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  • Les Algériens sont assis sur une bombe à retardement ?

      

                في عهد الملك عبد العزيزبوتفليقة أل تلمسان أصبحت الجزائر قهوة موح أشرب وروح

               

    (de gauche à droite, derrière le roi Bouteflika, princes, princesses et cheikhs : Louisa Hanoune, Ouyahya, la juive Ram3on Benghabrit, Sellal, Gaid Salah et Belkhadem) Photo.AT 

    Par | mars 18, 2014 10:05
    bouteflika supporters
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    Les soutiens d’Abdelaziz Bouteflika en ont assez que l’on remette en question la candidature de leur candidat. Ainsi dans les médias, sur le web ou lors des meetings, ils tentent de défendre tant bien que mal la légitimité du Président, quitte à défier toute logique. Algérie-Focus a recueilli les perles des supporters du Président. 

    1 – Grâce à Bouteflika on peut boire du café…

    Que serait un Algérien sans son café du matin, du midi ou de l’après-midi ? Peu efficace certainement ! C’est pourquoi d’après une Algérienne qui soutient Abdelaziz Bouteflika, car c’est grâce à ses trois mandats que l’on peut boire du café en Algérie. Une vidéo d’un supportrice du chef de l’Etat fait tout simplement le buzz sur Youtube. Sur ces images, l’Algérienne sûre d’elle fait le bilan d’Abdelaziz Bouteflika : ”Avant il était impossible de trouver du café, on courait après le café!” s’indigne-t-elle. “Maintenant vous en trouvez partout, allez-vois sur les grandes surfaces, vous vous croirait aux Etats-Unis”. Voilà qui est dit !

    2 – Bouteflika est Président, car Allah l’a décidé

    Un autre partisan du 4eme mandat évoque quant à lui le mektoub pour justifier la candidature d’Abdelaziz Bouteflika. Lors d’une émission diffusée par l’ENTV ce dernier indique que c’est “Allah a donné le pouvoir à Bouteflika pendant 15 ans. Ce n’est la peuple qui lui a donné ce pouvoir. Pouvons-nous aller contre la volonté d’Allah ?” Bonne question, mais le divin a-t-il vraiment sa place dans le choix des électeurs ?

    3 – Angela Merkel a bien fait trois mandats, pourquoi pas Abdelaziz Bouteflika ?

    Impossible de faire un top 5 des arguments des partisans d’Abdelaziz Bouteflika sans évoquer son directeur de campagne Abdelmalek Sellal. La candidature du Président n’est absolument pas inappropriée pour Abdelmalek Sellal qui n’avait pas hésité à comparer le Président à la chancelière allemande Angela Merkel qui a été à la tête de l’Allemagne lors de trois mandats. « En Allemagne, Angela Merkel a fait trois mandats et elle peut ajouter un quatrième et même un cinquième mandat sans aucun problème. Est-ce que ce pays est meilleur que l’Algérie ? » s’est-il interrogé devant la caméra de l’ENTV. Si les régimes des deux pays, les fonctions et les âges des deux leaders avaient été similaires, l’argument de Sellal aurait été presque judicieux. Pas de chance, Mr le directeur de campagne vous devrez retenter votre chance !

    4 – Abdelaziz Bouteflika a fait en sorte qu’Alger ressemble à un tableau 

    Pour cette intervention la rédaction a longuement hésité : la prendre ou pas ? Est-ce un véritable argument ? Il semblerait que le point fort du bilan des trois mandats d’Abdelaziz Bouteflika d’après ce partisan du Président soit Alger. Jusque là ça va, mais lorsqu’il développe son propos, ce dernier indique que grâce au chef de l’Etat et à l’ex-ministre des travaux publics Amar Ghoul ”Alger la capitale est devenue un tableau mach’allah”. Bon si vous avez compris quelque chose contactez-nous…

    5 – Grâce à Abdelaziz Bouteflika on peut emmener nos amis boire des whiskys dans les grands hôtels

    Le mot de la fin revient à notre star du raï Cheb Khaled. Vous avez des amis étrangers et non-musulmans ? Ils ne seront pas dépaysés et s’intégreront facilement en Algérie, car d’après le chanteur Cheb Khaled le Président a permis de construire des grands hôtels où l’on peut emmener nos amis étrangers prendre “un petit whisky”. L’artiste a fait valoir cet argument dans une émission de la chaine TV5 Monde pour prouver qu’Abdelaziz Bouteflika a fait du bien à son pays…

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      Maroc Un cercle non conforme..Il nous a semblé inutile de revenir en détails sur l’intégralité de la mascarade présidentielle en Algérie. La « vague bleue » s’est confirmée puisque l'entourage de Ssi Bouteflka remporte la victoire dans cette compétition à l'algérienne ou encore la quatrième "Bahdala" présidentielle qui reste plus que jamais ancrée entre les mains des vieilles hyènes de l'FLN  et qui ne serait aussi en passe de basculer vers l'opposition Algérienne et de mettre en difficulté Mr.Ali Benflis, son clan et les autres.Cela dit, ce qui nous intéressera ici, ne pas commenter le résultat, mais de pronostiquer l'avenir, notre avenir relationnel avec ce voisin têtue, ingrat et arrogant.

