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  • Quand Alger invente le masochisme géopolitique et emboitait les pas de toute infraction!

     

                                                                                                  drapeau-du-maroc-image-animee-0008

     

                                                                                                                  

                                                                                                                                 Quand l'Algérie se remettra-t-elle !

     

    Anecdote insoumise : Moulay Brahim Sedra, un professeur universitaire de taille, écrivait une anecdote insoumise que je reprends ici, avec fidélité, invitant le lectorat à en apprécier, au sens de bien dévoiler davantage la frivolité de la voisine de mal d'à côté. Cette enragée, que la lâcheté géographique nous a, malheureusement, imposée de force :

    «On disait dans le passé que l'individu restera enfant sans évolution, tant que sa mère est en vie. Quand elle meurt, il devient naturellement vieux. C'est le cas de notre univers que les vraies valeurs humaines, lui donneront la vie  et l'esthétique. Sans elles il devient squelette sans vie ni valeur».

    Cette anecdote s'applique, bien sûr, à notre voisine l'Algérie, qui n'a ni honneur ni valeur, perdant davantage au fil de son existence, les aspects de respect d'Etat crédible. Nous constatons en plus, elle est bannie par son entourage, ce qui porte sur la création de 'juges' «ad hoc» indépendants, chargés de prendre des mesures spécifiées intérieures contre sa junte qui enfreigne le code éthique, jugeant belle et légale «sa mise en quarantaine», en guise de punition, jusqu'à ce qu'elle revienne à la raison.

    Qu’importe ce qu’elle mijote de mal contre le Royaume, mélangeant son faux leadership et l’anticipation, elle doit avoir du talent spécial pour vendre du vent à des démons et à des vipères de la même couleur de son ingratitude.

    Sachant qu'à tous les moments, personne n'oserait accuser le Royaume de flirter, comme elle, le diable, étant que ce Grand Empire Chérifien est, de sa nature historique, «une Force Régionale», au niveau de réguler la cadence à une nouvelle Afrique émergente, battant, en parallèle, les fourbies obsélètes Algériennes.

    Le masochisme géopolitique...une pulsion d'autodestruction, dans laquelle le sujet ne trouve le plaisir que dacapable de tenir au bon rythme les règnes et les commandesns la douleur physique et les humiliations qui lui sont infligées. Dans ce  sens les caporaux algériens ont innové, en développant un nouveau concept, que les experts qualifieraient de «masochisme» en lui ajoutant le terme géopolitique, pisqu'il s'agit de voisinage .

    En l’espace de 5 ans (2019 à 2024), Alger a réussi la prouesse de se mettre à dos quasiment tous ses voisins. Mais de tous les événements de l'heure, celui qui est pour nous le plus réjouissant et prioritaire, c’est bien entendu le changement radical de la position de la France concernant notre intégrité territoriale.

    Cet événement diplomatique était bien attendu depuis un bon moment, et il ne manquait plus qu’une dose de réalisme et de responsabilité politique pour que Paris se décide à emboîter le pas à Washington et à Madrid et faire preuve de maturité diplomatique, n'en prenant pas en compte les brebis galeuses qui pâturent en zones pétrodollars.

    Claire fait, comment désormais ne pas parler de la réaction des voisins de l’Est? Une réaction face à laquelle on ressent en même temps de la pitié pour le peuple algérien opprimé, obligé de se coltiner ces bras cassés à la tête du pays, mais aussi de la frustration, en raison de l’énorme potentiel régional pris en otage par la haine vindicative d’une caste d’oligarques en uniforme zébré à notre égard.

    Mais la caste d’Alger a décidé d’innover, en développant un nouveau concept que je me permettrai de qualifier de «Masochisme géopolitique». Car en l’espace de 5 ans, soit entre 2019 et 2024, Alger a réussi la prouesse de se mettre à dos quasiment tous ses voisins, dont certains étaient des alliés, partageant une certaine hostilité envers le Maroc, en particulier l'Afrique du sud de Cyril Ramaphosa et du Zouloue Jacob Zuma et sa maitresse Dlamini.

