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Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie (9)

Flashs de dernière minute :(05/3/2017)

Un Cartel terroriste d'AlQaeda au Sahel confie à Iyad ag Ghali..!

                          

                                                                         L'Etat major du Cartel terroriste.

L'armée Algérienne se vantait être à la mesure d’éradiquer son terrorisme locale, voire le terrorisme qu'elle a créé sans pouvoir le dominer. Mais les actes perpétrés ici et là, en territoire algérien, démentent cette version.

Ainsi, la mission du général-bougre Gaid Ahmed Salah, ou "Ammi Salah" comme le désigne en temps de vanité et d'arrogance, le conseiller-frère du président Algérien, le prince heureux d'Alger, mission  qui devient de plus en plus très compliquée avec la naissance, à la porte des frontières algériennes sud, d'un fort "cartel terroriste".Si on croit ce que rapportent les divers médias.

Selon sa composition, ce nouveau groupement rassemble tous les bandits algériens qui ont vu le jour dans couloirs des services secrets algériens en époque floraison. Ils sont enrôlés, entraînés et mieux encadrés sous la bénédiction du DRS algérien pour mener à bien dans les années 90 la guerre civile en Algérie, baptisée après  en "décennie noire" issue du complot électoral du 11 janvier 1992.

Visiblement c'est une naissance comme les autres, qui serait innocente pour le peuple algérien qui ne voit qu'à travers la poussière de cendre que lui jette aux yeux le pouvoir d'Alger.

Des analystes académiques qui connaissent l'état géopolitique et géostratégique de la région développent le sujet autrement. Il en affirment entre autre, sous leur responsabilité de profs chercheurs, qu'il s'agit tout simplement d'un coup de théâtre qui entre dans le planing du général Tartak, soutenu en l'objet par l'ex-patron du DRS le général Toufik, appelé de sa retraite forcée à la rescousse.

L'objectif unique et pas le moindre : s'articulerait au sens d'alléger la pression du terrorisme local sur Alger et «nuire davantage et faire du mal au Maroc»  en élargissant le rayon d'action du terrorisme algérien vers le sud du Maroc, à sa frontière avec la Mauritanie dans le but de perpétrer, d'une manière ou d'une autre, des actes terroristes de sabotage, et faire goûter aux Marocains la douleurs du terrorisme professionnel dont souffre l'Algérie depuis plus de deux décennies, depuis 26 ans au juste.

Les récentes acrobaties du polisario dans la zone tampon de Guerguarat font partie de ce planing DRS, supervisé en ce premier lieu par le général Saïd Chengriha, chef de la 3° région militaire algérienne de Colomb-Béchar , dont les opérations se feront à partir de Tindouf.

Pour prouver le soutien indéfectible à son polisario, l'armée Algérienne vient de se débarrasser d'un stock de ferraille Russ, sous forme de don "d'arsenal militaire"au polisario pour le pousser vers l'enfer. En réalité la volonté des gouvernants algériens dans ce sens n'échappe à personne. Ils sont en train de respirer, expirer profondément pour reprendre le souffle après le naufrage politique qu'ils ont subi au dernier sommet Africain à Adiss Abeba en Ethiopie

Ils en misent sur l'espoir de maintenir la pression dans la zone tampon "Guerguarat" et tester la volonté de bonne foi du nouveau Secrétaire Général Mr. Antonio Gueterres via la Minurso jusqu'à, la prochaine réunion du Conseil de Sécurité Onusien en avril prochain et hisser à nouveau l'épouvantail du "peuple sahraoui".

Pour les Algériens Mr.Gueterres est un pro-Marocain qui remplace, contre leur gré, Ban Ki Moon, l'ancien SG lequel ont réussi auparavant à faire tomber dans leur piège contre la raison.

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En effet, les médias rapportent que Al-Qaeda  nomme le chef terroriste targui, très proche des services secrets algériens, Iyad ag Ghali,voire leur agent perfectionné, chef de son nouveau cartel terroriste au Sahel. Al-Qaeda se dote d’un nouvel outil d’action terroriste dans le Sahel depuis jeudi 2 mars, elle a annoncé par vidéo, la création d’un cartel terroriste, issu de la fusion de ces principaux groupes dans la région.

Il s’agit, selon un site mauritanien(Saharamédias), des groupes: Ansare Dine. L’Emirat du Grand Sahara qui regroupe six Katibas affiliées à AQMI. La Katiba des Mourabitounes, dirigée par le terroriste algérien Mokhtar Bel Mokhtar. Et le groupe Macina (Voullan). pour, dit-on, mener un plan média sanglant? Al-Qaeda a indiqué que son nouveau cartel sahélien, portera le nom de ‘Ansar Al Islam we Al Mouslimin’ (soutien de l’Islam et des musulmans). Elle a désigné à sa tête un rebelle Targui, chef du groupe Ansare Dine. en l'occurrence Iyad ag Ghali est, en effet, celui que des sources américaines, notamment le journal New york Times, avaient révélé, son étroite relation avec les services secrets algériens.

Par ailleurs, cette annonce d’Al-Qaeda, laisse croire, à une préparation d’actions d’éclat, qui lui feraient office de plan média.Cet ‘Ansar Al Islam we Al Mouslimin’ pourrait commettre des attentats ou prises d’otages, pour s’imposer dans les titres de la presse internationale.Il prendra le "Sahel" comme zone de concurrence avec Daesh qui s'intéresse ces jours-ci à l'Algérie par des actes terroristes (avortés ou réussis) en Constantine.

Dans une annonce, le terroriste pro-Algérie, Iyad ag Ghali, a réitéré l’allégeance du ‘Ansar Al Islam we Al Mouslimin’, au chef d’Al-Qaeda, l'Egyptien Aymen Al zawahiri, et au chef algérien d’AQMI, Abou Mousaab Abdel Wedoud, .

Ce nouveau cartel terroriste, dispose de dangereux avantages. Il est dans son hinter land sahélien, actifs dans des pays défaillants: Libye, Algérie, Mali, Mauritanie ou Niger et sur orientation algérienne doit s’allonger pour inclure le Maroc. Il est riche de plusieurs millions de dollars, obtenus des trafics illicites et des enlèvements d’otages. Et en fin, il a accès aux gros stocks des armes libyennes avec des ordres de mission Drsistes.

Cette réorganisation, dit-on, opérée par Al-Qaeda au Sahel, sonne pour nombreux experts, comme un repositionnement face à la concurrence de Daech qui tente de tenailler la zone, par la Libye au Nord et le Nigeria au Sud. 

