NiMaroc-Algérie : Si les bases militaires font peur à nos ennemis Algériens, nous les installerons même en virtuel !
من أقوال الحسن الثاني...كنا لا ننتظر من العالم ان يعترف بمغربية الصحراء، بل كنا ننتظر منه إن يعرف مع من حشرنا الله في الجوار
feu Hassan II au front
Brève introduction.. Par la rédaction (20/02/2021).
Tout d'abord,attention à la marche fragile de l'échelle mensongère Algérienne. (on dit en dialectal populaire au Maroc : «la corde de mensonge est courte». Face à ces précieuses paroles de feu Hassan II, les Algériens ont concocté de leur coté, tous les malheurs du monde pour ouvrir une fenêtre sur l'atlantique ! Mais hélas, ils n'ont vainement collecté que de l'humiliation universelle pour tout ce qu'ils ont causé de mal au voisinage Marocain depuis plus d'un demi siècle.
Ils ont oublié de prouver leur identité en tant que nation dans l'entourage, cherchant d'imposer, par entêtement et orgueil, une existence dans l'histoire contemporaine, tant qu'ils n'ont pas d'histoire ancienne, s'acharnant, d'un coté, de citer un certain Ben Badiss jumelé d'autres charlatans d'Algérie Française, Messali Lhaj et à l'ouest Cheikh Bouâmama.
Dieu merci,l'Algérie en tant que régime de mafia est en train de subir les conséquences de sa haine, elle est au bout d'eboulement étatique, arrivant au compte à rebours pour descendre à l’abîme plongée de la merde.
En preuve, n'importe quel observateur constaterait que les sorties médiatiques de celui qu'on appelle la-bas le président (Tabboune) , prouvent qu'il arrive en retard, à ce niveau de parler, de conter et de s'écouter, voire capable même de prévenir la violence de celui qu'il considère d'adversaire et ennemi à l'ouest Algérien (le Maroc). Lui qui venait juste de sortir d'une grotte très lointaine d'Algérie, ne meritant même pas, l'honneur de se ressembler aux jeunes garcons pieux cités au Saint Coran (سورة الكهف).
Il prend comme alibi de justification d'hostilité Algérienne envers le Maroc l'imposition de visas aux Algériens par le Maroc à la suite de l'attaque terroriste meurtrière à l’hôtel Asni à Marrakech en juin 1994, perpétrée par des Franco-algériens qu'ayant avoué clairement qu'ils étaient engagés par le DRS, (services secrets du général Toufik).
A cette époque, Tebboune était parait-il, hors couverture pour convoiter ce qui s'est passé à ce moment-là, d'autant plus était un vaut-rien qui se réjouissait par haine et par orgueil de "l’algérien" qu'il soit, de reprendre une affaire dépassée par d'autres plus flagrantes, endossées par la diplomatie d'autruche de son pays au dossier du Sahara Marocain en particulier.
Aujourd'hui, il se présentait être le bien placé pour porter la tache orgueilleuse du pouvoir, défendant l'ingratitude Algérienne dans une Algérie qui perdait, malgré elle, ses hommes crédibles d'autrefois qui ne laissaient pas le couloir vide pour ce genre de connards politiques émergeant subitement en haut de sphère du pouvoir pour gouverner tout un peuple-troupeau dans une veuve Algérie ayant perdu ses hommes de valeur.
A mon avis, imposer le visa aux Algérien par feu Hassan II, c’était une question de souveraineté d'Etat. Le Maroc a agi ainsi pour limiter le terrorisme chez soi, c'est-à dire en Algérie qui connaissait en ce moment une vague de terrorisme interne baptisée en "décennie noire", après le complot électoral du 11 janvier 1992 mené contre le FIS par les généraux Khaled Nezzar, les deux Amari et Mohamed Médiane, alias Toufik..
Une période de troubles qui aurait enfanté le terrorisme et moissonné pas moins de 250 milles morts et disparus, victimes d'assassinats et de règlement de comptes dans un ton particulièrement "sanglant" de désordre, de panique désobéissante, de part et d'autre, portant largement signe.."Qui tue qui?".
Sachant que nul ne pourrait bafouiller la souveraineté nationale Marocaine en temps de règne de Sidna Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assister, ou entacher, encore plus, la gigantesque Monarchie Marocaine, ni par les sorties Tebboune ou de ses parrains militaires.
