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  • Algérie : tout change pour que rien ne change..!

                                                                                             
                                                 A l’anniversaire de son assassinat

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    Mohamed Boudiaf..Le 29 juin 1992, c'était hier (29/6/19) l'anniversaire de l'assassinat du président Algérien feu Mohamed Boudiaf,exécuté en direct à Annaba à l'est d'Alger. Ce sont les 4 généraux qui, à partir d'une sale aisselle de transpiration et de crise de foi qu'ils ont commandité ce crime houleux. Et y sont ces mêmes-généraux, rappelez-vous, qui l'ont rappelé du Maroc pour présider d'Algérie, tant qu'ils étaient tous des ex-caporaux Français avec esprits corrompus,incapables de mener à bien une telle tâche. (de g à d) :

    Larbi Belkheir,le chef de cabinet de la présidence, qui s'est déplacé en personne à Kénitra pour l'emmener en Algérie et Smain Lamari, le patron effectif de la police politique DRS, les 2  exécutés par la volonté divine. Les autres encore vivants - Mohamed Mediane, alias Toufik, en haut à droite, écroué par le général-dingue pour plus de crimes et en bas Khaled Nezzar, ex-ministre de la défense à l'époque, encore hors cible, pour ne pas dire en cavale, mais son tour,  viendra certes, et prendra place, avec ses pairs corrompus à la prison d'El Harrach d'Alger.

    Selon un journaliste engagé par la fratrie-Gaid, l'ex-subordonné de Nezzar, l'actuel  homme fort Gaid Salah, qui est en train d’enlever les mauvais herbes de son chemin Emarati, cherche la petite bête pour le coincer, car il le considère «homme-à-risques-, malintentionné et égoïste», un élément trop encombrant, qui n'a de place, en ce moment d'agitation, que derrière les barreaux. Pour se faire, il l'attend au coin, avec tous les pièges pour l'anéantir  et le brûler vif, s'il osera mettre la main dans la poche.

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    Le blanc et noir..Boudiaf à droite sur la photo des Novembristes (ceux qu'ayant déclenché la guerre en novembre54) : Le seul symbole révolutionnaire qui en restait, dont l'Algérie avait besoin, pour se mettre sur de bonnes railles.

    Pourquoi rappelle-t-on cet homme? Hé bien, parce qu'il était l'ami sincère du Maroc? Un Algérien parmi nous, il est de surcroît un vrais Gharbaoui de Kénitra, qui vivait son exil volontaire en paix, côtoyant les Marocains, qui le respectaient, pour sa simplicité et son bon voisinage et aussi pour le respect réciproque qu'il affichait envers eux..

    En plus, c'était un homme de parole, de droiture. Il se débrouillait en business pour vivre et subvenir aux besoin de sa famille au Maroc.Il échappa mystérieusement, par esprit droit, aux assassinats du maudit-Boukharouba que la malédiction divine soit toujours sur lui.

    En fait, il avait l'intention de régler pacifiquement l'affaire du Sahara Marocain, malgré l'avis contraire de la junte d'Alger. Cette décision serait prise, parait-il, en concertation avec feu Hassan II, ce qui lui a coûté la vie. Les Marocains doivent lui souhaiter, "الله ايرحمو".  C'est ce qu'on peut lui offrir à cette occasion.

    En tout cas, on ne peut substituer en cette circonstance à la famille du défunt. Nacer Boudiaf, son fils vient de demander à Gaïd Salah, de rouvrir une nouvelle enquête sur l’affaire de l’assassinat de son père. Une demande qu’il aurait déjà faite à Bouteflika mais en vain.. Il récidive, signe et persiste que les généraux Toufik et Nezzar, encore vivants sont les principaux acteurs qui ont commodité l'assassinat de son père.

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     APS et mensonges..Pour se rappeler, la rédaction revient sur les lieux du crime, rapportant les mensonges de l'APS (Agence de presse officielle Algérienne) qui reflète la vision de ses maîtres avançant le paragraphe titré avec préméditation : «Ce que le Maroc trame pendant que l’Algérie s’affaire à changer de régime» que je citerais en premier lieu. Je sais bien que mes lecteurs assidus ne sont pas dingues à ce point  et y sont murs, en mesure de dénicher le "vrai du faux" que nous affiche la mentalité haineuse de nos voisins de l'est.