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Ils étaient tous là, ou presque. Et la photo de famille n’a pas dû être du goût des pays du Sahel ou des renseignements français tant elle renseigne sur la capacité des Jihadistes à se mouvoir et à se rencontrer. Dans une vidéo transmise le 1er mars à l’agence Mauritanienne (ANI), puis postée sur les réseaux sociaux dans la soirée du 2 mars, les chefs Jihadistes parmi les plus recherchés de la région par instigation algérienne de Mokhtar Bel,Mokhtar, ont annoncé la fusion de leurs groupes au sein d’une nouvelle organisation censée chapeauter le combat des islamistes radicaux au Sahel et au-delà.

Assis côte à côte, Iyad haj Ghali, ancienne figure indépendantiste touareg devenue chef et fondateur du groupe Ansar Dine dans le nord du Mali ; Yahya Abu al-Hammam, l’émir de la région Sahara d’AQMI ; Ahmadou Koufa, chef de la brigade Macina d’Ansar Dine, active dans le centre du Mali ; Al-Hassan Al-Ansari, bras droit de l’Algérien Mokhtar Belmokhtar (pour le groupe Al-Mourabitoun), et le juge d’AQMI Abdalrahman ASsanhaji ont scellé la naissance du «Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans». Une nouvelle entité placée sous le commandement d’Iyad haj Ghali, lequel a prêté allégeance à Al-Qaida et aux talibans afghans.

Seul absent de marque, l’Algérien Mokhtar Belmokhtar, commanditaire présumé des attaques les plus spectaculaires dans la région ces dernières années, dont celle du 18 janvier à Gao, au Mali (près de 80 morts sur une base gardée par des casques bleus). Le sort du borgne , donné pour mort à de nombreuses reprises, reste donc incertain. entier.

                              Résultat de recherche d'images pour "Algérie : touareg Iyad ag ghali"

Qui est-ce Iyad ag Ghali, le chef d'Ansar Dine?.C'est un vétéran de la cause autonomiste converti à l'islam radical.Ses vieux amis se rappellent un poè.te, un homme à femmes et un amateur d'alcool. Ils se souviennent aussi d'un lève-tard qui n'émergeait pas avant midi, l'esprit embrumé par les nuits à discuter politique autour d'un verre. L'un d'eux,un targui comme lui,l'avait même grondé parce qu'il ne faisait jamais le «fajr», la prière de l'aube.
 
Aujourd'hui,il s'est réconcilié avec lui même et repenti. Il impose la règle la plus stricte à tout son monde. À la mosquée, il se tient au premier rang, il ne serre plus la main à une femme, il boit que de l'eau et refuse tout contact avec les non-musulmans.
 
Zélé converti, son projet politique l'est tout autant : un émirat islamiste au Nord-Mali et au sud-d'Algérie, précurseur d'un «Sahelstane» englobant toute la région y compris le fief de ses frères Touareg de l'Algérie qui constituent pour lui une carte de pression sur les services secrets algériens en cas de faux gestes, n'importe quel geste d'ingratitude de la part du pouvoir central d'Alger
                                                                                     
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                                     Flashs de dernière minute :(04/3/2017)

             L'axe Rabat-Abuja fait irriter le régime algérien essoufflé.. 

                   MVI Buhari
                                                     Sa Majesté le Roi avec le président Nigérian

En avant-propos d'abord.., Je reconnais que je ne suis, ni chroniqueur ni analyste spécialisé dans les médias. Mais dans l'abondance de flashs, d'articles ou de simples paroles sur le Maroc et l'Afrique, permettez-moi de revenir au discours royal au 28° sommet d'Afrique et d'essayer de développer, à ma façon, l'axe Maroc-Nigéria qui crée la panique au régime d'Alger après avoir démantelé, voire enterré politiquement le défunt axe Alger-Pretoria-Abuja.

Sachant que je n'ai pas les moyens pour convoiter tous ce qui se dit sur le rayonnement du Maroc dans sa nouvelle ère. Mais je ferai de mon mieux, sans ressources publicitaires, pour participer à la campagne fructueuse qui accompagne les périples du Souverain en Afrique, sans oublier bien sûr, la cause nationale qui fait le principal point dans tous les agendas Marocains .

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Le discours de Sa Majesté le Roi à l'UA ne laisse aucun doute sur l'engagement du royaume du Maroc à réaliser ses promesses envers l'Afrique dont fait partie l'ambitieux projet du gazoduc Nigeria-Maroc, que certaines parties, dont l'Algérie et la Sud-Afrique de Zuma, ont tenté de décrédibiliser en recourant à un stratagème consommé : celui des fausses promesses, comme elles le font d'ailleurs envers leurs pays alliés qui marchent aveuglement derrière.

Le discours royal au sommet de l’Union africaine a été l’occasion de rappeler l’importance qu’accorde le royaume à son continent, mais surtout de rassurer les chefs d’Etat africains quant à l'engagement du Maroc envers l’Afrique et que certains pays africain bannis n’hésitent pas à remettre en cause à chaque fois.

L’exemple le plus frappant à ce titre et sur lequel le souverain s’est attelé dans son discours est le méga-projet du gazoduc reliant le Nigéria au Maroc, via plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest membres de la CEDEAO.

Devant l’assemblée africaine, le souverain a en effet réitéré l’engagement du royaume à réussir ce chantier ô combien stratégique pour les pays ouest-africains et, par effet d'entrainement, pour les autres pays d’Afrique. Et le ton utilisé ne laisse aucun doute quant au sérieux avec lequel le souverain, ainsi que  le président nigérian Son Excellence Mr.Muhamadu Buhari,  considèrent ce chantier.A cette occasion nous souhaitons, au passage, que Bon Dieu le guérira incha Allah pour accomplir sa mission aux cotés du Roi.

Ce projet ambitieux permettra naturellement l’acheminement du gaz des pays producteurs vers l’Europe. Mais, au-delà, il bénéficiera à toute l’Afrique de l’Ouest qui via le Maroc trouvera l'issue pour coopérer avec l'Europe.

Le discours royal, rappelons-le, a ajouté qu’il contribuera à structurer un marché régional de l’électricité, et constituera une source substantielle d’énergie au service du développement industriel, de l’amélioration de la compétitivité économique et de l’accélération du développement social de l'Afrique et ce en vertu de l'option d'autosuffisance "l'Afrique doit faire confiance en Afrique".

C’est dire toute l’importance du gazoduc Maroc-Nigéria pour tout un continent car, comme l’a rappelé le souverain, «ce projet sera créateur de richesses pour les pays et les populations riveraines, créant un mouvement décisif d’impulsion et entraînant l’émergence et le développement de projets parallèles».

