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La frontière-est - Page 32

  • Au sujet du traité d'IFRANE 1969 sur le litige frontalier avec l'Algérie

                AU SUJET DU TRAITE D'IFRANE 1969 (concernant le litige frontalier avec l'algérie).

     

                             Dans une entrevue exclusive accordée à la première chaîne nationale publique « Al oula », diffusée le soir du 30 octobre 2008,le premier ministre Mr.Abbas El Fassi a fait savoir à l’opinion publique nationale,avec  une certitude absolue, que l’affaire du Sahara Marocain est connue partout dans le monde que,c'est un problème entre le Royaume du Maroc et l’Algérie, fabriqué en toutes pièces par cette dernière,et qu’il n’y a ni peuple sahraoui opprimé, ni de rasd  fantoche, ni de droit à l'autodédermination pour une décolonisation quelconque, (?). Une telle déclaration d'un chef d'institution officielle ( la primatie marocaine)  jouissant d'une bonne réputation et d'un respect remarquable, au niveau international, va en soi en toute évidence dans le sens de l'abolition de la thèse ennemie.

                            

                             Cette réalité lui a été confirmée par toutes les délégations étrangères qu’il avait rencontrées ou cotoyées, en marge du dernier forum de la francophonie, tenu dernièrement dans le Québec au Canada. a-t-il ajouté!.Mr.Abbas El Fassi s'est contenté ensuite de s'interroger que, si on faisait une analyse scientifique, il ressortira que le reste des pays qui continuent de reconnaître le mirage algérien,se sont,soit des états à parti unique,ou des états de dictature absolue. Je me permets d'ajouter de ma part : ou des états dont les présidents,et chefs de gouvernements ont des intérets purement personnels,(l'Afrique du sud de Thabu Mbeki,en exemple )..et que les pays qui ont retiré,ou décidé ouvertement d'ajourner cette reconnaissance, se sont les pays qui sont bien arrivés au stade de raisonnement politique,de multipartisme, et de démocratie, a conclu Mr.Abbas El Fassi dans ce sens.

     

                             Cela étant, confirme que l'algérie est dévoilée dans cette affaire,se trouvant plus que jamais, au pied du mur,et que le dossier est  bien sur la bonne voie, en faveur d’un règlement international définitif, d’autant plus que les États Unis d’Amérique, la Grande Bretagne,la France et l'Espagne,membres permanents au Conseil de Sécurité des Nations Unies, soutiennent solennellement le projet d’autonomie proposé par le Maroc, invitant les autres parties à faire preuve de leur bonne foi, et à éxprimer la volonté d'y participer objectivement au prochain round de négociations de Manhasset dans la banlieue New Yorkaise..pour sortir de l'impasse.

     

                             Je voulais dire par celà, que le dossier du Sahara Marocain du sud est entrain de se refermer, tôt ou tard, il sera clos à l’échelle Onusien,  avec le temps favorable qui joue dans cette direction, pour clôturer une fois pour toutes, et à partir de l'esplanade du conseil de sécurité de l'O.N.U. Ce faux dossier construit à tort sans aucun fondement légal,dont les maîtres d'oeuvre de badigeonnage et de crépissage n'étaient que les apprentis d'architecture géo-politique du Kremlin, le dénommé Boukharrouba et son élève Bouteflika.qui  croyaient bétement que le fait  "  d'amputer une jambe à HASSAN II " serait pratiquement trés facile pour eux, simple à leur portée,et voulaient à coup de force par -coûte-que-coûte-, enfoncer l'étendue du territoire national ,pour en respirer gratuitement l'air pur de l'atlantique.,pour déguster tranquillement   "à volontiers", les fruits de mer de Rio de oro.(wed eddahab-Dakhla).en s'appyant sur le dos d'une jeunesse adolescente maudite de Tan tan.

