Maroc-France : Les amputations territoriales Marocaines opérées au profit de l'Algérie Française..(2)
Le Sahara Marocain oriental (Béchar - Kenadsa - Saoura - Tindouf)
Avant tout propos..: D'abord une petite entrée avant de passer au grand plat d'expansion colonialiste et développer le sujet d'amputations reliant «-le Maroc, la France, et l'Algérie Française-». Ce n'est pas des oignions qui font pleurer les hommes aux marchés qu'il s'agit ou de ce que les philosophes, à leur actions de réflexion de fond, jugeaient de normal, ça serait de la clémence de l'univers ayant trait à l'existence de l'homme avec ses termes aussi obscènes que choquants.
Difficile de ne pas s’enflammer l'esprit et le préparer à emboiter le pas vers le bon, les professionnels de conte commencèrent, d'ailleurs, à petits pas avant de se lancer, de caresser cet esprit par une domiciliation dans des abris mentaux de bric et de broc, exemple : « Si le cœur, la miséricorde, l'esprit, la sagesse et la conscience mourraient, tout partira en fumée. Ces qualifiants crédibles s'attachent au Marocain, et en forte raison, en submergent normalement, ce qui en manquent en Algérie officielle.
Ce grand Maroc, restera l'homme intelligent qui sait régler ses problèmes et qui par sagesse sait comment les éviter. C'est bien le pays qui a toutes ces qualités de progrès et qui sait comment remplir, au meilleurs, son caddie-coûte politique, ne donnant l'opportunité à aucun d'autrui, même si en face de lui, il entend l'aboie de chiens à partir d'Alger-capitale.. Des aboies d'opportunistes venus de tout bord jumeler la stupidité Algérienne, montant sur le même cheval de proie (à propagande) tapant, en ce qui concerne l'intégrité territoriale du Maroc, sur le même tambour creux de l'Algérie qui a alors perdu toutes ses tonalités, dernière en date, concernant le petit bâtard Mandela.
Je ne me mesurerai pas avec ce que pense le philosophe devant les coups diplomatiques Marocains, qu'endossent avec douleurs nos ennemis Algériens. Des coups silencieux, qui parfois, ne font, ni tempête ni poussière et qu'on jette d'ailleurs, à la figure de Algéroise...«"N'nou-kh'khane"»...C'est-à-dire ignorer carrément quelqu'un en ne donnant pas d'importance à ce que disait, voire minimiser même son existence. Alors que les apaches-dirigeants Algériens doivent nous foutre la paix; nous en sommes encore en train de subjuguer leurs méfaits anti-Maroc depuis leur Adjudant Ahmed Ben Bella Marrakchi à ce duo d'ivrogne et de pisseur.
J'y tiens à souligner sous le mot ''ivrogne'' auquel j'ajouterai "menteur", étant que la dernière sortie-connerie de Tebboune était très flagrante, humiliante même pour la diaspora Algérienne.. - il inventait que : «l'Espagne de Franco avait proposé à l'Algérie en 1964 le territoire du Sahara "occidental». En simple remarque, je dirai qu'à ce moment-là cette Algérie était venue juste de sortir de sa coquille, n'était pas encore mise sur les bonnes rails d'Etat, au sens propre du terme.
Je me suis pas trempé quand j'abordais le mot argotique Marocain précité, tant qu’on n’est pas de la même couleur ou de capacité politiques, ni sur la même longueur d'ondes pour se côtoyer ou traiter n'importe quelque chose de concret. En parlant parallèlement d'Algérie, le général De Gaulle, avait prud'hommes dit via une vidéo que «depuis que le monde est monde, il n'a jamais eu d'entité Algérienne.. c'est la France qui en était derrière sa création en tant que telle!».
Je m'accrocherai à ce passage réel, et dire que le Maroc, par contre, existait, tel quel depuis que le monde est monde, pratiquant ses stratégies savamment orchestrées, et qui porte ses fruits, cumulant ses histoires naturelles, réelles, qui se déroulaient, en pleine nature arabo-africaine, concurrent, voire imposant ses empreintes parmi les paires-nations, sans préconiser qu'un jour il aura affaire, malgré lui, à une haine anti-Marocaine, qui ronge le pouvoir algérien qui depuis son départ ne pouvait pas explorer la trame de son histoire complexe, qui unit et désunit, le Royaume du Maroc à l’Algérie et qui fait qu'avec ses soixante ans d’existence il jette de l'huile au feu et la réconciliation Maroco-Algérienne s’apparente hors toute feuille d'ordre du jour.