    «Au moment où l’Algérie traverse une situation politique interne tout à fait particulière, le Maroc semble vouloir saisir les évolutions en cours pour étendre son influence dans l’équation régionale et faire avancer, par la même occasion, ses thèses colonialistes au Sahara "Occidental" , et pour alimenter la haine, notamment en ce qui concerne ce qui s’est passé à Ghardaïa. Le complot  est sur commande, à l’évidence, déstabiliser l’Algérie pour des raisons connues, à savoir la non-réouverture des frontières». Fin de citation.

    Pour tout observateur avéré, c'est le bafouillage de la déontologie en vigueur que doit respecter en général n'importe quelle source officielle d'information. Mais cette écurie jaune d'information se réjouit de piétiner la crédibilité journalistique quand il s'agit de la chose Marocaine.

    Droit de commenter. Tout d'abord cette APS qui habituait ses dingues de ce genre d'information a oublié d'inclure dans son mensonge «le prétendu soutien Marocain à la dissidence Kabyle de Ferhat Mehanni».

    Pour nous, c'est de l'orgueil qui entache l'esprit Algérien clamant  supériorité et leadership introuvables et qui grogne encore dans les ruines d'une guerre froide révolue,mettant tout son poids,son pétrole et sa politique étrangère d'autruche dans un seul panier, pour y défendre vachement un "mirage séparatiste" au Sahara Marocain au détriment des masses populaires algériennes opprimées, et qui refuse en parallèle, d'en parler ou d'écouter,les revendications des peuples de la grande Kabylie et de M'zab qu'ayant  tendance à avoir une simple dignité et à vivre libres.

    Qu'ils sachent, (les Algériens) nous nous continuons de croître، d'interagir avec tout entourage crédible loin d'ambiguïté. Par la clairvoyance Royale, notre leadership gagne confiance à travers le monde qui respecte la crédibilité politique d'Etat. Ce genre d'invention haineuse d'APS ou d'autre source adverse, n'aura aucun d'effet sur la grandeur de notre Maroc, ni sur sa machine à broyer le temps, qui sied au rayonnement du leadership Royal.

    Cela étant, la volonté politique suivie jusqu'ici par notre régime Monarchique nous interdise toute ingérence dans les affaires d'autrui. Et c'est dans ce contexte qu'on trame ici au Maroc, pas d'aller chercher midi-à-14h en Algérie, une entité d'une particularité arrogante extrême, déjà fragmentée par les divergences d'identité et du régionalisme qui commencent à ricaner son régime mafieux. En preuve, évitant tout coût de gueule, éventuellement inapproprié, le duo silencieux Marocain (Bourita/Mansouri) compte ses pas dans ce sens, en respect de ce principe de non-ingérence.

    Évidement, nos ennemis en contre vent, tentent tout ce qui est possible pour nous faire du mal, car les faits de progrès que marque notre Royaume dans tous les domaines, en politique étrangère précisément, sont têtus.Cet état d'âme ne fait qu'irriter davantage nos adversaires de l'est qui nous envient pour la stabilité et la grandeur de notre Royaume Chérifien du Maroc. Nous avons même subi des attaques similaires, de grande ampleur, depuis que l'Algérie ait trouvé naissance en 1962 et ce dans un planning haineux ne respectant pas les moindres exigences nécessaires à la fonction du journalisme quand il s'agît du Maroc.

    Si les chiens, comme on dit,aboient quand la caravane passe, la notre passe victorieuse «saine et sauve» dans chacune de ses randonnées politiques étrangères. Le dernier passage de M.Bourita aux pays latino-américains en témoigne. Du fait que le duo précité entame avec objectivité toutes ses démarches, du fait que nous dérangeons ÉNORMÉMENT, de façon silencieuse, nos frères ingrats d'à coté.

