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  • IV. La cause nationale,l'autre langage et l'inépuisables conneries des algériens

    Suite...        

    جنرالات الجزائر يَقودون ناقة البوليساريو لإدامة نزاع الصحراء


                     Les généraux d'Alger accentuent le dressage de la chamelle Polisario pour perdurer. 


    Introduction de mi-chemin :

    Je n'écoute plus seulement ce que les algériens disent, j'écoute tout ce qu'ils ne disent pas aussi. J'entends parfois leur silence, je sonde leur regard vers un Maroc plus grand de ce qu'ils immaginent, j'écoute sans contredire leur mensonge. J'essaie de pointer les étendues vides de leurs inépuisables colériques gratuites.                                                          

    Je veux découvrir, comme tout Marocain, tous leurs aspects, leurs relations avec tout ce que je n'ai pas encore compris, tout ce qui m'a échappé, faute d'accès initiatique à leur mentalité. À n'écouter que les mots, à croire aux idées, à ressasser les faits, les actes, on connaît une bonne part de leur réel mesurable. Mais il en reste toujours un obscur dans leurs déclarations contradictoires qui ne s'appréhendent pas de même. Il reste un non-dit, un monde vécu de façon trop intérieure ou secrète pour éclater sur leur scène politique stérile. Il y a un monde obscur dans leur politique étrangère -volet Maroc?, impalpable, où se passent des phénomènes qui, sans que nous le sachions, nous touchent, nous blessent, nous métamorphosent. Quelles sont les dimensions de cette réalité, cette réalité dont je n'ai pas les clefs et dans laquelle se vit toute la partie de leur orgueil et leur arrogance ?

    Je milite tout seul, et j'en suis ravie. Nous sommes fixés sur notre sort avec cette algérie ! Enfin… il va falloir attendre encore un peu pour savoir à quelle sauce nouvelle la junte de Ben Aâknoune et Daly Brahim d'Alger va nous croquer. Si prochain nouveau "Bouteflika?' il y a, au cas où l'actuel Bouteflika mourra ou n'ira pas au quatrième mandat. En effet, tout ce qu’on sait, c’est que les adeptes du royaume de Tlemcen, les vieilles hyènes de l'FLN dans une unanimité unique et avec une irritabilité historique veulent balancer ce Grand Maroc vers l'instabilité, surtout dans ses provinces du sud. Pour le remplacer par un leadership introuvable dans la région, personne n’en sait fichtre rien.

    Ce qu'on sait à première vue est : ce qui marche en algérie ne fonctionne pas, rien ne marche, à part ces inépuisables conneries qui marchent contre la crédibilité du Royaume Chérifien Marocain haut et fort. Le cancer de corruptions qui gagne tout le corps du système algérien, le Val-de-Grâce, cette panne du système politique ou la vacance du pouvoir qui dure. Mais il y a bien des choses qui fonctionnent, car, dans l'absolu, le désordre et le chaos n'existent pas, n'étant qu'une autre formulation de l'ordre. Ce qui marche, par exemple, c'est d'augmenter les salaires des députés, déjà très bien payés, pour qu'ils votent la Constitution sans que l'argentier algérien, ne commente cette nouvelle atteinte à la rigueur budgétaire et à la spirale inflationniste, malgré les revenus de la Sonatrach criblée par la force de la corruption.

    Ce qui est sûr, c’est qu’on n’est pas encore sortis de l’auberge de la guerre froide algérienne qu'ils nous imposent nos protégés d'hier, qui usaient de la générosité Marocaine. D’ailleurs, on ne sait même pas si l’auberge a une sortie ou pas. Excusez-moi si «je rentre et je sors dans la parole», mais je vous assure que je suis vraiment paumé. Non pas que je m’attendais à un miracle de toute cette racaille politique algérienne que nous sommes acculés à manger ses conneries, depuis les résultats des maudites négociations Franco-algériennes d'Evian de 1962, couronnées de «la plus grande honte de l’histoire de la France Gaulliste», mais je croyais que ça ne pouvait pas être pire qu’avant le 5 juillet 1962 noir, date de l'ingratitude d'un mauvais voisin.

