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Maroc et Algérie : Une simple réflexion...

     

                                                 Une simple réflexion

    Khadija Ryadi    Image pour le résultat associé aux actualités     Mohamed Sassi    Mohamed Bensaid Aït Idder

 A.BenAmrou            Kh. Ryadi                                   N.Mounib                                  M.Sassi                      Ait Idder            

                                                    

                                                          Lachgar et Chabat en tenue de femmes f'Lmoqaf..!

... Je ne m'adresserai pas ici, aux algériens ni à leurs maîtres au pouvoir. Parlons un peu de notre cuisine. Mes lecteurs Marocains, à qui je m'adresse avec grand honneur, me permettront certes, de m'arrêter un peu sur ces visages. Regardez-les ci-dessus. Ce sont les ingrédients de la saleté politique au Maroc. 

Les abois..Pour se faire distingués des autres, les quatre premiers hissent avec des voix cassées, un slogan préfabriqué appelant à une constitution avancée, voire prématurée du genre, qui en stipulera entre autre, "Une Monarchie Parlementaire à la Scandinavie" au lieu de l'actuelle Monarchie constitutionnelle que les Marocains approuvent à l'unanimité.

Les quatre premiers (de gauche à droite) sont les Catalans du Maroc ( Abderrahmane Ben Amrou- Khadija Ryadi- Nabila Mounib- Mohamed Sassi)  qui sont à mon sens l'équivalent de la prétendue poète de l'Amazighité Malika Mezzane, l’ivrogne et maîtresse de l'orgueilleux Amazigho-sociologue Ahmed Aâssid.

Le cinquième du peloton est bien le fameux "Réprouvé politique" Mohamed Ben Said Ait Idder, qui pleure, avec amertume, son état d'isolement, après que la volonté divine lui a arraché ses pairs en trahison (fkih Basri, et Mohamed Ben Hamou et autres).

Et aussi après que la patrie était trop pardonneuse et miséricordieuse envers tous les cabochés, sur qui la malédiction a été appelée, depuis l'indépendance du pays il y a 60 ans, tout en procédant par l'intelligence Royale à l'étalage et au tarage de toutes les cartes de traîtrise, après avoir su comment assécher les sources de trahison ayant accompagné le règne d'un passé glorieux. 

Il me parait,selon ma propre conviction que ces frivoles sont applaudis dans leur particularité par les séduits de l'absurde politique. Mais dans leur revendication, rejetée d'avance par nous tous praticiens de l'exception Marocaine, sont applaudis et soutenus que par les opportunistes, par les exclus de la vie normale et par d'autres thuriféraires.

Ce que je crois, il y a une bande de feignants en activité suspecte en politique qui guettent les occasions (généralement sur les droits de l'homme et le soutien au peuple palestinien?) et poussent les adolescents et jeune frivoles à descendre dans la rue et faire du bruit pour leur intérêt, et ce par leur manque de "fond de commerce" en politique, si j'ose employer le terme, ce qui leur permettant de gagner une vie digne dans la société. Ceux qui se nourrissent des miettes qui leur tombent de quelque part,  d'ici et d'ailleurs.

Les deux autres (Lachgar- Chabat) sont que des sorcières au sens de propager du Chabatisme  et du néo-Usfpisme, voire de porter intentionnellement  préjudice à la vie politique au Maroc.

Et la caravane..La constitution 2011 et celles qui l'ont précédé en témoignent largement. Ça ne veut pas dire que les Marocains ne sont pas mûrs. Non au contraire les Marocains marchent à pas sûrs pour bâtir une vraie démocratie, une meilleurs qui convoitise les valeurs et les coutumes à la mesure Marocaine, loin de l'attrait frauduleux de vitrine d'à coté, qui affiche toujours "Tilt", suivant la complexion des gouvernants dans un pays complexé  d'ingratitude et d'arrogance où, dit-on vachement et gratuitement de "fièreté et dignité" l'Algérie, et encore plus "la force régionale !?,  Quelle force régionale? dans les fourbies bien sûr.

