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Ce que je crois - Page 34

  • Maroc-Algérie : Ni le ridicule, ni la stupidité, ni la honte ne tuent plus. Mais pour le pouvoir d'Alger, la liquidation physique est toujours de mise en Algérie!

     

                                                     

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    Renaissance d'une haine..Je ne suis pas analyste du genre de profs experts de sciences politiques qu'invite souvent aux débats Medi1-tv. en l'occurrence MM. Elhoussaini, Slimi, Kassouri, Benhamou, Boukhobza, Atlati et Ajlaoui. Même si ma simplicité en analyse et en développement de faits s'impose, j'ai l'impression que je peux moi aussi, en simple observateur officieux, éplucher la chose Algérienne de façon aussi proche du sujet et d'y participer au dépouillement de la sale peau du pouvoir Algérien, laissant la diplomatie à ses experts et l'officialité aux officiels. 

    Faut-il noter tout d'abord, que ce Abdelmajid Tebboune,dont il est question, qui se proclame unilatéralement en soi-disant président de l'Algérie n'a pas vécu, en tant qu'adulte révolutionnaire les peines de la révolution Algérienne pour l'indépendance. Il n'a même pas eu l'opportunité de déguster le beau temps fraternel que vivaient au Maroc les personnalités historiques Algériennes,quand ils en avaient besoin de soutien, d'aumône et de supplices.
     
    En l'occurrence:(..FerhatAbbas,Benyoucef Benkhadda..Mohamed Kheider,Mohamed Boudiaf, Hocine Ait Ahmed,Rabeh Bitat,Krim Belkacem et Abdehamid Mehri..) pour ne citer qu'eux. Ils étaient dignes d'éloges et de respect des Marocains pour leur crédibilité. Sans pour autant donner d'importance aux autres maudits qui se sont accaparé illégalement du pouvoir (Ben Bella, Boukhrouba et leur gamin Bouteflika).
     
    C'est un faux Mojahid de dix milles autres, ne méritant pas l'honneur, ni lui ni ses manipulateurs militaires en coulisses, d'être aux rangs de ceux, supposés crédibles, censés avoir de l'abnégation pour reconnaître l’hospitalité généreuse que leur offraient les Marocains durant le soulèvement de l'Algérie pour l'indépendance.
     
    Je me rappelle bien, j'étais encore petit à l'école. Dans un grand village quelque part (!) un de mes plus proches se portait volontairement régisseur pour la collecte d'argent au profit de la révolution, de ce qu'on appelait, consciemment, à l'époque (55/62) nos "frères Algériens", accueillant, en parallèle, dans la plus part des temps,chez lui et chez les voisins,des groupes de rebelles Algériens étouffés de fatigue.
     
    Cette pièce manquante au CV de Tebboune fera de lui évidemment,un simple élément veilleur sur l'ingratitude algérienne héritée de génération à l'autre, qui ne pourra, pratiquement que suivre les traces, de mauvaises fois, de ses prédécesseurs..

    Imaginez, un homme de 74 ans perdu dans Alger-capitale, désespéré et assez habile, ayant réussi à déjouer toutes les barrières pour s'approcher à Mma Mansouria, la mère des Ait Bouteflika et y accéder aux privilèges d'autorité, pour simplement avoir léché les bottes à Said (le conseiller du président-mourant) qui le récompensait pour ses services et son rapprochement, par de hauts postes de responsabilité de l'État, dont ministre de l'habitat au gouvernement d'un des premiers cons qui cramponnent actuellement à la prison d'Al Harrach d'Alger, puis chef de gouvernement.

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    Il a pu entrer ainsi dans le tarmac corrompu du système, marcher en direction de l'amitié du sérail. Une classe d'alcool, de cocaïne, de mauvaise gouvernance et de Chemma, ce que lui avait permis de monter facilement les escaliers de la passerelle, et s’est introduit dans l’appareil d'hypocrisie, a ouvert la porte de la cabine de pilotage et s’est installé là où il a pu arriver, bénéficiant, comme d'autres thuriféraires, de sa portion d'enrichissement illicite.

