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  • L'histoire se déchaine et crache la vérité de l'Algérie face à la Grandeur ancestrale Marocaine.!

                                                            L'armée  Ottomane
     
    L'origine amère...On se demanderait pourquoi, dans ces conditions, l’actuelle Algérie, à la différence de la Tunisie et du Maroc, la période turque n’a-t-elle pas débouché sur une prise de conscience pré-existentielle?. Pourquoi, n’y eu-t-il pas d’évolution vers une entité réellement Algérienne comme en Tunisie avec les Husseinites, ou comme à Tripoli-Gharb avec les Karamanli, ou glorieusement comme les «Dynasties ayant honoré l'Histoire Marocaine, dont l'actuelle Dynastie Alaouite».
     
    L'ambassadeur de Turquie en Algérie, vient tout récemment de répondre, indirectement, à cette interrogation, pensant faire plaisir aux Algériens, en leur montrant les liens charnels unissant la Turquie et Algérie, et que plusieurs millions d’Algériens, sont en réalité des Turcs, dont certains viennent directement d’Anatolie.
     
    Pour bien préciser cette origine, il détailla avec certitude via un entretien avec l’agence de presse Turque -Anadol- que, je cite : «20%» de la population Algérienne est d’origine Turque, «80%» restant sont un mélange ramassé d'ici et de là!», rappelant les liens historiques qui unissent les turcs et les Algériens, jetant de l'huile au feu, en disant que plusieurs millions d’Algériens sont des Kouloughlis¹, ce qui a provoqué un véritable tollé en Algérie.
     
    Ne s’en arrêtant pas là, l'ambassadeur a rappelé le legs turc chatouilleux de l’Algérie, ainsi certains plats qui constituent aujourd’hui la base de l’alimentation des Algériens, ou encore les vêtements, les métiers, la décoration et les motifs utilisés «tout à fait familiers pour nous en Anatolie».
     
    Pour enfoncer le clou encore plus loin, il n’a pas craint de dire que «lorsque vous vous promenez dans les ruelles de la Casbah, vous avez l’impression de vous balader dans les quartiers d'Istanbul» et n’a pas eu tort dans cette comparaison d'en dire autant de la ville de Fès, authentiquement et culturellement Marocaine…
     
    Or, traiter quelqu’un de Kouloghli est la pire insulte avec celle de «Harki  en Algérie». En effet, les algériens sont les enfants des Turcs et des femmes indigènes. Cela sous-entendrait qu'un nombre de femmes de ménage et de maisons closes ont enfanté l'un «million de stupides» qu'on s'en vante de dénommer en Algérie «les martyrs!». 
     
    Que l'Histoire parle:, le député Bahadır Nahit n’a pas eu tort, disant, je cite : En 1515, les Algérois firent appel aux Barberous pour qu’ils les débarrassent de la garnison espagnole installée sur l’ilot du Penon qui prenait Alger sous les feux de son artillerie. Le sultan Salim 1er, (1512-1520), envoya en 1519, 6.000 hommes, entre soldats réguliers et janissaires³ et grâce à ce contingent, Kheïr-Eddine chassa les Espagnols d’Alger et débuta alors la colonisation ottomane de l’Algérie qui dura jusqu’à la conquête française de 1830.
     
    L’Algérie sait que sans nos ancêtres turcs et sans le grand Barberous, du régent d’Alger, les habitants d’Algérie resteraient encore des esclaves des Espagnols, comme Barberousse le Grand les a trouvés».-Aujourd'hui alors, comment expliquer la bévue d’Alger qui souhaitait renouer avec la dictature de la famille Assad?.
     
    -Pour se faire le régime d'Alger en a fait compromis avec Bachar El-Assad, tentant un «rapprochement» avec les nouvelles autorités syriennes, en proposant d’envoyer à Damas, le ministre Algérien des Affaires mensongères.
     
    Or, le Nouvel Homme fort de la Syrie, Ahmed Al-Charâa, aurait refusé de le recevoir, considérant que son pays est le fief inventeur de groupes séparatistes anuitant à l'instabilité de toute la région.,! des pays arabes en particulier, dont l'Iraq, la Syrie et le Maroc!.
     
    Dans ces conditions, la preuve en était l’invitation à Tindouf des groupes séparatistes turques : «Les unités de protection du peuple (YPG)» et «le mouvement des droits linguistiques et politiques pour la minorité kurde.(PKK)» qui seraient la réponse d’Alger à Ankara. Car, même si l’ambassadeur algérien à Ankara, a démenti l'accusation, la réalité est celle des visas sans lesquels on ne peut pénétrer en Algérie et qui ont bien été délivrés aux insurgés Kurdes…
     
    Autre explication, le Polisalgérien, ce mouvement étant désormais enkysté à tous les niveaux de l’État algérien, il peut donc se permettre de mener sa propre politique contraire aux intérêts de la région Nord-Africaine, même aux intérêts de de l’Algérien, ce qui pourrait indiquer que, désormais, «l’Algérie n’est plus l'Etat crédible, dirigé depuis l'écurie d'ElMouradia d'Alger, mais est contrainte de s'y mettre aux ordres depuis Tindouf». 
     
