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I.- La cause nationale et le trio:"SusanRice,JohnKérry,ChristopherRoss".

URGENT Défaite de l'Algérie au Conseil de Sécurité. Le fameux projet Susan Rice au sujet de la Munirso est retiré ce jour mardi 23/4/13. Information tombée à 16h GMT au parlement Marocain, au cours de la séance plénière hébdomadaire de la chambre des conseillers, (rapportée par Driss Radi, député-UC). Bravo à Sidna et merci de l'être intervenu, à la diplomatie Marocaine et à la socièté civile avec toutes ses composantes. Félicitation à notre pays, dans l'attente d'une autre connerie algésario..! (ajoutée, le 23.4.13 à 16h ).

البوليساريو  تنتقد "ضجة" المغرب إزاء المقترح الأمريكي









حسب كواليس الساعات الأخيرة، فالضغط الفرنسي/الاسباني،والرفض الصيني/الروسي لما جاء في المسودة الأمريكية، كان له أيضا مفعول إيجابي  بـوصفه  بـ"النصر الدبلوماسي المغربي"، بتراجع الولايات المتحدة الأمريكية عن مسودتها التي كانت لتقلب كل المعطيات التي تخص قضية الصحراء

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3.-La bande-trio:"SusanRice,JohnKérry,ChristopherRoss" usa. 

Attention à la marche, Mme..L'ambassadrice américaine auprès de l’ONU, Mme Susan Rice, a remis la semaine dernière au Groupe des Amis du Sahara, créé pour consultation par Christopher Ross (les États Unis d'Amérique, la France, la Russie, le Royaume Uni, la Suisse et l’Espagne), l’avant-projet d'une résolution qui sera débattue le 22 avril par le Conseil de sécurité et votée le 25 courant″, écrit le journal Espagnol "El Pais" qui dit détenir ces informations de «sources diplomatiques».Si cette initiative prospère cela équivaudrait à un changement substantiel dans l’évolution du conflit et dans la crédibilité  de l'oncle Sam qui se veut déchainer de sa cage .  

Certains sites bâtard pro-DRS algérien, se sont mobilisés pour la circonstance et font circuler que la MINURSO, je cite: "Est la seule mission de maintien de la paix dans le monde qui n’a pas de prérogatives en matière de droits de l’homme.et que Jusqu’ici, le Maroc, avec l’assentiment de la France et des États-Unis, a toujours refusé de laisser qu’elle surveille les droits de l’homme au Sahara, tout en assurant que ces derniers étaient respectés et que le temps est venu pour que les Etats Unis changent d'avis!"Fin de citation….

On analysant le document "Rice" on peut constater,voire on sentir l'odeur de pots de vin (!),  dans sa traduction arabe,reproduite textuellement dans le rapport de Mr.Ban Ki Moon. Le paragraphe concernant l'élargissement des prérogatives de la Munirso aux droits de l'homme était rédigée au dos d'un chèque portant seing Sonatrach, dans les coulisses du palais d'ElMoradia d'Alger pour être présenté en "récompence" à Mme Susan Rice, l'ambassadrice Américaine à l'ONU.

Et aussi à la ligne rouge!. Je faisais allusion ci-dessus à la présence de fidèles dans les couloirs des ministères clés, en l'occurence MM.Charki Draïss, à l'intérieur, Youssef El Amrani aux Affaires étrangères qui sont  membres du gouvernement Benkirane, et qui ont, à mon sens, la mission de surveiller de près dans le sens positif, pour éviter éventuellement tout dérapage dans ces deux départements de l'État durant la période de perfectionnement de l'éxecutif dans la polémique politique qui sévit actuellement au pays. En effet, l'oeil vigilant Marocain était  et l'est toujours sur la cause nationale, dont le dernier regard en date; la mise au point des derniers développements de la question nationale, suite à des initiatives malencontreuses de la part des ennemis de notre intégrité territoriale tendant à dénaturer le mandat de la Minurso

Je dois m'arrêter d'abord devant une chose que la majorité de mes lecteurs ignore sûrement..«La responsabilité de protéger» - ou la R2P comme on a tendance à l’abréger à l'ONU - a émergé, comme tout le monde sait, dans le contexte de l’après-guerre froide. Qu'est-ce-que c'est la responsabilité de protéger dans le dictionnaire diplomatique onusien..? 

