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La double trahison des Marocains qui gouvernent en Algérie

(..Vous dites que je suis royaliste plus que le roi.!,Oui, je le suis,et j'en suis fier de l'être. L'objet du nouvel an n'est pas que nous ayons une année de paix politique avec cette voisine folle (algérie)!,mais que nous ayons encore une nouvelle année d'ennuis,en grand froid !!.Quoi qu'il en soit,en prévision de toute éventualité,le Maroc,le Royaume du Maroc, restera droit dans ses bottes jusqu'à ce qu'elle revienne à la raison..) L'admin.Chihab25.


 العائلة الملكية المغربية

Une fois encore, les Marocains qui gouvernent en Algérie,nos mauvais concitoyens au sang impure!

Une Algérienne qui se trouve quelque part hors de l'Algérie, un autre Algérien résidant à Alger viennent d'envoyer au blog les commentaires ci-dessous qui reflèttent leurs réactions,aprés avoir lu l'article concernant "LES ENGAGEMENTS NON TENUS DE L'ALGERIE"je les reproduis pour prouver que le peuple Algérien est vraiment 'anéanti' chez lui par une poignée de salauds à leurs têtes son excellence le président à vie le " Vieux Nain Papa Délta "  comme si toute l'Algérie n'a pas accouché d'hommes d'état de valeur. Cet Algérois éxprime lui aussi par voie d' MSN ses impréssions par un long éxposé.La rédaction a le plaisir de publier ces deux réactions sans commentaire.Appréciez par vous-même Messieurs les visiteurs,car selon l'écrivain Français Jean Rostand ,l'obligation de subir nous donne le droit de savoir.Ces réactions attestent que le blog a bien réussi à toucher les esprits des algériens,et qu'il est sûrement suivi avec asiduité par les services de sécurité algériens.

Début de citations:

1) "je suis algérienne. j'ai vécu en algerie pendant 30 ans.je connaîs la politique que suivent les sanguinaires militaires.ils utilisent les médias pour accroître la haine contre le maroc en mettant en avant le nationalisme aveugle. je suis désolé de l'écrire, malheureusement la majorité des algériens adhèrent à ce discours. a force j'en avais plein la tête. les marocains sont mes frères, d'ailleurs je me sens tout aussi algérienne que marocain. pour information: il ne faut pas s'étonner de ce que font ces militaires envers les prisonniers à tindouf, ils font la même chose avec leur propre citoyens.rappelez-vous lors des élections de 1992. la victoire des islamistes les a insité à déporter des milliers de personnes au sahara dans une région inhabiteé où l'on a pratiqué les pires des tortures, malheureusement personne n'en parle. èsperant un jour que" les décideurs dans pays changent.nous seront un seul peuple sans frontière.Fatima Lahdaji.

2)" Mr.Chihab-25, Permettez-moi de vous dire que nous Algériens,nous sommes pour rien dans votre affaire avec le gouvernants Algériens.Ceux qui créent les problèmes à votre pays sont : les vôtres..oui !! je dis bien les vôtres..!!,car ils sont tous des Marocains qui,malheureusement ont bien réussis à se faufiler,à griller les étapes par fraudes, grimpant les marches d'une échelle vide, pour atteindre -malgré nous -la plus haute autorité- dans notre pays.
En lisant l'article que vous venez de publier le 23 janvier 2010 dans votre site sous le titre : LES ENGAGEMENTS NON TENUS DE L'ALGERIE. Je réponds à l'appel fraternel que vous lanciez en préambule,et je me suis dis qu'il faut bien agir et intervenir pour mettre les choses au point..Je vous serai trés reconnaissant de bien vouloir publier sur le même endroit dans votre site,cet l'article que je vous envois par MSN,pour que nos frères Marocains puissent faire de la différence entre les vrais Algériens qui n'oseront jamais porter atteinte à votre pays le Maroc,qui  avec beaucoup de générosité nous a bien accueilli sur son sol,et nous a aidé durant notre peine de libération qui a duré huit ans, et entre les Marocains qui nous gouvernent,et qui sont devenus malgré nous des Algériens pirates par "adoption". Je vous remercie. Mourad MZELDJI,Alger.

Fin de citations:

« Sommes-nous vraiment gouvernés par des Algériens ? » Cette lancinante question, tout citoyen  Algérien qui a eu affaire à l’administration, à la justice ou au pouvoir se l’est déjà posée à maintes reprises comme un éternel refrain. Au fil des générations, depuis 1962, la rumeur publique a accusé tour à tour « hizb frança » (parti de France), les DAF (déserteurs de l’armée française), les harkis,le clan d'Oujda de Bouteflika, et tous les services de renseignement réunis (Mossad, KGB, CIA, DGSE, etc.) de se cacher derrière la Sécurité militaire (SM) et la DRS (Direction de Renseignements et de Sécurité) d'Yves Bonnet,(ancien directeur de la DST Française),qui devient le cœur du pouvoir algérien.


Cette douteuse et malsaine impression que les dirigeants de l’État n’aiment ni l’Algérie ni son peuple a toujours plané autour de la relation gouvernants-gouvernés. On a tous remarqué cette terrible malsaine habitude des membres de la nomenclature qui, dès qu’ils n’occupent aucune fonction officielle, « fuient à l’étranger » dont ils ne consentent à revenir que pour occuper un nouveau poste. D’où les appellations de « mercenaires » ou de « coopérants » dont ils ont été affublés par les nombreux cadres algériens dont la promotion a été barrée ou sabotée par ces pontes du régime.

Les Marocains du Malg  (Malg: Ce nom barbare désigne tout simplement  les "Malgaches" l'ancêtre des services de sécurité algériens. Créé lors de la formation, en 1958, du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne en éxil..)

La vérité vient enfin d’être révélée par un de ces hommes de l’ombre qui font et défont les institutions du pays selon leur bon vouloir. Le journal Le Soir d’Algérie a ouvert ses colonnes à son honorable correspondant Med Chafik Mesbah, ancien officier du DRS, qui a interviewé le colonel Ali Hamlat, ancien responsable des services techniques de la SM. D’après l’auteur, ce témoignage a été rédigé en 1999 sous le titre explicite : « Voilà comment sont nés les services secrets algériens », mais il ne le révèle que maintenant sans expliquer la raison de ce retard.
Le colonel Hamlat lève donc « le voile sur cette première promotion des cadres de la Wilaya V, dont les membres ont, effectivement, constitué, pour la plupart, l’ossature du Malg ». À la question « Sur le plan social, quelle était l’origine des membres de cette promotion Larbi Ben M’hidi ? », Hamlat répond sans hésitation : « tous étaient issus, en règle générale, de familles de réfugiés, de fonctionnaires au service du gouvernement marocain ou, accessoirement, de commerçants et d’agriculteurs établis au Maroc de longue date. La petite bourgeoisie, pour utiliser une formulation marxiste ».

