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  • Algérie 62 : Incroyable, mais vrai.. aucun des présidents Algériens n'a eu son bac..!

     

                                                                                                        Maroc

                                    
     A droite : photos prises avec le chanteur Algérien Réda Talian, ce qui a créé polémique en Algérie, après avoir écrit dans sa page officielle au Facebook : في ذكري ليلة القدر هدية من الرحمان.. ملاقات جلالة الملك محمد السادس نصره الله.. نعم التواضع.. أحبكم في الله            
                                                                            oOo
     
    Au Maroc on ne joue pas avec le destin d'une nation. Ce n'est pas de la coutume d'un pays enraciné dans l'histoire depuis plus de 14 siècles, voire depuis 33 siècles, si on croit Mr. Aderrahim L'Aatri professeur à l'université Mohamed premier de Fes qui le confirmait à l'émission télévisée "Bidoune Haraj" de Medi1-Tv. Et ce n'est pas également de la traditions de ses Monarques de la dynastie ALAOUITE qui ont marqué sa grandeur de Moulay Rachid à Mohamed VI.
    -. Le Roi populaire Med VI n'a pas que son Bac, il a en plus, ses DES, DEA, (master) et son doctorat-. A l’âge de 4 ans le prince Sidi Mohamed passe à l’école coranique + Etudes primaires et secondaires + Etudes supérieures couronnées de deux CES en Sciences Politiques et droit public. + mémoire de licence et Doctorat en Droit et en relations internationales. + Langues écrites et parlées : Arabe, Français, Espagnol et Anglais et Maîtrise de l'Amazighité.

    Présidences en vrac..Le poste de président de la république en Algérie depuis la guerre de libération anti-coloniale a fait l'objet de dramatisation politique et médiatique de grande envergure. On a présenté le succès du «GPRA» aux opinions publiques européennes comme un choc d'importance mondiale qui menaçait non seulement l'intégralité de la métropole Française, son Etat central et ses colonies d'Outre-mer, mais également la paix et la stabilité de certains pays de l'Europe, comme l'Allemagne, les Benelux, l'Espagne, l'Angleterre et le Portugal qui en avaient encore des colonies spoliant des territoires en terres et en mers à travers le monde. !

    En réalité, l'esprit algérien de gouvernance qui était pour les curieux, trop parfumé de la rigueur de la révolution algérienne est, du jour au lendemain, dévoilé par la nature et apparue en vérité, tout autre chose qu'on croyait, dès 1962, date de l’accès de l'Algérie à l'indépendance.

    -En qualifiant le Maroc d' «ennemi potentiel de toujours pour l'Algérie - et la pseudo-peur de l'ingérence de la main étrangère», La mafia d'Alger ferait mieux de lire et méditer à ce sujet le pamphlet s’intitulant....«la France c’est moi» du général De Gaules..pour décrypter les points d’ombre dans l’histoire récente de l'Algérie, étant donné que l'écriture de cette histoire, à la mesure erronée que veulent se donner les algériens n’a jamais été accomplie. Les simples Algériens sont désemparés, dit-on, devant leur histoire. « Etudiants et élèves lisent et entendent à cet effet des versions différentes et contradictoires. Chaque enseignant représente pour eux une école à part quel que soit son niveau !

                                                                                         

                                        Ferhat Abbas - Benyoussef Benkhadda, les présidents crédibles et hommes de parole du GPRA.

    Sur le plan méthodologique, les algériens n'ont pas de repères. Les quelques repères qui pouvaient servir ont été perturbés par l'analphabétisation politico-culturelle de leurs gouvernants, indique un politologue algérien. Cela rend difficile aux étudiants algériens de lire toutes les contre-vérités colportées sur leurs présidents depuis les deux Kabyles de Jijel  MM.Ferhat Abbas qui a une formation universitaire et Ben Youssef Ben Khadda, docteur en pharmacie, ou encore sur les personnalités historiques de la révolution d'Algérie, comme Krim Belkacem,Mohamed Kheider Mohamed Boudiaf et Hocine Ait Ahmed. Pourtant, c’est grâce au dévouement de ces hommes et de leurs semblables que ces algériens là, sont aujourd’hui, en train de discuter en toute liberté loin du monstre que leur représente l'ombre de la maman  qu'ils appellent «Fa'ffa»

    Sur le plan d'autorité on condamne l’ignoble code de l’indigénat des président du GPRA en exil qui ont exprimé durant leur règne à travers le mot d'ordre le «Nous collectif» (traduit ensuite en terme J'maâ) que les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui représentent pour les Algériens la devise Française et qui sont souillées et trahies par le colonat doivent réapparaître dans une Algérie indépendante et libre.

