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  • III. La cause nationale et ONU, l'ère de vérité.

     Suite..                                                        

                                                     

                   Allégence de Bouteflika, en tant que citoyen Oujdi à S.M.le Roi Mohamed VI (photo Moradji) 

    Que disent-ils les algériens de la photo de leur président, leur exemple idéal, baisant la main de Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Une photo inédite qui, parait-il, aurait été prise à Rabat lors des funérailles de feu Sa Majesté le Roi Hassan II que Dieu ait son âme,c'est une prise Moradji, le photographe du palais Royal. Que diront-ils, aprés la polémique sucitée par l'algérien qui embrassait la main du président Français, Mr.François Hollande, lors de sa visite en algérie?. Ces algériens (s'hab Ennif) qui nous envient gratuitement - Nous Marocains - pour notre attachement spirituel à la personne du Sidna et pour le grand respect que nous lui réservons tous, étant notre guide et notre Roi et Emir ElMouminine.

    Ne nous prenez pas pour des dingues...! Je ne laisserai pas passer des conneries à l'algérienne, même si celà ne fait pas partie de notre sujet. Le vrai problème avec l'algérie ne se limite pas à celui du Sahara Marocain dite "occidental", le problème façonné par le maudit algérien Boumédiene et véhiculé par la junte de Ben Aâknoune d'alger, mais il s'agit  du problème dormant, qui est l'autre Sahara Marocain oriental qu'elle occupe.Vous allez voir, ci-aprés, la réaction préméditée des algériens aux propos de Mr.Abdelhamid Chabat, SG du PI, concernant la récupération des terres Marocaines spoliées par l'Algérie de 1962 et la panique remarquée chez les adeptes du royaume de Tlemcen¹,dont Ould Kablia, Medlci et son élève Belani. et certains lauréats de l'école Belkhadem.

    Ces sorties médiatiques sont bien programmées dans l'agenda du dit royaume pour détourner son opinion publique locale des émeutes du sud algérien, surtout à Ghardaia, Laghouat et Jelfa,, où le peuple lève seul slogan "Nous ne céderons pas", demandant justice équitable pour tous, y compris le droit de poursuivre un Commis de l’Etat, un Préfet, un Chef de Daira un Policier ou un Gendarme, car le pouvoir autoritaire algérien a manqué à ses obligations envers ses populations et a outrepassé ses limites. Selon un vieux associatif  algérien qui ose parler souvent,l'avocat Ali Yahya Abdenour, je cite: « Ces populations sont coupées de leur base, elles vont devoir déployer des sacrifices d’inventivité, rien que des sacrifices, pour revenir dans le présent et rétablir le cours d'une dignité volée à l'aube, par des sales bottes, - déguisés aux couleurs algériennes - venus de l'Héxagonne» fin de citation…, C'est de l'anarchie totale qui sévit en algérie, le moment où celui qui s'est baptisé "Tab Jnanou" meurt en silence à Val de Grace, sans pouvoir éviter l'éffondrement du royaume de "Mma Mansouria" avec sa devise-mensonge : "Rfaâ Rassak Abba", ni de s'attaquer aux pioches du général Toufik-DRS qui sont en train de démolir les fondations fragiles de son règne.

    Mourad Medelci, le ministre algérien des affaires étrangères : paniqué, redisant par hypocrisie que les relations Maroco-algériennes connaissent un changement positif, alors que le pouvoir algérien s’obstine à fermer les frontières terrestres. On ne sait pas quel effet peut avoir cette déclaration sur les citoyens marocains à Casablanca, à Agadir ou à Oujda et ceux algériens à Tlemcen, à Alger ou à Oran, mais ils se demandent sûrement pour qui le responsable algérien les prend.

