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  • 2/2-)Misère et Mendicité en Algérie de dignité!.(*)

     (Suite et fin)   
        

                             Spécial discours royal du 17 juin 2011

       ‹««Le Royaume chérifien du Maroc est doté d'une nouvelle charte Constitutionnelle démocratique (la 6ème) qui représente un tournant historique et déterminant dans le processus de parachèvement de la construction de l’État de droit et des institutions. Il s'agit, en l'occurrence, de consacrer les principes et les mécanismes de bonne gouvernance, et de réunir les conditionsd'une citoyenneté digne et d'une justice sociale équitable. C'est un pacte constitutionnel avancé qui ne peut être qu'au Maroc.Un pacte d'honneur entre le Roi et son peuple.C'est, si j'ose dire, la naissance d'une 2ème monarchie à la Marocaine»»›

               D’après les réactions favorables et les commentaires verbaux enregistrés par la rédaction du blog à l'issu du discours royal du 17 juin 2011. Il s'est avéré que le discours royal est venu dissiper toutes ambiguïtés.La machine référendaire est lancée à grande vitesse pour mettre fin au débat national houleux qui a duré plus de trois mois, durant lesquels Sa Majesté le Roi avait élargi le champ constitutionnel à la discussion populaire, jamais vécue ou enregistrée dans  notre pays. Du fait que pour la première fois dans l'histoire de notre pays, Sa Majesté le Roi a tenu à ce que la Constitution soit faite par les Marocains, pour tous les Marocains.

              A partir de là, le projet de la nouvelle constitution permettra aux acteurs politiques nationaux d'ouvrir à leur niveau, dans leurs États majors et quartiers généraux, le vrais débat abordant les nouvelles structures et dispositions du projet, et de bien baliser le chemin avant la consultation référendaire dans le délai prescrit (1er Juillet 2011), et mettre terme à la série de tractations entre les forces politiques nationales, les forces vives de la société civile et de la rue. Pour une mise à niveau politique il appartient cependant, à toutes les parties prenantes de se mobiliser et la mettre en œuvre afin de concrétiser notre ambition collective visant à nous réaliser les objectifs de développement et à nous assurer les moyens et les conditions d'une vie digne.

               C'est ainsi, notre pays est devant de grandes orientations royales sur la nouvelle constitution, formant la feuille de route pour la prochaine étape et un  défi à relever.Pour la première fois dans l'histoire du pays, les Marocains auront la possibilité de réfléchir sérieusement sur leur constitution. Celle de 2011 qui ne sera pas imposée, ni octroyée, ou copiée et collée d'autres constitutions étrangères.Le peuple Marocain a donc une chance rare, unique dans la région,  dans notre continent, dans notre aire culturelle d'arriver assez vite à un texte fondamental par le débat, la divergence, l'approche démocratique des différences,d'une manière civilisée, pacifique et surtout qui sauve notre pays du chaos et de l'aventure.

                Le discours royal a enfin mis à jour plusieurs divergences de point de vue, issues du débat national sur les questions essentielles de la réforme, sur lesquelles le référendum va trancher, après quoi les Marocains n'auront pas droit à tourner le dos aux valeurs contenues dans la nouvelle constitution, déjà approuvées par Sidna par le «OUI» royal très clair, ou s'enfermer dans une posture qui risque au final de transformer une chance unique exceptionnelle en drame national injustifié. l'Admin,Chihab25              

                                                                                      

                                                  Le Royaume Chérifien du Maroc

                                                            Morrocco Map

                             Pour les Algériens, c'est le Sahara occidental (?).Pour moi,  tout simplement : C'est Le Maroc, pluriel, haut et fort, sans son Sahara oriental .! dans ses frontières actuelles. Je mâche mes mots et je dis bien actuelles? dans l'attente de parachever son intégrité territoriale réelle, reconnue historiquement avant le 14 juin 1830,date de la conquête de l'Algérie-Ottomane par la France et avant 1902,date de l'occupation Française du Sud-Est de l'Empire Chérifien du Maroc.

