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Organiser le mondial, est le rêve de tout un peuple

            

                       Ø£Ù„اف المغاربة يصلون أفواجاً لموسكو لتشجيع أسود الأطلس بطموح الفوز على البرتغال                                                                                Organiser le mondial, est le rêve de tout un peuple                       

Mondial 2026 : C'est toujours la sale guerre. Au lendemain de la désignation par la FIFA de l'United 2026 (Canada, Etats-Unis, Mexique) futurs pays organisateurs de la Coupe du monde 2026, Le peuple Marocain et une grande partie de la presse nationale se désolent de l'élimination du Maroc et de voir pour la cinquième fois, sa candidature écartée par un jeu d’alliances diplomatiques de circonstance qui ne devrait pas avoir cours dans ce type de consultation..

Nous avons cru à tort et avec beaucoup de stupidité que «La Coupe du monde n’est pas un événement politique et ne doit pas l’être» Mais la corruption a vaincu la raison, puisque les "chèques à blanc" du petrodollars Saoudien, servis par "Turki al Sheikh", la veille du vote rendaient le monde du FIFA, plus corrompu que jamais, dépassant ainsi l'ère de Joseph Blatter et de son pion Qatari Ben Hammam.

Ainsi, les ingrats Saoudiens, non seulement ont décidé de ne pas voter pour la candidature du Maroc pour le Mondial de 2026, mais ils ont fait pression sur d’autres pays pour lâcher le Maroc dans l’espoir de plaire à leur nouveau maître Trump qui avait menacé les pays qui ne voteraient pas pour l’Amérique.

Les Marocains n’ont pas décoléré et l’ont fait savoir, aussi bien sur les réseaux sociaux que sur place, à Moscou. La raison de leur légitime colère est ce coup de poignard dans le dos que des pays supposés «frères et amis» ont asséné à Morocco 2026.

Cela s’appelle de la trahison d’amitié ou pour utiliser leur langage, trahison de famille. Qu’avons-nous Marocains de commun avec ces bédouins, avec ces buveurs d'urine de chamelle? Qu'avons-nous avec les descendants d'Abou lahab, qui ne sont que des arrogants et méprisants?.Leur présence, au Maroc dans la vie publique est malheureusement,une honte préjudiciable à l'honneur Marocain.

Sachant que les Emiratis, de leur coté, ont craqué en désobéissant au testament de leur père Cheikh Zayed que Dieu ait son âme, dans lequel il leur aurait recommandé de bien veiller sur le Maroc et sur les Marocains.

Mais la question qui reste posée..«Le Maroc est-il à l'heure de riposter contre cette trahison? s’apprête-t-il à redistribuer ses cartes géostratégiques dans la région du Golfe, après le soutien et le lobbying de l’Arabie saoudite et des Emirats en faveur du dossier américain pour l’organisation de la Coupe du monde 2026?.

L'avenir répondra certes à cette interrogation. Et pourtant, le Maroc qui reste très attaché à son droit d'organiser cette competition mondiale est convaincu que sous la supervision Royale, Mr.Fouzi Lekjaâ, remobilisera ses cartes et réussira certes pour le mondial 2030.On ne compte pas baisser les bras, Allah yahyina pour assister et revivre l'événement.               

En relation avec ce sujet Sa Majesté le Roi aurait envoyé un message de remerciement au cadavre de Bouteflika et dont le contenu a été révélé par l’ambassadeur du Royaume du Maroc à Alger.

Dans un entretien à la chaîne-tv algérienne "El Bilad TV" Mr.l'Ambassadeur, (Hassan Abdelkhaleq) essayait de penser les plaies par une langue de bois, par des messages thuriféraires de complaisance et d'indulgence excessive.

«Non..Excellence,vu les rancunes algériennes qu'on connait,  votre entretien n'était qu'un des ingrédients de l'hypocrisie diplomatique.Quoi qu'il en soit, «ce n'est pas comme ça qu'on fait abreuver les dromadaires» comme disait le dicton arabe.

                                                        
                                                 
               Sepp Blatter sera présent au match Portugal – Maroc
                                                                             Un nouveau Crans Montana sportif
 
Un prédateur Suisse.. (hors jeu).Il était présent au match Portugal-Maroc en la qualité d'invité thuriféraire. Sur la RT Russie on constatait que Mr.Joseph Sepp Blatter ex-president de la FIFA plaidait, via un bref entretien-tv, pour le droit au Maroc d'organiser le  mondial. 2026.
Par ce fait, il essayait de redynamiser ses efforts, redessiner, son image auprès des Marocains, tout en essayant de corriger les rancunes qu'il avait faite au Maroc en 2004 face à la candidature de l'Afrique du sud.
 
Il faisait signes d'un nouveau "Crans Montana sportif" envers le Marocain par des brèves déclarations tardives, sans valeurs ni arôme, étant que la plaie est toujours ouverte, tant que ce Maroc qu'il a tout simplement écarté pour en profiter des pots-de-vin,  n'ait pas acquit le privilège d'organiser cette compétition planétaire.
 
