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  • 2/2.-Les raisons de la partition de l'Algérie..!

                                            

                                         *FFS divorce : Houssine Ait Ahmed et Karim Tabou

    (Suite et fin)

     L'ancien secrétaire national du FFS, (Samir Bou Akouir),a confirmé dans une interview, à un journaliste algérien, dit indépendant, deux informations d’une extrême gravité.  je reproduis la première qui m'a retenu, le plus, et qui concerne « le deal passé entre le parti de Hocine Aït-Ahmed et le pouvoir algérien en place pour la participation de ce dernier aux élections législatives du 10 mai et lui donner une certaine crédibilité»

    L'historique de l'opposition Kabyle s'évapore..

    De l'autre coté de la Kabylie, des militants et des cadres du parti du Front des Forces Socialistes se sont rencontrés, près de la ville de Tizi-Ouzou, pour discuter de la situation intérieure du parti qui s'est vu, sous la conduite de Karim Tabou, confronté à une crise sans précédent! Mr.Houssine Ait Ahmed, le parrain du FFS, joue l'observateur intéllegent, dans l'attente de voir, quel serait le destin de son concitoyen Ferhat et que va-t-il lui arriver à cause de cette aventure.

    Profitant du temps mort du FFS et en adulation vers les autorités algériennes, Ait Ahmed a tout simplement, éjecté Karim Tabou l'ex-premier secrétaire du parti pour se recaser à sa place initiale. A noter que ce Karim Tabou¹ qui avait été choisi à la tête du parti FFS, sur recommandation d'Ait Ahmed en personne, lors de son exil volontaire en Europe, avait souhaité voir son parti s'aventurier avec Ferhat Mehanni, ce qu'il lui avait couté  la perte de son  poste de premier secrétaire du FFS.

    Dans ce cas, on peut constater que c'est le début de la déchirure de la socièté algérienne. Avant que certains nous désignent de provocateurs, nous  souhaiterons commençer  par amorcer la donne : Mr. Houssine Ait Ahmed, le personnage historique restant des cinq présumés leaders algériens de la révolution est malheureusement tombé dans les filets du régime algérien et de ses services secrets. Aprés tant d'années d'éxil volontaire, considérant qu'il était le seul homme politique algérien à refuser au général Larbi Belkeir la proposition d'être le président de l'algérie avant feu Mohamed Boudiaf. Par pression d'âge ou d'isolement, il finit par déconner, par céder, pour plaire aux autorités algériennes, lesquelles avait l'habitude de critiquer solennellement, tout au long de son périple, en acceptant aveuglement, de participer et se jeter à la mascarade éléctorale du 10 mai. Le voilà aussi aprés, il chasse Karim Tabou, son fidèl élève, que pour avoir souhaité prendre le train inverse à celui du locataire du palais d'ElMoradia «صَامْ عَامْ أوُ ْفطَرعلى جْردا». 

    Les ARE ( Algériens Résidents à l'Etranger) par exemple, surtout les Kabyles déclinent, la carte politique algérienne issue des dernières législatives du 10 mai, voire la carte  géographique propre de l'algérie sous tutelle militaire, en temps des manifestations arabes hissant avec insistance courageuse le mot "dégage", fouillant les zones sombres d'activité à remplir, les relations à entretenir au "beau fixe", avec un avenir prospère et les  intervenants du coin.

    La partition est une obligation commune..!

    Mr. Ferhat Mehanni est sur la bonne voie, étant donné que l'algérie d'aujourd'hui, aprés la mascarade du 10 mai, est postulante à la partition, contrainte d'atteindre la zone arabe de turbulences...Pour preuve, voilà quelques signes de dislocation et de faiblesse du pouvoir algérien:

    Primo.-Les récentes déclarations d'Ouyahya, le premier ministre algérien, concernant l'échec de son gouvernement, affirmant que son pays l'algérie est sous pression de circuits de contrôle et de connotation de Mafias.C'est une première en algérie qu'un haut responsable de cette taille, fait des aveux de ce genre, ce qui prouve que l'algérie est vraiment arrivée en zone de turbulences où la négativité bat désormais son plein.