    J'éssaie de me taire de plus en plus, afin de créer un espace d'écoute dans lequel mes concitoyens peuvent se laisser aller à s'exprimer en Paltalk ou ailleurs. Je limite tant que je peux mes réactions, mon envie de débattre ou de convaincre les sorties médiatiques officielles et officieuses des adeptes du royaume de Temcen, pour enfin laisser cette place à l'expression de l'autre.Mais hélas, je trouve que mes lecteurs se limitent à un simple passage au blog, avec un regard infructueux, sans laisser de commentaire, ni d'agir ou réagir, pour aller se balader ailleurs, dans les autres réseaux sociaux écoutant des futilités qui ne servent en rien malheureusement.
    La rédaction reprend ci-aprés, sans aucune modification, ni retouches, ce que disent officiellement les algériens dans ce sens, dans  le seul but d'y faire croire aux autres dingues algériens.C'est au lecteur et à lui seul de chercher  la bonne raison et d'en tirer la vérité perdue entre ces deux versions, sachant que tout lecteur crédible, qu'il soit de ce coté ou de l'autre, n'est si simple à enrouler ou être emporté facilement par le système mensongère  propagandiste des algériens et de leur presse. Je citerai et au lecteur de juger.Merci pour votre attention.Chihab25

                                      

                                                                  Algésario, une bombe à retardement


    L'autre langage de l'Algérie officielle..L'ASP (Agence de Presse Algérienne) était trés généreuse face à son opinion publique. Comme à l'accotumée elle fabriquait et faisait circuler la thèse mensongère algérienne dans le cas du problème du Sahara Marocain.                  

    Début citation: NEWS YORK (Nations Unies) - Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté jeudi une résolution sur le Sahara occidental dans laquelle il a réitéré son appel à une ’’solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental’’, tout en soulignant ’’l’importance de l’amélioration de la situation des droits de l’homme’’ au Sahara occidental occupé.

    Le Conseil a également décidé de proroger le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) jusqu’au 30 avril 2014.Dans cette résolution 2099 (2013), l’organe de décision de l’ONU a particulièrement insisté, cette fois-ci, sur la nécessité du respect par le Maroc des droits de l’homme des Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental.A ce sujet, le Conseil de sécurité souligne ’’l’importance de l’amélioration de la situation des droits de l’homme au Sahara occidental’’ et appelle à ’’élaborer et appliquer des mesures indépendantes et crédibles pour assurer le plein respect des droits de l’homme’’ des Sahraouis.Vu l’importance de cette question, le Conseil de sécurité a réitéré dans un autre paragraphe de sa résolution la nécessité du ’’renforcement de la promotion et de la protection des droits de l’homme au Sahara occidental’’.    

    "L’Algérie accueille avec satisfaction l’adoption, ce jour, par le Conseil de sécurité de la résolution sur le Sahara occidental", a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, dans une déclaration à l’APS, ajoutant, que l’Algérie se réjouit de l’engagement du Maroc et du Front Polisario, à "continuer à oeuvrer sous l’égide des Nations unies pour parvenir, à travers des négociations directes, à une solution qui pourvoie à l’autodétermination".

    L’Algérie a accueilli avec "satisfaction" l’adoption jeudi par le Conseil de sécurité d’une résolution sur le Sahara occidental appelant à une solution politique "juste, durable et mutuellement acceptable en faveur de l’autodétermination" du peuple du Sahara occidental et à "l’amélioration de la situation des droits de l’Homme" des Sahraouis dans les territoires occupés.

    Il a souligné que l’Algérie se félicitait de "la constance de l’engagement des Nations unies et de la communauté internationale pour un règlement juste et durable, basé sur une solution politique mutuellement acceptable devant permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination, conformément aux principes et aux objectifs de la Charte des Nations unies ainsi que des résolutions de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité"."L’Algérie souligne la vigilance manifestée par la communauté internationale sur la question de la protection et l’observation effective des droits de l’Homme au Sahara occidental et prend note de la nécessité d’un accès régulier et sans entraves pour les mécanismes onusiens dûment mandatés, les organisations et les observateurs étrangers des droits de l’Homme", a ajouté M. Belani."