    Plus que jamais, le rôle précieux de notre Monarchie, agissant pour le bien-être du Marocain libre est primordial. Sachez-le, nous continuons, et c'est de notre nature, à utiliser tout effort, plus efficace, plus puissant pour aller de l'avant, loin de cette Kabylie ni de M'zab ni de cette Algérie même, pour gagner plus de crédibilité et de prendre places, les plus spacieuses, là où il faut, à travers les cinq continents et dans les îlots océaniques même s'ils sont en rangs dispersés, laissant l'APS aboyer comme elle en désire et de frapper d'envie et de haine sur ses cuisses de femme-prost..(?) d'ex-1000* des bidonvilles d'Algérie Française.

    D'autre part,et avant de quitter ce volet de l'APS, j'invite le lectorat à écouter et en juger autre scène.Un arrogant journaliste Algérien jette de la pierre contre la grandeur Marocaine.Un certain Hicham Aâboud, qui s'autoproclamait, à l'instar de son concitoyen Mohamed Larbi Zitout  -le connaisseur le plus avéré- dans plusieurs vidéos, s'exprime de façon humiliante contre le diable rouge Marocain.

    Ça se voit clairement de ses termes, que les défaites du maudit-Boumediane dans les batailles allant de la guerre des sables 63 aux Amgala 76, tiennent fort au cœur des Algériens. Ecoutez, en première séquence de la vidéo en bas, le degré de supériorité fantoche qui habite en la mentalité Algérienne, contredisant toutes les vérités accablantes.

    Une entité folle..! Dans la note précédente, j'exprimais le souhait de voir l'Algérie sortir de sa crise, de voir naître un État civil avec lequel le Royaume du Maroc peut compter. Je reprends le même désir que cela s'accomplisse, continuant, en attente, de rassembler et d'étaler mes modestes pensées sur le cas actuel de l'Algérie.

    Cette entité folle qui ne cessait de se présenter aux portes de nos frontières comme " force unique au monde" capable de dévorer le Maroc. C'était d'ailleurs l'objectif qu'elle pas pu s'enquérir, il y a déjà un demi siècle, endossant,de temps à autre, des gifles de la part du Maroc pour la rappeler à l'ordre.

    Je ne fais pas là allusion à la diplomatie ni à l'intelligence Marocaines. Mais aux faucons des FAR qui nous ont souvent montré leur capacité et savoir-faire en giflant la racaille algérienne, conduite dans ses différentes étapes par des dupes-caporaux de l'armée Française, dont le dernier est bien Gaid Ahmed Salah. qui crève les tympans des siens par les ordres du service général. 
     
    Et pourtant c'est ce que répétait souvent ce voyou général qui devient l'homme de l'heure algérienne actuelle, par ses séquences de simulation et musculation, devant la duplicité de ses subordonnés-élèves dans les régions militaires, là où il fait toujours refuge pour tromper les Algériens sur la capacité des mules d'armée et d'en profiter de la gastronomie-gratuite, au menu gazelle bien arrosé en (Vodka ou Wisky Italien) que lui préparait son valet l'autre général Said Chengriha.
     
    Je crois que l'Algérie est exposée à connaitre le même sort que la Libye. Je  titrais, rappelez-vous, une note quelque part en blog par : « Adieu à l’égoïsme-dz, faisant virtuellement de l'Algérie «force régionale, de dignité, de prospérité et de r'faâe rassak ab'ba de Boutef».  Même si  la rédaction du blog s'approche, à petits pas, au point de se spécialiser de la "saleté Algérienne", on ne pronostique point, ni prédire de malheur à nos voisins de l'est, malgré leur mauvais voisinage persistant. 
     
    C'est leur Hirak qui prend de l'ampleur et qui ne faiblis pas pour faire tomber le système et démanteler les barrières de ce qu'on appelle à Alger.. le "Club le Pin", éparpillant les luxueuses résidences surveillées dont les hauts responsables de l'État, prennent en "guetto privé" où gangrènent le confort-prince et la corruption au détriment de la masse populaire opprimée de l'Algérie profonde.
     
