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  • Quand l’Algérie souffre de vertiges chroniques et contrainte d'accoucher plus de bâtards pour fraterniser son Polisalgérien..!

     

                                                                                           drapeau-du-maroc-image-animee-0008  

                                                                                                                                                                                          La Kabylie en ébullition

    Une Algérie, à taille de nain.. Tout d'abord, pour mettre l'Algérien à sa taille de mérite, prenons note du témoignage virulent de l'ex-président de France en périodes difficiles, le général Charles De Gaulle, metteur en scène et réalisateur de la création de l'Algérie Française. Dans une déclaration à la Radio et Télévision Française (RTF), le 16/9/1959, dans laquelle il donna un témoignage très embarrassant aux Algériens. Pour l'écouter, preuve à l'appui, visionnez la vidéo en bas de la note :

    «Depuis que le monde est le monde, il n’y a jamais eu d’unité, ni, à plus forte raison, de souveraineté Algérienne. (-Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes syriens, Arabes de Cordoue, Turcs, Français-) ont tour à tour, pénétré le pays sans qu’il y ait eu à aucun moment, sous aucune forme, un État algérien». 

    Appel à témoin.. Le pouvoir d'Alger se croit capable de propager le goût amère son tabac à chiquer (chemma) au voisinage et que le fait de créer du vide des entités Étatiques, à l'instar du Polisalgérien, qui fait l'essentiel et la priorité dans l'agenda Algérien de d'hostilité contre tout vent Marocain. Tandis qu'en face, les leçons emblématiques de retenue enseignés par le Maroc, incarnent une tradition profondément ancrée dans l’essence de la culture Marocaine depuis nos ancêtres.

    Culture de responsabilité initiée par les civilisations qui se sont succédé au Maroc, depuis que «le monde est le monde» et perpétuée sous le règne de l'actuelle Dynastie Alaouite et cela reflète la pérennité et la profondeur du legs crédible et intellectuel du Marocain, loin de déclin ou de déni qui pourraient entacher sa parole d'homme responsable. 

    Le régime d'Alger se base avec fidélité sur le mot d'ordre et la feuille de route hérités du bar de jeux présidentiel d'AlMouradia, là où le maudit Boukharouba, que la malédiction divine soit sur lui, se contentait, dans son vivant, de consommer son Vodka, usant de sa mentalité de malade contre un Maroc fort, là où il a perdu honneur, chez un cafetier de Nador, qui lui avait retirer le permis de conduire, en guise de caution de paie des consommations.

    C'était là où se trouvait sa vérité,  là où il passait, en arrière poste, sa révolution pendant la guerre d'Algérie, au moment où des concitoyens Algériens tombaient en vrac pour une naissance césarienne d'une Algérie. Une entité qui sortait de nulle part et qui collait à des morceaux ethniques errants pour se constituer,  telle qu'elle du nul comme Etat à part entière.

    Ainsi, l'Algérien se trouve en état propice d'agir de manière maladroite, sans se prévoir les conséquences qui pourraient en découler de ses actes.. Un seul exemple de merde qui cache plusieurs d'autres, rend l'ingratitude plus prompte à contourner l'air de l'Algérien, surtout s'il était en poste de commander ses concitoyens "doigts bleus¹".

    Par sa nature hypocrite, il n'est pas crédible, se comportant en "staff" et même trouve-t-il confortable de jeter à la largeur du mur, la fraternité et générosité Marocaines d'autrefois, par lesquelles était entouré durant ses peines de guerre, niant le soutien des Marocains à l'Algérie. En tout état de cause, il ne procréer que le déni du régime Algérien, face à l’implacable réalité du leadership Marocain.

    Silence, on suffoque..! Les décideurs en Algérie se faufilent et se cachent dans l'obscurité totale. Est-ce possible d'exploiter le «Rif Marocain» aux fins de se venger du Maroc?.  Je le pense pas, étant qu'il n'y avait jamais eu un jeu pareille, car qu'il n'y avaient pas à ce jeu Algérien de vrais Rifains. Je veux dire par là, les descendants de Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi.

    Les dynamiques géopolitiques de l'Afrique du Nord sont souvent complexes et imprévisibles, avec des histoires entrelacées et des ambitions politiques qui se déroulent dans l’ombre. Un acteur clé dans ces manœuvres subversives, est ce qu'on appelle (-la DRS-), dont les opérations ayant eu, après caval-retour de (Toufik) de nouveaux badigeonnage et crépissage s’étendant bien au-delà des frontières Algériennes.