«La réponse est simple : Au cœur de la notion de la responsabilité de protéger figure le principe de subsidiarité : si l’Etat est défaillant et incapable d’assurer la protection des populations civiles, par exemple contre un processus d’extermination massif, -ce qui ne peut s'appliquer à nos provinces du sud, par rapport à ce qui se passe aux camps de Tindouf sous la tutelle de l'Algérie-, la Communauté internationale serait fondée à intervenir pour le supplanter, étant entendu que les questions en rapport avec la protection des droits fondamentaux de l’Homme relèveraient de la responsabilité commune de tous les États membres et en poste aux Nations Unies». 
 
Le rapport du Secrétaire général de l'ONU, Mr Ban Ki-Moon, daté du 8 avril 2013, précise qu’il est judicieux qu’une instance internationale se charge de la protection et de la surveillance des droit de l’Homme au Sahara "Occidental" et dans les camps de Tindouf. D’où notre problématique est dans la mission précise de la Minurso decrétée par la résolution 690 du Conseil de Sécurité en 1991. Regardez bien les initiales formant l'épellation : «lMission des Nations Unies pour lorganisation d’un Référendum au Sahara Occidental (MINURSO)». Donc la Minurso a t-elle une responsabilité de protéger les populations Marocaines habitant au Sahara?. Je suis ne pas qualifié en droit international pour mieux répondre, mais  tout simplement, je le crois pas..! Ce que je crois, comme d'autres, c'est une...

Notion inappropriée pour le  Sahara..Le Maroc, État pleinement souverain et à l’autorité effective, s’est lancé depuis plusieurs années dans un processus de construction et de consolidation de l’Etat de droit. La Constitution de 2011 a accéléré ce processus irréversible. Les provinces sahariennes ne constituent pas, bien entendu, une exception. Qui plus est, elles font l’objet d’une attention particulière étant donné qu’elles sont parfois l’objet de troubles sociaux provoqués par des jeunes chômeurs, sinon par des agitateurs acquis aux thèses séparatistes. 
 
D’abord, un processus de consolidation et d’extension de l’Etat de droit est à l’œuvre. Sa matérialisation a débuté il y a plusieurs années à travers la création de trois Commissions régionales, reliées au Conseil national des droits de l’Homme, couvrant les trois régions du Sahara, à savoir Dakhla-Aousserd, Tantan-Guelmim et Laâyoune-Smara. Ces Commissions sont chargées de mener des investigations en cas d’allégations de violation des droits de l’Homme dans les territoires qu’elles couvrent. 
Ensuite, le Maroc a enclenché une dynamique vertueuse d’amplification de la protection constitutionnelle des droits de l’Homme avec, notamment, la possibilité pour les citoyens ou les justiciables de défendre leurs droits devant les instances compétentes, dont les juridictions ordinaires et spécialisées, - En  preuve, la transparence des assises du Tribunal militaire à Rabat et les incuplés dans l'affaire Gdim Izik- . La Constitution de 2011 a également incriminé le génocide, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité. 

Se basant sur ses antennes et ses émissaires, Mr. BKM sait plus que d'autre que le Royaume du Maroc est riche d’institutions chargées, directement ou indirectement, d’assurer une protection optimale des droits de l’Homme, tels qu’ils sont reconnus universellement. On peut citer dans ce cadre le Conseil national des droits de l’Homme, le Délégué ministériel des Droits de l'Homme, le Conseil économique, social et environnemental, l’Institution du Médiateur et le Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes et l'Institut Royal de la Culture Amazigh. Des efforts sont également menés depuis quelques années pour l’alignement du Maroc sur les standards internationaux en matière de droit international humanitaire.

Des éfforts sûrement confirmés par les proches collaborateurs de Mr. BKM : MM. -.Juan Mendez, le Rapporteur Spécial de l’ONU sur la torture qui a visité le Maroc en 2012, cet homme qui est d’un tout autre calibre et surtout reconnu sur le plan international par sa probité consiste à évaluer les améliorations et à identifier les défis à relever concernant la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, particulièrement en relation avec l’adoption de la nouvelle Constitution de juillet 2011 et le droit international.  - Et Mr.Hervé Ladsous,le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies, , qui a d'entamé lui aussi, en octobre 2012, une visite à Lâayoune qui selon le Bureau Marocain de coordination avec la Minurso, le responsable onusien, avait visiblement la mission "d'inspecter", les unités militaires de la Minurso, a eu une série de rencontres avec des responsables sécuritaires de la dite mission. Officiellement c'était une mission téchnique de routine qui dépend de sa responsabilité de paix.

