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Maroc-Algérie : L'armée Algérienne, une racaille qui dépasse les normes par trafiquer, à ciel ouvert, politique,armes et drogues avec hostilité à 7 pays limitrophes..!

 
 

                                                                                              

سبحان الله الذي يدبر الأمر من السماء وهو الذي يمهل ولا يهمل...

                               (هاواحد من الشياطين طاح)                                                                  

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Maroc-Algérie : Un de mes lecteurs assidus me demandait de commenter le volet-Maroc dans la première sortie médiatique de ce nouveau locataire du palais d'AlMoradia d'Alger. Ce dernier reprenait avec amertume, sans aucun effort, les mêmes termes que ses prédécesseurs contre le Maroc en  ronronnant, faisait allusion en particulier aux termes qui touchent profondément à la faiblesse de nos frères ennemis Algériens, en l'occurrence.

«la guerre des sables63 - l'attaque terroriste d'hôtel Asni Marrakech94 sans parler des défaites militaires de la racaille du maudit Boumediene devant les FAR au Sahara Marocain, surtout aux deux Amgala76, dont l'ex-lieutenant Gaid Salah était le principal déserteur».

Pas de félicitation ni de bienvenue au démon contesté de ma part en tant qu'admin du blog. La victoire par falsification à "la Bedouiène" de Abdelmajid Tebboune à la présidence de l'Algérie n’a pas fait couler que de l’encre, mais d’autres liquides aussi, maintenant la tension à son comble en Algérie.

En effet, le bien nommé nouveau pion du système est largement rejeté par le peuple qui a massivement boycotté la fraude électorale. (Score de participation enregistré en Kabylie 0,0%).Pire encore,  son impopularité dépasse les frontières de l'Algérie. Ce vieux corrompu est indésirable au Maroc également pour son nom qui fait référence au plus gros mot du dialecte Marocain.

Ce Tebboune a réussi, avec quatre millions de voix algériennes pour ses promesses d'être anti-Marocain plus que jamais, préservant la position militaire traditionnelle de son parrain le général Gaid Salah avec qui il jouait "à la marrée" pour enrouler leur opinion publique locale, en le décorant du grand cordon de l'Etat pour l'oppression qu'il a affiché contre le peuple Algérien depuis le 22 février. 

Avec ses 4 millions d'Algériens hostiles au Maroc y compris les militaires qui étaient contraints de voter pour lui, le nouveau " Abdelaziz Tebboune" provoque le Maroc en revenant à 1994, aux actes terroristes perpétrés contre hôtel Atlas Asni à Marrakech par ses franco-algériens, affectant,sans justification aucune,  cette opération aux Marocains, en faisant référence à un ministre Français de l'intérieur sans le nommer(sic).

Il justifie ainsi, par ses aboiements excités, sa volonté de traiter le Maroc en "sujet vendeur" comme le disait récemment l'analyste M.Taj Eddine Lhoussaini, professeur de sciences politiques à l'Université Med V de Rabat.

Répondant à une question sur les relations avec le Maroc! Il inventait une réponse ambiguë  de 52 secondes :«Pour éradiquer la maladie, il faut d'abord s'attaquer aux symptômes qui l'ont causé (!)». Cette réponse signifie donc, le retour à la case de départ avec ce pseudo-président banni par  la majorités silencieuse des Algériens. Affaire, non seulement à suivre, mais  à pronostiquer sur quels autres pieds le pouvoir Algérien va-t-il encore danser.

Or, en vertu de la haine profonde qu'affichent les gouvernants Algériens contre le Maroc, prenant l'issue la plus facile pour plaire à ses maîtres, ce pion osait demander vachement au Maroc "une excuse officielle" , comme ça à la légère, sans en être sûr, pour qui et pourquoi!

Est-ce pour avoir déjoué tous les complots Algériens contre la générosité Marocaine de ses trois sales ('B')-présidents? ou bien pour avoir dévoilé l'implication directe Algérienne dans l'acte terroriste d'Atlas Asni à Marrakech en 1994 par ses concitoyens ?