    En août 2021, Alger a décidé de rompre les relations diplomatiques avec le Maroc, tuant dans l’œuf toute possibilité de dialogue ou de rapprochement. En juin 2022, ce sera au tour de l’Espagne, puisqu’Alger avait suspendu le traité d’amitié qui la liait à Madrid depuis 2002. Et dans la foulée, Alger a également suspendu toutes les opérations bancaires entre les deux pays, sans parler des menaces énergétiques, qu’Alger ne cesse de brandir contre Madrid.

    En décembre 2023, l’Algérie a réussi à se mettre à dos le Mali, à travers une crise diplomatique profonde qui ne risque pas de se terminer de sitôt. Bamako accuse Alger de soutenir les séparatistes Touaregs, Azawad et les opposants peuls¹. Certains accusent même l’Algérie de voler du pétrole qui appartiendrait au Mali et ce par pompage clandestin, quelque part au nord de ce pays.(!)

    Enfin, il y a quelques jours, c’est la France qui, en raison de sa nouvelle position diplomatique, se retrouve dans la ligne de mire de bla-bla(!) d’Alger. Les réactions ont été très vives à l'écurie d’El Mouradia d'Alger. Elles furent du genre : «Retenez-moi ou je fais un malheur». Certains parlent même de sanctions économiques qu’Alger envisage d’appliquer à la France par l'arrêt de lui exporter les pattes de volaille. Non, non, je suis sérieux.

    Les caporaux d'Alger vont-ils sanctionner leurs propres avoirs et comptes bancaires en France? Ou bien, vont-ils peut-être punir la France en la privant de ces «chances pour la France» que représentent les milliers d’immigrés clandestins qui tentent de franchir quotidiennement la Méditerranée?

    Dans le domaine de la psychanalyse, le neurologue Autrichien Sigmund Freud, écrivait que -le déni de la réalité est un mécanisme qui consiste à refuser inconsciemment de percevoir une réalité insupportable-. Dans son célèbre essai intitulé «Le fétichisme  الوثنية», il en fait même un point de départ de la psychose et de la perversion de la psyché de l'individu.

    Cependant, cette réalité qu’Alger refuse de voir, celle des réussites diplomatiques du Maroc, n’est insupportable pour les généraux algériens qu’en raison de leurs propres échecs en interne. Un remède existe bel et bien, et il se trouve entre les mains des Algériens eux-mêmes qui, malheureusement, ils ont lâché la laisse pour s'aligner en énormes fils d'attente pour des futilités alimentaire.

     

                                                                 

                                                                          Regards suspects, d'hier et d'aujourd'hui!  

     

    Relation désenchantée...Entre la France et le Maroc, l'amitié pour qu’elle soit consolidée, aurait besoin d’une prise de position franche de n'importe quel partenaire qui ferait avancer un dossier de manière significative.  Pour le Sahara, bien sûr! la France avait bien eu du courage pour franchir le pas décisif, en reconnaissant sa Marocanité. Aura-t-elle, le même sentiment d'Etat colonisateur d'autrefois, pour le dire au sujet du «Sahara Marocain oriental», spolié par l'Algérie Française et il est actuellement sous le joug de l'Algérie de caporaux.

    La décadences de l'Algérie, n’est point celle qui naît d’un excès de raffinement de ses soi-disant élites, dont proprement dit, n’en dispose pas, mais de la vulgarité et de la méchanceté générale de ses gouvernants contre ses voisins, le Mali, le Niger, la Mauritanie et le Maroc en particulier.

    Ainsi parlait l'écrivain Français -Maurice Martin du Gard-. Dans les relations, plutôt tumultueuses, entre la France de Macron et le Maroc, il n’y a pas que méchanceté, mais il y avait aussi, pas mal d'ignorance et d'absence de raison des locataires de l'Elysée.

    Plus loin de France, chez nous au Maroc, nous avons entendu dire le ministre Français aux Affaires étrangères M.Stéphane Séjourné, qu’il a été chargé personnellement de renouer avec le Maroc et nous lui avions souhaité bonne chance. C’était la moindre des choses. 