Je répete pour mieux collationner : la Minurso a-t-elle une responsabilité de protéger les populations Marocaines habitant au Sahara?. Cette question demeure illégitime quand on sait que des voix anti-Marocaines s’élèvent pour pouvoir étendre le mandat de cette mission onusienne de sorte qu’il inclue un monitorage des droits de l’Homme. En réalité ces voix cassées ont réussi à impliquer le SG des Nations Unies dans une sale boue Algérienne, puisqu'il s’agit d’un faux débat qu'il  va ouvrir à l'échelle du Conseil de Sécurité Onusien. Nos profs en droit international sont appelés en perspective à le démontrer sûrement. Dans un premier temps, nous simples Marocains observateurs, nous mettrons en exergue la notion de la responsabilité de protéger, en théorie pas en pratique, avant que notre représentant permanent à l'ONU Mr.Loulichki se penchera sur son impertinence pour le cas des provinces sahariennes.  Sachant que Sa Majesté  le Roi que Dieu le garde, a selon le communiqué du cabinet royal exprimé son entière confiance au Conseil de Sécurité, et a pertinemment clarifié les termes de la solution négociée telle que préconisée sous les auspices de l'ONU.

Mise au point..C'est fait au niveau national. Sur Hautes instructions de Sa Majesté Le Roi, une réunion consacrée à cet effet s'est tenue, lundi(15/4/13) au Cabinet Royal, en présence de trois Conseillers du Souverain, du Chef du Gouvernement, des leaders des partis politiques et des ministres, indique un communiqué du Cabinet Royal.Une autre séance de travail s'est tenue en parallèle le même jour entre une délégation Marocaine de haut niveau, dépéchée en urgence par le Souverain à Londres, et Mr. William Hague, le ministre Britannique aux affaires étrangères.

La composition de cette délégation, groupant  MM.Taieb Fassi El Fehri, conseiller du Roi, Mohamed Yassine Mansouri, le patron de la DGED et Saâd Eddine El Otmani ministre PJD aux affaires étrangères, démontre que cette affaire n'est pas simple. Il ne s'agit pas là de Burundi ou de Malawi, c'est la crédibilité du Royaume Uni qui en jeu et devait être rappelée à l'ordre étant partie intégrante du Groupe d'amitiè du Sahara Marocain. Cela dit que Mr. Yassine Mansouri n'a rien à voir avec les trois conventions de coopération de justice (!) qu'a signé en couverture Mr. El Otmani avec Hague.  Le Maroc s'est décidé donc  à mèner une campagne diplomatique en contre-attaque auprés des autres pays formant le Groupe d'Amitié du Sahara Marocain. Je souligne le mot Marocain même si ce groupe n'est pas encore en mesure de le prononcer ouvertement.

Dans le même contexte, je ne laisserai passer cette occasion sans souligner que les Marocains s'attendaient à des gaffes diplomatiques du genre de la part du nouveau Secrétaire d'État Américain aux affaires étrangères Mr. John Kérry qui  vient de succeder à Mme.Hillary Clinton à la tête du Département d’État Américain, et qui, comme nous le savions déjà, soutenait ouvertement en tant que simple Sénateur érrant hors circuit (!), la thèse algérienne. Et voilà chose attendue, chose bien arrivée..! Ce n'est pour nous, qu'une instrumentalisation de la question des droits de l'Homme au Maroc,  qui a  d'ailleurs l'habitude d'entendre les mêmes propos, depuis la présentation de son plan d'autonomie pour la région en 2007. Du fait que Mr. John Kérry veut passer à l'acte pour justifier aux algériens, à bras le corps, le pétrodollards algérien qu'il aurait dégusté pour son soutien d'une cause artificielle Sahraoui -made in Algéria- à Tindouf.

Je suppose que l'attitude de Mr. John Kérry ne serait forcément pas celle de l'Administration officielle Américaine (avec ses deux grands AA), au moment où les efforts du royaume en faveur en de la promotion des droits de l'Homme", y compris au Sahara Marocain, "sont salués par la communauté internationale et par de nombreux partenaires internationaux y compris les USA du temps des trois femmes-mousquetaires Américaines (Mmes.Madeleine Albright, Gondoleezza Rice et Hillary Clinton) qui se sont succédées, avant lui, au Département d'État Amércain.

