1/2.-Les raisons de la partition de l'Algérie..!
Consignes et recommandations rigoureuses du DRS.
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Si la politique se définit par le traitement co-opératif des affaires d'autruis, dans cet "Et alors ?" se tient peut-être la clé d'une politique en capacité de réussir, le non ? à cet agissement algérien haineux.
Remarque: ne pas confondre co-opération et constitution d'un jeune espace politique internautique à des fins personnelles. En la matière, seule l'expérimentation virtuelle et inter-nautique, à court terme, renseigne...car personne du monde internet, ne peut ignorer les soirées de désinformations - anti-Marocaines - animées ponctuellement par les agents DRS algériens, le duo: Dany_us et Mizirat dans les rooms écuries algériennes en Paltalk, catégorie Sahara, dans lesquelles les services secrets algériens tiennent à garder le «lavage de cerveaux» des leurs, au degré le plus élevé, convenant à leur plan d'action de désinformations contre le Maroc. C'est ainsi les animateurs précités sont obligés - sous peine de forclusion ou de sanction- de maintenir au maximum possible, une forte assistance qui souvent, voire toujours constituée par ceux qui viennent chaque soir, quels qu'ils soient algériens du premier rang, ou qu'ils soient algériens de naturalisation (les R'guibatق), choisis à cette fin pour marquer présence et pointer leurs cartes de travail, car nécessité oblige, pour que ce monde de dingues n'y pensera jamais de lâcher la position algérienne concernant le Sahara.
En tout cas, ça repose et ça relance de faire campagne sur le fond, sur une politique offensive d'ingérence virtuellement partagée contre ces mauvais voisins, et pas sur des slogans morts-nés, même si fatalement de temps en temps, ça émerge de façon récurrente dans certaines pages de notre presse écrite et éléctronique. J'assume totalement mon statut d'administrateur de blog dans ce monde d'araignée, pour être au niveau approprié, pour ne pas dire le seul, pour se hisser en haut de l'affiche amère qu'étallent malheureusement les Marocains-Paltalkistes chaque soir, pour rien de concret, patinant dans le vide, au lieu d'en prendre une tendance d'altitude et de motivation contre la campagne constante enragée que mènent nos ennemis dans cet espace virtuel.
Aprés cette modeste pré-face, je présente ci-aprés à mes lecteurs, cette note qui développe mes propositions pragrammatiques au sujet de cette sale Algérie : elles sont le recueil de réflexions et de constatations que j'ai pu faire sur terrain médiatique, sur synthèses de chroniqueurs, professeurs universitaires, chercheurs en politiques générales et des journalistes "aux plumes d'or crédibles" et sur quelques titres qui ont été parcourus.
Le "non-ingérence" à l'algérienne...
Par une hypocrisie croissante, les algériens s'en vantent de dire qu'ils appliquent eux aussi le "principe non-ingérence" dans les affaires d'autrui..! cet autrui..!, C'est bien notre pays le Maroc. Nous avons vu et revu le degré de respect qu'ils donnaient tendancieusement à ce "principe", par une ingérence chronique, bien planifiée dans nos affaires, qui l'ont materialisée par exemples et par définitions comme suit :
I-La guerre des sables d'octobre 1963, qui avait pour but non apparent: a)préoccuper l'opinion publique locale algérienne en faisant contrecarrer la guerre au pouvoir et les divergences internes survenues brusquement à l'aube de l'indépendance, entre ce qu'on appelait, le clan de l'armée de frontières qui emmenait Ben Bella, alias "Hmimid" à la tête de l'État algérien et le clan politique de l'FLN qui décidait autrement.
b) faire commercialiser vers l'atlantique la révolution et le socialisme Nacerite aprés la conversion idéologique du Yemen du colonel Abdallah Sellal et de l'algérie de Ben Bella, visant entre autre, à faire tomber et éliminer toutes les monarchies arabes, qualifiées à l'époque "d'impérialistes", dont la cible de bord visée, aprés la monarchie Yemenite du roi Mohamed Badr, était cette fois-ci, le Royaume chérifien du Maroc qui, selon l'agenda de Abdenacer, doit disparaître avec la liquidation physique de Hassan II qui constituait, aux yeux du nationalisme Nacerite la "bête noire", et obstacle devant la progression de la RAU (république arabe unie d'Egypte-Syrie..!.)
II-Le soutien inconditionnel des opposants Unfpises, nos chiens érrants du clan Fkih Basri et de Ben Hamou, contre leur pays, mettant à leur disposition, les moyens logistiques, financiers, médiatiques et un libre accès à la radio algérienne d'Oran pour émettre leur émission d'instigation au délit, appelée à l'époque "Maghreb Echo'ôub" et ce durant un peu plus d'une décennie (1963 - 1974).