    Il faisait en parallèle de son mieux pour s'approcher de la junte de généraux qui  commandaient pratiquement l'Algérie. Il s'est tombé, pas par coïncidence, mais par choix de duplicité, sur un septuagénaire que lui, un certain Gaid Ahmed Salah, un général mis au touche par les caporaux de France. Il  est arrivé avec celui-là à tisser une forte amitié de vieux et de partager les mêmes confidences en séances de distraction arrosées d'alcool, de cigares et de tabac à chiquer. (chemma)

    Trafic d'influence.. Ce duo appuyait sur tous les boutons, poussaient toutes les manettes, mais sans résultat jusqu'au 12/12/19 quand ils ont réussi à faire enfoncer "légalement" les portails  du palais d'AlMoradia d'Alger et de démarrer le moteur d'une présidence en panne depuis plus de cinq ans.Une période pagaille connue par ses acteurs de mauvaise fois, ayant enfanté un autre trio féroce de mal envers le Maroc, en l'occurrence, les maudits "Ramdane Lahmamra, Abdelkader M'sahel et Gaid Ahmed Salah".

    Ce soi-disant président a dû rêver s’amuser avec son parrain Gaid Ahmed Salah à l'instar de jeux de cartes, mais la volonté divine vient de lui perturber la donne. Elle voulait autre chose pour lui, que d'aller ensemble, aux pas de haine et d'hostilité, armés d'hypocrisie, probablement avec un planning portant davantage préjudice aux intérêts du Maroc.

    Le dicton nous apprenait dans ce genre de situation, que «le bon Dieu aurait vu ce que nous ne pourrions pas voir». Du fait qu'à l'improviste, la mort lui amputait, son pair vieux-général qui souhaitait  de son coté avoir une vitrine légale pour allait avec la veuve Algérie vers l’abîme plongée.

    On a tous rêvé un jour de piloter un avion, de s’envoler et de partir vers des horizons, plus beaux, plus cléments. Lui, rêvait simplement d'accentuer le ton d'harcèlement hostile envers le Maroc. C'est d'ailleurs le menus éduqué, malheureusement, aux générations post-indépendance.

    Il ne savait pas comment procéder. Il aurait pu marcher le long de l’autoroute Est-Ouest de Boutef, encore inachevée à cause de l'ingérence d'ingrédients corrupteurs. il aurait pu se glisser dans les cervelles de ses prédécesseurs pour garder la cadence de la mentalité algérienne malade, faisant de ses priorités, seul mot d'ordre : concurrencer le Royaume du Maroc et faire régresser ses progrès, en lui créant surtout dans ses provinces du sud un mélange de mercenaires, de séparatistes et de narcotrafiquants de drogues et d'armes.

    Non, lui qui ne fait pas grasse-matinée, a voulu aller vite et retrouver l'orgueil et l'arrogance de la nature humaine-dz. Pour cela il n’y a que le gigantesque appareil de l'Etat. A aucun moment il n’aurait pensé aux difficultés étatiques, ni à l’impossibilité de faire voler ce gros porteur de mal. Il avait son rêve à réaliser. Mais il n’avait pas les mêmes repères d'un bon conducteur, vivant normalement, dans cadre d'honnêteté".

    Lui, tôt, veut faire le gang s'adressant de façon suspecte au peuple Algérien, à la rue , qualifiant  par ses premiers bla-bla de président le régime Marocain, seul ennemi menaçant (sic).

    Or, les Algériens qui refusaient de faire partie de cette fournée de désespoir et de malheur, se sont retrouvés, du jour au lendemain, devant un ogre déterminé à dévorer leur chair, sachant comment il s’est injecté frauduleusement dans l'espace leur malheureux destin. La presse locale de trottoir se réjouissait déjà de l'appeler "le président" continuant de rôder dans les cieux d'illusion.

    Mon lectorat me permettra certes de dépouiller la peau de cet autre démon, se déguisant en pseudo-président Algérien qui vient juste de tomber du ciel. Profitant d'une longue vacance de pouvoir qui perdurait en Algérie depuis 2015, date du premier dérapage (VCR) de Bouteflika à Val-De-Grace à Paris.

    Ce énième connard émergeant en l'absence d'élites, de forte puissance politique, monte avec "succès" l'escalier de la haute magistrature de l'Algérie, que lui tenait solidement l'armée Algérienne sous la supervision de son ami Gaid Ahmed Salah, l'homme fort de son temps, qui meurt subitement dans des circonstances douteuses, qui laissent beaucoup à déceler, malgré la thèse officielle avançant une mort naturelle.
     