    L’Algérie se réjouit de l’engagement des deux parties au conflit, le Maroc et le Front Polisario, à continuer à £uvrer sous l’égide des Nations unies pour parvenir, à travers des négociations directes, à une solution qui pourvoie à l’autodétermination et saisit cette occasion pour renouveler son appréciation aux efforts déployés, à cette fin, par le secrétaire général de l’ONU et son envoyé personnel, l’ambassadeur Christopher Ross", a-t-il dit.En sa qualité de pays voisin, observateur du processus de règlement, l’Algérie "continuera d’apporter sa contribution à ce processus de décolonisation qui relève de la seule responsabilité des Nations unies", a affirmé le porte-parole  du ministère des affaires étrangères.

    Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté jeudi une résolution sur le Sahara occidental dans laquelle il a réitéré son appel à une "solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental", tout en soulignant "l’importance de l’amélioration de la situation des droits de l’homme" au Sahara occidental occupé.

    Le Conseil a également décidé de proroger le mandat de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) jusqu’au 30 avril 2014.Dans cette résolution 2099 (2013), l’organe de décision de l’ONU a particulièrement insisté, cette fois-ci, sur la nécessité du respect par le Maroc des droits de l’homme des Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental.A ce sujet, le Conseil de sécurité souligne "l’importance de l’amélioration de la situation des droits de l’homme au Sahara occidental" et appelle à "élaborer et appliquer des mesures indépendantes et crédibles pour assurer le plein respect des droits de l’homme" des Sahraouis.Vu l’importance de cette question, le Conseil de sécurité a réitéré dans un autre paragraphe de sa résolution la nécessité du "renforcement de la promotion et de la protection des droits de l’homme au Sahara occidental"

     le Conseil de sécurité réaffirme le droit à l’autodétermination et insiste sur les droits de l’homme..NEW YORK (Nations unies)- Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté jeudi une résolution sur le Sahara occidental dans laquelle il a réitéré son appel à une "solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental", tout en soulignant "l’importance de l’amélioration de la situation des droits de l’homme" au Sahara occidental occupé par le Maroc.Le Conseil a également décidé de proroger le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) jusqu’au 30 avril 2014.

    Dans cette résolution 2099 (2013), l’organe de décision de l’ONU reconnaît que le maintien du statu quo n’est pas acceptable et relève que les progrès dans les négociations sont essentiels.C’est dans ce sens qu’il a affirmé son appui aux actions entreprises par l’envoyé personnel du secrétaire général, Christopher Ross, pour faciliter les négociations entre les deux parties au conflit.De surcroît, la résolution a demandé aux deux parties de faire preuve de volonté politique et de travailler dans une atmosphère propice au dialogue afin d’entrer dans une phase plus intensive et substantielle des négociations.

    Dans ce sillage, le Conseil de sécurité a affirmé son soutien résolu à l’engagement du secrétaire général et son envoyé personnel pour trouver une solution à la question du Sahara et a appelé à un rythme renouvelé et intensifié des réunions et au renforcement des contacts.En conséquence, la résolution a invité les parties à poursuivre les négociations sous les auspices du secrétaire général de l’ONU, sans conditions préalables et de bonne foi, et ce, en vue de parvenir "à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permettant de sortir de l'impasse dans le contexte des accords conformes aux buts et principes de la Charte des Nations unies.

    Ces dénonciations ont aussi été confirmées par le dernier rapport sur le Sahara occidental présenté le 8 avril au Conseil de sécurité par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, dans lequel il a soutenu, en termes clairs, que la surveillance "indépendante, impartiale, complète et constante de la situation des droits de l’homme au Sahara occidental" devient plus que jamais une "nécessité primordiale".Ainsi, en dépit du retrait de l’initiative américaine de l’avant-projet de résolution du Conseil, qui prévoyait l’introduction au sein de la MINURSO du mécanisme de la surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental occupé, l’organe de décision de l’ONU a souligné dans sa résolution "l’importance de l’amélioration de la situation des droits de l’homme au Sahara occidental" par les autorités marocaines et a appelé "à élaborer et à appliquer des mesures indépendantes et crédibles pour assurer le plein respect des droits de l’homme" des Sahraouis.Vu l’importance de cette question, le Conseil de sécurité a même réitéré dans un autre paragraphe de sa résolution la nécessité du "renforcement de la promotion et de la protection des droits de l’homme au Sahara occidental".

