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I. A l'ombre du trône Marocain..!

                                                         Attention!..On tourne!." La reconquête totale"

                                 فرنسا تثني على دور المغرب في الحرب بمالي وتصفه بالايجابي                                                                                             

                                                A l’ombre du trône Marocain..les amis.

Un sale algérien me disait dans un commentaire injurieux que je souffle "le chaud et la froid" dans ce blog. Je lui ai répondu, à cet effet, que cela signifiait que mes articles sont bien arrivés à destination,  c'est-à-dire, ils touchaient le fond de la mentalité algérienne et c'est le but de la ligne de rédaction.

Mes lecteurs sauront par la présente que la nécessité d'être à jour avec l'actualité est une priorité de  la vie quotidienne, de tout chacun, dans un monde devenu éléctronque. Cette petite introduction me guidera vers les relations Franco-Marocaines et l'occasion est bien la visite de Mr. François Hollande, président de la République Française à notre pays prévue en ce mois de janvier 2013, «sauf complications(!)*», dans la perspective de rendre hommage à cet événement. Je ne suis bien sûr, ni journaliste talonné, ni chroniqueur politique, mais un simple blogueur qui tente de tenir place  au rang des internautes, choisissant ce titre qui résumera bien où je voudrai en venir, en traitant aprés, ici même, la saleté de nos voisins du mal algériens.                                                                     

Dès le 24 mai 2012, et le président  François Hollande à peine investi à la haute magistrature Française, Sa Majesté le Roi Mohamed VI était le premier chef d'Etat à être reçu par le nouveau locataire de l'Elysée, marque éclatante de cette relation privilégiée qu'il fallait aussitôt confirmer et développer sans attendre.  

Cette rencontre au sommet visiblement décidée à la dernière minute, brève, sans conférence de presse ni prise de parole officielle, même présentée comme étant en marge d’une visite privée du souverain à Paris, a valeur de symbole. Elle avait pour objectif essentiel de faire raccord avec la "love story" qu'entretenait Sa Majesté avec la droite Sarkozyste. Elle a aussi servi à éviter un camouflet redouté par le Souverain, très sensible aux attentions diplomatiques: celui de voir le président consacrer sa première visite au Maghreb à Alger. Elle montre enfin une certaine fébrilité du Maroc, dont les anciennes amitiés socialistes étaient pour la plupart hors-jeu.

Mr.Hollande veut renouer, créant la surprise en nommant Mme Najat Belkacem dans son cabinet. La jeune ministre Française d'origine Marocaine (du Rif), porte-parole du gouvernement Français est dans les petits papiers du Souverain, celle qui, en revenant à ses racines, elle mettait le foulard en signe de respect au Roi, quand elle a été reçue en audience royale parmi la délagégation Française qui accompagnait le premier ministre Français Mr.Jean-Marc Ayrault.

 Un travail de séduction 

Domonique Strauss Kan écarté de la présidentielle, Martine Aubry battue aux Primaires du PS et Sarkozy donné pour perdant, notre pays s’était résigné à l’élection de Mr. François Hollande, réputé pour ne pas faire partie des marocophiles de son parti. En coulisses, tous  les réseaux des amis du Maroc au PS ont alors été activés.

En pleine campagne présidentielle, la diplomatie parallèle du royaume a campé rue Solferino, siège du parti socialiste, avec un objectif insensé: faire venir le candidat à Rabat avant le premier tour. Vint ensuite l’espérance de voir Martine Aubry que le Souverain a reçu en vieille amie de la famille royale en mars 2012. A l’annonce de la victoire de Hollande, le roi a tout de suite donné de sa personne pour montrer, s’il en faut, ses bonnes dispositions. Il a été l'un des tous premiers chefs d'Etat à féliciter le nouveau locataire de l'Elysée au téléphone avant de rendre public un communiqué des plus chaleureux.

 Le grain de sable du problème du Sahara

Ce n’était pas suffisant. L’actualité diplomatique concomitante à ce jeu de chaises musicales a prouvé que le Maroc se devait d’agir avec plus de détermination envers le nouveau pouvoir en France. Le premier grand test des nouvelles relations France-Maroc devait se faire autour de la question du Sahara Marocain Avec la droite, la question était pliée. A l’Elysée comme à Matignon ou au Quai d'Orsay, les positions marocaines sur le conflit étaient immanquablement défendues. La doctrine française était pour ainsi dire calquée sur celle de notre pays. Paris ayant pris fait et cause pour le plan d'autonomié propôsé par le Maroc  qui refuse tout référendum d’autodétermination pouvant déboucher sur une pseudo-indépendance de nos provinces du sud libérées en 1975.

