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«-Le Royaume Chérifien du Maroc - Chihab 25 المملكة المغربية الشريفة - شهاب - Page 79

  • L'Algérie malade de scission entre paroles et actes et pourtant, dit-on, grâce à Tebboune, l'Algérie devient une référence mondiale

                                                           

                                                                          drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                                                             Programme de Tebboune                                                            

    Remarque de bonne fois : Quant la créativité rencontre la productivité, ça serait l'objectivité tracé par  la rédaction du blog.. Certains lecteurs se plainent de la longueur des contenus de notes et d'interventions que propose la rédaction, demandant à l'admin de raccourcir, au maximum, les textes à venir, pour permettre au lectorat une visite légèrement appropriée, de lire, prendre note et partir sans se fatiguer ou s'ennuyer, vu que chaque visiteur a ses propres préoccupations qui l'attendent.

    Malheureusement, en répondant à ce souhait, je n'ai trouvé à l'unique colonne du blog, aucun élément subversif paraissant fugitif , méritant la suppression. Il y en a que le nécessaire au pavoisement du blog tels que : «Vert clignotant - Armoirie du Royaume -  Territoire national (actuel) - Couleurs nationales -  les Monarques du Maroc - Plateforme d’hébergement - Tags d'obligation, telles que - Notes, catégories, blogs mis à jour, pages jointes, tags populaires et archives».

    Je dirais dans ce sens, que je ne crois pas à la longueur de mes écrits, étant que je ne peux abandonner les idées qui m'interpellent et me rappellent mes antérieurs, me privant, en parallèle, de mes positions humiliant l'ennemi Algérien. Je ne peux m'en passer de ce qui se passe en Algérie de dissidences artificielles, rapport de force politique entre pouvoir et ses sujets Kabyles et Targuis, de leur représentativité, leur abstention du champ politico-militaire.

    Sachant que les gouvernants Algériens ne sont plus brillants qu'en contrariant le Maroc dans toutes ses directions, oubliant leur prérogatives. Ils sont dénudés devant tout le monde et ne peuvent êtres, en aucun cas, une référence mondiale, comme précisé, accidentellement, au titre de la note. Au contraire ils resteront toujours, par faiblesse mentale, à couteaux tirés évitant toute réconciliation future avec le Maroc. Elle préfère servir de la soupe au diable pour toujours s'éloigner de la raison, faisant peau neuve d'hypocrisie. 

    Du coté d’embêtement au Maroc, l'ex-ministre Espagnole Arancha Gonzalez Laya monte une nouvelle fois au créneau pour liquider ce qui lui reste à faire de l'agenda Algérien, justifiant le chèque, qu'elle aurait pu encaisser parait-il, surtout après avoir était limogée par Mr.Pedro Sanchez, pour attitude inappropriée et fautes graves de gouvernance.

    Elle était jugée responsable de la dégradation des relations Maroco-Espagnoles après avoir placé, les intérêts de la propagande d'Alger au-dessus de la loi et de la morale, accueillant, frauduleusement, sur terre d'Espagne des mercenaires Polisalgérien, dont Brahim R'khiss, sous prétexte palpitant «pour raisons dites humanitaires». 

    Une année après la crise diplomatique entre le Maroc et l'Espagne, le scandale d'espionnage avec le logiciel Israélien Pegasus continue d'alimenter les débats en Espagne. Cette dame controversée, pour plaire à ses maitre d'Alger, elle revient à la charge, accusant le Maroc d'avoir procédé à des «écoutes» en 2021 durant la brouille diplomatique avec Madrid.

    En définitive, son échec diplomatique dans ce sens lui avait apporté que de la poisse et elle pleure certainement sa défaite quelque part aux salons Madrilains puisque elle a préféré de faire supporter à son pays des bouchées doubles avec le Maroc.

    Mais tant mieux pour elle, elle n'a jamais réussi, elle a en parallèle, endossée que l'échec, appuyant, sans vision aucune, les diktats du palais d'AlMouradia d'Alger, qui lui sont passés, via chèque-gras, pour mentir, bidouiller les réalités au monde extérieur, accusant en retour le Maroc de tous les maux de l'Algérie

    Et pourtant, nous Marocains, nous sommes habitués à des harcèlements pareilles de la part de l'Algérie et nous sommes consolidés, voire conscients de nature, pour supporter davantage l'hostilité ennemie, en moyens de rigolade politique, convaincus en contre partie, de l'efficacité du cercle Bourita au moment où l'Algérie avait cramé, frauduleusement, à tort et à travers,  trop d'argent pour s'acheter une issue vers l'Atlantique.

