Ayatt-Echaitane...Je n'avais pas l'intention de développer un tel sujet en l'absence du rayonnement de l'ex-empire du Shah Mohamed Réda Bahlawi, l'ami intime d'autrefois de Sa Majesté le Roi feu Hassan II, étant que l'Iran d'aujourd'hui est devenu l'écurie dégueulasse de la confession -Chi'âa- au monde. Mais le mauvais comportement et l'ingérence du régime-Pingouins des Ayatt Echaitane aux affaires du Royaume me poussaient à dire quelque chose dans ce sens.
D'ailleurs, je ne suis pas l'Algérien qui tuait ses deux compatriotes au sein de la Mecque pour m'en imposer, désormais une attestation de bonne santé mentale. Une humiliation flagrante aux Algériens, qui se voient mondialement indexés de «fous». Non je suis mûr, jouissant d'un bonne capacité mentale et responsable de mes écrits, non acculé à obéir aux dictats de mes détracteurs pour plaire à l'un ou à l'autre
En imitation du mal Iranien, le pouvoir Algérien souffre d'une panique chronique se caractérisant par une récession sur ruines d'une guerre froide bannie même, par ses défenseurs d'autrefois; menant, tout seul, une politique d'extrême frivolité qui n'enfante que de la chaux grise en diplomatie à l'étranger. Du fait qu'il s'habille, encore et toujours, d'un vieux courant Soviétique abandonné, même par ses créateurs naturels.
Ce régime imposé aux Algériens, qui se croit humble et fort, à la manière de régresser, aux yeux de la communauté internationale, tout en bafouant les tendance de raisons et de voisinage, multipliant les actes de discorde, dont la dernière danse était avec son faible engagé Kais Saied de Tunisie à cause du coup de force et de colère créé au sujet du rapatriement d'Amira Bouraoui, trainant par terre toute entente avec ses voisins limitrophes, tout en échouant d'atteindre son leadership irréalisable.
Après avoir échoué de casser, ou du moins tordre le bras Marocain, ce régime mafieux a fait appel en rescousse, aux pingouins d'Iran pour l'aider à démolir le mur Marocain qui l'encercle avec son pantin-polisario. Ils s'unissaient ainsi, pour du mal, tissant des relations suspectes, prévoyant tout fait préjudiciable aux intérêts du Maroc.
Je vais pas engloutir ma langue, tant que je peux m'exprimer à la façon de plaire mon lectorat. Parler dans cet espace d'Iran, c'est parler de la relation diaboliquement terroriste du régime Iranien qui s'atèle activement avec l'Algérie contre le Maroc. Les pingouins qui forment le cercle de décisions, et qui pratiquement prennent la devise -sympathiser même avec le Satan- se sont révoltés contre de simples «-mèche de cheveux-», et se précipitaient, au secours du mélange-mercenaires de Tindouf. dont l'arrière-cour est le fief du terrorisme du Hezb-Echaitane Alloubnani..!
Le journal allemand -Die Welt- a rapporté un rapport détaillé sur les activités suspectes de blanchiment d'argent et de financement du terrorisme, qui sont coordonnées depuis l'Espagne et sont répondues dans les camps de Tindouf sous les auspices de l'armée Algérienne et s'étendaient, en parallèle, pour la déstabilisation de pays de l'Afrique du nord, dont le Maroc surtout. Une manière de vengeance pour les barbus, tirant leurs aspects d'une langue histoire de guerres entre arabes du Golf et Perses.
Premiers résultats se distinguent plus clair depuis l'assassinat du premier ministre Libanais Rafiq Hariri en février 2005 à Beyrouth et le débordement que connaît actuellement le Liban! imposé et orchestré par Hezb Echaitane de Hassan Sakhtallah et le désordre trouva l'issue libre pour se rependre rapidement surtout au Liban et aux alentours, emportant aussi la Syrie.
L'activation des ailes-pingouins, selon ce journal, était liée à la soi-disant générosité d'un système dissuasif parallèle qui fonctionne de cette façon d'aide aux peuples, selon la conviction d'Ayat Echaitane, souffrant d'oppression des régimes et pouvoirs de leurs pays. Ces systèmes sont basés sur d'anciennes traditions et coutumes naissantes des conséquences vécues, pratiquement, d'un voisinage Arabo-Perse, mouvementé, tout au long de leur existence au Golf.