    Des révélations ont mis en lumière la charge personnelle d'un capo-général dit (MJ) dans un projet à remodeler le paysage politique du Rif Marocain où il tenterait un dernier baroud, celui du déshonneur de son pays.

    Le Rif Marocain, c'était sa nouvelle trouvaille, après avoir été emprisonné en (2019-2021) pour ses liens avec la mafia Algérienne. Après sa libération, il aurait commis des crimes selon les militants de la Kabylie pour regagner la confiance de ses supérieurs, ce qui aurait conduit à sa nomination à la tête des services secrets à l’étranger.

    Selon un électronique intelligent, seuls quelques hauts responsables étaient au courant du dossier concernant le Rif Marocain, maintenu secret sur ordre son ordre. Ce dernier, se fait impliquer personnellement dans le projet d’indépendance d'une pseudo «-République au Rif Marocain-», a été critiqué même par la présidence d'AlMouradia pour ses échecs au Mali, au Niger et au Sahara Marocain.

    Des Agents Drsistes Algériens ont effectué plusieurs voyages entre Paris et Amsterdam pour rencontrer, dit-on, des militants radicaux Rifains!, des réunions de travail intensives, nécessité d'appui oblige (!) se sont tenues dans plusieurs villes Néerlandaises en vue de l’inauguration d’un bureau représentant l'imaginaire «Parti national de Rif » à Alger.

    Des liens ont déjà été tissés avec certains individus Rifain en Catalogne en Espagne, au Pays Basques et Îles Canaries, ainsi qu’en France et en Italie, dans le but de donner à (-ce nouveau bâtard Algérien-) l'éligibilité politique et pourtant, Alger n'aura jamais la susceptibilité de perturber la progression du Maroc.

    Ce caporal, qui cherchait à sauver sa face avant les présidentielles, est obsédé par le modèle du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK), qui le ridiculise depuis des années. Il souhaite créer au Rif Marocain un mouvement similaire au MAK en Algérie afin de minimiser ses cuisantes défaites, si ce n’est pas trop tard. et pouvoir , en parallèle, désorienter, voire détourner l'opinion publique locale Algérienne de l'entêtement et la sévérité Kabyle et du danger de soulèvement «Touareg de Ghardaia» au sud de l'Algérie.

    Dans tous les cas, les mutations géopolitiques régionales obéissent à d’autres critères et les stratégies à l’ancienne méthode particulière du régime sont désuètes et rejetées par l'Algérien, s'il en existe vraiment un peuple portant ce nom!, qui ne se préoccupe, en premier lieu, que de la merde que  lui provoque les fils d'attente, pour s'en procurer rien que des futilités alimentaires.

    Après avoir utilisé le Polisario, sur près d’un demi-siècle, pour porter atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc, le régime militaire algérien sort la carte du prétendu «Parti national rifain», dont il a ouvert e, le régime militaire algérien joue celle du séparatisme dans le Rif».

    Pourquoi jouer carte brulée?.. Un ex-ambassadeur du Maroc en Algérie (2016/2021) avec sa longue carrière de journaliste, de député, puis de diplomate,  grand connaisseur des relations entre les deux pays livre aux journalistes son éclairage sur la décision algérienne d’ouvrir à Alger, une représentation, d'un prétendu «Parti national rifain».

    Pour les experts de la politique d'autruche Algérienne. «La doctrine de l'Algérie, depuis son indépendance en 1962, est fondée sur la haine du Maroc, sur les tentatives de porter atteinte à son intégrité territoriale». Il n’est donc pas étrange que ce régime revienne, chaque instant à la charge, ce qui rappelle d’autres précédents épisodes où la même junte a tenté de détourner les manifestations à caractère social dans le Rif pour les mêmes fins.

    Revenons sur cette énième contradiction du régime algérien, qui classe le Mouvement d’autodétermination de la Kabylie en mouvement terroriste et, en même temps, abrite le Polisalgérien, descendant très bas pour toucher le fond de ses bêtises, qui y sont condamnables par tout esprit sain dans ce monde.

    Pour résumer et conclure cette mésaventure, le régime algérien ne fait que changer de fusil d’épaule : la carte du Polisario grillée, il sort celle du Rif Marocain, dans l'espoir de tordre le cou aux vérités historiques, dont l’attachement, à travers des siècles, des Riafas à la Monarchie Marocaine et à ses institutions.