Au contraire, c'est le Maroc qui a droit d'y prendre une telle attitude, pas pour demander seulement d'excuses à l'Algérie, mais à lui endosser des gifles pour avoir soutenu, durant presque 5 décennies, un mirage de séparatistes à Tindouf pour respirer gratuitement l'air de l'Atlantique.

Remarque fraîche? Permettez-moi de revenir un peu en arrière pour vous dire que Bouteflika croit qu’il est toujours président, selon certains de ses proches. Abdelaziz Bouteflika vit toujours dans sa bulle. Il ne reconnaît pas Tebboune en tant que nouveau président. Même qu'il est déchu par la rue, ne reconnaît plus personne d’ailleurs. Selon un de ses proches qui divulguait l'information en grande pompe, Bouteflika vit dans l'illusion et croit être toujours le président.

Que se passe-t-il dans la tête de Bouteflika ? Il y a du noir, du noir et encore du noir. Dans sa chambre de la résidence familiale, cet ingrat de la générosité Marocaine vit reclus. Il est coupé du monde. Il n’est au courant de rien. “Pour lui, le 5ème mandat est passé par son ex-thuriféraire Tebboune et la complicité de son ami Gaid Salah.

Ce qui n’est pas faux d’ailleurs. Mais c’est Tebboune qui a pris sa place”  confie aux Algériens un proche de Bouteflika. Son entourage ne l’a pas informé que tout était fini. “Saïd est en prison, Nacer est frappé d'interdiction de sortie du territoire Algérien et plus personne ne demande après eux” se justifie la source d'information qui affirme ne pas pouvoir prendre l’initiative. Son état de santé ne permet à personne de lui annoncer la nouvelle sur la mort de son ex-protégé et son ancien soutien Gaid Ahmed Salah que la malédiction divine l'accompagnera à l'enfer.

Bouteflika dans son fauteuil roulant, poussé cette-fois par un simple employé de la présidence..(!) avait pourtant voté le 12 décembre. Il pensait le faire pour lui-même révèle la source. Jamais il n’aurait accepté de cautionner une élection s’il n’était pas dedans.

Il disait à ce propos “une élection sans moi, ça n’a pas de sens”. Dans ses rares moments de conscience, Bouteflika s’enquiert de tous les scores contre ses détracteurs, puis..croit être toujours président. Tebboune lui croit aussi être devenu président. Entre les deux, les Algériens ne savent pas qui délire le plus…? 

4 millions de cons et de morts ont élu, Abdelmajid Tebboune qui devient officiellement, aujourd’hui, le 8ème pion de l’armée algérienne. Lors d’une cérémonie militaire le chef d’état mineur a évoqué le principal chantier qui l’attend, le hirak. En effet, le pouvoir fait face aux millions d’Algériens qui refusent de baisser les bras avant le départ total du régime. Tebboune n’a pas de choix, il montre patte blanche et joue,parait-il, sa seule carte : Le dialogue.

Or, dans cette situation, le peuple Algérien refuse tout dialogue avec les lieutenants de Bouteflika. Pour accomplir sa première mission, Tebboune se vante d’avoir trouvé une idée ingénieuse. Gaid salah est parti sans retour, et pour réussir un dialogue avec le peuple Algérien, il pense qu'il faut rassembler les Algériens.

Pour ce faire, un conseiller thuriféraire à la présidence voit un seul lieu possible, la prison. On ne peut pas dialoguer dans la rue, qui rejette le président avec ses institutions avançait-il. Il estime aussi ne voir aucun endroit qui pourrait les contenir tous que El Harrach, ajoutant que Tebboune est le président, de bon et malgré de tous, ignorant, ou faisant le semblant que son Algérie a connu une grande vacance de pouvoir depuis le VCR de Boutef suivie de décadence et de désordre au plus haut sphère du pouvoir Algérien: («22/2-11/12 une Algérie sans président..13/12 un président sans peuple..23/12 décès de faiseur de Rois).