Deux individus, pro-Algériens, opérant en agents secrets Iraniens...(Ahmed Abderrahmane), qui vit en Espagne avec son associé (Azmane Mahemadou), ont réussi de créer des réseaux de mal en Europe, au Moyen-Orient et aux camps de Tindouf pour appliquer les dictons de Téhéran, là où il ne plaira plus aux pingouins à travers le monde.
En Algérie, le chef du réseau et son associé, qui ont de bons contacts avec l'armée algérienne, supervisaient le travail du réseau à Tindouf. , selon Die Welt, étaient en train d'étendre leur activité aux entraiment militaires des enfants-soldats aux camps de Tindouf dans la perspective de les jeter à l'enfer des grands et d'ennuyer davantage au Royaume du Maroc et vaquer à leur mal, sans attirer, éventuellement, l'attention du Maroc le plus visé par leur forfait malencontreux.
Et un acteur majeur en particulier a une portée en Afrique de l'Ouest et au-delà : à savoir l'Iran, le plus grand État sponsor de groupes terroristes au monde, selon le journal allemand. Téhéran s'emploie à renforcer sa présence militaire dans plusieurs zones, dont les camps de Tindouf. Le Maroc a vite orienté les doigts d'accusation à Téhéran de fournir des missiles sol-air et des drones au Polisario. via Hezb Echaitane, l'allié traditionnel d'Iran, qui a pu aussi installer des camps en Algérie, dont à Tindouf pour y aider, vainement, le Polisario contre le Maroc a l'initiative d'Alger.
Les occidentaux...De leur côté, les services de sécurité d'occident partaient du principe que les attentats terroristes contre les citoyens occidentaux sur le sol africain vont se multiplier. Et deviendrait facile à y commettre là-bas par les bandes engagées à cet effet, compte tenu de la situation sécuritaire plutôt mauvaise, par rapport à l'Europe.
Cependant, la formation et le soutien des milices du polisario qui coûtaient cher pour les barbus, en raison des sanctions occidentales, l'Iran n'avait pas d'accès direct au système financier international. Quant à Hezb Echaitane libanais, le fils ainé de l'Iran, était confronté au problème de l'effondrement du secteur bancaire et de ses institutions à la suite de la crise économique libanaise et des sanctions imposées. Il cherchait à dissimuler autant que possible son financement du terrorisme en Afrique du Nord.
Ainsi, le régime barbu d'Iran est une barbarie qui porte atteinte aux valeurs de l’islam. Pourtant l’Iran est un grand pays, a une belle civilisation, une grande culture, hélas dominées aujourd’hui par des ayatt Echaitane, comme disait l'écrivain Américano-Britannique, d'origine Iranienne, (Salmane Rushdi dans son œuvre (ayett-Chaitanya) ces ayatt qui sacrifient leur jeunesse féministe pour une question de voile ou de simples mèches de cheveux. A cause de son œuvre, cet écrivain se trouve en situation d'insécurité, recherché et menacé dans sa vie par les autorités d'Iran.
Assar'h AlMaghribi..Pour le Maroc qui progresse en toute sérénité et confiance, le temps est de compter ses amis et de s’éloigner de ses ennemis. Plus le Maroc avance et émerge malgré ses difficultés comme d'autres, plus ses adversaires s’érigent devant lui et essaient de le combattre. Il ne faut ni se plaindre ni geindre. La vie des nations-fortes est ainsi. D’où la vigilance et le redoublement d’efforts, rien n’est donné, tout est à arracher par la persévérance, le sérieux et la rigueur dans le travail. Notre ’intégrité territoriale ne souffre d'aucune remise en question.
Par deux fois en quelques années le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran. La raison c'est que cet Etat qui se dit, exagérément, religieux non seulement, s’est aligné sur les positions Algériennes dans contre l’intégrité territoriale du Maroc, mais il s'aventurait, loin de son espace, pour y entraîner et équiper les mercenaires du Polisario.