Et pourtant..Le Royaume du Maroc est l'unique état de valeurs dans la région, son historique basé sur l'authenticité et la grandeur datant de la pierre taillée. Les Algériens, en tant que nouveaux venus à l'histoire contemporaine devront se laver les mains avant de feuilleter les pages de son historique plombé d'honneur et de gloires.
Comment feu Sa Majesté le roi Hassan II a soutenu la stabilité du Maroc durant son règne en ordonnant l'installation des bases américaines et les protégeant même. Au cours de l'année 2020, il y a eu un retour fort en Algérie pour parler du Maroc, pas au sujet du Sahara Marocain, mais aussi de ses acquis diplomatiques, dernièr en date la reconnaissance des USA de l’intégrité territoriale du Royaume.
De mon côté je cherchais de localiser pertinemment à travers cette espace bleu tout sujet marquant Marocain qui pourrait, inciter en quelque sorte, davantage la haine et l'hostilité de notre voisin de l'Est. et je n'ai trouvé que du cinglant qui les pousserait à aboyer encore plus sur le passage de la caravane Marocaine qui s'est installée confortablement dans une simple caserne aux alentours de Jerada dans l'oriental Marocain. Si cette simple caserne militaire devrait enflammer leur haine aiguë, il y aura bien lieu de leur citer encore plus que ça.
Tant que le pseudo-général Chengriha, devenu accidentellement l'homme fort de l'Algérie, joue, en comparse, le malin avec ses dingues militaires, se comportant vachement en intelligent avec l'opinion publique Algérienne, j'aimerais lui rappeler le coté militaire fort du Maroc qui le fait trembler avec ses acolytes déserteurs des champs de bataille qu'ayant fait preuve de faiblesse subissant des défaites douloureuses devant la force de l'armée Royale, tout au long de six décennies ou presque de gifles et de tentions.depuis la guerre des sables d'octobre 1963 à nos jours.
Au début de cette année, des médias ont lié le fait que Sa Majesté le Roi n'avait pas reçu le secrétaire d'État américain, Mike Pompeo lors de sa dernière visite au Maroc porteur probablement du souhait américain d'établir des bases militaires au Maroc sur la base d'un précédent accord franco-américain signé en décembre 1950.
Analyse d'apprenti..Je ne suis pas analyste ni expert en défense militaire, mais ce que je cois en ce sens, c'était une fausse supposition journalistique, tant que le président Donald Trump aurait bien mesuré ses mots avant de déclarer la Marocanité du Sahara et avait promis uniquement l'ouverture de consulat pour contrôler et favoriser le business des USA dans le continent Africain.
Selon des électronique, ici et là, qui font scinder l'important de leurs articles , la moitié pour le grand public et la suite pour les payants, laissaient entendre qu'il y avait de fortes discussions sur l'intention de l'Amérique de transférer sa base militaire d'Espagne à Dakhla.
Le nom d'une ville merveille au Sahara Marocain, devenue la destination des investissements pour les businessmans et un lieu de plaisance pour les sportifs étrangers et en parallèle la bête noire pour Alger depuis les Crans Montana de l'ambassadeur Suisse, sans porte feuilles, Mr Jean-Paul Carteron. Je dirais même bien avant, depuis le rapatriement de la région d'Oued Eddahab-Lagouira à la mère patrie le Maroc en août 1979.
Cela étant inquiète nos ennemis et déséquilibre leurs calculs, qu'ils soient au nord ou à l'est et les amène dans un état de panique plus que de doute.L'Algérie a mobilisé à cet effet tous ses jockey de déformation et de propagande pour aboyer fort, cette fois-ci, contre le déploiement par les autorités Marocaines de contingents militaires dans l'oriental et le Sud-est du Royaume pour bien sécuriser les frontières et dans le but de :
Stopper l'immigration clandestine à partir de l'Algérie qui pousse les subsahariens à envahir davantage le sol Marocain et de serrer en parallèle l'étau autour des mouvements de musculation-Chengriha et des manœuvres de provocation de la racaille dite (l'armée algérienne!) qui ne cesse de jouer aux carrés (jeux de filles) limitrophes des frontières Marocaines.
Certains ont même tenté de sauter dans l'histoire des bases américaines au Maroc considérant que l'accord américano-français de 1950 était toujours le cadre juridique des bases au Maroc, tandis que d'autres avançaient que l'évacuation du Maroc de bases américaines aurait été opérée après que l'Amérique ait impliquée, d'une façon ou d'une autre, dans la tentative de putsch menée par le maudit général Oufkir contre feu Hassan II en août 1972.