Ce qu’il faut retenir de ces paroles est que le Maroc fera tout pour faire bénéficier l’Afrique de ce gazoduc, contrairement à notre voisin de l’est qui, au lendemain de l’annonce du projet s’est empressé d’annoncer la relance d'un projet similaire reliant l’Algérie au Nigéria, une relance chimérique que certains n’ont pas tardé à utiliser comme argument pour porter à croire que le projet Marocain était «mort-né».

Pourtant, il suffit de rappeler que le gazoduc entre Alger et Lagos est un projet qui dort dans des tiroirs depuis 2002 et en quinze années, il n’a pas avancé d’un pas pour des raisons somme toute évidentes: c’est davantage du vent que les politiques algériens vendent à leur peuple qu’un engagement réel envers son continent. En insistant sur ce projet dans l'enceinte de l'UA, Sa Majesté le Roi donne une gifle à Alger en lui rappelant qu'il fait ce qu'il dit et ne vend pas des chimères, ni au peuple Marocains ni aux autres peuples Africains.

Le Maroc, en mettant tout en œuvre pour que le gazoduc ouest-africain soit réalisé le plus tôt possible, lance un message clair à tous les peuples africains: ce ne sont pas les promesses qui feront avancer l’Afrique, mais plutôt les actes. C'est là la devise du Maroc dans ses relations avec ses pays frères. Et cette devise est portée par la plus haute autorité du pays..

Le renforcement du partenariat effectif entre le Maroc et le Nigéria a créé une onde de choc à Alger, où le régime militaire local n'a pas senti venir le coup de grâce de cette alliance Maroco-nigériane.

De nombreux observateurs et analystes politiques estiment que cette ouverture et ce rapprochement politique entre le Maroc et le Nigéria constituent, en Afrique, l' un des événements majeurs de ces derniers mois. Une tribune marocaine titre ainsi dans sa version du 3 mars que «l'axe Rabat-Abuja a paniqué les calculs d'Alger», où le régime militaire est de plus en plus contesté.

Le nouveau partenariat du Maroc avec le Nigéria a ainsi échappé à la vigilance de l'Etat algérien, soulignent les analystes. Cette défaite d'Alger était prévisible du fait que ce pays n'a plus de commandant à bord. L'axe Maroc-Nigéria constitue un vrai succès, obtenu grâce à la clairvoyance de Sa Majesté le Roi Mohamed VI. La victoire a été saluée aussi bien par les pays africains que par les observateurs internationaux.

En lisant la presse algérienne, on constate la déception d'une partie de la presse algérienne, qui fustige le régime face aux succès répétitifs de la diplomatie Marocaine, aussi bien en Afrique qu'ailleurs.

A noter enfin que le Souverain s’est entretenu avec le président nigérian Buhari, pour s'enquérir de sa santé. L’entretien téléphonique a porté également sur les conclusions de la réunion tenue à Casablanca, en décembre 2016, au sujet du gazoduc atlantique Maroc-Nigéria qui doit relier les deux pays "et des étapes à venir de ce projet stratégique". Le souverain a ainsi informé Muhammadu Buhari de la demande d’adhésion du Maroc à la CEDEAO. Cette demande d'adhésion du Maroc à ce regroupement régional a provoqué un véritable séisme chez la présidence algérienne d'El-Mouradia.

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                            جنوب إفريقيا تمد يدها إلى المغرب وتشيد باستراتيجية الملك في إفريقيا 

 

                                         جنوب إفريقيا تمد يدها إلى المغرب وتشيد باستراتيجية الملك في إفريقيا

خرج حكام دولة جنوب إفريقيا بتقرير صحفي غير مسبوق نُشر على موقع “نيوز24″، وهو أكبر موقع إلكتروني بجنوب إفريقيا، يشيد بإستراتيجية الملك محمد السادس في إفريقيا لصالح المشاريع الكبرى التي تم إطلاقها في القارة، بما في ذلك في المناطق التي تعتبر، حتى الآن، أراض خلاء، والتي تؤطرها رؤية تقوم على مبدأ رابح/رابح.

وتعتبر دولة جنوب إفريقيا، عشاً لبوليساريو وداعميه، منها انطلقت جل المؤامرات الإفريقية ضد المغرب، ومنها كان بوتفليقة ورمطان لعمامرة يسددان الضربات ضد الوحدة الترابية للمغرب. والكل يتذكر الرحلات المكوكية لوزير الخارجية رمطان لعمامرة، الذي كان يبدأ ويختم حملاته الإفريقية ضد المغرب من جنوب افريقيا.

وأورد موقع “نيوز24″، أن “المغرب، من خلال إبرامه اتفاقيات تعاون مع العديد من البلدان الإفريقية، فإنه يضع الاقتصاد في صلب هذه الاستراتيجية”، مبرزا أنه من السنغال إلى مدغشقر مرورا بعدة بلدان إفريقية أخرى، فإن الملك محمد السادس يقوم بجهود كبيرة من أجل تنمية القارة من خلال استثمارات استراتيجية في مجالات رئيسية من قبيل المالية والتأمين والاتصالات والبناء والصناعة”.

وأشار موقع “نيوز24” إلى أن المغرب، الذي حافظ دائما على علاقات عميقة مع بلدان غرب إفريقيا، أطلق هذه الاستراتيجية الجديدة الهادفة إلى تعزيز العلاقات مع مناطق أخرى من القارة، ولاسيما في إفريقيا الشرقية، مبرزا أن الشركات المغربية، التي تتوفر على خبرة قوية في غرب إفريقيا، هي الآن بمثابة سفراء حقيقيين للبلاد بإفريقيا.

وسجل الموقع أن الأمر يتعلق بدبلوماسية اقتصادية في خدمة الاستراتيجية الجديدة للمملكة بإفريقيا، مبرزا أهمية المشاريع التي تم إطلاقها بمناسبة الزيارات التي قام بها الملك لكل من رواندا وتانزانيا والغابون والسنغال وإثيوبيا ومدغشقر، مضيفا أن كل زيارة للملك تتوج بتوقيع مجموعة من اتفاقيات التعاون.

وذكر موقع “نيوز24” بأن تاريخ هذه الاستراتيجية المغربية يعود إلى بداية سنة 2000، مشيرا إلى أن من نتائج هذه السياسة الجديدة تعزيز حضور الشركات المغربية في جميع أنحاء القارة.وأضاف الموقع أن المغرب وقع، منذ ذلك التاريخ، أكثر من 500 اتفاقية تعاون مع بلدان إفريقيا جنوب الصحراء، مشيرا إلى أن هذه المنطقة تستقطب حاليا أكثر من 60 في المائة من الاستثمارات المغربية في الخارج.