     

                             Dans les deux dernières notes, publiées sur ce blog au sujet de notre territoire oriental  spolié par l'Algérie, j’avait exprimé mon désir de voir le Maroc ouvrir le dossier du  "sahara al maghrebia acharqia" avec l’Algérie -c'est du moins ce qu'on peut souhaiter dans les circonstances actuellement bloquées par la junte du palais d'El Moradiya-. Le fait d'ouvrir ce dossier de malaise pour les algériens,sera une simple mannière pour secouer et faire préoccuper  l'algérie officielle et officieuse dans son fond, et  passer à la vitesse supérieure avec elle,afin de régler avec le moins de dégâts, le dossier du sahara marocain dit  "occidental", et passer à ce vrais dossier épineux qui est « le litige-chronique-frontalier » constituant toujours l’obstacle principal à la normalisation avec nos voisins de l’est. et débloquer par la suite le vrais lancement du grand maghreb, tant attendu par les peuples de la région, pour relever le défit en face d'une mondialisation gourmande qui s'annonce ben arrivée, broyant  sans pétié, tout ce qui peut se tenir début d'avant elle.

     

                             Dans l'attente de réaliser cet acte qui dépend de la volonté de l'autre ,je voudrais à cet éffet que les internautes, et les frères marocains en général, sachent tous les détails,positifs ou négatifs, sur ce dossier pour en constituer une idée claire, à l’horizon d'une éventuelle ouverture officielle de ce dossier qui, parait-il ne sera pas pour demain,et qui  entraînera lui aussi le moment venu,une autre période d’attente (des décennies aussi longues peut-être) pour les marocains en général,et pour ceux  de l'oriental en particulier, devant une in-objectivité sauvage de la part des Algériens.

     

                             Pour cela,il serait indispensable de jeter un coup d’œil sur le fameux traité d’Ifrane de 1969 sur les frontières orientales avec l’Algérie,dans sa version officielle,comme elle a été conçue par le général Oufkir du coté Marocain ,et le président Algérien Houari Boumédiane du coté algérien..dont  j’ai le plaisir de le reproduire ci-dessous, en tant que tel.

     

                           En savoir le contenu, pas pour l’approuver, puisque on peut le considérer comme un « chiffon de papier qui n'a pas de valeur » Et ce n’est pas une première pour nous marocains, si on se rappelle bien, de ce que disait avant nous,  ce Houari  Boumédiane en traitant le traité algéro-marocain du 6 juillet 1961 sur l’intangibilité des frontières Marocaines, signé  conjointement avec la bonne volonté, par le Maroc et le Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne « G.P.R.A »de Ferhat Abbass .

     

                                                                       -------------------

     

                             Convention relative au tracé de la frontière d'état établie entre le Royaume du Maroc et la République Algérienne Démocratique et Populaire.

     

    Sa Majesté Le Roi du Maroc,et

    Son Excellence le Président du Conseil de la Révolution,

    Président du Conseil des ministres de la République Algérienne Démocratique et Populaire

     

    En application du Traité d’Ifrane, en date du 15 janvier 1969,de la déclaration commune de Tlemcen du 27 mai 1970,du communiqué commun de Rabat du 6 juin 1972,et de la déclaration algéro-marocaine de Rabat en date du 6 juin 1972,

     

    Considérant le traité de délimitation conclu à Lalla Mghnia le 18 mars 1845, en ses dispositions portant délimitation de la frontière algéro-marocaine ainsi que des textes subséquents, notamment la convention du 20 juillet 1901 et l’accord du 20 avril 1902,en leurs dispositions portant délimitation de la frontière entre les deux États,décident à cette fin de conclure la présente convention et désignent pour leurs plénipotentiaires à savoir :

     

    Son Excellence Ahmed Taibi Benhima ,ministre des affaires étrangères du Royaume du Maroc,

    Son excellence Abdelaziz Bouteflika, membre du conseil de la révolution, ministre des affaires étrangères de la République Algérienne Démocratique et Populaire,

     

    Lesquels après avoir échangé leurs pleins pouvoirs, reconnus en bonne et due forme,

     

    Sont convenus des dispositions suivantes :

     

    Article premier :les hautes parties contractantes confirment d’un commun accord que la frontière d’Etat établie entre l’Algérie et le Maroc,du méridien 08°40,à Taniet Sassi,suit la ligne indiquée sur les cartes portant les numéros 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15 annexées à la présente convention dont elles font parties intégrantes.