Selon mes modestes recherches, j'essayerais de me baser sur le conte d'un hebdomadaire Marocain un ex-politico-journaleux, pas pour divulguer un secret qu'on en a pas, mais pour vexer davantage, je ne dirais pas par hypocrisie "nos frères", mais nos ennemis Algériens. Si on croit cet hebdomadaire et ses vérités perdues, on apprend via sa dernière édition (1545) qu'il se réjouissait de présenter de nouvelles données à ce sujet, basées, selon sa rédaction, sur des documents américains publiés pour la première fois.Les conférenciers de Casablanca
Immédiatement après son indépendance le Maroc chercha à entamer des négociations avec les États-Unis afin de retirer leurs bases, et malgré le sérieux du Roi Mohamed V à cet égard, des personnalités d'opposition Marocaine ont pris l'évacuation des bases étrangères du Maroc comme leur slogan et les négociations ne tardèrent pas, le Roi Mohamed V et le président américain Eisenhower concluaient en 1959 un accord pour évacuer progressivement les bases américaines du Maroc. Quant à feu Hassan II, il a permis le maintien de ces bases au Maroc par accord verbal avec le président Kennedy.
Après la mort de Mohamed V et l'accession de Hassan II au trône, Hassan II effectuait une visite en Amérique afin de rencontrer le président américain John Kennedy, et soulever la question des bases américaines au Royaume. La visite royale s'est couronnée par l'annonce par l'Amérique d'évacuer les bases qu'elle avait établies au Maroc, mais feu Hassan II lui avait donné une autre chance consignée en mémorandum préparé par le BIR, (le Bureau Américain de renseignement et de recherche).
Un quotidien Marocain du 3 novembre 1970, affichait à la une «Maroc/Kénitra et le roi», a révélé qu'après l'annonce américaine au sujet des bases au Maroc, le jeune Monarque, feu Hassan II confirmait au président américain John Kennedy, la potentialité de maintenir ses bases militaires au Maroc indéfiniment jusqu'en 1970 sur aucun accord écrit incluant leur statut juridique.
Sur la base de cet accord verbal, les bases américaines au Maroc ont eu la permission de s'installer en premier lieu à Kenitra, qui était un centre de commandement pour la formation de l'US Navy avec des installations de communication sensibles dans la région de Bouknadel à Salé, ainsi qu'un autre centre à Sidi Yahya Al Gharb. Le document contenait également des informations uniques sur les bases militaires étrangères au Maroc, et confirmait que c'étaient les seules qui existaient à l'époque dans le monde arabe.
Le mémorandum, qui affirmait que les sentiments personnels du roi envers l'Amérique, remontaient à une expérience d'enfance inoubliable, à commencer par sa présence à la réunion d'Anfa en 1943, groupant son père, Le Roi Mohamed V,et les présidents des grandes puissances au monde où il avait gardé des souvenirs de cette réunion car l'Amérique était la première puissance occidentale à exprimer son intérêt pour l'indépendance du Maroc.
Et depuis puis, le Roi feu Hassan II avait donné une grande valeur à l'amitié avec l'Amérique. En outre, il était indiqué dans le même document américain disqualifié que le Roi gardait de bons souvenirs de ses contacts avec les Américains à la base de Kenitra, lorsqu'il était encore prince héritier à la fin des années cinquante avec son frère et ses sœurs.
Et comme de nombreux pays arabes, africains et non alignés critiquaient le Maroc pour la persistance des bases américaines au Maroc, feu Hassan II avait eu recours à leur confrontation de manière intelligente, il a donc ordonné que les drapeaux Marocains soient placés sur les trois bases américaines. dans le pays, ainsi que de placer les insignes du drapeau Marocain sur la tenue des soldats américains stationnés dans ces bases américaines, quant aux privilèges obtenus pour le maintien de ces bases au Maroc, étaient le soutien politique américain au royaume, et quelques aides économiques.
En effet, feu Hassan II avait eu trop de pression; interne et externe à ce sujet? À la fin des années soixante du siècle dernier, les relations maroco-américaines étaient entrées dans un tunnel étroit, en raison de la diminution d'aide économique et militaire américaine, et des pressions anti-américaines, hissées par l'opposition Marocaine interne qui avait soulevé des slogan électoraux à ce sujet, malgré le soutien royal, qui semblait faire face à un avenir incertain et pourrait mettre le Maroc en position contradictoire à ses valeurs de souveraineté, car sa détermination à préserver les bases américaines le rendait vulnérable aux vagues de critiques de l'opinion publique Marocaine.