Détestant d'entendre toujours le même disque que les gouvernants Algériens ne cessent de répéter depuis plus de 40 ans de brouille avec le Maroc, je ne trouvais rien à ajouter aux acquis diplomatiques silencieux de M.Bourita, dernier en date, la nouvelle vague prometteuse d'ouverture de consulats étrangers dans nos provinces du sud.

Des coups carabinés de maître prouvant que la Marocanité  du Sahara est une réalité, pas autre chose. Une réalité qui touchera davantage, au fond de la diplomatie d'autruche de la mafia d'Alger, au moment où, en contre partie, le président "élu", paniqué par les vents qui lui soufflent du Maroc, commence son agenda par une faible  entrée de menus changeant que de pions sur l'échiquier d'un système pourri.

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                 Résultat de recherche d'images pour "Marches devant le parlement Marocain"                                                  

Politique d'«l'Mou'Qaff-ma!».. Pour préparer un texte du genre, je dois commencer en principe par fouiller dans des bouts de papier, éparpillés, ici et là, lire et relire mes bouquins et d'aller parfois jusqu'à regarder au rétroviseur de ma mémoire.

Avant d'ouvrir le conte, j'invite mon lectorat à voir ces deux pensées de Grands Hommes d'États,ayant présidé,en un moment donné, chacun en ce qui le concerne, les destinées de son Monde.

j'ai choisi en premier lieu une citation que John Kennedy aurait prononcé dans son discours d'investiture de président des USA en 1961. Une citation qui, à mon sens, résume l'état d'esprit que, tout individu doit retenir...

«Ne vous demandez pas ce que peut faire le pays pour vous..! mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays».

En second lieu, dans un autre sens de valeur sacrée, feu Hassan II disait de son coté, pas une citation, mais une recommandation majeure. Pour nous Marocains, toute recommandation Royale est une loi qui préserve le droit. Je parle ici à partir de ma propre conviction, issue d'un accompagnement de  trois Monarques (5-2-6) :

«Il n'y a pas de délit politique au Maroc..le seul délit qui peut exister.. C'est au moment où qu'on prétend que le Sahara est non Marocain».

Pour en officialiser l'obligation de respect à cet ordre Royal. Le premier bouc émissaire est apparu de l'opposition Marocaine. Il  était une haute personnalité politique, leader d'un grand parti Marocain de gauche qui, avait fait immiscer son nez dans la Marocanité du Sahara. Et vite fait, il a été savoné de façon humiliante par une déportation forcée vers la ville de Missour, (490 kms de Rabat) privé de toutes libertés, près de cinq mois (10/1981-03/1982) en résidence surveillée et isolement dans une petite bâtisse ocre. (photo)

                                                                                            

En tant que simple observateur, qui suit avec assiduité, l'évolution de la chose algérienne, je souhaiterais en respect de la crédibilité, éviter à n'importe quel curieux de répéter, à mon insu, le dialecte Marocain disant "Le dromadaire ne voit que la bosse de l'autre".

Pour ce fait, je me sentait attiré par le développement de ce que certains pessimistes Marocains (officieux) tentaient de croire que "le Maroc est en situation grave!!, je me demandait, pour y accepter, de quelle sorcière sortait cette gravite?

Or, après l'approbation du Projet de Loi et de Finances 2020 par les deux chambres de parlement, les intéressés accusaient le cabinet technocrate Ben Chaâboune, ses acolytes affairistes, d'avoir imposer aux Marocains le système de banques qui n'engendrerait, selon la conviction de trottoir, que le gèle de l'économie de familles démunies et  jetterait probablement le pays dans les gouffres d'un grand pétrin, jamais vu, même aux années de «vaches maigres et la crise cardiaque» de feu Hassan II, mettant en doute les probabilités d'investissements devant procréer plus d'emplois.

