Algérie: Plus de 700 kgs de cocaïne injectés par un homme d’affaires algérien, un parrain de mafia.
Pourritures Algériennes ..?
Le général Hamel, première victime du cocaine-dz.
En France..On apprend à la légion étrangère: «Tout ce qui bouge, on le salue et tout ce qui ne bouge pas, on le peint en blanc pour qu'il soit joli»
En Algérie...«Tout ce qui bouge, on le peint de corruption et tout ce qui ne bouge pas, on l'accuse de trahison, car le silence s'explique au refus de passer au style Cubain des Castro : «de Fidel à Raoul. Pour l'Algérie de Abdelaziz à Said».
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Cocaine-dz : Crise morale, chasse à l'homme et découverte d'un réseau d’espionnage et d'influence ..? En Algérie de gros poissons commencent à tomber et échouer au bord de cette affaire de cocaine.
Le clan Gaid-Bouteflika a trouvé l'occasion d’opérer des coups d'assainissement à son parterre, éjectant les hommes le moins appréciés du frère-président, et ce en prévision d’épierrer les champs qui mènent aux présidentielles 2019. Surtout, les plus forts et plus qualifiés à relever le défi et qui y pourront, d'une façon ou d'une autre, en compromettre les chances, soit de Said ou de Gaid de se qualifier pour l'étape d'avril 2019.
Le tout puissant général de la gendarmerie Algérienne Menad Nouba vient d'être limogé et emporté par la vague, dit-on à Alger, par décret présidentiel de Said Bouteflika,le président Algérien en cache sur incitation et clin d’œil de l'autre chef l'armée et oncle de la famille le général Gaid Ahmed Salah qui souffle les noms derrière les coulisses et prépare hypocritement le terrain à son profit.
Le pion du général El-Ghali Belksir, chef d’état-major de la même gendarmerie qui jusque-là, dirige l'enquête du fameux cocaine sous la supervision de l'armée est tiré du sac des jeux pour prendre le relais (?) Il a été installé précipitamment le 4/7/18 dans ses nouvelles fonctions par Gaïd Salah. « Au nom du cadavre Président de la République.
L’ancien officier des services secrets algérien, Mohamed Rahmani, a donné une lecture,à sa façon, tout à fait différente de celle qui est reprise çà et là, concernant l’affaire des 701 kg de cocaïne. De son expérience au sein de la sécurité militaire, il a évalué à leurs justes mesures, les menaces qui peuvent peser sur la sécurité de l’armée algérienne et par ricochet sur la sécurité de toute l'Algérie.
Selon lui, l’affaire n’est pas un simple trafic de drogue, dans la mesure où l’enquête a dévoilé un vaste réseau d’espionnage et d’influence, impliquant des enfants de hauts dignitaires et de hauts gradés de l'Etat Algérien. L’affaire est donc une vaste opération de déstabilisation.Tout le monde s'y trouve au centre de cette polémique. Même Rabah Majer l’entraîneur se plaint et dit que son limogeage est une affaire politique. Tant mieux pour les ingrats «لهلا ايفكهم منها حالة.. الله ايزيدهم غرق في غرق»
N.B : Pour plus de précisions ayant trait à cette affaire, les algériens parlent, à cœur ouvert, pour éclaircir les opinions publiques, locale et étrangère, mettant au clair les tenants et aboutissants de cette affaire.Visionner les vidéos au bas de la note.
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Attention à la marche.. Les «701 kg» de cocaine-dz, c'est énorme, il dépasse le mille et une feuille de cannabis et de tabac que produisent les champs de K'Tama. Il ne s'agit pas là du pauvre hashish Marocain qu'on mettait toujours à la barre et aux bancs d'accusation, ni de petites capsules qu'on cache souvent aux intestins grêles. Cette fois-ci, la Police Judiciaire Algérienne est confrontée au plus fort des stupéfiants, à la cocaine, voire, à la poudre blanche de Coca, source de toutes sortes de corruption, de blanchiment d'argent et de toxicomanie.
Elle enquête et poursuit ses interrogatoires dans l’affaire des 701 kg de cocaïne. Les éléments collectés sont effarants. Un certain Kamel Cheikhi, un Algérien qui est le principal accusé dans cette affaire, avait fait des enregistrements vidéo des conversations qu’il avait eu avec des magistrats et d’autres personnalités influentes de haut rangs en Algérie, qu'il détenait en poche pour parer à toute éventualité.
Il a également expliqué que ses liens avec des responsables de la direction des ressources humaines au niveau du ministère de la Justice lui permettaient de promettre des juges et de mettre fin aux fonctions d’autres !