    Dahou Ouled Kablia, l’actuel ministre algérien de l’intérieur, natif de Tanger qui, aprés avoir été interpelé à Rabat, par les journalistes au sujet de la réouverture des frontières, il était contraint de faire lui aussi une déclaration similaire, et Abdelaziz Bouteflika, né lui-même à Oujda,et les autres Marocains qui dirigent l'Algérie en quelques sortes, "ne le savent pas ou ne veulent pas le savoir", mais des Algériens qui ont de la famille au Maroc sont contraints de venir à Casablanca ou à Rabat par avion pour aller ensuite à Oujda en parcourant des centaines de kilomètres alors que la traversée terrestre aurait pris quelques minutes seulement. A moins que le palais d'ElMrdia à Alger n’attende le feu vert d’une autre partie pour ouvrir les frontières, peut-êtres de ses bourreaux du DRS. Cette situation de gel ne rime plus à rien. Changement positif dites-vous M. Medelci ?


    ولد قابلية يستبعد "الطابع السياسي" لملف فتح الحدود مع المغربL’ouverture des frontières pas pour demain...De retour à Alger au lendemain de la réunion au Maroc des ministres de l’Intérieur de ce qu'on appele l’UMA, Dahou Ould kablia a vite fait de tempérer les ardeurs de ceux qui avaient expliqué ses déclarations, faites à Rabat, comme un signal imminent de l’ouverture des frontières entre l’Algérie et le Maroc. Le ministre algérien, pour dégager toute responsabilité dans ce sens, aurait expliqué à ses collaborateurs et à ceux de la primatie algérienne, que ses déclarations avaient été mal interprétées et que la frontière de l’ouest sera ouverte une fois tous les problèmes «techniques» en suspens définitivement réglés. Il aurait ajouté, non sans ironie, que l’ouverture se fera bientôt puisque cela fait vingt ans qu’elle est fermée et que cela ne durera évidemment pas deux autres décennies. Pour le moment, aucun indice provenant des villes frontalières ne laisse présager une prochaine éclaircie dans les relations Maroco-algériennes.

    Récupérer Tindouf et Colomb-Béchar,le FLN se charge de passer le message?.., je cite :Le FLN (Front de Libération Algérien au pouvoir)a qualifié de «provocatrices et de dangereuses» les déclarations du président du parti marocain El Istiqlal ayant appelé à envahir militairement l’Algérie pour récupérer Tindouf et Béchar. Il met en garde contre ces initiatives irresponsables, en affirmant que l’intégrité territoriale de l'algérie «ne sera en aucune façon l'objet de négociations ou de discussions». La question de la délimitation des frontières a été officialisée avec le Maroc et a été enregistrée le 15 juin 1972 au secrétariat des Nations unies », a-t-il rappelé avant d’ajouter que « le gouvernement, les partis et le peuple algériens feront face à toute tentative de contourner ces pactes internationaux avec la plus grande vigueur» Fin de citation.

    Légitimité internationale à l'algérienne.. Le FLN a souligné le silence «suspect» des autorités marocaines face à la campagne menée par certains milieux politiques et médiatiques marocains contre l'Algérie. Ce parti unique algérien a assuré que cette campagne «n'aura aucun effet sur les principes de l'Algérie», mais qu’elle aura par contre «un impact négatif sur les relations bilatérales entre les deux pays voisins et frères ajoutai-il». Appelant notre pays à s'abstenir « de soutenir et de parrainer la pensée expansionniste prônée certains cercles politiques et intellectuels Marocains, faisant allusion à Hamid Chabat le SG du PI, et cela dit-on «à travers le respect de la légitimité internationale en trouvant une solution honorable » à la crise au Sahara Marocain.Cette dernière n’est autre, selon le FLN, qu’une question de décolonisation.

    Soutien financier DRS au Polisario : piètre dérobade selon Alger..Une vieille hyène du parti algérien au pouvoir (FLN) a, de son côté, démenti l'information, faisant état d'un soutien financier que les services secrets algériens auraient apporté au Polisario, pour organiser des mouvements de protestations à Laâyoune, en la qualifiant de «pure fable». C'est une fable, disait-il, qui ne trompe personne, même pas ses propres initiateurs. L'Algérie a toujours souffert de la lubie marocaine, endurant stoïquement les conséquences désastreuses de ce comportement », a-t-il déclaré à l’agence APS.