III-L'ingérence armée contre le Maroc en mars 1973 avec la complicité cette fois-ci de la Lybie, (évenements d'Aghbalou N'kerdous et Moulay Bouaâza-Aghelmous, dépendant respectivement des provinces de Ksar Es Souk et Meknes, avant la création en début de l'année suivante de jeunes provinces à Figuig, Missour et Khénifra pour contrecarrer la subversion et parer à toute éventualité.
IV-La création en mai 1973 par le maudit soit-il, Houari Boumediène de l'épineux problème artificiel du Sahara Marocain avec l'installation d'un front de mercenaires contre l'integrité territoriale du Maroc et d'une fantôche république "Sahraoui" à Tindouf et les conséquences qui en découlaient et qui y s'attachent encore à nos jours.
V-Tentative Algérienne d'exporter le terrorisme au Maroc. En juin 1994, deux Français d'origne algérienne ont attaqé l'hotel «Asni» à Marrakech, provoquant la mort à deux touristes Espagnoles.Il s'est avéré de l'enquête menée en l'objet que les services secrets algériens étaient derièrre cette opération, ce qui a poussé le Maroc à imposer le "visa" à tout algérien désireux entrer en territoire national et fermer la frontière avec l'Algérie.
Des actes d'une telle ampleur constituaient le principe de non-ingérence à l'algérienne. De même ils sont des faits néfastes majeurs perpétrés par les algériens en l'espace d'un demi siècle -jour pour jour-(1962-2012) contre la souverainté et la générosité, trop abusive, d'un pays qui les a accueilli, à bras ouverts, durant leurs peines, depuis Abdelkader Ould Mohyeddine, alias "Emir AEK" à Isly en 1844 à la guerre de libération en 1954-1962..! sans parler des violations, terrestres et aériennes, de nos frontières, des harcelements presque quotidiens de notre frontière, de Saidia au nord-Est à Lagouira au Sud-Ouest, dont le plus meurtrier enrgistré en l'objet, celui de "âich Braber" dans la région de Tafilalet en 1987, soldée par la mort, capture et disparition de 37 élements-garde-frontière- des unités de Mokhaznis bénévols.
Le Maroc par contre ne réagissait à ces agissements impulsifs et malencontreux que par des mesures défensives et de désuasion, pas par faiblesse, mais par tendance de tenir objectivement ses engagements d'Etat crédible. Il n'a jamais manifesté son désir de déstabiliser l'algérie, ni de s'introduire dans ses affaires internes depuis les soulèvements des colonels Tahar Zbiri et Mohamed Belhaj, la désobeisance civile enregistrée chez les Touareg Algériens au printemps Kabyle à Tizi-Ouzou.
La compression et l'éclatement:
En rapport avec le boulot du député Marocain ? ce dernier fabrique et vote naturellement les lois. Et quand il le fait librement, sans discipline de vote ni de parti, s'entend... son intérêt personnel d'une part, qui vise la réelection par des manoeuvres d'apparatchik et d'autre part l'intérêt de son parti, qui vise au passage ou au blocage systématique de telle ou telle loi. Nous on est contraint, devant une telle situation, d'asister dans le cadre de ce qu'on appelle "le contrôle du gouvernement", par le biais de la télévision à la mascarade hebdomadaire de questions infructueuses orales, dont on ne trouve jamais une loi prévoyant la réciprocité en matière d'ingérence ou non-ingérence dans les affaires de l'algérie. Aucun député, toutes tendances confondues, n'osait aller à l'avant dans ce sens...! ils ne sont devenus intéllegents que dans l'illustration du fait stylistique pour passer, en directe, à la télévision, sans pour autant réussir de constituer une phrase en l'objet qui en accompagne le sens.
Devant ce fait accompli, nous devons - nous internautes - constituer un «Parlement à l'ombre» qui attirera, en cet espace virtuel, la sonnette d'alarme le cas échéant, comme cela était le cas des fils de «papa et de maman», qui sont arrivés à constituer dans la rue, un pseudo «Gouvernement parallèle» à celle des Pjidistes. A cet effet, je dois préciser qu'une des particularités des internautes Marocains, le pluriel s'impose dans l'espace comme dans le temps..., grace à la grande marge de liberté d'expression dont jouit notre Royaume qui s'illustre, sauf dans quelques cas extrêmement rares qui se manifestent de temps à autre dans la rue, le dernier en date: La dernière marche Cdt-Fdt, dite marche de «dignité» organisée à Casablanca le dimanche (03/06/12) à laquelle on a remaqué la présence et la participation de certains politiciens de gauche, des Unfpistes échoués, parmi lesquels se trouvaient, en avant garde, des ex-ministres qui se sont réjouis de commettre, avec les marcheurs syndicaux et les "febrairiens" des «glissements politiques graves», répetant des slogans "anti-régime, exigeant même, la républication du Royaume"..!
On constate néanmoins, que si on n'arrive pas à sauvegarder cette liberté, les Marocains, les politiques surtout, seront liés au retour au premier plan, à la case de départ des années de "plomb", refoulés au retour brutal parfois et fâcheux qui prouve que l'éthique va mal à l'étiquette. Mais nous, on est que des petits politiques, on est encore très loin de la fussûre ou de la soudure..!