En conséquence, il était indiqué à l'époque que l'état de mécontentement qui apparaissait dans les relations maroco-américaines en raison éventuellement d'une baisse d'aide économique et militaire américaine, aurait pousser Feu Hassan II à faire pression, du moins sur le papier, à la présence américaine au Maroc. Les signes en étaient apparus à travers la tolérance du Roi qui était pour que la presse d'opposition locale commencerait à publier des articles critiquant la présence américaine au Maroc, donnant indication qu'au cas où aucune nouvelle offre américaine de coopération militaire et économique ne serait pas satisfaisante, le Maroc pourrait être contraint de pratiquer d'autres pressions supplémentaires sur l'Amérique, en augmentant les restrictions sur ses bases.
Dans cette situation polémique, le maudit Oufkir sortait du coté du diable et déclara aux Américains: je cite : "Tant que je serais ici, vous n'aurez rien à craindre concernant vos bases sur le sol Marocain". Par contre, la pression Royale sur l'Amérique continuait d'augmenter tout au long de l'année 1970, afin d'imposer de nouvelles restrictions sur ses bases militaires au Maroc. mais le vent soufflait au détriment des navires comme le citait le proverbe arabe.
En juillet 1971, un événement risque s'est produit dans l'histoire du Royaume. Le général AlMadbouh et son élève le colonel Aâbabou viennent d'Ahemoumou jouer le malin et attaquer, le jour de l'anniversaire du Roi, le palais Royal de Skhirat qui était le théâtre de tentative de coup d'État, ce qui a abouti à la nomination surprise d'Oufkir au poste de ministre de la défense.Le Roi feu Hassan II confia à ce dernier l'ordre de réorganiser l'armée, mais dès que Oufkir prenait les règnes , il a noué discrètement parait-il, des contacts avec les américains pendant un mois.
L'ambassadeur américain accrédité à Rabat, (Rockwell Stewary), résumait les contacts et entretiens avec Oufkir dans un message daté du 19 août 1971, soit un mois après la tentative du putsch manqué, rapportait le document secret américain disqualifié le 6 septembre 2007 portant le titre le «Général Mohamed Oufkir, le chef de la politique militaire Marocaine et son impact sur les relations américano-marocaines.
Feu Hassan II détenait des informations indiquant qu'Oufkir allait contre le courant. Tant que l'Américain est au Maroc il souhaitait une équipe consultative d'experts militaires semblable aux experts américains présents en Iran.
Lors d'une autre réunion tenue par Oufkir avec un responsable militaire américain, il soulevait avec lui la question des bases américaines au Maroc, lesquelles Oufkir avait fait allusion et que les Américains en aient besoin en temps de crise. Oufkir donnait le feu vert laux bases américaines sur le territoire du Royaume. En ce qui concerne celle de Kénitra Oufkir maintenait parole franche: ((Tant que je suis ici, vous n'aurez pas de soucis sur le sol marocain au détriment la politique du Roi, qui exprimait sa volonté de se débarrasser des bases américaines.
Il n'a pas fallu longtemps à Oufkir pour tenter un coup d'État contre feu Hassan II. Divers médias nationaux et internationaux accusaient directement les Américains de soutenir ce coup d'État, et précisément à partir de la base de Kénitra, La réponse d'Hassan II fut décisive face à ces accusations, lors de la conférence de presse tenue le 21 août 1972. un journaliste lui posait la question suivante:
«Votre Majesté, des accusations ont été avancées contre un grand de vos collaborateurs, faisant allusion à certains de la base de Kenitra. Quelle est votre réponse Majesté à ce sujet? le Roi répondait : (( Je dis à ce sujet, que la technologie n'appartenait plus à l'État puissant, même les pays sous développés ont tendance à cette technologie. Les experts américains sont ici pour nous former en aviation et au transport, ils ne peuvent donc pas être accusés d'une affaire comme celle-ci, sinon ça serait une sorte de jugement improvisé)).
Bien que Hassan II ait acquitté l'Amérique du soutien à la tentative de coup d'État contre lui, il chargea le ministre des Affaires étrangères, de l'époque Mr. feu Ahmed Tayebi Benhema, de se rendre en Amérique et rencontrer le secrétaire d'Etat Américain. Lors de la rencontre, le responsable marocain abordait l'affaire des bases américaines au Maroc, au moment où le Maroc se préparait à l'époque à lancer la levée d’état d'urgence imposé depuis 1965 au Maroc, et d'établir un gouvernement d'union nationale incluant l'opposition Marocaine de gauche, soulignant, entre autres, que le plus important pour le Maroc était de voir l'évacuation, pure et simple, des bases américaines.