Je ne suis pas économiste de carrière pour donner d'amples explications techniques en l'objet. Mais je constate, selon ma modeste remarque que la majorité de personnes, disant, indignées!, se divise en deux parties. Une, peu optimiste, l'autre, trop pessimiste, meublant conjointement, toutes les deux, l'espace de débat, au niveau de salons privés et de cafés publics.

D'autre part, on constate aujourd'hui une minorité de thuriféraires retardataires, s'en volait en air et s'en vantait appartenir à une opposition classique révolue qui avait, entre temps, plusieurs mots d'ordre : rébellion-désobéissance-insurrection, fumées ou plutôt, sautées stérilement de politique qui presse le ton du système.

Ces meneurs de revendications frivoles et opportunistes attablent, de temps à autre, les artères voisinant le siège du Parlement à Rabat, pour scander, à voix cassées, un mélange de n'importe quoi, pour y faire renaître de ses cendres l'opposition Unfpiste.

Ces nouveaux arrivistes, dont la majorité composée de «chômeurs de la place» (L'Mou'Qaf) sont que les protégés du trio-opportuniste (Soufiani - Ben Aâmro - Ben Jelloun) agités parfois par le fil "youyoutant" d'une certaine Mounib, la sorcière-PSU, lauréat de Jamaâ L'fna politique, faisant jumelage avec l'autre sorcière Naima Salhi de l'autre coté Algérien. A propos, cette dernière fût appelée par ses détracteurs de  "néguaffa à la Marocaine" avec tout le sens du terme.

Ils apprenaient, à force de répétition, le mode d'hurler dans la voie publique, avec sensation d’assujettis capables de remuer les boues politiques, se déguisant en couleurs, d'arc-en-ciel, compatibles à chaque circonstance, pour faire sortir le sanglier au profit des commanditaires politiciens en coulisses.

Pour se faire, ils se donnaient rendez-vous à chaque épuisement de cartes de recharge, pas seulement pour s'opposer au diable barbu, mais aussi pour y minimiser la mise en marche du Bouraq, murmurant aussi autour de locomotives constructives mises sur railles par la clairvoyance d'une «Monarchie Nationale».

Un terme nouveau dans le vocabulaire politique national, né en présumé dans un soir très chaud du 29 juillet  (la veille de la fête du trône) comme recommandation qui, en avertissant, son maître « ose et bouscule, en cas de colère», pour préserver les valeurs nationales qui font partie intégrante de notre patrimoine identitaire et culturel.

J'essayerais en substance de me raisonner, et de persuader que tout ceci n'est au final que le produit de l'excès de liberté d'expression mise en avant par la constitution 2011 et qu'il ne mérite pas tant d'investissement d'émotions et d'amertumes, ou du moins de l'autre côté trahison Unfpiste, de remonter la pente et rejeter cette phase noire Unfpiste ayant affecté l'ère Hassanienne et attiré les insectes algériennes, Égyptiennes pour faire du bruit à la grandeur d'un Royaume en émergence.

Je rappellerai  à nos voisins de l'est, qu'ils veulent ou pas, que nous sommes un peuple pourvu de qualités exceptionnelles, digne, chaleureux, généreux, et hospitalier. Des qualités qu'ils ne posséderont jamais avant qu'ils se rendront à l'évidence et se raisonner pour en avoir la capacité de relever les défis et se libérer des sales bottes de Gaid Salah et sa racaille.

Je les invite à cet effet, à ne pas oublier, les défaites consécutives de -Ben Bella et Abdenacer dans la guerre des sables de 1963 et de -Houari Boukharouba qui misait sur la trahison de certains de nos généraux en l’occurrence Lmadbouh en 1971 et Oufkir en 1972 et conjointement de -Kadhafi et Boukharouba en mars 1973 qui comptaient en fait, faire tomber feu Hassan II  du trône de ses ancêtres Alaouite, engageant vainement les traîtres UNFPISTES : F'kih Basri, Abderrahmane Youssoufi, Ben Kaddour, le colonel Mohamed Ben Hammou et autres pour y semer la terreur à Moulay Bouaâza aux environs de Khenifra. 