    Bien sur cela ne doit pas masquer le fait que la «relation algéro-Marocaine» ne fait que revenir à son niveau de toujours, depuis la période d'octobre 1963. Celle-ci a perdu une grosse dizaine d’années entre l’errance, la raison et les écueils successifs des groupuscules militaires et présidents algériens non qualifiés (on a songé au Feu président Mohamed Boudiaf qui avait pourtant toutes les capacités de qualité à disposition). 2014 constitue donc le retour des relations déjà tendues avec l'Algérie à la case départ sur le devant de la scène et nous devons tout mettre en œuvre pour ne plus perdre de temps et d’énergie en ce qui concerne notre cause nationale, pas avec un régime foutu, mais avec les instances de crédibilité internationale à leur tête les Nations Unies .

    Une victoire raisonnable..? Osons-nous pousser l’analyse jusqu’à écrire qu’il y a aussi une première victoire politiquement raisonnable après l'adoption par le Conseil de Sécurité Onusien de la résolution 2152 sur la Minurso. En effet, à l’exception de l'Algérie et l'Afrique du Sud, l’ensemble des membres qui sont sous l’étiquette ONU n'était pas convaincu cette foi-ci par les fausses plaidoiries de toujours de l'Algérie et compagnie, (Référendum, autodétermination d'un peuple Sahraoui qui n'existe que dans l'imagination du pouvoir algérien) pour se dévier, à nouveau, de la raison qui s'impose plus que jamais dans ce dossier artificiellement créé par l'Algérie ? Il est trop tôt de dire que les algériens vont revenir à la raison et accepter facilement cette défaite diplomatique, face à une diplomatie royale toute jeune!, mais ce résultat doit être pris en considération par Ramtane Lamamra, le patron de l'écurie des affaires étrangères algériennes, puisque ni Bouteflika, ni son charlatan Sellal sont en capacité de trancher, du moins pour l'instant.

    Les images ahurissantes de Bouteflika, lors de dépôt de sa candidature, de son vote ou encore l'audience qu'il a accordée au premier ministre Tunisien, enterrent les espoirs réconciliateurs dans une affaire chronique créée par un maudit algérien disparu, héritée et détenue avec arrogance par une bande d'opportunistes civiles et militaires, non qualifiée à ce genre de problème pour être la priorité des priorités de l'Etat algérien! Pourquoi? seulement pour contrecarrer un pays voisin qui progresse en forte émergence.

    Bien que nous déplorions l’affrontement horizontal des politiques algériens, et l’énergie localement gaspillée à se faire une guerre inutile entre pauvres Kabyles opprimés et vieux apprentis politiques qui s'imposent en force, plutôt que contre un système qui les oppresse tous et nous Marocains aussi. Il est évident que si seule la liberté publique, (d’expression politique, d'appartenance syndicale ou de liberté de presse), était en jeu, le Front d'opposition et de changement algérien avec à son dos des aspirations du populaires qu'il en a, à la fois sociales, ferait des scores bien supérieurs qui montrent que les "Fakakirs", (les pauvres) si j'ose employer ce terme de Sellal, manifesteront de plus en plus leur ras le bol.

    Enfin, de nombreux bastions diplomatiques algériens (là où le pétrodollars algérien fait son effet) commencent à tomber pour le moment au profit de la juste cause Marocaine, en preuve les pays qui renoncent , un par un, à la création algérienne (Rasd) augmente davantage mais pour combien de temps encore ? Si certains pays hostiles au Maroc votent encore Algérie dans cette affaire, ils ne pourront pas longtemps favoriser des positions fâcheuses qui œuvrent contre leurs intérêts, favorisant leur isolement dans le cercle des groupements et entache leur souveraineté étatique à d’autres échelles.

    Sur les pro-Dz.. S’étonner que les pays pro-algériens arrivent à justifier la politique d'Alger avec les mêmes mots que ceux par lequel l'Afrique du Sud leur définit. Rappeler de ce fait qu’il y a des limites à tout, même au suivisme aveugle à la diplomatie d’Autriche. Voir se dérouler sous leur yeux les mêmes anathèmes anti impérialistes à destination du Royaume du Maroc que ceux que nos ennemis "gratuits" nous lancent en justification, c’est vraiment poser la question de la raison en politique et souligner que Machiavel pour intéressant qu’il soit n’est pas l’alpha et l’oméga d'une diplomatie aussi frivole que s'adonne l'Algérie.

    S’écœurer parfois de la mauvaise foi récurrente d’une partie de ces état-pions qui propagent sans aucune contre-analyse les nouvelles anti-marocaines que leur distribuent les agents secrets DRS siégeant aux ambassades algériennes (tous plus faux les uns que les autres) émanant des officines centrales de propagande-DRS, c’est mesurer à quel point certains ont besoin de s’asservir au lieu de servir.