    Par ailleurs, la résolution a appelé les parties à "coopérer pleinement aux opérations de la MINURSO, dont la liberté d’interaction avec tous les interlocuteurs" et à prendre "les mesures nécessaires pour assurer la sécurité, ainsi que la circulation sans restriction et un accès immédiat" à cette mission de l’ONU conformément aux accords existants.Le Conseil a également chargé le secrétaire général de l’ONU de l’informer régulièrement, au moins deux fois par an, sur l’état d’avancement des négociations sous ses auspices et sur la mise en £uvre de cette nouvelle résolution.Inscrit depuis 1964 sur la liste des territoires non autonomes, et donc éligible à l’application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’ONU portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux, le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique, occupé depuis 1975 par le Maroc lequel est soutenu par la France.

    L'hypocrisie serait satisfaite de la résolution..L'Algérie est satisfaite de l'adoption, ce jeudi noir(25/4/13) pour elle, par le Conseil de sécurité de l’ONU d'une résolution sur le Sahara Marocain, a déclaré le porte‑parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani. « L'Algérie accueille avec satisfaction l'adoption de cette résolution,  par le Conseil de sécurité.

    Dans une déclaration à l'APS (la tribune de presse mensongère officielle Algérienne),  ce commis d'Etat voulait nous faire croire, voire transmettre aux autres dingues, le rêve algérien ajoutant que l'Algérie se réjouit de l'engagement du Maroc et du "Front Polisario" à «continuer à œuvrer sous l'égide des Nations unies pour parvenir, à travers des négociations directes, à une solution qui pourvoie à l'autodétermination» comme si son pays n'est pas concernée directement de ce problème et qu'elle  tentait de cacher sa tête sous le sable et nier, officiellement en vain,  toute implication.

    Pour insister sur le mot "autodétermination", il a souligné que l'Algérie se félicitait de «la constance de l'engagement des Nations unies et de la communauté internationale pour un règlement juste et durable, basé sur une solution politique mutuellement acceptée devant permettre au "peuple sahraoui" d'exercer son droit à l'autodétermination - et c'est le rêve de l'algérie -, conformément aux principes et aux objectifs de la Charte des Nations unies ainsi que des résolutions de l'Assemblée générale et du Conseil de sécurité».«L'Algérie souligne la vigilance manifestée par la communauté internationale sur la question de la protection et l'observation effective des droits de l'Homme au Sahara occidental et prend note de la nécessité d'un accès régulier et sans entraves pour les mécanismes onusiens dûment mandatés, les organisations et les observateurs étrangers des droits de l'Homme », a-t-il ajouté.

    Ce piroquet de Medelci, je m'excuse de l'expression, disait aussi que son pays saisit cette occasion pour renouveler son appréciation aux efforts déployés, à cette fin, par le secrétaire général de l'ONU et son envoyé personnel, l'ambassadeur Christopher Ross », a-t-il dit. En sa qualité de pays voisin, observateur du processus de règlement, l'Algérie « continuera d'apporter sa contribution à ce processus de décolonisation qui relève de la seule responsabilité des Nations unies », a affirmé le porte‑parole de Morad Medelci..

    Alger fait le semblant d'une lecture positive..Malgré le revirement américain un autre con, cette fois-ci, une vieille hyène du parti unique au pouvoir le FLN est chargé d'accompagner le département de Medlci dans l'hypocrisie algérienne et disait que : depuis quelques jours, Rabat savoure sa nouvelle «victoire» diplomatique dans le dossier du Sahara occidental. Appuyé discrètement, mais activement par Paris, le Maroc a réussi à faire reculer les États-Unis sur le projet de résolution, qui, pour la première fois, chargeait formellement la Minurso de surveiller le respect des droits de l'Homme, au grand dam de Rabat. Le texte, qui sera adopté ce jeudi par le Conseil de sécurité, a été réécrit : il encourage seulement les parties en conflit à respecter les droits de l’Homme.

    Pour Alger, ce revirement américain ne constitue pas un échec. Il ne conduira pas non plus l’Algérie à changer sa position sur le dossier, comme le laissent entendre les Marocains. « Pour nous, il s’agit d’une question de décolonisation, que nul artifice, bâti sur de prétendues dimensions régionale ou bilatérale, ne saurait occulter», explique un autre haut responsable algérien. Même le contexte d’instabilité dans la région, notamment le Sahel, souvent mis en avant par Rabat pour justifier sa position sur le Sahara occidental, ne risque pas de faire évoluer la position algérienne. Cette situation dans la région « ne doit pas nous faire oublier l’essentiel, à savoir que la question du Sahara occidental est une question de décolonisation », ajoute le même responsable.