Toute absurdité, quelle que soit sa nature de la part de l'Algérie ne pèserait en rien dans la lourdeur de la richesse historique du Maroc qu'on veut concurrencer à partir d'AlMouradia d'Alger. Une richesse, semée et cultivée sur terre, par comportement responsable qui lui apprenaient, comment subjuguer ses ennemis, pas par les lions de l'Atlas, mais par ses tigres d'arme à l'épaule. C'est pourquoi, il est plus que jamais temps d’accélérer la restructuration de notre système dissuasif et dévoiler ses crocs pour effrayer l'ennemi, étant que la folie de cet ennemi dépasse le stade de traitement ou de guérison.
L'intention et la crédulité ...Le Maroc a-t-il commis une erreur en laissant, pendant toutes les années qui ont suivi son indépendance, la question des frontières orientales du Sahara aux mains de la France, sans défendre le droit du Royaume sur ces espaces perdus ? On s'interrogeait certes, pourquoi le Maroc a-t-il insisté pour attendre la fin de la lutte armée en Algérie pour ouvrir un dossier incendiaire qui épuiserait le royaume, et le plongerait dans des conflits qui ne finissent presque jamais jusqu'aux frontières d'aujourd'hui ?
En répondant à cette interrogation, je crois que c'était de la bonne volonté Marocaine qui dictait les normes de générosité et de respect au voisinage, n'en parlant pas de liens de sang et de fraternité. Mais, avec un grand 'M', le Maroc se fut confronté en revanche à une bande Algérienne de lâches qui, par nature d'arrogance et d'orgueil, niait la générosité Marocaine.
Pendant les années de lutte armée Algérienne, les Marocains ont continué à se coordonner avec les algériens pour affronter un ennemi «commun», qui était l'occupation française. Au milieu de cette coordination militaire et diplomatique, la demande de restauration du Sahara oriental Marocain était apparue pour la première fois, et c'était au cours de l'année 1953, et Sa Majesté le Roi feu Mohamed V a reporté l'examen de cette question jusqu'après la fin de la résistance Algérienne dans la perspective d'en discuter avec ceux qu'il croyait ses "frères!". Sa bonté était misérable.
Le départ des troupes Françaises avait été bâclé et nous a causé, depuis, les problèmes que l’on sait avec notre voisine de l’Est qui aboie toute seule, sans que personne ne se rend compte de ses comédies. La France a tenté de manœuvrer pour toucher l'épine de la « lutte » algérienne et la coordination croissante avec les résistants Marocains qui leur fournissaient armes et militaires. J'ai donc proposé aux Marocains de leur accorder le droit de disposer des régions orientales bordant le Sahara, à condition que le soutien militaire Marocain à l'Algérie soit arrêté. En réponse à cette proposition, le Maroc a rejeté cet accord et a continué à soutenir les Algériens dans leur lutte.
Ce retard Marocain dans le règlement de la question de frontières orientales, dont l'Algérie s'est emparée, représentait pour Sa Majesté le Roi feu Hassan II une erreur flagrante commise par son père, comme il l'a déclaré dans une interview à -Jeune Afrique- en 1985 par laquelle laissait entendre, je cite : «"Après notre retour d'exil, le L'ambassadeur de France au Maroc, Alexandre Baroudi, était chargé en substance de demander à mon père : «le général de Gaulle vous propose de former une commission pour discuter des frontières Marocaines». Et de poursuivre : « Mon père répondit : Ceci est hors de question, ajoutant : (Je suis sûr que lorsque l'Algérie sera indépendante, ses dirigeants seront justes envers nous et accepteront d'en discuter avec nous).
