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«-Le Royaume Chérifien du Maroc - Chihab 25 المملكة المغربية الشريفة - شهاب - Page 78

  • Maroc-Algérie : Qui mourra le premier, Tebboune ou Chengriha?.Une interrogation à prendre au sérieux...

                                                                                                            drapeau-du-maroc-image-animee-0008  

                                                        Le vrai visage de l'Algérie

    La conséquence assortie de cette stérilité, se caractérise au réveille de la conscience arabo-africaine. Du fait, qu'il n'y aura pas de sommet arabe chez Tebboune, comme prévu le 1 et 2 novembre prochain en Algérie : La majorité des pays arabes pro-Maroc, ceux  du Golf, particulièrement, ont exprimé à Abou L'ghitte, le Secrétaire général de la ligue arabe leur amertume envers l'hostilité Algérienne contre le Maroc et sans que la présence, au "haut niveau" de ce dernier, ils ne participeront pas au sommet. Le message fut passé, à cet effet, par Abou L'ghitt informant, en définitive, l'Algérie des difficultés à tenir le sommet en temps et lieu convenus?

    Contrairement aux idées véhiculées par la propagande, le sommet de la Ligue n’a pas été confié à l'Algérie pour son rayonnement, ou compte tenu du rôle incomparable (!) de sa diplomatie d'autruche. La réalité est beaucoup plus triviale: c’est à la rotation de l’ordre alphabétique des Etats membres de la Ligue arabe que ce pays doit l’organisation du sommet. Une prouesse au tabac à chiquer (Chemma), voire la preuve que l’Algérie «se replace» dans l'échiquier des Etats ennuyeux du monde... 

    Le régime algérien aurait perdu là un coup diplomatique rare, en mobilisant ses acolytes des Etats arabes, dispersés et sujets à des luttes insurmontables, autour d’un rendez-vous déterminant pour l’avenir des populations du monde arabe… Cela, c’est la propagande algérienne. Donc l’Algérie hérite du sommet de la Ligue arabe, pas par mérite ou par crédibilité, mais en raison de la place qu’occupe dans l’ordre de l’alphabet arabe.

    C’est donc à tour de rôle que l’Algérie devait l’organisation de ce sommet, et non pas aux mensonges dont ce régime, en fin de vie, abreuve son opinion publique locale. A mon sens, c'est l'erreur inappropriée qu'a commis  le metteur en scène de la mascarade théâtrale des commanditaires de l'homme aux boues.

    C’est à un hasard que l’Algérie était désignée pour y abriter le sommet. Ce qui n’a pas empêché le régime de jouer à fond la carte de la propagande en présentant ce sommet comme une initiative de Tebboune et même un exploit de l'Algérie. «Cela fait bien rire sous cape les autres Etats membres, dépassés par autant de bêtises Algériennes», commente laconiquement le diplomate d'un pays arabe, accrédité à Rabat.

    Il est à rappeler à cet effet, que Lhamamra, ministre aux affaires mensongères de l'Algérie "comptait et gagnait tout seul", il montait au créneau haineux, pour plaire à ses maitres, quand il avait prémédité les choses par sa sortie médiatique provocatrice au journal Algérien -L'Expression-, confirmant que le prochain sommet arabe prévu en Algérie sera une "occasion adéquate de soutenir", bien sur ses palestiniens pro-Algéro-Iraniens de la bande de Gaza.

                                                                       

                                                                                                           Le maitre de la force de frappe-dz

    J-B et Vodka...Oui virtuellement, on pourra faire, avec ces boissons-poison l'éclat et l'irréalisable. Mais soutenir qui, quoi et comment?, bien sûr, il y en auraient que les Polialgériens et les acolytes d'Ismail Hanyie à Ghaza, au moment où le régime règle avec persistance, les comptes avec ses adversaires locaux du temps de Boutefrika, continuant à les juger pour divers chefs d'accusations spectaculaires, en vue de nettoyer, en toute quiétude, les passerelles vers d'autres étapes de corruption et de conter des fables touchant la grandeur du Maroc. 

    D'autant plus, que depuis que le Maroc avec plusieurs autres États arabes, a simultanément rétabli ses relations avec Israël, l'Algérie s'est mise, verbalement contre, enragée d'envie, et régulièrement mise au rythme de désinformation, comme seul pays capable de libérer le monde des illusions  révolues, sans perdre, en parallèle, son souhait de franchir le pas, discrètement, vers la normalisation avec l’État hébreux.

    Mais elle patine en rond sur place, sans pouvoir sortir de sa coquille et s'en passer de l'orgueil qui l'attache sévèrement encore aux rêves du nationalisme d'autrefois. Le faux nationalisme du maudit Jamal Abdenacer, défiguré par les réalités et disparu avec la défunte guerre froide .

    A chaque fois, les autorités d'Alger démentent, constamment, le désir d'aller vers Israël, sans réussir à calmer la polémique interne à ce sujet. Cette Algérie du dernier temps (Tebbou/Chengri) est peu à peu mise à l'écart,  de toute concertation arabe et considération régionale et privée de voir même de prés, les exercices militaires conjoints «African-Lion 22», organisés par le Maroc et par l'Africom Américaine, ce qui augmentait plus, le degré de colère et de nervosité chez Tebboune et son entourage.