    Il faut l’oser dire à cette époque, car ces deux sages de l'ex-Algérie-Française n’étaient liés à un aucun parti politique français comme certains d'autres qui dépassaient toute appartenance ou sympathie et qui se sont lancés dans un autre  élan, engagés par les services secrets Français pour s'infiltrer, tout simplement, dans les rangs de la révolution et militer discrètement pour que la France reste en Algérie, en l'occurrence les caporaux Français à leur tête Khaled Nezzar, Mohamed Lamari, Smaine Lamari, Larbi Belkheir et autres (!) devenus généraux et hommes d'Etat Algériens, respectivement ministres de la défense, PDG du DRS,  ministre de l'intérieur, chef de cabinet à la présidence et ambassadeurs extraordinaire.

    En cette période de virginité étatique mouvementée, beaucoup de commentaires relevaient de la manipulation généralisée, tellement ils sont absurdes et non objectivement étayés. Il s'agit en effet d'intimider, par tous les moyens, les citoyens algériens enthousiasmés, emportés par l'atmosphère et l'odeur parfumée de l'indépendance et de la liberté qui, se sont dispersés entre les deux pôles  de la révolution, en l'occurrence : Les armées de frontières qui reviennent de Tunisie et le clan d'Oujda qui vient du Maroc qui se disputaient ouvertement le pouvoir dès l'aube de l'indépendance, voire dès le 19 mars 1962, date du cessez-le-feu et de l’armistice.

    Ces pauvres algériens-là qui se trouvaient par "contrainte de corps" confrontés à leur destin bouleversé, critiquaient le modèle violent appliqué, jusque-là, par les belligérants pour s'emparer de l'autorité, après tant d'années de souffrance sans pouvoir se calmer et bâtir sur les normes d'Etat, une Algérie qui vient de naître de sa cendre.

    Loin de là, pour sortir de cette première impasse que confrontait le lancement de l'Etat Algérien, la vérité qui mérite d'être soulignée : C'est que Ahmed Ben Bella, qui s'autoproclamait premier président algérien, jetant les membres du GPRA à largeur du mur, cherchait la sortie du tunnel avec le moins de dégâts, juste pour désorienter l'opinion publique locale de cette guerre fratricide interne qui menaçait l'Algérie, d'une guerre civile certaine qu'il faut éviter, surtout et surtout, tout le monde n'avait pas encore déposer les armes ayant servies à la guerre de libération.

    Les fans et sympathisants des colonels  Aâmirouch , Aâbane Ramdane, les Belhaj (père & fils) et Tahar Z'biri en avaient les doigts sur la gâchette, prêts à toute éventualité, s"il le faut, à reprendre de nouveau le chemin du maquis contre le clan d'Oujda, les pro-Organisation Armée Secrète Française (OAS) et les Pieds-noirs  et toute alliance ou amicale des colons.

    L'odeur de la poudre persiste encore ..Comment faire pour mettre à profit ce différent entre une l'élite qui se compose de politiques assoiffés, désirant grimper le podium du pouvoir tant attendu et une autre de militaires qui souhaitent promouvoir encore leur capacité de commander et qui n'ont pas lavé encore la poussière du maquis? Abdenacer était là tout prêt, pour sauver la face, voire pour imposer son diktat et son nationalisme-arabo-Nacerite. La solution obligatoire pour Ben bella était de créer une fausse guerre avec le Maroc pour faire préoccuper davantage les Algériens et gagner du temps.

    Ainsi, avec le soutien inconditionnel de l'Egypte, il a fallu à l'adjudant Ben Bella de s'aventurier davantage et faire pousser la Monarchie Marocaine de Hassan II vers la mer, vers l’abîme plongée de l'océan atlantique suivant les prescriptions du planning révolutionnaire Nacerite  et suivant la manière qui a fait tomber le roi du Yémen Mohamed L'Badr au profit de Abdallah Sellal.