كما سجل الموقع ذاته أن هذه الاستثمارات تركزت، حتى عام 2016، في البلدان الإفريقية الناطقة بالفرنسية، مشيرا إلى أن هذا الوضع بدأ يتغير مع انفتاح المغرب على جميع أنحاء القارة.

وقال الموقع إن الزيارات التي يقوم بها الملك محمد السادس في منطقة إفريقيا الجنوبية تعكس إرادة المغرب لتعزيز حضوره في جميع أنحاء إفريقيا، مشيرا إلى أن المغرب بلور استراتيجيته الجديدة بالارتكاز على تعزيز التعاون جنوب/جنوب.

وخلص الموقع إلى أن ذلك هو الخيار الذي يعزز مصداقية الاستراتيجية المغربية التي تواصل اكتساب القوة، ذلك أنها تركز على المصالح المشتركة وعلى شراكة رابح/رابح.

                                  

 

Flashs de dernière minute :(03/3/2017)

              Alger dope ses investissements sur le marché des armes

                                Une kalachnikov, arme la plus vendue au monde. STR / AFP
                                                    Une kalachnikov jeté en poubelle, pratique courante au sud d'Algérie

L'Algérie tousse. Son président Abdelaziz Bouteflika, qui n'ouvre plus la bouche en public depuis fort longtemps souffre d'une bronchite aiguë, s'il n'est pas déjà mort ce qui a poussé la chancelière allemande Angela Merkel à annuler sa visite à Alger. La population algérienne est également prise d'otage à la gorge par l'inflation du prix des matières premières et la réduction des subventions décidée par un régime embourbé dans une grave crise politique et économique accélérée par la chute du cours du barils de pétrole. 

Mais ces difficultés économiques n'empêchent pas Alger d'être le premier importateur d'armes du continent africain, comme le montre l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) dans son rapport annuel. L'Algérie a importé, à elle seule, presque 50% des armes achetées par des pays africains. Avec 4% des importations mondiales d'armes, l'Algérie est devenue le 5e plus grand marché des exportateurs d'armes et d'équipement militaire.

Pourquoi tout ça?. C'est simple pour n'importe quel observateur. 1er: pour ouvrir les vannes de corruption au personnel militaire de hauts grades et justifier à l'opinion publique locale que les recettes du pétrole et du gaz sont parties par-là. 2ème: pour se maintenir au niveau de l'arrogance algérienne, se distinguer de ses faibles alliés en Afrique surtout, et se montrer comme le pays le plus fort en armement tenant le premier rang d'acheteurs d'arme.

En ce qui concerne le coté d'ennemi éternel Marocain, ça ne serait pas pour affronter l'armée Marocaine, une armée que les algériens savaient, plus que d'autres, sa puissance et sa capacité militaires en plus de son professionnalisme de guerre.

Les exemples on les invente pas, ils sont bien notés sur le registre de défaites de l'armée algérienne face aux faucons des FAR.Je vais pas compter. Les opérations symboles des FAR face à la racaille algérienne sont visibles marquant de l'amertume chez l'Algérien. En particulier la guerre des sables d'octobre 1963 qui a fait pleurer le maudit Boumédiane, alors ministre de la défense de Ben Bella et les victorieuses batailles d'Amgala 1976 racontées avec fièreté quelques part en blog par le feu général Dlimi qui était alors colonel au front d'opérations.

Les caporaux de France qui constituent Aujourd'hui en Algérie les hautes autorités militaires justifient ces énormes dépenses par la situation sécuritaire d'abord intérieur avec une activité terroriste "made in Algéria", un terrorisme interminable et imbattable qui mène ses opération à sa guise et fait user de toute les forces de l'armée, causant ponctuellement des pertes humaines au sein de cette armée de "hitistes".Dernière en date la perte des neuf militaires dans l'attaque de Constantine sans compter les attaques des faux barrages.

Les autorités algériennes persistent de rester selon les communiqués de l'armée, en position de vainqueur, avançant à chaque fois, que tout acte terroriste est marginal, mais la réalité du terrain prouve le contraire, c'est une situation dangereuse et potentiellement porteuse de risques et enfin une situation qui devient particulièrement anarchique comme en Libye voisine et du nord-Mali dont les frontières avec ces pays sont ouvertes à ciel ouvert. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'analyse de la tribune algérienne "le Matin de l'Algérie". 

Le Maroc veut rivaliser avec la frivolité algérienne de défense!.Cette phrase ne veut dire que le Royaume Chérifien du Maroc a la même mentalité que l'Algérie. Selon ma conviction, non pas du tout. Je n'avait pas l'intention de parler ainsi,ou de me mêler dans un affaire plus grosse que ma pensée. Mais "nécessité oblige" pour éclairer mon lectorat tout en émettant mon point personnel de vue la-dessus.Même si "parlant militaire" dans un espace pareil, c'est de se rapprocher de la ligne rouge du «secret de défense ».

Loin de là, je ne divulgue de secret si consulte comme tout autre internaute les résultats de recherche des experts d'études militaires qui sont en abondance dans cette étoile d’araignée.La curiosité pousse n'importe qui à faire de la comparaison entre un pays crédible comme le notre -Le Royaume Chérifien  du Maroc- avec son armée professionnelle, ne contenant dans ses rangs  aucun des "hitistes" et une armée-racaille dite Algérienne qui constitue pour tout un corps corrompu,un moyen d'enrichissement illicite, loin des principes censés être dans n'importe quelle institution de défense.

Sachant que l'armée algérienne est lauréat d'une guerre dite "froide" qui a disparue sans retour, mais les chefs de cette racaille espèrent qu'elle revienne pour se perfectionner dans le vide "idéologique" déserté à jamais par les armées performantes du monde y compris la notre.

Par contre les chefs de la notre comptent aller plus loin avec cette institution de fièreté nationale. A cet effet, je rappelle que la rédaction du blog avait fait, juste hier, signe à cette ambition de maître bâtisseur dans un précédent flash intitulé (Le Maroc deviendra-t-il un producteur d'armes?)

Selon les experts de l'Institut de Stratégic Défense Intelligence (ISDI) le Maroc, actuellement deuxième importateur d'armes en Afrique, ambitionne de doper ses investissements dans les prochaines années pour surpasser la puissance militaire algérienne. «Le pays devrait investir presque 20 milliards de dollars pour sa défense, dont 6 milliards de dollars destinés à financer des achats de défense -Air-Terre-Mer»

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Comment l’Algérie sape dans tous les sens sans marquer de résultat..! cette fois-ci sur le plan religieux.