    A souffler enfin à l'oreille Algérienne que : «Le Royaume du Maroc, l'unique pays ancestral, est fier du partenariat qu'il a renoué avec l'Espagne de Pedro Sanchez,  souhaitant à l'Algérie tous les maux politiques de la planète».

     

                                                                       Attention                                                       Est-ce réglé!                                      Zitout, trahit l'opposition

    L'ère d'assassinats.. A la rédaction nous ne ferons pas d'étrange rituel au détriment de nos valeurs. Nous ne risquons pas non plus, d’écorner la dignité d'autrui ou d'embrasser sur le crâne d'un sale jongleur, se prenant en juste croyant de la place à Bab El Oued d'Alger. La sagesse et la crédibilité Marocaines continuent de faire figure d’exemple à suivre en Afrique. Du moins, avec les sages de l'Afrique sans Algérie?. Le Royaume a déjà gagné des pays amis avec une grande débauche d'énergie et d'influence au continent.

    «Tabboune/Chengriha» se croquaient au solstice de temps et d'autorité, ont visiblement "le blues". (Musique vocale, dérivée de chants, de travail et de folklore Afro-Américain du sud des Etats-Unis). Des témoins qui les ont approché récemment l'assurent. Depuis leur apparition en plein écran en Algérie et même un peu avant, leurs confidents en soufflent déjà aux salons privés d'Alger qu'ils apparaissent nostalgiques, comme s'ils mesuraient que, avec leur pouvoir qui commence, ils sont plus près de la fin que du début enfreignant toutes les valeurs de la crédibilité. 

    On fait, entendre à Alger et ailleurs qu'ils ne pourront pas continuer sans fin. Ils commencent à avoir conjointement des désaccords, des désajustements de commande, évitant de se rapprocher, l'un de l'autre. Depuis leur apparition en plein écran en Algérie, «et même un peu avant», leurs confidents en soufflent abondement aux salons privés d'Alger. Ils apparaissent nostalgiques, comme s'ils mesuraient que, avec leur pouvoir qui commence, «ils sont plus près de la fin que du début».                                      

    C'est une évidence, mais l'Algérien, le simple sujet, l'oublie parfois. C'est le mouvement de l'orgueil à l'algérienne, dans l'espace qui rythme la vie Algérienne au quotidien. Nous ressentons chez nous au Maroc en particulier les effets de tout mauvais périple du pouvoir, autour des autorités politico-militaire qui se disputent  le leadership à travers leurs saisons.

    Or, les résultats médiocres de gouvernance enregistrés là-bas, au palais d'AlMouradia, comme aux casernes d'Algérie ont, de nouveau, remis en première ligne l'idée d'assassinat, dont la popularité l'insupporte, depuis l'assassinat du président Mohamed Boudiaf à Annaba en 1992 et de «Kasdi Merbah  en 1993, assassiné avec son frère et son fils à Alger-Plage,  l'’homme était le patron de la sécurité militaire, possédant les dossiers noirs des gouvernants, il leur faisait peur. Les secrets de ces deux assassinats restent encore vivants. (Au suivants..!)

    Au sommet de l’État, on perd toujours la niaque en Algérie, se croyant pouvoir gambader avec la communauté internationale au sujet de liquidations physiques d'élites Algériennes innocentes. Si une personne s'affiche en plein écran, les occupants du cercle de décision chercheront d'obérer toute issue pour ne lui permettre de briller davantage et d'habitude, au cas de besoin, ils font appel au système d'assassinat, pour dégager les obstacles et couper les mauvais herbes du devant pouvoir militaire en place..

    Cette pratique  est un fait emblématique courant, béni officiellement dans presque tous les sillages de l’État. En se référent aux liquidations physiques au passé sanglant de l'Algérie, les observateurs constateraient que les assassinats antérieurs d'Algériens sont énormes depuis que l'Algérie est Algérie.

    Personne ne peux localiser le registre de tous les assassinats antérieurs. A ma connaissance, trois hommes-piliers Algériens étaient exterminés avec un sang froid. S'agissant en particuliers, des cas : d'un certain -Abane Ramadan en décembre 1957 dans une base arrière Algérienne au Maroc...de -Mohamed Kheider en janvier 1967 en Espagne, et de l'assassinat en direct du feu -Mohamed Boudiaf à Annaba en Algérie.

    On se demande aujourd'hui, qui serait la prochaine cible?. Certainement l'un des deux connards occupant aujourd'hui les devants, en l'occurrence... Chengriha qui prépare ses funérailles et creuse sa tombe par les limogeages anticipés de hauts gradés de la racaille Algérienne poussant, en parallèle, les fossoyeurs à sortir de l'état de chômage.

    Tebboune, quant à lui erre dans couloirs d'AlMouradia sans plan précis?, causant trop de fissures à la présidence pour faire couler le navire accosté au quai Algérois, déjà hors usage...Il attend de l'aide du diable, mais personne n’apparaissait volontiers à l’horizon. Les deux seront les plus ciblés. Mais qui va disparaître le premier et qui va-t-il donner le coup d'envoi meurtrier afin d’augmenter le niveau d’immunité du régime?. Une question  non négligeable à suivre par tout observateur de la chose Algérienne).   