    La magie se retourne donc, contre le magicien. En ouvrant un bureau de représentation de la présumée «République du Rif» à Alger, le régime militaire a jeté de l’huile sur le feu en ouvrant plusieurs fronts à l’intérieur. Ferhat Mehanni, président du MAK a ainsi prémédité le ton et décidé de proclamer son État Kabyle en avril prochain, attendant que le bombe à retardement de l’Azaouad-Touareg, explose et fasse de même.

    La rébellion Touareg : Le régime algérien, dirigé par la junte militaire, a franchi un cap dangereux dans son hostilité contre le Maroc en fondant ce qu’il appelle le «Parti national Rifain» et en le dotant d’une représentation à Alger. Dans cette tribune, l’ancien ambassadeur du Maroc à Alger, revient sur les dessous de cette nouvelle escalade.

    Avant de franchir ce pas, le régime militaire algérien, à travers ses services du renseignement extérieur, a essayé d’utiliser le Hirak du Rif, en 2017, pour tenter d’affaiblir le Maroc et attenter à son intégrité territoriale. Dans cette optique, il a financé la création de comités pro-Hirak du Rif dans plusieurs capitales européennes, en célébrant ce qu'elle considère unilatéralement, 101ème anniversaire de la proclamation de la prétendue «république du Rif».

    En septembre 2023, et toujours à Bruxelles, les services du renseignement extérieur algériens ont créé le pseudo «Parti rifain» pour lequel ils ont mobilisé une poignée de personnes sans réelle influence au Rif et qui sont réputés pour être proches de l’ancien parlementaire Rifi Saïd Chaôu qui porte également la nationalité Néerlandaise et qui fuit la justice Marocaine, pour trafic de drogue. Cet individu essaie depuis de donner à ses activités hostiles au Maroc une teinte politique.

    Cet individu, s’exprimant dans une déclaration sur la télévision officielle algérienne, a demandé aux locataires d’El Mouradia de réserver à son parti le même traitement, et les mêmes faveurs dont bénéficient les séparatistes du Polisario, en l’occurrence des centres d’accueil et d’entraînement au maniement des armes en plus de la reconnaissance ouvertement de la prétendue république du Rif.

    Ce qui revient à dire que les médias officiels algériens ont relayé des appels à commettre des attentats contre le Maroc. Preuve à l'appui, l'implication d'Algériens dans l'attentat de l'hôtel d'Asni à Marrakech en août 1994 se versait dans ce sens, malgré les démentis, à répétition, du régime Algérien qui tentait de couvrir le soleil par le tamis défectueux, surtout quand Tebboune demandait au Maroc, dès sa première montée au créneau présidentiel, des excuses à ce sujet, sans savoir, les ingrédients.

    Les chercheurs gardent à l’esprit ses déclarations en 1947 à la radio égyptienne quand il a affirmé qu’il n’avait aucune ambition pour s’emparer du trône et moins de créer un état indépendant du Royaume Marocain. En 1960, pour ceux qui ont la mémoire courte, le même Mohamed Ben Abdelkrim El Khattabi avait reçu, chez lui au Caire, Feu Mohamed V qui lui avait accordé une retraite prélevée sur le budget de l’État alors que ses deux fils, avaient rejoint les rangs des Forces Armées Royales.

    En accueillant à bras ouverts et en finançant les prétendus séparatistes rifains, le régime algérien ne fait que s’enfoncer dans ses propres contradictions et se dévoiler devant l’opinion internationale. C’est ce même régime qui, en mai 2021, avait classé comme organisation terroriste le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK) qui milite pour l’indépendance de plusieurs régions avant d’en emprisonner plusieurs de ses leaders et des militants M'zab et Chaouia qui en avaient l'intention d'appuyer et suivre la Kabylie dans sa révolte.

    Il est donc regrettable de voir le régime algérien, aveuglé par sa haine du Maroc et ne reconnaissant pas les sacrifices consentis par le Royaume au profit de la révolution algérienne depuis le Rif qui lui avait servi comme base arrière, placer cette même région au centre de ses prétentions en faisant appel à des individus liés aux trafiquants de drogues pour ennuyer le Maroc.