    Dans une déclaration à TSA(Tout Sur l'Algérie), le porte-parole du ministère des AE, Amar Belani, a indiqué que «cette nouvelle opération de manipulation illustre la nervosité de ceux qui veulent masquer leurs responsabilités dans la répression qui s'abat sur des citoyens "sahraouis pacifiques". Cela intervient, selon lui, au moment même où la situation des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés est scrutée avec minutie par la communauté internationale. La qualifiant de piètre dérobade, M. Belani a estimé qu’elle «ne trompera personne tant les faits et les responsabilités sont clairement établis»,tel que?.

    Est-ce cette algérie serait-elle capable d'en tirer les enseignements de  ses défaites et ses echecs face à un Maroc crédible?. La réponse, à mon avis, est dans  les contradictions des teneurs du pouvoir d'autorité quand il s'agit du phénomène Marocain. Ces sorties médiatiques, de l'un et de l'autre en témoignent, occultant le manque de coordination et d'autorité décesive en algérie, surtout en ce moment d'éffondrement du Royaume de Tlemcen dont dépendent les plus rapprochés actuellement du palais d'ElMoradia d'Alger.
                                                                                                   
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    Le Maroc remporte une victoire diplomatique..Le Maroc a réalisé une importante percée diplomatique et politique en réussissant à persuader les États-Unis de revenir sur leur précédente proposition pour le Conseil de Sécurité des Nations-Unies. Les actions entreprises par le Marrectement ou indirectement par Sa Majesté le Roi Mohamed VI, sont parvenues à la Maison Blanche et ont éloigné le spectre du contrôle des droits de l’Homme par la mission militaire onusienne. Des sources diplomatiques ont affirmé que les États-Unis ont opté pour un contact direct avec le Maroc pour examiner la question, sans passer par l’intermédiation française, et la nouvelle mouture de la résolution a été confiée par Washington au groupe des Amis du Sahara, constitué au palais de verre de l'ONU à New York.

    Ce succès diplomatique marocain est apparu lors de la réunion du Conseil de Sécurité qui a été consacrée à la discussion autour du dernier rapport de Ban Ki-moon sur le Sahara. Selon les informations qui ont filtré de cette réunion, les États-Unis sont apparus plus ouverts sur l’introduction d’amendements à leur nouvelle proposition qui n’inclurait aucune mention sur les droits de l’Homme.

    Ainsi, avant même l’ouverture du débat, les Marocains avaient lancé une vaste campagne et mené une lutte farouche en coulisses : Yousef Amrani, le ministre délégué aux Affaires étrangères, était à Washington pour une visite informelle au cours de laquelle il a entrepris diverses actions diplomatiques officieuses destinées à faire bouger les lignes. Pendant ce temps-là, le ministre de l’Habitat et de la Politique urbaine, Nabil Benabdallah, était à Moscou, son parrain communiste d'autrefois, pour nouer des contacts avec les dirigeants Russes dans l’objectif d’influer sur les Américains et le Conseil de Sécurité.

    Selon une source française à l’ONU, les Américains auraient répondu aux sollicitations de Paris que Washington allaient prendre contact directement avec Rabat pour amender la proposition soumise, ce qui suppose que les États-Unis se sont disposés à assouplir leur position. A l’issue de la réunion, un des chefs des séparatistes Polisario, soutenu dans les coulisses par des responsables DRS algériens, a fait une déclaration virile, musclée, dans laquelle il suggère, voire il répéte le mot d'ordre de chantage, "l’éventualité d’un retour aux armes", avec l’instabilité que cela peut apporter à l’ensemble de la région, si les droits de l’Homme ne figurent pas dans la prochaine résolution ; Ce membre du Polisario, a affirmé que si le référendum n’est pas garanti par l’ONU et si les droits de l’Homme ne sont pas prévus dans la résolution à voter, « nous nous orienterons vers une guerre qui aura des répercussions sur la région », car un recul des Nations-Unies par rapport à leur projet initial d’imposer un contrôle des droits de l’Homme « fera basculer la zone entière dans un conflit armé».