                                  
 
La lutte contre les mouvements terroristes en Libye, au Sahel et en Afrique sub-saharienne est un enjeu qui engage la survie du régime algérien. Ce denier a édifié une stratégie mêlant initiatives sécuritaires et lutte contre le radicalisme religieux.

Cette stratégie s’appuie d’abord sur la lutte conte le rayonnement culturel et de la pratique religieuse officiellement soutenue par le Maroc dans cette région continentale. En dépit de la crise financière qui a induit une sévère austérité budgétaire, les autorités algériennes ont maintenu l’organisation de nombreux colloques nationaux et internationaux visant à défendre la vision algérienne de la pratique de l’Islam face à un Maroc émergent dans tous les sens. Tout a commencé en 2009 avec l’organisation d’un colloque sur «la liberté de culte».

A l’époque, les autorités algériennes ont senti le vent tourner en faveur d’une idéologie conservatrice. En 2011, 11 autres colloques nationaux et internationaux sont organisés dans le cadre de la manifestation  dédiée par Bouteflika à son royaume de Tlemcen qui a enfanté le groupe algérien d'Oujda. «Tlemcen, capitale de la culture islamique ».

L’Algérie s’impose alors comme telle, une plaque-tournante dans la réflexion sur la lutte contre le radicalisme religieux et enchaîne avec le colloque sur l’Islam contre la violence et une conférence intitulée «la fatwa entre règles de la charia (loi islamique) et défis de la mondialisation».

Toutes ces rencontres « ont enregistré, grâce à la générosité du pétrodollars algérien, une participation de la part d'un parterre de pays du monde islamique qui croient  aveuglement au faux leadership algérien » permettant aux Algériens de se moquer de ce petit monde , faisant visiblement clins d'oeil, d’acquérir une expérience de terrain concernant la désormais célèbre algérienne «déradicalisation».

Désormais, les autorités algériennes n’hésitent pas à vanter les résultats de toutes ces rencontres sur le terrain : le nombre de personnalités internationales dignes du terme présentes, était toujours dérisoire par rapport à la réalité.Mais en imitant les Marocains dans toutes leurs innovations, et encore plus, l’Algérie cherche vainement à être en avant-garde des Tunisiens, des égyptiens et des autres pays arabes.

La mosquée algérienne a joui également de toute l’attention des autorités. La formation des imams a été renforcée, le contrôle des mosquées salafistes nettement amélioré et le ministère des affaires religieuses a été mobilisé pour dispenser des idées éclairées au sein de la société algérienne.

La presse pro-gouvernemental rapporte dans ses articles de propagande que pas moins de 300 femmes imams ont été formées pour être à l’avant-garde de la lutte contre la radicalisation en Algérie. Elles effectuent le même travail que leurs homologues masculins à l’exception de la conduite de la prière, réservée à l’homme dans la religion musulmane. Objectif : sensibiliser les mères de famille pour surveiller l’éducation religieuse de leurs enfants.Tout ça dans l'imaginaire et dans les spots propagandistes, car ce qu'on connait sur la femme algérienne et la société civile algérienne en général, c'est s'approvisionnant au quotidien la femme ou l'homme algériens n'a pas droit d'oublier sa ration familiale d'alcool. Comment dit-on former des femmes-imam en Algérie?

En parallèle, les médias algériens ont fait circuler récemment qu'une opération de communication est lancée par les autorités algériennes pour faire de l’ombre au radicalisme religieux, disaient-ils, diffusé sur les télévisions satellitaires, accusant surtout le Royaume du Maroc et la 6ème chaîne Marocaine qui, disaient-ils dans les coulisses du pouvoir algérien, désoriente le téléspectateur algérien par ses programmes religieux. Cette communication s’articule essentiellement autour de ce qu'ils appellent, le colloque du rite malékite » qui entamait sa énième édition sur  «Okba Ibn Nafie» à Biskra au sud de l'Algérie.

Enfin, les algériens, les gouvernants algériens je veux dire, ne cessent de faire des éloges sur eux-même, faisant la diffusion de leurs propres idées pour limiter, dit-on, l’influence des idées jihadistes et terroristes. Les autres algériens ont vu que de nombreuses confréries (des zaouia) sont soutenues financièrement et plusieurs regroupements pro-pouvoir ont été fortement appuyés par l’Etat algérien à l’image du soi-disant Colloque sur le Soufisme à Ghelizane, à l’ouest de l’Algérie, le Colloque sur la Tradition du prophète à Constantine, ainsi que le Colloque sur le Coran à Chlef. En réalité et en dépit de ce qu'ils avancent dans ce domaine, perplexe et sérieux pour les apprentis, ce ne sont que des pièces théâtrales soumises à la réalisation du pétrodollars algériens pour jeter de la cendre aux yeux du peuple algérien afin de l'éloigner des vrais problèmes de l'Algérie en l'occurrence : la corruption qui ravage tous les secteur par le "vole-qui-peut et la guerre chronique autour du statu quo, faisant perdurer les tractations sur la succession de Bouteflika.                                                                     

Flashs de dernière minute :(01/3/2017)

Les dessous de l’annulation de la visite de Sa Majesté le Roi au Mali

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                 Le Maroc reproche au Mali son prisme algérien. Bamako relativise.

Annulée à la dernière minute, la visite que Mohammed VI devait effectuer à Bamako, à partir du mercredi 22 février, est bel et bien la traduction d’un malaise entre les deux pays. En cause : l’activisme algérien de « certains proches » du président Ibrahim Boubacar Keïta qui chercheraient à occulter « le dynamisme du Maroc sur la question de la crise malienne et à ternir l’image de leurs relations fructueuses », confie une source marocaine.

Déception sur la RASD..Le Royaume du Maroc a déployé beaucoup d'efforts au Mali où le Souverain jouit d’une grande popularité (projets économiques, infrastructures sanitaires, formation des imams…). Il espérait que Bamako « lui rende la politesse à la place de la mauvaise monnaie, en retirant sa reconnaissance de la (RASD).

Malgré ces efforts, Bamako n’a pas inclus Rabat dans l'accord de paix chapeauté par l'Algérie dans lequel d’autres pays, même lointains, ont été invités [la France, les États-Unis, la Russie], sachant que le Maroc a encouragé la mise en place du processus [réception des leaders touaregs à Rabat en 2014] ».