                           Nous n'en cesserons pas de revendiquer celà, tant que les Algériens n'en auront pas cédé à cette revendication.Sachant que notre pays se trouve, malgré lui, face à une Algérie qui souffre d'une crise de pouvoir. Il n'y en a pas d’interlocuteurs légaux, dignes de la légitimité, capables de trancher librement, avec  une respensabilité courageuse d'hommes d'Etat, dans les affaires politiques de grande ampleur, qu'ils en ont avec notre pays, loin de toute hypocrisie politique.

    Notez-Bien: 48h aprés la publication de cette carte du Maroc, avec ces deux paragraphes carabinés, les  Algériens se sont affolés et ont fait parvenir à la rédaction 4 commentaires successifs. J'invite mes lecteurs à lire une réponse que vient de faire la rédaction à un émissaire égaré des services secrets Algériens, qui  creusait dans les archives du blog.Allez voir à la rubrique «toutes les archives, note n°27», ou  voir dans la catégorie «l'Algérie et la frontière-est» Et ne manquez pas aussi de lire la 2ème réponse réservée au dernier envoi de ce con, qui s'est caché derrière un autre  nicknime (noris). L'avant dernièrre à la rubrique «commentaires récents».

                                                                                           -:-:-:-:-:-

     Explosion de mendicité et de misère à Alger. (Quand     jugera-t-on Bouteflika et sa bande de voyous?)

                 Et pour se donner bonne conscience, ils se nourrissent de l'idée saugrenue qu'ils sont des hommes providentiels pour ce pays. Qu'il ne peut pas y en avoir d'autres après eux. Qu'ils voudraient bien être immortels pour garder la barre. Et dans un instinct animal de conservation de la race, comme pour faire une prolongation d'eux-mêmes, après cette satanée mort, ils s'acharnent à vous imposer leur engeance, ou à défaut, leur fratrie. Ils sont dans un tel état de pure schizophrénie, qu'ils ne comprennent pas qu'on puisse leur demander de passer la main. A leurs yeux, et en toute bonne foi, vous ne pouvez être que des moutons ou des ingrats.

                Ils ne font rien de mal si ce n'est de sauver la république!!. Leur république bien sûr. Tout ce qu'ils font de la main gauche, au détriment de votre pauvre pays, est ignoré totalement de la main droite, dont ils ne se servent d'ailleurs que pour se goinfrer.!

            Ils ont un mode de fonctionnement ambivalent. Binaire. Toutes les forfaitures, les scélératesses, les crimes qu'ils commettent sur la chair vive même de cette nation, glissent sur leur conscience comme de la pluie sur le plumage du canard. Comme si leur action morbide allait de soi. Comme s'ils ne pouvaient rien faire d'autre que d'obéir à un contexte, à un environnement, à une force inexorable. Ils se consultent, se neutralisent, rusent les uns avec les autres, forment des alliances, les défont, en forment d'autres, se font des concessions, des cadeaux royaux, se décorent les uns les autres, se congratulent, se font, les encore vivants aux déjà morts, de vibrantes oraisons funèbres, avec des larmes dans la voix, croisent leurs enfants les uns avec les autres, pour obtenir des races sélectionnées de forbans, se font fabriquer des petits enfants qui sont cousins, et se tapent ou se tirent dans le dos. A côté, c'est un wlid famila.

             Lorsqu'ils viennent à vous, c'est pour vous haranguer, avec un langage de maquignon, pour vous mentir, pour vous leurrer, pour vous demander de les applaudir,(la façon de Belkhadem et Ouyahya) de les saluer, de leur marquer votre reconnaissance. Ils vous parleront avec leur main gauche. Celle qui vous trousse et vous détrousse.

