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Maroc-Algérie : Une Algérie assiégée par des sales bottes, qui agissent en normes de caserne..!

                                                                                                         drapeau-du-maroc-image-animee-0008                                                            

                                                       

                                                                                                                     

Facultativité..Un petit complément additif à la dernière note au sujet des relations Maroco-Iraniennes, face au prosélytisme et à la prédication chiite en Afrique de l’Ouest. Le Maroc déploie sa douce puissance (soft power) pour préserver cette région d’un surcroît de turbulences. Il ne s’agit pas d’incendiaires assez détraqués pour allumer en plein été le feu en forêts. Là, il s’agissait de beaucoup plus grave : «l'ingérence politique Iranienne en Afrique de l'Ouest qui est plus rapide que prévu», pour dévaster les souverainetés des pays nord-Africains surtout, ce que cela pourrait provoquer de difficultés et de désastres inhérents. 

Le Maroc est cité en exemple dans sa prévention contre les Ayett Echaitane d'abord chez lui. L’Afrique du nord souffre depuis des années de l'invasion Perse, difficilement maîtrisable en Algérie après avoir échoué son intrusion au Maroc, via la porte ouverte de Tindouf. C’est la (Radio France International) qui a passé un reportage sur ce sujet en signes qu’il faut prendre, pas par des pincettes, mais au sérieux.

Le reportage-RFI parlait de possibilité de nettoyage des zones Africaines infectées par l'odeur des turbans et barbes «ayett Echaitaine» qui se sont arrivés à dominer l'Algérie et son régime. A cet  effet, il faut enlever les feuilles mortes, les vieilles branches, tout ce qui prend feu et le répand à nos cotés. Il faut aussi les entourer  par crachats et par jets de pierres. 

Malheureusement, cette Afrique du nord à risques, ne s'est pas préparée à refouler les flammes des Ayett Achaitane, du fait que l'Algérie se trompe carrément avec leur aide..Si se croit-elle capable de couper court et gagner des boulets de cristal au dos du Maroc, en adoptant trop de préjudices à la grandeur Marocaine et surtout, à la Marocanité de ses deux Sahara. Et pourtant, le ministre Iranien des Affaires étrangères, vient de semer par déclaration inédite la terreur au palais d'Al Mouradia d'Alger. Sa déclaration était liée à la volonté de l'Iran de rétablir ses relations diplomatiques avec le Maroc, exprimant sa volonté, avec les dessous qu'on peut imaginer, (!)

Une déclaration d'appréciation et de respect, louant une position de connaissance en casquettes respectable au leadership Marocain, aux niveaux : arabe, Afrique et international. Elle entre, à mon avis, dans la schizophrénie de diplomatie. Depuis lors, le régime Algérien craint que le Maroc impose en condition...La reconnaissance de la Marocanité de son Sahara par Téhéran. Je ne pense pas que les barbus aient invité le ministre Algérien aux mensonges, qui s'est rendu en urgence à Téhéran,  pour supplier l'Iran à ne pas appuyer le Maroc dans l'affaire Polisario. Les idiots d'Alger se dirigent, aveuglement, vers Téhéran autrement que par cette conclusion, se préoccupant uniquement, en politique étrangère, que du dossier du Maroc et de son Sahara. La preuve en récompense, c'est que les Algériens qui veulent se rendre en Iran, sont exonérés de visa.                            

La vérité cruelle…L’origine de la manipulation sur laquelle est construite l’histoire officielle de l’Algérie remonte au moment de son indépendance en 1962. L’histoire qui fût alors écrite postula l’unité de la population levée comme un bloc contre le colonisateur, à l’exception toutefois d’une petite minorité de collaborateurs Algériens, ce qu'on appelle : «les Harkis, les serviteurs de France en Algérie Française, engagés au dernier moment par le général Charles De Gaulles». 

-À elle seule, cette phrase, résume le non-dit existentiel d’un pays dont l’histoire officielle navigue entre la réalité et les écueils de l’illusion à travers une histoire inventée. Sorte de «paradis» historique artificiel, cette dernière est construite autour de mythes auxquels aucun historien sérieux ne croit, mais qui sont devenus autant de dogmes en ce qui concerne l'Algérie actuelle. 

-Enfer d'Algériens, leur propre histoire?. Oui, parce qu’elle ramène constamment les historiens «régimistes» à des évidences qu’ils nient, ce qui rend difficile sinon impossible toute analyse rationnelle. -Paradis d'Algériens, leur propre histoire? Là encore oui, parce que, pour oublier le réel, ces mêmes historiens officiels s’accrochent à une histoire faussement fabriquée par des apprentis militaires, mélangeant tenues thrillers zébrés avec tenues civiles.  