Les choses se sont passées différemment : non seulement nos voisins et frères algériens n'ont rien fait pour en discuter sérieusement de frontière orientale, mais ils ont essayé, à la première occasion, d'empêcher le Maroc de récupérer son Sahara dit -occidental- sous domination Espagnole. Puis, à sa première occasion, l'Algérie a tenté d'annexer une grande partie des terres orientales Marocaines à l'insu du Maroc. "La guerre des Sables" de l'année 1963, au cours de laquelle le Maroc a remporté une victoire importante, et il était proche de récupérer Tindouf. et toutes les zones frontalières, n'eût été l'intervention du feu Hassan II, qui a ordonné au faucon général Driss Ben Omar l'arrêt de la guerre.
Aujourd'hui, la France doit admettre sa grave erreur, qui était en représailles à ce qu'ils ont creusé dans notre Sahara Marocain oriental. Aujourd'hui, le Maroc est propriétaire du droit de le récupérer, et le reprendra, certes, ce n'est qu'une question de temps. La France portera la responsabilité historique pour ce qu'il a fait du Maroc, lequel qui doit, en revanche, déposer plainte contre la France devant la Cour internationale et l'attribuer à des avocats internationaux appuyés par tous les documents dont il dispose.
Le moment est venu de mettre le dossier du Sahara Marocain oriental devant la quatrième commission de décolonisation des Nations Unies et révéler les archives et cartes à l'appui d'avant les Français et Espagnols et ce sans relâche en mettant, hors état d'ennui le dicton d'Aristote disant : «L'espoir n'est qu'un rêve éveillé» exploitant explicitement les preuves accablantes dont dispose notre pays dans ce sens, avec le rejet au pied du mur ce que les Algériens tiennent, pieds et dents, concernant l'intransigeance des frontières.
Nombreuses fautes et manquements commis par le Maroc contre ses possessions territoriales ; Il n'aurait pas dû attendre l'indépendance de l'Algérie, mais plutôt en finir avec le colonialisme Français ; Il n'aurait pas dû se retirer des terres qu'il a saisies lors de la guerre des sables en 1963. La revendication du Sahara Marocain oriental doit être initiée dans les instances internationales pour que l'Algérie puisse goûter à l'amertume l'emmerdement d'ingérence des juridictions internationales.
Le sujet du Sahara Marocain Oriental est une acquisition incontestablement légitime que les Marocains; aînés et jeunes, en discutent et tiennent toujours à cœur. Ici je suis certain qu'il existe un dossier intégré lié à ces terres précieuses, il suffit de recueillir des documents et témoignages datés et étayés par des tableaux d'arguments irréfutables, qui n'acceptent aucune falsification de quelque partie que ce soit.
Les Marocains à l'avenir jetteront leur dévolu sur ce droit acquis, en déposant un dossier intégré et préparant la situation sur la table des Nations unies, je suis sûr que ce ne sera l'objet, ni de négligence ou de défaillance de leur part, même s'ils attendront jusqu'au règne futur de Hassan III ou de son héritier, quand l'Algérie se trouverait à ce moment-là au branle-bord de disparition incontournable.
La consultation des archives françaises concernant ce que les milieux coloniaux de l’époque désignaient par termes de «Question des Confins», il a fallu plus exactement parler des termes de «régions du Maroc oriental» que la France s'est donnée le droit de rattacher à sa possession en Algérie Française afin de favoriser territorialement l’Algérie qui, elle, était alors française et dans laquelle croyait rester à l'infini.
Rappelons que la prise d’Ain Saleh, actuellement Algérienne, brusqua les événements, car le gouvernement Français de l'époque décida, après quelques hésitations, l’occupation de tous les oasis de la Saoura qui se composait essentiellement du Tidikelt et du Gourara, dont Timimoune, était la capitale qui fut occupée en 1901, au terme d’une campagne d'harcèlement et d'expansion de cinq mois.
Puis, dans le courant de l’année 1903, les militaires français voulurent investir la ville de Figuig que le traité signé en 1845, à Lalla Maghnia, avait pourtant explicitement laissée au Maroc. Charles Jonnart, alors gouverneur de l’Algérie, qui était tout acquis à ce plan, vint reconnaître la région. Mais le 31 mai 1903, au col de Zénaga, entre Béni-Ounif et Figuig, alors qu’il allait conférer à Figuig avec un envoyé du Sultan Marocain, son cortège fut attaqué. En représailles, le 8 juin, il fit détruire par l’artillerie le Ksar de Zenaga, un des sept ksars composant l’agglomération de Figuig d'aujourd'hui, ce qui provoqua le soulèvement et la révolte de Tafilalet sous la conduite de Belkacem N'Guadi jusqu'au 1932.