    Secondo.-L'incapacité de l'algérie, en tant que pays concerné plus que d'autre, de réunir ces jours-ci, sur son sol les États  Sahelo-Sahariens. On voit plus clair que c'est le Royaume du Maroc, loin de la scène, en quelque sorte, qui prend de l'initiative en l'objet. Le conseil exécutif de la Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD-س ـ ص) vient d'ouvrir en toute tranquilité à Rabat, les travaux de sa session extraordinaire, pour discuter de la réorientation des objectifs de cette organisation sous régionale et relever les défits d'insécurité qui en découleront, loin cette fois-ci, des diktats de «metteur en scène habituel», de la diplomatie algérienne et dans l'absence remarquée  de Morad Medlci, débordé parait-il par les futilités internes de son patron du palais d'ElMoradia.

    Les observateurs auront la certitude qu'avec «le printemps algérien- le statu quo».Personne ne sait où se situe le pouvoir en Algérie, Bouteflika c’est juste comme la reine d’Angleterre avec moins de panaches. Lors de son premier mandat en 1999, juste à son élection, il avait lui-même déclaré. Un peu trop sûr de lui-même, «Je ne veux pas être les 3/4 d’un président.»

    Selon la légende algérienne, le président Bouteflika, comme ses prédécesseurs, tient son pouvoir de l’armée algérienne, qui tient son pouvoir d’elle-même, de son histoire sanglante, de sa force de tuerie ou du souvenir de la guerre de libération. Les présidents algériens provoquent donc depuis des décennies la pitié et même la compassion.

    Abdelaziz Bouteflika aura certainement une durée de vie plus courte que certains de ses ministres...Pour les algériens, Bouteflika n’est donc pas un mystère. Ni un dictateur. Mais seulement l’employé d’un système de mafia féroce qui mange en se cachant, vole en restant invisible, mord et frappe en disant que ce n’est pas lui. C’est le «banditisme» à l’époque de la guerre de libération algérienne, le salon des réunions de la mafia à Alger, le clan obscur, la force occulte des «Services secrets», la mafia politico-financière…etc. Il ne disparaîtra pas avant de voir son pays plongé dans l'anarchie, divisé en quatre zones à risques. Les Algériens, avec sa dernière anêcdote "Tab Jnani" de Setif, le perçoivent aujourd’hui comme le 1/4 du système, accueillant, cette fois-ci, ses paroles de détresse, d'aubaine tombée du ciel.

    Être président en algérie, ce n’est pas une bonne vie. Pour le bon peuple, les présidents algériens finissent mal, tués, chassés, écartés ou emprisonnés et ils ne possèdent pas le pouvoir, mais seulement ses apparences. Et les Algériens par leur nature d'égoïsme aiment les gens qui tombent, qui finissent mal. Ils leur accordent presque de l’amour, sinon, de la charité.

    La rédaction du blog avait pris de la peine de pronostiquer et imaginer comment voit-on la partition qu'on préconise à l'algérie, aprés la disparition de celui qui finit son parcours politique infructueux, par dire "Tab Jnani"?, On suggère voir l'algérie ainsi. Ce n'est pas de la régionalisation prospère. Non, c'est en moins quatre ou cinq foyers de tension :


    1.L'Est : le bastion de la guerre de libération algérienne sera tiré vers l'extrême-Est par  les Chaouis et les Kabyles qui ne baisseront pas la main avant la concrétisation de leur objectif de libération et d'émancipation.La visite de Mehanni en Israël donnera sûrement ses fruits, elle ne restera pas lettre morte. Elle aura ses répercusions sur l'avenir du pouvoir militaire algérien. On se souvient tous de la capacié du Mossad qui avait facilement accosté aux larges de la Tunisie pour mener une mission secrète contre l'existance des Palestiniens en Tunisie, tout en tuant le 16/4/1988, le martyre Abou Jihad ( خليل الوزير) dans son lit..! Cette zone se constituera des Wilayas de : Jejel, Mila, Setif, Batna, Biscra, Skikda, Constantine, Oum El Bouaki, Khenchla, ElOued, Annaba, Guelma, Souk Ahras, Tebessa et El Taref.

    2.L'Ouest : les lieux d'ouverture sur l'occident, de distractions et de chants "Rai",fief de la bande d'Oujda, n'échapera pas aux vagues du néo-colonialisme occidental qui guête les opportuntés pour "Somaliser" l'Afrique du nord, en particulier l'Algérie, en parallèle avec le dis-fonctionnement de l'unité arabe en Moyen Orient.(les cas  d'Irak Kurdo-chiite, de la Syrie, du Liban, du Yemen et d'Egypte).Cette zone doit englober les Wilayas de : Naâma, El Bayadh, Saida, Tlemcen, Mascara, Ain Tmouchent, Oran, Mostaghanem et Ghelizane.