Cela étant aura évidemment  impact sur la manière à préserver l'Exception, dont nous sommes les maîtres dans toute la région et dans le monde arabe. L'automne arabe de 2011, je ne dirai pas le printemps, puisqu'il n'y avait pas de printemps arabe, sauf le jasmin en Tunisie. Cet automne a bien démontré la différence, devant déception et jalousie de nos ennemis de toujours, qui ne nous envient avec leurs sales bottes, que pour la grandeur de ce Grand Royaume Chérifien. Une patrie Marocaine au pluriel se réjouissant, à travers les temps, de son authenticité historique «de mille trois cent ans» qui ne peut être "goutte du plafond" comme la très courte "Ère" de leur Algérie..

Il n'y a pas.. avec qui..? (disait Kabbour dans l'couple)..C’est vrais, le cas de la vie politique dans mon pays actuellement, en temps de ce Chabatisme ne me permet pas de m'identifier dans un parti ou un autre, d'autant plus que je ne le ferais jamais, et je ne tomberai pas dans le piège des politiques, et ce en fidèleté à ma conscience et à ma carrière, étant bien-élevé dans un camp qui régulait les défauts des politiques (!) contrairement à un certain Aâmimi Abdallah ex-wali du ministère de l'intérieur qui est tombé sur son nez, croyant à la tonalité de la cloche-cycliste et a avalé facilement l’appât du Chabatisme à Triq Immouzer à FES, déshonorant ainsi ses pairs en carrière, .

Je me soulage tout simplement en m'intriguant, par mes écrits d'amateur, à contrecarrer, en virtuel évidemment, les vents hostiles et venimeux, venant de notre frontière-Est.Ces vents qui sont constamment envieux, frappés de forte haine avec toutes les tendances de tracasser, depuis plus d'un demi siècle, ma quiétude comme tout autre Marocain fier d'appartenir à ce Grand Royaume Chérifien. Malheureusement,on y peut rien, c'est le mauvais choix de la géographie qui nous a tracé ce destin, tout en nous imposant d'être à l'Ouest de cette mauvaise créature divine.

J'ai le mépris en tant que Marocain pour la politico-propagandiste d'autruche que mène avec persistance cette Algérie, par tous ses organisme d'Etat, si en existe vraiment la crédibilité d'un "Etat" , contre la grandeur du Maroc. Je garderai toujours cette fréquence et resterai aussi vigilent à toutes ses vacations, pour attaquer, par mon clavier et à ma manière, toute conduite abjecte de nos frères-ennemis algériens que mes concitoyens internautes en Paltalk les appellent autrement.Un Nicknime diffamatoire que je ne peux reproduire en respect du peuple Algérien opprimé.

                                                                                          Chihab25

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              La guerre des clans fait rage au sommet du pouvoir algérien

            IMG_87461-1300x866                               Said Boutaflika ôtant le masque de combat (figurant président)                               

Considérons que Bouteflika est pratiquement mort. Les décideurs du cercle du pouvoir en Algérie ont l'habitude de garder le silence dans de pareils cas.Je vais pas consacrer beaucoup de temps pour en parler de cette saleté Algérienne en substitution d'un peuple déjà mort lui aussi puisqu'il en reste  sur le champ que les corbeaux et les corbeaux sont noirs de leur nature.

La lutte pour la succession de Bouteflika et le contrôle des institutions algériennes fait rage au sommet. Le clan de Saïd Bouteflika semble avoir laminé son principal adversaire, le général Toufik, « renvoyé » comme un vulgaire délinquant.  

Pis encore, des proches de Toufik, des généraux, sont aussi condamnés par la justice algérienne(de quelle justice parle-t-on?) en représailles aux poursuites judiciaires contre les proches de Bouteflika en 2013 et 2014, plus particulièrement l’ancien ministre de l’Énergie, Chakib Khellil. Une guerre sans merci se poursuit au sommet de l’État. Les opportunistes ne savent plus sur quel pied danser.

Seul Amar Saâdani le Drabki de l'FLN a la faculté de chauffer et de changer les Derbouka et les Bendir et faire danser les thuriféraires dans le vide devant le portail du palais d'El Moradia d'Alger, dans l'attente de voir clair, que son parrain Said Bouteflika porte bien la couronne après  feu Abdelaziz Bouteflika.  