Partition de l'algérie! une idée «Kabyle» de Ferhat Mehanni.?
Ferhat Mehenni, est un homme politique, ancien chanteur algérien, d'origine et d'expression kabyles. Il est le fondateur du Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie (le MAK) et assume les fonctions de président du Gouvernement Provisoire Kabyle. Le GPK est un gouvernement provisoire autoproclamé formé à Paris par le MAK composé de neuf ministres, dont deux femmes, originaires des trois sous-régions de la grande Kabylie -Tizi Ouzou, Bejaia, El Bouira-., visant à promouvoir l'autonomie de la région kabyle vis-à-vis de l'État central algérien.
La Kabylie est une région montagneuse et pauvre, située à l'est d'Alger, foyer traditionnel de contestation. Les Kabyles, qui parlent une langue berbère différente de l'arabe (le Tamazight), militent depuis l'indépendance de l'algérie pour la reconnaissance de leur peuple, de leur langue et leur culture. Au total, les berbérophones d'Algérie (Kabyles,Mzab et des Aurès) représentent 25 à 30 % de la population algérienne.
Dans un communiqué Ferhat Mehenni, président du MAK, dénonce, je cite: « Niés dans notre existence, bafoués dans notre dignité, discriminés sur tous les plans, nous nous sommes vus interdits de notre identité, de notre langue, et de notre culture kabyles, spoliés de nos richesses naturelles, nous sommes, à ce jour, administrés tels des colonisés, voire des étrangers en Algérie. Aujourd'hui, si nous en sommes à mettre sur pied notre gouvernement provisoire, c'est pour ne plus subir ce que nous endurons d'injustice, de mépris, de domination, de frustrations et de discriminations depuis 1962 ».fin de citation.
Cordialement,Chihab25
A suivre..
La goûte débordant la vase.
Lors de son voyage en Israël, le leader du Movement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK) a affirmé avoir brisé un tabou «du fait que l’Algérie le boycotte» et avoir ainsi réalisé «son rêve» en se rendant dans ce pays. Mais au-delà de la satisfaction d’avoir réalisé ce rêve, Ferhat Mehenni s’est fendu de déclarations qui dit-on, trahissent le besoin de faire dans la provocation. Il déclare dans les colonnes d'un très influent journal Israëlien le «Jérusalem Post» qui lui a accordé une longue interview, que les Kabyles, qui ont «toujours eu de la sympathie pour les juifs» ont «applaudi la défaite des Arabes en 1967».
« الحرّيّة لمنطقة القبائل والخلود لإسرائيل »
C'est le titre d'un article, de l'opposant algérien Ferhat Mehanni, rapporté par un journal éléctronique Marocain(hsp). Dans une interviw avec le quotidien Israëlien « Jerusalem post », Mr.Ferhat Mehanni, le fondateur du Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie de l'Algérie, président du « Gouvernement provisoire Kabyle » a annoncé, sans mâcher ses mots, au cours de sa visite , considérée de « secrete » à l'État hébreu «Liberté pour la Kabylie... Et l'éternité pour Israël». Il n'a pas hésité à mettre en évidence « l'affection de la Kabylie et ses populations avec Israël». Faisant remarquer qu’«Israël, tout comme la Kabylie, évolue dans un environnement hostile» et que «les deux partageant le même type de voie, à la seule différence qu’Israël a réussi à instaurer son propre Etat». « exigeant sa considération comme « soeur ».
Pour minimiser l'ampleur du l'électron-choc et mener à bien une contre-compagne à ce militant Kabyle, des bons de commande de déclarations pré-payées sont généreusement et gracieusement distribués à des soi-disant hommes politiques, hautes personnalités et hommes d'Etat d'algérie pour en faire, à tort et à travers, des sorties médiatiques recommandées en l'objet. Bouteflika de son coté, aurait chargé son porte parole au sein de son parti FLN, son parrain, Abdelaziz Belkhadem pour réagir à Ferhat Mehenni qui ne cesse d’étonner le pouvoir, dit-on par ses «élucubrations» (terme employé par la presse locale du pouvoir), en échange de la récompense qu'avait faite Dahou Ould Kablia, le ministre algérien de l'interieur, au parti du président FLN, (le Front de Libération Nationale), en le faisant passer de 136 sièges-député en 2007 à 220 sièges le 10 mai, permettant ainsi à Bouteflika de terminer confortablement son mandat jusqu'en 2014, avec une retraite, plus au moins, tranquille. C'est incroyable qu'on ne s'explique pas, les inquiétudes au sujet de l'avenir de l'algérie de 2017. Les pauvres algériens doivent attendre encore cinq ans de "pause technique et d'armystice", lesquels parfois entretenus par la rumeur...dont la dernière en date:"Tab Jnani", aprés Sidi H'bibi et R'faâ Rassak abb'a.Bonne lecture