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Mr. Manuel Valls, le ministre français de l'intérieur, revient d'Alger "sain et sauf".

                                      
                                                                  
 Le président Français réplique aux Algériens,par des paroles d'esprit humoriste Algérien.

Paris-Alger : polémique gratuite ..Nous avons vu comment la presse algérienne a qualifié la visite à Alger de Mr.Jean Marc Ayrault, le premier ministre Français et la délégation Française qui l'accompagnait, dont le ministre de l'intérieur Mr. Manuel Valls, de "visite très réussie"destinée à cultiver une relation 'apaisée' dont le volet économique Franco-Algérien est toutefois soumis à une concurrence grandissante . A son retour à Paris, Mr.Ayrault et son équipe ont été accueillis avec esprit d’humour par le Président Français.

Le président Hollande, devant son auditoire du CRIF,(Conseil représentatif des institutions juives de France) avait, pour rappel, lancé qu'il « se réjouissait du retour de son ministre de l’Intérieur, Manuel Valls d'Alger, «sain et sauf..! et c’est déjà beaucoup»disait-il.. Une phrase dite, en réalité, sur un ton vrai, sur l'insécurité en Algérie et sur la mauvaise nature des Algériens, des dirigeants algériens je veux dire..!, une qualité toute à fait particulière, que les gouvernants d'Alger font cacher à tout prix. C'était, à mon sens, une simple plaisanterie. Regardez la vidéo: http://youtu.be/yEJ4ld8FqC0

Après leur drapeau avec le Maroc; les algériens s'en prennent à la France pour des futilités, ils s'indignent à cause de ce dérapage verbal de Mr.François Hollande, ce qui signifie qu'il existe encore une rancœur plus profonde,pas envers Mr. Hollande, mais envers l'ancienne France d'Algérie. A cet effet, le ministre Algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, ne se privait pas de rappeler qu’il y a juste une année, le même président français avait effectué une visite d’État en Algérie, Il a pu bénéficier de l’hospitalité du peuple algérien», disait-il. exhortant à cet effet, le président  Français à trouver «le moyen de tourner la page, avant la fin de cette année, de cet incident regrettable, dont il a été à l’origine, considérait-il, ce qui signifie qu'une vanne de très mauvais goût sur l’Algérie existe déjà chez les français, comme elle existe chez nous et peut exister sûrement chez d'autres. 

Les algériens font toujours d'un "Grain une Coupole", comme le dit le dialecte Marocain et tiennent à des futilités infantiles..Ils n'ont pas tendance de parler hommes d’État, se comporter convenablement, en acteurs politiques avec la logique diplomatique de grande échelle, et s'indigner de sujets plus concrets touchant vraiment leur patrimoine souverain ou leur politique étrangère. Ce comportement "d'apprentis" est vraiment une insulte de la part des gouvernants d'Alger à la raison de toute l'Algérie qui, malheureusement, reste toujours encerclée par une bande de vieilles hyènes qui insistent à ne pas passer le flambeau aux jeunes générations.

Je crois que cette racaille d'Algériens, s'ils sont vraiment des êtres humains à part entière, appartenant à une contrée, qu'ils désignent de "fièreté et de dignité", doivent désapprouver leur exécutif de bandits, parce qu'il, de ce fait, jette de l'huile au feu, et doivent apprendre, voire ajouter à leur culture Française, que le principe de liberté d'expression d'un chef d’État, dit "Faffa¹", autorise pleinement Mr. Hollande dans ses actions et ses déclarations. L'essentiel donc, que cela est toujours permis dans les États encrés dans la démocratie.  

Il échappe aux algériens, le peuple de "Niff", que  la pratique démocratique, hors frontière algérienne, est en soi une conquête de l’esprit ; il élève l’homme à la dignité, contrairement, chez eux en Algérie, où tout est bafouillé. L'authenticité de cette pratique, que nous pratiquons chez nous au Maroc ,comme d'autres, fait jaillir des ténèbres du destin, un éclair d’émotion et de jouissance mémorable. Par ses formes toujours renouvelées, il tend vers la vie ouverte en abattant les cloisons de l’habitude et en provoquant une manière de percevoir et de vivre, ce qui en manque pratiquement à la mentalité algérienne..
                       

