Coup de force MA/DZ - Page 17

12h37 15 juil. 2009

Bouteflika Briguera son dernier mandat interminable

Bouteflika briguera son dernier mandat interminable.. tandis que le fond public de l'algérie s'évapore au clair de la lune dans le ciel d'ElMoradiah !

(En s'appuyant sur le support d'une bande de 4 pour conforter sa fortune,celle de sa famille et de son entourage en dépit des lois et des voix algériennes trés fatiguées).

Certains composants de la société civile en Algérie commencent à murmurer le degré d’abus d’autorité atteint par l’entourage de Bouteflika,qu’il soit un entourage familial ou partisan, qui s’annonce surtout ce début du 3° quinquennat du nain Papa-Delta au pouvoir sur place. Des voix algériennes au niveau local se sont élevées pour dire que le régime algérien est bel et bien un régime dictateur original, un sauvage, mais ce qui est sûr, c'est qu'il ne méritait pas de continuer comme ça. » Soit pour nous marocains, soit pour la majorité des algériens en fugue en Europe. Nos voisins de cette sale Algérie, exprimaient leur tristesse devant l’incapacité de leur peuple entièrement calciné par la fumée d’une vie prospère jamais acquise, sauf dans les masses médias gouvernementales .Un peuple qui se retrouvait prisonnier de promesses de liberté démocratique,et de prospérité dès les premiers pas de Bouteflika au pouvoir,et qui a été subitement trouvé mort, carbonisé dans ses lieux, sans jamais avoir le droit de demander quoi que se soit,devant l'ampleur du sinistre autoritaire qui sévit encore et domine toujours l'algérie..

Des voix d'opposition regrettaient aussi d'entendre toujours à travers la diplomatie et la presse algériennes,le vieux disque portant des informations défigurées affirmant que le Royaume du Maroc a toujours son projet de déstabiliser l’Algérie et de porter atteinte à ses acquis ? ". Ce vieux discours est constamment maintenu,pas pour nous convaincre par ce baliverne,mais pour aggraver davantage les relations déjà tendues entre nos deux pays. et pour désorienter aussi son peuple bédile et semer la peur et la panique au sein de l'opinion publique locale algérienne pour qu'elle ne puisse rien voir de ce qui se passe en abus d’autorité,de favoritisme, de traitement de faveur,et du gaspillage du fond public au sphère le plus haut de l’État,vu que la soi-disante constitution algérienne permettra désormais à Bouteflika,après sa révision de 2008 de briguer un mandat interminable après avoir taillé à sa mesure l'article qui lui permettra la présidence à vie,article qui stipule la durée à cinq ans et la réégibilité du président sans mentionner le quand et le combien ?.(Art. 74 - La durée du mandat présidentiel est de cinq (5) ans.Le Président de la République est rééligible) .

Le diable se cache dans les détails, c'est bien connu ; et ce n'est pas Bouteflika ou Belkhadem qui dira le contraire. Dans une récente discussion privée trés animée qui à eu lieu quelque part dans la kabylie, les observateurs locaux d’opposition appartenant aux partis politiques, du : F.F.S « Front des Forces Socialistes de Houcine Ait Ahmed, et le R.C.D. – Rassemblement pour la Culture et la Démocratie du docteur Said Saadi » ont pointé le doigt sur le coût très élevé de la présidence Algérienne de toute l’Afrique du nord. : 2 000 millions d'euros dépensés en six mois soit 11 millions par jour dans l’absence de tout contrôle public,et de « Cour des comptes » qui devrait procéder à des audits aux gaspillage de dépenses publiques,et dénoncer entre autres des « programmations excessivement touffues » dont la dernière apparaît en émergence par une commande d’achat d’armes à passer avec Londres pour une enveloppe qui atteindra 10 milliards de dollars, « la multiplication et le coût parfois élevé des opérations », le caractère « parfois dérogatoire, voire irrégulier, des procédures suivies », et « l'utilité publique variable. » avec la complicité et l'applaudissement indéfectible de l'orchestre folklorique de Abdelkader Ben Salah.