Les Maliens relativisent..Du côté malien, on estime que ce report a fait l’objet «de beaucoup de spéculations dans la presse ». Nous n’avons pas de problèmes particuliers avec le Maroc. Quelques jours avant que cette visite n’ait lieu, on nous a informé de son report , confie un diplomate malien, précisant que ces changements de dernière minute arrivent souvent dans les agendas des chefs d’État . Selon lui, les deux parties ont convenu d’une nouvelle visite qui se fera à une date ultérieure , sans qu’une date ne soit fixée.

Visite éclair..Le 23 février, une délégation marocaine, avec à sa tête le secrétaire particulier de Sa Majesté le Roi Mr. Mohamed Mouni El Majidi, s’est rendue à Bamako pour inaugurer une clinique prénatale qui était inscrite dans l’agenda de la visite royale. En tout et pour tout, elle est restée deux heures, de 14h à 16h, le minimum horaire pour épargner à cette clinique déjà prête d’attendre une nouvelle visite royale « qui ne se fera pas de sitôt », conclut notre source.

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            La diplomatie économique de Sa Majesté le Roi..

                                

Silence, on signe..Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste a signé une grand nombre  d'accords avec les pays africains depuis que le Royaume a annoncé son intention de regagner l'Union africaine (UA) en juillet dernier 2016 à nos jours. Et ça continue !

Jamais le Boeing royal n’a autant survolé d’espaces africains. Le Souverain a multiplié les périples en Afrique de l'Est, du Centre et de l'Ouest, signant pas moins de 113 conventions, mémorandums et accords d’investissement.

Cette pluie d’accords a été scellée avec des pays qui étaient jusque-là "terra incognita" pour la diplomatie Marocaine à cause de leur alliance avec l'Algésario. C’était sans compter la volonté du Royaume, qui a réussi à s’adjuger de nouvelles voix qui lui ont permis de réintégrer l’Union africaine (UA) le 31 janvier dernier.

Mais le Roi ne s’est pas reposé sur ses lauriers. Il continue de sillonner l’Afrique et de signer de nouveaux accords pour prouver la communauté de destin entre le Royaume Chérifien et le reste du continent.

Les secteurs clés.. Les accords que Sidna a signé concerne 8 pays où il a posé le pieds pour la première fois. Au cœur de l’offre Marocaine, six grands secteurs : l’agriculture, la banque, les énergies renouvelables, les mines, le tourisme et la logistique.

Depuis 2000, ces secteurs ont été au centre de plans de développement spécifiques qui ont grandement contribué à l’émergence de champions Marocains à l’export. « L’expérience marocaine est assez mûre maintenant pour être dupliquée en Afrique dans le cadre de deals gagnant-gagnant », explique-t-on dans le cercle du patronat de Mme Meyem Ben Salah Chakroun.

Les alliés historiques..En Afrique de l’Ouest, zone de confort du Royaume Chérifien Alaouite, il est difficile de donner un bilan précis du nombre d’accords conclus par le Souverain depuis le début de son règne. La coopération entre notre pays et cette partie de l’Afrique, plus ancienne, se fait à tous les étages de l’administration et du patronat Marocain.

Le Roi a effectué sept tournées dans cette partie de l’Afrique, se rendant au Sénégal, au Mali, en Côte d’ivoire, au Burkina Faso, en Guinée, sans oublier le Gabon son fief de toujours. Et les présidents de ces pays africains lui ont rendu la politesse au Maroc et, pour certains, à plusieurs reprises. À chaque fois, les accords pleuvent de part et d’autre.

Ces derniers se distinguent de ceux noués récemment avec l’Afrique anglophone par leur caractère plus pointu. Concernant le Sénégal et la Côte d’Ivoire, le Maroc a même mis en place des Groupes d’impulsion économique (GIE) qui gèrent directement tous les accords entre les patrons d’entreprises. Plus besoin du chapeau royal pour donner un coup de pouce.Et ça va augmenter davantage le cas où le Royaume intègre la CEDEAO.

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                      Le Maroc deviendra-t-il un producteur d'armes?

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                                                             Le prince Charles d’Angleterre au Maroc

Un récent rapport de la Strategic Défense Intelligence (SDI) a révélé que le Maroc serait actuellement en cours de négociation avec l'Espagne, la France et les États-Unis, ainsi que la Belgique et le Royaume-Uni, afin de lancer des coentreprises de fabrication d'armes. Ce nouveau projet vise à réduire la dépendance totale du Maroc vis-à-vis des fournisseurs étrangers, dans un cadre de compensation industrielle déjà utilisé par de nombreux pays.

La SDI, qui fournit des rapports sur le secteur mondial de la défense, a révélé que le fait que l'industrie militaire Marocaine n’est pas en mesure d'exporter des armes et du matériel militaire, va bientôt changer avec les négociations que mène le gouvernement afin de fabriquer et développer des armes, du moins en ce premier temps pour son autosuffisance, poussant son ennemi de toujours l'Algérie à dépenser trop pour acheter de la féraille, je ne dirai pas féraille Russ,mais le reliquat de féraille pourrie de l'ex-URSS.

Le rapport de la SDI a expliqué que l'ambition Marocaine visant à développer son arsenal militaire cache l'aspiration de devenir une puissance militaire sur le continent Africain, soutenue par sa stabilité macroéconomique, son faible niveau d'inflation et ses réserves de devises. 

Le Maroc, contrairement à d'autres pays émergents, est fortement déterminé à développer ses capacités de défense dans un contexte dangereux au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, selon le même rapport.

Quelques mois seulement après que l'Arabie Saoudite ait accepté de fournir un soutien financier au Maroc pour développer son industrie militaire, le Maroc a décidé de collaborer avec des entreprises britanniques et belges pour mettre sur pied des bases capables de produire du matériel militaire.

Dans le même sens, le rapport a révélé que les importations d'armements du Maroc ont augmenté, ce qui fait du pays le 13éme plus grand importateur mondial, et le second en Afrique, après l'Algérie, une position qui selon la SDI devrait durer au moins jusqu'en 2020.

Cela fait bientôt 5 ans que le Maroc étudie cette possibilité. Selon les informations dont nous disposons au blog, le pays a souvent fait appel à des cabinets de conseil afin de l’aider à élaborer une stratégie de compensation industrielle à même de lui permettre d’utiliser ses achats d’armes comme levier de négociation pour des coentreprises ou des transferts de technologies.