De toute façon, le Maroc ne peut pas partager la conception que ces chefs religieux ont de l’islam. Je me souviens de l’époque, à la fin des années soixante-dix, où le monde musulman vénérait Khomeiny, celui qui avait trouvé refuge en France en attendant de revenir triomphant à Téhéran. Quelques semaines plus tard de son retour à Téhéran, Khomeiny avait fait exécuter des intellectuels Iraniens, et le monde découvrait la vraie nature de visage de ce vieil homme autoritaire et violent.
Chez nous, le «Rite Malékite - Doctrine Al-ach'ârya» est modéré, faisant une grande place à la spiritualité, permettant, tout à chacun l'opportunité de se convertir religieusement à sa façon. Par contre Aujourd’hui, la résistance populaire de la jeunesse Iranienne qui réclame que la liberté, de s’habiller selon ses désirs, met ce régime dans une situation d'amhara. Comme son ami et allié syrien, qui n'hésite pas de massacrer les siens, tirant sur les foules et tuer des centaines de manifestants innocents.
Un régime qui répond par le feu, n’a plus aucune légitimité. Evidemment, il accuse les Américains et les Israéliens d’être derrière le fait que des femmes retirent leur voile. «La main de l’étranger». Une vieille antienne qui nous rappelle nos voisins de l’est, les Algériens qui l'utilisent souvent; en guise de réponse à toute provocation interne! comme si la jeunesse Algérienne avait besoin qu’on lui dise de l’étranger «comment vivre et résister à une dictature anachronique en Algérie».
Ce n’est évidemment pas la vérité. La vérité : c'est que deux jeunes femmes Iraniennes «Masha Amini et Nika Shakarami», ont été tuées dans les locaux de la police pour avoir montré un peu de leurs cheveux. Ce régime est une barbarie qui porte atteinte aux valeurs de l’islam modéré. Pourtant l’Iran est un grand pays, d'une belle civilisation, de grande culture, hélas dévasté aujourd’hui par des ayatt Echaitane qui vendent de l'illusion à l’Algérie et au polisario, en manière de leur exhiber leurs forces et capacités de bienfaisance, voire de nuisance naturelle, sacrifiant leur jeunesse pour des question de comportement personnel.
Que l’Iran soit devenu aujourd’hui un acteur ennemi au Maroc à cause conflit du Sahara Marocain ne fait plus de doute. Longtemps les affirmations en ce sens du ministre des affaires étrangères Mr.Nasser Bourita et de l’ambassadeur, Omar Hilal, suscitaient beaucoup de réactions interrogatives et suspicieuses. Par le biais du régime Algérien, l’Iran pose un pied militaire en Afrique du Nord, se mêlant aux conflits Maroco-Algériens, et armait le polisario, qu’il estime servir à ses intérêts stratégiques après avoir été contrainte à l'ordre par les pays arabe du Golf, en particulier par Saltanat Ômane du feu Qabous Ben Said Al Ryan qui lui tenait en force «d'égal à égal» dans plusieurs affrontements directs.
L’Iran des pingouins rajoute à son arc dissuasif destiné à la mettre dans une meilleure position leadership, en plus de l’affaire du Sahara Marocain, elle manipulait déjà quatre autres crises majeures qui lui permettaient d’avoir l’attention de la communauté internationale : 1-La crise du Yémen où elle arme le mouvement Houthi. 2-la crise du Liban déchiré où elle utilise la carte du Hezb Echaitane pour faire «pluie et beau temps». 3-l'appui au régime syrien de Bashar El Assad, sans parler de l’Irak où rien ne peut se passer sans le bon vouloir iranien.
En fait, l’armement du polisario par l’Iran par le biais du régime algérien n’est pas forcément une bonne affaire pour les pays avoisinants, tant que la volonté Iranienne est de provoquer une guerre et de semer le chaos dans toute la région. L'appui des Iraniens au polisario contre le Maroc est déjà perçu comme une déclaration de guerre par l'Algérie qui ne restera pas sans réaction, à tout moment, de la part de la valeureuse «Armée Marocaine» en situation défensive depuis des années déjà.