    Dans ce contexte, l’Algérie estime que la solution «devra impérativement pourvoir l'autodétermination du peuple du Sahara occidental ». « C’est la doctrine de l’ONU et nul, fut-il membre permanent du Conseil de sécurité, ne peut biffer d’un trait de plume la référence à l’autodétermination, qui est le point d’ancrage gravé dans toutes les résolutions du Conseil de sécurité, comme ce sera le cas également pour la résolution adoptée le 25 avril », insiste le même responsable, allusion notamment à la position de la France, membre permanent du Conseil de sécurité et soutien inconditionnel de Rabat.

    L’Algérie s’enrage contre Christopher Ross «Le rapport final de l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, dont l'adoption est faite par le Conseil de sécurité, est une honteuse reculade».C’est la mort au cœur, qu’a écrit ainsi le journal algérien ‘Le Courrier d'Algérie’, reprenant les commentaires officiels lui dictés, sur la triste tournure' pour le pouvoir algérien, qu’ont pris ses colossaux investissements dans l’entreprise de minage de la souveraineté du Maroc au Sahara, illustrée par le projet de dénaturer le mandat de la MINURSO. 

    Tirant aveuglement dans tous les sens, c’était le tour à Christopher Ross, pourtant proche des tenant du réel pouvoir à Alger, d’essuyer les tirs des organes d’information et d’orientation du régime. «A la lecture du rapport final de l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara, Christopher Ross, l'on se surprend à être pour le moins sceptique», a-t-on  commenté au journal ‘Le Courrier d'Algérie’, qui a éditorialisé sur le sujet par un papier titré +honteuse reculade+. «Le fait même que Ross se soit contenté de dresser un rapport de synthèse de sa mission, froid et sans âme, est une preuve qu'il refuse de s'impliquer plus avant et, donc, d'envisager la moindre sanction contre le Maroc afin qu'il accepte enfin le principe de tenue de ce fameux référendum», indique, enragé, l'éditorialiste. 

    «Ross, à qui Rabat avait retiré sa confiance pendant de longs mois, bloquant toute initiative ou action onusienne pendant tout ce temps avant de revenir à de meilleurs sentiments, Ross n'a pas su demeurer fidèle aux principes d'impartialité qui donnaient l'air d'être les siens, d'édicter ses règles de conduite, et irritaient tant le Makhzen», s'ulcère t il. 

    «En parcourant son rapport, car à sa lecture on l'assimile à un simple (pour ne pas dire vulgaire) rapport plutôt qu'à un projet de résolution, ferme et déterminé, on ne peut que relever qu'il a favorisé et accordé la part belle aux Marocains», écume l'auteur. 
    «Le fait même de perpétuer le statut quo, en effet, et d'évacuer la question des droits de l'homme, est une victoire marocaine, qui semblait inespérée, et pour tout dire surréaliste, il y a de cela à peine quelques jours, voire carrément quelques heures» a souffert à dire l’éditorialiste.

    De Droits de l'Homme à l'exploitation des richesses..Pour ce haut responsable, tous les rapports élaborés dernièrement par les organismes internationaux, dont ceux de l’ONU, montrent que la question des droits de l’Homme dans les territoires sahraouis est un élément primordial de tout règlement du conflit, comme l’a souligné le secrétaire général de l’ONU dans son dernier rapport, et cette question restera posée dans l'imagination algérienne, même si les Américains, faute de consensus, ont fini par retirer leur initiative. Dans l’hypothèse, cette question reviendra systématiquement l’année prochaine devant le Conseil de sécurité, et il sera improbable que les membres du conseil  de sécurité reviennent encore à la rescousse de la raison.

    En plus de la question des droits de l’Homme, le même haut responsable pointe un autre problème : l’exploitation illégale des richesses "sahraouies" par le Maroc. « A l’instar de la question primordiale des droits de l’Homme, la question de l'exploitation illégale des ressources naturelles de ce territoire non autonome  disait-il, ne doit plus être occultée et elle doit trouver toute sa place dans les rapports onusiens.Bonne lecture.


                                                                                           Cordialement,Chihab25
    A suivre...