La compensation industrielle, appelée “offset” dans le monde anglosaxon, est le fait d’exiger en échange d’un achat public, le maintien d’un pourcentage de la valeur de l’achat dans le pays acheteur. Cela peut passer par des coentreprises, de la formation ou encore des transfert de technologies.

Par exemple, quand la Corée du Sud a procédé à l’achat du TGV au début des années 90, ils ont exigé des transferts de technologies importants à la France. Aujourd’hui, le pays a son propre  KTK-II (le TGV), avec des brevets à 100% Coréens.

Des opérations similaires existent dans l’industrie de la défense, notamment entre le Brésil et la France, l’Inde et le Royaume-Uni ou encore l’Afrique du Sud et le Royaume-Uni. Nous souhaitons que la volonté divine aidera notre pays  à atteindre cet objectif primordial pour un Maroc émergent.

 

Quand le polisario menace de déchiqueter des transporteurs Marocains.                                  

Une vidéo postée par des activistes pro-séparatistes montre un milicien armé du Polisario menacer de "déchiqueter" les corps des transporteurs Marocains traversant la zone tampon de Guerguarat. L'ONU doit intervenir d'urgence pour mettre un terme à ces pratiques dignes du gangstérisme.

Un nouveau palier dangereux vient d'être franchi dans le processus d'escalade orchestré par Alger et mis en œuvre par le Front Polisario, après le retrait unilatéral du Maroc de la zone démilitarisée de Guerguerat.

Une vidéo montre un mercenaire de la soi-disant "armée" du Polisario  qui sépare le poste frontalier de Guerguerat (sous administration marocaine) du premier poste frontalier au nord de la Mauritanie. "Les corps des Chleuhs seront déchiquetés s'ils insistent encore pour traverser la région"!, a menacé l'élément du Polisario.

                 
En toile de fond de la scène, un convoi de camionneurs Marocains "intercepté" par une meute de mercenaires se livrant à des pratiques dignes du gangstérisme.

La rage de la soldatesque du Polisario semble avoir pris des proportions très inquiétantes après le retrait, dimanche dernier, des gendarmes marocains de la zone démilitarisée de Guerguerat, en interaction avec l'appel du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, pour que les parties fassent preuve de la plus grande retenue et prennent les mesures nécessaires pour éviter l'escalade des tensions, que ce soit des actions militaires ou civiles.

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                               Ras-le-bol et acte de révolte: il y a le feu à Tindouf

Grosse panique lundi 27 février à Tindouf, après qu'un incendie ait été provoqué dans le camp dit "Smara" où devait se dérouler la célébration du prétendu "41e anniversaire de la rasd". Les milices du Front ont peiné à circonscrire le feu. Un foyer en pisé a été complètement ravagé par le feu.

Les habitants de ce camp ont vécu la peur de leur vie. Des inconnus ont mis le feu à des pneus et des produits hautement inflammables ont été découvert à proximité de l'estrade même des "officiels" du Front Polisario, qui devaient célébrer ce jour-là l'anniversaire de la création de la rasd, rapporte un site séparatiste et relayé par des rooms séparatistes de discussion en paltalk.

Citant un mercenaire du Polisario, le site en question indique par ailleurs qu'un foyer situé dans la circonscription dite "Al Haouza" a été complètement ravagé par le feu.

Selon la même source, une enquête serait ouverte pour déterminer les causes et identifier les auteurs de ce qu'il appelle des actes de sabotage visant à perturber le déroulement des festivités marquant la proclamation de la fantoche rasd. 

Face à ces actes, une source du Polisario contactée par le site de propagande a affirmé ne pas écarter l'hypothèse selon laquelle les actes de sabotage auraient été orchestrés par des parties hostiles.

Une hypothèse destinée à camoufler le ras-le-bol d'une population frustrée par l'absence de perspectives et la politique de diversion suivie par le Polisario, qui a essayé en vain de vendre ses fanfaronnades du côté de "Kandahar" comme étant une victoire!

Les événements du lundi 27 février apportent la preuve que rien ne va plus pour cette direction, autant sur les plans interne qu'externe, sachant que ses provocations puériles à l'encontre du Maroc lui ont valu un désaveu cinglant de la part de la communauté internationale, qui a vivement salué la retenue et la sagesse du Royaume du Maroc après son retrait unilatéral, dimanche dernier, de la zone démilitarisée de Guerguerat.

   

                        Flashs de dernière minute :(28/2/2017)

          Maroc-Afrique : Au revoir l'UMA, Bonjour la CEDEAO 

                                                      

Dommage! On est très déçu devant les groupements politico-économiques du monde. La locomotive de l'UMA, comme tout le monde sait, est mise par l'Algérie sur des railles rouillées ne lui permettant point de continuer le départ de Marrakech depuis le 17/2/1989.Le Maroc, à cet effet, ne veut plus attendre le miracle, qui arrive ou qui n'arrive pas pour redresser au bon la situation de cette union C'est pour cela, on cherche d'autres opportunités pour valoriser au mieux notre économie.

Vu que  la voix de la sagesse royale et la crédibilité Marocaine ont finit, au bout du compte, malgré les aboies de ses ennemis algériens, pour ne pas dire ses adversaires algériens, par emporter la confiance de l'Afrique et que le Royaume ne supportant aucune tension, arrive avec tous ses ingrédients et ses  stencils pour aider l'Afrique.

On le sait depuis vendredi 24 février 2017 : Le Maroc a transmis à Ellen Johnson Sirleaf, présidente en exercice de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest) sa requête pour devenir membre « à part entière » de l’organisation ouest-africaine, dans la droite ligne de la politique africaine du Souverain, couronnée par le retour du Royaume au sein de l’Union Africaine . Donc de ce point de vue, le Maroc, qui n’a d’yeux que pour l’Afrique subsaharienne ces dernières années, a une démarche très logique. On verra un peu plus sur les enjeux de cette affaire…

Le Maroc lorgne une organisation regroupant 15 Etats, et qui est de fait celle qui marche le mieux et pèse le plus lourd économiquement sur le continent. Le Nigeria, un ténor de l’Afrique et la Côte d’Ivoire, véritable locomotive de l’UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine, qui compte 8 Etats membres), en font partie.

A ajouter au Sénégal et au Ghana, dont les institutions financières internationales disent le plus grand bien et auxquels elles prédisent un avenir florissant. La CEDEAO c’est aussi 320 millions d’habitants, la population la plus jeune de la planète,  affiche un PIB global supérieur à 700 milliards $.

La libre circulation des biens et des personnes commence à être une réalité et une monnaie unique est en orbite, pour une entrée en vigueur en 2020. Mais avec le Maroc sur la balance, la CEDEAO serait la 16ème puissance économique mondiale, damant le pion à la Turquie et titillant l’Indonésie en termes de PIB !