    Reposer sans cesse la question du « Que veut l'Algérie ? » en obligeant ses camarades pro-dz à ne pas oublier qu’il y a quelques mois ils ne savaient encore à qui se donner la tête en Algérie. La confusion, l'égoïsme, la fascination pour l'expression de l’ordre, le désir ardent de vassalité, sont aussi les symptômes de la maladie de cette veuve Algérie.

    Porter des sentences définitives, affirmer avec suffisance les courtes vues des opposants du Maroc, réduire et schématiser ce qui toujours dans la géopolitique s’énonce avec complexité, penser maîtriser l’ensemble des paramètres voilà bien des excès maintes fois répétés par les souteneurs de l'Algérie dans ses thèses contre notre intégrité territoriale (et dans une moindre mesure dans les soutiens à un peuple Sahraoui fantoche). Se rappeler toujours que nous ne pensions jamais prendre de recul dans l'affaire qui nous concerne historiquement, le Sahara Marocain que le Maroc réclamait son retour à la mère-patrie depuis 1958 aux Nations Unis, peser, méditer, chercher, creuser et surtout avouer sans honte que l’on ne sait pas quand l'algérien revienne à la raison de fraternité et de voisinage imposés par la géographie, voilà ce que l’honnêteté et la mesure commandent aux Marocains éveillés. Garder de l’humilité, ne pas considérer l’autre comme un idiot parce qu’il pense et agisse différemment, c’est éviter le piège constant que l’ennemi nous tend, où qu’il se trouve.

    Sur les pro-Ma..Penser que toutes ces envolées lyriques sur le dossier Maroc-Algérie, sont en partie l’expression du désarroi et de l’incapacité de la communauté internationale à agir en "alliance communautaire" n’est pas insultant, seulement réaliste. Percevoir le caractère picrocholine des discussions sur la Minurso au regard de la situation réelle de notre pays dans le domaine de la préservation des droits de l'homme, c’est répondre au principe de réalité. 

    Fonder sa vision du monde sur l’intérêt premier de la nation Marocaine et de l’espace territorial national, c’est préserver notre caractère de toute forme de déflagration, dont elle est exposée notre voisine "Jazaer El3izza wa Lkaram",  que répété sans cesse, un chroniqueur amateur Algérien sur le journal électronique Algérien (TSA). Eviter le piège du parallélisme et d'équilibrage DRSien qui renvoie les séparatiste polisariens «seuls» à une Kerry Kennedy, une droguée Américaine, avec une pauvre Aminatou Haidar, humiliée dans son monde contre tous y compris, un John Kerry et sa copine d'autrefois Susan Rice. Ce n’est pas parce que l’espoir Algérienne "d'autodétermination" s’effondre, que le Polisario est mort, bien au contraire, l’Algérie se trouve malgré elle au croisée du chemin, elle ne sait pas encore quel chemin va-t-elle prendre en politique étrangère après le cauchemar de la présidentielle d'avril 2014, et encore plus après l'offensive diplomatique Royale qui a bien tiré les oreilles à un certain Ban-Ki-Moon.

    Sur l’Europe..Ne pas céder à la folie partisane de certains députés-Européens de gauche ayant dégusté l'offrande pétrodollars algérienne, sur le dossier Sahara Marocain ne signifie pas rester neutre. Ne pas choisir son camp dans un empressement géopolitique ne signifie pas "ne pas choisir", mais rester fidèle à sa positon et à l'idée d'une Europe crédible et surtout ne pas tomber dans les griffes gazoduc de la Sonatrach Algérienne ni aux pierres précieuses Sud-Africaines. Penser l'Europe-Puissance n'a rien de chimérique mais résulte de l'expression d'une volonté affirmée et réaliste de résurgence d'un génie propre autant que le maintien d'une vision géopolitique et stratégique Euro-Marocaine. Etant donné que le Maroc joue au casino des grands en obtenant des cartes précieuses de pression "Jocker" de pêche et d'agriculture.

    Poser comme principe un Maroc souverain, c’est réaffirmer que nous n’avons besoin d’aucun tuteur pour nous orienter dans nos propres affaires, travailler, édifier, construire notre propre futur basé sur la régionalisation élargie dans nos provinces du sud en premier lieu et dans tout le Royaume Chérifien après c'est le génie d'un jeune Monarque qui n’existe qu'au Maroc. Ce présent article vaut position officielle sur ce point de nous tous internautes Marocains. Nous observerons dès lors sur le dossier un silence attentif et ce jusqu'après la mascarade présidentielle Algérienne. Je rappellerai à cet effet aux algériens, que même si le Maroc attend le verdict,voire la résolution finale de l'ONU sur le Sahara Maroc,nous n'attendrons pas de cette instance internationale qu'elle nous délivre un "Certificat de bonne conduite d'Etat", ni un autre de bonne vie et mœurs.