    Pour l'Algérie, Ben Bella lança à cet effet, son fameux mot de détresse : "Lamraka hagrouna" et c'est la guerre des sables d'octobre 1963. Il a toujours laissé entendre qu'il était pas sceptique pour justifier sa décision de guerre contre la générosité Marocaine - sur le maintien ou non de son pays de l'atmosphère révolutionnaire.                                                                                                                                                     

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                                                                             l'autruche  algérienne au képi

    A l'attention du lectorat..Mes lecteurs m'excuseront certes, si cette petite introduction m'a traînée ainsi, car l'objet de ma note est autre chose, si on doit bien se référer à son titre : «Algérie..aucun des présidents Algériens n'a eu son bac..!».Le destin était tragiquement bouleversé! pour les huit planqués en cette gravure ci-dessous. Etre président en Algérie, c'est simple. Il faut savoir à peine lire, écrire et compter, soi en arabe soi en Français. Les autres langues vivantes sont facultatives et ne sont pas obligatoires pour le postulant.

    Mais avant d'ouvrir les parenthèses, je vous invite à regarder bien cette gravure qui résume l'état où se positionne l'Algérie de "fièreté et de dignité" de Bouteflika. et la prendre en "entrée" avant le plat. Et je veux bien aussi demander à mon lectorat le pardon si le contenu de la note est meublé par des visages qu'on aime pas voir certes. La page d'accueil était contrainte de supporter ces sales figures qui se sont succédé, d'une manière ou d'une autre à la présidence de l'Algérie et ce pour permettre au lecteur de connaitre à qui nous faisons allusion et de qui nous lui parlons.

    On constatera du contenu, que chaque président Algérien a laissé un grand nombre de points d'interrogation jetant l'opinion publique algérienne dans le sombre, dans la tourmente pour des décennies à venir. Ils ont laissé un pays conforme à la vision du caricaturiste Algérien qui a réalisé le dessin sus-cité avec des grands œufs de malaise, diagnostiquant bien les symptômes de maladie chronique dont souffre l’Algérie. On voit clairement le bilan de la politique algérienne de l'autruche se limitait au : polisario - terrorisme - dilapidation du bien public et corruption. Une situation qui épingle directement un peuple plongé dans la misère et dans la précarité. Par contre, ce bilan de 50 ans de relations perturbées avec notre pays fait état d'une frontière fermée à double tours et beaucoup de gestes orgueilleux, surtout de la part de Boumédiane et son gamin Bouteflika devenu malheureusement président.

    Quand Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste prenait honorablement l'initiative généreuse de distribuer à chaque mois de ramadan des paniers de denrées alimentaires financés par les dons de la Fondation Med V pour la solidarité aux profit des nécessiteux. Bouteflika veut imiter la marche du pigeon mais il perd la sienne comme le corbeau. A un jour du mois de ramadan il se réjouissait de faire clin d’œil à ses parrains militaires et disait à une vieille femme, je cite :"  Me voilà, je te donne une clé de logement et pas un pot de soupe comme le font d'autres". Sans pour autant pouvoir cacher la réalité qui couvre son Algérie dans ce sens. Regardez cette vidéo et faites la comparaison : https://www.youtube.com/watch?v=Exnk_Q012Io                                                                                                                                                          

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                                      (De g à d, en haut; Ben Bella, Boumediane,Bitat,Chadli. En bas:Boudiaf,Kafi,Zeroual Bouteflika.)

    Début de la scène.. Ce n'est pas de l'humours de l'Algérien-Kabyle Mohamed Fellag, ou du Français Couluche  ou encore de Gad Lmaleh dans le Marrakech du rire. En réalité, le but inavoué des algériens, était d'organiser une opération d'escarmouches pacifique purement politicienne pour faire taire les voix discordantes, devenues de plus en plus nombreuses, surtout dans l'opposition interne du Front de libération Nationale, qui a toujours affiché une position tranchée pour le choix du président de la république dans les normes démocratiques à la Française .Une recommandation, une des étapes historiques déjouée de la résistance du peuple algérien dans sa lutte pour le recouvrement de sa souveraineté.

    Mais le clan d'Oujda à sa tête l'adjudant Ben Bella ne baissait pas les bras, il décida autrement. Profiter de la vague d'enthousiasme du peuple algérien pour y s'emparer du pouvoir, à n'importe quel prix. Imposer Ben Bella au poste de Premier président, ce qui évidemment, a fait échouer toutes les manipulations marquées en "choc psychologique" pour les élites en compétition, qui projetaient à gagner les seuils du palais d'El Moradia d'Alger.