                 Votre malheur est que vous répondez exactement à ce qu'ils attendent de vous. Et s'il arrive que vous ruiez dans les brancards, juste pour effaroucher quelque tique qui tire un peu beaucoup sur la pompe, parce qu'ils vous sortent plein de bulletins de vote que vous n'avez pas mis à l'urne, ou parce qu'ils estiment que vous n'avez pas fait le choix qui leur convient, cela ne va jamais bien loin. Vous faites de bien timides ruades. Ou bien alors, vous vous entre-tuez, par vos enfants interposés. Pendant que les leurs, dans l'ambiance enfumée de leur jet set, caquettent sur «le pays de papa», le héros qui brave les sauvages. Qui est obligé de les supporter, et de les nourrir, pendant que les chères têtes blondes se prélassent dans les palais qu'il leur a fait construire, dans le quartier le plus huppé de Paris, de Caracas, de Cannes et d'ailleurs.

            Le reste du temps, en autistes intégraux que vous êtes devenus, vous slalomez artistiquement pour passer toujours à côté de ce qui vous concerne.Et lorsque des consciences se réveillent parmi vous, qu'elles tentent de s'exprimer, de se mettre en formation de combat pour tenter de ramener un peu d'humanité et un peu de justice parmi vous, comme ces mouvements de la rues de toute l'Algérie, mouvements véritablement révolutionnaires qui ébranlent les assises même du régime mortifère Algérien, vous restez à distance respectable. Parce que vous ne parvenez plus à faire la jonction des choses de votre nation avec votre petite existence. Il suffirait que les pétroliers fassent une grève de solidarité avec les syndicats libres pour changer le cours des évènements. Mais cela restera une idée farfelue. Et ainsi, à force de banalisation de l'odieux et de l'indigne, vous avez perdu jusqu'à la notion du savoir être.

               Vous n'avez plus, ou si peu, de ce souffle qui pousse les peuples arabes à l'avant garde de leur propre dignité. La structure même de ce qui fait un peuple et une nation, cet esprit qui ne meurt ni ne se disperse, et que retrouvent dans leur être profond, les générations à venir, s'est éteinte en vous, tout naturellement.Par une lente progression de la pourriture.C'est, je crois, la pire de vos défaites. Il n'y a rien dans le destin d'un peuple qui soit une perte irremplaçable.Si ce n'est la conscience d'une appartenance commune, si ce n'est l'ardeur à faire face, ensemble, à l'adversité qui déchire votre pays. 

     C'est grave ce qu'il raconte notre supporter.

              Voilà ce qu'on peut lire de ce que nous raconte notre fameux supporter à propos de l’assainissement de la vie publique en Algérie: Prenant comme exemple, l'opinion publique Algéroise chuchote dans ses rencontres et discussions privées «Les Égyptiens  ont commencé par condamner les ministres et les hauts responsable corrompus de l’État» Pour les mêmes motifs, Moubarek et ses fils, ainsi que l’ex-dictateur Ben Ali et son épouse seront bientôt jugés. Ils risqueront le peloton d’exécution ou la pendaison se dit-il à Tunis et au Caire. Mais rien de cela à Alger. Et pourtant…

              De toute évidence, ces mêmes griefs sont opposables, en plus grave, à la majorité des hauts responsables politiques et militaires Algériens dans l’exercice ordinaire et cardinal de leurs fonctions de chefs. En cinquante ans de pouvoir absolu, ils ont mis un pays riche et prospère en faillite et en détresse. Ils ont massacré plus de trois cent mille Algériens et fait fuir à l’étranger plus de cinq cent mille autres dont deux cent mille cadres supérieurs. Aucun autre pays au monde n’a réussi cette prouesse diabolique et maléfique. Un Nuremberg Algérien s’en trouverait dès lors largement justifié. Et pour cause !

            Dans une Algérie normale et morale, c'est-à-dire débarrassée de cette racaille qui la gouverne aujourd’hui, nombre de ces dirigeants seraient condamnés à la peine de mort ou à la prison à perpétuité. Il serait long et fastidieux d’énumérer tous les crimes et délits commis par tous ces hauts dirigeants en poste ainsi que ceux, non moins graves, de leurs commis et servants et servantes à leur service. Un jour ou l’autre, même si ce n’est qu’une affaire de temps, tous auront à répondre des crimes suivants dont ils assumeront la pleine et entière responsabilité:
    - Crimes de guerre et crimes contre l’humanité de 1958 à 2011. Ils sont nombreux et atroces. Ils sont aussi graves sinon pires que ceux de la colonisation.Française.