    L'Algérie et ses sales boues.. L'escalade politique et médiatique avec l'Algérie a atteint un niveau inédit, après l'annonce de l'ouverture d'un bureau de ce qu'on appelait la République marocaine du Rif, dans la capitale algérienne. Une décision qui, selon certains analystes, est intervenue en réponse, bien que tardivement, aux nombreuses déclarations de l'ambassadeur Marocain Mr.Omar Hilal sur le (-soutien ou non-) du Maroc au droit à l'autodétermination de la «Kabylie» en Algérie, déclarations faites aux Nations Unies et dans diverses enceintes politiques internationales, considérant à l'époque qu'il ne s'agissait que de riposte des Marocains, des réseaux sociaux, à la position Algérienne et à ses mélanges de populations de Tindouf.

    Une sorte d'hystérie est revenue à la diplomatie Algérienne, après un profond sommeil sous le régime Teflikian, qui avait en théorie les qualifications pour contribuer à la résolution de ce conflit Maroco-Algérien qui savait bien, plus que d'autre, qu'il est artificiel, mais il ne l'a pas fait, malgré qu'il était natif du Maroc et avait de fortes raisons et de relations directes avec les élites et les partis politiques Marocains, en plus de sa connaissance des détails du dossier, puisqu'il était ministre des Affaires mensongères de l'Algérie lors de l'escalade du conflit en 1975.  

    La diplomatie Marocaine en face, a su, en parallèle, éloigner ce conflit du cadre régional arabe (la Ligue arabe), au sein duquel aucune solution n'était passible à prévoir ou à préconiser, en raison de la paralysie qui caractérisait et caractérise cette organisation. Devant l'inefficacité de cette instance, dit-on arabe, certains pays arabes et Africains, les plus crédibles, revenant à la raison, ils ont traité différemment ce dossier, prenant l'initiative d'ouvrir des consulats symboliques au Sahara Marocain, confortant la position Américaine exprimée par le président Trump avant son départ de la Maison Blanche.

    Auparavant, rappelons-le, et contrairement aux normes de la diplomatie responsable, la corruption  avait imposé ce dossier à une Afrique corrompue, avec tous les conséquences préjudiciables qu'il a provoqués au Maroc, ce qui a contrarié le Maroc à boycotter et claquer la porte de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA) pendant des années. 

    La junte Algérienne n'a pas trouvé de solution à ses conneries anti-Marocaines lorsque Tebboune est arrivé, accidentellement,(!) au pouvoir, ce qui a donné l'impression,  à juste titre, que le conflit est au-delà des individus, il est plus étroitement liée à priori, à des tendances d'opportunité, disant très influentes en Algérie,  pour se préserver et ne pas toucher  aux intérêts, tels qu'ils sont perçus et défendus par des crises entre clans.

    La preuve venait, volontairement, se dévoiler évoquant la pression des casernes sur la marche de la haute hiérarchie de commande…«Le refuge au Maroc d'Amar Saâdani, l'ex-président de l'écurie parlementaire Algérienne, prouve l'ampleur de crise et de mauvaise gouvernance que connait le cercle de décisions d'Alger».

    À l'heure où se dressent des indicateurs très négatifs, comme ceux liés aux taux d'armement de l'armée du général-pisseur - au détriment du bien-être du peuple Algérien - indicatifs qui pourraient inciter certains partis à penser à la force militaire - que de bloquer, éventuellement, de manière prolongée les tentatives de réconciliation (Ma-Dz) faisant immobiliser l'ouverture des dossiers de divergence en suspens qui stagnent au point mort, depuis des décennies.

    Les experts de la chose Algérienne mettent un point-barre à la frivolité du pouvoir Algérien, résultant qu'en l'absence actuellement d'hommes politiques crédibles en Algérie, censés porter ce terme, la bande actuelle dirigeante d'Alger n'y peut rien, utilisant la propagande en s'autoproclamant, meilleure en politique et en démocratie, protégée de tout risque, de subversion ou de séparatisme.

    Cette junte de  simples-caporaux, au service de leurs maitres Français, ignore ainsi, ou faisant semblant d'ignorer, les risques de soulèvements internes de la Kabylie et la rébellion de Ghardaia et de l'éveil des esprits non-clandestins, exprimant leur désir de claquer la porte ouvertement, exigeant se détacher d'une Algérie, de honte, devenant la terre la plus bannie que jamais.Bonne lecture.

                                                             Cordialement,Chihab25

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    ¹c'est l'homme-âne qui vote sans objectif...