    3.Le Nord et le Centre : la seule région algérienne connue jusque-là, par son peu d'industrie et d'artisanat, restera dominé par le pouvoir central et la bande DRS.(les services secrets du général Toufik..!).en raison de la concentration des potentiels sécuritaires et militaires que compte l'algérie.Cette zone englobera administrativement les Wilayas de: Chlef, Ain Defla, Tissemsilt, Tiaret, Laghouat, Jelfa, Bejaia, Alger, Blida, Media, Boumerdas, Bouira, Msila, Tizi Ouzou et Borj Bouarerej.


    4.Le Sud : seule source porteuse du pétrodollars algérien, sera absorbé par la république Azawad sous l'égide d'AQMI de l'algérien Mokhtar Ben Mokhtar, dans la perspective de rassembler toutes les factions des Touareg et créer un front de destabilisation au grand sud de l'algérie, avec les Wilaya de : Ghardaia, Ouargla, Tamanrasset et Illizi.

    Zone tampo : Dans ce contexte, et dans l'absence éventuelle d'interlocuters algériens, dignes de crédibilité pour négocier éventuellement, le Maroc aura l'occasion de restituer automatiquement son Sahara Marocain oriental qui s'étend de Beni Ounif au nord, de Tindouf à l'Ouest, à Ain Salah à l'Est.

    En ce qui concerne cette zone, elle fait bien l'objet d'un des articles de la charte de l'ex-OUA, stipulant, ce que l'algérie appelle «Intangibilité de frontières héritées», dont elle s'attache unilaterallement à son respect et avec intransigeance, que pour garder: Un immence territoire Marocain spolié, qu'elle avait réparti en trois Wilayas de : Bechar, Adrar et Tindouf, jettant à la large du mur l'engagement du GPRA** du 6/7/1961 et tout compromis y afferent avec le Maroc. C'est pourquoi et pour officialiser et couvrir cette spoliation, le maudit soit-il «Bou Kharouba» nous a créé le problème du Sahara Marocain, laissant un mauvais héritage à une bande de lâches qui n'arrivait point à le  liquider équitablement, ni d'y chercher, d'une manière objective, " le comment" pour trouver la sortie du tunelle.

     Avec cette partition, l'algérie retrouvera sa taille initiale et le statut qu'elle mérite. Ce n'est pas un rêve ou de l'imagination que je suis en train de dessiner. C'est l'analyse peut être d'un - chroniqueur de taille - estimant, comme d'autres à l'Héxagone, que cela se réalisera un jour en algérie, même à long terme!.

    Il ressort, pour moi, de ce qui précède, la certitude que le premier réseau des acteurs capables de faire vivre notre pays en paix, se situe là, parmi ceux qui "veillent" à se détacher de la junte de Daly-Brahim d'alger. Nous ne sommes pas au pays des bisounours, où les hommes s'affrontent, des luttes de pouvoir existent. Ce ne sont pas toujours le fait des étiquettes politiques allignées au fil du pouvoir algérien, pour bénéficier des offrandes du pouvoir FLN. Mais de toute façon, c'est un sport très commun en politique de créer la division des élus et des politiques sur un territoire, pour garder la main sur un autre, ou plutôt  pour ne pas le confier à celui qui ne le mérite nullement pas...

    Je disais, c'est bien aussi, la dislocation du champs politique de l'opposition et c'est le début de l'arnaque algérienne. L'opposition, la vraie opposition légitime d'autrefois, baisse la main pour se rendre volontairement, posant en toute quiètude son arme à "répercuteur actionné", le moment où un grand nombre d'algériens indignés portent encore au coeur, le souci de la vie de dignité de leurs communautés en algérie.

    Le bon voisinage, un mythe déjà enterré...

    Par effet de la mauvaise chance, la station du 10 mai n'a pas procréé le changement souhaité, de part et d'autre, pour y trouver l'issue adéquate à la crise avec l'algérie. Elle n'a accouché que la réactivation du même système, emmenant les mêmes gueules et la même feuille de route planifiée du régime algérien. Donc il n'y aura pas d'entente ni de compromis à court terme avec les «mafias de Ben Âknoune, Beni Messous, Daly Brahim et ElMoradia d'Alger..!» La seule perspective qu'on peut préconiser, c'est attendre encore plus, attendre l'écoulement d'un plan quinquennal d'arrêt, d'une période de convalescence d'un régime psychopathe. C'est du moins ce qu'on puisse imaginer à l'instant, sauf  éventuellement "Une disparition surprise" de "Sidi H'bibi Boutef, qui engendrera sûrement la change au niveau local algérien..! Et pour cause son dernier discours de Setif, le discours d'adieu en plein compagne éléctorale dans lequel disait son fameux anêcdote : Tab Jnani! c'est-à-dire son arrivée au terminus de la magistrature suprême, à la fin de ses inovations spéctaculaires.   