    - Dilapidation et détournements massifs de deniers publics. Pour simple rappel, M. Bouteflika, alors ministre des AE, a été formellement condamné par la Cour des comptes d'Alger (arrêté du 8 août 1982) pour détournement frauduleux de l’équivalent de 300 milliards de centimes vers des banques suisses (UBS) au détriment du Trésor Algérien.

               Grâce à la magnanimité, dit-on,(ou la complicité du président Chadli Ben Jdid ?) non seulement il ne remboursera pas la totalité de la somme volée mais se fit restituer ses villas de Sidi Fredj et celle d’El-Biar, Dar Ali Chérif. Il reçut même, gâteau sur la cerise, plusieurs années de salaires et de primes de rappel. C’est l’Algérie ; plus on vole, plus on est reconnu. Regardez l’exemple du double Dieu ; le plus grand voleur d’Algérie ; un minable comptable de banlieue devenu par la grâce des mafias et des généraux de l’ombre, deux fois plus grand que Dieu. Quel juge jugera un jour cet escroc ? Ceux qui le connaissent bien disent qu’il est capable de corrompre et d’escroquer Dieu ; alors un petit juge ! Il n’est strictement rien devant son pouvoir corrosif et corrupteur à l’infini. Il débauche et corrompt à la pelle colonels et généraux qu’il débauche et emploie ou soudoie, eux-mêmes, leurs familles, leurs maîtresses.

              Qu’importe, l’argent volé jeté aux corrompus rapporte bien plus et bien mieux que les cadeaux offerts aux corrompus. C’est ainsi que fonctionne l’Algérie de Bouteflika. Et, tenez-vous bien, c’est un ami très proche et donc forcément associé, le général Touati, un ancien gendarme de la France coloniale, qui va conduire les réformes avec Bensalah pour instaurer la démocratie en Algérie. Du délire à l’état pur. Comment se peut-il que les tueurs de l’Algérie, les tueurs de la démocratie, les voleurs de l’Algérie, les détourneurs de l’Algérie, les escrocs, les imposteurs, les porteurs de grades et d’autorité volés, qui ont ravagé et détruit l’Algérie, comment donc se peut-il que ces délinquants, multi récidivistes s’autoproclament aujourd’hui, sauveurs de cette même Algérie par eux détruite et ravagée.

            Quel tribunal, quel juge va-t-il leur rappeler aujourd’hui et demain et pour toute l’éternité qu’ils ne sont que des criminels, de grands criminels de droit commun acteurs et/ou complice de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et aussi de grands voleurs détourneurs de privilèges et de biens publics. Accepteriez-vous un débat public sur la question messieurs les voleurs de l’Algérie ? N’importe quel juge vous enverrait en prison pour l’éternité au terme de ce débat avec, en tête, votre chef de bande ; le président de la RADP.(République Algérienne Démocratique et Populaire).

    -Corruption active et passive dans la conduite des grands chantiers étatiques (affaires Khalifa, Sonatrach, BRC, autoroute Est/Ouest, pêche du thon, FNDA, vaccins H1N1, métro d’Alger, pomme de terre à consommation porcine, etc… etc…) où sont impliqués directement des hauts responsables civils et militaires dont des amis, parents et protégés du président. Sa responsabilité directe et personnelle ne peut pas ne pas être engagée. Devant quelle juridiction en répondra-t-il ? Le ministre de la Justice, garde des sceaux, membre actif du clan et du douar de Bouteflika, est le premier violeur récidiviste des lois de la République. Devant quelle juridiction ces délinquants répondront-ils un jour ?