    Elle misait péniblement, sans pouvoir faire effraction à l'opposition Marocaine, pour liquider le fer qu'elle était en train d'extraire du gisement de "Ghar Jbilat-Tindouf, en dépit de l'accord qu'elle a signé, à un jour de calme, avec le Royaume sous la bénédiction et le témoignage de Léoned  llitch Brejnev, le Secrétaire général de l'ex-URSS.

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     Le volet principal..(En quelques florilèges). La presse jaune Algérienne vient de vomir ses dissimulés, soufflant ses louanges au président-menteur de l'Algérie, du genre qu'on peut trouver gratuitement en Algérie, et pas dans d'autres pays crédibles  :  «Grâce au génie Tebboune, l'Algérie devient une référence mondiale». Une imagination spectaculaire, imitant le psychanalyste Autrichien Sigmund Freud, quand il composa un «Portrait psychologique» du président Américain Thomas Wilson sans l'avoir jamais rencontré et sans cacher son animosité envers ce patient imaginaire.

    Je me demande de quelle référence, référence en quoi? rêvent-ils ces Algériens!. Leur écurie de désinformation ne s'arrête pas là, elle a publié un article brossant le rôle de Tebboune dans la restauration de l'Algérie à sa place d’hypocrisie et de jonglage politique. J'ajouterai, à toute sale plume ou clavier Algériens..."la restauration davantage de l'Algérie à l'ingratitude, l'orgueil, désenchantement et le déshonneur" .
    C'était le trop-plein d'une glorification pré-payée. Une signification gratuite, puisqu'on ne paye rien, même si on chahutait le diable. Telles sont les termes brossant le locataire du palais d'AlMouradia d'Alger. Termes payés chers au détriment de l'Algérien qui souffre de manque, de tout, particulièrement d'eau potable dans une Algérie dite vachement de "Fièreté et de dignité Taflikienne". Mais avec sa réaction à la décision souveraine de l'Espagne en faveur de l’autonomie du Sahara Marocain, le régime Algérien épargne désormais au Maroc l'effort de convaincre quiconque de la Marocanité du du Sahara. 

    Là-bas en France.. Aujourd'hui, on entend parler autrement avec un silence absolu à l’Élysée, comme au Quai d'Orsay. Du fait qu'un réalisateur chevronné de cinéma en France voyait l'Algérie d'un autre œillet. Il réalisait un film avec à la fiche : «Harkis», le film qui fera polémique au sein des français, du 2ème degré et parallèlement en Algérie. Les Harkis, rappelons-les sont les Algériens qui se sont mobilisés, à la dernière heure, pour aider la France à ne pas quitter l'Algérie Française et à ne pas ouvrir la voie de l'indépendance aux insurgés dits (Moujahidines pour les Algériens).

    Pour éviter, éventuellement, tout incident, vengeance ou crimes qui pourront êtres perpétrées au départ des Français par les nouveaux maitres de l'Algérie, le gouvernement De Gaulle, le dernier des géants, a pris la décision de les ramener en France avec ses colons d'Algérie, il est même allé jusqu’à qualifier toute autre mesure d’«apartheid Français» contre les futurs musulmans de France qui viennent du département Français d'Outre mer.

    Les questions de la colonisation, de guerre d'Algérie et de la mémoire commune entre l’Algérie et la France relèvent souvent du passionnel. Les visions des deux pays ne sont pas réconciliables sur beaucoup de dossiers et cela près de 60 ans après l’indépendance de l’Algérie.

    Parmi ces dossiers, celui des harkis reste le plus sensible. «Traîtres pour les Algériens», «des hommes qui ont combattu le FLN pour la France», ces supplétifs de l'armée française sont au centre de visions radicalement opposées des deux parties. Les Harki, les Franco-Algériens, furent le contentieux le plus récurrent et qui fait obstacle à tout rapprochement des deux pays.

    C'est à ce sujet très compliqué et complexe auquel s'est attaqué le réalisateur  Français (Philippe Faucon). Dans son long métrage il propose «la vérité» qui avait fait débat, que ce soit en Algérie ou en France, du fait qu'il fait polémique, étant donné qu'il n'a pas choisi de plaire à aucune partie.

    En effet, ce thème est à l'origine de divergences historiques et quel que soit la façon dont on raconte leurs histoires les Algériens et les Français ne peuvent jamais se mettre d'accord. Or du coté Maroc, beaucoup de Marocains n'accepteront certes, ni la capitulation ni la servitude de l'ennemi Algérien, pour des raisons d'honneur, de bon sens et d'intérêt supérieur du Royaume." Se rappelant ainsi du fameux appel du 18 juin 1940, du général De Gaulle adressé aux Français pour résister et tenir le coup contre l'invasion Allemande d'Hitler.