    Mythe en faillite...Pour se préparer à toute éventualité, la nécessité exigerait la collaboration de tout bourreau Algérien de la place. Ainsi, le duo du mal, les généraux (Nezar et Toufik) est de retour au pays pour mettre toute expérience d'extermination à la rescousse de l'Algérie.

    Une ressemblance d’État en stagnation politique flagrante, exposé à la conduite par tout venant, même si cela nécessiterait une autre décennie noire. Invités à rejoindre l'Algérie dans le but de superviser éventuellement le redressement de toute situation paraissant inquiétante et inadéquate au pouvoir, vu que ce dernier, avec toute sa racaille militaire et l'anoblissement trop exagérée qu'on lui donnait, n'a pas la capacité politique pour bien gérer le pays. 

    C'est pourquoi en a faisait appel au secours à Khaled Nezar, le bourreau de la décennie noire des années 90 qui était exilé en Espagne après avoir été condamné par contumace par la justice de l'autre général, l'inhumé Ahmed Gaid Salah  qui, dans son vivant, était l'homme fort de l'Algérie et qui tenait à suivre farouchement la ligne de haine et d'hostilité de l'Algérie envers le Maroc.

    L'autre Mohamed Médiane, alias Toufik, que les Algériens dénommaient «Rab Dzair...le briseur de vent et faiseur des Rois» était caché quelque part en Espagne durant l'effervescence du Hirak en Algérie?  C'est-à-dire, il est le criminel le plus engagé .

    Ces deux malfaiteurs qui dirigent actuellement l'Algérie derrière les coulisses, maintiennent le -statu quo- de haine envers le Maroc et ce pour plaire, en premier lieu, aux commanditaires d'ElMouradia, et au second par maintenir l'interdiction totale de circuler entre l’Algérie et le Maroc, même par ciel, ainsi que par la fermeture aux voyageurs de la Tunisie depuis plus de deux ans. La situation d'instabilité de l'Algérie est catastrophiquement obérée par l'incertitude. Une fonction de malfaisance qui représentait pour le régime Algérien un caractère "quasi national" en raison du désagrément fâcheux imposé par le pouvoir autoritaire, composé d'ex-caporaux de l'Algérie Française, bloquant pour survivre, tout passage menant à une réelle situation d’État démocratique.

    La vague de malheur qui s’abat sur l’Algérie révèle crûment les périls du dérèglement politique. La fournaise expose l’inaction des entreprises, surtout étrangères, en proie au blanchiment d'argent, autant que les propres contradictions  du pouvoir. À l’heure d’une nouvelle échéance de chaos, le régime met enfin en valeur l’importance d’un choix de société dingue, inactive par la maintenance d'oppression farouche. 

    «Rien à déclarer... Les Algériens ne risquent pas d'entendre cette question sur les flancs de leurs frontières. Leur pouvoir a vissé les verrous frontaliers avec la Tunisie il y a deux ans, cadenassé sa frontière avec le Maroc depuis plus de 20 ans. On ne fait pas cela, généralement, dans la demi-mesure aux pays des «systèmes» militaro-politique, même dans les tiers-mondistes, les moins civilisés. 

    Le conflit avec le Royaume Chérifien, datant depuis l'ère du feu Hassan II, pour cause de Sahara Marocain, ne cesse de s'envenimer au prix de nouvelles rétorsions. Des chancelleries, rupture unilatérale des relations diplomatiques,  des venimeuses déclarations des gouvernants Algériens envers le voisin de l'est- la Tunisie risqueront de perturbations, en quelques sortes,  conséquentes entre les deux pays.

    Même les 300 millions dollars donnés par l'Algérie à  Kaiss Saïed ne pourraient soigner les plaies causées par les propos anti-Tunisiens de Tebboune, quand il a récemment désigné, voire humilié la femme Tunisienne par des termes très touchant à l'honneur.(!).

     Ainsi en clair, très peu, pour ne pas dire presque aucune personnalité politique majeure et intelligente en Algérie n’osera miser sur la fiabilité du système Tebboune. Un système totalement brinquebalant qui pourrait être sapé par la prochaine « tempête populaire » lorsque le Hirak et la rue vont se réveiller de nouveau.

    Entre temps, le duel pour offrir la meilleure boite de tabac à chiquer (chemma)  au personnel d'AlMouradia pour arracher leur confiance, est à son paroxysme et Tebboune doit trancher, sous l'effet d'alcool (wiski JB ou vodka acheté au compte de l’État) pour désigner un aide de camp qui va le promouvoir ou celui qui va l’éjecter du pouvoir et voir éventuellement sa valeur et sa charge mentale réduites à néant. Et que va-t-elle gagner l'Algérie?, je veux dire que va-t-elle faire la veuve Algérie qui, malgré elle, a perdu ses conjoints les plus crédibles d'Algériens! Nul ne le sait, même les pronostiqueurs et maitres de jeux de hasard.