    L'ingratitude et crime d'Etat : Retour sur la question des amputations territoriale subies par le Maroc Quand Tebboune évoque indirectement les amputations territoriales subies par le Maroc au profit de l’Algérie.  Le «Système» algérien interdit toute remise en cause de la fausse histoire d'Algérie, écrite et composée en toutes pièces, par les inventeurs et profiteurs Algériens engagés à cette fin. 
     
    La carte géographique publiée à la page de couverture de la dernière note, permet au lecteur de comprendre la mauvaise foi des dirigeants algériens, car, à sa lecture, l’évidence saute aux yeux, à savoir que le «Sahara oriental Oriental» ne fut qu’une partie des amputations territoriales subies par le Maroc au profit de l'Algérie Française. 
     
    En plus de ses provinces du Sud, le Maroc fut en effet très largement privé de celles comprises entre «Figuig et la région du Touat d’une part, et entre le Drâa et les actuelles frontières de la Mauritanie et du Mali d’autre part». Comme l’a remarqué en son temps -Pierre July-, qui fut ministre des Affaires Marocaines et Tunisiennes du 23 février au 20 octobre 1955 dans le gouvernement Edgar Faure : 
     
    «Historiquement, le Maroc était absolument fondé, preuves à l’appui, pour réclamer les régions de «Colomb-Béchar, la Saoura et le Grand Touat», qui étaient administrativement Marocaines au début du 19ème siècle». Un souhait rapporté et confirmé par un article chronique intitulé «Le conflit Algéro-Marocain», paru dans la Gazette française du 29/1/1963).  
     
    Or, ces amputations, qui se firent au profit de l’Algérie, sont la conséquence du traité de paix signé le  à Tanger, alors siège des Affaires étrangères du Maroc, entre les représentants du sultan Abderrahmane Benhicham (1822-1859), et ceux du Roi Français, Louis-Philippe. Ce traité qui prévoyait une délimitation frontalière entre le Maroc et la future Algérie-Française, fut signée le 18/3/1845, créant la fâcheuse «Convention de Lalla Maghnia».   
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    Le Maroc a été dépossédé par la France de la totalité de son indépendance quand elle l’avait mis sous protectorat et a réduit sa superficie presque de moitié sinon plus, «le Sahara oriental», ce n’était pas une vue de l’esprit, il fut un temps pas si lointain, où ils faisaient partie intégrante du Maroc. 
     
    L’Algérie, un vaste territoire, incarnation géographique du casse du siècle, commis par la France coloniale, qui a dépecé les nations historiques, dont le crime est d’avoir eu le malheur d’être dans le giron de cette entité artificiellement montée, peuplée d’une sorte de concoctions démographiques, avec de diverses entités hétérogènes, dont l’identité est certaine, mais aussi des Kouloghlis, de quelques descendants d’andalous refoulés et une petite proportion de maures.   
     
    Après des siècles d’histoire mouvementée, ces populations hybrides, ont subi les affres des différentes occupations de ces territoires rassemblés, au gré des visiteurs, tout cela a généré des pseudos citoyens atteints d’un syndrome post traumatique, et d’une névrose collective chronique. 
     
    D'où dirige-t-on l'Algérie? : L'Algérie est-elle dirigée depuis ElMouradia ou depuis Tindouf?. Une rencontre -Kurdo-Polisalgérien- avait été tenue à Tindouf et avait provoqué la colère du monde politique turc, résumée d’une manière cinglante par le député Bahadır Nahit du Parti de la justice et du développement (PJD), au pouvoir, indiquant que : 
     
    -«La seule erreur de l’ambassadeur turc en Algérie fut de croire qu’il était en présence d’un pays adulte, solidement ancré dans l'histoire et ayant le calme des vieilles nations face aux évènements et non face à une camarilla devenant proche de l’hystérie, dès lors qu’elle pense que l’on met en cause de sa «folle particularité !» 
     
    -«Nous avons vu récemment l’arrivée d’éléments terroristes séparatistes kurdes en Algérie que nous pensions être un pays ami, que nous avions tant nourrie et protégée et qui était, il n’y a pas si longtemps, une de nos provinces, sous la protection des Sultans Ottomans. 
     
    Or, aujourd’hui, elle reçoit une bande de terroristes Kurdes du clan insurgé d'Abdallah Öujalane², sur son territoire. Je ressens désormais que l’Empire ottoman a fait une erreur, oui il a fait une erreur quand il a vendu la province turque d’Algérie à la France. 
     
    -L’Algérie sait que sans nos ancêtres turcs et sans le grand chef Barberous (Kheïr-Eddine Arroudi), chef du régent d’Alger, les habitants d’Algérie resteraient encore des esclaves des Espagnols comme Barberous les a trouvés». Car l’Algérie fut bien une colonie Turque. Et cela, du 1er mai 1534, quand Barbarous fut investi pacha, jusqu’au mois de juillet 1830 avec le débarquement français en Algérie. 
     
    Ces trois siècles de colonisation ont évidemment laissé des traces historiques, humaines, culturelles, politiques, et jusque dans les mentalités comme le montrent les actuels règlements de comptes au sein de la racaille armée Algérienne. 
     