    Dans nos traditions Marocaines, celui qui «frappe à ta porte t’oblige à lui répondre». Par générosité, nous l’accueillons et nous le déposons au large de l’hospitalité. Mieux que cela, nous l’écoutons et nous respectons ses opinions. Nous avons l’impression que le président Macron a enfin compris que notre voisine de l’Est ne lui concédera rien, ne lui donnera rien et continuera à faire fonctionner la fameuse «rente mémorielle et le rapatriement des crânes» jadis dénoncée par Macron lui-même.

    Notre peuple Marocain connait bien l'autre peuple-troupeau d'à côté, avec lequel il a besoin de se fréquenter, «liens de sang et d'intermariage obligent», d’aller et venir librement dans les deux sens. Ignorer cette réalité,c’est infliger aux concitoyens, de part et d'autre, une punition intolérable, inadmissible.

    On sait que la main tendue du Maroc a toujours été, non seulement refusée, mais aussi insultée. Sachant que le Souverain la dit en mots claires, et ces mots ont été réfléchis, bien choisis, dont voici le passage-résumé qui les traduise :

    «Le dossier du Sahara est le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international. C’est aussi clairement et simplement l’aune qui mesure la sincérité des amitiés et l’efficacité des partenariats qu’il établit».

    Pourquoi pas? Après tout, le Maroc ne demande pas mieux que d’être entendu et que son intégrité territoriale soit,généralement, respectée et reconnue. Il faut revenir aux propos de l’actuel ambassadeur de France à Rabat, Mr.Christophe Lecourtier qui œuvrait, dans ce sens, depuis son arrivée au Maroc pour le rapprochement de son pays avec le notre. Il connaît et apprécie le Royaume, ses traditions, son âme. Je pense qu’il a su en parler à Paris pour corriger les failles survenues par le débordement politique de certains nageurs de la Seine.

    Le président Macron, dont la politique étrangère a subi quelques désagréments, notamment dans des pays africains qui sont en train de sombrer dans un chaos effrayant, a compris qu’il fallait rétablir les liens avec un pays solide, stable, fiable et qui a une tradition d’amitié correcte et concrète depuis le général De Gaulle.

    Le Maroc n’a pas la mémoire courte, mais il a la sagesse de savoir avancer quand la sincérité de son partenaire est réelle et sans ambiguïté. L’Algérie! quant à elle, déjà sa presse officielle a écrit des pages nauséabondes sur les déclarations de Stéphane Séjourné. Il fallait s’y attendre. Il ne faut ni les lire ni les prendre au sérieux. De toute façon, quelle que soit la position de la France, elle sera critiquée par Alger.

    Poussières de menace-carton: En contrepartie, l’Algérie menaçait la France  de représailles, après la reconnaissance par le président Macron de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Mais si représailles, il devait héla as yvoir, ce serait plutôt dans l’autre sens qu’elles pourraient s’exercer. Et voici pourquoi.

    En reconnaissant la Marocanité du Sahara dit occidental, évidence historique, culturelle, ethnique, religieuse, politique et économique, le président Macron a déchaîné la colère d’une Algérie qui, perdant tout sens de la mesure, menace désormais la France de «représailles, mais de quelles représailles parle-t-on?».

    On imagine mal qu’Alger se tire une rafale dans les deux pieds en suspendant les relations aériennes et maritimes avec la France et le Maroc, ce qui pénaliserait plus que gravement une diaspora qui injecte quotidiennement des devises pour une économie algérienne exsangue, pour ne pas utiliser de gros mots là-dessus.

    Le gaz algérien ne représentant en moyenne que quelque poussières % de la consommation française, ce n’est donc pas une production stratégique permettant d’exercer des «représailles» sur Paris, ni davantage sur l’Union européenne. En 2023, l’Algérie a ainsi exporté quelques milliards de mètres cubes de gaz vers le marché Européen, alors que l’UE en importe annuellement, selon les experts, qu'environ quelques centaines de milliards de m3…

    L’Algérie détient donc, que des cartes grillées. De plus, le gaz algérien ne représentant pas une nécessité à la consommation française, et le pétrole étant de plus en plus abondant sur le marché international, il ne s’agit donc pas davantage d’un produit stratégique au moyen duquel des «représailles» pourraient être exercées contre la France.