    -Utilisation illégale et frauduleuse des moyens publics et étatiques au profit exclusif du candidat Bouteflika lors de ses trois mandats présidentiels gagnés comme nous savons ; par le mensonge et la fraude. C’est tout le parc automobile public soit plus de deux mille voitures, des avions, des autobus d’entreprises publiques, des fonctionnaires, walis, chefs de daïra, des employés municipaux, soit des dizaines de milliers de salariés, payés par le contribuable, qui ont été détournés et mobilisés au service des campagnes présidentielles de Bouteflika. On n’évoquera pas ici les détournements scandaleux des chaines de radio et de télévisions, et des dizaines de journaux publics et privés, payés et financés par le contribuable, pour soutenir le candidat Bouteflika. Ce thème a fait l’objet d’une communication qui a été faite au rapporteur de l’ONU, M. De Larue, venu enquêter sur l’état des droits de l’homme en Algérie. Il en a été choqué. Il l’a écrit.

    -Alors, si des honorables juges Algériens devaient un jour s’inspirer des critères de jugement de leurs pairs égyptiens pour juger et condamner l’ex-ministre égyptien des finances à 30 ans de prison pour l’usage illégal de six voitures, selon cette échelle de jugement, M. Bouteflika et sa bande,  devraient être condamnés à des siècles de prison. Eux, Bouteflika et ses servants, ont ruiné et détruit tout un pays, tout un peuple ; dans une totale impunité.Eux sont toujours aux commandes. Selon la conviction de ce commis Onusien? comme Benali, comme Moubarek, El-Assad ou Saleh, ils répondront de leurs actes ; ils répondront de leurs méfaits et de leurs trahisons devant Dieu et leurs peuples. Ils paieront en voyous, ce qu’ils ont fait subir aux hommes de droiture et d’honneur. Eux comme les nabots régnants d’Algérie, avec leurs montagnes d’argent, leurs hôtels, leurs immeubles, leurs actions en bourse ne leur serviront à rien. Ils seront saisis comme ceux de Ben Ali, de Moubarak ou de Jean Bedel Bokassa de Centrafrique. Leurs descendances héritières, milliardaires par la sueur et les biens d’autrui, bâtards pour la plupart, seront bannies et maudites pour l’éternité. Tous les Algériens le savent et le disent dans l’attente désespérée d’une justice divine.

    -Quelles peines seront prévues pour ces hauts responsables civils et militaires, en poste ou à la retraite, qui ont jeté des millions d’Algériens et d’Algériennes au chômage sur les ordres du FMI, à la prostitution, à la Harga avec mort et souffrances atroces assurées, à l’immolation par le feu, au suicide quotidien, à la folie, à la misère et la faim, à la mal-vie ? C’est vous les gouvernants actuels qui êtes seuls responsables des souffrances hurlées tous les jours par le peuple Algérien. Plus de 2000 harrag sont morts rejetés en déchets humains par la mer. Des milliers d’autres sont portés disparus à ce jour. Leurs mamans et les leurs les pleurent et les attendent tous les jours.

            Qui répondra de ces crimes horribles ? Seul le pouvoir en place est responsable de cette déchéance, de cet anéantissement total portant tout un peuple à l’exil et à l’errance désespérée pour rechercher ailleurs son bonheur et son pain. Honte à vous régnants incultes. Et dire, l’ignorance et l’inculture aidant, qu’ils n’ont même pas conscience de leur incurie et des ravages qu’ils ont commis. Normal, dans leur totalité, ils sont ignorants ; ils sont insensibles aux détresses des autres. Ils vivent tous dans le lucre cloîtrés et enfermés. Ils feignent ne pas savoir que c’est la  mauvaise gouvernance de Bouteflika, de son clan et de leurs protecteurs communs, de leurs pratiques de l’exclusion qui sont seules responsables de cette catastrophe Algérienne. Ils en répondront un jour ou l’autre devant une justice et des juges enfin libérés des voyous régnants qui les commandent en les engraissant comme des veaux, moins bien que les prostituées qui participent à la gouvernance d’un régime dissolu et dépravé.