Les quelques éléments publiés par le quotidien Algérien "El Khabar" donnent le tournis. Il ne s’agit plus d’une corruption à grande échelle, mais d’une mafia organisée et bien rodée qui gâche tout un pays.
31 juges sont impliqués, de loin ou de près, dans cette affaire. Quatre d’entre eux ont été déjà arrêtés et écroués. Les Procureurs généraux des cours de Béjaïa, Setif, Aïn Defla connaîtront probablement le même sort et seront emportés par cette avalanche de neige qui ne provenait pas cette fois, du pole nord, ou de K'tama du Maroc, ni d'Adrar, mais de l’Amérique Latine.
Ce qui a été rapporté est digne des combines machiavéliques de la mafia italienne. Le richissime promoteur immobilier et importateur de viande rouge enregistrait ses rencontres avec tout ce beau monde.
Le but étant d’utiliser ces enregistrements comme moyen de pression et de sauvetage le cas échéant, mais les choses ne se sont pas déroulées comme il le voulait et ces bandes vidéo ont été récupérées par la police lors d’une perquisition dans son domicile ordonnée par le ministère algérien de la justice et pas par le parquet général comme le prévoyait la loi. A mon sens, c'est le compte à rebours de règlement de compte qui se dessine, en ce moment de désordre en Algérie.
Pis encore, le mis en cause a fait une révélation des plus fracassantes. Lors de la séance d’interrogatoire qui a duré une bonne partie d'une nuit entière, Cheikhi a révélé que les relations étroites qu’il entretenait avec des responsables du ministère de la Justice lui permettaient d'en tirer profit des services des juges et plaider innocence pour ses valets de chambre en cas d'arrestation et de jugement.
En contrepartie des services rendus, les magistrats lui donnaient un coup de pouce dans ses innombrables affaires en justice dans le cadre de ses activités dans l’immobilier et dans la drogue Ces derniers bénéficiaient d’appartements et de biens immobiliers en plus d’une prise en charge de leurs frais de voyages notamment des Omra et du tourisme au profit de leurs familles!
Par ailleurs, on évoque à Alger que la nature des relations entre le baron Cheikhi, le fils de l’ex-Premier ministre Abdelmajide Tebboune et le chauffeur du patron de la police algérienne Abdelghani Hamel n’est pas encore élucidée. Mais on assure, en parallèle, que de nouveaux éléments permettront de les reconstituer.Les mis en cause risqueront la peine capitale si on croit Ahmed Ouyahya le premier prédateur d'Algérie.
Le torchon brûle..Les éléments collectés pas notre source locale d'information sont effarants. Said Bouteflika, qui est le principal acteur en ce temps de crise politique en Algérie, fait de son mieux pour rassembler autour de lui des personnalités influentes de tout bord, surtout du royaume de Tlemcen. avec lesquels il ne manque pas de tisser des liens "plus intimes que normaux" qui lui permettaient de promettre des commis d'Etat plus fidèles à lui et de mettre fin aux fonctions d’autres !
A cet effet, pour éviter la moisie de l'atmosphère, il garde le cadavre de son frère-président dans des couloirs bien aérés de la résidence présidentielle (médicale) de Zeralda, et ce dans le but de faire perdurer davantage le "statu quo infini". Pour ce fait, il se trouve contraint de jouer l’échiquier de son temps, 'nécessitée oblige', agissant en équilibre entre l'anarchie, la polémique, le désordre et la vacance du pouvoir dans l'espoir de voir clair et décrypter l'incertain avenir qui menace toute la famille..
Pour bien réussir les coups, il fait sortir de temps à autre, ses jockey pour respirer un peu plus d'air et faire prolonger le temps théâtrale, du moins, jusqu'au terminal d'avril 2019. Dernier jockey-acteur en piste, c'était Ahmed Ouyahia, qui vient juste,y a peu de temps d'appeler, au bout de ses lèvres et de façon hypocrite, en tant que SG du parti RND (Rassemblement National Démocratique) le cadavre de Abdelaziz Bouteflika à briguer un 5e mandat en 2019.
Il ne trouve rien à dire sur le Maroc sans le citer, outre que l'Algérie est ciblée par un vaste complot qui vise à la déstabiliser. Selon lui, les instigateurs de ce complot veulent détruire le tissu social en inondant l’Algérie dans un flot de drogue.
Ce genre de discours, le patron du RND en est un habitué. Les fois précédentes, c’était le Maroc qui était visé. Il n’y avait nul besoin de se creuser la tête à chercher. Mais l’affaire des 701 kg de cocaïne récemment découverts à l’intérieur d’un bateau au large du port d’Oran a totalement brouillé les pistes .