Piétinassions... Jusque-là rien de bien nouveau, compte tenu des tensions qui crispent les relations entre l’Algérie et le Maroc et de la panique que sèment dans les cercles du pouvoir à Alger des journalistes et des conards algériens installés en France, actifs sur les réseaux sociaux, et qui ont tenté d'avoir une audience plus que les médias de propagande du régime. Mais ce qui était supposé être un rassemblement à la gloire du duo Tebboune-Chengriha était en réalité une manifestation quasi-officielle du régime algérien, organisée en France, pour insulter les Marocains et leur souverain. Cette manifestation, qui était organisée que pour évoquer le Royaume et l'insulter, serait la dernière action du dernier partant qui, aurait été éjecté avant même de céder la place à d'autre pour essayer les sales vitres de la diplomatie d'autruche Algérienne.
Depuis quelques jours, à l’instigation des représentations diplomatique Algérienne en France, les médias porte-voix du régime au pouvoir en Algérie appelaient "tambour battant" les migrants de leur pays à participer à cette manifestation à Paris. Organisé à l’occasion de la célébration des fâcheux accords d’Evian, du 19 mars 1962, ce rassemblement avait officiellement pour but de dénoncer «l’offensive politico-médiatique menée quasi quotidiennement contre l’Algérie et son peuple, qui dit-on pour les déstabiliser», rapporte la presse officielle Algéroise, citant les organisateurs engagés par Alger pour prendre en mot d'ordre... «Refuser toute ingérence étrangère».
Lors d’une manifestation de soutien à l’unité de l’Algérie et de son régime, organisée à Paris par un collectif franco-algérien, des pancartes et des slogans haineux à l’encontre du Maroc ont occupé le devant de la scène. Les bannis Algériens en France, à l'instar de leurs gouvernants, pleurnichent énormément de tout progrès ou acquis enregistré par le Maroc, surtout quand le Maroc envisagerait d’augmenter ses mesures de défense, évaluant son système d’armements, notamment de conception Israélienne. Cette Israël que l'Algérie veut anéantir qu'avec du bla-bla, en l'occurrence : «Son soutien creux de la Palestine, quelle soit «injuste ou opprimée
L’intangibilité de frontières... A noter que Houari Boumediène, l'ex-maudit président Algérien que la malédiction divine soit toujours sur sa tombe, qui a vécu, en errance entre Oujda et Nador où son permis de conduire est retenu à ce jour par un cafetier du quartier, en guise d'hypothéquer du non-paiement de jeux de hasard qu'il pratiquait avec son gamin Bouteflika avec qui, ils faisaient ensemble leur révolution entre le Maroc et la Tunisie, contrairement aux maquisards Algériens qu'effectivement ont vécu la guerre de libération dans les différents monts d'Algérie.
Ce Boumédiène, rappelons-le, de son vrai nom Mohamed Ben Brahim Boukharrouba, a reçu l’hospitalité et un soutien précieux des Marocains au moment où les Algériens étaient en guerre contre la France. En retour et contre toute attente il a crée le problème du Sahara Marocain pour récompenser la maison d'hôte qui l'abritait lors ses peines d'errance au Maroc. Il avait donc enterré à la fois le soutien du peuple Marocain et les promesses tenues à divers moments après la libération de son pays, non seulement a renié ses engagements vis-à-vis du Maroc, mais s’était lancé dans une campagne sournoise et plus tard hargneuse contre la Maroc et pourquoi pas contre le cafetier de Nador qui détient son permis de conduire.
Après un peu moins de cinquante ans d’une guerre sans nom, livrée contre le Maroc, marquée au sceau d’un échec patent, la vérité transcendantale impose désormais ses lois. Au fait de sa puissance crapuleuse Boumediene a crée dès 1969 le mythe d'une l’Algérie forte et de puissance continentale. Subrepticement il a «désigné» le Maroc comme l’ennemi à combattre.