    Cependant, son élection ne va pas faire baisser le ton ni les bras du hirak et la mort subite du Gaïd Salah ne va pas changer la donne non plus en Algérie. Et pourtant le contesté locataire du palais d'Al Mouradia d'Alger commence déjà les jeux,à petits pas, marchant aux pas d'incapacité mentale de la minorité de dupes qui l'a porté à la présidence de l'Algérie au détriment de la grande majorité silencieuse des Algériens.
     

                                                                  tebboune

    Surprise du siècle.. Ça y est, on commence par un "premier succès". Il vient de récupérer l'équivalent de 100 dh de l'argent dilapidé. Tebboune se lançait vite en piste de rap, faisant le semblant de retrouver 200 dinars Algériens oubliés, disait-il, dans la poche gauche de sa doudoune.C'est pas mal pour commencer à récupérer l'argent dilapidé par tous (!) depuis la naissance en césarien de l'Algérie en 1962.

    C’était sa promesse de campagne avec celle de gracier son fils impliqué dans  l'affaire de 701 kgs de cocaïne. Tebboune ne cesse de le répéter “je vais récupérer l’argent volé par Al Issaba, j’ai des idées”. Une semaine après son investiture officielle, il annonce sa première bonne nouvelle, et la dernière de l’année 2019.

    Le président presque élu n’a pas qu’un cadavre dans le placard. En effet, en plus de Bouteflika et de son programme, Tebboune possède une garde-robe bondé d’habits dont l’étoffe n’est pas celle d’un président. Hiver oblige, il décide de récupérer sa jolie doudoune bleue que lui avait ramené Kamel El Bouchi de France, le narcotrafiquant de drogue dans l'attente de lui livrer aussi sa part de cocaïne pour enthousiasmer la famille.

    En la dépoussiérant pour paraître élégant aux yeux des cons qui ont voté pour lui, il retrouve une pièce. C’est grâce à Dieu. Je ne m’y attendais pas à vrai dire de trouver cet argent. Je pensais que la récupération de l’argent perdu allait prendre plus de temps, presque aussi longtemps que les cinq mois de hirak. Bref, je découvre fortuitement un billet de la banque nationale, c’est très bon pour la suite. J’y arriverai, c’est certain” s’enthousiasme-t-il.

    Ce coup de grâce semble avoir motivé ce faux arrivant au pouvoir mafieux d'Alger. Il envisage d’approfondir ses recherches. Pour ce faire, il sort les gros moyens : Nouer un foulard, maudire diable avec la technique des ciseaux et faire du yoga pour essayer de se rappeler où est l’argent dilapidé au long des deux décennies de Bouteflika.

    C’est dingue, j’aurais pu retrouver de la coca, ou un chewing gum écrasé mais tomber sur 200 da c’est un signe divin, un message pour me motiver dans ma quête de retrouver les 1000 milliards disparus durant l'ère confortable de son excellence Bouteflika.” ajoute-t-il.

    Si Tebboune réussit à trouver 200 dinars par jour…l’argent volé par ses potes sera récupéré d’ici 3 millions d’années lumières. C’est la durée moyenne qu’un souscripteur Algérien, demandeur de logement doit attendre avant d’avoir son appartement, puisque en Algérie, la moelle se fut consommée par le fort et la futilité par les faible. C'est la jurisprudence et la devise d'un régime qui se dit "démocratique socialiste et populaire" selon la constitution-chiffon Algérienne.

    Quoi qu'il en soit il est le 8ème président Algérien face à la rue. Les sept autres sont dans l’ordre : Gaïd Salah, ex-chef d’état-major, Saïd Chengriha, commandant des Forces terrestres qui le remplace,dit-on, par intérim, Bouaza Wassini, directeur de la Sécurité intérieure, et 4 autres militaires parmi lesquels figurent un simple adjudant.

    En fait, cet sous-officier qui fait véhicule-ballet de service, l'unique qui fait le bon et le mauvais temps dans toute la hiérarchie militaire Algérienne. C'est le Service Général qui fait plier à genoux n'importe quel général, étant le teneur unique de toutes les ordonnances de corruption au sein de l'état mineur de l'armée Algérienne.