    Pour la France, économiquement parlant, l’Algérie n’existait pas et, si «représailles» tant qu'elle pourrait exporter que du tabac à chiquer que les Français n'en consomment pas au quotidien. L’Algérie devait hélas y avoir, ce serait plutôt dans l’autre sens qu’elles pourraient s’exercer, notamment en ce qui concerne :

    Les exorbitantes facilités de circulation offertes aux Algériens, désirant aller en France, souvent d’ailleurs pour s’y faire soigner. Pour la France, il serait ainsi facile et très rapide d’aligner les largesses de circulation accordées aux Algériens sur celles des autres pays d'Afrique.

    -Les investissements directs étrangers français en Algérie, qui s’élèvent en moyenne à des milliards d’euros, plaçant ainsi la France au troisième rang, derrière les États-Unis et l’Italie, mais au premier rang hors hydrocarbures, les besoins français se faisant dans le sens de l’indispensable diversification de l’économie algérienne, notamment dans les secteurs de l'alimentation générale pour s'attaquer aux fils d'attente.

    En 1975, la diplomatie algérienne était au sommet de sa gloire, jouissant d’une position influente sur la scène internationale, en particulier au sein du Mouvement des non-alignés et auprès des pays récemment décolonisés. Pour ses dirigeants, le statut de leader régional, voire africain de l’Algérie était une évidence. Aucun doute non plus sur la solidité de ses alliances pétrolières et la lâcheté du clan d'Algériens d'Oujda, plongé aveuglement, au camp socialiste, censé triompher de l’Occident décadent.

    Silence on avoue...Un témoignage du fond de la cachette-dz.(l'khabya). Au Maroc, on invente pas de blagues, du fait qu'on a pas l'habitude de faire des grimaces pour créer de mauvais ingrédients anti-dz, ni implanter des piques sur l'éligibilité ou pas d'une chienne enragée déchirant, à ciel ouvert ses torchons.

    La réalité de cette voisine de mal, parle d'elle-même, elle fut dévoilée par les Algériens, pas des moindres, qu'ayant gagné à la nage, le large d'espace de paix et de quiétude «le Royaume Chérifien du Maroc».

    Il s'agit d’un certain Amar Saâdani, l’homme des présidents Algériens d'autrefois et ex-président de l'entité politique dominante, déguisée en parti unique -FLN- qui étendait ses offrandes et sa miséricorde sur les Algériens qui meublent aujourd'hui, les fils d'attente dans toute l'Algérie. C'était l'homme, très controversé de la clique dirigeante et président du parlement Algérien.

    Il était proche du cercle de décisions des Ait Bouteflika, régnant en pièce maîtresse du système, au rythme de l'efficacité de tabac à chiquer, salissant toutes les gueules de la spirale de commande, au point de ne craindre rien ni personne.

    Après avoir été le décideur stratège, au bras long chez lui, il a réussi de se réfugier, au Maroc, l'ennemi de l'Algérie, qu'il a souvent pris aux tenaillex et critiqué au grand public. Il est actuellement quelque part au Maroc pour s'échapper de vengeances de ceux qui les giflait et passait sous ses bottes, de personnalité influente, aux paroles qui cassaient les pierres.

    Il ne parlait pas du vague, tant qu'il était bien le porte-parole unique de la présidence de Algérienne, habilité à faire des annonces clef sur les remaniements ministériels, détaille l’agenda du chef de l’État, donne des nouvelles sur son état de santé et dévoile avant tout le monde des décisions présidentielles de la plus haute importance, offrant à ses montors, une collaboration inédite..

    En exemple - dans la nuit du 29/11/ 1991, plusieurs soldats Algériens furent tués et mutilés par les groupes terroristes Algériens, appartenait, parait-il  au borgne Mokhtar Bel Mokhtar et à Hassan Hattab, dans l’attaque d’un poste militaire à Guemar, à la frontière avec la Tunisie. Pour neutraliser les assaillants, la racaille Algérienne, s’appuyait notamment sur des notabilités locales qui connaissaient -hommes et terrains- pour localiser les assaillants et éviter toute éventualité terroriste. Parmi celles-ci, figurait Amar Saâdani comme bon collaborateur.