Selon lui : « Le recensement effectué par l’Association des anciens du Malg a permis de situer à soixante-douze le nombre de stagiaires de cette promotion. »
Leur directeur de stage, Khelifa Laroussi, mystérieux adjoint du mystérieux Boussouf, et père du golden boy déchu Rafik Khalifa, leur avait décrété : « Vous êtes les futurs ministres de l’Algérie indépendante ! » Selon les dires du colonel Hamlat, Boussouf leur avait déjà tracé les feuilles de route du contrôle du futur État algérien : « La première concernait la mission de contrôle au sein des unités de l’ALN. Ce contrôle était indispensable pour maîtriser l’évolution de la lutte armée et répondre aux exigences du combat et du commandement. D’autant que la qualité de l’encadrement militaire des unités était à parfaire au regard des faibles qualifications des moudjahidine de la première heure. La seconde se rapportait à la nécessité d’exploiter utilement la masse d’informations recueillies... par tout moyen disponible. En rapport avec les transmissions, mais aussi des informations recueillies auprès de prisonniers et toute autre source susceptible d’améliorer notre capital documentaire. »
Le contraste du mode de vie des « Malgaches » reconnu par Hamlat est déjà significatif de la différence d’état d’esprit entre les moudjahidines de l’intérieur et les « planqués » de l’extérieur. « Ces lycéens et étudiants vivaient, au Maroc, dans des conditions de vie parfaitement pacifiques et heureuses. Des conditions qui étaient tout à fait déséquilibrées, cependant, par rapport à celles de leur peuple et de leurs frères étudiants qui mourraient en Algérie. »

Le colonel Hamlat cite quelques noms connus de cette fameuse promotion des Marocains du MALG : Hadjadj Malika, Miri Rachida, Hamid Ghozali, Abdessmed Chellali, Berri Mustapha, Mohamed Semache, Kerzabi Smail, Abdallah Khalef,alias Kasdi Merbah, Abdelkader Khalef , Mustapha Khalef , Ali Tounsi El Ghaouti, Ahmed Zerhouni , Hadj Azzout , Mohamed Laâla , Chérif Belkacem , Abdelaziz Maoui , Noureddine Delleci , Abdelhamid Temmar , Abdallah Arbaoui , Hassen Bendjelti , Ahmed Bennai , Sid-Ahmed Osman R’zine, Abderrahim Settouti , Khelladi Mohamed , Boualem Bessaïeh , Mohamed Morsly. Ahmed Ben Bella - Abdelaziz Boutelika - Noureddine lyazid Zarhouni - Dahhou ould Lqablia - Ali Tounissi El Fassi - Le général Slim Ben Abdallah - Le général Lhoucine Ben Jelti  - Tahar Khalladi  - Hamid Ghazali  - Abdallah Ben Yakhlef loujdi - Moulay Mohamed El Meknassi  » !

Hamlat cite aussi les noms de deux riches familles marocaines qui ont offert leurs maisons et leurs fermes pour abriter les stages du Malg. Il s’agit des familles Benyekhlef et Bouabdallah. L’un des fils Bouabdallah est actuellement le PDG d’Air Algérie.
Le colonel Hamlat raconte l’engouement des jeunes Marocains ou soi-disant « Algériens de longue date » qui ont rejoint les cellules du FLN disséminées à travers le Maroc. En fait, la plupart d’entre eux militaient déjà dans les cellules lycéennes du Parti nationaliste marocain de l’Istiqlal de Allel El Fassi. Bouteflika était même responsable de la cellule de son lycée à Oujda. Leur transfert naturel dans les rangs du FLN a été facilité par l’esprit révolutionnaire maghrébin, l’idéal du réveil musulman contre le joug colonial et l’ambition de libérer la riche Algérie dont les colons avaient fait un eldorado. Il faut rappeler que cet engouement nationaliste en faveur de la guerre de libération existait aussi à travers tout le monde arabe. Au Liban, Irak, Syrie, Égypte, etc., des jeunes manifestaient dans les rues et voulaient s’enrôler dans les rangs de l’ALN. Ce phénomène existe encore de nos jours chez les jeunes musulmans qui se sont engagés en Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie, Irak, etc. Il est connu que de nombreux Européens et Arabes ont combattu aux côtés des moudjahidines de l’ALN et du FLN. Ils n’en ont pas pour autant dissimulé leur origine, comme l’ont fait en masse les Marocains recrutés par Boussouf dans l’objectif de prendre le pouvoir.

Qui était vraiment Abdelhafid Boussouf ?

En lisant l’interview, on ne peut s’empêcher de remarquer que M. C. Mesbah déroule « sous les paroles » du colonel Ali Hamlat toute une démonstration savante comme si Boussouf réfléchissait déjà en 1955 comme un stratège d’aujourd’hui qui avait tout prévu. La conception stratégique et futuriste de l’opération de formation, le professionnalisme de son organisation et son déroulement, « l’intuition psychologique » de Boussouf, la « profusion de moyens dont il a pu disposer au Maroc »... prêtent aujourd’hui à sourire.
D’où donc Boussouf tenait-il ce professionnalisme et cette redoutable efficacité ? On est encore très étonné de ses choix très judicieux de collaborateurs professionnels, tous DAF, comme le « technocrate » Laroussi Khalifa, l’officier de transmission Omar Tellidji et le baroudeur Abdallah Arbaoui. Était-il donc un « prophète » ou un génie de la formation et de l’organisation militaire ? Ou plutôt a-t-il été lui-même formé, encadré et coaché et par qui ? Pourquoi Boussouf a-t-il recruté ses stagiaires et agents uniquement au Maroc et n’a-t-il pas fait venir des volontaires de toutes les régions d’Algérie ? Voilà les vraies questions que devrait poser aux autres et se poser à lui-même Chafik Mesbah dans le flot de sa phraséologie débridée.
Cinquante ans et plusieurs assassinats et règlements de comptes après l’indépendance, il y en a assez de cette insupportable suffisance qui consiste pour les Malgaches à faire passer Boussouf pour un génie supérieur aussi bien à toute la génération militante qui a généré le 1er novembre, qu’à toute l’intelligentsia militaire française qui sortait d’une capitalisation militaire de plusieurs guerres.
Sans oublier que les leaders de la guerre de libération tombaient comme des mouches sur dénonciation ou dans des embuscades ou sur des repérages de leurs appareils de transmission fournis par la logistique de Boussouf... quand ils n’étaient pas appelés au Maroc pour y être assassinés comme le regretté Abane Ramdane. Sans compter l’énigmatique détournement d’avion qui a neutralisé cinq dirigeants historiques de la révolution qui, à part Mostefa Lacheraf, ont connu des destins très douloureux dès leur libération. Tout cela dans une étonnante impunité, ou plutôt une tolérante protection dans un Maroc sous protectorat français.
Les nombreux et illustres historiens français de la guerre d’Algérie n’ont pas abordé ces questions qui fâchent. Il appartient toujours aux historiens algériens de fouiller un peu mieux les méandres de notre histoire de libération... si on les laisse faire.