C'est une première jamais enregistrée dans l'histoire contemporaine de la diplomatie des États Unis d'Amérique qui portera préjudice, au cas de confirmation, à la crédibilité de la première puissance du monde. La partialité de ce type de démarche unilatérale et sans consultation préalable (...) ne peut que susciter incompréhension et rejet par le Congres Américain qui a approuvé la proposition de John Kérry, au poste de secrétaire d'Etat, par le président  Barak Oubama et mettre dans l'embaras son ami le Vice-président  Américain Mr.Joe Biden qui aurait soutenu sa proposition à la tête du Département d'État.

Noublions pas que  ce Mr. John Kérry est membre actif dans la  FRK (Fondation Robert Kénnedy) qui fait de sa ligne de conduite hors continent, une hostilité particulière à notre pays pour pouvoir survivre des futilités du pétrodollard algérien.Pour rappel dans ce sens, il y a lieu de revoir les notes consacrées à temps aux accrobaties de Kérry Kennedy lors de sa visite au Maroc en 2012 pour s'en assurer.(voir les notes 1,2,3 intitulées : Kérry Kennedy et les accrobaties de l'Algérie, datées respectivement du 21/9 - 06/10 et 17/10/2012). D'autant plus que ce nouveau venu au Département d'État Américain appartient bien à la bande Américaine au pouvoir "Rice" qui tient à balayer les traces "Clinton" de l'administration centrale à la Maison Blanche dans un conflit qui oppose l'administration Répulicaine conre l'Administration démocrate.C'est ainsi qu'on trouve à la tête de cette bande Mme Susan Rice l'ambassadrice permanente des États Unis d'Amériques à l'ONU qui constitut la plateforme de tous les manoeuvres anti-Marocains à ce niveau, aprés avoir soutenu indirectement et par l'intémediaire de la Fondation Kénnedy, les phénomènes créés par l'Algérie telles que les affaires d'Aminatou Haidar en 2008, Gdim Izik en 2010 et les accrobaties de la Star Kérry Kennedy en 2012.

Un peu d'histoire..Les relations maroco-étasuniennes sont plus que centenaires. Est-il besoin de rappeler qu’en 1777, le Maroc fut le premier pays au monde à avoir reconnu l’indépendance des États-Unis. En 1776, ces derniers venaient en effet de se détacher des 13 colonies britanniques et proclamer, par conséquent, leur indépendance. Le Royaume chérifien était alors sous le règne du Sultan Sidi Mohammed Ben Abdallah (Mohamed III). A l’époque, le Maroc aidait les Américains à lutter contre la piraterie maritime qui visait leurs navires. Tanger abrite le premier consulat américain ouvert au monde. Le musée de la Légation américaine de Tanger, qui a hébergé durant plusieurs décennies la représentation diplomatique et consulaire américaine, a été offert aux Etats-Unis en 1881 par le Sultan Moulay Slimane. 

Progressivement, les relations entre les deux pays se sont consolidées. On rappellera, entre autres, que Casablanca a abrité, en janvier 1943, la Conférence d’Anfa, en présence du président américain Franklin Roosevelt et du premier ministre britannique Winston Churchill. Il s’agissait à l’époque de l’une des premières conférences ayant contribué à la fin de la seconde guerre mondiale. Des bases américaines ont alors été édifiées au Maroc pour servir de source de ravitaillement aux avions de combats américains alors en lutte contre les pays de l’Axe. D’ailleurs, la coopération militaire entre les deux pays atlantiques n’a jamais été interrompue. 

Après l’indépendance du Maroc, les relations entre le Maroc et les États-Unis se sont consolidées, matérialisées par la conclusion  de plusieurs accords de coopération,  que je ne peux citer  en exemple dans l’approfondissement des relations économiques et commerciales entre le Maroc et les Etats-Unis. Dans le même contexte, les États-Unis ont octroyé au Royaume le statut d’allié majeur hors Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Dans cette optique, il convient de rappeler que le Maroc participe activement au Dialogue méditerranéen de l’OTAN lancé dès 1994.

Géopolitiquement, la position du Maroc lui confère un statut privilégié : cette position est un don divin, il est en même temps atlantique et méditerranéen. Il lorgne sur le détroit de Gibraltar, l’un des plus stratégiques au monde qui relie la Méditerranée à l’Atlantique et dont le coefficient géostratégique est élevé, ce qui lui attire davantage d'ennuis avec l'Algérie qui court pour accparer un leadershp introuvable. 

Au regard des considérations sus-citées, force est de conclure qu’il sied de placer les relations maroco-américaines au-delà de la conjoncture, des successions ou des variations politiques. Les paramètres géopolitiques structurels régissant les relations entre le Maroc et les États Unis d’Amérique doivent être au cœur de la formulation de la politique étrangère de ces derniers. 