Je répéte que l'affaire du Sahara Marocain oriental ne remet pas en cause l'attitude de la France d'aujourd'hui, (...) et j’ajoute une autre manièrre qui fait du Maroc un lieu propice de destination et d’accueil, que les algériens ne peuvent en avoir, étant donné qu'ils n'ont que l'art d'orgueil et d'arrogance pour en procurer des amis, sauf quelques obsédés de la fumée de carburant et de lubrifiant, attirés par l'odeur du pétrodollars. Quant à nous, le nombre d’amis Français du royaume nous fait honneur, nous Marocains, passés de maîtres dans l’art de s’attacher à des amis,(pas les thuriféraires bien sûr). bien mieux que ne le font nos voisins du mal Algériens. Sachant qu'il y a pas de recette unique dans l’approche, seuls  la générosité et le bon accueil."Made in Morocco", confirmation rapportée par l’ouvrage enquête parue le 25 janvier 2012 en France signé Jean Pierre Tuquoi et Ali Amar. Ces derniers dévoilent les relations extravagantes et quasi incestueuses entre les élites marocaines et les hommes politiques français, de droite comme de gauche, les intellectuels de tous bords, les patrons du CAC 40.                                                                                                              

Les Marocains ne jouent sur plusieurs cordes, et ne sont pas, non plus, les moines trappistes de Tibhirine ou des oisillons de péruche, faciles à avaler, comme ils sont entrain de mijoter nos voisins du mal, au contraire ils sont des pacifiques, maîtres de l’art de bon accueil, d’hospitalité et de générosité. En preuve, l'attachement des amis du Maroc au pays natal en est une particularité, qu’ils savent très sensible. «C’est vrai que l’aide  Française au Maroc est disproportionnée comparée aux autres pays et ce grâce l'amitiée Française particulièrement profonde, soutenue par les trois ex-présidents Français MM. Valéry Giscard D'Esting(1974/1981), le fils du colon de Khemisset, Jacques Chirac(1995/2007), le résident honoré de Taroudant et Nicolas Sazkozy(2007/2012), le nouveau hôte de la cité ocre  Marrakech.

Contrairement au général Charles De Gaulles¹(1959/1969), le fondateur de la Vème république Française, qui a observé, pour un certain moment, une relation mouvementée avec son ancien partenaire de protectorat, le Royaume Chérifien du Maroc, aprés avoir tenté vainement de tordre le bras de feu Hassan II dans l'affaire de Ben Barka en 1965. 

Quant à Georges Pompidou(1969/1974), il était souple avec le Maroc, il ne voulait pas, durant son règne, voir le désir à vocation individuelle du Maroc impacter sur le droit commun en France., là où  il n'y avait pas de droit pour "tout chacun" de faire ce qu'il veut, et pas non plus, d'imposer une culture politique tiers mondiste, étrangère aux valeurs de la république Française, importée  à l'époque,  par la première génération des émigrés Marocains.

Pour le président socialiste François Mitterrand(1981/1995), il se méfiait, d'une manièrre ou d'une autre, d'un Maroc émergent politico-libéral, trop ambitieux, qui a su,  par l'intéllegencia Hassanienne, comment se débarasser de l'influence Gaulliste, que lui, en tant que candidat socialiste, n'a pas eu le savoir faire pour la vaincre pour un certain temps. Il était  perdant pendant deux échéances présidentielles.(face à De Gaules et à Valéry Giscard D'Estaing, respectivement en 1965 et 1974).