La Sécurité militaire sous contrôle des Marocains du Malg

Pendant que les valeureux moudjahidines tombaient au champ d’honneur dans les maquis algériens, les « Marocains du Malg » se formaient et s’entraînaient avec « l’armée des frontières ».
Dès la proclamation de l’indépendance le 5 juillet 1962, le clan d’Oujda fomente son premier coup d’État en destituant violemment le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne) basé à Tunis et impose un authentique Marocain à la tête de l’État. Ahmed ben Mahjoub ben Embarek dit Ben Bella est un marrakchi de père et de mère des ouled Sidi rahal lboudali. Sa biographie officielle le fait naître à Maghnia, mais le culte du mensonge du pouvoir algérien est tel qu’il est permis d’en douter. Il a longtemps caché sa marocanité comme une tare avant de l’avouer publiquement. Une des impostures les plus cocasses des gouvernants algériens est à mettre à son actif. Lors de la guerre des sables de 1963, qu'il avait lancée frivolement pour consommation locale, il s’était écrié : « Hagrouna el marrakchia ! »
Mais durant le court épisode Ben Bella, qui fut destitué par le coup d’État du 19 juin 1965, et à l’ombre de Boumediene qui était ministre de la Défense, les Marocains du Malg ont pris toutes les commandes de la Direction de la Sécurité militaire en la structurant. Le directeur de la SM, Kasdi Merbah, assassiné en 1993, a été présenté jusqu’à aujourd’hui comme un Kabyle né à Beni Yenni et ayant vécu au Maroc. C’est un mensonge d’État. De son vrai nom, Abdallah Khalef, c’est un authentique Marocain dont la famille est originaire et vit encore à Sidi Kacem. Il a étudié à Fès où il a connu ses futurs compagnons du Malg. Il a dirigé la SM depuis sa création en 1963 jusqu’à 1979.
Son 1er adjoint, le colonel Nourredine Zerhouni dit Yazid est également un authentique Marocain, ainsi que son frère Ferhat, également haut responsable à la SM. S’il y a bien une famille qui ne peut nier son origine marocaine, c’est la famille Zerhouni dont le nom vient du djebel Zerhoun accolé à la ville Moulay Idriss Zerhoun, située à 25 km de Meknès, devenue ville sainte depuis qu’elle abrite le sanctuaire du fondateur de la dynastie Idrisside, Idrîss Ier.
Malgré l’évidence de son origine, Nourredine Zerhouni continue de mentir comme il respire. Dans un récent article biographique édulcoré et narcissique sur son parcours où il se vante d’avoir enrôlé en 1962 le sous-lieutenant d’artillerie Mohamed Mediene futur général Toufik, il décrit « une enfance tunisienne (il est né en 1937 à Tunis) et une adolescence marocaine (dans la région de Fès) ». Le journaliste d’origine marocaine comme son nom l’indique, Chérif Ouazani, a oublié que dans un précédent article laudateur, il avait écrit dix ans plus tôt avec un certain Mohamed Sifaoui que « Zerhouni était né en 1938 au Maroc ».
Zerhouni, bras droit de Kasdi Merbah, l’avait aidé à structurer la SM, dirigé la Direction du Renseignement extérieur (DRE), géré le contre-espionnage et créé le Service Action commandé par le sinistre Abdallah Benhamza. Ce tortionnaire, qui avait fait des aveux à la presse par la suite, était chargé de réprimer durement les opposants communistes et berbéristes. Kasdi Merbah, les frères Zerhouni, Ali Tounsi et tous les Marocains formés par Boussouf et structurés dans la SM ont semé la terreur au sein de la population. Après l’éviction de Merbah, Zerhouni prend la tête de la SM de 1979 à 1982. À la suite de quoi, il fut nommé ambassadeur à Mexico puis Washington avant de prendre sa retraite en 1989.
Après l’élection de Bouteflika en 1999, Zerhouni le rejoignit à la présidence avec l’ambition de devenir ministre de la Défense. Face au refus catégorique des généraux d’avoir leur ancien patron comme chef, il s’octroya le ministère de l’Intérieur. Cela fait maintenant dix ans qu’il sème de nouveau la terreur dans toute l’Algérie et en particulier en Kabylie, région qu’il déteste particulièrement. Il est secondé pour cela par son compatriote le Marocain Dahou Ould Kablia, né en 1933 à Tanger, qui est actuellement ministre des Collectivités locales. Il est aussi le président de l’association des anciens du Malg et s’est révélé être un lamentable négationniste qui s’est permis récemment de nier l’aide arabe en la qualifiant de mythe.
Zerhouni peut compter également sur son ami d’enfance, Ali Tounsi, originaire lui aussi de la région Fès-Meknès, et qu’il a trouvé installé à la tête de la DGSN depuis 1995. Auparavant, le colonel Ali Tounsi faisait partie de l’équipe dirigeante des Marocains de la SM en qualité de responsable de la sécurité de l’armée, avant d’être radié des effectifs pour délit d’homosexualité.
Afin que les policiers de base ne sachent rien du passé de leur chef, le site de la DGSN ne mentionne absolument rien sur la biographie d’Ali Tounsi.

