du cash-cash que joue Smail Chergui à la tête de ce conseil sur le dos de son complice Jacob Zuma, sous l'applaudissement de vizirs de polisario, présentés pour meubler la circonstance.

Pour prouver sa décadence, ce Smail Chergui a publié un document à charge contre le Maroc dans lequel il demande le contrôle par l’UA des droits de l’Homme dans le "Sahara atlantique" et la création d’un bureau à Laâyoune. Le pourquoi de cette manœuvre est clair aux aveugles (!) à savoir :

Ayant échoué à bloquer le retour du Maroc à l’UA, l'Algérie cherche à créer une tension dans les instances de l’organisation africaine via ce diplomate Algérien, le plus banni d'ailleurs par tout Africain crédible, élu dans des conditions interlopes à la tête de la plus importante commission de l’UA en devises.   

                       Aucun texte alternatif disponible.

                                                                               La bombe à retardement

Comme vous l'aviez constaté dans la dépêche précédente «ce que je crois du 22 mars» dans ce blog, la Commission paix et sécurité a improvisé lundi 20 mars une réunion "ad hoc" entre le Maroc et les "algésario" qui a fait pschitt et à laquelle n'ont assisté -en plus de l’Algérie et ses vizirs "rasdistes" qui voyagent avec des passeports diplomatiques algériens- que deux pays africains affaiblis par la sale odeur de la Sonatrach, le Niger et le Kenya.

Ce jeudi 23 mars, l’agence officielle algérienne APS a publié deux dépêches fleuves pour rendre compte du document de 12 pages, rédigé par le chargé d'affaires Algérien en sa qualité de commissaire de la CPS à l'UA.

Jusque-là, aucune autre agence de presse au monde n’a donné d’importance à ce document. Ce détail n’est pas anodin. L’Algérien à la tête de la plus importante commission de l’UA rédige et badigeonne un document entièrement à charge contre le Maroc et l’agence officielle algérienne est la seule à en fait le crépissage et rend compte. Décidément, Alger est toujours présente chaque fois que des mesures hostiles sont entreprises contre le Maroc.

Ce charlatan Algérien, à la tête de cette malheureuse Commission paix et sécurité, demande le contrôle par l’UA des droits de l’Homme au Sahara Marocain et la création d’un bureau à Laâyoune pour y suivre l'évolution.

Le pourquoi de cette manœuvre et le but dans tout ça, c'est de faire diffuser, pour la consommation locale en Algérie le communiqué suivant qui emporte tous les déchets politiques que l'Algérie cherche à imposer aux Africains après avoir échoué d'imposer aux Nations Unies.

Sachant que le Royaume n'a pas encore débuté ses opérations purificatrices et de ratissage au sein de l'Union Africaine pour son rayonnement et en respect des chefs d'Etat africains qui l'ont accueilli à bras ouvert. Nous constatons, nous simples observateurs, que notre pays surveille silencieusement le spectacle algérien et les acrobaties de ses comparses tout en intervenant dans les cas urgents, sans oublier bien sûr, de ramasser les bonnes pierres qui toucheront à "mort" ses proies.

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C'est l'Algérie de fièreté et de dignité de Bouteflika

Début citation hypocrise : "Le communiqué félicité le Maroc pour «son adhésion à l’UA, sans conditions préalables ni réserves». «Le Conseil salue la disponibilité du Maroc à s’asseoir côte à côte de la RASD lors des délibérations des organes délibérants de l’UA», poursuit le texte. Mais le Conseil «note avec une profonde préoccupation que (…) cinquante-quatre ans après la décision de décoloniser le Sahara occidental, tous les efforts visant à trouver une solution n’ont pas encore abouti aux résultats escomptés».

Dans ce contexte, «il est impératif que le Royaume du Maroc et la RASD, en tant qu’États membres de l’Union, engagent immédiatement des pourparlers directs et sérieux, sans conditions préalables et conformément à l’article 4 de l’Acte constitutif».

Le Conseil a décidé «de renforcer le mandat de l’ancien président Joaquim Chissano du Mozambique, pour être nommé Haut Représentant de l’UA pour le Sahara occidental, chargé de faciliter les pourparlers directs entre les deux États ». Autre décision annoncée : «Réactiver le Comité ad hoc des chefs d’État et de Gouvernement sur le conflit au Sahara occidental, créé en application de la résolution AHG/Res.92 (XV), adoptée lors de la 15e Session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de Gouvernement de l’OUA, qui s’est tenue à Khartoum (Soudan) du 18 au 22 juillet 1978 ».

Sur le terrain, le Conseil a décidé « d’examiner régulièrement la situation au Sahara occidental ». Il « décide également d’effectuer une mission sur le terrain au Sahara occidental en cours de l’année 2017 ». Le Conseil « demande en outre à la Commission de l’UA de prendre immédiatement les mesures nécessaires pour la réouverture du Bureau de l’UA à Laâyoune, au Sahara occidental, y compris la fourniture des ressources humaines et financières et des moyens logistiques nécessaires».

« Le Conseil exhorte le Conseil de sécurité des Nations unies à prendre les mesures nécessaires pour que la Minurso puisse de nouveau exercer pleinement ses fonctions, afin qu’elle supervise efficacement l’accord de cessez-le-feu et d’éviter la reprise des violations », ajoute le communiqué.

Par ailleurs, il estime « qu’il est urgent de trouver des réponses à la question de l’exploration et de l’exploitation illégales des ressources naturelles du territoire (…) conformément au Chapitre XI de l’Article 73 de la Charte », ainsi qu’aux nombreux avis juridiques et jugements émis par des organisations internationales et régionales sur la question ». À cet égard, « le Conseil exhorte le Royaume du Maroc à ne pas conclure d’accords pour l’exploration et l’exploitation des ressources naturelles du Sahara occidental »,fin de citation. 

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                                                          L’Algérie veut contrôler l'ambiance de ces Sahraoui à Laâyoune

Cette manœuvre ne concerne ni l'Union Africaine dans toutes ses composantes, ni le Royaume du Maroc, elle concerne uniquement que son auteur et ses commanditaires d'Alger, visiblement elle n'a aucune importance ni valeurs juridique, tant qu'elle n'est pas débattue par le Conseil des chefs d'Etat Africains, les seuls habilités à prendre de telles décisions touchant l'avenir de la paix et la sécurité de l'Afrique.

D'autant plus que cette fâcheuse manipulation algérienne n'est même pas passée au cribles par la nouvelle équipe de la Commission Africaine ou approuvée, même accidentellement, par son patron le Tchadien Mr.Moussa Faki Mahamat qui a le plein droit et pouvoir de recadrer ce général diplomatique Algérien qui croit encore à l’efficacité du pétrodollars de son pays et de la main mise algérienne sur l'UA. Sachant que le temps des acrobaties du grand rabbin de la diplomatie algérienne et la danse au ventre de Dalamini Zuma, n'est plus depuis janvier dernier .Bonne lecture.  Chihab25

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