Louiza Hannoune  me semble est désorientée, elle a perdu sa boussole, n'arrivant pas à s'approcher du seuil de la famille régnante.  Le clan, créé par le général Toufik dans l’espoir de battre le clan de Bouteflika, s’est éclipsée. Conduite essentiellement par Ali Benflis l'es-premier ministre et ex-candidat malheureux aux présidencielles, le RCD et le Hamas, cette coordination a disparu du radar de la circulation. Même la presse qui la soutenait est sommée de se taire et de faire l’impasse sur leurs activités et réunions dans les salons des clubs des pins d'Alger.  

Aâmhom Salah,(Gaid Ahmed Salah) le général-bougre, vice ministre algérien de la défense et chef d'état major expire profondément le soupir de soulagement après avoir réussi d'enlever les mauvais herbes de sa basse-cour et dirige confortablement le pays, derrière les coulisses, à sa guise de vieux caporal de l'armée Française. Il incarne ainsi le garant unique de la continuité de l'anarchie générale qui frappe l'Algérie?.

La caserne de Ben Aâknoune et ses succursales demeureront la seule force qui décide de l'avenir de l'Algérie en ce qui concerne la succession du défunt Abdelaziz Bouteflika. Le jeton ne tombera pas loin, le débat stérile qui se fait actuellement à Alger fait état de maintenir le "statu quo" et de ne pas quitter l'enceinte de la maison Taflikaienne,qui par générosité a pris l'habitude d'ouvrir et largement ses portes au thuriféraires et aux meilleurs corrompus de toute l'Algérie.

Aucune voix de celles faisant généralement du bruit et qui  émergent de temps à autre suivant l'atmosphère, n'aura la capacité de se révolter ou de se lever contre le menu du général qui détient désormais toutes les clefs de l'inconnu. De même aucune autre voix, quelle qu'elle soit, n'aura d'impact sur la donne ou d'influence sur l'ordonnance établie et paraphée par Aammi Salah, en reconnaissance par ce dernier au parrainage que lui faite feu président Bouteflika, à la promotion au rang supérieur de la hiérarchie militaire (adjoint de Bouteflika à la défense et chef de l'armée) qu'il a eu par décret présidentiel Taflikien, en remplacement à l'autre caporo-général Mohamed Lamari,ex-homme fort et ministre de la défense d'Algérie.

Sachant qu'aux yeux du général, seul apte à faire l'affaire serait bien Ould Mma Mansouria, le faux-docteur "Said Bouteflika"qui aurait allaité le «peu d’intelligence qu'il porte dans cette forêt de dingues», de son quartier d'enfance d'Oujda, le lauréat de l'université algérienne de l’hypocrisie, en tant qu'héritier du trône algérien, secondé éventuellement par son frère Zakaia. Et le chaos régnera toujours et perdurera encore en Algérie permettant à l'Algérie de garder le privilège du slogan creux de la "pseudo force régionale?" et augmenter le degré d'anesthésier les esprits malades des Algériens.

L’issue de ces luttes est incertaine, même s’il semble que c’est Saïd Bouteflika qui est en pôle position pour le moment. Ce dernier semble défraîchir le terrain pour prendre officiellement le trône. Ce qui est remarquable ces dernières années, c’est le retrait de la Kabylie de l’opposition politique. Ni le FFS d'Ait Ahmed ni le RCD de Said Saâdi ne semblent faire le poids  aux pays des montagnes.

Les Kabyles ont fini par comprendre que ça ne sert à rien de perdre leur temps à vouloir changer le régime algérien. Ferhat M'henni semble lui aussi très satisfait du coup de gueule Marocain sur la Kabylie au Nations Unies et fête ses victoires sans aucun effort. Laissant ses lieutenants au niveau local (les dirigeants de la direction du MAK) rassurer tout le peuple Kabyle, en particulier sa jeunesse constituée majoritairement de jeunes avides de connaissances sur le devenir de l’état kabyle et leur dire que seule l’union entre les kabyles peut aboutir à une indépendance.

Des généraux en casse..Le général Hassan a été condamné à 5 ans de prison dans un simulacre de procès ressemblant plutôt à un règlement de compte, comme l’a attesté l’ancien ministre algérien de la défense le général Khaled Nezzard dans une tribune du journal de son fils  « Algérie patriotique ».