    Mais peu importe. C’est Tebboune que les Algériens allaient bouffer tous les soirs aux Journaux Télévisés, en remplacement de vert-kaki disparu. Si brouter du Tebboune les réjouit, sachant qu’il est de la même tranche d'âge que ses prédécesseurs qui souffraient de sécheresse mentale et qui ont été tous politiquement fripés, surtout envers leur ennemi potentiel de l'ouest, le Maroc. leur cheval de proie, qui leur serve à anesthésier et enrouler tout un peuple de dingues. 

    Pour son premier entretien en tant que président, Tebboune a choisi d'évoquer le Maroc en ligne de mire de son agenda pour prouver à ses commanditaires qu'il serait, en plein capacité mentale et physique, sur la même longueur d'ondes des militaires et qu'il marcherait avec fidèleté  la feuille de route hostile au Maroc qu'ils lui soumettront.

    Pour se faire, il reprenait le cumul de défaites Algériennes devant le Maroc, citant en particulier les plus douloureux qui tiennent fortement à cœur de tout Algérien. Mais il s'est trompé de texte. Il inverses la donne. Au lieu de s'excuser aux Marocains pour la déportation de l'Algérie par le maudit Boukharouba en 1975 de 360 milles âmes innocentes Marocaines, en riposte à la marche verte..

    Il accusait le Maroc d'avoir déclenché la guerre des sables en 1963, au moment où l'Algérie pansait encore ses plaies de la guerre de révolution, et bloqué et maltraité 350 milles algériens à cause des actes terroristes d’hôtel Asni de Marrakech en juin 1994...faisant le semblant d'ignorer que pareils cas et devant l'ampleur de choc de l'attentat dont l'Algérie était clairement impliquée,  le Maroc à cette époque-là, avait instauré le visa, uniquement pour tout nouveau algérien désireux renter au Maroc.

    Malheureusement pour lui, la mort surprise de son parrain et commendataire militaire perturbait subitement ses mensongères et ses conneries envers le Maroc. En respect aux morts, tout le monde rentre, à cet effet, dans l'ordre de funérailles, meublant ainsi, ce que les Algériens appelaient le "carré des martyrs"  au cimetière d'Al Aâlia d'Alger.

    Un carré, voire un espace pourri qui renferme dans ses faubourgs que les maudits ingrats qui se sont succédé à la présidence de l'Algérie et aussi ceux que la duplicité Algérienne considérait de "personnalités nationales" ayant contribué, d'une façon ou d'une autre, à l'indépendance de l'Algérie et de sa sauvegarde. 

    Fier de sa nouvelle loge Tebboume voulait se légitimer et multiplier ses sorties médiatiques par interviews, tentant convaincre, en quelque sorte, la rue qui le rejette avec tout le reste du système Boutef. Il laissait entendre "qu'il veut bien rompre avec les anciennes pratiques.Mais pas trop quand même. Il se montrait volontiers  qu’on arrête de l’appeler “فخامته”, gardant tout le reste.

    Du coup, qu'il est conscient de son illégitimité ? Et puis après tout se concentrait autours des contes, faisant effet directe au fond d'une opinion assoiffée de liberté, se proclamant être bien mieux que Bouteflika. Moi au moins je suis vivant lançait-il devant un parterre d'opportunistes et de thuriféraires...puis ajoutait en temps très assurant..J’ai été élu par des Algériens. Pas très nombreux. 5 ou 6  généraux certes. Mais ça reste des Algériens,

    Un curieux de la rue Algérienne commentait l'événement aux réseaux sociaux..«hein bien ? Cela a été fait dans la transparence lors d’un conclave aux Tagarins¹. Cela étant dit, considérant ce pion du système Bouteflika comme président de tous les Algériens, malgré les vendredis Algériens agités. N’oubliez pas que même les morts ont voté pour Gaid-Tebboune et point-barre (!)». 

    Premier acte de Tebboune au profit de l'armée, même ce fut difficile et amer. Désigner le remplaçant du Gaid Salah à la tête de l'état major. Mais pour les Algériens qui, dans leur grande majorité n’ont pas voté, (les chiots d'une chienne sont les mêmes).Il s'agit de général Said Chengriha, le plus ancien au grade de général-major (de corps d'armée au Maroc) et le plus hostile au Maroc.