     

    Elle se définit comme suit :

     

    A partir du méridien 08°40,qu’elle empreinte auparavant,la frontière algéro-marocaine longe le thalwegs de l’Oued Draa en suivant vers le Nord-Est la ligne des crétes du Djebel Tazout (le poste militaire qui s’y trouve restant en territoire marocain),jusqu’à son extrémité Est au lieu dit Kheneg Ben Zerhmine. Elle se prolonge toujours vers le Nord-Est sur le Kreb dominant l’Oued Draa passant par Rich El bergat, Kheneg Erguab,Oumm Matifis ; Tarft Dzoli, El Breidja Medya jusqu’à Foum Tangarfa(le poste militaire qui s’y trouve restant en territoire marocain).

     

    De là,elle suit la ligne déterminée par les points cotés 411 (07°17 Ouest,29°27 Nord) 430 (07°16 ouest, 29°28 Nord) 478 (07°12 Ouest,29°30 Nord). Elle continue le long de la ligne des crétes séparant le bassin de l’Oued Draa du bassin de l’Oued Aouzergui, jusqu’à Beid Er-Ras.

     

    De ce point, elle suit la ligne des crétes de la chaîne de l’Akerrich (cotes 747 , 740 ,721 ,706) et passe de Foum Oued Lahsene, Rich Kbir , Foum Trifia ( 669) Reguig Er-Rouida (648) jusqu’à Oued Rguig Atchane qu’elle suit vers le Sud-Ouest pour rejoindre les puits de Hassi Beida.

     

     De ce point, elle suit la base des Kreb pour rejoindre les puits de Tinjoub. Elle continue sur une distance de 5 km à suive les Kreb à l’Est de ce puits, puis s’oriente vers le Nord-Est en passant en ligne droite par Hassi Melah pour rejoindre le lit de l’Oued Mrid à Hassi Mengoub, laissant ces puits en territoire marocain.

     

    Elle suit ensuite vers le Nord le lit de cet Oued jusqu’au col de Takkat N’Ait Adouane,puis en ligne droite elle se dirige vers et jusqu’au puits d’Anou Berretail (04°56 Ouest 30°08 Nord)situé sue l’Oued du même nom

     

    Coupant le plateau de Kem Kem, la frontière se prolonge toujours en ligne droite, jusqu’à un point situé à une distance de un kilomètre au sud de Hassi Safsaf. Toujours en ligne droite,elle se dirige vers le Nord-Est jusqu’au lit de l’Oued Daoura à l’endroit où se dernier forme un confluent avec un Oued sans nom, au Nord de Foum Bou Serroual.

     

    De ce point, le tracé coupe encore le plateau de Kem Kem, à l’Est de l’Oued Daoura, en passant par les points cotés 735 ,778 ,827 ,801 et 792 (points situés sur les Kreb à l’Est de Hassi Sebti, à 9 km au sus-Est de ce puits (3°39 Ouest 30°42 Nord)

     

    La frontière s’oriente ensuite vers le Nord, le long des Kreb qui forment la bordure Ouest de la Hamada du Guir, en passant par les points cotés 807 ,842 ,Oum Seba, Hassi Merheimine, Hassi Tabourirht, Moungar Hammou Ghanem, Mouih Malek, M’kharig, Taouidjt, Moungar Alennda, Braber.

     

    A un kilomètre à l’Est de Hassi  Braber, au point de coordonnées 03°40  Ouest, 31°24 Nord, la frontière suit une ligne droite Sud-Nord suivant le méridien 03°40 Ouest jusqu’à la hauteur du parallèle 31°38 Nord. Puis elle se dirige,toujours en ligne droite, vers l’Est jusqu’au confluent des Oueds Guir et Zelmou.