Ce terme sera inscrit d’ailleurs dans la rhétorique politique des dirigeants Algériens comme une lancinante ancienne, motivant une hargne paroxystique. « On va créer Lam'rarca un caillou dans le soulier avec l’affaire du "Sahara occidental"» affirmait-il, Boukharouba à ses proches, qui sans vergogne, ne croyait pas si bien de ce qu'il avançait. En écho à l’arrogance Kharoubie répondait la naïveté de son ministre de l’industrie de l’époque (Belaid Abdeslam) qui aimait dire sans gêne que «le Maroc, avec ses tomates, ses agrumes et son agriculture constituait le jardin de l’Algérie». C’était sans compter sur la fierté ombrageuse d’un Roi appelé feu Hassan II, encore moins sur sa lumineuse et particulière intelligence.
Un Etat plus que millénaire sous la coupe d’une piètre petite dictature qui n’avait pas encore huit ans d’existence et qui fantasmait déjà dans l’expansionnisme de pacotille ? Voilà qui nous en disait long sur cette «Kowa dharriba» (force de frappe) devenu un bréviaire inamovible dans la bouche de l'ivrogne président Tebboune, de ses responsables et de leurs stipendiés.
En deux ans et demi de pouvoir, le président algérien a réussi l’exploit de fâcher son pays avec tous ses voisins et même au-delà, donnant même un avantage décisif au Royaume dans sa lutte pour son intégrité territoriale pleine et entière. Peut-être devrait-on rappeler que, outre la destruction du Maroc et de ses institutions, le machiavélique plan Kharoubie, qui était devenu une obsession Algérienne, est d’accéder, gratuitement, à l’océan atlantique, ensuite d’encercler par le sud le Maroc et de le couper de ses racines Africaines. Le Sahara Marocain oriental...L’Algérie elle-même reconnaît, à travers sa phraséologie officielle, la réalité des anciens territoires Marocains qu’elle a annexés…
N’en déplaise à l’Algérie, le Sahara Marocain oriental existe. Il peut bien être aujourd’hui sous sa souveraineté. L'un des mules de l'écurie Algérienne (parlement) dépêché en urgence pour prendre la parole ici même، pour fanfaronner et accuser les “comploteurs Marocains et leurs relais” qui, disait-il, qui menacent l'unité de l'Algérie. Faisant allusion à cette unité, je crois que ses parrains l'ont chargé de dire que le «Sahara Marocain oriental», est une partie complétant l'unité de l'Algérie. La vérité historique est, au final, ce qu’elle est, et si la voisine de l’Est ne disposait pas vraiment du moindre document attestant de l’Algérianité du Sahara Marocain oriental, elle n’en serait pas aujourd’hui à noyer le poisson, assignant à ses martyrs à l’usurpation de milliers de Km2 de terre Marocaine qui devrait effectivement être pure d’un tel forfait.
Un ouvrage de synthèses de l’histoire du Maroc, vient d'enrichir la bibliothèque nationale. C'est le dernier livre de l’historien français, natif de Meknès, Bernard Lugan, prend pour point de départ l’Antiquité pour dérouler la trame historique et politique du Maroc jusqu’à nos jours. L’intérêt de ce livre réside ainsi dans son interdisciplinarité en ce que son auteur puise ses sources tant dans l’histoire que dans la géographie, mais aussi la linguistique pour mieux apporter au lecteur une vision globale de ce que fut le Maroc, et ainsi mieux appréhender le présent à la lumière d’un fascinant et complexe passé.
Une lecture riche qui offre une formidable occasion de plonger dans l’histoire fascinante et souvent encore méconnue du Maroc pour mieux appréhender l’actualité. L'écrivain termine son témoignage par de bon présentant la réalité d'existence du Maroc par sa particularité tel que : «Le Maroc est une vieille nation chargée d’histoire» fait ainsi partie des rares États ayant une profondeur historique comparable, écrit l’auteur en présentation de son ouvrage, car, rappelle-t-il, «en 987, quand Hugues Capet fut élu Roi de France, la Monarchie Marocaine avait déjà 199 ans d’existence». Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25