    Sur les réseaux sociaux, les algériens ont exprimé avec véhémence leur colère contre les médias algériens qui traitent " de bons" les gouvernants algériens, sur même pied d'égalité. Avec leurs divers profils Facebook anonymes, ils s’en sont violemment pris aux articles libellés par les plumes thuriféraires du pouvoir où ils distribuaient suffisamment d'éloges et de louanges, à ceux qui venaient du royaume de Tlemcen. 

    Dans les salons du sérail , “les polémiques cybernétiques”  suscitent la controverse et beaucoup s’interrogent sur la capacité de Abdelmalek Sellal, le prétendu premier ministre algérien, en tant qu'homme d'Etat à part entière à gérer les destinées du  pays par ses multiples gouvernements et qui “tire”  à volontiers sur tout qui bouge et ne lui plaît pas.
     
    La catastrophe de l'Algérie est non seulement du niveau de la performance de ses dirigeants, mais son grand malheur demeure également dans la mauvaise qualité des parrains militaires qui choisissent les présidents pour gouverner. La perte de l'Algérie dans ce sens est énorme puisqu'elle se comptait en parallèle sur le degré de l'intelligence et de la qualité des présidents de la  France qui se trouveront à leur contemporanéité.(si j'ose employer le terme).

    Boumédiène, que la malédiction de Dieu soit de lui, était à un niveau politique peu acceptable dans la gestion de l'Algérie malgré que les 3/4 de sa période étaient réservés à l'hostilité du Maroc, car il a coutoyé la période du général de Gaules! Lorsque la règle et le niveau de gouvernance en France se sont abaissée, voire détériorés du général Charles de Gaules à Giscard d’Estaing, Boumediene a lui aussi vécu les pires jours de sa règne. Il en va de même pour Chadli Ben Jdid face à  François Mitterrand.

    Suis-je le seul à vouloir attribuer aux Présidents algériens plus que deux neurones ? Dans leur volonté de créer la « problématique avec le Maroc »  les médias algériens veulent à tout prix décliner la grandeur et la générosité du Maroc : Tout président algérien était nul, et pas à la hauteur, incapable de prendre de décision de réformes ou de réconciliation avec le Maroc. Et pour que chacun comprenne bien, on ramène la politique de l’Etat algérien, aux règles du football. Mais comment un Président aussi bête au premier degré, a-t-il pu battre le record d'hostilité et de politique haineuse, toutes réunies contre le Royaume du Maroc ? en se soumettant à la merci de ceux qui l'ont emmené et qui le surveillent de prêt.

    Pourquoi polémique-t-on sur le bac..Ce n'est pas étonnant si ces algériens apprennent qu'Aucun des présidents algériens qui se sont succédés au pouvoir depuis l'indépendance de l'Algérie n'est bachelier! En cette période de polémique sur le BAC et sur la fraude du BAC en Algérie, il serait utile de revenir brièvement sur le niveau scolaire des dirigeants algériens. De tous les chefs qui ont accédé à la présidence aucun d’eux n’a obtenu son BAC. Je commence par chronologie, par les deux présidents criminels de l'ère d'Algérie indépendante (Hmimid et Boukharrou),Je sais qu'ils sont des Figures indésirables à voir. Mais nécessité démonstrative oblige.

    .Ahmed Ben M'Barek Benbella..A commencer par le grand Zéro, par qui a un niveau de la deuxième année secondaire, soit la capacité de maîtriser l’arabe et le Français pas plus. Il n’a aucun diplôme sauf sa boite de tabac à chiquer "Chemma" et son grade subalterne d'adjudant de l'armée Française sans Certificat d'Aptitude Technique.Un adjudant de l'armée Française qui est venu que pour matérialiser sur terrain le terme de "Ingratitude" envers le Maroc, son pays d'origine (Sidi Rahal Lboudali, Marrakech) après avoir préféré se baigner dans les eaux du Nil  au lieu de se laver la gueule dans l'Oued Isly-Oujda dans l'oriental Marocain  ou dans l'Oued Sommam dans les Aurès en Algérie.