    La séance du Conseil de Sécurité tenue à huis-clos, trois jours avant le vote, et sans caméras, a duré deux heures et l’Envoyé spécial de Ban Ki-moon, Christopher Ross, a présenté son rapport, avant que la parole ne circule entre les 15 membres du Conseil. Mais, selon un diplomate marocain, « ce qui importe au Maroc est que les États-Unis, qui sont à l’origine du projet de résolution qui devait être voté le jour suivant, n’aient plus évoqué le sujet des droits de l’Homme, pas plus d’ailleurs que les autres membres présents ».

    Pour sa part, une source médiatique marocaine résidente à New York a déclaré que l’ambiance générale de la réunion indique qu’ « une évolution notable a été enregistrée dans l’attitude américaine après les nombreux contacts établis par la diplomatie marocaine auprès des grandes chancelleries ». De plus, et toujours selon la même source, « la réaction du Polisario montre bien que ce à quoi s’attendait le Front et l’Algérie n’allait pas passer, et c’est ce qui explique l’extrême nervosité des diplomates algériens ». Le journaliste ajoute que le mutisme marocain est destiné à rester calme et à ne pas envenimer les choses et provoquer la partie  Algérienne adverse.

    Mr.Samir Bennis, notre concitoyen, expert marocain, consultant auprès des Nations-Unies, a affirmé de son côté que cet optimisme est excessif car, selon lui, « les États-Unis n’ont pas retiré leur proposition parce que ce n’est pas ainsi que les choses se passent au Conseil de Sécurité ; en revanche, ce qui est certain, c’est que des changements sont introduits au projet initial, supprimant la proposition de créer un nouveau mécanisme de contrôle des droits de l’Homme et la remplaçant par l’idée espagnole de faire superviser ces droits à Tindouf par le Haut-commissariat aux Réfugiés ».

    L'Expert Marocain note cependant que c’est la première fois que les Etats-Unis soumettent une proposition sur ce dossier ; la fois précédente, c’était le pion incontesté algérien l’Afrique du Sud, et avant elle, l’Ouganda. Selon Bennis, bien que les choses semblaient bien se dérouler, rien n’était encore joué ni gagné car « le mode de fonctionnement de l’ONU permet de poursuivre les négociations et les concertations jusqu’au moment du vote final de la résolution ». Néanmoins, rappelle l’expert marocain, face à l’opposition de la Russie, de l’Espagne et surtout de la France au projet US, il aurait été difficile aux Américains de le maintenir en l’état car les Nations-Unies sont ainsi faites que si les États-Unis n’avaient pas reculé, les français et les russes auraient pu étendre le différend à d’autres questions, ce qui n’est nullement dans l’intérêt des américains.

     

    C'est une manche, mais la bataille reste à venir48 heures avant le vote du Conseil de Sécurité sur le rapport du Secrétaire général à propos du Sahara, l’administration américaine a retiré son projet de résolution, un projet considéré par notre  pays, le Maroc comme un acte partial en faveur des thèses de l’Algérie qui attaquent en meute contre la solution politique fondée sur l’autonomie élargie, en employant les armes des droits de l’Homme et des richesses naturelles du Sahara. Sachant que le phosphate de Boucraâ ne constitue que 17% de la production nationale et les produits de mer, de Tarfaya à Dhakhla, ne dépassent pas le seuil de 22%, de la pêche maritime Marocaine.

    L’Amérique est une grande puissance, et en tant que telle ne manque pas de pragmatisme ni de réalisme ; elle sait comment défendre et protéger ses intérêts, sa vision des choses et ses plans. L’Amérique a reculé face à l’intense activité qui a régné durant les deux fameuses semaines de panique. Il y a eu, d’abord, cette très forte pression exercée par le Maroc, à tous les niveaux, du roi aux partis et à la société civile, en passant par le gouvernement ; et puis, ensuite, les alliés du Maroc se sont activés, les anciens comme la France, l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis, mais aussi les nouveaux, comme le Parti populaire espagnol qui a viré de 180° en s’opposant au projet d’extension du mandat de la Minurso, après qu’il l’eut passionnément défendu par le passé. Et puis, enfin, il y a eu cette décision marocaine d’annuler les manœuvres conjointes entre l'armée royale marocaine et américaine – l’opération « Lion africain » – et qui a sonné comme un signal d’alarme de Rabat, un avertissement qui dit en substance : « Nous sommes des amis et alliés de l’Amérique, et nous collaborons parfaitement avec elle, mais nous ne pouvons accepter qu’elle nous morde… ». Le grand Charles de Gaule ne disait-il pas à ses alliés britanniques, à Londres où il était réfugié durant la Seconde guerre mondiale, que « de Gaulle ne mord pas ses amis, mais veille à ce qu’ils sachent qu’il a des dents » ?…