 بوتفليقة يتلقى إتصالا هاتفيا من هولند.. وتحاول وكالات الإعلام وصفحات الشيتة الجزائرية تصوير هذا الاتصال على أنه بمثابة إعتذار فرنسي لبوتفليقة.. والواقع أنه إتصال لسماع إعتذار بوتفليقة للرئيس الفرنسي عن سوء تأويل الخارجية الجزائرية لتصريحات هولند.. ولا يفهم هذا إلا بعد قراءة نص بيان الرئاسة الفرنسية الذي كان بمثابة الإدانة للخارجية الجزائرية عن تحريفها لتصريحات هولند.                                                    

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Que faire après le succès de la visite Royal à Washington?(2)   Il se peut que certains curieux se demanderont, pourquoi la rédaction du blog tient encore à parler des retombées positives de la visite royale aux États-Unis d'Amérique?, et pourtant son succès était éclatant (..) La réponse n'aura tendance que d'irriter davantage la mentalité haineuse Algérienne, laquelle  fait de tout de son mieux pour minimiser chaque progrès du Maroc.

La rédaction tient et retient s'il le faut à la réussite de la visite royale à Washington, tant que : Les acquis stratégiques réalisés à l’issue de cette visite ne sont pas uniquement une vue de l’esprit ou le résultat d’une analyse du calendrier retenu pour cette visite et de ce qui en été publié, essentiellement le communiqué commun, ils dépassent tout cela. En effet, ce qui a été réalisé de plus important est un accord des points de vue entre les deux parties, un accord qui affirme une évolution stratégique de la vision américaine pour la région et de la place qu’y occupe le Maroc. On peut énumérer les points suivants à cet effet :

1/ Une meilleure compréhension de l’expérience réformatrice unique et marquante menée aujourd’hui par le Maroc depuis le cahier des charges arrêté par le discours royal du 9 mars 2011 et qui n’engendre aucune sorte de dangers pouvant porter atteinte à la sécurité ou à la stabilité, et encore moins au calendrier des réformes stratégiques projetées ;

2/ Une prise de conscience du rôle vital rempli par le Maroc dans la sécurisation de la région et la lutte contre le péril terroriste, le crime organisé international et l’ensemble des menaces sécuritaires émanant de la zone du Sahel ; ce rôle n’est pas assuré uniquement par l’approche sécuritaire anticipative et le sérieux du Maroc en matière de coopération sécuritaire régionale, mais aussi par sa profondeur africaine elle-même fondée sur l’histoire, la religion, l’économie et le commerce, autant de domaines qui assurent et sécurisent la région en plus de la tirer vers le haut, vers le développement dans le cadre de la politique d'ouverture Sud/sud que mène notre pays.

3/ Une sensibilisation sur le fait qu’un prolongement du conflit artificiel du Sahara Marocain ne peut servir l’action menée contre les risques et les défis terroristes de la zone. On semble mieux comprendre  aujourd’hui, en effet, qu’une orientation dans le sens d’une solution réaliste et applicable est bien meilleure que la poursuite de cette politique jouant sur les tensions créées jusque-là par le pouvoir d'Alger.

4/ La déconvenue et les limites rencontrées par la politique américaine au Moyen-Orient requiert de la part de Washington la recherche de solutions alternatives et parallèles à leur intérêt pour la zone pacifique. En effet, un rapprochement avec le Maroc offre aux États-Unis des cartes gagnantes pour un grand nombre de leurs projets : Reprise de l’initiative de soutien à la démocratie en y intégrant le "pseudo-Maghreb arabe" au lieu de le marginaliser comme cela était le cas auparavant, investissement sur son rôle dans la promotion de la paix dans le monde, réchauffement des relations avec les pays arabes du Golfe après le rapprochement effectué,voire préconisé, entre les USA et l’Iran sur le dossier nucléaire de ce dernier, meilleure considération du rôle du Maroc à travers un développement de la coopération commerciale entre Rabat et Washington et la consécration de notre pays comme passerelle pour des relations accrues entre les États-Unis et l’Afrique,dont la dernière tournée royale anticipative en Afrique en mars 2013 allait dans ce sens.

On peut donc affirmer, et sans hésitation aucune, que la visite royale – qui a su tenir compte de l’importance stratégique du moment et qui a pu présenter des atouts puissants pour la discussion –a grandement réussi non seulement à escamoter la carte des droits de l’Homme employée par les États-Unis, voire par la bande Rice-Kerry aux États-Unis, pour affaiblir le Maroc et atténuer l’impact de son plan d’autonomie, mais aussi à arracher une nouvelle attitude américaine de reconnaissance pour les réformes politiques menées par Sidna et de considération pour le ce plan qualifié de sérieux et réaliste, pouvant servir de plateforme politique pour la résolution du conflit du Sahara qui a trop duré.