    Qu'ils sachent aussi que nous sommes chez nous et sûrs de notre avenir. Par contre et selon le site Français de Mr.Nicolas,(!), le dernier des gouvernants et responsables algériens, dont le dernier révélé est bien Ammar Saâdani,  possède une "carte de séjour" en France, car ils n'ont pas confiance en eux-même et y  sont tous incertains de leur avenir ni de celui de l'Algérie.       

    Ghardaia, appel de détresse..? Dans les événements douloureux de Ghardaïa  et grâce  au développement des moyens de l’audio-visuel les mozabites avec les Algériens  et le monde entier   ont découverts  avec stupéfaction  la face réelle d’un pouvoir, je-m’en-foutiste  dictateur, oppresseur, et  machiavélique :

    Le je-m’en-foutisme du gouvernement  face à ces événements  et sa démission de son rôle  primordial qui est le sauvegarde des citoyens et de leurs biens. La violation de l’état algérien de toutes les lois de l'humanité et cela par l’implication du corps de la police avec  des preuves irréfutables en flagrant délit dans des dizaines de vidéos qui montrent les agissements racistes de la police et son partie pris avec une partie des citoyens contre les Mozabites ce qui engendre plus de haine , cet abus de pouvoir est dangereux mais le plus dangereux reste dans fait d’user de ce de pouvoir pour pratiquer le racisme  qui est un crimes contre l’humanité qui se résume dans :  appui et couverture de la police à ses milices criminelles,  armées d’armes blanches  pour punir les Mozabites par agressions, atteinte à leurs intégrité physiques, pillages, saccage et incendie de biens pour ne pas imiter le vision séparatiste de Mehanna de la grande Kabylie.

    Les ONGs étrangères de défense de droits de l'homme représentées en Algérie ont enregistré que les autorités locales de Ghardaia ont commis de graves atteintes aux droits de l’homme,  en pratiquant des crimes contre les Mozabites, pas les arabes, par des arrestations sans fondement vue leurs appartenance ethnique dans les hôpitaux, dans les voies publiques et même dans les quartiers résidentiels, puis en pratiquant la torture pour leurs coller des accusations grave afin de justifier l'abus d'autorité qui en découlait.

    L’intervention des policiers n’a pour le moment pas pu mettre un terme aux affrontements, d’autant plus que les échauffourées ont gagné du terrain pour atteindre d’autres quartiers de la vallée de Beni M’zab.  Au-delà des enquêtes sont ouvertes  dans un contexte politico-sécuritaire extrêmement délicat. Le Sud algérien fait l’objet, depuis des mois, d’une vague d’insécurité qui a frappé plusieurs wilayas du sud algérien et y sont comme assises sur un volcan qui peut exploser à tout moment. Un volcan que le pouvoir algérien attribue, pour se soulager, à des parties étrangères qui, dit on, tentent d’attiser à des fins stratégiques inavouées pour justifier leur incapacité de remettre de l’ordre dans la maison algérienne et éviter que des vents déstabilisateurs se propagent davantage sur le Sud algérien, tout au long des frontières avec le Mali, la Libye ou encore pire avec la Tunisie au niveau de Jbel Chaânbi.

    Pour toutes ces raisons les mozabites ont perdus toute espoir et  ne font plus confiance au pouvoir Algérien central et ont décidés de lancer un appel à tous les algériens épris  d’honneur pour leur demander de ne pas obéir à Abdelmalek Sellal ni à son au nouveau cabinet-vitrine, pour avoir semé la haine entre algériens,même pour son implication directe dans les événements de Ghardaia et au moins pour son fiasco dans la  gestion de ses événements, et aussi par l’appel aux partis politiques de ne pas y participer à son exécutif en signe de refus des résultats des élections  présidentielles qui sont tranchées à la faveur de celui qui a ruiné l'Algérie par un faux concept "Rfaâ Rassak abba?, appauvrie les Algériens par corruptions et fraudes dans tous les secteurs  et a  pratiqué la politique de la terre brûlée depuis plus de 50 ans.

    En effet, les deux vrais partis d'opposition Algériens, le FFS, le RCD suivis de PT, le parti opportuniste de Louisa Hanoune ont catégoriquement refusé de prendre place dans le train du nouveau exécutif Sellal. par contre le FLN, malgré les grands coups folkloriques de Saadani, s'est vu coupé les ongles avec seulement trois portefeuilles ministériels d'une faible importance.Cala dit que Said Bouteflika, le vrai président Algérien derrière le rideau, qui manipulait ce dingue Saâdani, aurait bien mangé sa sellette de mule en tenant bien son non-engagement au sujet des promesses qu'il aurait distribué pour le soutien de la candidature de son frère président handicapé.