    Les traîtres Algériens..Noureddine Aït Hamouda, un ancien ministre Kabyle, devenu l'opposant farouche du pouvoir Algérien avait fait bombe en citant, par noms, ce qu'il considère «les traitres de l'indépendance», en particulier, les anciens présidents Ben Bella, Boumédiène et Bouteflika. C’est au grand non-dit de l’histoire officielle algérienne qu’il s’est ainsi attaqué. Une charge, bien plus fondamentale que celle menée contre la mémoire de leur (émir) Abdelkader  car elle est portée contre le système Algérien tout entier.

    Ce faisant, Noureddine Aït Hamouda rend public le non-dit qui est au cœur de la lutte à mort que se livrent aujourd’hui les héritiers des auteurs du coup d’État de 1962. Le coup d’État pour lui, c'était l'octroi d'indépendance à l'Algérie par la le général De Gaulle, et ceux qui se réclament de la légitimité du GPRA. Un retour en arrière s’impose, sans lequel la polémique qui secoue actuellement l’Algérie est persistante.

    La connerie impardonnable.. Dès le lendemain de la seconde guerre mondiale, la question berbère divisa le courant algérien. En 1948, dans son appel à l’ONU, le PPA (Parti du peuple algérien) de Messali Lhaj, inscrivit dans le texte la phrase dogmatique suivante: «la nation algérienne, arabe et musulmane existe depuis le VIIe siècle», ce qui provoqua la fureur de la composante kabyle en Algérie Française. Et par le biais Messaliste l'Algérie cherchait, vainement, à s'imposer en nation ancestrale antique. 

    Puis, en 1949, au sein de la section de métropole de ce même parti, éclata la «crise berbériste» qui opposa les Kabyles voulant faire reconnaître le «berbérisme» comme partie intégrante Algérienne, ce fut à l’occasion de cette crise que fut posée la question de l’identité algérienne. Cette dernière était-elle exclusivement «Kabyle-Targui-Amazigh ou arabe tout simplement?» C'est une question qui s'impose aux Algériens, à laquelle devront se pencher et y instaurer une identité commune.

    Pour le secte Messali Lhaj, l'arabisme et l'islamiste étaient les éléments constitutifs sans lesquels l’Algérie-Française ne pourrait pas faire «coaguler» ses différentes populations. Tout était donc clair : l’Algérie était une composante d'une nation multicolore, un moyen d'intervention dissuasive pour le colonisateur Français de diviser les Algériens.

    Les berbéristes furent donc écartés de les Messalistes et ce fut alors que le Kabyle Hocine Aït-Ahmed perdit la direction de l’OS (Organisation Spéciale) au profit de l’Arabo-Marocain Ahmed Ben Bella en simple jeton Égyptien.

    Une guerre interne se prolongea durant la guerre d’indépendance Algérienne qui, sur le terrain – et non depuis les camps de l’ALN installés au Maroc et en Tunisie–, fut essentiellement menée par des maquisards dont les chefs étaient que les Berbères...«le colonel Amirouche Aït Hamouda, ou encore Hocine Aït-Ahmed».

    Au lendemain de l’indépendance de l'Algérie, les véritables combattants, ceux qui avaient tenu le titre-maquis et qui sortaient épuisés et affaiblis de sept années de Cash-Cash au Maroc et en Tunisie, furent en effet évincés par le clan de Boukharouba, dont les forces étaient intactes puisqu’elles n’avaient pas véritablement combattu les Français, quand, lui et son gamin Bouteflika faisaient leur guerre en bases arrières, jouant, uniquement, les cartes du hasard (la ronda)  à Nador au Maroc.

    Ce fut le coup d’État de l’Armée de Libération contre le GPRA (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) était l’acte de naissance du «Système algérien actuel» lequel, pour tenter de se légitimer, a écrit une fausse histoire construite autour, au mieux, de mythes, mais le plus souvent de mensonges.

    En 2010, la parution du livre Amirouche, «une vie, deux morts», un testament, écrit par Saïd Sadi; secrétaire général de l'RCD (Rassemblement de culture et de démocratie) et consacré au colonel Kabyle Amirouche Aït Hamouda, le père de Noureddine Aït Hamouda, fit exploser la fausse histoire officielle de l'Algérie.

    Dans son livre, l'auteur soutient en effet que le colonel Amirouche Aït Hamouda, le chef emblématique Kabyle, liquidé en embuscade. Puis, une fois au pouvoir, les dirigeants auraient ensuite littéralement effacé sa mémoire du -panthéon national algérien-, afin d’éviter qu’un culte patriotique lui soit rendu.