Youssoufi, rappelons-le, était alors, le rédacteur en chef et l'animateur de la radio-pirate "Maghreb-Echou-ôub" émettant d'Oran en Algérie et de Tripoli en Libye, dont les thèmes et les mots d'ordre développés, en grande pompe sur les ondes, incitaient les Marocains à se révolter contre Sa Majesté le Roi feu Hassan II, voire contre la Monarchie Marocaine en général et ouvrir la voie à une "république" à la mesure de la gauche qui prenait d'antenne un certain (Ait Idr) se vantant être le patron d'OADP (Organisation d'Action Démocratique et Populaire) qui s'activait à l'époque dans la clandestinité.

Rêve de foin.. Après avoir cassé leur faim et payés pour "insurrection"  par l'IER (Instance d’Équité et de Réconciliation), le reste des Unfpistes rêve encore, faisant couler de l'eau sous les ponts d'illusions, et pourtant ils avançaient, qu'il en reste encore des zones d'ombre, malgré le timbre de la trahison qu'ils portent à leurs figures, dans une affaire qu'ils considèrent d'affaire tragique. Il s'agirait de leur parrain idéal Ben Barka. s'interrogeant si ce dossier finira-t-il par être fermé un jour et son deuil fait?

54 ans juste après l’enlèvement, au cœur de Paris, et l’assassinat de ce qu'on appelait le "leader de l’opposition Marocaine" d’alors, son souvenir ne cesse de tarauder les consciences des siens, en particulier son fils qui sortait subitement de l’œuf pour demander d'élucider la disparition de son père. Avec autant plus d’acuité que la plupart des protagonistes de cette affaire ont tous disparu ou presque.

Une affaire qui fit, un bruit dans les coulisses Usfpistes, vu sa conclusion mystérieuse, les caractéristiques de ses protagonistes, personnalités de haut rang ou vrais truands, etc.

En octobre 1965,le général de Gaulle achève son premier mandat de premier président de la 5ème République Française. Au Maroc le maudit Oufkir ,ancien officier de l’armée française, son ennemi intime s'appelait Mehdi Ben Barka. Ce  dernier mis en cause en 1963 dans un "complot". Assimilé à un subversif absent à la barre, a été condamné à mort par contumace en mars 1964. C’est alors que va se nouer la trame qui, pour ses sympathisants, deviendra vite mortelle.

Frivolité d'«L'Mou'Qaff-dz!..De ce que je sais, comme d'autres, des cas stériles de cette mauvaise voisine l'Algérie, c'est que les Algériens se sentaient fiers d'eux-mêmes, et y sont les meilleurs au monde, porteurs de leadership imaginaire, issu d'une fausse force régionale jamais acquise, soit par leur diplomatie d'autruche, soit par un pétrodollars mal géré, voire dilapidé en grand pompe par les dirigeants, militaires et civils.

Ils en sont suivis de faiblesse mentale, de manque d’éducation d'oulad Enass et de fragilisations de la structure politique et sociétale, lesquelles sont causées par plus de cinq décennies d'oppression militaire. Un phénomène qui leur en colle à la peau, contraignant à maltraiter leur quotidien, de façon à ne pas savoir comment s'en sortir d'un pétrin que le règne d'un maudit Bouteflika leur avait ouvert les portes.

On le sait, ils sont les adeptes inconditionnels de tous les fanfares mensongères, y s'en profitent pour s'en servir, à bon escient afin de se sensibiliser aux danses de coq de leurs gouvernants dont la majorité cramponne aujourd'hui en prisons. Avec l'autre et par arrogance et orgueil, ils se tiennent, dents et corps, à la simple futilité, surtout avec la France, le Maroc et dernièrement avec l'Union Européenne.

En exemple; de nombreux Algériens ont répondu auparavant, à travers les réseaux sociaux, à l'ex-président Français François Hollande qui a évoqué, dans un discours qu'il prononçait durant son règne, «le massacre» des harkis en Algérie après l’indépendance. Cette réaction aux "manœuvres politiciennes" qui aurait retenu l'attention de leurs décideurs dénote un mauvais degré de conscience de ces Algériens, toutes tendances confondues.
 