    A propos de Jbel Chaânbi, le générale-bougre Gaid Ahmed Salah, chef d'état major de l'armée, vice-ministre  Algérien de la défense, s'est vu incapable d'éradiquer le terrorisme local par les opérations quotidiennes de ratissage que mène en vain l'armée algérienne, et encore plus de contrôler seul ce fief-tampon du terrorisme algéro-Tunisien. Alors que le conteur ministre algérien Sellal a fait appel à son homologue Tunisien Mehdi Jomaâ pour s'en occuper au prix de 100 millions de dollars.(Cent milliards de centimes).

    Pour enrouler son opinion publique locale,l'APS apprend aux algériens que l’Algérie a octroyé une aide financière non remboursable à la Tunisie lors de la visite à Alger, du Premier ministre tunisien, les 3-4 mai. Le geste, dit-on, «généreux» d’Alger n’est pas vu de la même façon par les  algériens. Si certains pensent que la Tunisie mérite l’appui de l’Algérie, d’autres affirment qu’il y a beaucoup d’Algériens qui vivent dans la misère et qui sont prioritaires.

    Pratiquement et sans plus tarder, nous avons vu et entendu, tout récemment, le 6/5/14, le président Tunisien Mr.Moncif Marzouki s'est déplacé en personne aux falaises de Jbel Chaânbi pour lancer et mettre en oeuvre de l'accord Jomaâ-Sellal conclu dans ce sens.                       

    Les Algériens aiment l’humour. Ils le cultivent comme un paysan vietnamien qui plante son riz et veille jalousement sur lui. De l’humour, les algériens ils n’auront que ce refuge pour les prochaines années si la situation perdure ainsi. D’ailleurs, il vaut mieux en rire qu’en pleurer. Cet adage pourrait devenir la devise nationale de notre nouveau pays. Oui un nouveau pays qu’on appelle «La monarchie algérienne impopulaire et mafiocratique». 

    Ce nouveau pays verra le jour le 17 avril prochain. Ce jour-là, nous aurons officiellement un roi, une cour de larbins serviles à son service, des vizirs aux ventres bedonnants qui ressemblent étrangement à nos barils de pétrole qu’on exporte à l’étranger. La monarchie pour système politique, les Algériens ont déjà un avant-gout de ce régime avec 15 ans de règne d’un seul et unique homme. Bouteflika deviendra Bouteflika 1er. Et de son palais d’El Mouradia, situé sur les hauteurs d’Alger, il se contentera de régner puisqu’il ne veut pas, ou ne peut pas, on ne le sait pas encore, gouverner. Pourquoi gouverner lorsqu’on peut régner ? Bouteflika 1er laissera le pays entre les mains d’une clique appelée prochainement les «mafiocrates». Une élite diplômée des grandes écoles internationales de la triche, fraude et détournements de fonds. Un parcours d’excellence unique en son genre. Rares sont les pays dans le monde qui peuvent se vanter de disposer d’une telle élite aussi formée. Une élite qui nous offrira une justice exemplaire. Une justice toujours empressée de déclarer illégales les grèves, contestations et protestations. Une justice intraitable avec les déjeuneurs du Ramadhan, les couples illégitimes, les romantiques des forêts et parkings, les caricaturistes impertinents, les facebookers qui s’essaient aux photomontages. Mais une justice compréhensive avec les ministres accusés de corruption, de détournements et dilapidation de deniers publics. Ne vous inquiétez pas la monarchie algérienne vous épargnera le poids lourd d’une justice indépendante et transparente.

    Elle vous protégera contre les injustices grâce à la clairvoyance, omniscience et toute puissance de notre souverain Bouteflika 1er. Pas besoin effectivement de juges encombrants. Lui seul sera le juge qui saura discerner le mal du bien. Lui seul vous dira quand tel ou tel général est digne de respect ou pas. Ah les généraux, ne les oublions pas. Dans notre future monarchie impopulaire, ils joueront un rôle fondamental : ils inonderont les colonnes des journaux par des tribunes salivantes ou le bon peuple, le sujets de sa majesté, apprendront toutes les mauvaises manières qu’il ne faut pas imiter. Les généraux feront également des spectacles publics pour remplacer les clowns, une denrée dans notre beau pays. Des spectacles où nous allons rire comme des baleines lorsqu’on les écoutera dire que nous veillons sur la stabilité du pays, sur sa sécurité, sa dignité et ses richesses. Des généraux humoristes et One Man show que nous allons pouvoir exporter à l’étranger pour soigner notre soft power. Un humoriste gradé et avec une casquette militaire pour raconter aux européens sinistres ses aventures dans le désert algérien à traquer les méchants terroristes. A dos de chameau, avec un baril de pétrole et une bouteille de jus de dattes comme arme, nos généraux montreront au monde entier comment notre brave monarchie a battu le terrorisme saharien et sahélien dont l’armée est composée de jeunes adolescents chétifs, des femmes voilées intégralement et de conducteurs de 4X4 rouillées.