              N’importe quelle justice normale, n’importe quel tribunal de première instance locale, régionale, nationale ou internationale est en mesure d’inculper les principaux responsables avec à leur tête le chef de la république, pour les motifs avérés et avec les chefs d'accusation suivants :
    -Non-assistance à peuple en danger de mort.

    -Tirs à balles réelles sur des manifestants pacifiques désarmés revendiquant leurs droits.

    -Violences, tortures et agressions délibérées de la police du pouvoir sur des protestataires pacifiques revendiquant leurs droits citoyens.

    -Dilapidation massive des deniers publics pour acheter la paix sociale et tenter de corrompre la société algérienne en négociant avec l’argent du contribuable, le silence de ses élites (écrivains et journalistes véreux, corrompus de tous bords, élus locaux et nationaux, policiers, députés et sénateurs, cadres supérieurs, syndicats, associations bidon, «baltagia» élevés et dressés au biberon du pouvoir, prêts à mordre au sifflet des maîtres régnants.

    -Détournements de biens publics au profit personnel des dirigeants de l’Etat algérien. Rares sont les dirigeants Algériens propriétaires de biens immeubles hérités de leurs familles. A titre d’exemple, tous les biens meubles et immeubles de M. Bouteflika, comme ceux de son clan, en Algérie comme à l’étranger, proviennent directement ou indirectement, de l’héritage de la mamelle étatique et de la manne pétrolière Algérienne. Tous ou presque, ont acquis villas, appartements, terrains, terres agricoles, locaux commerciaux, crédits à fonds perdus, licences et franchises en tous genres, d’une manière mafieuse et frauduleuse et, le plus souvent, au dinar symbolique pour cacher l’ignominie. Aucun juge honnête et indépendant, bien instruit de ces graves manquements connus de tous les Algériens, ne leur évitera la peine capitale ou la perpétuité.

            Parce que l’Algérie, au plus haut niveau de l’exercice du mandat politique, est gouvernée, pour l’essentiel, par des voyous dont la seule et unique préoccupation est l’enrichissement personnel, l’amoncellement de privilèges illimités au mépris du droit, de la loi et de la simple morale. Il est bien connu que des hauts dirigeants Algériens se sont accaparés, en plus de la rapine de biens immobiliers ordinaires, de musées, de voies et jardins publics, d’édifices classés, d’écoles, de dispensaires, de maisons de jeunes. Plus de dix mille locaux publics à usage social ou administratif ont été privatisés, au dinar symbolique, au seul profit des dirigeants de l’Etat Algérien, de leur famille et de leurs amis et leurs «amies». Quel juge jugera cette forfaiture ? L’affectation du "Club des Pins 1 et 2" et Moretti (une plage aux alentours d'Alger)en sont la dernière preuve.

             Aucun Algérien n’est autorisé à entrer dans ces espaces à l’exception des chiens et chiennes errants, (les hommes du pouvoir et leurs maitresses, qu'elles soient locales ou importées). Selon les témoignages précis d’un Algérois dégouté, il est plus facile d’obtenir le visa d’entrée en France que celui d’entrée à ces endroits. C’est pourquoi, les Algérois, qui n’ont jamais connu cet apartheid, pas même aux pires moments de la colonisation, appellent cet endroit squatté par les servants et servantes du pouvoir, le Club des chiens. D’autres l’appellent le Club des Chiennes. Parce que la jeune patronne «Khalida» et son peloton de charme s’y rendent, pas souvent,mais toujours quand la nuit tombe pour des nuits rouges. Quel juge jugera cela, jugera cette flétrissure 

    -Abdelaziz Bouteflika a usé et abusé de sont statut de président de la République pour nuire aux intérêts de l’Etat et du peuple Algérien. Sur la base de preuves concrètes, précises et vérifiables, sur la base de témoignages de hauts responsables encore vivants, pour peu qu’ils gardent encore le courage de parler librement. On peut  prouver à Alger que Bouteflika a agi contre l’intérêt national Algérien en forçant et en violant la loi Algérienne pour attribuer la première licence de téléphonie mobile à ses amis Emiratis(ses adoptants d'autrefois) et égyptiens dont les fils  de Moubarak et leur mère Suzanne ? Aussi l’ami personnel et ex-employeur de Bouteflika, un certain Chorrafa, un Emirati bien connu dans le monde des affaires, comme chasseur de primes et de marchés juteux. Dans cette affaire, le peu de faits graves qu'on peut révéler sont suffisants pour convaincre n’importe quel  juge d'instruction Algérien.