Aujourd'hui, les candidats-lièvres à la présidentielle du 12/12, comme les Algériens eux-mêmes, savent que les discours sur une présidence rejetée par la rue Algérienne, leur servent de courte échelle sur laquelle ils comptent monter la prenant éventuellement d'appui pendant la guerre post-élection avec le futur sois-disant président légitime.

La Californie de l’Algérie En attendant d'amples surprises du blocage actuel vécu actuellement par le pouvoir algérien et combler le coté de vacance de pouvoir, du moins en information; permettez-moi de rigoler un peu ci-dessous sur ce qui était pour les algérien un changement de saison pas plus...

La culture californienne de tout ce qui se rapporte à  la prospérité et au bien-être de l’être humain s’exporte au moindre coût et elle est très bien connue dans les quatre coins de la planète à travers des chansons, des poèmes et une super industrie  productrice de culture qu’est la cinématographique de HOLLYWOOD. La Californie est devenue une ville modèle unique au monde, une référence de jumelage. C’est pourquoi, en Algérie à entendre un exemple..

Les Algériens se rappellent bien des blagues que leur fournissait un certain premier charlatan Abdelmalek Sellal, actuellement écroué à la prison d'Al Harrach d'Alger pour divers chefs d'accusation.

C’était un lundi 7 mars 2014 à Mascara, Sellal, alors directeur de campagne de Bouteflika pour le 3ème mandat,  avait enchaîné des meetings dans différentes villes. Et devant les Mascaréens, esquivant volontairement les sujets épineux que les algériens les vivaient très mal (Hogra-injustice-chômage-corruption-passe-droit, bureaucratie,récession…).

À la foule qui scandait «Bouteflika raïsna»,  devant  ce  speech  de campagne, Sellal, substituant un président candidat absent a promis : «Nous ferons de cette wilaya un pôle agricole par excellence.» avant de rajouter plus de miel  «Mascara sera la Californie de l’Algérie !» et deviendra le rêve de tout le monde!, pas que les Algériens.

Par ailleurs, et depuis  cette date à aujourd’hui,  les Algériens emportés par les vagues-mensongères de Sellal, savouraient amèrement les répercussions malveillantes d'une telle rigolade, mais aussi supporter difficilement leur vie sociale. 

Au sens de tout humain, il n’est pas jolie , ni gai, ni bien , c’est sale de partout et le sourire des gens ne figure plus sur les facettes, surtout durant cette période de blocage et de statu quo que mène le vieux général. Il n’y a  que  le soleil qui est propre et chaud et qui fait briller l’atmosphère pour que les algériens se réchauffent et font semblant de vivre dans une fausse prospérité. 

L’âne mange de sa sellette.. C'est le cas d'un certain Mokri, un islamawiste Algérien qui, en se prosternant devant Erdogan,  critique son ex-maître Mahfoudh Nahnah dans sa tombe, dévoilant sa loyauté au FIS. Prenant la tête du MSP (Mouvement pour la Société et la Paix), Abderrezak Mokri se retrouve, selon des Algériens, dans une position inconfortable face à la mission de parrain-pieux qui le dépasse totalement. Il n’a pas le charisme et encore moins le capital idéologique appuyés sur un statut d’activiste de terrain.

Les islamawistes, les vrais au sein du MSP qui lui sont opposés sont convaincus que leur place naturelle est au sein du pouvoir et dans ce but pour eux, toutes les initiatives sont bonnes (même en thuriféraire) surtout ceux, qui ont goûté au pouvoir savent qu’il présente des avantages non négligeables, à condition d’arrondir les angles. C’est ce que fera ce Mokri, après bien des circonvolutions. Bonne lecture.

                                                        Cordialement,Chihab25

 (La suite en pages jointes-colonne droite : L'armée Algérienne a le moral en berne..)     

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