    .Mohamed Ben Brahim Boukharouba, (alias Houari Boumediène), n’a pas eu son BAC, non plus. Il n’a aucune qualification universitaire lui aussi.C'est vrai Boumediene, dans l'absence et le recul des hommes algériens crédibles, était l'émanation d’une élite qui se dévoilait dans sa stature, ses discours qui influençaient facilement un peuple dont la majorité est composée de dingues, ne maîtrisant que l'applaudissement pour rien de concret.  Sa manière de gérer un peuple d'étourdis était bien apprécié par les algériens qui viennent tout juste de sortir d'un tunnel de 132 ans noirs et d'un accident de parcours d'un adjudant de l'armée Française .

    A vrai dire, c'était un homme d'une hypocrisie particulière et aussi d'une rigueur qu'il a héritée de l'intelligence Marocaine, dans les cafés-maure de Nador au Maroc et qui allait vraiment remettre l'Algérie sur les rails. Il était, dit-on au maquis. Les Marocains le connaissent à la base arrière de Nador. A son jeune âge, il devient déjà président, suite à son putsh du 19 juin 1965, alors ministre de la défense, contre Ben Bella qui apparemment vendait, voire remettait gratuitement l'Algérie de l'époque au Bakbachi Jamal Abdenacer pour qu'elle devienne tout simplement une des Mohafada d'Egypte.

    Beaucoup d'Algériens, si non tous les algériens, regrettent Boumediene,  Tout le peuple a pleuré à sa mort. Et bien sûr, pas nous Marocains. Nous nous souvenons bien de la pierre qu'il mettait aux souliers de Hassan II et qui nous fait toujours mal. Tout le peuple Marocain se souviendra de lui comme étant à jamais le président algérien, le plus venimeux de toute sa race. Dieu merci il a quitté l'Algérie à mi-chemin, sans pouvoir donner une quelconque dignité à son pays et son peuple au détriment du Maroc. Que la malédiction de Dieu soit sur lui à l'éternité! Nous ne pouvons rien ajouter à ce que nous savions à partir d’événements néfastes, faits et circonstances malencontreux vécus par le Maroc pendant sa période 1965-1978.

    Face à cet hypocrite, feu Sa Majesté le Roi Hassan II qui était plus qualifié et plus malin que lui, pour éventuellement déjouer toutes ses tentatives visant à déstabiliser le Maroc avec l'appui de certains traîtres Marocains (les extrémistes Unfpistes et Oufkir). C'était quelqu'un qui par sa realpolitik accompagnait tous les vents qui soufflaient contre son régime et ce à travers une foultitude d'actes et d'actions. Il avait, comme disait le chanteur français Marc Lavoine, «les yeux revolver et regard qui tue», pour apprendre à ses ennemis d'Algérie, ce qui est le Roi Hassan II, tout en leur imprégnant de sa véracité pratico-politique, dont les coups de points qu'endossait l'armée algérienne au ventre et qui ont fait trop mal à Boumédienne, à son gamin Boutef,  c'étaient les batailles du Sahara, en particulier les «deux Amgala en février 1976 au Sahara Marocain»

    .Chadli Ben Jdid , un colonel influent de l'armée, lui n’a jamais mis ses pied même pas dans une école coranique ou dans un lycée. Même chose pour les présidents occasionnels qui en général, selon le papier-chiffon de l'Algérie, gardent les troupeau jusqu'à retour du maître, en l'occurrence le maudit soit-il Ali Kafi. et  Rabeh Bitat.      

    .Mohamed Boudiaf,.Même lui que les algériens surnommaient en Hassan3, n’a pas eu son BAC. Son investiture au poste de Président occasionnel en Algérie a constitué un véritable séisme, non seulement pour les décideurs, mais aussi pour le reste des gouvernants au niveau des wilayas . En effet, son arrivée à Alger, qui constituait une victoire pour les politiques conservateurs algériens aura, sans aucun doute, des conséquences politiques, économiques et sociales incommensurables pour la clique des généraux surtout.pour les caporaux de France. Ils ont dit à ce propos : Larbi Belkheir l'a fait !. - Ils ont mis à exécution leurs choix au détriment d'un peuple-troupeau, - auquel ils avaient pourtant imposé toutes leurs volontés presque toutes satisfaites, par leurs partenaires de corruption pour se recroqueviller sur eux-mêmes et se consacrer à leur système silencieux ("vol qui peut") lit-on dans la presse dite privée de l'époque.