                Notre supporter constatait qu'un grand nombre d'Algérois sont prêts à donner d'autres précisions et à témoigner sans crainte d’inculpation soit pour outrage et diffamation à chef d’Etat soit pour inculper le président de la République Algérienne Démocratique et Populaire pour forfaiture et haute trahison. Ils prennent volontiers ce défi et l’assumeront pleinement. possédant toutes les preuves documentaires, graphiques, orales et techniques pour prouver que le président de la RADP a fauté et trahi volontairement le pays qu’il croit être le sien. Quel justice ou quel juge Algérien suivra ces Algérois désespérés dans leur quête impossible du propre et du vrai ? Pour commencer, qu’ils répondent d’abord, eux-mêmes ou leurs servants, à mes accusations précises. Pour rappel, ils n’ont jamais opposé le moindre argument, la moindre réplique à ces accusations précises antérieures sur le même sujet. Je sais exactement pourquoi ils se taisent et se murent dans le silence. Je pourrais bien évidemment fournir d’autres preuves bien plus compromettantes pour le président de la fameuse RADP et son clan.

    Le DSK Algérien sans Anne Sinclair.

            Ce qui amène notre interlocuteur, bien naturellement, à parler d’une autre amoralité, un peu plus intime de Bouteflika sans jamais attenter à sa vie privée ou à son image de personne aussi privée et protégée. Cependant, il souhaitait parler de Bouteflika la personne publique. Mais, nécessité oblige, il ne s’interdit pas non plus de relater avec prudence les gorges profondes Algéroises, Oranaises, Kabyles et aussi Constantinoises. C’est que dans toutes les chaumières et bordels informels d’Algérie parlent, peut-être avec excès, des frasques connues de leur président. Et si l’on devait retenir un petit centième de ce qui se raconte dans les bars et les boite de nuit d’Alger  on est forcément contraint de croire que le DSK Français est un petit stagiaire comparé aux prouesses racontées ou reconstituées de Bouteflika dans ses rapports aux femmes.

           En respect de ses aimables lecteurs, la rédaction du blog ne peut pas aborder largement ce sujet, ni aller découvrir ses sillages dégelasses que tout Alger, voire toute l'Algérie en parle. Cela n'exclut pas de terminer cette saleté Algérienne par de l'humour. Un avocat Algérien, bien installé à Paris, qui visitait lui aussi la capitale Algérienne en ce moment, sur un ton sarcastique et détaché, par l’humour, a lâché avec certitude, à ses amis intimes, que «Si la justice Américaine devait être appliquée à Bouteflika pour les mêmes griefs qu’au Français Dominique Strauss Kahn (DSK) l'ex-patron du FMI (Fond Monétaire International) et l'ex-favori des présidentielles Françaises 2012, notre honorable et distingué président serait condamné à trois siècles(300 ans) de prison».Fin de citation. 

    Dans l'attente d'un pouvoir légal et d'une Algérie crédible avec des interlocuteurs politiques courageux,capables de trancher avec responsabilité dans les affaires en suspend avec notre pays , sans corrompus, sans sales bottes, ni de DSKs, avec une justice sereine, indépendamment libre et efficace. Je vous souhaite bonne lecture.

                                                              Cordialement,Chihab25

     

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    (*)  Cet article n’est pas rédigé dans un style encyclopédique. Il n'est pas du genre classique de Montesquieu ou de Victor Hugo non plus. Acceptez les excuses de la rédaction pour la longueur qui en découlait.