Mais c’est bien de favoriser le Maroc disait un jour l’ex- directeur de FMI (Le Fond Monétaire International).Comment ne pas se souvenir de  Mr.Dominique Straus Kahn qui a grandi dans le royaume et silloné ses artères. Ainsi que nombre de responsables français : Dominique de Villepin, natif de Rabat, la socialiste Elizabeth Guigou, née et ayant grandi à Marrakech, tout comme Eric Besson, le socialiste rallié à Nicolas Sarkozy. Et si l’ancienne ministre de la justice, l'ex-garde des sceaux, Rachida Dati n’est pas née au Maroc, si elle n’y a pas vécu aussi, elle n’en éprouve pas moins pour ce pays qui est celui de son père un attachement «vraiment viscéral». Elle ne demande qu’à faire davantage pour le royaume, jure t-elle à longueur de ses interviews.                                                 

Trajectoire plus ambitieuse

 L'année 2012 a vu la France et le Maroc confirmer la continuité de leur entente, la qualité du dialogue stratégique entretenu au plus haut niveau de l'Etat et la volonté partagée de placer leur partenariat exemplaire sur une "trajectoire plus ambitieuse" que la visite confirmée du président François Hollande à Rabat viendra consacrer, début 2013.  A deux semaines de la fin de 2012, les deux pays ont témoigné, non seulement dans le discours mais par les engagements pris, les accords signés et leur feuille de route commune pour l'avenir, de la solidité de leurs liens multiformes, de leurs engagements réciproques à aller de l'avant. 

La réunion de haut niveau co-présidée les 12 et 13 décembre dernier par le premier ministre Français et son homologue Marocain, est venue confirmer la pérennité de l'amitié, la solidité du climat de confiance et la volonté proclamée de part et d'autre de consolider la maison commune Franco-Marocaine, l'imbrication des destinées et le pari de semer davantage de germes pour une croissance partagée.  La feuille de route était ainsi tracée. Le président Hollande l'aura dit clairement: "réaffirmer son attachement à l'amitié entre la France et le Maroc et souligner son caractère exceptionnel grâce aux nombreux liens entre nos deux pays,saluant le processus de réforme démocratique, économique et sociale en cours dans le Royaume à l'initiative de SM le Roi Mohamed VI et déclaré solennellement que La France "se tient aux côtés du Maroc dans la voie qu'il a choisie de modernisation économique et d'approfondissement de l'Etat de droit".  

Avec ce premier entretien et la poignée de mains immortalisée par les photographes sur le perron de l'Elysée, Rabat et Paris ont voulu vite témoigner du caractère exceptionnel de leurs relations et de la densité du dialogue politique bilatéral, comme l'a souligné le président François Hollande. 

Après le défilé au Maroc de cinq ministres du gouvernement français durant l'été, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault réserva au Maroc sa première visite dans un pays du sud de la Méditerranée. Un déplacement qui n'avait rien de protocolaire et qui englobait non seulement les poids lourds de son cabinet, mais aussi les acteurs essentiels de la dense relation bilatérale: entrepreneurs de gros calibre et parlementaires.  Cette visite en prélude à celle que le président Hollande sera "heureux d'effectuer" au Maroc au début de l'année 2013, a confirmé le caractère constant, dense et profond des relations multiformes marquées à jamais du sceau de l'excellence. 

Sa Majesté le Roi Mohamed VI a souligné, à juste titre lors de l'audience accordée à M. Ayrault, le caractère distingué et dense de ce partenariat, doublé de la pleine disposition des deux parties à le renforcer et l'approfondir davantage, au service du développement socio-économique durable.  Le Souverain n'a pas manqué de se féliciter de la qualité du dialogue stratégique établi entre le Maroc et la France et qui se décline en une concertation fructueuse entretenue entre le Roi et le Président français François Hollande sur les thématiques bilatérales, régionales et internationales, une concertation qui va culminer, au début de l'année 2013, par la visite d'Etat au Maroc du président français. 

Un nouveau rendez-vous qui permettra de consolider l'élan insufflé par la visite de M. Ayrault, marquée par la signature de plusieurs accords (13) et de prêts de 280 millions d'euros, afin qu'à l'avenir le partenariat maroco-français soit "revigoré, davantage sectoriel et à contenu concret". 
Quant au volet politique, le dialogue de haut niveau est appelé à se poursuivre dans un esprit de concertation et de convergences de vues sur les questions diplomatiques phares.Une concertation aussi bien sur le niveau bilatéral que sur le plan multilatéral, notamment au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU, où le Maroc siège depuis un an et qu'il  l'avait présidé avec succès durant le mois de décembre 2012. 