Le culte du secret qui couvre le passé et le présent de la carrière des dirigeants militaires n’a pas permis aux journalistes ni aux historiens de déceler leur véritable origine. Eux savent tout sur tous les Algériens et les Algériens ne savent rien sur eux. Plusieurs générations d’officiers de la SM ont fait des enquêtes d’habilitation sur les cadres de la nation sans se rendre compte que leurs propres chefs n’étaient pas Algériens.
On citera à titre d’exemple le cas du général Salim Benabdallah dit Slim, « né en 1938 à l’Ouest ». De la même génération que Zerhouni, il a occupé des fonctions stratégiques en qualité de directeur des Relations extérieures au MDN de 1990 à 1996. Cette structure du renseignement coiffe l’ensemble des attachés militaires affectés dans les ambassades algériennes. En 1999, Bouteflika lui confie la direction du protocole en voulant faire de lui le maître de la sécurité à la présidence en coiffant la direction de la sécurité et la protection présidentielle (DSPP). Le DRS l’en a empêché en maintenant à la présidence un autre « Marocain du Malg », le général Hassan Bendjelti dit Abderrezak, dont le « mensonge officiel » fait croire qu’il est le seul officier supérieur originaire du Sud, en raison de son bronzage prononcé.
On finira ce tableau par le plus illustre des Marocains, le président de la République Abdelaziz Bouteflika, né à Oujda en 1937. Ancien ministre des Affaires étrangères de 1963 à 1979, il a toujours menti sur ses origines marocaines. La biographie officielle le faisait naître à Tlemcen, notamment dans le document distribué aux membres de l’ONU, lorsqu’il fut élu président de l’Assemblée générale en 1974. Ce n’est que récemment que l’imposture a été dévoilée sur sa naissance et sa vie à Oujda où vit encore une partie de sa famille. Le mensonge public continue à faire croire que son père serait originaire de Tlemcen ou d’Aïn-Temouchent.
L’aura de l’immense chef d’État charismatique et populaire qu’était Houari Boumediene a ravalé toute cette faune d’espions et de diplomates au rang de fourmis travailleuses à son service et au service du pays. Son sens inné des équilibres du pouvoir et son nationalisme farouche a longtemps camouflé les réelles origines de son entourage sécuritaire et diplomatique passé maître dans l’art du mensonge et de la mystification. Après son décès en 1978 (par empoisonnement selon certaines révélations), les Marocains du Malg ont connu des flottements dans l’ombre du président Chadli Bendjedid, avant d’occuper en force le devant de la scène depuis l’élection de Bouteflika en 1999L’affaire des « magistrats faussaires »
Le système de cooptation des nominations en Algérie a introduit de nombreux Marocains dans les rouages stratégiques de l’État. Un des plus célèbres est l’actuel directeur de cabinet de la présidence Moulay Mohamed Guendil El Meknessi qui n’aurait acquis la nationalité algérienne qu’en 1972. Avant d’être nommé à de si hautes responsabilités par Bouteflika, il a longtemps été la cheville ouvrière du ministère de l’Intérieur dont il a grimpé tous les échelons (chef de daïra, wali, chef de cabinet, directeur, secrétaire général).
Les « moins menteurs » de ces très hauts fonctionnaires d’origine marocaine font situer leur lieu de naissance à Tlemcen. Comme Tlemcen est une « sœur de Fès » dont les relations remontent à plusieurs siècles, avec des « mariages mixtes » entre les deux villes, la marocanité des tlemcéniens est une évidence historique et géographique que seul le tracé frontalier colonial a pu brouiller virtuellement.
Deux Algériens courageux ont essayé de lever une partie du voile de cette imposture historique imposée au peuple algérien : Benyoucef Mellouk et Abderrahmane Mahmoudi.
Mellouk est une sorte de Don Quichotte algérien qui a révélé à ses supérieurs l’affaire des « magistrats faussaires » dès 1986. Alors qu’il était chef du service contentieux au ministère de la Justice, il a découvert des anomalies dans le passé et la carrière de certains magistrats originaires du Maroc et en a déduit que les diplômes et attestations d’anciens moudjahidines figurant dans leurs dossiers étaient faux. Il détient toujours 132 dossiers et une liste de 328 noms d’imposteurs qu’aucun responsable algérien ne veut voir. Il a été jeté deux fois en prison.
Abderrahmane Mahmoudi a quant à lui été le seul journaliste courageux qui a écouté Mellouk et rendu publique cette affaire en 1992, une très mauvaise année malheureusement. Mahmoudi fut d’abord jeté quelques mois en prison en même temps que Mellouk, puis placé sous contrôle judiciaire durant plusieurs années. Il fut contraint de fermer son journal, l’hebdo Libéré, après l’attaque d’un « commando terroriste » qui a mitraillé trois de ses employés dont son frère.
Mahmoudi est décédé en février 2007 des suites d’un cancer foudroyant. Quant à Mellouk, il continue à vivre une insupportable pression psychologique en prêchant dans le désert de la presse algérienne et en frappant à des portes qui ne s’ouvrent jamais, surtout celle de la présidence.