Mr. Benhima affirmait aux américains que la conjoncture mondiale avait changé depuis 1963, année au cours de laquelle les bases américaines étaient établies par déclaration conjointe entre Hassan II et John Kennedy, et à la lumière de cette conjoncture, le Maroc voulait une opportunité précoce de reconsidérer les bases américaines, inutiles et que l'enjeu n'est plus lié à la fermeture complète, mais plutôt à la réduction do nombre de trois à deux bases)).
Le Maroc ne bénéficiait d'aucun privilège de la présence des bases américaines sur son sol, même indirectement, car les américains aux bases recevaient directement leur approvisionnement en vivres d'Amérique.
Le ministre Marocain déclara aux journalistes qui insistaient à l'interviewer que lorsque de participation du Roi à des rencontres ou sommets africains ou des non alignés, il était souvent soumis à de vives critiques pour avoir permis la présence de bases américaines sur son sol, soulignant que leur présence au Maroc entrait dans l'ordre de défense et de soutien à la Monarchie Marocaine, contrairement aux autres bases américaines en Espagne, qui existaient pour autres choses. Mais dans le cas du Maroc, l'existence de bases américaine au Maroc était proprement due à l'amitié Maroco-Américaine, une amitié très ancienne allant depuis Sidi Mohamed Ben Abdallah et Abraham Lincoln.
Pour ce fait, feu Hassan II décida donc de voir l'Amérique garder ses bases au Maroc et d'en bénéficier en contre partie de son programmes «GEODSS» qui veut dire en français (Système d'Espace Electro-Optique Lointain basé au sol) Le Maroc et l'Amérique ne sont pas revenus cette question pendant quatre ans, en raison de la préoccupation des autorités Marocaines du Sahara Marocain.
Cependant, ce sujet est revenu à la discussion et cette fois pas du côté Marocain, mais d'Amérique exprimait alors sa volonté de fermer définitivement la base de Kenitra, pas pour des raisons politiques ou militaires, mais pour des raisons purement technologiques.
Au milieu des années soixante-dix du siècle dernier, l'Amérique commençait à chercher à apporter des changements à sa technologie maritime, et dans ce contexte, le ministère américain à la défense menait des recherches et études dans ce domaine, en particulier sur les bases américaines au Maroc. en remettant la responsabilité de gestion au département d'État américain.
Après l'avoir étudié, Alfred Atherton, Sous-secrétaire d'État aux Affaires au Moyen-Orient et de l'Asie du Sud (avril 1974 à avril 1978) présenta à cet effet le 29 novembre 1976 au secrétaire d'État Henry Kissinger, un mémorandum, intitulé «Fermeture du complexe de Kénitra et création d'autres installations militaires américaines au Maroc».
Le mémo conseillait également que l'ambassadeur américain soit chargé de contacter le Roi Hassan II et de l'informer de la décision de fermer la base américaine de Kénitra, et de l'intention des États-Unis d'établir une station «GEODSS», une «zone de lancement pour les vols humanitaires vers l'Afrique et l'utilisation des eaux territoriales du Maroc dans les exercices de la force amphibie de la flotte américaine.
Quant à la création de la " GEODSS "sur le territoire marocain, le Roi exprimait son admiration pour celui-ci, et s'est félicité de sa mise en place au Maroc, exprimant son regret de l'absence d'installations méditerranéennes pour les sous-marins nucléaires américains, contrairement à l'Union soviétique qui en avait en Méditerranée.
Profitant de l'occasion, feu Hassan II confirmait qu’il était prêt à recevoir des experts américains pour étudier la possibilité d’établir des bases sous-marines tout au long de la côte Marocaine de la méditerranéenne dans un ou plusieurs sites, indiquant qu’il existe de nombreuses zones protégées le long de la côte et ce serait idéal pour de telles installations.
Ainsi, l'Amérique a mis en œuvre son plan d'évacuation de la base de Kenitra qu'elle a fermée le 30 septembre 1978, et l'a compensée par la mise en place de programmes technologiques de l'armée américaine, en plus d'établir des centres de formation des forces navales et aériennes américaines, et ceci était en contraste avec ce que certains médias avaient promu, du fait que Hassan II aurait immédiatement après la tentative de coup d'État de Skhirat en 1971 exigé le maintien des bases américaines au Maroc. mais dans une autre façon.Bonne lecture
Cordialement,Chihab25
-------------------------------------------------------------------------------------------------