     

    Elle remonte le lit de ce dernier jusqu’à la hauteur de Djebel Zelmou où il s’inlfléchit vers l’Est pour suivre la ligne des crétes de ce dernier. Elle passe au Nord de de Hassi Kriouia et rejoint le Djebel Nanti. Elle continue à suivre,vers l’Est,la ligne des crétes passant par les points culminants 1269 ,1247 ,1129 ,1209 , (Djebel Mihiriz) 1551 ,1770 ,borne 1919 (Chaabat El Ar’Ar) borne 1852 ,1709 puis s’infléchit pour passer à 200 mètres au Sud de la mine de Djehifet et rejoindre ensuite le sommet du Djebel Ouazzani (borne 1839).

     

    Elle continue le long de la ligne des crétes en passant par les points cotés 1544 ,1026 ,(Djebel Melias).

     

    Elle passe ensuite sur la ligne de crétes séparant les Oasis de Beni Ounif et de Figuig, puis contourne la zone dunaire à l’Est de cette localité en suivant l’Oued sans nom. jusqu’à  sa rencontre avec l’Oued Halouf. Ce dernier est suivi vers le Nord, jusqu’à Ras Ben Smir.

     

    A partir de Ras Beni Smir, la frontière suit la ligne de crétes de Djebel Abiene. En passant par les cotes 1762 ,1735 ,1704 contournant Ich par l’Est, elle se dirige en ligne droite vers le Nord-Ouest,en passant à 800 mètres à l’Est de Hassi El Mekhareg jusqu’au point de coordonnées 04°01 Ouest 36°33 Nord.

     

    Elle se dirige toujours en ligne droite vers la source de Ain Bab Errouah. A partir de cette source, elle continue toujours en ligne droite pour atteindre la brone 1368.

     

    De la borne 1368, la frontière se dirige vers l’Est en suivant la ligne de crétes pour atteindre la naissance de l’Oued Boukhalkhal qu’elle remonte et dont elle suit le lit de ce dernier  jusqu’à son confluent avec l’Oued Bou Ajem. Elle continue à emprunter le lit de ce dernier vers le Nord. Au lieu dit Oglat Brazzia, elle vire vers l’Ouest. Toujours suivant le lit de l’Oued qu’elle quitte au point de coordonnées 04°50 Ouest 37°43 Nod ( représenté par un confluent Thalwegs) pour se diriger en ligne droite et aboutir à Oglat Mengoub,au point coté 1014 situé à proximité de la piste de Berguent et de coordonnées 04°52 Ouest 37°44 Nord..

     

    Ensuite, elle se dirige vers le Nord, selon une ligne droite, qui a pour extrémité Nord Teniet Sassi et le point de cote 1014 pour extrémité Sud. A 4 km de ce dernier point,la frontière quitte cette ligne droite pour y revenir 15 km plus loin, au point de coordonnées 04°48 Ouest 37°63 Nord après avoir décrit une ligne brisée à deux branches dont le sommet est situé au point cote 1065,coordonnées :04°45 Ouest 37° 53 Nord..

     

                                                          Référence – cartes ci-jointes :

     

    I. Merkala. II. Hassi El Haouirra . III.Lgma.  IV.Tinjoub.. V.Oued Ed-Daoura. VI.Oglat Beraber. VII.Tibertatine(dit Tiberbatin VIII.Béchar.IX. Beni Ounif..X. Djenien Bou Rezg. XI.Forthassa Rharbia. XII. Oued Khalkhal.  XIII.Oued Bou Adjem.  XI Maghboura                  

    XV. Magoura                                

     

     Article 2 : La frontière d'État entre l'Algérie et le Maroc,telle qu'elle est décrite à l'article ci-dessus constitue la frontière terrestre et délimite également dans le sens vertical la souverainté dans l'espace aérien ainsi que l'appartenance de sous sol.

     

    Articele 3 : Il est créé une commission mixte algéro-marocaine en vue de procéder sur le terrain au bornage de la frontière décrite à l'article premier.

     

    Article 4 : La commission mixte algéro-marocaine se réunira au plus tard le 15 octobre 1972 pour commercer les travaux visés à l'article 3 et les terminera dans un delais n'excédant pas 3 ans à compter de la date précédemment mentionnée.

     

    Article 5 : Au terme de ses travaux,la commission mixte établira un acte constatant le bornage de la frontière algéro-marocaine. Cet acte sera joint à la présente convention.