La double trahison des Marocains du Malg

On comprend mieux maintenant l’impuissance et l’illégitimité de Bouteflika, Zerhouni, des ministres marocains et même des « Marocains du Malg » face à l’omnipotence de l’appareil du DRS. L’importation des réflexes makhzéniens et d’allégeance ont construit autour de la SM un système qui s’est auto-bloqué. Seul un séisme de forte intensité dans une faille du système peut débloquer les faux rapports de force qui s’annulent. Cette faille s’appelle aujourd’hui le général Toufik qui a jeté le déshonneur et l’opprobe sur toute l’armée avec toutes les exactions ignobles qu’il a commises depuis dix-huit ans. Tout le monde attend qu’il démissionne ou qu’il se suicide après la révélation de l’énorme scandale de l’enlèvement et l’assassinat des moines de Tibhirine, comme tout soldat qui doit assumer seul l’infamie de ses actes.
Cinquante ans après l’indépendance, on peut mesurer aujourd’hui les dégâts de la double trahison des Marocains du Malg à l’égard de leurs deux pays. Ils ont érigé un mur d’incompréhension et de camouflage entre les Algériens et les Marocains, deux facettes d’un même peuple. À tel point qu’il y a quelques malheureux Kabyles qui se croient encore seuls au monde au fond de leur puits et ignore que le Maroc est peuplé d’authentiques berbères. Au lieu de revendiquer une illusoire « autonomie de la Kabylie », ils seraient plus inspirés d’aller rendre visite à leurs frères jumeaux du Maroc et de militer pour une « Union du Maghreb berbère ». Le mensonge, l’imposture et le maintien dans l’ignorance du peuple algérien est un crime de haute trahison.
Mais la plus grave trahison qu’ont commis ces Marocains qui gouvernent en Algérie s’est faite et continue à se faire envers leur propre pays. Il ont d’abord commis le double crime des diasporas de 1975. Le soutien militaire et logistique au front Polisario a provoqué un exode massif de Sahraouis vers Tindouf. À ce jour, près de 160 000 ? un chiffre qui laisse beaucoup à désirer,puisque il ne dénombre pas plus de 25 à 3O % de vrais Sahraouis y compris les Rguibat Charq.. ? sont dispersés dans six camps de toile distants les uns des autres de plusieurs kilomètres en plein désert. Des Sahraouis naissent et grandissent dans ces camps et sont abrutis par la chaleur aride et une propagande d’un autre âge. Cela fait plus de trente ans que ça dure sans aucun espoir de solution. Et cela fait aussi plus de trente ans que le Polisario est toujours dirigé par le marrakchi Mohamed Abdelaziz, considéré par les Marocains comme un imposteur et un renégat.
L’autre crime,par lequel Boumediane voulait mettre le Maroc de HassanII à genous, a été la déportation violente en 1975 de 47 mille familles marocaines (360 mille personnes) qui vivaient en Algérie et ont été expropriées de leurs biens. En référence à la Shoa juive, les Marocains déportés appellent ce crime  "la Chouha de 1975", ce qui veut dire grande honte en dialecte marocain.
Enfin, une des hautes trahisons des Marocains au pouvoir à Alger est cette fermeture de la frontière terrestre depuis août 1994, qu’ils refusent toujours d’ouvrir malgré les demandes insistantes de leurs frères du Maroc.
Le fils du général de Gaulle a rapporté dans son dernier livre Mon père de Gaulle, une confidence lourde de sens faite par son père : « Nous avons laissé 140 000 Harkis infiltrés dans les rangs de l’ALN ». Était-ce au nez et à la barbe du « génie » Boussouf et de ses « Marocains du Malg.

Cordialement,Chihab25

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Commentaires

  • ya Chihab,ya monafik,ya hakoud ,klamak jbad ghir nhal lfassad..matafrahch ya khabith..hadhouk mai3arfouch lhakika ljazairia..wach bik.! bayanli belli rak tssagu lihoum...? maigharrakch laklam lkhaoui..nta ou hadh dhebbane lkhanaz tasouaou rrih.. Ma a3la balnach bikoum..Dzayer bezzaf a3likoum ou a3la lmarroc nta'3koum,roho haouzou sahraouiyyne fsahra lgharbiya, ou khtiouna a3likoum ljazayer rahi wa3ra a3la nbih laklab..ljazaer brabbi matouslouha..wach bikoum ya mokrihine ? yakhi,yakhii a3la a3bad kidairine..?.vas-y jouer devant la porte de ta niche.Hna cha3b ou houkouma ou blad bahiya hssane men daoulat lmoghrib jlakha,dawlat lahchich wa cha3wada.
    Hssanlik taktab fsite nta'3ak a3la lfassad lli rakoum fih ya jiran ssoue..khlass men lakdhob a3la ljazayer lghaliya.la frantiare manhallouhach khlass,ou bkaou mahssourine flmizirya lli rahi takolkoum lil wa nhar, ya mrarka.Ou hna maihakmounach lmararka kima kaloulik hadh lkhaouan.Hna ihakmoun rjal machi kima rjalkoum lmadhloulin lli yahniou rkabihoum ou issalmou a3la sidkoum Med6 ou jma3tou.Matghlatch ya chihab fljazayer,koun rajal ou tkallam sah..Boufeldja Semghoni
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    ّهذا ليس رد متعقل،هذا هراء شخص منفعل،والرد لا يكون لمنفعل جاهل٠ينطق السفيه بما فيه٠ آلمتصرف،شهاب٠

  • Mr.l'admin...Le Marocain que tu veux étrangler par ta note,n'est qu'un Algérien malgré lui,et que la voix de son état,telle quelle veut dire :