Une compétition pour laquelle Mr.Blatter est convié à se remodeler, à se remobiliser et faire campagne dès maintenant, au profit de la candidature du Maroc pour la consultation de 2030, s'il veut bien que les Marocains lui pardonneront ses péchés envers le Maroc et réparer les dégâts corruptifs qu'il a causé.
                                                                                           
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Le 29 juin 1992, un rappel de l'histoire douloureuse de l'Algérie. Assassinat de feu Mohamed Boudiaf, le plus Marocain des présidents algériens. 

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Après sa rencontre avec feu Hassan II, il avait, même, préparé l’ébauche d’une solution au conflit du Sahara Marocain.Un engagement qui, aggravé par ses entretiens à Rabat a précipité son assassinat.

En Algérie, l'anniversaire de l’assassinat de Mohamed Boudiaf passe de plus en plus inaperçu, à part quelques brèves sur les colonnes de certains supports papier algériens et dans des sites d’actualité en ligne.

Pourtant, cet ancien exilé politique au Maroc, (1979 à 1992), était présenté comme la solution miracle par les auteurs du complot brutal électoral du 11 janvier 1992 et la destitution du président Chadli Benjedid qui s'en est suivie.

Aux yeux de la junte des généraux algériens, Boudiaf était le candidat idéal, remplissant tous les critères exigés pour le propulser à la magistrature suprême. Il était l’un des chefs historiques de la guerre de libération, une victime politique du maudit Houari Boumediene et surtout il était loin de tout clivage politique ou régional, il n'appartenait ni au clan d'Oujda ni à celui des généraux-BTS, des villes Batna, Tibissa et Souk H'rass. En proposant son nom, les militaires voulaient un président fantoche pour régner sans toutefois gouverner.

Le 15 janvier 1992, un avion atterri à l’aéroport d’Alger en provenance de Rabat, transportant Mohamed Boudiaf et sa femme Fatiha. L’accueil était des plus chaleureux, certains diront même trop. La junte algérienne avait déroulé le tapis rouge pour l’ancien exilé depuis plus de 27 ans. Toute la classe politique, à l’exception du FIS, les militaires et les hommes d’affaires avaient répondu présent pour l'accueillir. 

Mohamed Boudiaf s'est montré favorable pour jouer le jeu.  Sa réplique dans la salle d’attente de l’aéroport, a consisté à dénoncer devant la presse, le projet des islamistes du FIS qui visait à s’accaparer le pouvoir.

Le premier jour s’était ainsi déroulé comme prévu. Les généraux Khaled Nizar, Mohamed Lamari et Ali Kafi, les véritables meneurs du coup d’Etat contre Benjedid, étaient satisfaits de la prestation de leur candidat, même s'ils allaient vite déchanter.

Dans son premier discours au peuple algérien, Boudiaf promettait une lutte sans merci contre la corruption qui gangrène le pays et l’instauration de la justice. Mieux encore, il demandait aux Algériens de l’aider à accomplir sa mission.

Des paroles concrétisées plus tard sur le terrain. En mai 1992, il ordonne l’arrestation et  l'incarcération à la prison de Blida du général Mustapha Belloucif pour détournement de milliards de dollars alors qu’il était l’homme de confiance de l’ancien président algérien Chadli Ben Jedid.

L’interpellation du général Belloucif n’était pas aussi grave. Certes, depuis quelques temps, les têtes pensantes de ce qu'on appelait le "Haut conseil d’Etat" ne voyaient pas d’un bon œil les initiatives trop personnelles de Boudiaf, mais elle a permis aux généraux Khalid Nizar, Mohamed lamari, Larbi Belkheir et Ali Kafi, qui constituait le groupe décideur de l'époque, de se débarrasser de leur redoutable et farouche  adversaire.  

Par contre, c’est sur le dossier des relations avec le Maroc que Boudiaf et les trois généraux avaient des positions opposées. Le projet du voyage du président à Kenitra sous prétexte visiter sa famille a été la pierre d'achoppement. Au début, les militaires s’y opposaient farouchement. Face à l’intransigeance de Boudiaf, ils ont fini par lâcher du lest à condition qu'il évite tout contact avec le Roi Hassan ou ses proches conseillers.

Une fois à Rabat, il s'est tout de même entretenu avec feu Hassan II. Des sources algériennes avançaient même que Boudiaf aurait promis au Roi une solution du conflit du Sahara Marocain qui serait bénéfique pour le royaume. De retour à Alger  il déclare qu'avec une dette à l’époque estimée à 30 milliards de dollars, les finances de l’Algérie pouvaient difficilement continuer à soutenir le Polisario. Pour lui la question du Sahara était «secondaire» par rapport au sauvetage de toute l’Algérie.

Le 29 juin 1992, alors qu’il animait une conférence avec des associations de jeunes à Annaba, un de ses gardes du corps (Mbarek Boumaârafi, un officier du DRS) a tiré sur le corps de Boudiaf qui meurt sur le champ. Sa présidence n’aura duré que cinq mois et quelques jours. 

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