    Selon les premières estimations des observateurs locaux et étrangers l'Algérie perdrait, à court et moyen termes toute crédibilité. L'audit que prévoyait Boudiaf augure déjà d'une possible dislocation de la junte, tel qu'il existait avec, notamment, les possibles de lier "la responsabilité au décompte". Un éventuel démantèlement des réseaux secrets des généraux influents n’était pas à exclure, car le «mauvais complot électoral du 11 janvier 92» arrivait à susciter des remous et a fait tâche d'huile chez les populations opprimées qui considéraient que les décideurs au niveau de la junte militaire ont fait une grave erreur de casser le FIS de Abbasi Madani et stopper le processus de la démocratie imposée par les événement du 8 octobre 1988 et homologués par le président Chadli.

    Mohamed Boudiaf fut le chef d’Etat qui a gouverné le pays pour la période la plus courte. Six mois à peine. Un bref règne qui a largement suffi pour l’homme du 1er Novembre, Mohamed Boudiaf, pour redonner espoir à un peuple au bord du précipice. Il a réussi là où les autres – ses prédécesseurs et ses successeurs – ont échoué alors que leur règne a duré plus longtemps. Rappelé d’un exil volontaire de 28 ans, le rédacteur de l’appel du 1er Novembre 1954 se rend vite compte des risques qui guettent le pays, pris en tenaille entre un islamisme mortifère et un autoritarisme destructeur.

    Il se savait investi d’une mission quasi impossible. Comme au bon vieux temps de la lutte de Libération nationale, le maquisard est prêt à reprendre les chemins escarpés du «maquis» pour répondre à sa propre question posée dans son livre, Où va l’Algérie ?, en 1964. Pas si évident pour un pays englué dans des années de plomb. Son retour a apporté une caution historique inespérée à un pouvoir en mal de légitimité. L’exilé de Kenitra n’a pas mis beaucoup de temps pour se rendre compte que ses adversaires ne sont pas seulement les islamistes du FIS dissous et les opposants à l’arrêt du processus électoral, mais qu’ils se recrutent aussi et surtout dans le sérail.

    Mohamed Boudiaf se heurte, dès sa prise de fonction, à des résistances de l’intérieur du pouvoir, lorsqu’il se lance dans une campagne de dénonciation de la corruption qui gangrène les strates de l’Etat. Le sauveur de la République refuse de se limiter au rôle de caution. Faisant le choix de la modernité inspirée du combat libérateur et des valeurs qui ont structuré le Front de libération nationale, M. Boudiaf se voulait le continuateur de la longue marche de libération violemment stoppée dès l’indépendance. Rapidement, la figure historique gagne en popularité.

    La jeunesse algérienne découvre un homme humble, patriote, sensible aux souffrances de son peuple. En quelques semaines, il réussit à mobiliser tout un peuple sérieusement menacé dans son existence, en parlant un langage simple mais juste. Mohamed Boudiaf découvre un peuple exclu, marginalisé, et des pans entiers de la société plongés dans une paupérisation galopante, pendant que la nomenklatura accapare les privilèges et tous les pouvoirs de l’Etat.

    Le sauveur du régime devient rapidement une menace pour l’équipe au pouvoir, notamment le segment des militaires qui voient d’un mauvais œil les options stratégiques du président du Haut-Comité de l’Etat. Les rapports à l’intérieur du pouvoir se dégradent et Mohamed Boudiaf devient un homme encombrant pour ceux qui l’ont ramené, un certain 16 janvier 1992. L’homme qui a déjoué tous les coups de l’armée coloniale, qui a résisté vaillamment aux côtés des Aït Ahmed, Ben Bella, Bitat et Khider dans les geôles du colonialisme, sera assassiné dans son propre pays, trente ans après l’indépendance.

    Le crime se déroule en direct, devant des millions d’Algériens, lors d’une conférence des cadres dans la ville de Annaba, le 29 juin 1992. Ce jour-là, ce n’est pas seulement l’homme qui a été assassiné, c’est l’esprit d’indépendance qui a été liquidé par les tenants du chaos. L’Algérie a été brisée dans son élan de mobilisation. Un sombre jour qui ouvre les portes de l’enfer à un pays qui ne cesse de rater ses rendez-vous avec l’histoire.