Nous ne demanderons pas à Mr.François Hollande, de "Repentance" pour l'acte du protectorat, imposé au Maroc dans un moment de faiblesse. Mais nous lui souhaitons une bonne conduite pour se rallier à ses prédécesseurs pour consolider de plus l'amitié Maroco-Française, au moment où il a eu le courage d'afficher ses accords avec Sa Majesté le Roi Mohamed VI, partageant avec le Souverain le même point de vue sur les différentes crises qui font l'actualité internationale. Le Sahel, La Palestine, et la Syrie... C'est du moins ce qui ressort d'un communiqué de l'Elysée, dont le contenu a en partie été rendu public en novembre dernier.Une fois n'est pas coutume, Rabat et Paris ont choisi de rendre publique,  en communiqués officiels, la visite que Mr.François Hollande effectuera au Maroc, début 2013, à l'invitation de Sa Majesté le Roi Mohamed VI – qui avait été lui-même le premier chef d’État reçu par le président français après son élection. Cela veut dire que le poids du Maroc chez nos amis Français n'est pas celui d'une algérie frivole.

Le Maroc demeure le préféré

J'adresse la parole à nos voisins du mal algériens..Si parmi vous, certains craignent que la France officielle se détourne de votre pays au profit du notre, empressez-vous de les rassurer. Le Royaume restera la destination préférée(ElMoufadala). Dites-leur d’abord qu’on aura du mal à nous défaire de votre vilaine image. Que nous avons encore beaucoup de chemin à faire, nous avons notre boulot à nous, avant qu’un homme politique français n’ose dire qu’il aime le Royaume et les Marocains.

N'attendez jamais un Jean-René Fourtou, le grand patron pour venir  faire  des investissements Français en Algérie, puisqu'il est déterminé de les augmenter chez nous au Maroc. Vous n’avez pas non plus l’équivalent en France de ce cercle d’influence pro-marocain dont nous disposons à droite comme à gauche. Les femmes et les hommes politiques français nés au Maroc sont nombreux, fiers de le dire, contents d’y revenir et prompts à le soutenir en toute occasion. Ceux qui sont nés ou qui ont vécu en Algérie, sont tout aussi nombreux mais ils préfèrent vous parler d’autre chose, pas d'investissements, à cause de l'insécurité qui prévaut dans votre algérie de "de fèreté et de dignité". Vous senterez leur gêne, leur envie d'investir ailleurs.

Un paradis sur la rive sud Méditérranéenne.

Vous avez d’excellents lobbyistes, vous avez des spécialistes de fierté (Nif..) . Vous savez éluder, on prend tout au premier degré surtout quand c’est "Faffa" (la France) qui parle. Il se passera encore peu de temps avant que nous puissions accueillir des Charters entièrement pleins de parlementaires, de chefs d’entreprises, d’acteurs ou de journalistes à la recherche d’un douillet dépaysement au Maroc.

Nous avons La Mamounia et d'autres palaces classés et hors classe, des Riads à vendre ou à louer, des tajines au boeuf ou au mouton et la pastilla au crevettes, bref, un tout-plein d’avantages que même la victoire électorale de nos barbus du PJD ne remettra pas en cause. Vous, c’est différent. vos hôtels Bouillons tombent en ruine faute d’entretien et de touristes, l’ombre des promoteurs immobiliers plane sur vos cites et Casbah sinistrées et, plus les années passent, et plus l’art de faire un bon plats de riz ou de "Baklawa" se perd chez vous.. A bien des égards, de nombreux Français, vous savez ces officiels et officieux un brin paternalistes, voient dans le Maroc une sorte de paradis et vous avez l’intelligence et l’habilité de ne pas les contredire…et vous savez bien que la valise diplomatique de Mr.François Hollande, lors de sa visite à votre pays contenait que la  relation coloniale à son ex-colonie de 132 ans.

 Notre tour, c'est Royal

Viendra donc en cette année 2013, le temps de la visite de François Hollande chez nous. Nous sortirons le grand jeu et l’apparat. Par attrait du Maroc, à Paris, on se battra comme des chiffonniers pour faire partie de la délégation présidentielle. Il y aura des patrons du CAC 40 - des vrais, par leurs chargés des affaires publiques ou quelques autres seconds rangs -, des artistes, des journalistes, des modistes,  et des stars de toutes les disciplines.  En clair: Nous vivrons la totale royale. Arrivé chez nous, le président est normal, mais impressionné, fasciné même, car il était fatigué d'entendre le mot "Repentance" et synonymes lors de son  séjours en algérie, Nous dira à quel point les relations franco-marocaines sont solides, intenses, durables, denses et tout le tintouin. Il tombera amoureux du Maroc, comme  ses prédécesseurs Valéry Géscard d'Esnting,Jaques Chirac et Nocolas Sarkozy avant lui.A Alger,vos moustaches frémiront, des mâchoires se serreront et il s’y dira que, décidément, nous savons y faire.                                   