    La rédaction du blog poursuit ses investigations, attendant qu'un autre connard Algérien suivra le même chemin emprunté par Amar Saâdani et avant lui, l'opposant-pro-ma Walid Kabîr, pour gagner l'espace Marocain d'honneur et de paix et vivre en toute quiétude. Il s'agirait du maitre-berger Algérien dans l'ouest Algérien.. Slimane Saâdaoui.

    Un charlatan du monde d'influence exagérée qui, guide les dingues, qui prévoyaient voir le soleil apparaît de son occidant.Un connard s'ajoutant à la liste noire des opportunistes de la propagande Algérienne. Il est du genre teinté de fausse superiorité, inventant, à la fois, son appartenance au monde d'universitaires et de culture,tout en niant qu'il n'était qu'un berger dans N'aâma. 

    Un individu de vanité, se croyait le plus intelligeant que d'autre Algérien qui a la capacité d'Hercule qui pourrait, en s'attaquant au Maroc, défendre et préserver l'Algérie. Il s'est même permis d'insulter ses maitres Marocains, qu'il connait bien la valeur et qui y sont, malgré lui, respectés par tout le monde et pas en espace de sauvagerie et de pâturage Algérien.

    A noter enfin, que le régime algérien multiplie ses opérations d'oppression et de diversion, visant à affaiblir les puissants opposants Algériens à l'étranger, en l'occurrence Ferhat M'ehanni, Mohamed Larbi Zitout, Amir-dz ou encore Ben S'dira. Ce dernier soupçonné être «agent-double» au service du DRS, malgré son apparence féroce contre la junte d'Alger.

    Dernier dérapage du régime en date, un projet de loi qui cible les refugiés opposants à l’étranger, ou en relation avec le Maroc, qui se retrouvent menacés de la déchéance de leur nationalité algérienne.

    «Une nationalité, rappelons-le, «faisant honte au porteur», à cause, à la fois de l'oppression du régime en place et au vandalisme perpétré par les Algériens, surtout en France».

    Tout cela me rappelle, comment les oiseaux de malheur Algériens s’étaient mis à couiner, répétant sans cesse, dans tous les horizons : «Ca ne passera pas, tant que la «J'maâ² existe», l'ennemi de l'ouest ne sera jamais en paix et ses rames demeuront vides, si non, ne ce seront pleines que du tabac à chiquer.

    Du fait qu'elle est la seule matière Algérienne, dont on dispose à l'exportation, s'ajoutant à des pattes de volailles, qui sont souvent, exposées à des mesures d'attente, voire refusées carrément, aux portes de douanes des pays destinataires. Cela étant, se serait, bien sûr, l'échec inlassable de la prétendue force de frappe de Tebboune.

    Enfin, si en règle générale, on interdit à l'armée de faire de la politique et si contrariant la régle et s'en mêle, elle la tue avec les armes. Pour protéger leur indépendance et les privilèges, tous les politiques, comme partout dans le monde, mènent avec détermination leurs combats au rythme continuel, notamment sur le terrain juridique. 

    Ce ne serait pas le cas de l'Algérie, qui depuis sa venue au monde en 1962, elle s'est convertie en moucharde Africaine, asphyxiant par pression de casernes, le cours de liberté qui devait y être à la faveur du peuple Algérien devenant, une entité perdue, ne souhaitant que revenir à l'époque d'autrefois de l'Algérie Française, d'où on vivait au rythme la vie politique de l'Héxagone, qui au moins, garantissait à l'individu une vie de dignité..Bonne lecture

                                                                             Cordialement, Chihab25

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    ¹Les Peuls,  sont un peuple pasteur, établi minoritaire en Afrique de l'Ouest, à l'exception en Guinée, où il est majoritaire.

    ²L'autorité collégiale qui commande l'Algérie derrière les coulisses.