On parle d'acte isolé..Le journal arabophone Londonien "Al Charq Al Awsat" rapporte que, selon des sources diplomatiques à New York qu'il s'agit d'un acte isolée mené par l'Ambassadeur,  américaine auprès des Nations Unies à New York  Mme Susan E. Rice, et qu'il n'est pas une décision stratégique américaine émanant de la Maison Blanche, du Pentagone, ou même du ministère des Affaires étrangères. Les même sources ont souligné, selon le journal, que la proposition est passée  à l'insu de la Maison Blanche et le Département d'Etat.et que Rice n'a pas eu le feu vert à ce sujet. 

Echec probable de Ross..Un sommet Maroc-Algérie..Le conflit du Sahara vient de prendre un nouveau tournant avec le rapport du Secrétaire général des Nations Unies qui sera présenté devant le Conseil de sécurité le 22 avril 2013. Christopher Ross, l’émissaire onusien, appelle à un sommet entre le Maroc et l’Algérie pour accélérer le processus de paix.  C’est dire l’urgence des mesures à prendre dans une configuration actuelle où le conflit du Sahara pose problème à toutes les grandes puissances, conscientes de l’impératif de mettre un terme aux dangers et aux risques liés à la pérennité d’un tel différend territorial. 

Tous les observateurs s’accordent à dire que dans la forme comme sur le fond, la position de l’ONU a changé. Aujourd’hui, son Secrétaire général, Ban Ki-moon et son émissaire savent que le conflit oppose dans les faits Rabat et Alger. Ces deux pays qui sont à la fois le problème et la solution. Pour l’ONU, la mésentente et les rivalités entre les deux pays voisins plombent le processus de paix. En effet, aucun dialogue n’est possible entre les deux capitales. Pour nous Marocains, seule la proposition de l’autonomie est viable et constitue la base de toute négociation avec l’Algérie. Pour les Algériens, c’est l’autodétermination devant mener à l’indépendance qui est censée être la solution au conflit. Deux points de vue diamétralement opposés sans le moindre consensus ni compromis.   

Selon un spécialiste de la politique étrangères des États Unis d'Amérique. Pour justifier éventuellement son échec, Christopher Ross commence à étaler la toile sombre. Il estime qu’une rencontre de haut niveau entre les Marocains et les Algériens est aujourd’hui inévitable. Elle est même vitale pour la région. Et c’est à la lumière de ce sommet que les deux parties peuvent définir l’avenir de leurs relations sur les plans politique et diplomatique. Pour l’émissaire onusien, seul un rapprochement effectif et profond à tous les niveaux est à même de baliser le terrain pour mettre fin à la situation intenable et désormais dangereuse des camps de Tindouf. Ensuite, la fin du conflit sera un gage pour plus de stabilité dans toute la région du Maghreb et du Sahel, bouleversée par le terrorisme et l’extension des milices pro-polisario liées à Al-Qaïda.

Christopher Ross a aussi précisé que le rapport qui sera présenté devant le Conseil de sécurité le 22 avril 2013 va démontrer le bien-fondé et surtout l’urgence d’agir pour sécuriser toute la région.  Pour Rabat, il ne fait aucun doute aujourd’hui que la solution au conflit est tributaire d’un échange fructueux avec Alger. Mais en Algérie, la position de l’armée  retarde cette échéance quitte à voir tout le sud algérien et marocain s’embraser et tomber dans les rets des réseaux terroristes. Le Secrétaire général de l’ONU, dans son rapport, a bien expliqué les dangers qui guettent la région, l'Algérie et la Mauritanie en particulier. C’est au négociateur onusien de définir les modalités d’un processus de paix effectif et réaliste, respectant la marocanité du Sahara dit "occidental", s'il veux que l'ONU ne perd pas de crédibilité,et désamorcer la nouvelle bombe de mouvements d'échauffement qui se prépart et qui tend à le disqualifier de nouveau.

Nous l'avons vu marcher dans un couloir à l'édifice de l'ONU, perdant la direction, sans bousole. C'est une hôtesse du protocole qui l'avait tenu par la main pour l'orienter. C'est assez étonnant, ou troublant, de voir quelqu'un qui est si bien mis en valeur sur scène onusienne paniqué, aux couloirs de l'ONU, qui semblent importants. C'est assez troublant de le voir ainsi, comme monsieur tout le monde, dans la masse, comme nu parmi ses semblables. Nous souhaitons qu'il soit crédible cette fois-ci dans son rapport, loin de l'odeur de la Sonatrach algérienne qui l'a entaché auparavant.