    L’actuelle polémique qui secoue l’Algérie va donc bien au-delà de la mémoire du colonel Ait Hamouda. Cependant, en focalisant sa contre-attaque sur les accusations portées à l’encontre de ce dernier, le «Système» lâche un nuage de fumée qui lui évite d’avoir à rendre des comptes sur une «légitimité» historique qui se délite chaque jour un peu moins.

                                           Silence... On s'attire les foudres d'Alger..

    Les États-Unis et le Maroc ont lancé le 20 juin, à Agadir, un exercice militaire de grande ampleur en Afrique (African Lion 2022) avec la participation de 7.500 soldats et des observateurs, dont Israël et plusieurs autres pays qui participent pour la première fois.

    La participation des militaires Israëliens survient dix mois après la normalisation des relations avec le Maroc, suivie d’une accélération de la coopération militaire entre les deux pays. Menés par l'Africom, ces manœuvres d’une durée de dix jours se sont déroulées principalement au Maroc dans diverses régions. Des sources marocaines ont évoqué le prolongement de l’exercice militaire African Lion 2022 jusqu'au Mahbes au Sahara Marocain, à la limite avec l’Algérie pour tirer l'oreille à l'Algérie et à son Polisalgérien.

    Qu’en est-il exactement? L'Algérie a dénoncé, comme à l'accoutumée, ces exercices en les considérant de provocation disant qu' « Il s’agit, encore une fois, d’une manipulation grossière concoctée par les faussaires patentés du Maroc institutionnel », selon les propos de Belani, le jockey Algérien de tout vent, pour ne pas reprendre son qualificatif 'spectaculaire' que lui attribue Alger.

    « Par contre,  la bande militaire d'Alger paniquée, pour jeter de la cendre aux yeux des siens, organiserait, auparavant, une partie similaire à cet exercice (avec balles réelles) aux alentours de Colomb-Béchar pour prétendre mensongèrement que ces manœuvres Maroc-USA (africom 2022) n'étaient que des imitations des manœuvres Algériennes effectuées dans la région de Tindouf,!». 

    Conclusion...Depuis le deal triangulaire Maroc-Israël-États-Unis, qui a été conclu en décembre 2020, le Royaume Chérifien s’est engagé dans la direction de préserver sa force militaire et son leadership dans la région, quoi qu'il en soit l'attitude ennemie Algérienne.

    Le régime des généraux a toujours l'habitude de mentir et de faire rougir le citoyen Algérien. Est-ce raisonnable au 21ème siècle et à l'heure de la vitesse et de la mondialisation, le gouvernement Algérien traite encore le citoyen algérien comme s'il traitait les -gens de la caverne-, (S'hab L'kahf) comme si l'Algérien vit dans une grotte et qui ne sait pas ce qui se passe autours de lui et que le niveau de ce qui est connu n'est guère au-delà des informations qu'il lui fournit.

    Il a son état, ô gouvernement, qui s'est moqué de l'ignorance des nations. sachons que grâce à une invention qui s'appelle Internet, le citoyen algérien ne regarde plus les actualités officielles qu'on lui présente dans son pays ni les dictons ds son pouvoir, l'internet lui a donc offert un large espace de liberté dans lequel il se cherche et s'instruit.
     
    Ça peu dire que l'annonce de la création d'un «Conseil Algérien de recollement de pots cassés» ou ce qu'il appelait Tebboune en arabe..(lamm Echaml), à une semaine de son annonce; n'a pas suscité l'effet escompté. C'est même tout l'inverse. Et c'est-là, bien entendu, l'effet de la maladie de scission entre paroles et actes qui infecte le  pouvoir Algérien et pourtant dit-on, vachement, c'est grâce au génie de Tebboune, que l'Algérie devient, une référence de malveillance mondiale.
     
    «Ce n'est pas avec ça que le pouvoir Algérien va gagner la bénédiction d'une rue, trop mouvementée par un Hirak toujours en vue ! Ce mouvement populaire, jamais vu en Algérie contre les caporaux-fr, insultait avec amertume le Covid-19 pour avoir épargné la rue Algérienne, censée être brûlante. Ça ne va pas faire calmer, non plus, les tensions Algériennes, asphyxiées localement par la pression de Chengriha et acolytes. C'est totalement décevant, s'indignait un Hirakiste qui a l'oreille aux alentours du soi-disant président Tebboune, le jockey incontesté des militaires en Algérie. Bonne lecture.
     
                                                   Cordialement,Chihab25
     
     
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