Un communiqué du Cabinet Royal indique que Sa Majesté le Roi a reçu ce lundi 14 janvier un appel téléphonique du président français, François Hollande, sur le Mali à la suite des derniers développements enregistrés dans ce pays, et ce aprés l'engagement officiel de la France aux côtés des forces Maliennes pour "lutter contre des éléments terroristes." Auparavant, le président François Hollande a déclaré de Dubaï que le Maroc a permis à la 'France de survoler son territoire pour permettre aux avions français déployés d'atteindre le Mali.Confirmation faite, en conférence de presse, lors de sa visite à la base navale Française à Abu Dhabi, le mardi 15 janvier. Mr. Hollande parle en tant que lance de fer de la guerre Françafrique : «autorisé, aprés le Maroc, le survol de l’Algérie par un certain nombre de nos avions».                              

Ce que je crois, la concertation entre les deux chefs d'Etats en ce qui concerne le Mali et sa crise, est survenue aprés le manque d'empressement et le peu d'implication d'Alger devant l'intervention militaire au Mali, alors que le problème du terrorisme au Sahel est à l'origine le sien, depuis que les savants du DRS ont eu l'idée de réquisitionner, en leur faveur l'ex-GIA, transforné en GSPC, rebaptisé aujourd'hui en "AQMI", qui devient par l'argent amassé de rançons, une force de frappe menançant l'algérie dans son grand sud et tous les pays de la région du Sahara-Sahel. La prise d'otages de la nuit du 15/16/janvier,du site gazier "Tiguentorine à In Amenas" dans la wilaya d'Illizi au sud-est agérien en témoigne, où l'Algérien Mokhtar Ben Mokhtar, alias le (borne), et ses compatriotes "algérsario" sont passés à l'action.                                                              

C'est la panique en algérie,  Dahou Ould Kablia, le ministre algérien de l'intérieur, ment, revient sur ses mots, et ment encore..! Son patron Bouteflika n'arrive pas à ranger son grenier, il doit avoir la tête sèche dès son réveil à la matinée qui suivait cette opération d'envergure, de prise d'otage, que l'algérie n'a jamais connue, même durant les souffrances de la décennie noire des années 90.

Dans les couloirs de son palais, aux casernes Ben Aâknoune et Daly Brahim aussi, se passe quelque chose anormale..? Se dire que rien ne vaut la peine. Inutile de faire semblant, de s'activer, de harceler ses proches. Ce qui va mal ne peut être réparé, qui en aurait le pouvoir de commettre cette fatalité dans une frontière, dit-on, bien contrôlée?, cela vient de si loin !, Où sont passés les gens du général si Toufik(DRS), et les veilleurs de nuit du général Gaid Ahmed(ANP) ? "hhha Haouji²", disait Bouteflika. Ce qui ne va pas bien n'a qu'une épaisseur quasi symbolique. Gestes maladroits après ce réveil poussif et cauchemard, dont la situation  devient, de plus en plus, trés confuse. Alors, Messieurs de la junte et vous les valets du palais d'ElMoradia vous devez, pour la circonstance, multiplier entre vous, les doses les plus fortes de "Chemma" et crachez sur vous-même.

Aujourd’hui Bouteflika, doit avoir le sourire aux lèvres. Pour lui, l’Algérie savait tergiverser, faisait prévaloir son principe de non-ingérence, émettait des sons de cloche dissonants dans le dossier du Mali et du Sahel, elle aimait jouer à la puissance régionale souveraine, mais  on est convaincu que lorsque le moment de vérité, arrive, le masque tombera et Bouteflika, avec «sa longue expérience d'hypocrisie» tant louée, se soumettra à la volonté des plus forts. Les réticences et les attermoiements concernant l’intervention militaire au Mali n’étaient que gestuelle de vierge effarouchée. Le pouvoir algérien joue le héro uniquement devant son peuple. Devant la France,  c’est un régime fragile et sans principe autre que celui de perdurer contre la volonté de son peuple.