Un possible usage de toute frivolité par le -Polisalgérien- contre le Maroc est non seulement une déclaration de guerre, mais aussi une nouvelle donne dans la tendance à qualifier le polisario comme étant un «mouvement terroriste» au service des agendas Algérien et Iranien qui s'unissent au mal pour déstabiliser l’Afrique du Nord et rajouter aux chaos libyen et sahélien un autre chaos à la frontière Maroco-Algérienne.
Ainsi, la communauté internationale, Europe en tête, n’aura aucune hésitation à mettre le polisario sur la liste des organisations terroristes, «Daech, Al Qaida, Elhoutyine ou Hezb Echaitane». Cette démarche transformera automatiquement le régime Algérien en parrain du terrorisme dans le monde comme l’étaient le Soudan et l’Afghanistan d'hier et comme l’est l’Iran aujourd’hui.
C'est doucement que l'aubergine se mange...Mais sûrement (dialectal populaire Marocain). Le régime Algérien est ainsi en train de nouer la corde du pendu autour de son cou, de tresser son propre isolement avec risque d’une chute aussi brutale qu’inattendue. Pour rappel, le Maroc avait annoncé la rupture de ses relations diplomatiques avec l’Iran en raison de son soutien au Polisario via un membre notoire employé par l’ambassade Iranienne à Alger qui était chargé du soutien logistique et financier des séparatistes Polisalgérien.
Sachant que Nasser Bourita, à qui nous devons lui lancer le chapeau en lorraine, avait assuré à ce propos que le Royaume disposait de preuves irréfutables, de noms identifiés et de faits précis « qui corroborent cette connivence entre le Polisario et Hezb Echaitane contre les intérêts supérieurs du Maroc. Une telle décision stratégique d’aider militairement le polisario et de former ses milices ne peut être prise sans la coordination, voire même, sans le consentement d’Iran, avait-il expliqué en substance.
La révélation de la collusion entre le polisario et Hezb Echaitane, est révélatrice d’un «expansionnisme toxique» de l’Iran, écrit le quotidien américain à grand tirage basé à Washington, (-The Hill-), en appelant la communauté internationale à adopter une posture de vigilance extrême contre l'Iran.
Je cite : «L’Iran est le seul pays, dont l’expansionnisme est érigé en axe fondateur de sa constitution. Ce pays entretient des groupes terroristes et milices qui lui sont complètement affidés, dans nombre de pays de son environnement immédiat et au-delà» , souligne la publication, dans une analyse signée Ahmed Charaï, éditeur et membre de plusieurs -Centres de réflexion Américains-, sous le titre : «Une nouvelle alliance face à l’Iran» le dénomme -Amir Moussaoui-, est agent secret Iranien dans la peau de diplomate !!. fin de citation.
Par contre, Mr. Nasser Bourita avait annoncé que le Maroc avait décidé de rompre ses relations avec l’Iran à cause de la «connivence avérée» et de son soutien militaire au polisalgérien. Une connivence dont la cheville ouvrière était justement un certain "Amir Moussaoui" en personne, épinglé, par la suite, pour diverses activités de prosélytisme chiite qu'il opérait en Algérie.
La chaîne Israélienne -i24 News- a diffusé un reportage à l’émission "Défense" qui prouvait l’implication de l’Iran, par le truchement du Hezb Echaitane, dans le financement et l’armement du Polisario, avec l’aide de l’Algérie, pour mener des actes terroristes au Sahel et contre le Maroc. L’ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilal avait vite réagit à la possession du Polisario de drones Iraniens.
Polémique... Alors que les autorités Algériennes n'ont pas commenté l'incident, des réactions ont fusé de quelques pays du Golf, déterminés à vouloir le bien de l'Algérie malgré elle. Des Saoudiens bien «avertis» sur le péril iranien, qui est responsable, selon eux, de l'instabilité au Moyen-Orient, ont cru bon de prodiguer quelques conseils aux Algériens. Je cite :
«Nos frères en Algérie, prenez garde à l'expansion persane qui opère sous couvert de clubs culturels, écoles et organisations de charité. C'est la garde révolutionnaire qui dirige ces structures, le tout sous la coupe de l'officier persan (Amir Moussaoui). Quand les Persans entrent dans un pays, il est détruit. Voyez bien ce qui s'est passé en Irak, en Syrie et au Yémen.»