Bouhdid un autre général kabyle à la retraite, ex-commandant d'une Brigade Blindée croupit en prison pour avoir simplement  exprimé une opinion. Le général  Toufik, ex-patron du DRS, après avoir livré l’Algérie aux mains du chef du clan d’Oujda est jeté comme un kleenex, il n’a même pas pu protéger son ami et subalterne, le général Hassan de la hogra qu’il subit.

Les généraux kabyles ont été le fer de lance contre le terrorisme, dans les années 90, ils ont défendu l’Algérie arabo-islamique d’un fondamentaliste déguisé d’Abdelaziz Bouteflika, contre l’Algérie arabo islamiste d’un autre fondamentaliste non déguisé celui d’Ali Belhadj, le jongleur des mosquérs N°2 du FIS.

Ces généraux kabyles qui ont pris des galons en  soutenant les massacres de Kabyles en  2001 et en fermant  les yeux sur la négation des droits élémentaires et fondamentaux sur la langue amazigh, la culture et  l’identité du peuple kabyle, reçoivent maintenant les remerciements de l’Algérie Arabo islamique qu’ils ont bien mérité.

D’autres hommes et femmes  politiques kabyles qu’on appelle  KDS Kabyles de service, à leur tête Ouyahya,  ont trahi leur identité et leur Kabylie natale, ils continuent de jouer le  rôle du régime de Vchy en appliquant la politique arabo-islamique sur la Kabylie. Ils seront aussi traités de la même manière comme ils ont trahi leurs origines.

Ce n’est qu’un éternel recommencement de l’histoire puisque ceux qui ont dilapidé et volé les biens du peuple algérien et ont bradé les richesses de l’Algérie au profit des intérêts étrangers comme l’a fait le clan d’Oudjda et son royaume de Tlemcen seront réhabilité, récompensé et maintenus aux postes de commandement. Les traîtres kabyles vivront comme des traîtres et finiront comme tels.

Autres dictons déssinés..Mohamed Larbi Zitout le prétendu ex-officier du DRS (!) et membre du mouvement Rachad à l'exil , avec ses sortie médiatiques à partir de Londres en Angleterre et d'ailleurs, est en train de traire les ânesses dans un vase percé.

Quant à Abdelmalek Sellal, le premier jongleur de l'Algérie et ses subordonnés continue à combler toutes les vacances au niveau de l'exécutif par des discours-calmants, de paître le peuple Algérien dans son vaste désert en le préparant à supporter éventuellement les conséquences de la mauvaise gouvernance des quinze maigres années du frère Raiss Bouteflika, qui se caractériseront en catastrophe  qui  va ravager tout et tout en Algérie et ce malgré les assurances flatteuses du Saddeq, voire (kadeb) Bouguettaia et ses copies humaines du parti FLN, devenu un parti de tous les Drabki de l'Algérie en augmentant le nombre de biberons.

Pour enrouler son peuple et le faire préoccupé durant cette phase d'attente. Le pouvoir algérien vient de confirmer ce qu’il a n’a pas cessé de nier depuis de longues années. Il s’agit de la thèse de «qui tuait qui ?»  en Algérie durant les années du terrorisme qu’a connu ce pays aux années quatre vingt dix ou la décennie noire..

Un général, numéro deux du DRS (les services secrets), vient d’être condamné à cinq ans de prison fermes pour activité terroriste.  C’est une confirmation que les militaires algériens sont bel et bien impliqués dans les carnages et les crimes contre les civiles. Les thèses du FFS sont alors justes et le temps leur a donné raison. Il existait des groupes islamiques armés et des groupes islamiques de l’armée.

Le cas du général Hassan  condamné pour activité terroriste est sans doute un règlement de compte. Il en dit long sur la complicité des militaires dans les actes terroristes. Il est à remarquer que ni la presse algérienne ni la classe politique n’ont fait allusion à cette éclatante vérité. Même le FFS qui faisait de « qui tue qui ? » son cheval de bataille durant les années 1990 n’a soufflé aucun mot. Par ailleurs, la question que tout le monde se pose est de savoir si le général Hassan est le seul à être impliqué dans des affaires de terrorisme ?

Certainement non. Plus de 20 000 personnes sont portées disparues, dont une bonne partie est enlevée par les services de sécurité du colonel Merbah au général Toufik. L’histoire retiendra en Algérie que les islamistes( les prétendus FIS) ne sont pas les seuls responsables de la mort de 300 000 Algériens.