Conclusion..On ce qui nous concerne, la réaction-offenssive du Maroc à Susan Rice , n'a pas de surprise,  notre pays intervient alors que l'actuel mandat de la Minurso, chargée de surveiller le cessez-le-feu depuis 1991, s'achève à la fin de ce mois. Le 22 avril, l'envoyé spécial de Ban Ki-moon, Mr.Christopher Ross, doit présenter son rapport au Conseil de sécurité, au terme de sa nouvelle mission dans la région, et aprés le vote des quinze membres du Conseil de Sécurité le 25 avril prochain, nous verrons où se trouve la réalité perdue, étant donné que le fait de soulèver cette affaire  dans le dernier rapport de BKM sur le Maroc et son Sahara, n'est qu'un ballon d'éssaie, projeté probablement en éclat d'une guerre de positions, dans la ceinte du gouvenement fédéral Américain, pas plus.

La gravité de cet acte qui représente, pour nous Marocain que la lacheté du régime Algérien, a bien secoué l'opinion publique nationale pour se consolider davantage. L'algérie qui, aprés avoir échoué dans la manipulation de Christopher Ros, dans le même sens, il change de souffleur, avec les même arguments fallacieux, choisissant cette fois-ci,la bande "Rice" pour faire du bruit dans le conflit "Sahara" et le faire perdurer  le maximum possible ! Elle échouera encore et encore, et n'arrivera jamais à atteindre la violation de l'unité Marocaine, ou affaiblir le Maroc en l'écartant du leadership, ou encore faire subvertir  le Sahara contre ses racines. Ils n'arriveront jamais à destabiliser le Maroc ou à le mettre à genoux, et bientôt nous baisserons le rideau sur cette énième connerie algérienne et nous passerons, sûrement à une autre, aux moments où notre cher pays, progresse dans tous les domaines, contrairement au blocage que connait cette sale voisine de malheurs.

En tout cas, ce n’est pas encore la guerre que nous déclarons à Washington pour nous venger, juste la "guéguerre", et si la bande "Rice" persiste, nous la déclarerons sûrement au parti démocrate américain, à qui appartient Rice, du moins dans cette espace virtuelle, puisque notre gouvernement Benkirane ne fait que de la figuration dans cette affaire,. Reste à savoir comment vont réagir  les pays amis de notre pays au Conseil de sécurité. Si l'administration Oubama ne bougera pas pour faire respecter  sa crédibilité et voudrait traiter  le  Maroc et "l'Algésario" sur le même pied d’égalité, là on serait face à un véritable tournant regrettable dénaturant la mission de la Minurso et qui va à rebours des impératifs géostratégiques. 

Dans l'attente et pour préserver sa Souverainté,  notre pays le Maroc rejette et rejettera catégoriquement toute proposition denaturant la mission de la MINURSO ou à la mise en place d'un mécanisme international alternatif de surveillance des droits de l'Homme dans ses provinces du Sud, et c'est là, la ligne rouge que j'ai bien évoqué là-haut en préambule pour préciser que «laisser faire est plus pire que faire»,et que la reine des grenouilles ne va pas se mouiller les pieds.

Mes lecteurs m'éxcuseront si j'utilise de largos dialectal en l'objet, en disant aux États Unis d'Amérique et à L'ONU, sur le même pied d'égalité, qu'ils ne peuvent nous imposer "circonstanciellement" des dictats à l'algérienne. Notre pays tient bien en ce premier temps à ne pas sacrifier sa crédibilité ou poluer son image, par une désobeissance ouverte à la communaute internationale, tout en préservant en parallèle, sa souverainté et sa granndeur. Et si je m'exprime ainsi, je ne metterai pas mon pays, au même pied d'égalité avec Israël, qui jette et rejette en bloc, toutes les résolutions onisiennnes les concernant, souhaitant qu'il saura éviter éventuellement une contrainte de corps. C'est vrai notre pays a durci le ton contre les Etats-Unis et les autres parties concernées. montant d'un cran dans ce conflit artificiel du Sahara , du fait que Mr. Youssef Amrani, le ministre délégué aux Affaires étrangères a assuré que si cette initiative est maintenue, le Maroc devra prendre ses responsabilités et toutes les mesures adéquates concernant l’avenir et le devenir du processus politique pour la question et le reconsidérer dans son ensemble.Bonne lecture et bonne navigation sur  mon blog.  

                                                                Cordialement,Chihab25

                                                                          

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