À ce sujet, M. Ouyahia ne souffle mot. Il se contente de dire que les flots de drogue qui se déversent sur l’Algérie ne sont que les instruments d’un vaste complot. Qui complote ? Pourquoi complote-t-il ? Agit-il de l’extérieur ou de l’intérieur du pays ?
À toutes ces questions, M. Ouyahia ne donne aucune réponse. Et pourtant on y trouve ses plus proches, surtout de la justice qui coiffait en un certain moment, impliqués dans cette affaire de cocaine sud-américain et pas dans une affaire de "Hashish Marocain" qu'ils essayaient, lui et son Messahal de véhiculer toujours.
Premiers rebondissements et pas des moindres. Pas moins de quatre magistrats et le fils de l'ex-premier ministre algérien Abdelmajd Tebboune seraient impliqués dans cette scabreuse affaire qui a ébranlé l’Algérie il y a quelques jours.
En effet, quatre juges auraient été arrêtés pour leur liaison avec le principal accusé.On y apprend ainsi que ces magistrats auraient touché des pots-de-vin de la part du baron de l’opération en contrepartie de couverture qui lui ont offert à l’ombre de la loi.
Il s’agirait d'autre part, du président de la chambre administrative de Sidi Mhamed d'Alger, d’un magistrat près la cour d’Alger. Un procureur général d’une grande wilaya de l’Est Algérien, ainsi que deux autres procureurs de la république sont également soupçonnés d’être mêlés à l’affaire.
La presse algérienne rapporte que c’est le ministre algérien de la Justice, qui a ordonné ce coup de filet au milieu des magistrats impliqués dans cette grosse opération de tentative d’introduction en Algérie d’une immense quantité de drogue camouflée dans de la viande congelée, importée par une société algérienne dénommée Dounia Meat. La première séance a été consacrée à la vérification des identités des mis en cause et à la présentation de quelque vingt témoins, dont le commandant de bord du bateau brésilien.
Les principaux accusés, à savoir le fils de Tebboune, les trois frères du baron algérien (Cheikhi) et l’un de leurs associés. Il semble maintenant que les mis en cause sont passés aux aveux, et sans doute, cette affaire digne des pratiques de la mafia va toucher de gros poissons tant il est difficile de croire que l'importateur principal ait agi seul. Une affaire très suivie par l'opinion publique algérienne.
De son coté le ministre algérien de la Justice s’est prononcé sur cette affaire de cocaïne. Il informe que quatre enquêtes sont ouvertes dont deux sont liées au trafic d’influence, les autres sur le blanchiment d’argent contre Kamel Cheikhi, qui est le principal accusé dans l’affaire du trafic de cocaïne.Ajoutant que «Pas d’impunité», de nombreux suspects ont été placés en détention provisoire: « six personnes sont en détention et 12 autres pourraient être mises en prison».Souhaitant la collaboration des services de sécurité d'Espagne et du Brésil pour mener à bien cette enquête de grande envergure.
La vedette dans cette affaire serait aussi le Wali d'Alger Abdelkader Zoukh, un des thuriféraire les plus proche de Said Bouteflika qui, pour plaire à ses parrains d'Al Moradia disait, à la surprise de Mst Ben, qu' "Alger est plus meilleure que Paris".Il serait impliqué et blanchi de cocaine, malgré le démenti de la wilaya d’Alger. Une affaire de corruption d'Etat qui secoue toute la sérail et qui mettra fin surement, au règne de beaucoup de gouvernants, dont le Wali de la capitale Algérienne.
Des éléments dans ce sens ont été révélés par le ministre de la Justice Tayeb Louh qui persiste et signe, faisant savoir que plusieurs suspects sont à prévoir, allusion indirecte au "grand Duc" du Club les Pins d'Alger qui n'est que le Wali d'Alger. Et que les investigations, qui sont à leur début, continuent après l'interpellation d'un bon nombre de suspects, dont déjà un ex-Wali, un ex-Maire, des magistrats, le chauffeur du général Hamel, patron de la police algérienne, le fils de l’ancien premier ministre, Tebboune, le fils de l'ex-Wali de Ghelizane et un tas de personnalités algériennes.
Abdelkader Zoukh interpellé par la presse algéroise, n’a pas voulu s’étaler, soignant son image par «حسبي الله ونعم الوكيل» (Allah me suffit, il est mon meilleure garant) a-t-il répété à plusieurs reprises, avant de déguerpir en toute vitesse pour ne pas s'attirer des vipères et scorpions bien venimeux.
Le ministre Louh de la justice a entre autres indiqué : qu' «aucune pitié ne sera manifestée à l’égard de ceux qui veulent faire revenir l’Algérie à la décennie noire (90) et la destruction du pays par injection de drogues, qu'elles soient du Maroc en ce qui concerne le cannabis ou d'Amérique de ce qui est de la cocaine».