    Et une fois par semaine, notre grand roi Bouteflika 1er nous organisera les «généliators» : des combats meurtriers qui opposeront les officiers les plus intelligents et plus musclés. A la fin, le perdant doit mourir en emportant avec lui une interview exclusive et une mallette de devises sponsorisée par les cambistes du Square Port Said. Et ben oui, dans la monarchie algérienne impopulaire et mafiocratique, le peuple s’amuse bien, beaucoup et tout le temps. Nous aurons une Grande Mosquée pour prier et le vendredi, nous laverons nos péchés de la semaine. Quand il y aura des crues et des intempéries, nous dirons que c’est à cause du Maroc, maudit ennemi. Et quand il fait chaud et la sécheresse frappe durement, nous dirons que c’est à cause du Qatar, maudit petit royaume concurrent.

    Oui, l’humour sera la constitution nationale. Au moins avec le rire, nous allons soulager nos consciences. Après tout, nous les Algériens, nous avons tellement ri lorsque nous nous sommes moqués des centrafricains pour avoir applaudi leur empereur Bokassa 1er nous avons tellement ri lorsque nous avons ridiculisé les congolais qui soutenaient Mobutu l’excentrique, nous avons tellement ri lorsqu’on se payait la tête des libyens qui glorifiaient Kadhafi, nous avons tellement ri des autres qu’aujourd’hui, nous pouvons amplement et facilement rire de nous-mêmes. Alors apprenons encore à bien rire parce qu’après le 17 avril, nous n’aurons que le rire comme planche de salut…

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    Les Algériens aiment l’humour. Ils le cultivent comme un paysan vietnamien qui plante son riz et veille jalousement sur lui. De l’humour, les algériens ils n’auront que ce refuge pour les prochaines années si la situation perdure ainsi. D’ailleurs, il vaut mieux en rire qu’en pleurer. Cet adage pourrait devenir la devise nationale de notre nouveau pays. Oui un nouveau pays qu’on appelle «La monarchie algérienne impopulaire et mafiocratique». 

    Ce nouveau pays verra le jour le 17 avril prochain. Ce jour-là, nous aurons officiellement un roi, une cour de larbins serviles à son service, des vizirs aux ventres bedonnants qui ressemblent étrangement à nos barils de pétrole qu’on exporte à l’étranger. La monarchie pour système politique, les Algériens ont déjà un avant-gout de ce régime avec 15 ans de règne d’un seul et unique homme. Bouteflika deviendra Bouteflika 1er. Et de son palais d’El Mouradia, situé sur les hauteurs d’Alger, il se contentera de régner puisqu’il ne veut pas, ou ne peut pas, on ne le sait pas encore, gouverner. Pourquoi gouverner lorsqu’on peut régner ? Bouteflika 1er laissera le pays entre les mains d’une clique appelée prochainement les «mafiocrates». Une élite diplômée des grandes écoles internationales de la triche, fraude et détournements de fonds. Un parcours d’excellence unique en son genre. Rares sont les pays dans le monde qui peuvent se vanter de disposer d’une telle élite aussi formée. Une élite qui nous offrira une justice exemplaire. Une justice toujours empressée de déclarer illégales les grèves, contestations et protestations. Une justice intraitable avec les déjeuneurs du Ramadhan, les couples illégitimes, les romantiques des forêts et parkings, les caricaturistes impertinents, les facebookers qui s’essaient aux photomontages. Mais une justice compréhensive avec les ministres accusés de corruption, de détournements et dilapidation de deniers publics. Ne vous inquiétez pas la monarchie algérienne vous épargnera le poids lourd d’une justice indépendante et transparente.

    Elle vous protégera contre les injustices grâce à la clairvoyance, omniscience et toute puissance de notre souverain Bouteflika 1er. Pas besoin effectivement de juges encombrants. Lui seul sera le juge qui saura discerner le mal du bien. Lui seul vous dira quand tel ou tel général est digne de respect ou pas. Ah les généraux, ne les oublions pas. Dans notre future monarchie impopulaire, ils joueront un rôle fondamental : ils inonderont les colonnes des journaux par des tribunes salivantes ou le bon peuple, le sujets de sa majesté, apprendront toutes les mauvaises manières qu’il ne faut pas imiter. Les généraux feront également des spectacles publics pour remplacer les clowns, une denrée dans notre beau pays. Des spectacles où nous allons rire comme des baleines lorsqu’on les écoutera dire que nous veillons sur la stabilité du pays, sur sa sécurité, sa dignité et ses richesses. Des généraux humoristes et One Man show que nous allons pouvoir exporter à l’étranger pour soigner notre soft power. Un humoriste gradé et avec une casquette militaire pour raconter aux européens sinistres ses aventures dans le désert algérien à traquer les méchants terroristes. A dos de chameau, avec un baril de pétrole et une bouteille de jus de dattes comme arme, nos généraux montreront au monde entier comment notre brave monarchie a battu le terrorisme saharien et sahélien dont l’armée est composée de jeunes adolescents chétifs, des femmes voilées intégralement et de conducteurs de 4X4 rouillées.