    Tebboune n'a pas de grandes lignes dans son programme, sauf d'accentuer le ton de haine et d'hostilité envers le Maroc qui, pour ces frivoles gouvernants Algériens, continue à dominer le leadership de la région devant l'Algérie des martyrs..!

    Sur la libération de détenus d’opinion, il ne savait quoi dire au sujet, enveloppant légèrement une réponse ambiguë. "Oui, certainement. Mais je ne sais pas si je vais le faire au cours de mes 4 mandats. J’hésite encore. Là, j’en suis qu’à mon premier. J’ai tout le temps pour réfléchir à cette question".

    Mais pour supplier la faveur de la rue et rectifier les erreurs commises par son ex-parrain militaire (Gaid Salah), et dans l'espoir, parait-il, d'éviter une deuxième saison du hirak, il aurait donné l'ordre (ordure) de libérer tous le détenus politiques, porteurs d'opinion et de drapeaux berbère, Il vient, tout juste de surprendre la sérail par la libération de 80 manifestants sans aucun jugement, dont le leader du hirak, un homme de quatre vingt ans.(Lakhdar Boureguaa).

    La pagaille qui sévisse actuellement en Algérie impose trop d'interrogations ! Ce président fantoche aura-t-il le courage d'ouvrir les dossiers de corruption et d'abus d'autorité des fils de son parrain Gaid Salah?. Pourrait-il, pour se refaire une virginité aux yeux du hirak, les traduire en justice pour le crime commis à l'encontre du Wali de Annaba? comme  faisait son parrain Gaid  qui osait jeter en prison son commanditaire Said Bouteflika qui avait fait de lui le vice-ministre de la défense le moment où il allait l'envoyer à la retraite? seul l'avenir répondra certes à ces interrogations.

    Sur les réseaux sociaux, un Algérien indigné de la situation dans son pays surprenant la toile par une information humoriste indiquant que : "Tebboune crée un ministère de la patate, de la frite et de la réforme gargotière. "Le général Said Chengriha, le nouveau pion de l'armée déclaré sacré champion du monde au concours!

    Cette plaisanterie m'oriente vers le concret et m’arrêter aux cotés de M.Abderahim Manar Slimi qui analysait, en quelque sorte, au cours d'un débat télévisé le remplacement de Gaid Salah par ce Chengriha.

    C'est vrais, dans son discours d’investiture, "le président Tebboune" avait dévoilé ses priorités pour les cinq prochaines années. “J’ai deux objectifs : 1. Instaurer une nouvelle république 2. Baisser le prix de la patate. Mais commençons par le prix de la patate si vous le voulez bien” avait-il déclaré, sous un tonnerre d’applaudissement de cons.

    A ce stade de l’affaire, la présomption d’instaurer une nouvelle république en Algérie ne doit pas nous faire oublier la présomption de sa sincérité de continuer à aboyer, sur même longueur d'ondes de haine et d'hostilité de ses prédécesseurs contre le Maroc. C’est la moindre des décences.

    Le plus gros chantier qui attend Abdelmajid Tebboune est d’ordre social. Le peuple Algérien ayant été divisé par les basses manœuvres d’un clan du pouvoir, il se voit aujourd’hui composé de ce que les Algériens appellent "les Novembris, référence à novemvre54 révolution et les Badissis à Abdelhamid Ben Badiss. la personnalité,disant historique, qui meuble seule l'histoire de l'Algérie. Afin d’éviter une guerre de sécession version-dz, l’ancien ministre de Bouteflika choisit «la méthode choc» pour désamorcer la situation. La technique est simple, nommer des thuriféraires à des postes prédestinés à des badissis novembris et inversement.

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    Gaffe de nomination..Le chef d’état mineur, comme on commence à le désigner là-bas, poursuit ses nominations abasourdissantes, et frappe fort, imposant aux Algériens son "Made Tebboune". Les Algériens prédirent de façon humoriste la nomination de la controversée Naïma Salahi (Nabila Mounib de l'Algérie à version Pjdiste) au poste de wali de Tizi Ouzou, rapport le journal électronique Algérien. (AlManchar!).