    Vingt-deux ans après ce traumatisme, le nom de Mohamed Boudiaf résonne encore comme un cri de résistance dans une Algérie tourmentée ; il hante la mémoire d’une nation qui se cherche. Mohamed Boudiaf, dont la vie et la mort incarnent l’histoire tourmentée du pays, n’est même plus célébré par cet Etat auquel il a tout donné. Où va l’Algérie  En 1992 Boudiaf était l'invité de l'émission Française "La marche du siècle". Deux mois après son investiture à la tête de l'Algérie. Regardez  la vidéo (1h30) https://www.youtube.com/watch?v=kf-27Yy_to8

    .Lyamine Zeroual, quant à lui, les Algériens ne savent pas son parcours scolaire, ni jamais entendu parler de diplômes qu’il aurait obtenus mais une chose est sûre, il n’a pas eu son BAC. Il ne connait pas d'artère menant à l’académie militaire de Cherchalle d'Alger et pourtant il était au grade de lieutenant lors de sa capture au Maroc dans hélicoptériste algérien égaré, en octobre 63 durant la guerre des sables. 

    .Abdelaziz Bouteflika.. certains disent qu’il n’a même pas passé son BAC. A Oujda, au Maroc où sa mère gérait un Hammam,son père vendait le cactus dans les rues avoisinantes. Bouteflika a été recalé d’un concours de recrutement comme simple agent de paix dans la police. Il a raté aussi un autre concours à l’âge de 18 ans,il n’a pas obtenu le recrutement comme facteur passé à la poste de Oujda. Rien n’empêche il sera ministre et même président de l’Algérie.

    Ce sont ces gens là qui décidaient du sort de l'Algérie et de celui d'un peuple opprimé depuis 1962. Tous les chefs d’Etat Algérien cités, aucun d’eux n’a été élu démocratiquement, aucun d’eux ne maîtrise l’Anglais ou l'Espagnol. Il n'y a que Boudiaf qui a pu écrire un livre en dictant le contenu à son fils Nacer Boudiaf. Les autres n’ont jamais pu rédiger leurs propres discours ! Par contre, de tous les chefs révolutionnaires de l'Algérie d'autrfois, (Hocine Aït Ahmed et Ferhat Abbas ou encore Ben Youssef Ben Khadda étaient les seuls à avoir leur BAC et qui ont, à vrai dire, les compétences requises pour devenir chefs d’Etat.     

    Ressemblance et ambiguïté.. Quatre présidents Algériens ont ouvert certains des dossiers sensibles qui font la cause de leur élimination. Il s'agit de Houari Boumediene et Mohamed Boudiaf qui y sont les deux présidents assassinés. Boudiaf assassiné par son propre garde du corps, un lieutenant du DRS, alors sous le commandement du général Mohamed Médiene, alias Toufik, tandis que Boumediane lui, il aurait été empoisonné, dit-on, par les siens, au même sort que Jamal Abdenacer d'Egypte et le président Palestinien Yesser Arafat.

    Ahmed Ben Bella et Chadli Bendjedid sont partis, laissant derrière eux une ambiguïté autour des dossiers qu'ils ont ouvert . Pour Ben Bella, il est déchu par coup d'état blanc et mort en se baladant dans les ruelles de la Kasbat d'Alger, dans sa gorge la question au-quelle n'a pas trouvé de réponse «Pourquoi m'ont-ils renversé ?". Sans pour autant dire aux algériens..Comment a-t-il pu utiliser l'état-major de l'armée en 1962 pour comploter la légitimité du  GPRA (gouvernement provisoire) qui a négocié avec l'occupant et signé à Evian l'indépendance de l'Algérie ..?

    Quant à la mort de Houari Boumediene, qui était apparemment le bien-aimé et le plus considéré comme "père" par la grande majorité des Algériens, elle est survenue au moment où les algériens avaient besoin de lui. Il a quitté sans leur dire "adieu", si on croit bien la citation de commémoration lue au cimetière "Laâlia" d'alger par Abdelaziz Bouteflika, alors ministre aux Affaires étrangères/

    Boumédiène avait ordonné à ses services secrets de préparer des fichiers d'affaires pour certains, et qu'il est temps de leur couper les veines". Les sceptiques de son entourage se sont arrivés  à l'affirmation que Boumediane a été bien tué après avoir lancé ses menaces. Ils disaient aussi qu'il a pu discerner les «faucons et les pigeons» au sein de l'Etat et au parti au pouvoir, il voulait éliminer les faucons et mettre fin à la présence du parti unique, ouvrant ainsi la voie au multipartisme.