    Et une fois par semaine, notre grand roi Bouteflika 1er nous organisera les «généliators» : des combats meurtriers qui opposeront les officiers les plus intelligents et plus musclés. A la fin, le perdant doit mourir en emportant avec lui une interview exclusive et une mallette de devises sponsorisée par les cambistes du Square Port Said. Et ben oui, dans la monarchie algérienne impopulaire et mafiocratique, le peuple s’amuse bien, beaucoup et tout le temps. Nous aurons une Grande Mosquée pour prier et le vendredi, nous laverons nos péchés de la semaine. Quand il y aura des crues et des intempéries, nous dirons que c’est à cause du Maroc, maudit ennemi. Et quand il fait chaud et la sécheresse frappe durement, nous dirons que c’est à cause du Qatar, maudit petit royaume concurrent.

    Oui, l’humour sera la constitution nationale. Au moins avec le rire, nous allons soulager nos consciences. Après tout, nous les Algériens, nous avons tellement ri lorsque nous nous sommes moqués des centrafricains pour avoir applaudi leur empereur Bokassa 1er nous avons tellement ri lorsque nous avons ridiculisé les congolais qui soutenaient Mobutu l’excentrique, nous avons tellement ri lorsqu’on se payait la tête des libyens qui glorifiaient Kadhafi, nous avons tellement ri des autres qu’aujourd’hui, nous pouvons amplement et facilement rire de nous-mêmes. Alors apprenons encore à bien rire parce qu’après le 17 avril, nous n’aurons que le rire comme planche de salut…

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    Bouteflika, DRS et autres… Mais où est l’Algérie dans tout ça ? Purges, luttes de clans, coups bas, après fièvre présidentielle, le débat s’enflamme. Pour qui ? Pour quoi ? A voir. Car au-dessus du volcan sur lequel dansent ces langues de vipère, il y a surtout le simple Algérien et l'Algérie en tant que pays en désordre que le pouvoir a tendance  d'oublier.

    Certains se frottent les mains. Bouteflika n'a pas pu débarquer Toufik, l’inamovible patron du DRS. d'Autres s’inquiètent du pouvoir grandissant du clan présidentiel. Décidément, le pays croule sous les vents contraires. Les coutures de la présidence algérienne cèdent une part de la galette pour laisser place aux règlements de comptes les plus indécents (Benflis-Saâdani-Toufik-Belkhadem et Ouyahya). On n’est plus dans la pratique politique. L’a-t-on été un jour d’ailleurs en Algérie ? La situation est extrêmement grave. A tous points de vue. Quelques éléments d’appréciation

    Attaque contre le DRS..Le pouvoir n’a décidément pas de boussole morale. En pleine présidentielle, le débat avait viré sur le règlements de compte en haut lieu. Cependant, les algérien en avaient envie d’être naïfs et se poser la question : pourquoi donc Saadani et les autres soutiens patentés du président s’attaquaient au lieu et au moment au général Toufik ? A-t-il donc commis une faute grave pour subir les foudres du patron controversé de l’ancien parti unique? Car toutes les raisons qu’avancent aujourd’hui Amar Saadani pour mener à l’échafaud le patron du DRS ne sont plus de saison. A leur époque Saadani n’avait rien dit. Saadani glisse argue que Bouteflika veut mettre un terme à l’intrusion du DRS dans la politique. Bonne nouvelle pour les algériens. Mais il se trouve qu’on quelque peine à le croire pour plusieurs raisons. Car s’il y a bien un pouvoir qui a neutralisé les partis réfractaires, paralysé le pays, interdit d’activité les syndicats et fermé l’espace public au débat c’est bien le président Abdelaziz Bouteflika

    Ça va barder, le général Toufik mobilise ses troupes ..Patron du DRS depuis 1990,les algériens peuvent comprendre, des sorties médiatiques d’avant la présidentielle de Ammar Saâdani, le Super-Drabkiste de L’FLN, qu’il faille que celui qu’on surnomme « Rab Dzaier » le général Toufik parte à la retraite et cède sa place à un cadre plus jeune. Mais ces mêmes algériens se posent la question : Pourquoi Bouteflika ainsi que le vice-ministre de la Défense dont l’âge dépasse de loin celui de Mediene ne se retirent-ils pas eux aussi ? Leur départ tous comme ils sont aurait été une entreprise de salut public pour laisser place nette à une présidentielle transparente, qui injectera du nouveau sang au palais d'ElMoradia et à la caserne Ben Aâknoune. Elle serait salué par tous les patriotes sincères. Cependant on en est loin de cette hypothèse. Car ni le président, ni son vice-ministre ne sont prêts à pantoufler tranquillement chez eux. C'est dire qu'il y a décidément quelque chose de malsain qui frappe l'Algérie

    Plusieurs agents, officiers de terrain et sous officiers à la retraite, ayant appartenu au DRS, ont été rappelés sous les drapeaux ces derniers mois. Ce rappel a pour origine la volonté de l'état-major de la centrale de renseignement de récupérer des effectifs pour faire face à la véritable saignée qui a touché le service ces derniers temps. Chargés de missions sur le terrain, ces agents ont reçu la consigne de rester à l'écoute de la situation et de l'ambiance dans leurs quartiers de résidence et de se préparer à toute éventualité.