Cependant, cela ne signifie pas que la route est tracée, droite et désormais sans embûches pour cette résolution… Cela ne signifie pas non plus que les revers subis par les adversaires de notre unité territoriale les retiendront de réfléchir à d’autres moyens, à d’autres voies, pour s’adapter à la nouvelle donne afin de mieux continuer leur combat perdu. C’est le contraire qui risque de se produire car l’histoire et l’expérience montrent qu’après chaque succès réalisé par le Maroc dans sa question nationale les difficultés augmentent aussitôt après avec les locataires du palais d'ElMoradia d'Alger: l’argument des droits de l’Homme est ainsi apparu au lendemain de l’annonce du plan d’autonomie en 2008.

«Le Maroc serait donc bien inspiré de se tenir prêt à toutes les éventualités pouvant émaner de ses adversaires algériens, devrait imaginer tous les scénarios possibles, devrait permettre le lancement d’un débat national regroupant toutes les composantes nationales en les mobilisant pour renforcer les acquis réalisés et affronter les périls et menaces prévisibles à court terme.L'alarme, pour rappel, a été tirée par le Souverain dernièrement.»

La visite royale à Washington a réalisé des objectifs stratégiques et politiques multiples, avec à leur tête la dissipation du malentendu qui avait caractérisé l’attitude américaine à l’égard du conflit du Sahara. On se rappelle en effet que l’administration en place à Washington avait surpris le Maroc, par l'intermédiaire de Susan Rice, alors ambassadrice USA à l'ONU, en soumettant un projet de résolution au Conseil de Sécurité appelant à élargir le mandat de la Minurso pour englober les questions de droits de l’Homme,une revendication insistante de l’Algérie. Le geste avait fortement contrarié, voire scandalisé, le Maroc et avait surtout instillé le doute quant aux intentions réelles fondant cette décision qui prenait fait et cause pour un camp contre l’autre dans un conflit déjà fort complexe.

L’administration Obama a-t-elle donc une attitude différente de celle des Républicains concernant ce dossier ? La réponse est non, et la preuve en est ce passage du communiqué conjoint publié après la rencontre entre les deux dirigeants :

« Le Président s’est engagé à continuer à soutenir les efforts pour trouver une solution pacifique, durable et mutuellement acceptable à la question du Sahara. Conformément à la politique américaine constante durant plusieurs années, les États Unis ont clairement indiqué que le plan d’autonomie présenté par le Maroc est sérieux, réaliste et crédible, et représente une approche potentielle qui pourrait satisfaire les aspirations de la population du Sahara à gérer ses propres affaires dans la paix et la dignité ».

Ce paragraphe peut être tenu pour un acquis politique et diplomatique d’importance car il signifie que l’Amérique est toujours convaincue qu’une solution politique est possible au Sahara dans le cadre du plan d’autonomie élargie sous souveraineté marocaine. Mais, dans le même temps, les États-Unis ne signent pas de chèques en blanc à leurs alliés ; en effet, leur soutien à l’initiative marocaine de règlement du plus célèbre conflit en Afrique est lié au respect de certains engagements inscrits noir sur blanc dans le communiqué et ne laissant voie à aucune zone d’ombre ou à une quelconque possibilité d’interprétation, malgré les mauvaises interprétations d'Alger qui ont suivi après.

Ainsi, le passage dédié au Sahara, dans le dit communiqué, que les algériens considèrent de «p'tit communiqué» est précédé de deux autres, respectivement intitulés : « Soutien aux réformes démocratiques et économiques » et « Coopération économique et sécuritaire ». Washington a balancé un segment d'autres phrases dans un long communiqué commun, qui a attiré l’attention de l’Algérie. En effet, les États-Unis estiment que le plan d’autonomie au Sahara Marocain présenté par le Maroc est « sérieux, crédible et réaliste ». Une phrase logée dans le document signé après leur tête-à-tête et qui a été le point focal de cette sortie de Washington.

Dans un autre coin isolé, la presse algérienne battait ses tambours humides de joie faisant croire à ses alliés et à son opinion publique locale que la poignée de mains "Obama-Hammati²" au cours de la cérémonie d'adieux de Mandela était un signe de reconnaissance du polisario par la Maison Blanche, sans pour autant dire la même chose sur la même poignée de mains avec Raoul Castro, le président Cubain, l'ennemi classique des États-Unis dans les Caraïbes et que le respect des protocoles et des chancelleries dans de pareils cas brise toute ligne rouge et fait que la politique ne se discute pas autour des cercueils.

(La suite à la catégorie "Pages jointes", juste au bas de la colonne gauche : Que faire après le succès de la visite Royal à Washington?(3)..) L'Admin.Chihab25

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1.- Faffa,  un terme employé en Algérie pour désigner la France.

2.- le nom gâté de Med Abdelaziz, le chef du polisario, par lequel est connu par ses pairs Sahraouis

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