    L’Algérie est-elle vraiment dirigée par l'écurie d'El Mouradia ou depuis les camps de Tindouf?. Une interrogation soit-elle, de quoi susciter l’indignation de l’opinion Algérienne qui découvrit l’évènement, à travers les images de presse, montrant des Kurds, posant avec les mercenaires de Tindouf, ressentie comme une provocation à Ankara. 
     
    L'ambassadeur turc n'a pas tardé d'exclamer dans ce sens : «Nous avons vu récemment l’arrivée d’éléments terroristes séparatistes kurdes en Algérie que nous pensions être un pays ami et que nous avions tant nourrie et protégée et qui était, il n’y a pas si longtemps une province sous la protection des Sultans ottomans».   
     
    Or, aujourd’hui, elle reçoit une bande de terroristes kurdes sur son territoire. on ressens désormais que l’Empire ottoman a fait une erreur, oui il a fait une erreur quand il a vendu la province turque d’Algérie à la France».   
     
    Chantage à la commande  : Un énième engagé de l'Algérie pour y faire du bruit au Maroc, est monté à l'estrade, marchant aux pas de chantage à l'instar des journalistes Français (Eric Laurent et Catherine Graciait), ayant fait chantage au Souverain par tentative de publier un livre, disaient-ils préjudiciable à l'image du Roi. 
     
    Il s'agit du Français Benjamine Stora, un gauchiste pro-Algérie, qui veut lui aussi déguster le pétrodollar Algérien. Ce dernier inventa sur commande des caporaux d'Alger l'existence d'une carte officielle de l’Otan de 1949 pour y commencer ses mensonges anti-Maroc, contrariant ainsi, le sens de bonne fois de Boualam Sensal qui disait vrais. 
     
    Durant son interview à la chaine France 24,  Stora a débuté son conte par un mot d'ordre d'Alger, déclarant que les frontières entre le Maroc et l’actuelle Algérie datent d’environ 200 ans. et que l'intransigeance de toute frontière, à travers le monde est éternellement inchangeable.(une vidéo de France24 intitulée «La crise la plus grave entre l'Algérie et la France»). 
     
    Cet énorme mensonge, a été démenti par une carte officielle de l’Otan de 1949 présentée par l’opposant Algérien en exil  -Walid L'Kebir, confirmant qu'il n'existait jamais de «carte officielle de l'Otan de 1949»  illustrant les pays membres de l'époque, mais plutôt la liste des 12 pays fondateurs qui ont signé le Traité de l'Atlantique Nord en 1949. 
     
    Conclusion : l'indépendance officielle de l'Algérie a été décidée en Juillet 1962, suite à un référendum bidouillé entre De Gaule et le FLN après les fâcheux Accords d'Evian signés à l'insu de la Tunisie, du Maroc et de la Libye qui ont dénoncées officiellement le traçage des frontières octroyées par la France pour servir ses intérêts. 
     
    De son coté,  Mohand Arezki Farad,  un historien et écrivain algérien connu pour ses recherches sur l'histoire et analyse des relations mémorielles complexes entre la France et l'Algérie, a cependant apporté une réponse différente, affirmant qu'il était erroné d'inclure les Ottomans dans le phénomène du colonialisme et dans le contexte historique de l'époque reposait sur la dualité des mondes  et que tous les États prêtaient allégeance au Khalifa, sans distinction de race ou de religion!.
     
    Il a signalé aussi que les Ottomans étaient entrés en Algérie à la demande de son peuple multicolore pour chasser l'occupation espagnole, et qu'ils avaient contribué à l'établissement de l'État algérien, à peu près à l'intérieur de ses frontières géographiques actuelles, après la dissolution des groupes d'insurgés affaiblis sous l'influence espagnole. 
     
    L'historien a également souligné que les Ottomans n'avaient imposé, ni leur langue, ni leur école de pensée hanafite aux Algériens, et que les États de cette époque ne reposaient pas sur des fondements solides comme ils le sont aujourd'hui, l'État-nation turc n'ayant émergé qu'en 1924 avec Mustapha Kemal Atatürk et que l'Empire Ottoman de l'époque, était de nature autoritaire et totalitaire, mais que cela ne constituait pas, pour autant, un colonialisme au sens du terme.
     
    Les questions identitaires en Algérie sont très sensibles dans le débat public. Toute référence aux origines ou aux appartenances historiques suscite rapidement une vaste controverse entre ceux qui adhèrent à la profonde appartenance arabe de l'Algérie et ceux qui rejettent toute tentative de rattacher l'identité à une origine extérieure ou à une puissance étrangère, prenant d'exemple, «l'identité ancestrale Marocaine ancrée, sans enchères, ni réparation aucune dans l'histoire».. Bonne lecture.

                                        Cordialement, Chihab25                                        

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    ¹ sont les Kouloughlis enfantés de femmes de ménage et de maisons closes 

    ² opposant Turc, condamné à perpétuité, emprisonné dans une ile en Turquie.

    ³ unité d'infanterie d'élite de l'armée Ottomane, formée d'enfants enlevés de leurs familles Balkaniques