    Pour ce qui est de Chadli Ben Jdid, il était forcé de démissionner, premièrement pour avoir fait en 1979 alliance avec Kasdi Merbah, alors patron du DRS pour s'emparer de la présidence. Puis en second lieu pour avoir voulu dans l'hésitation, instaurer les premiers jalons de la démocratie en Algérie? Et enfin pour avoir pris, unilatéralement et son consentement de personne, l'initiative de se rapprocher de Hassan II.

    Quant au président Mohamed Boudiaf,  il est tué lui aussi après avoir juré de liquider ce qu'il a appelé la «mafia politico-financière". Il a même dévoilé nommément, dans une de ses rencontres de presse les noms de certains généraux et que leurs sales dossiers de corruption sont déjà sur son bureau. Boudiaf est liquidé de façon "acrobatique" à l'intérieur d'une salle bondée à  Annaba, à l'est d'Alger.                                                       .

    Conclusion amère..Cinq décennies durant, vécues à coté de cette veuve-Algérie, et pour de multiples raisons, la schizophrénie devient la règle chez les algériens, chez lz gouvernants algériens, je veux dire. En ce qui concerne les maux qu'ils ont créé avec le Maroc, et qui sont d'ailleurs très nombreux depuis leur guerre de libération, je serai trop sceptique de les évaluer de façon objective en se basant sur le vide qui entache le curriculum vital de chaque président algérien

    Normalement tous ces présidents devaient avoir beau se confondre en  s'excusant au Maroc qui les a accueilli à bras ouverts durant leur peines d'errance, mais rien à faire, le mal est fait. Que pouvons-nous attendre d'hommes aux cervelles creuses, vides de contenu!. Une race unique qui vient de loin, d'un désert aride, pour gérer un pays perdu dans les normes de l'Etat. Chaque nouveau locataire du palais d'ElMoradia, nous surprend avec sa page d'hostilité, de provocations et d'échauffement pour plaire aux caporaux de France. .

    Nous avons par ailleurs appris qu’aucun d'eux n’était en reste de la vague de haine consentie à leur voisin de l'Ouest, ou hors compétition anti-Marocaine qui n’était pas d'ailleurs à sa première boulette. voire certains ont même improvisé leur manière spontanée de la haine, poussant les sales plumes de la presse algérienne à traiter notre pays de tous les noms d’oiseaux. et le faire chanter sur ses territoires situés dans ses deux Saharas.. l'oriental spolié et l'occidental contesté.

    Et pourtant, la sagesse des Marocains qui ont visiblement bien gardé leur retenue au moment où le Maroc tend sa main de fraternité et tente de contenir et de circonscrire la montée de divergences, ces gouvernants algériens, se mettaient en fuite en avant pour s'y rendre au sommet du mont blanc, accentuant les manœuvres malencontreuses pour contrer les intérêts du Maroc et porter préjudice à son intégrité territoriale.

    Il est évident que devant tous leurs escarmouches, le Maroc joue ponctuellement à fond, de façon toutes ses cartes pour faire capoter les projets de sabotage et tentatives de déstabilisation (qui sont malheureusement nombreux) qui lui émanaient de l'Algérie depuis son existence accidentelle en 1962. Cette existence que nous savons, n'a enfanté, rappelons-le, que le malteurs pour nous Marocains, dont les plus grands malheurs marqués durant ce demi siècle de voisinage se caractérisent par trois fortes actions qui portaient et y portent réciproquement encore atteinte aux intérêts des deux peuples (Marocain et Algérien) en l'occurrence :

    -.La guerre des sables en octobre 1963 inventée, dans le flou par Ahmed Ben Bella et ses retombées psychiques qui marquent toujours l'amertume à l'esprit de l'Algérien.

    -.Dix ans après Boumédiane créa le Polisario qui, dans le langage de la guerre des mots, ce bâtard d'Etat représente pratiquement bien l'invention du maudit Boumédiane..La pierre au soulier du Maroc".

    -.En représailles au succès de la marche verte, Boumédiane avec la bénédiction de son gamin Bouteflika, alors ministre aux affaires étrangères, donna l'ordre d’exécuter la plus pire catastrophe survenue entre l'Algérie et le Royaume du Maroc.«La déportation, voire l'expulsion» hors frontière Algérienne de 47 milles familles Marocaines, soit 364,758 milles âmes innocentes. Un crime énorme contre l'humanité, jamais enregistrée même durant les deux dernières guerres mondiales. Bonne lecture.

                                                                                         Cordialement,Chihab25