    « Je suis Marocain de Malg et pas Algérien Harkis, ni patriote Amazigho-Kabyle.! Je ne suis pas né d’une famille forcément aisé,j'ai beaucoup erré dans la souffrance dans mon petit village d'Atlas,dans ma baraque de de tolle ou de roseaux aux alentours de Lhadi Benaissa,de Sidi yahya Benyounes,et de Sidi Kacem,la seule chose qui m’ait mené au pouvoir fut ma capacité à dominer, réfléchir et écraser. Je créai alors autour de moi, et grâce à un entourage que je fidélise, une nécessité, une image. Je deviens le père noël des algériens. Image crée de toute pièce transmettant une voix rassurante, une image d’abondance, de magie et surtout d’envies.
    Je suis alors envahi par la peur, qu’est de perdre ma place, de perdre l’argent que je bénéficie et que j’amasse autant que grandis mon ventre. Pour me sauver, j’établis alors une suite de stratégies à mettre en place. Je me sers alors de ce qui est établis ou établis moi-même des types de fonctionnement. Quand enfin, issu de dure labeur, je suis à la tête de richesse, je peux acheter, ainsi je peux dès lors vous acheter. Mais comment puis-je aliéner mes nains à ma joute, ils savent la valeur de ce qui est crée, ils savent également que la finalité n’est pas répartis également ? Et moi, je suis le père noël, et il n’y en a qu’un seul, comment faire puisque vous devez me rester inférieur, puisque je veux gagner plus d’argent que vous ?
    Je suis né à multiple "B". et je suis devenu le Père staff. Pour le devenir, j’ai tué(le j'ai au pluriel) les gens qui m’ont aidé à obtenir cette place,j'ai anéanti les plus galonnés au corp d'armée,les plus forts jalonnés à Ben A3knoune, pour ne pas que l’on sache. Pour contrôler la majorité et éviter qu’elle ne me remplace ou qu’elle ne me fasse tomber, je dois la diviser. Je représente la fausse magie que seule l’argent peut acheter, je suis vos rêves de noël, l’instant de plaisir de l’année.
    J’achète la hiérarchie, leur donnant un mince bout de la carotte comme promesse de résultat. Je nourris alors la cupidité, et de la cupidité née la jalousie, de la jalousie née la haine et de la haine la mort de l’autre Marocain que je laissais ailleurs, faussement assumé, devient acte légitimé. Comme on a pu rendre naturelle aux yeux de tous que pour avoir la paix et la sécurité, mes hommes font la guerre sous la table et par ordonnance. La hiérarchie est flattée, manipulée et fière d’elle-même : créant l’individualité ,le régionalisme, créant la convoitise. Comme on a pu rendre naturelle aux yeux de tous que pour posséder le statut, l’homme peut altérer les actes d’un autre pour tirer son propre profit par assistance du cartomancien d'ElGhouat à barbe grisâtre.
    Au final, les nains entre eux se jugent, s’expient, se concurrencent, "s’immoralisent’’ . Et cela devient une normalité presque préconisée dans son éducation. Parce que dans la vie, soit c’est toi, soit c’est l’autre. Douce avidité, est-elle si incompréhensible que cela ? Qui aujourd’hui, donnerait sa place ? Pourtant parmi les nains de la transparency de faux urnes, certains réfléchiront, certains comprendront.
    Et pour que la majorité ne pense pas être manipulée et encore libre d’agir, je les laisse le temps d’exister, je laisse le temps de parole mais pas celui des actes. Je cultive la discorde et c’est entre vous-mêmes que vous vous détruisez. Mais pour contrôler mes nains, pour qu’ils deviennent plus docile, j’appauvris vos connaissances, j’appauvris l’accès à la culture, je détermine ce que vous regarder donc ce que vous devez croire. Je les abrutis en détournant leurs yeux de l’essentiel, les aveugle par leur envies, les marque par de plus en plus de différence.
    Mais pour ne pas être identifié, je dois devenir inexistant, un mythe. Mais il me faut vous posséder plus que ça, il me faut posséder l’argent que vous obtenez de votre vache laitière "Sonatrach" de notre horizon autoroutier Est-Ouest de desenclavement inutile,et bien plus de notre grande mosquée colorée d'odeur d'assainissement liquide d'ElHarrach. Parce que les gens qui mettent de coté, ça fait chier! Je créé par la magie, l’envie donc l’achat. Je créé grâce à la communauté, la marginalisation. Il faut posséder pour être accepté.
    J'amenuise votre capacité à acquérir la connaissance, donc à vous défendre et à avoir conscience de ce qui se passent sous vos yeux, j'ai changé des données, j'ai changé certains aspects, je les ai rendus monnaie. Je deviens les intérêts puisque je rend inaccessible par vos propres moyens l’achat de chose basique et inutile, tout comme l’achat de chose nécessaire, la propriété. Je vous effraie, régule et contrôle par les lois, je vous possède par la peur de tout perdre si impayé. Comme un poison dans les veines, j’ai coulé partout dans le corps des institutions, dessinant même la société que vous pensez créer. Mais vu que trop isolés, vous n’en avez pas conscience. Et au final, votre nécessité à répondre qu’à vous-même vous a immobilisé. Je suis riche, je vis dans le bonheur, je vis dans la propreté, et la non peur de demain car je peux tout acheter même les mandats présidentiels et législatifs pour moi et mes copains d'origine.
    Je ne suis pas le doigt qui appuie sur la gâchette puisque d’autre le font pour moi. Qui peut vraiment m’en vouloir puisque je suis comme vous. Et il est trop facile de dire que ce que je fait est mal, car à ma place, que feriez-vous ? Le Kabyle de Beni amrane,Savoie France.
    -------------------------

    Hé bien,voilà un bon Edito-Chroniqueur en la mtière qui maîtrise bien la situation dans son pays.!,je n'aie rien à ajouter là-dessus.bravo pour ce developpement trés confirmatif.Chihab25

  • Pour l'histoire:.Je voudrais vous remercier pour la catégorie que vous venez de créer pour " L'Algérien sans voix ".Si.. nous sommes ici en algérie sans voix,même s'il existent apparament quelques voies d'éxpression,mais elles sont trompeuses,elles ne refèettent jamais notre état désastreux dont nous vivons au quotidien.Je n'ai pas de commentaire à faire sur la plupart des Marocains qui nous étranglent quotidiennement avec une main de fer.Mais je veux bien que les Marocains qui visitent souvent votre site,sachent qu'un des leurs :ALI TOUNSI,le grand chef de notre police est un homosexuel (désolé por l'expression)imitant sûrement son chef suprême.
    Je vous prie de publier en commentaires ces deux articles pour mesurer la qualité des gens qu'avait choisi le mystérieux BOUSSOUF, pour nous et pour honorer l'Algérie independante.Merci.signé Moulay Bahouss

    Des officiers de la police dénoncent publiquement leur patron, Ali Tounsi auprès du Président de la République.

    A travers une lettre adressée au Président Bouteflika et rendue publique par le quotidien El Watan, une cinquantaine d'officiers de la police nationale ont brisé avec courage et bravoure le silence qui pèse sur nos institutions tenues en mains par des traîtres et des prédateurs qui n'ont aucun soucis de l'intérêt national. Le colonel Tounsi Ali radié pour homosexualité des rangs des effectifs de l'armée algérienne en 1983 et rappelé par l'équipe des décideurs maffieux en 1995 pour mettre la police algérienne sous leur emprise directe, fait partie de cette espèce de truands qui règnent sur l'Algérie.

    Celui qui s'attaque lâchement à une mère de famille et à ses enfants pour l'empêcher de quitter le territoire national en guise de répression des prises de position politiques de son époux, est aujourd'hui dénoncé par des patriotes qui ne peuvent plus garder le silence sur ses méfaits. Même si cette dénonciation n'a pas eu d'écho dans les autres journaux algériens -encore une fois silencieux sur un événement qui aurait fait la une des journaux sous d'autres cieux- elle sonne le glas pour l'un des maillons forts de la mafia qui gouverne notre pays.

    Homme de main du général Tewfik, le patron de la police a usé et abusé du pouvoir pour se servir et servir ses parrains. Il faisait de la discipline qui caractérise pareille institution pour dompter les hommes et les instrumentaliser pour parvenir à ses fins. Il ne pouvait penser que des hommes libres qui mettent l'intérêt de l'Algérie au-dessus de toutes les considérations finissent par vaincre la peur et crier haut et fort leur colère.

    Les méfaits de ce truand sont connus depuis bien longtemps. Etalés en long et en large dans " La Mafia des Généraux " cela ne semble guère inquiéter le pantin des généraux qui passe plus de temps à l'étranger que dans son propre pays. Le jour de la parution de " La Mafia des Généraux " je lui avais adressé une lettre par laquelle je lui demandais l'ouverture d'une information judiciaire sur les maffieux incriminés dans mon livre tout en lui exprimant ma disponibilité à renter en Algérie pour les affronter devant la justice algérienne. N'étant pas souverain dans ses décisions, ce quart de président est resté muet comme une carpe. Je m'interroge, aujourd'hui, comme la majorité des Algériens, quelle suite réservera-t-il à cette lettre que vient de lui adresser la cinquantaine d'officiers de la police ? Continuera-t-il à se murer dans le silence et mépriser toute voix qui s'élève contre l'ordre établi de la mafia jusqu'à ce que le vent du changement l'emporte lui et ses parrains ?