    Les troubles sont à prévoir davantage, notamment dans le sud algérien, une région de trafics en toujours et «qui représente un refuge pour le groupe terroriste armé AQMI» de Mokhtar Bel Mokhtar,alias (le borgne), sans exclure des comptes la révolution silencieuse des M'zab-Ghardaia qui, par les charges d'humiliation dorment sur un volcan qui ne manquera certes, de faire irruptions à n'importe quel moment. Une zone à risques, exposée à d'éventuelles turbulences après la mort suspecte du symbole du mouvement M'zab, le Docteur feu Kamal-Eddine Fakhar.
     
    L’instabilité politique en Algérie et la guerre d'«éradication du système» alimentée par l'ébullition de la rue motivent ces craintes et cette situation est de nature à profiter aux islamistes du FIS d'Ali Belhaj qui pourront la saisir pour reprendre un pouvoir qu’ils estiment leur avoir été volé.
     
    Dans un article intitulé "Algérie,au pays de l’heure noire", un journal Français souligne que face à cette situation, des mouvements de débrayage, voire de désobéissance se sont enregistrés dans plusieurs wilayas dont celles de la grande Kabylie, ou encore celle de Colomb-Béchar dans le Sahara Marocain oriental spolié où des vidéos monteraient la colère maximale des populations qui se soulevaient contre des ministres du gouvernement banni de Bédoui.
     
    Sont-ils cancres? Mon lectorat me permettra de poser à la place des algériens une question d'ordre général.. «Les politiciens d'Algériens sont-ils des cancres?»
    Quand la crise s’accentue, et à force de multiplier imprévoyance économique et bourdes politiques, on s’arrange pour débouter le débat politique responsable.
     
    C’est ce que l’on appelle aux pays démocrates la «théorie du repoussoir». Elle s’exerce soit en manipulant des épouvantails.Lorsque des personnes malintentionnées et égoïstes se mettent en tête de gouverner, alors le risque est grand de voir le pays balancer dans le vide institutionnel, sombrer dans la gabegie et ses habitants plonger dans le dénuement.
     
    Algériens et étranger constatent que ce qui se trame actuellement en Algérie sous étiquette "mains propres" est une opération suspecte conçue parait-il, que pour régler les comptes et enlever les mauvais herbes. Une opération déclenchée, pour se cacher derrière, commanditer une justice téléguidée, en s'éloignant de la vague canicule qui s'accentue pour brûler entièrement le système.
           
    Ce qu’il faut aux Algériens à mon sens, c'est de tenir la volonté bien forte, tenant la pression un peu plus,ne permettant pas de fait accompli, voire un coup d’état blanc au service de la nouvelle mafia des casernes. Les échanges de paroles,ici et là, révèlent le fossé entre peuple et politiciens qui parlent en son nom. A part eux, tout le monde s’en fout en vérité, car personne n’y croit, étant donné que le pouvoir du Gaid n’a de cesse de déclarer péremptoirement qu’il reste «le seul chef,qui ne rend compte à personne».
     
    Quand les politiciens sont des cancres, la médiocrité demeure davantage au pouvoir par le placement unilatéral à la tête de l'Algérie les mauvais des sales bottes, en l'occurrence les dingues-généraux Gaid Ahmed Salah et son valet de chambre Said Chengriha, par lesquels l'anarchie en devient même socialement correcte. Les Algériens se souviennent sûrement, qu'au dernières heures d'ère Bouteflika, un -statu quo- de merde persistait. A présent, il constateront que ce même -statu quo- ne changeait que d’épellation pour durer encore plus, sous les ordres du service général de caserne. Bonne lecture.
     
                                                              Cordialement,Chihab25
     
    *. Les mille, c'est le numérotage de maisons closes indigènes  qui se comptaient en milliers en Algérie Française.
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    Karim Tabou, leader de parti d'opposition, profitant de l'anniversaire-assassinat-Boudiaf, se déchaîne pour exprimer le choix anti-système du peuple Algérien. Écoutons-le...C'est Omar Balafrej de l'Algérie.