    Nous avons donc remporté une manche, mais une bataille longue et complexe nous attend, et nous devons la gagner ; aussi, ce qui s’est produit les deux dernières semaines d'avril 2013 doit être gravé dans la mémoire des marocains et de leurs responsables. En effet, que les États-Unis décident ainsi de prendre une décision unilatérale, non concertée avec le Maroc, sur un sujet dont elle connaît l’extrême sensibilité pour nous, Roi, peuple et gouvernement, qu’elle s’active pour faire passer une résolution onusienne alors qu’elle sait qu’en procédant ainsi, elle ne fera que jeter de l’huile sur le feu de ce conflit hérité de la guerre froide, quand le Maroc était rangé côté ouest et l’Algérie et la Libye marchaient sur les pas de l’est, voilà des éléments qui prêtent à inquiétude et qui devraient nous inciter à réviser nombre de choses dans notre relation avec Washington.

    Nous ne pouvons ni ne devons dissocier l’attitude américaine pour le Sahara de la conception que se font les États-Unis de la situation générale dans le pays ; et que ceux qui voudraient davantage d’explications se réfèrent au dernier rapport du Département d’Etat US sur la situation des droits de l’Homme au Maroc, sur la manière dont ils considèrent notre système politique et comment ils appréhendent le processus de prise de décision à Rabat… Quant aux suggestions de l’ambassadeur américain au Maroc et ses propos sur la lenteur des réformes, ils en disent long sur l’idée que l’administration Obama se fait de nous, sans même que l’on ait besoin de se référer aux différents et nombreux télégrammes diplomatiques de l’ambassade américaine, tels que dévoilés par Wikileaks.

    Nous devons garder tout cela en mémoire en examinant la récente position de Washington. Il nous faudra faire montre de beaucoup d’intelligence politique et nous devons faire de grands efforts pour convaincre les grandes puissances que le Maroc connaît effectivement un processus de changement sérieux et effectif, et c'est une affaire de souveraineté interne d'ailleurs … Et avant que d’en persuader l’Amérique, nous devons d’abord emporter l’adhésion de notre propre opinion publique quant à la réalité de ce projet réformateur, et nous devons conduire l’ensemble des acteurs et intervenants, à tous les niveaux et dans tous les domaines, à œuvrer dans le sens de l’option démocratique, sans hésitation ni manœuvres ni autres calculs que cette option, et rien qu’elle…

    «Une participation politique globale et réelle, -un respect indiscutable des droits de l’Homme, -un engagement pour une bonne gouvernance sécuritaire, -l’adhésion parfaite à la «méthodologie démocratique», -la mise en œuvre de la régionalisation élargie et de l’autonomie des provinces sahariennes…» ce sont là les atouts pour remporter la bataille à venir, afin d’éviter que nous ne soyons des pompiers luttant précipitamment contre les incendies qui se déclarent dans notre propre maison, au lieu de construire un avenir radieux et prometteur pour les marocains, au nord et au sud.Bonne lecture.

                                                                                             Cordialement,Chihab25

    دبلوماسية الملك تفوقت على الحكومة والبرلمان والمجتمع المدني

                                     Les USA incitaient l'ONU à se diriger au sens inverse des Droits de l'Hommes.

    A suivre..

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    ¹-.Un royaume virtuel fondé par Bouteflika en imposant son appartenance à Tlemcen