    Quoiqu'il en soit, ces officiers ont le mérite de braver la mafia. Avant eux, Omar Saada, officier de la protection civile, a dénoncé lui aussi dans un livre intitulé " La déchéance administrative : le drame d'un officier ". A quand le réveil des officiers de l'Armée Algérienne ? N'est-il pas temps de rompre avec ce lourd silence qui s'explique par les obligations de la discipline mais qui n'a plus de raison d'être tant qu'on ne peut plus obéir aux ordre venus d'un commandement issus de l'armée coloniale et qui porte en lui les germes de la trahison. Ce qui signifie que l'obéissance à ces maffieux est une trahison envers le peuple et la patrie.

    Officiers, sous officiers et soldats de l'Armée Nationale Populaire rompez le silence, désobéissez aux traîtres et mettez le Président de la République devant ses responsabilités. Interpellez le dans un cadre organisé par une lettre ouverte comme l'ont fait vos frères de la police. L(histoire retiendra votre acte et votre courage sera reconnu par tout un peuple.

    ci-dessous l'article du quotidien El Watan


    Des policiers se plaignent de Ali Tounsi au président Bouteflika /
    Des officiers accusent

    Une cinquantaine d'officiers de police ont transmis dimanche dernier une lettre de cinq pages au président de la République dans laquelle ils dressent un tableau noir de la situation qui prévaut au niveau de la sûreté nationale marquée par "la détérioration des conditions socioprofessionnelles des policiers, des dépassements, l'injustice et les abus".

    Ils accusent leur directeur général, Ali Tounsi, et son secrétaire général d'être "derrière" cette situation et demandent au président de la République de prendre "des mesures rigoureuses" contre "ces responsables, car il y va de l'avenir du pays, de ses enfants et de l'institution policière". Contacté à plusieurs reprises, il nous a été impossible d'arracher l'avis du directeur général de la sûreté nationale, M. Ali Tounsi, au sujet de cette lettre. Son secrétaire nous a renvoyé hier vers le directeur de la communication, lequel a été destinataire du contenu de la lettre. Pendant toute la journée d'hier, aucune réponse à nos sollicitations ne nous a été donnée. La DGSN a préféré s'enfermer dans un mutisme total plutôt que de répondre aux graves accusations portées à son encontre dans cette lettre de cinq pages, à travers laquelle des policiers ont lancé un véritable cri d'alarme. Ils interpellent le président en lui promettant de révéler, "preuve à l'appui, de graves scandales" pour peu que "des garanties de sécurité" leur sont données.
    Nous, cadres de différents grades et services de la sûreté nationale, après maintes attentes, venons par la présente recourir à votre personne (...) Le moment est venu pour mettre un terme aux excès et abus auxquels font face certains membres de la sûreté nationale (...)", "corps qui souffre lui-même d'insécurité depuis la nomination à sa tête de Ali Tounsi et de son secrétaire général Mahmoud Amokrane..." Pour les signataires, le corps de la sûreté nationale est en "décomposition", "il est pourri et est devenu un empire ou une entreprise privée". Pour étayer leurs propos, les signataires citent l'affaire de "la dame à la Polo rouge" et pour laquelle cinq cadres de la police en ont fait les frais et celle des deux policiers "séquestrés au niveau de la caserne d'El Hamiz après avoir été brutalisés par la brigade spéciale, envoyée par le directeur général pour les appréhender et user de violence à leur encontre pour avoir accompli leur mission en dressant un PV pour stationnement interdit à sa fille (du DGSN, ndlr)". Les cadres de la sûreté nationale révèlent en outre que leur directeur général "est le premier à transgresser les lois et à ruiner l'économie" de leur institution "en faisant bénéficier ses proches d'avantages que ces mêmes lois ne permettent pas". Ils citent le cas, par exemple, des équipements de transmission "dont bénéficiait la dame à la Polo rouge" sans parler des voitures de services qu'utilisent des personnes étrangères à ce corps de la sécurité, alors que l'institution manque cruellement de moyens qui lui permettraient d'accomplir sa mission dans de bonnes conditions. Les signataires portent à la connaissance du président de la République qu'ils détiennent des dossiers "graves, voire compromettants et sensibles qui touchent à la gestion des finances de la Direction générale de la sûreté nationale". Mais, tiennent-ils à préciser, "nous les dévoilerons en temps opportun lorsque nous aurons reçu des garanties de la part de vos services". Ils lui rappellent que le DGSN était, lors de la campagne électorale présidentielle d'avril 1999, "hostile" à sa candidature. "Pour preuve, il a apporté son soutien à celle de Youcef Khatib, et aurait fait nommer son frère comme directeur de campagne de celui-ci. Il est allé jusqu'à contacter plusieurs hauts responsables dans le but de vous barrer la route et vous évincer de la Présidence. Tout se passait en coulisses avec l'appui et le soutien de ses proches et alliés, parmi eux Mahmoud Amokrane, chef de sûreté de wilaya de Boumerdès, qui occupe actuellement le poste de secrétaire général de la DGSN." Les signataires déclarent au chef de l'Etat que sa responsabilité consiste en "la protection et la préservation de ce corps des mains dangereuses qui font mine d'être au service de la loi et de servir la sûreté, alors qu'ils ne font que servir leurs propres intérêts...". Ils s'interrogent dans cette lettre sur les véritables raisons qui poussent de nombreux policiers à se suicider, sur le sort réservé aux cadres démis de leur fonction "à cause de leur aptitude professionnelle, leur rectitude et leur intégrité" et sur le devenir de la sûreté nationale "si les responsables actuels persistent à rester à sa tête". Les policiers contestataires estiment que la mesure, jugée "grave", liée au port de la tenue réglementaire par l'ensemble des éléments de la sûreté, "transgresse le droit commun et le code de la Fonction publique, voire même les lois constitutionnelles. Ce qui a envenimé la situation au sein de la police et suscité une polémique et un mécontentement au sein des agents de la sûreté nationale..." Ils se demandent d'ailleurs si cette mesure ne s'apparente pas à une entreprise destinée à faire changer les missions et rôles de la police, et dans ce cas précis, ils se demandent quelles en seraient les répercussions (...)". Ils expliquent que leur institution est composée de 110 000 hommes, dont 10 000 en tenue réglementaire et le reste en civile. "Pour chacun de ces 100 000 hommes, il faut 4 tenues réglementaires ; 2 pour l'hiver et 2 autres pour l'été. Ce qui nous donne 400 000 nouvelles tenues par an. N'est-ce pas là un gâchis pour l'économie de ce corps et une malversation en vue de détourner des fonds..." Ils affirment enfin que la situation ne fait qu'"empirer, et il est temps", ajoutent-ils, "d'arrêter l'hémorragie..." Par ailleurs, il convient de signaler que les signataires sont en train de préparer un mémorandum d'une centaine de pages qu'ils comptent rendre public dans les tout prochains jours. Leur réaction intervient au moment où les policiers des 48 sûretés de wilayas à travers le pays ont été destinataires d'une déclaration pour la création d'un syndicat national de la police, une organisation qui semble faire sérieusement son chemin...