Quand il a fallu donner une cohérence aux différents ensembles composant l'Algérie, la nécessité de l’unité se fit alors à travers leur nationalisme arabo-musulman niant la composante berbère de la Kabylie et de Touareg et l’arbre de l'historique Algérien fut alors coupé de ses racines. 

À la différence des registres extensibles de (lAssociation Algérienne de Moujahid), l’armée française a tenu des fiches d’incorporation, de traitement, de pension, de démobilisation, etc., ce qui permet de démontrer qu’au mois de janvier 1961, alors que le processus menant à l’indépendance était clairement engagé, environ 350 milles Algériens servaient dans l’armée française. 

La manipulation de l’histoire touche également les périodes plus anciennes. L’histoire officielle de l’Algérie Française présente ainsi les villes de Tlemcen ou Bejaïa comme des pré-Algérie, alors que, je l’ai déjà mentionné dans plusieurs chroniques en blog, les Algériens sont en présence de brillantes Communautés n’ayant jamais constitué de noyaux pré-étatiques algériens.  Au même moment, avec Fès et Marrakech, le Maroc développait des empires à travers ses dynasties, qu’il s’agisse des Almoravides, des Almohades, des Saadiens, des Mérinides et les Alaouites actuels. Rien de tel en Algérie.

Les Turcs ne favorisèrent pas davantage l’évolution vers l’État-nation. Aussi, en 1830, quand l’armée française débarqua à Sidhom F'raj près d'Alger, l’Algérie n’existait toujours pas, une réalité confirmée clairement par la nature des choses dans un petit passage-vidéo du général De Gaulle, circulant en internet.  Ce fut la France qui la créa en rassemblant des régions, en y rattachant des territoires historiquement Marocains, en lui donnant son nom et ses frontières et en l’ouvrant sur un Sahara Marocain oriental qu’elle n’avait par définition jamais possédé. 

D'après ma modeste érudition personnelle, la situation que traverse l'Algérie en cette occasion commémorative, -ou plutôt l’évocation- du double anniversaire du Printemps Berbère (1980) et Printemps noir (2001), n’a pas laissé indifférent tout observateur politique même si apprenti. Pour empêcher toute expression politique de l’opposition, le pouvoir a utilisé des procédés machiavéliques et souvent violents», explique-t-il, rappelant que : «C’est dans cet esprit qu’il a ordonné et exécuté l’assassinat de Mohamed Kheider en 1965 à Madrid et en 1987 à Paris du Kabyle Ali Messili, avocat au barreau de Paris, figure emblématique de l’opposition, compagnon et bras droit de Hocine Ait Ahmed.

Et une année plus tard, le pouvoir encore «réprime sauvagement, dans le sang la révolte de pain et de liberté de 1988» plongeant, par la suite, l’Algérie dans une décennie noire très meurtrière, poussant le pays dans le «terrorisme et de la violence d'Etat». Ressemblant le Printemps noir de 2001 en Kabylie, où «le pouvoir n’hésitait pas à exécuter de sang-froid 128 jeunes Kabyles, blesser et handicaper à vie des centaines d'autres. 

Et à ce jour, les commanditaires et responsables de ces crimes qui ne sont que des actifs Drsistes, des généraux Toufik et Nezzar sont restés impunis. Mais, quoi qu’il en soit, toutes les luttes du Hirak Algérien, n’ont fait, me parait-il,  que hisser un peu plus la conscience populaire des Algériens en révolte dans les coulisses. 

Les conditions de l'Algérie actuelle transforment le pays en grande prison, obligeant certains à se retirer de toute gestion politique. La preuve en est en trait d'union avec la situation de l'activiste Algérien (Rachid Nekkaz), très souvent incarcéré et locataire de  la prison d'Al harrach, annonçant, son désir d'abandonner la politique en Algérie, tout en ajoutant que .."Cette décision lui a été inspirée par esprit d'inutilité", et qu'il quitte définitivement, par la force des choses, toute activité politique y afférente, surtout en l'absence localement d'élites influentes de politiques opportunistes.