Repérable à sa pâleur angoissée et à une grande photo sombre incertaine de la vie d'un président célibataire qui décore l'esprit algérien par tous ses côtés, voilà un brillant activiste à barbe grisâtre sale se met au chevet d'un président-frère, par « une campagne publicitaire de sauvetage à l'algérenne» qui fait étape aujourd'hui, demain et pour toujours au quotidien de l’algérien. Faute d'avoir obtenu à temps,ni l'occasion,ni l'autorisation pour s'installer après la disparition du maudit Houari Boumédiane,que la malédiction d'allah soit sur lui, et le président Chadli, ou encore durant la décennie noire en Algérie. Une campagne à caractère socio-économique priviligiée locale aurait été déclanchée, comme c'était prévu conjointement au départ par la junte militaire, et par l'entourage le plus proche de Bouteflika,dont la mise en scène fût confiée à ce grand charlatan de cimetière,le ministre d'état,représentant personnel du président, le connard Belkhadem (fils de serveuse). Ce grand valet de chambre de Bouteflika de 37 années d'expérience (de Directeur adjoint aux relations éxtérieures en 1972, au Ministre d'Etat en 2008) postes obtenus par la magie au système de fkih de Tiaret et de Laghouat,la malice,la désinformation et l'adulation au pouvoir en place, a bien réussi à contrecarrer le Moutshou d’Oujda pour en bénéficier de grandes attributions fécondant et prometteuses de privilèges, hors de la hièrarchie de la clique de l’autre salopard Ben Yahya,qui affrété pour la circonstance, par le locataire du palais d’ElMoradiah pour jouer l'acteur dans la campagne éléctorale du 3°mandat dans de bonnes conditions.Il est vrai que les présidentielles ne duraient qu’une période de pièce de théâtre publicitaire pour enrouler l’opinion internationale et l'opinion publique locale, tandis que le résultat était dejà connue à l’avance.

Ce vieux loup à diverses couleurs( Belkhadem) s'est replié en périphérie du pouvoir,pour se propager en silence sur les parkings reliés à son parrain Bouteflika. Durant pas moins de six mois en algérie toute entière,et à Alger en particulier,comme quartier d'affaires pilote très animé,fief de différents points de vue adverses,de protagonistes politiques et syndicaux,les slogans publicitaires de Belkhadem tenant à jeter la cendre aux yeux, ont vite attiré beaucoup de monde . « Des gens de tous âges, de toutes classes sociales, venus chercher des appuis et des supports pour les difficultés qu'ils ressentent dans leur quotidien ». Scène bien réalisée aprés avoir soumis aux vieux tirants du F.L.N.A. (Front de Libération Algériens) dans les 48 wilaya que compte le pays,le privilège de sucer en toute liberté,et au petit feu, de petits biberons.Et entre autres,il a réussi,et c'est là l'important, de chasser au fils des jours, hors du pays toutes les matières grises civiles et militaires qui dérangent, pour que le champs soit libre et propice à l'ouverture des vannes de la Sonatrach,sans aucun compteur,et aussi à se manifester au bénéfice du régime personnel de Bouteflika.

Je dois rappeler entre ces deux parenthèses (!) que Bouteflika avait dérobé à la veille de la chute du régime Boumediene,en sa qualité de ministre des affaires étrangères,les 47 milliards de francs français de l'époque qu'il avait en possession..Aujourd'hui il se prépare de faire autant aprés sa chute émminante à l'éxpiration de son mandat, et pourquoi pas faire plus..? avaler sans craquer les 140 milliards de dollars d'éxcédent déjà à la caisse de Chakib Khelil,ministre de l'énergie et des mines..Si celà serait le càs du président,ses subalternes membres de la bande feront le mieux pour emprunter en suite la tangente qui mène à l'éxil, qu'il soit volontaire ou forcé, comme leurs prédécéceurs les généraux : Nazar - Laamari- Belkheir et Touati, qui en leur font l'exemple concret de pratique courante,de monaie d'usage et de coutûme en algérie.