  • Merci pour l'espage que vous venez de créer ici dans ce site pour "l'Algerien sans voix".Je ne peux mentionner mon nom,ni mon pseudo,et la caue c'est que le Marocain(votre Marocain de Moulay Idriss Zerhoun,comment l'indique son 3°prénom): NourEddine Yazid Zernouni,ministre de l'interieur de mon pays avait chargé publiquement ses chiens de la police nationale pour guêter les Algériens qui osent visiter les forums marocains,et de lancer aussi la chasse aux sorcières afin de localiser les algériens qui rentrent au Paltalk,surtout dans la catégorie -SAHARA - ceux qui expriment leur sympatie pour la cause que vous êtes entrain de défendre virtuellement.
    Depuis le piratage de l'agence de presse des Sahraoui,même avant de celà,depuis l'affaire de Aminatou Haidar la séparatiste marocaine,et de Jamila Bouhairad,la vrais Mojahida algérienne delaissée à son destin par l'état pour lequel elle se faisait condamnée à mort par la France,,,les efforts policiers,par la cellue d'ingénieurs formés dans l'internet, -pour la circonstance-, se sont accentués pour éviter aux algériens de connaitre la réalité des choses dans l'affaire du sahara occidental. Vous serais trés reconnaissant de bien vouloir cacher et de ne pas dévoiler l'adresse IP de l'auteur. Merci d'avance de l'Algerois connecté de Belwizdad

  • C'est vraiment du n'importe quoi...ce sont ce genre d'articles et commentaires injurieux qui creent tant de tension inutile entre les peuples du Maroc et de l'Algerie. Je vous rappelle que nous sommes les memes familles avec les memes traditions et la meme histoire. Honte a vous. En ce qui concerne les algeriens nes au Maroc, dont mon Pere, ils sont restes attaches a ce pays et le defendent bec et ongle contre ses detracteurs. Il y a, en effet, certaines tensions entre nos deux pays dues a certains elements perturbateurs mais il est incorrecte de mettre en cause les algeriens etant nes et aillant grandi au Maroc. Le Maroc est reste et restera toujours dans le coeur de ces Algeriens qui l'ont quitte a un certain moment pour liberer leur pays. Vous devriez etre fiers de cette poignee d'hommes (a l'epoque des adolescents) qui se sont souleve pour liberer l'Algerie. Cette victoire est aussi celle du Maroc.Au lieu de colporter des informations incorrectes et injurieux, utilisez votre temps a rapprocher ces deux peuples qui, en realite ne sont qu'un, a travers des informations correctes et positives. Assez de mensonges et negativite, nos deux pays doivent avancer et cesser de regarder en arriere, surtout sur la base d'informations fausses. C'est a cause de ce genre de comportement que nous faisons du sur place alors que d'autres pays avancent et prosperent. Arretons de faire de la politique de bas etage et utilisons notre temps a reunir, construire et faire prosperer nos deux pays.

    LA RÉDACTION RÉPOND:

    C'est votre avis que la rédaction respecte. Tout ce que vous venez de dire reflète la réalité que l'Algérie, ou plutôt que le régime Algérien rejette malheureusement.

    Honte aux locataires du palais d'ElMoradiah d'Alger, pas à moi. En ce qui me concerne moi, je défends mon point de vue et je dois avant tout défendre mon pays, pour lequel je ne cesserai de dévoiler la traîtrise que les Algériens haineux réservent au Maroc, le pays généreux qui les accueillis pendant leur peine de libération. Vous disiez qu'ils étaient des adolescents à l'époque!, et maintenant ils sont majeurs et mûrs en plus, et sont entrain de nous rendre gratuitement la mauvaise monnaie.

    Que voulez-vous, que les Marocains fassent devant cette situation néfaste et stérile? Si vous vous tenez à la fraternité Maroco-Algérienne, adressez vos souhaits et vos conseils à ceux qui vous enferment dans telle situation à leur tête "l'ex-Moutsho Marocain", le fils de la gérante de bain maure d'Oujda qui n'a pas manqué de tendre les tensions entre nos deux pays depuis son arrivée à la magistrature suprême de l'Algérie!!. Quant à moi, Je ne colporte pas des informations incorrectes ou injurieuses. Non Monsieur mes articles sont basés sur des informations correctes et claires, à prendre ou à laisser, c'est votre affaire.
    Merci quand même pour cette réaction.
    l'Admin.Chihab25

  • Menteur
    prétendre que les Khalef ne sont pas algériens, vous êtes un menteur.
    Les Khalef sont originaires du village de Ath Yenni (de la région des Igawawen, les Zouaoua pour arabophones) et comme beaucoup de kabyles, ils ont migrés vers l'Ouest algérien et vers le Maroc.
    Vous citez dans votre article : Abdelkader Khalef. Sachez que toute la Kabylie vénère en tant que président de la fameuse JSK.
    De mon côté, je connais des Khalef, ayant vécu au Maroc et ils ne s'en cachent pas. pour information Kasdi Merbah et le cousin de sélectionneur de l'Equipe nationale algérienne (1982) et entraineur de la JSK qui lui même est né au Maroc. Il parle un kabyle parfait et caractéristique des Iyaniwen.
    Vous avez raison sur une choses tous les khalef cités ne sont pas nés en Algérie.

    LA RÉDACTION :
    C'est ton avis. Moi je vais pas te qualifier de menteur car tu connais rien la-dessus.Et j'utiliserai pas de mots vulgaires pour riposter.
    l'admin.Chihab25

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