             

                                                           

 

                                                           شنقريحا كيشوف راسو حمار

 

Le terrorisme clandestin de l’État...La mémoire de disparus disait certes, avec amertume, si on anatomise l'état de ce simple Algérien (un des doigts bleus), souffrant de douleur qu'il porte en son cœur, comme tout autre Algérien de son niveau, répétant, certainement, ce qui veut dire que : «Les généraux nous ont roulé pour cacher leurs crimes qui perdurent», par exactions,  disparitions forcées de personnes, exécutions extrajudiciaires, massacres,  manipulation discrète par violence des groupes armés de l'Algérien, le borne «Mokhtar Bel Mokhtar» qui se déplaçait librement, perpétrant impunément :  «-déplacements forcés de populations - torture systématique -pratique des disparitions forcées, en instruments de la «sale décennie noire». La plus dangereuse en date, était l'attaque du site gazier -Sonatrach à Tigentourine- d'Ain Amenas en Algérie en janvier 2013, qui s'était soldée par la mort de 40 employés de dix nationalités et de 29 terroristes Algériens.

Au lendemain de cette attaque, la confusion régnait. D'après les ravisseurs,  les victimes seraient mortes lors du raid aérien mené par l'aviation Algérienne, une information confirmée dans les coulisses. Une sale guerre, rappelons-le, déclenchée en janvier 1992 par l'armée (racaille!) contre la population civile, ayant voté pour le FIS, (Front Islamiste de Salut). Les ONG se disant de :  «défense des droits de l'humain estiment de 15 à 20 milles, le nombre des disparus en deux ans, principalement entre 1994 et 1996, dont la mission d'exécuter était confiée aux généraux Nezar et Toufik selon des sources locales».

En 2007, alors que les principaux responsables militaires de ces crimes contre l’humanité contrôlent toujours le pouvoir réel en Algérie, nombre de familles de disparus continuent à se battre courageusement, malgré la répression, pour obtenir la vérité sur le sort de leurs proches. Certaines mères et épouses de disparus ont constitué des associations pour mener collectivement ce combat, face à l’hostilité du pouvoir et à l’indifférence de la «communauté internationale» de cette situation stérile qui ne se trouvait qu'en Algérie. 

Pour contribuer à la recherche de vérités et résister à un pouvoir qui a tout fait pour effacer l’existence même des personnes disparues, un site électronique Algérien a estimé, avec les associations locales de familles et des ONG internationales de défense des droits humains, qu’il était essentiel de «documenter» précisément le plus grand nombre de cas possibles, et de les rendre publics. 

Dès 1999, ce site qui disposait alors d'une liste de plus de 3000 disparus, a rédigé un premier rapport pour illustrer ce phénomène en Algérie et relever le caractère systématique de cette pratique de la «disparition forcée», rassemblant documents, témoignages, photos et ce grâce à quelques soi-disant, défenseurs des droits de l'humains en Algérie – qui très peu nombreux, du fait de la répression – ont pu constituer et publier en 2002 une liste de plus de 3500 noms de disparus.  Depuis, la collecte d’informations s’est poursuivie et c’est ce qui a permis à ces intervenants de rendre publique en janvier 2007, le nombre de 1700 personnes disparues avec des fiches, détaillées, rapportant les circonstances de leur disparition et comportant pour beaucoup d’entre elles une photo. 

Après leur coup d’État du 11 janvier 1992 annulant la victoire électorale du Front islamique du salut (FIS) aux élections législatives, les chefs de l’armée et des services de renseignement, le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) mettaient progressivement en place un -redoutable dispositif répressif- pour écraser toute opposition, comportant deux volets indissociables. Le premier, officiel, concerne les institutions de l’État : 

1-volet : «-Démission forcée de Chadli Ben Jdid, le président de la République,-Dissolution du Parlement,-Annulation de facto de la Constitution, -Proclamation de l’état d’urgence (9 février 1992), -interdiction du FIS (le 4 mars),-Promulgation (septembre) d’une nouvelle législation «antiterroriste».   2-volet clandestin : «la création d’une véritable «machine de mort», constituée des unités des forces spéciales de l’armée et du DRS, elle exercera un véritable «terrorisme d’État», recourant et prenant en exemple de dissuasion toutes les techniques formalisées par la doctrine de la «guerre moderne», mise en œuvre et théorisée par l’armée française lors de la guerre de libération algérienne (1954-1962), dont celle des disparitions forcées. 

Dès 1992, rafles et ratissages sont organisés par les forces de sécurité dans les quartiers considérés comme fiefs du FIS. Des milliers de personnes sont arrêtées et déportées illégalement dans des camps de concentration (appelés «centres de sûreté») dans le désert Algérien. Mais déjà quelques personnes enlevées «disparaissaient». À cette époque pourtant, une majorité des personnes traduites en justice étaient libérées, faute de preuves d’un quelconque délit.   