La concorde civile de Bouteflika et sa réconciliation nationale ne sont qu’un effacement des crimes commis par les militaires algériens. Le général Toufik est le principal responsable de ce drame, mais il est intouchable au demeurant étant donné qu'il est la boite noire de tout le régime.

Diplomatie d'autruche..Hors de ce peloton on trouve le fameux ministre d'Etat aux affaires mensongères algériennes Ramtane Lamamra faisant cavalier seul pour notifier au monde que son Algérie souffre du surabondance en droits de l'homme, (tel que?) Il ment d'un coté et paye de l'argent pour qu'on le croit. De l'autre il cache la réalité de ses échecs en terme de diplomatie d'autruche. Dernière en date, l'interdiction à son polisario, de s'approcher à l'enceinte du 2ème congrès de cites et de gouvernements locaux qui se tient actuellement à Johannesburg en Afrique du Sud. C'est une première dans un pays fief de l'Algérie, hostile au Maroc, reconnaissant et soutenant acharnement cette création algérienne, après l'Algérie.

Ramtane Lamamra n'a pas pu éviter le pire..Contre tout attente, le Polisario a brillé, sans jeu de mots, par son absence des grand-messes africaines. La délégation qui devait le représenter au Sommet Africités, du 29 novembre au 3 décembre, à Johannesburg, en Afrique du Sud, n’a eu d’autre choix que de plier bagages. Et ceci n’a pas été dû au seul fait que le Polisario n’avait rien d’édifiant à apporter à un Sommet voué à explorer les nouvelles tendances urbanistiques en Afrique, quelques précipitations ayant suffi à emporter les logis en pisé construits à Tindouf. En réalité, le coup que sa délégation a essuyé avait été préparé de main de maître Marocain.

«Le Maroc a bien profité de la présence d’une société Marocaine qui a remporté un marché lui donnant la main haute dans l’organisation d’une foire, parallèlement au sommet Africités, pour laisser au Polisario la place qu’il mérite réellement».Et cette place était au beau milieu des WC mobiles! Une place à l’image d’un front, sans parler de son parrain algérien, voué à la poubelle de l’histoire! C'est fini l’anecdote qui depuis plusieurs décennies rebatte les oreilles du monde avec un slogan creux datant de la guerre froide, "autodéterminer un peuple fantoche". 

Sur le plan de l'insécurité, les experts du terrorisme sont arrivés à une conclusion. en l'occurrence : «Le Maroc démantèle les cellules terroristes, l'Algérie en accueille». Une information diffusée sur la toile, interpelle le commun des mortels, tellement elle relève d'une hérésie et d'un mensonge.  En effet, ni plus ni moins,Ramtane Lamamra, connu pour ses sorties mensongères fracassantes, a déclaré que son pays serait prêt à offrir son expérience en matière de lutte contre le terrorisme à la Tunisie, suite à l'ignoble attentat qui a touché ce pays, le 24 novembre 2015.

La donnée fondamentale, totalement occultée par ce premier responsable de la politique étrangère algérienne, et on peut le comprendre, est que son pays et ses autorités abritent de nombreux groupes terroristes, dont AQMI, Al Mourabitoune et DAESH, mais aussi des organisations de la criminalité transnationale qui ont fait des camps des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf une base arrière mais aussi un centre de recrutement et d'entrainement pour tout candidat à l'action terroriste.  Non ! l'Algérie, n'a aucune expérience en matière de lutte contre le terrorisme ! Au contraire, elle l'a alimenté pour déstabiliser ses voisins afin d'imposer son diktat à ceux qui ne se plieraient à ses demandes. 