La propagation du chiisme est une thématique récurrente dans les pays du Maghreb, qui s'en inquiètent. Pourtant, c'est cette même terre qui fut le berceau, au 10ème siècle, d'un Khalifat chiite, l'État Fatimide, qui prit naissance au Maroc, chez les Berbères de K'tama, convertis par des prosélytes fuyant les persécutions abbassides et l'État au propre terme prit pour capitale Mahdia, dans l'actuelle Tunisie, avant de s'installer au Caire.
Si Téhéran aimait à tort rappeler le temps de l'ex-Président Egyptien Mohamed Morsi qui voulait mettre le Caire capitale Chiite Iranien, il semblerait qu'il se réjouisse aujourd'hui de l'Algérie comme étant, le «berceau du terrorisme» résumait un internaute en colère.
Le départ d'Alger d’un diplomate en fin de mission pourrait-il, à chaque fois, provoquer des polémiques ? Absolument pas, dirait l’autre. Pourquoi donc le départ de Moussaoui, le soi-disant attaché culturel de l’ambassade d’Iran en Algérie, comme il a été médiatisé, aussi bien en Algérie qu’au Maroc et dans plusieurs autres pays?. Les observateurs savent pertinemment la réponse, le peu diplomate Moussaoui était peut-être tout, sauf un diplomate.
Il avait lui-même annoncé son départ de l’Algérie, comme cela était longtemps réclamé par beaucoup de parties, dont le Maroc qui l’accusait d’être l'acteur principal des opérations d’armement et d'entrainement du Polisario. Et pourtant, son départ était déjà pressenti par les observateur de la chose Algérienne, mais l’Iran avait exercé davantage de pressions sur l’Algérie, où Moussaoui jouait le rôle, parmi tant d’autres, d’intermédiaire entre le Polisario et Hezb Echaitane, pour assurer le soutien du mouvement chiite pro-iranien qu'il soit en Algérie ou ailleurs.
Il était une fois pour de bon, la présence de Moussaoui sur le territoire Algérien tournait plutôt en mascarade. Et ce sont les acteurs et cadres Algériens de tous bords qui, activés par clin d'œil du pouvoir, appelaient à ce que cet agent secret Iranien soit chassé du pays ! car il n’avait rien de diplomate ni de conseiller culturel, puisqu'il est devenu, au fil du temps, un fardeau ingérable pour les autorités Algériennes qui ont, selon des sources médiatiques, appelé l’Iran à mettre fin à sa mission en Algérie, dont ses manigances et manœuvres étaient devenues assez flagrantes, mais aussi embarrassantes.
Alger n’avait pas pu certes imposer son départ, mais voulait que ce soit de la propre initiative Iranienne ! D’ailleurs, il était difficile de comprendre le mutisme des décideurs Algériens qui ont, en revanche, poussé des responsables de second rang à protester et réclamer son départ. Enfin le pouvoir d'Alger s'est contenté d’arguer, en guise d’explication, que les mouvements et les actions de Moussaoui qui contactait "librement" la société civile Algérienne étaient devenus bien compromettants et donc n’étaient pas appréciés du tout Algérien. Alger est parvenu, ainsi, à se défaire d’un agent nuisible, devenu trop encombrant.
Je termine par le proverbe Français suivant : «Lorsque l'éléphant trébuche, ce sont les fourmis qui pâtissent». C'est le cas de l'Algérie, quand le Maroc progresse, elle s'enfonce dans toutes les merdes, perdant son sort d'Etat responsable. Cela prouverait que sa peuple censé être vif, par le Hirak, est déréglé, voire plus que délocalisé, contraint déraisonnablement de perdre sa face et ses aspirations. Tout observateur, dira avec regret imputable au diable : «A quoi faut-il s'attendre d'un voisin souffrant de folie chronique, contraignant à ne pas s'en tenir à ses paroles ou engagements ». Bonne lecture.