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Maroc-UE : Le retrait des troupes Marocaines de Guerguaret, "un pas important" 

                                    Maroc-UE

Un coup de maître. L'annonce faite par le Maroc d'un retrait unilatéral de la zone de Guerguerat est "un pas important", a indiqué, lundi 27 février, une porte-parole de l’Union européenne.

«Toutes les parties doivent respecter les termes du cessez-le-feu et continuer à travailler en faveur de l'intérêt et de la stabilité de la région», a affirmé la porte-parole de l'Union européenne dans une déclaration transmise à la MAP.

L'UE, ajoute la déclaration, "soutient les efforts du secrétaire général de l'ONU visant à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable" à la question du Sahara "dans le cadre d'arrangements compatibles avec les principes et les buts de la Charte des Nations Unies".

Cette mesure Marocaine  de maitre, intervient pour que “la demande du secrétaire général soit respectée et appliquée dans l’immédiat”.Il convient aux autres parties d'imiter ce geste de maître.

Une source bien informée a dévoilé que "la tendance générale ayant prévalu était au retrait des éléments armés du Polisario de la zone démilitarisée de Guerguerat". De l'avis général, "il fallait se comporter positivement en réponse à l'appel du nouveau secrétaire général de l'ONU et ne pas se mettre à dos la communauté internationale". 

Alors que l’Algérie et son Polisario dans leur rêve éveillé, ont fait de ce retrait un préalable au désamorçage de la tension dans cette région, les voilà qui se dédient en prétendant que "la situation à Guerguerat n'est pas un fait isolé et partant, que seule une prise en compte de l'état du processus de décolonisation du Sahara dans son ensemble est à même de permettre le dépassement de la tension actuelle"!Il se voient du fait qu'ils sont en train de paniquer, arrivant au pied du mur par le choc.

Inutile de faire appel à une voyante pour comprendre l'origine du coup de fil reçu par le pseudo-chef du polisario, qui a fait changer de ligne de sa conduite en l'objet. Alger, véritable marionnettiste du Polisario, ne veut pas que le dossier de Guerguerat soit classé à si bon compte en faveur du Maroc.

Elle refuse surtout d'entériner le sens des initiatives Marocaines qui donnent le tournis à un régime malade où les cadors sont davantage occupés par la santé  d'un cadavre qui respire encore et par la guerre de succession à ce cadavre.

Une chose reste sûre: la bataille est dans le camp du nouveau secrétaire général de l'ONU Mr. Antonio Guetrres, réputé pour sa compétence dans la gestion des crises et sa maîtrise du dossier du Sahara Marocain. La conquête burlesque de la zone tampon Guerguerat par le Polisario. La question n'est pas de savoir s'il va apprécier le show grotesque des éléments du Polisario mais comment et quand il y mettra un terme à ces depassements.

En attendant, les algériens campent dans l'anarchie et comptent dans une pagaille générale, les bons points que marque la diplomatie Royale, soi dans ce sens soi en Afrique. A cet effet, ils se disputent le score de la partie enregistré à la faveurs du Maroc, autour du petit bar au "club les Pins", lieu propice de rassemblement des brebis égarées du gouvernement Algérien et de délibération inappropriée de cette affaire de l'Etat et autres, tout en substituant les commis décideurs de la présidence qui auraient déserté le palais d'Al Moradia, à cause de la vacance du pouvoir et du long séjours du président dans sa résidence-clinique à Zeralda dans les hauteurs d'Alger.                                                                                                     

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                 Rabat et Washington sur la même longueur d'ondes.

                                     drapeaux Maroc-USA

Les Etats-Unis ont salué dimanche l’annonce par le Maroc d’un retrait unilatéral de la zone de Guerguerat au Sahara marocain.

“Nous saluons la décision marocaine d’un retrait unilatéral de son personnel  militaire de la zone tampon de la région de Guerguerat en soutien à la demande du secrétaire général” des Nations Unies, a souligné l’ambassade américaine à Rabat dans un communiqué.

Dans ce document, l’ambassade dit avoir pris note de la déclaration rendue publique samedi par le porte-parole du secrétaire général de l’ONU concernant la situation dans la zone de Guerguerat.

C'est une nouvelle réaction positive venue d'Outre-mer au retrait unilatéral du Maroc de la zone tampon de Guerguerat,, en interaction avec l'appel du SG de l'ONU, Antonio Guterres, ayant demandé à ce que les parties en conflit fassent preuve de "la plus grande retenue et prennent toutes les mesures nécessaires pour éviter l'escalade des tensions, que ce soit des actions militaires ou civiles".

Après le secrétariat d'Etat américain qui s'est félicité, via l'ambassade US à Rabat, de "la décision marocaine d’un retrait unilatéral de son personnel de la zone tampon de la région de Guerguarate en soutien à la demande du secrétaire général de l’ONU", c'est au tour d'un ancien sous-secrétaire d'Etat à la Défense,(2001/2004) en l'occurrence Dov Zakheim, de saluer cette initiative.

Mr.Dov Zakheim, a salué l'audace de Sa Majesté le Roi dans gestion du dossier du Sahara Marocain. Évoquant que ce retrait unilatéral du Maroc, sur instructions de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, Chef suprême et Chef d'état-major général des forces armées royales, est une décision royale audacieuse.

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Toutes pour libérer les Marocaines séquestrées à Tindouf.

                                     Tindouf

 Un collectif Marocain d’associations et d’organisations féminines envisage de mener une campagne internationale pour demander la libération des Sahraouies détenues à Tindouf dans des conditions inhumaines.

La Coordination nationale pour la marche internationale des femmes au Maroc envisage de lancer une campagne féminine internationale pour demander la libération des Sahraouies retenues à Tindouf.  La Coordination profitera de la Journée internationale des droits de la femme (8 mars) pour exposer ses revendications à propos de ce dossier.

Cette coordination, composée d’un grand nombre de sections féminines, syndicats et associations, compte organiser une conférence de presse le 9 mars prochain, au lendemain de la Journée de la femme.

Cette rencontre, qui se tiendra à Rabat, permettra de débattre du dossier des Marocaines séquestrées à Tindouf dans des conditions inhumaines. L’objectif de la Coordination, même s'il sera, à mon avis, qu'un énième coup d'épée dans l'eau, est de soutenir les femmes victimes de violence et de pauvreté, ainsi que les petites filles privées d’accès aux soins et à l’éducation.

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