Un régime qui a su avec le temps se procurer d'une large marge de manoeuvre pour en profiter au maximum possible de sa dernière chance au pouvoir, par le pillage des ressources du pays en l'absence d'un peuple bien éveillé.Pour dédramatiser la situation désastreuses qui prévaut au sein de l’opinion publique locale algérienne, la junte informelle de Belkhadem en tant que filière du comité central du front de libération se donnait beaucoup de peine et plaisir pour accèder aux soins adéquats,en vu de calmer les esprits qui s’échauffaient davantage à cause du favoritisme pratiqué sans aucune confidentialité par la famille Bouteflika.et par l’entourage chanceux de la bande des quatre au pouvoir aujourd’hui en algérie. (il s'agit bien de Abdelaziz BOUTEFLIKA à la présidence,- Abdelaziz Belkhadem,Ministère d'Etat sans porte feuilles-Mohamed Ou Yahya pour la primatie,-et Abdelkader Ben Saleh pour l'orchètre folklorique,le Parlement).Pour celà, il a fallut au régime de faire taire les popping sons et les voix nuisibles par distribuer des petits emplois fictifs et des faveurs aux logements dans le cadre de l'AADL(Agence d'Amenagement et de Développement des Logements) qui est d'ailleurs une filière publique, pour boucler les couloirs et les issus de vent ,tout en prodiguant des somniphères émaillées d'anysthésie au peuple à travers les médias,et les officiels de l'état, pour en faire croire que tout marche correctement pour le bien de l'Algérie.

Le site internent Algéria Times, qui s'est procuré l'intégralité d’un rapport à ce sujet, a permis de révéler des dépenses pour le moins exorbitantes qui font actuellement beaucoup de buzz sur la toile et auxquelles la radio trottoir algéroise a consacré quelques pages : citant à titre d’exemple que deux cas :

1°) le coût des présidentielles 2009, organisés au grand jour devant les algériens le moi de mai 2009 fait la une et la préocupation de toute la socièté algérienne. Les blablas du colonel Yazid zarhouni, ministre de l’intérieur ont avancé près de 200 millions d'euros. Dans le détail, on trouve des chiffres contradictoires que personne ne peut s'assurer de leur crédibilité concernant l'acquisition de nouveau mobilier (écrans plasma et écrans géants inclus), des jardinières, de moquette, l'installation, le nettoyage et le démontage des installations (500 techniciens des municipalités mobilisés) et 20 million d'euros uniquement pour les offrandes et les dîner des chefs des bureaux de votes imaginaires.

2°) le coût de marché d’achat d’armes passé antérieurement avec les Russ,annulé dans toutes ses phases, dont le coût qui s’élevait à 5,5 milliards d’euros s‘est évaporé dans des circonstances indéterminées dans le ciel du palais d’ElMoradiah sans que personne ne sache dans quelles poches s’était épanoui ?

Mais le pompon si l'on peut dire revient à l'installation des équipements mobiliers dans les résidences privées de la famille Bouteflika. Et les résidences personnelles des quatre bandits qui entourent la présidence algérienne. Pour le Président, dans la seule « zone bureau » du grand Palais présidentiel, on décompte un coût de 1 milliard d'euros,sans compter une salle de bain ! « Luxueuse et dernier cri, elle possédait une radio et différentes fonctions jets », elle n'aurait jamais servi à croire les ouvriers chargés de l'assainissement liquide,et de vider la fosse…».