     

    Article 6 : En cas de défaillance de la commission mixte, à l'expiration du delai de 3 ans mentionné à l'article 4,le bornage pourra se faire à l'initiative de la partie diligente qui en aura informé préalablement l'autre partie et selon le tracé de la frontière tel que décrit dans l'article premier de la présente convention.

     

    Article 7 : Le hautes parties contractantes sont convenues que les dispositions de la présente convention réglent définitivement les questions de frontières entre l'Algérie et le Maroc.

     

    Article 8 : La présente convention entrera en vigueur à la date de l'échange des instruments de ratification. par les parlements des deux pays.

     

    Article 9 : Dès son entrée en vigueur, la présente convention sera enregistrée au secrétariat général des nations unies conformement à l'article 102 de la charte des nations unies

     

    En foi de quoi les plénipotenciaire ont signé et scellé la présente convention.

     

    Fait à Rabat le 3 joumada I 1392 (15 juin 1972). en double  exemplaire en langue arabe,et dans la traduction en langue française en double exemplaire,les deux textes arabe et français faisant également foi.(signatures des ministres des affaires étrangères,leurs éxcellences MM. Ahmed Taibi BENHIMA du coté Marocain et Abdelaziz BOUTEFLIKA du coté Algérien)

      

                                                                                       -oOo-

                             Il y a lieu de noter enfin que, pour éxprimer la bonne volonté du Royaume du Maroc envers l'algérie,Sa Majesté le Roi feu HASSAN II avait posé honorablement le sceau chérifien  ((portant l'empreinte de tradition  : AL HASSAN  IBN MOHAMED IBN YOUSSEF ALLAHO WALEYOUH))  sur le Dahir n°1- 89- 48 du 20 Hijja 1412  (22 juin 1992)  portant publication au bulletin officiel (je dis bien publication,et pas approbation) de la convention relative au tracé de la frontière d'État établie entre le Royaume du Maroc et la République Algérienne Démocratique et Populaire, en signe de soutien et d'encouragement au Président Algérien Mohamed BOUDIAF, pour qu'il  réussisse dans sa nouvelle tache de président-reconciliateur de toute l'Algérie ..?..

                            Une fois celui-ci fut assassiné  -sur commande- à Annaba à l'Est d'Alger,et par son propre garde du corps,le lieutenant M'barek Boumehras, à cause  :

     

    ..                      1°) de la campagne d'assainissement qu'il comptait  ouvrir et mener avec rigueur, à l'intérieur de l'algérie, plongée dans l'insécurité et le débordement sur tous les stades.

     

    ..                      2°) Pour sa position objective pro-marocaine. de facon, à ce qu'on commencé à le qualifier localement,de manière humoristique, de HASSAN III.!!,venu au rescousse des algériens,et télé-commandé par le Maroc .

     

    ..                      3°) Il est rentré en conflit, lors d’une réunion de travail avec , les généraux  Larbi Belkheir,  Khaled Nezzar, Touati et Gnaïzia au sujet du « Sahara Marocain occidental »Il leur indiquait qu’il fallait procéder à une révision l’orientation avec des mesures audacieuses, car dans les circonstances que traversait l’Algérie ne lui permettaient plus de continuer à supporter les charges des Sahrawi.ni de tenir à bout la défence d'un principe-slogan déjà épuisé, que les autres l'ont dépassé ou enterré avec la guerre froide (allusion au droit à l'autodtermination des peuples) "-propos obtenus et fournis par le journaliste et écrivain algérien Anouar Malek-"  ./.

     

                            Le Maroc qui se sentait alors bafoué, jettait l'éponge sur la figure de celui qui était derièrre le rapatriement du defunt,et qui représente aujourd'hui l'algérie à Rabat, dans l'espoir pour reprendre ultérieurement ,et avec raisonnement, cette affaire de frontalier algéro-marocaine,objet de la défunte convention, qui n'a jamais été à nos jours, approuvée ou homologuée par le parlement marocain.! (affaire à suivre avec beaucoup d'attention).

                                                                      Cordialement, Chihab-25