Dès lors, les généraux Mohamed Lamari, chef d’état-major de l’armée, Mohamed Médiène, alias Toufik et Smaïn Lamari, les chefs du DRS décidèrent de donner la priorité au volet clandestin de répression : ils ordonnaient à leurs hommes de tuer les suspects et au lendemain des ratissages, des dizaines de cadavres jonchaient les rues. 

Mais c’est à partir de mars 1994 que la pratique des enlèvements/disparitions prenait proportions invraisemblables, à l’initiative du DRS. Des milliers de personnes, dont une écrasante majorité d’hommes de tous âges, de toutes professions et de toutes régions, étaient interpellées par les services de sécurité, ainsi que par les milices créées dans le cadre de «lutte contre le terrorisme». Ces personnes étaient arrêtées à leur domicile, sur leur lieu de travail, à un barrage, en présence de leurs familles, de collègues ou de voisins. Les agents responsables des enlèvements agissent généralement sans présentation d’un quelconque mandat officiel, assurés de bénéficier d’une impunité totale. 

Les victimes de ces arrestations arbitraires étaient détenues dans des centres secrets, souvent supervisés par  DRS, où elles ont été affreusement torturées.  Elles n’en avaient aucune possibilité de contact avec famille, même au-delà de la durée de garde à vue fixée par lr soi-disant décret antiterroriste. Certaines ont été libérées après plusieurs mois de supplice ou ont été présentées à la justice, mais la plupart d'entre elles ont définitivement disparu. La majorité des (enlèvements/disparitions) recensés ont eu lieu entre 1994 et 1996. 

Culpabilité de putschistes...Depuis près de dix ans, les familles de disparus surmontent leur peur et bravent les interdits pour exiger la responsabilité et la vérité sur le sort de leurs parents et obtenir que les commanditaires des enlèvements soient traduits devant des tribunaux. Face à cette mobilisation, qui est parvenue difficilement à trouver un écho au-delà des frontières algériennes, l’État algérien a fini par reconnaître très partiellement la réalité de ce phénomène. 

Les autorités ont répertorié près de 7000 cas de disparitions forcées, mais refusent de se prononcer sur les responsabilités : invoquant contre toute évidence une « désorganisation » des forces chargées de la répression, qui expliqueraient de simples « dérapages » au cours des années noires, elles ont affirmé que «l’État est responsable mais pas coupable». La seule responsabilité qui incomberait aujourd’hui à l’État d'Alger serait donc de subvenir aux besoins matériels des familles touchées par ce qui est officiellement qualifié de «tragédie Algérienne ». 

La promulgation de ce qu'on appelle là-bas : "La loi de réconciliation et de paix" en février 2006 prévoit ainsi une prise en charge à condition que les familles concernées abandonnent toute poursuite judiciaire et s’engagent à ne plus porter plainte. Et en pratique, les pressions sont encore plus fortes, puisque certaines familles sont contraintes de signer des formulaires attestant que leur parent disparu a été enlevé par des «terroristes» ou qu’il a «rejoint volontairement les maquis».

Plus grave encore, que leur parent est mort au cours d’un accrochage avec les services de sécurité. Pourtant, de l’aveu même de certains responsables politiques, beaucoup de familles refusent ces compensations et continuent de lutter pour que le sort de leurs parents disparus soit dévoilé et que justice soit faite. -Justice, dit-on...c'est le gros mot qui fait peur aux simples individus, dans un pays dominé par des sales bottes, que personne politique, ne semble en mesure de leur faire de l'ombre à l'échelle de défaites, qui entachent davantage le visage de l'Algérie, en tant que pays d'orgueil, de haine et d'hostilité!.

Nerveux et hésitant à cause des défaites et mauvaise gouvernance  de ses prédécesseurs, chaque locataire du palais d'AlMouradia d'Alger n'accepterait entendre, les exploits diplomatiques qu'enregistre le Maroc, rejetant ,en quelques sortes les chefs d’accusation et procès qui s’annoncent, ici et là, contre "la force de frappe", sur laquelle plane toujours le spectre de panique menant, certes, à une nouvelle guerre civile, du fait qu'il n'y a jamais rien eu de vrai ou de paroles crédibles des gouvernants Algériens, tout au long de leur existence à nos côtés.Bonne lecture .

                                                    Cordialement, Chihab25       

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رحم الله الملك الحسن الثاني الذي قال : لا نريد من العالم الاعتراف بمغربية  الصحراء ولكننا نريد منه ان يعرف : مع من حشرنا الله في الجوار

                                    

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