     C'est ainsi qu'on ne peut pas attendre d'autre solution qui devait venir ou pas, car -l'Histoire, la Géographie, le Voisinage et le Destin commun obligent-surtout que la vie politique algérienne trouve un écho immédiat au Maroc. Les évènements majeurs que connaît notre voisin, nous les scrutons au rétroviseur par rapport à une communauté d’histoire ; mais aussi dans la perspective d’un lendemain commun, quel qu’il soit, pour le meilleur et pour le pire. C’est un peu la marque de fabrique de notre imbrication historique, depuis des lustres ; c’est aussi l’empreinte rétive de nos rapports mouvementés sur un demi siècle révolu depuis l’indépendance algérienne.

    Il en est ainsi, dira-t-on sans autre forme de fatalisme, exclusivement mis sur le dos d’un voisinage géographique, et contraire à la méthodologie rationaliste de l’histoire.
     
    Les élections législatives algériennes, du 10 mai 2012, participaient de cet état d’esprit. Ici, au Maroc, elles étaient attendues, observées et suivies avec un intérêt avoué. Les résultats du scrutin ont fait réagir à des degrés divers. Silence gêné, avec une déception, à peine retenue, côté officiel. Par contre, la presse écrite, autonome ou partisane, plus que l’audiovisuel public, a donné libre cours à ses commentaires et interprétations. Il n’empêche. Un point commun traverse l’ensemble de la classe politique et tous les médias : cette consultation populaire d’Algérie et son issue nous concerne.
                                                 
    Respecter le principe..!, pas vers l'Algérie...

    Nous simples internautes, nous n'avons pas les moyens pour substituer aux amis et aux élèves d'un certain controleur dit « AgTsoum²», pour préserver et sauvegarder, à notre façon, la souverainté du pays, tant que la "Demeure a son Dieu qui la défend". Il la défend  par la lutte contre toutes formes d'espionage et de terrorisme d'État (hôtel Asni 1994), par la préservation de sa sécurité intérieure -démentellement de mouvances intégristes-,  et la défense de ses intérêts vitaux à l'étranger.  Je crois que dans ce dernier concept,  que notre pays doit y intervenir pour créer des maux de tête  et de chagrin aux algériens, mettant à son ordre du jour, un point unique: « Partition de  l'Algérie» et veiller à la concrétisation. Et ça sera d'ailleurs, à mon sens, la seule solution pour en finir avec les conneries du régime algérien en place.

    Certains s'exploseront pour dire que : cette vision est une vision folle, trop éxagérée même, et ne se concrétisera jamais..!. Le printemps arabe disait le contraire : éffondrement pur et simple de régimes autoritaires, les plus pires et les plus solides du monde arabe. Comment peut-on penser ou croire que l'algérie peut demeurer hors jeu? surtout si l'intervenant est quelqu'un qui a trop souffert de ses injustices?

    L'heure est venue pour le Maroc d'engager la réciprocité, étant donné que le changement escompté en algérie n'est toujours pas atteint, même si on comptait sur la mascarade éléctorale du 10 mai, par laquelle l'algérie de Bouteflika est «court-circuitée» par cette mascarade, arrivant à la phase de balayage, exposée plus que jamais aux avalanches destructives devant débloquer le "statu quo" maintenu depuis le complot éléctoral de janvier 1992.

    Pour ce fait, il est temps d'agir de la même mentalité,  proposant à nos chevaliers de la ferme de " Trik Z'aer" de faire pratiquement évoluer la charte de la ferme. Mr.Yas-Mans, le fermier silencieux, doit  à mon sens, se libérer de l'effet de son soufisme, de s'éloigner, en quelque sorte, de Madagh pour y rentrer librement en ligne, afin de riposter au fond de l'algérie, au fond de son intime concurrent d'Ahfir et défoncer les murailles de la cabane de Dely-Brahim à la banlieue d'Alger, tout en soutenant, en premier lieu, le MAOL (Mouvement Algérien des Officiers Libres) avant d'y pensser en second, au soutien moral et matériel du MAK de Ferhat Mehanni et s'infiltrer au champ prometteur des Azawad au nord du Mali. Pour se faire et réussir, pratiquement ça ne serait pas facile, mais il faut quand même, penser à ouvrir un volet de reflexion, tout en actionnant, sans hésitation, la vitesse supérieure de l'engin et mener une guerre ouverte à l'intérieur de l'algérie...créer des ennuis aux algériens, dans leur propre fief, au lieu de limiter son trafic à la chasse aux sorcières en Espagne, en France...(!)