Le ménage avant 2019..Le général Hamel, chef de la police Algérienne lui réplique pointant du doigt des dépassements dans l'enquête préliminaire, impliquant son chauffeur qui n'est que son ordonnance : «Celui qui veut lutter contre la corruption doit être lui-même propre» Mais cette sortie médiatique surprenante va lui coûter cher.
Ainsi, dans la foulée du scandale-cocaine, Said Bouteflika qui attendait les moments propices, fait le ménage et recase ses fidèles procédant, au fur et à mesure, à l'éjection de tout élément qui lui paraîtrait nocif. Il vient au nom du cadavre de son frère, de mettre fin aux fonctions du puissant général Hamel, l'homme fort en cette période et nomme à la place le colonel Lakhdar El-Habiri,(dit Mustapha) qui prend le relais à la tête de la police algérienne.
L'ex-patron de la police algérienne a été donc limogé et rangé hors état de nuire.Un limogeage énigmatique qui laisse perplexe, loin du scandale de la cocaine. À quoi tout cela rime? Si non des messages cryptés à la gendarmerie Algérienne qui mène l'enquête dans cette scandaleuse affaire de cocaine sous la supervision du général-bougre Gaid Salah, chef de l'armée qui serait très satisfait, au cas où il prendra la route vers le palais d'Al Moradia..
La vraie réponse serait que ces dernières années, son nom circulait dès qu’il était question d’un remplacement dans des postes clefs. Dans un premier temps il était pressenti pour remplacer le puissant général Toufik à la tête du DRS. Plus récemment il devient pour Said Bouteflika le mauvais herbe qu'il faut arracher. Car on lui prêtait des ambitions présidentielles. Il était même présenté comme un successeur potentiel du feu président Bouteflika. Ce qu’on ne peut, cependant pas négliger en Algérie, c’est le fait que ce limogeage intervient à quelques mois seulement des prochaines élections présidentielles.
La course s’annonce dors et déjà sans pitié. De la drogue dure sur la toile + la planche à billet + la moisie de l'air politique + la vacance totale du pouvoir + la désobéissance affichée à l'appel du cimetière d'Al Aâlia qui attend impatiemment le cadavre de Bouteflika ..! Avec tout ça, ça va barder davantage chez les voisins.
C'est l'incertain qui s'annonce, ou plutôt qui s’annonçait déjà à l'horizon, avec une Algérie qui perdait, malgré elle, sa génération d'honnêteté, d'homme de parole et d'hommes crédibles, celle de la révolution et des politiques de Tanger 58, élevée dans le nationalisme d'autrefois et dans l'espoir avenir de bien être..!
Une génération, voire le reste d'une génération, envahie par des mafias depuis le tirailleur Franco-Marrakchi, l'Adjudant Ahmed Ben Bella et le berger des Aurés Algériens, le maudit soit-il Houari Boumédiane, pour que l'Algérie devienne veuve, sans hommes ni boussole, à la simple portée d'Oulad Mansouria, du bain maure d'Oujda, qui s'emparaient et s'accaparaient sans merci, du trame vierge de toute une nation opprimée, voir une nation qui ignore ce que le sort lui destine, punie, voire perdue après avoir négligé sa virginité révolutionnaire.
Le harki est toujours là..Se substituer à Bouteflika à la tête de l’Etat algérien. Aâmhom Salah ne chôme pas dans ce sens. Il ne lâche pas la Lesse qui fait peur aux Algériens, ne cessant, entre autres, d'inventer des repentances et de captures de terroristes dans le cadre de sa propagande antiterroriste, On inventait même, pour toute circonstance, des noms présumés pour donner de la crédibilité à ses inventions.
Son ambition présidentielle à peine voilée, est la tendance qui a trop attiré l’attention sur son âge avancé, sa culture politico-intelligente et son bagage de gouvernance. Le jusque-là le plus indéboulonnable chef de l’armée algérienne active actuellement ses talons pour éviter la petite porte de sortie.Il chasse ses ennemis les plus virulents et offre en parallèle, aux dingues algériens des fausses parades militaires.
Une sorte d'anesthésie locale pour permettre à la peur de "régner toujours" et faire revivre, constamment, aux algériens la sombre décennie noire et son spectre qui les préoccupe de plus en plus (Qui tuait Qui?).Bonne lecture.
Très cordialement,Chihab25
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¹. Le site appartenant au fils du général Khaled Nezar qui, par son biais cherche à satisfaire le pouvoir par penser les plaies causées par son père au peuple algérien lors de la décennie noire 90.