    Les plus valeureux d'entre eux ont été affectés à la formation du personnel opérationnel. Selon un ancien officier du DRS, rapporté par la presse algérienne «la mise à la retraite subite et les changements dans l'organigramme ont complètement chamboulé les effectifs, des structures ont été vidées de leur élément humain au profit d'autres qui ne faisaient pas sens il y a juste quelques mois. Selon ce même ex-officier : un besoin en hommes expérimentés s'est très vite fait ressentir au DRS, les retraités étant un gisement précieux. Et d'ajouter que cette campagne anti-DRS couplée aux risques de déstabilisation liés à la présidentielle d'avril, font que, plus que jamais, les services secrets algériens doivent occuper le terrain et couper la langue à tout jongleur politique algérien qui laisse beaucoup entendre sans mâcher ses mots.

    Bouteflika, un mandat à vie..Bouteflika est toujours en convalescence. Il est aphone, aucune déclaration ni sortie publique depuis plusieurs mois. Le concerné lui-même s'est dotait d’outils d’amplification pour que les visiteurs étrangers peuvent facilement écouter ce qu’il leur murmurera. Qu’importe, d’autres s’occupent de le faire à sa place, mais protocole oblige (première séance d'essai faite avec le premier ministre Tunisien). Pourquoi diable cette agitation à reconduire un homme septuagénaire, malade qui a lui-même reconnu que son temps est révolu (Tab Jnanou)? . La stabilité avancée comme argument ne tient pas la route, étant alibi de consommation locale. Pire il y a quelque chose d’inconséquent, de cynique dans cette entreprise qu’un cercle restreint s’emploie à imposer au pays. Et pourtant il recommence à manœuvrer pour dribbler davantage les plus dingues des siens, en remerciant les algériens de l'avoir choisi pour éviter "la fitna" disait-on en son nom? dans un pseudo-conseil de ministres.

    Et encore le Maroc!.. Le proverbe Marocain nous rappelle que «ايموت الكلب أوماينساش هريرو» En effet, même dans la tourmente, les algériens ne manqueront aucune occasion pour calomnier et injurier le Maroc en l'impliquant dans des affaires de l'imagination algérienne. Ainsi, pour préparer leur opinion publique locale à accepter les retombées et le "fait accompli" après le passage de Bouteflika à la quatrième vitesse, les autorités algériennes inventent une nouvelle histoire pour entacher davantage l'ennemi potentiel de l'Algérie, qu'est toujours le Royaume du Maroc.

    Cette fois-ci sur "une Arrestation présumée de ressortissants marocains qui tentaient, selon la version algérienne, de semer les troubles dans l’Est AlgérienSelon la presse locale algérienne engagée à cette fin, les services de sécurité de la wilaya d’Annaba auraient réussi, je cite :  à démanteler un réseau marocain qui tentait de semer la violence et les troubles dans les wilayats de l’Est, je dis bien l'Est et pas dans l'Ouest qui serait proche du Maroc et tangible à ce genre de forfaits (dans les wilayats de Taref, Tebessa et Annaba..), par la distribution de tracts appelant à la violence et aux actes de vandalisme pour dit-on, «le changement du régime en Algérie».

    Pour que cette information soit une information digne de foi, les algériens l'attribuent à des sources sécuritaires qui en font le lien entre ce réseau présumé, dont trois éléments viennent d’être arrêtés, et la recherche du reste des éléments se poursuit; avec un ressortissant marocain, sans donner de nom ou d'identité!, arrêté à Annaba au début de l’année en cours, et emprisonné, pour atteinte à la "sûreté de l’Etat" et entrée au territoire algérien sans visa réglementaire.Fin de citation.

    Quoi qu'il en soit, la rédaction est dans l'obligation de rappeler dans ce sens aux algériens, qu'ils soient officiels ou officieux qu'on en a marre de leurs fourbies et leur bluffs, et qu'il y a leu de tenir compte de la sentence mentionnée,en arabe, dans le topique de la page d'accueil du  blog, que nous leur réservons dans de pareils cas. Je les invite à jeter un coup d’œil sur notre train de force, qui cache sûrement un autre, et à regarder cette vidéo pour se crever les yeux. ( http://youtu.be/K61oyE_7kDE ) .Bonne lecture et à très bientôt.

                                                                          Très cordialement,Chihab25

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    1.- Les hististes sont les ex-jeunes chômeurs algériens qui gardaient le pied de murs au coin de la rue et qui forment la majorité de l'armée algériennes (des drogués et psychotropes)