Cela étant, passe dans une quiétude totale au détriment d’une large masse populaire déprimée et oppimée qui s’approvisionne journellement –selon la presse locale privée- de la décharge publique des banlieues des grandes villes algériennes. C’est bien le vrai visage de l'algérie,dont l’état de santé est clairement détérioré, selon de nombreuses sources de presse étrangères sur place. " contrairement à l’algérie grandiose d’hommes et de martyrs,l’algérie le pays en plein expansion,où l’insécurité est totalement déracinée,l’algérie où l’infrastructure de base en bonne augure,l’algérie qui se prend pour -la marquise de l’univers- que vient souvent nous décrire au Paltalk une poignée d’agents des services secrets algériens,mobilisés à, cette fin et pour une mission précise qui fait diffuser en vrac des faux renseignements sur : le progrès,la dignité,le bonheur,et la vie prospère des algérie sous un régime à multiples définitions « La République- Algérienne- Démocratique- Socialiste et Populaire ».

Je vous invite à découvrir le document ci-dessous écrit en arabe par un algérien sur les jeunes algériens " immigrés illégaux ou harragua" comme on dit partout, qui fuient une algérie qui regorge du pétrodollars, où les algérien crèvent la dalle..les manifestations et les sit-in de protestation qui se sont enregistrées ces derniers temps à Alger en démoignent".Le journal "AlKhabar" ne cache son amertume dans une de ses dépêches,de reproduire la préoccupation du colonel Ali Tounsi,chef du département de la police algérien sur la vague de protestations populaire qui prend de l'ampleur de jour en jour à travers le pays,dont vous trouverez aussi ci-dessous l'intégralité de la dépêche.

الجزائر تحتل المركز الأول من حيث عدد المهاجرين غير الشرعيين الذين يقصدون السواحل الإسباني .

تعيش الجزائر جدلا بعد تردد أنباء عن مصادرة كتاب "بوتاخين" الذي أصدره الروائي مهدي الجزائري عن ظاهرة الهجرة غير الشرعية والذين أضحوا يعرفون في الجزائر بـ "الحراقة"،ورغم أن السلطات لم تعترف بأنها قررت منع الكتاب، إلا أن المؤلف أكد على أن منزله تعرض لعملية تفتيش قام بها 7 من رجال الشرطة.

وقال المؤلف أنه انتقد بشدة في كتابه ظاهرة الحراقة بعيدا عن الخيال،" هؤلاء الشباب اليائسين الذين يلقون بأنفسهم في البحر حتى وإن كان الأمل في وصولهم أحياء إلى الضفة الأخرى ضئيلا".

وأضاف في تصريح نشرته صحيفة "الوطن" ( خاصة صادرة بالفرنسية) أن سبعة من رجال الشرطة داهموا منزله في العاصمة يوم الجمعة الماضي، وكان معهم أمر بالتفتيش، مشيرا إلى أن هؤلاء بحثوا في كل مكان، تحت السرير في الحديقة، وحتى داخل الحمام.

وأوضح أن رجال الشرطة أخذوا ابنه معهم إلى محافظة الشرطة، مع أنه لا علاقة له بالقضية لا من بعيد ولا من قريب، قبل أن يطلقوا سراحه حوالي الساعة الحادية عشرة ليلا، مشددا على أن رجال الشرطة ذهبوا إلى المطبعة وحجزوا النسخ التي عثروا عليها، والتي يقارب عددها 5000 نسخة، رغم أنه لا يوجد أي قرار صادر عن القضاء يخول لهم ذلك.

واستغرب المؤلف ما اعتبره هجوما شرسا عليه، مؤكدا أنه لم يقم بأي شيء يستحق كل هذا، لأن ما ورد في الكتاب تنشره الصحف الجزائرية يوميا عبر صفحاتها، مشيرا إلى أن كل الناشرين رفضوا نشر الكتاب، الأمر الذي جعله يحجز مكانا في الصالون الدولي للكتاب الذي يفتتح أبوابه اليوم.

يأتي هذا الجدل في وقت تتصاعد فيه ظاهرة الهجرة غير الشرعية في الجزائر، رغم محاولة السلطات احتواءها والتقليل منها، بسن قوانين تجرمها من جهة، وبالإعلان عن برامج خاصة بالشباب من جهة أخرى، فقد قام حرس السواحل بتوقيف 17 مرشحا للهجرة غير الشرعية بولاية وهران ( 400 كيلومتر غرب العاصمة) في وقت وصل فيه 20 آخرين إلى السواحل الإسبانية.