Les services sécuritaires algériens n'ont jamais démantelé de cellules terroristes en territoire algérien, elle n'en a pas la capacité, pour la simple raison qu'elles sont de leur création. Aussi, est-il conseillé à ce Lamamra de nettoyer premièrement son pays des groupes terroristes et de la criminalité internationale avant d'offrir ses services à autrui, offrir quoi..!, certes, ce que son pays n'a pu faire sur son territoire.Un analyste et écrivain Tunisien disait sur les ondes de la Radio Med1, commentant le dernier attentat ayant visé le bus de la garde présidentielle Tunisienne : «Nous Tunisiens, si on est contraint de mourir, nous auront besoin de personne..Nous mourront avec dignité».
                                                                 
                                                                               oOo

Verdict sans appel..Jamais nous ne pardonnerons aux algériens d'avoir fait toutes ces horreurs à notre pays le Maroc, que nous modestes Marocains ignorions complètement que nous auront affaire à une arrogance et gratitude particulièrement surprises, de la part de ceux qui étaient hier nos hôtes bienvenus, qui ont bénéficié, à cœurs ouverts, durant leurs preuves difficiles et peines de libération, de la grande générosité Marocaine ..et de tout cela je ne me suis jamais consolée...aussi quand j'entends plus facilement, ce que les services secrets algériens engagent avec persistance des mercenaires pour qu'ils viennent au Maroc faire des actes de sabotage, lesquels n'ont jamais réussi par leurs tentatives malencontreuses à déstabiliser 
un Maroc aussi fort qu'ils le croyaient.
 
En effet, Noureddine Boukrouh, président du (PRA) Parti du renouveau Algérien, témoigne avec amertume dans une interview, je cite : «Que dans les actes, le Maroc est fort dans tous les domaines, en plus il a la supériorité diplomatique et gagne davantage dans le combat du Sahara, tandis que les algériens payaient cher et payeront encore conséquences et séquelles de 40 ans de mauvaise gouvernance en politique étrangère et n'ont gagné en parallèle que du mirage, que des éclats de mots lâches et branlants, et que le monde les regardait avec insolence» fin de citation.
L'abruti des Marocain dira encore avec son bon esprit que ce peuple est frère et seuls les gouvernants y sont fer de lance d'hostilité. Non.."Tel fils, tel père! arrogance et ingratitude en leur font tatouer l'empreinte au front.
 
Moi je ne serai pas d'accord  avec Si Benkirane qui durant sa dernière session mensuelle à la chambre des conseillers disait le contraire.. C’est un véritable défi qui a été lancé par le Chef du gouvernement Mr. Abdelilah Benkirane au président  algérien Abdelaziz Bouteflika pour la réouverture des frontières terrestres entre les deux pays. « Ouvrez les portes et vous allez voir ! Pourquoi Monsieur Bouteflika ne veut pas ouvrir les frontières ? Vous ne savez pas ? C’est clair. Ils disent que si on rouvre les frontières, les Algériens vont aller au Maroc plus que les Marocains vont aller visiter l’Algérie », en soutenant que les Marocains et les Algériens sont « des frères ». C'est son boulot en tant que responsable du gouvernement. il est contraint de s'exprimer ainsi, «crédibilité morale et politique d'Etat oblige».
 
Je frémis comme tout autre Marocain et n'ose à penser à l'avenir d'un voisinage calme et doux avec une sale junte qui commande l'Algérie et coupe le souffle à tout un peuple opprimé...Et pourtant, j'ai beaucoup de peine pour ce peuple qui se dit frère. Ces gens qui par arrogance s'en vantent êtres les plus intelligents au monde (!) souffrent, sans qu'ils s'aperçoivent, de trois sortes de violences, selon l'avis d'analystes,psychologues,sociologues et experts en la matière :

-La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle et constitutionnelle, à laquelle sont confrontés, celle qui légalise et perpétue les dominations du clan présidentiel, les oppressions de la police politique qui leur sème l’effroi et les exploitations des soi-disant politiques, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans toute l'Algérie, en particulier le peuple Kabyle, les exclus de Ghardaia et les oubliés à l’extrême sud algérien, dans ses rouages silencieux et bien huilés. 
 
-La seconde est la violence révolutionnaire, dont ils l'ont perdu de vue, sans au moins, pouvoir garder et préserver le sentiment de leur révolution des années cinquante, cette violence qui naît de la volonté d’abolir la première.
 
-La troisième est la violence répressive incontrôlable qui se pratique quotidiennement à leur fond, au su et au vu des Ongs étrangères que le pétrodollar algérien les contraignant à s'acharner uniquement contre le Maroc. Cette violence qui, selon les experts, a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence en Algérie, celle qui engendre toutes les autres. Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. 

                                                                                     Chihab25

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