Abdelmalek  Sellal, premier ministre algérien, qui n'a pas beaucoup convaincu les journalistes lors de sa première grande conférence de presse au ton décousu et à certaines informations contradictoires, a clairement indiqué qu'aucun soldat algérien n'ira se battre au Mali. On a espéré que le pouvoir algérien ne changera pas d'avis comme à propos des avions Français, car ne disait-on pas aussi que l'espace aérien algérien serait inviolable en cas de conflit au Mali ? 
Quant à affirmer que l'armée algérienne n'a jamais participé à des batailles hors de ses frontières, ils diront  bientôt que les troupes algériennes battues lors des Amgala 1 et 2 en 1976 venaient de la planète Mars et que les intrépides soldats qui ont érrés dans le désert du Sinaï n'ont jamais existé ! Et ces retraités de l'armée algériennes qui appellaient les jeunes recrus algériens à s'informer sur les faits de l'ANP en Égypte d'hier et en Syrie actuelle, seraient probablement taxés de faussaires! Les troupes algériennes sont déjà sorties d'Algérie, quand il fallait jouer le faux leadership,  pour rien au prix du sang et des larmes, ce «nif»  qui ne sent que l'ordure, si malmené de ces jours... 
Par contre, nous on ne joue pas dans l'obscurité, notre pays Le Maroc a bien laissé passer, au clair de la lune, des avions de chasse de l'armée française, venant des Iles Canaries, et ça n'a dérangé personne. Normal, ici nos amis Français sont presque chez eux et n'ont besoin qu'une simple petite autorisation du souverain, Commandant suprême et chef d'Etat major général des Forces Armées Royales. 

Les Algériens savent trés bien que le Maroc est présent au Mali, par sa diplomatie et par son soutien stratégique où notre pays gagne des points et l'Algérie les perd. Le Maroc, quand il assurait la présidence tournante du Conseil de Sécurité Onusien en décembre dernier, a participé avec une grande éfficacité à l'élaboration de la résolution 2085 sur la reconstruction du Mali et s'est engagé à contribuer lors de la Conférence des donateurs sur le Mali prévue à Addis Ababa au financement de la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine  . Le silence d'Alger à ce sujet, s'explique par comment le président Français a commenté "l'apparente convergence" entre son pays et l'Algérie sur le Mali, alors que Abdelaziz Bouteflika qui le recevait dernièrement "n'a lui pas soufflé aucun mot". Ce silence traduisait, au-delà de l'autisme du régime algérien, d'impliquer davantage notre pays dans le conflit, par le manque d'empressement devant l'intervention Française  et internationale. Le  journal français le "Figaro' a estimé  qu'Alger a toujours louvoyé ces dernières années pour éviter un engagement musclé contre les groupes terroristes "pro-algériens", présents dans son arrière-cour et qui sont téléguidés discrétement par le DRS, alors que le problème est pourtant purement algérien.
 
Le peu d'implication peut aussi s'expliquer par une perte d'influence algérienne en Afrique noire depuis la guerre civile, ou la décennie noire algérienne. La diplomatie algérienne a perdu, par sa frivolité, sa profondeur stratégique sur le continent.  Mais si à Alger, on explique que la priorité est de sécuriser les 1400 km de frontière commune avec le Mali, son armée a démontré sa faiblesse et son incapacité, dans ses premiers pas pour préserver le grand sud algérien, devant les trafics en tous genres qui enrichissent les groupes armés et qui prospérent davantage, du fait que l'AQMI et ses complices restent alimentés par de l'essence venue d'Algérie. Des armes et du matériel transitent librement par les pistes algériennes. Que retient l'Algérie de tout ça? Elle a établi pour tous une évidence, que confirmera la politique de l'autriche du régime algérien poursuivie jusque-là, face à la crise du Mali pour les algériens? : la faillite d’un système de gestion politique à grande échelle qui, au nom du profit, paupérise ses populations, ruine la vie de tout un peuple opprimé, dévaste la terre de "fiéreté et de dignité algériennes", empoisonne le corps algérien et pollue la conscience politique locale!. Bonne lecture.                                                                                                   
                                                                                            Cordialement,Chihab25

A suivre..

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 *.Les complications sont biens arrivées et se résument dans l'engagement de la France au Mali.

1.-Secondé par Alain Poher en tant que président du Sénat,amené à exercer l'intérim de la présidence de la République.(Avril/Juin 1969) à la suite de la démission de Charles De Gaules.

  2.-Haouji, c'est un mot  dialectal algérien-, l'équivalent du mot "Al Wail" chez nous au Maroc.(le malheur).                   

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