    Cette dame de dérapage raciste, présidente d'un microscopique et insignifiant  parti politique (PEP- parti de l’équité et de la proclamation), n’ayant plus aucun parrainage et dépourvue de tous les privilèges dont elle jouissait, Tebboune doit généralement la  récompenser pour son refus de soutenir Bouteflika après l'avoir  limogé de son poste de ministre de l'habitat et aussi pour mettre terme à l'ambition séparatiste de la Grande Kabylie.

    Cette dame suscite déjà l'indignation des réseaux sociaux. En effet, comment peut-on nommé celle qui s’autoproclame ennemie numéro un des kabyles wali à Tizi. “C’est un peu comme nommer Marine Le Peine à la tête d’un centre d’accueil pour migrants. C'est une femme de politique d'illusions et de radotage capable de roder et convaincre même Israël selon la conviction de Netanyahu.(photo)

    Menu populaire d'abord.Enfin je termine par une conclusion d'humour, en quelque sorte. Je  constate à cet effet que les Algériens commencent à se moquer de leur mi-président, inventant des conneries à son égard. Un journal électronique  local de renommée satirique rapporte que la présidence-Tebboune avait fait de ses priorités des mesures d’apaisement tant attendues par les masses populaires à savoir : «Libération des détenus d’opinion? Non. Ouverture du champ médiatique? Non plus. Ébouillantage public de Naima Salhi ? N’y comptez pas». Pour montrer sa bonne foi, le président Tebboune tape sur les cordons faisant échos au sein d'une société dépourvue d'ingrédients gargotiers,  annonce une baisse des prix des sandwiches et frites-omelette, mettant ses connaissances de gouvernance au niveau de notre Chef-cuisinier Moha.

    Quelques jours après avoir pris la décision de plafonner le prix de la pomme de terre, le nouveau président réaffirme son projet féculent. Une écurie à bestiaux humains appelée " Haut Conseil de Sécurité", réuni par Tebboune, s’est prononcé sur l’opportunité de réduire les prix de sandwich frites-omelette. Le sandwich cashir offert par Gaid Salah et ses acolytes, à la solde de perturber les contestations de la rue est tombé en désuétude après le départ de Bouteflika. 

    A ce propos, le Haut Conseil de Sécurité “a décidé d’une batterie de mesures à prendre pour la régulation des prix, particulièrement en ce qui concerne les sandwiches frites-omelette, et de manière générale la patate”, précise un communiqué de la Présidence, dans la perspective d'étudier prochainement la possibilité de réexaminer les prix des sandwich chawarma.

    Ce que je crois en définitive, la mascarade présidentielle en Algérie a bien enfanté Abdelmajid Tebboune. Selon la majorité des Algériens ayant boycotté le scrutin du 12 décembre, il est tout simplement un nouveau pion engagé pour jouer la marionnette de l'armée, pas un président légitime, tant qu'il est sorti des urnes de casernes bourrés de bulletins de vote de R'guibat Echarq et de séparatistes, déguisés en votants de la wilaya de Tindouf, affirme une source locale.

    Dans les autres wilayas du pays, selon la même source d'information, des électeurs opportunistes auraient substitué les réticents Algériens. Il est donc désigné par procuration militaire pour maintenir le système tel qu'il est.Vu l'ampleur de pratiques de corruption suivies dès l'aube de l'indépendance jusqu'ici par les clans du pouvoir en Algérie.

    Le nouveau imposé président n'y pourra rien changer d'une habitude qui est devenue constante pour le cercle de décideurs. Au contraire, il serait probable de prédire une éventuelle démocratisation de ce phénomène de corruption durant toute nouvelle ère de changement, quelle soit de ce président contesté ou d'autre à venir.

    A l'évidence, personne ne pourrait préluder de changements profonds face aux militaires qui coupent, pratiquement, le souffle aux élites politiques toujours absentes et à chaque fin de mandat présidentielle, c'est le peuple qui s'en chargera de compter les pots cassés sans pouvoir, pour autant, pousser de cri d'effroi, du fait que le régime persiste à rester militaire et la route pour arriver à l'État civil restera longue à faire. Bonne lecture.

                                                            Cordialement, Chihab25

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    (¹. Une sorte d'architectures et d'habitations classiques)

    Polémique autour de la suppression de vice-ministre de la défense en Algérie pour écarter l'armée de la politique....(Hicham Aâboud)