    S'éloigner de Madagh serait une obligation, car on veut voir nos chevaliers  faisant des randonnées nocturnes, loins des festivals Equestres qui s'organisent périodiquement, ici et là à travers le territoire national, et montrer de leur éfficacité ailleurs, en engageant les bons partants avec les meilleurs Jockey.

    Si la rédaction du blog a toujours sous-évalué le travail des services secrets algériens-DRS, elle ne peut le faire pour nos aiguilleurs. Je cite par exemple les cas d'arrestations de Marocains accusés d'espionage en allemagne.Trois marocains arrêtés en moins d’un an en Allemagne, c'est riducule! »» Et je m'interroge : Que fait Cheikh "Assarba"..?

    ««Selon l’agence de presse américaine Associated Presse des procureurs allemands ont affirmé, qu’ils viennent d’accuser un Marocain ayant la double nationalité, marocaine et allemande, d’espionnage pour le compte des services secrets marocains. L’homme, (M.B) a été arrêté en février dernier est accusé d’avoir espionné des pseudos "sahraouis" à Berlin.

    C’est la troisème fois que les Allemands arrêtent des espions marocains. En 2011, elle avait arrêté un certain (N.H), accusé des mêmes faits. Et en février dernier, le parquet de Karlsruhe avait annoncé l’arrestation d’un autre espion Marocain, âgé celui-là de 56 ans»».

     Profitant alors de la situation, de l'anarchie qui peut y avoir en algérie  aprés la congestation issue de la fraude aux élections du 10 mai 2012.Mr. Ferhat Mehanni était franc avec soi,  jettant au large du mur les allégations anti-israëliennes de son pays, il est parti demander l'affection et le soutien d'Israël à sa cause. En somme, de notre part, pourquoi ne pas lui tendre la main?  le soutenant franchement..!, lui et les autres qui veulent emprunter le même chemin d'une «partition éventuelle de l'algérie», en l'occurence : « -Les Kabyles et la Chaouia, -les Touareg algériens de Tamanrasset et d'Illizi,  -les habitants de Touat et de la Saoura dépendant de notre Sahara Marocain oriental spolié.  -Et pourquoi pas, les rappeurs et les chanteurs de Rai à l'Ouest... Etant donné que Chab Khaled, le maître du Rai algérien est originaire avec certains de ses concitoyens d'El Hamri³, d'une tribu Marcaine4 qui a une histoire honorable au sud-est du Royaume, dans le «Tafilalet», pas dans le «Quartier5» du capitaine Martin. Khaled et ses cousins ne refuseront pas, le cas échéant, de voir «Bled Sid Lhouari6» détachée du pouvoir central d'Alger ..!».

    Je sais bien que la "Poule ne met pas ses œufs en souk", mais elle le fait quand même aux alentours, pour y avoir des poussins et multiplier la croissance.Bonne lecture.

                                                            Cordialement,Chihab25

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    *.-Le Front des Forces Socialistes, un parti d'opposition Kabyle.

    **.-C'est le même GPRA qui a négocié l'indépendance de l'algérie  avec la France. Si on rejette ses engagements..! Les algériens doivent aussi, mettre en cause  les accords d'Evian.

    ¹.-Karim Tabou était un jour, l'invité de Hamid Berrada, dans son émission "Mais Encore" sur la 2ème chaîne de télévision Marocaine 2M.

    ².-Chez les Touareg le haj = ag

    ³.-Un quartier dont la majorité de ses habitants est venue de Colom-Béchar de Kenadsa, Abadla et régions, des patelins qui souffrent d'une Algérisation imposée.

    4.-Doui Meniâi, une tribu Marocaine qui se trouve à cheval, malgé elle, entre son fief principal le Maroc, et l'algérie de 1962.

    5.-Ce Quartier dit «L'Abadla» est aujourd'hui un village situé à 100 kms au sud-Ouest de Colomb-Béchar au Sahara Marocain oriental spolié. Il était un simple poste de contrôle, créé par la France lors de son invasion de la région en 1903.

    6- La ville algérienne Oran.