العقيد علي تونسي يحذر أعوانه من الدخول في مواجهات مع المواطنين

كشفت مصادر أمنية مسؤولة، بأن المدير العام للأمن الوطني ''حذر'' أعوانه من ''الدخول في مواجهات مع المواطنين أثناء التدخل في حالات أعمال الشغب والاحتجاجات''، وألزمهم بالتعامل بمرونة مع الأوضاع تفاديا لأي انزلاقات.
قالت مصادر ''الخبر'' بأن نص التعليمة التي أرسلها العقيد علي تونسي، ترتكز أساسا على ثلاث نقاط، تصب في مجملها على ضرورة ''العمل على تهدئة الأوضاع ومحاصرة بؤر التوتر بطريقة مرنة''. وأمر الرجل الأول على سلك الشرطة، بأن ''لا يتم استعمال الأسلحة النارية أثناء التدخل في مختلف ولايات الوطن، إثر وقوع احتجاجات وأحداث شغب، وحتى أثناء تدخل القوة العمومية من أجل تنفيذ الأحكام القضائية بتسخير من العدالة''.
أما المسألة الثانية فتتعلق بضرورة ''التحاور مع ممثلي المواطنين المحتجين من أجل إقناعهم بتهدئة الأوضاع، وعدم إثارة الشغب، ما يعرضهم للتوقيف والمتابعة القضائية''، أما ثالث النقاط فتخص ''تطويق المحتجين وتوقيف المثيرين للشغب، إن انزلقت الأوضاع، عن طريق استعمال القنابل المسيلة للدموع، والمباغتة من دون استعمال الأسلحة النارية''.
ويأتي هذا القرار، بعد ''ورود معلومات وظهور نتائج دراسات استخباراتية مفادها تزايد بؤر التوتر والاحتجاجات في مختلف القطاعات، خصوصا ما تعلق بالبطالة والسكن والماء''. ومن هذا المنطلق تتخوف مصالح الأمن من وقوع ''سيناريوهات غير متوقعة''، أثناء التدخل من أجل وضع حد للمحتجين الذين يخرجون إلى الشارع لقطع الطريق، أو يعتصمون ويتجمهرون أمام مقر الولايات ومختلف المصالح الإدارية.
كما لا يمكن بأي حال من الأحوال، أثناء إخلاء السكنات التي يتم اقتحامها بطريقة غير قانونية، استعمال ''القوة'' بأي شكل من أشكالها، بحيث لا يجب ''ضرب أي مواطن مهما حدث، وإخراجهم يجب أن يتم بطريقة حذرة ومرنة''. وترتكز التعليمات التي تقدم يوميا، ويتم التأكيد عليها شفهيا أثناء الاجتماعات قبيل الخروج في عمليات التدخل، على ضرورة ''عدم استعمال الأسلحة النارية إلا بعد صدور أوامر فوقية، بناء على انزلاق الأوضاع بشكل لافت وخطير''. ويعني كل هذا أن ''العصي والقنابل المسيلة للدموع والمحاصرة والتطويق واستعمال المياه الساخنة، وحدها الحلول المقترحة وعلى قائد العمليات اختيار أنجعها''.
وكانت أحداث ديار الشمس بالمدنية في العاصمة، دليلا على ''تطبيق هذه التعليمات، وهو ما جعل مصالح الشرطة تتحمل أكبر حصيلة من الجرحى''، وبعد ما وقع في جسر قسنطينة بالعاصمة، إثر إطلاق شرطي النار على شابين.
وبين غليان الجبهة الاجتماعية وإعلان عدة نقابات سلسلة من الإضرابات والاحتجاجات، وتعليمة العقيد علي تونسي، تبقى الأوضاع الحالية مفتوحة على كل السيناريوهات.

Cordialement.Chihab25